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forum sidasante

aixur

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Tout ce qui a été posté par aixur

  1. En quoi tu trouves que c'est contradictoire ? Sur le fait que, finalement, elle fasse attention au taux de CD4 ?
  2. Intéressant ce que j'ai lu sur Doctissimo de la part kikadikwa dans le topic "Sida et Syphilis CD4" : "Salut, moi je ne peux t'aider pour ce qui est de la syphillis mais ce que je sais c'est que le dosage des CD4 ou T4 dans le sang est assez contesté! Certains médecins disent que lorsqu'il y a beaucoup de stress oxydatif, les T4 migrent vers les muscles ou autres tissus et du coup ne sont pas dosables correctement dans le sang!! je suis sure qu'avec un taux de T4 tel, ton ami ne doit pas être très sportif, et tu devrais lui conseiller de faire du sport! Je suis sure que cette personne n'est pas très grasse aussi, plus on est gros, plus on en a beaucoup et surtout plus on est musclé, plus les T4 sont hauts! Les femmes minces en ont souvent dans ces eaux là, ça a été mon cas pendant 3ans 1/2! Très rapidement les T4 remontent lorsque l'on s'entraine 1,2 ou 3 x fois par semaine! l'idéal est de faire de la musculation en salle, du cardio, du stepp lorsque l'on en a le temps et les moyens....et puis n'oublie pas les boosters naturels de T4: l'échinacea purpura marche assez bien avec moi,la gelée royale aussi, là je teste la mélatonine pour mes problèmes de sommeil et ça agit aussi sur le système immunitaire...voilà, à bientot, en espérant t'avoir un peu aidée !" Je me disais bien qu'il devait y avoir des moyens simples de jouer sur le taux de CD4. Ben, voilà, on a déjà un début de réponse. Enfin, à voir bien sur. Remarquez, peut-être que c'est une dissidente du SIDA, qui sait ? Mais bon, je n'en ai pas l'impression. A noter qu'il semblerait que certains médecins reprennent les thèses de dissidents comme quoi les T4 migrent dans les tissus en cas de stress oxydatif et donc, que c'est un dosage qui ne voudrait pas dire grand chose. Tiens donc...
  3. Salut Jimmy, N'oublie pas de demander les photos des irm. Ce sera intéressant.
  4. Oui, pour l'instant, Jimmy ne souffre pas. Donc, ne lui inventons pas une affection qu'il n'a pas. Avec toutes les maladies bidons qui ont été inventées par les médecins, il est important de s'assurer avant toute chose que la personne a des symptomes ; des symptomes claires. Et à propos de la fatigue qu'il ressent, quand je l'ai eu au téléphone, au bout d'un moment, il m'a dit qu'en y pensant, ça correspondait avec le début de la prise de médicaments. Ce qui ne m'étonne pas, vu les effets secondaires reconnus de ceux-ci. Rien n'indique qu'il ait quoique ce soit pour l'instant. C'est toujours demain qu'on sera malade lorsque les médecins vous diagnostiquent une maladie bidon. Et la toxoplasmose, pour moi, c'est une maladie bidon. Parce qu'une maladie où il y a 80 % de personnes asymptomatiques et 20 % de personnes qui ont un simple passage grippale, et 1 % de personnes qui pourraient avoir des symptomes plus graves, je trouve que ce n'est pas sérieux et que ça a tout de la maladie bidon. L'écrasante majorité des personnes sont asymptomatiques, les symptomes sont non spécifiques (symptomes grippaux)... Bonjour le truc louche où on pioche dans des cas de grippes pour donner une consistance à une maladie qui sans ça n'en aurait aucune. Le Cholera par exemple, n'est pas une maladie bidon (même si ce n'est pas le microbe qui cause directement la maladie) : il y a des symptomes claires et spécifiques. La dengue est une maladie bidon. Donc, s'il avait eu des symptomes claires, spécifiques et répétés depuis plusieurs mois, là, ok. Bien que la toxoplasmose me semble bidon, j'aurais dit, ok, il semble y avoir quelque chose ; peut-être que je me trompe, dans le doute, pour seulement 6 semaines, il vaut mieux prendre le traitement. Mais là, il n'avait rien et il n'a toujours rien. Par ailleurs, la toxoplasmose a tout l'air d'une maladie bidon. Et les médicaments ont tout l'air d'être dangereux. Donc, là, les choses sont claires : il n'a rien et prendre des médicaments c'est prendre un risque pour rien. Tomber malade à cause des médicaments alors qu'on n'a rien, ça ne vous rappelle pas une certaine maladie qui commence par S et finit par A ? Et puis, ben, s'il tombe malade à cause des médoc, on aura les braves médecins, toujours là pour aider (le patient à s'enfoncer), qui lui bourront le mou en lui disant "vous voyez, vous avez encore quelque chose. C'est la preuve que vous êtes immunodéprimé. Et c'est la preuve que les dissidents mentent. Mais on est là pour vous aider . Ne vous inquiétez pas. Vous allez prendre ces nouveaux médocs pendant 3 mois et là, vous n'aurez plus rien. Mais, comme vous le voyez, nous avons raison. Alors, il faut être raisonnable et recommencer une trithérapie". Heureusement, vu que Jimmy à l'air assez blindé sur les trithérapies, il refusera très certainement. Mais, alors, en plan B, les médecins lui arracherons peut-être des visites régulières pour des check-up. Check-up où au moindre artefact ils crieront à la maladie opportuniste (non encore déclarée bien sur), et à la prise d'un traitement préventif. Traitement préventif qui déclenchera peut-être une maladie réelle qu'ils soigneront par d'autre médoc. Etc... Bref, le retour de la vengeance du cercle infernal.
  5. aixur

    Vaccin pas rentable !?

    Les tests cliniques ! L'extrême sérieux de la recherche médicale. Les controles multiples de validité des médicaments (essais randomisés en double aveugle, reproduction des expériences). C'est la grande défense des partisans de la médecine officielle. Comme je le disais plus haut, je suis justement en train de lire un livre de Philippe Pignarre qui s'appelle "le grand secret de l'industrie pharmaceutique". Et ce qu'il dit laisse entrevoir une réalité des choses bien différente de ce qu'on pense habituellement. Il dit qu'en fait, l'essentiel des découvertes de médicaments se sont faites des années 50 jusqu'au milieu des années 70. Et alors ? Eh bien, il se trouve justement que à cette époque la recherche de médicaments ne se faisait pas du tout comme maintenant. A cette époque les études étaient beaucoup plus folklo que maintenant. Il n'y avait pas d'études randomisées en double aveugle se faisant d'abord sur des animaux et ensuite sur les humains et avec des procédures de validation durant des années et un grand nombre de cas. Les études se faisaient en mode ouvert ; c'étaient les humains qui étaient testés en premier ; et les procédures de validations pouvaient ne durer que quelques mois et ne concerner que quelques dizaines d'individus. Ce n'est qu'à partir des années 70 qu'on a commencé à instaurer (suite au scandale de la talydomide) le système des essais cliniques, qui était un moyen de controle de l'état face aux dérives de l'industrie pharmaceutique. Or, depuis l'instauration des essais cliniques, très peu de médicaments nouveaux ont été découverts (j'entends par nouveaux, des médicaments vraiment nouveaux, pas des variantes de ceux existants déjà). Donc, quasiment tous les médicaments actuels ont été découverts via des procédures complètement folklo. Et vu que c'était déjà le cas avant les années 60, au début du siècle, à l'époque des vaccins, en fait c'est à peu près toute la médecine actuelle qui s'est faite à une époque d'amateurisme et de méthodes complètement cavalières. Ce qui est sur, c'est que quand on sait ça, les partisans de la médecine officielle ne peuvent plus se réclamer d'une science hyper-pro, inattaquable. Mais on peut même aller plus loin, bien que Philippe Pignarre ne tire pas cette conclusion (mais ce n'est pas l'objet de son livre. Lui, tire en partie la conclusion que qu'on a bridé la recherche par des procédure trop lourdes et que c'est pour ça qu'on ne sort plus de nouvelles molécules). Puisque le sérieux ne régnait pas, on peut dès lors tout à fait penser que beaucoup de médicaments et vaccins, si ce n'est la plupart, sont une arnaque totale. Bref, la médecine de l'époque a pu arnaquer le monde en toute liberté avec des produits complètements bidons. Il n'y avait aucune procédure de controle qui l'en empéchait. Ce n'était pas une époque de formidable créativité comme le pense Philippe Pignarre, mais une époque de formidable arnaque, d'arnaque en toute liberté. Depuis le milieu des années 70, c'est moins facile. Du coup, pouf, plus rien ne sort. Heureusement pour elle, l'industrie pharmaceutique a pu bénéficier à l'époque des vaccins et des antibiotiques (c'est à dire de, disons 1890 à 1960) d'une formidable amélioration des conditions de vie qui a entrainé l'augmentation de l'espérance de vie qu'on connait. Grace à une grosse propagande, elle a réussi à faire passer l'idée que c'était ses vaccins et ses antibiotiques qui étaient à l'origine de la majeur partie de cette augmentation de l'espérance de vie. Elle vit sur ce mensonge depuis 40 ans. Et vu que c'est l'industrie pharamceutique qui fait les essais cliniques et que les états ne se sont jamais doté d'outils indépendants de vérification leur permettant de reproduire ces essais cliniques, c'est sur que personne ne va aller vérifier que les anciens médicaments ont bien les vertus qu'on leur prête. Il faudrait des crédits pour ça. Et les crédits, ce sont les compagnies pharmaceutiques qui les distribuent. Elles ne vont évidemment pas aller gaspiller de l'argent pour vérifier si leurs anciens médicaments sont bidons ou pas. Pas folles les guèpes. De toute manière, même s'il venait cette idée folle à un dirigeant, les actionnaires, c'est à dire, les financiers, qui controlent tout maintenant ne le permettraient pas.
  6. Salut Jimmy, Je ne sais pas si tu as reçu mon mail. Quand on s'est eu au téléphone, au fur et à mesure, j'étais de plus en plus sceptique sur cette maladie. Maintenant, je n'y crois plus du tout. Cette histoire de toxoplasmose est complètement bidon à mon avis. Il n'y a pas de toxoplasmose et tu n'as pas de toxoplasmose. Et tu n'as pas de kystes au cerveau non plus. Je pense que les scanner ne sont pas fiables là-dessus (voir mon mail). Je pense qu'ils ont interprété des taches qui sont très probablement des artefacts comme étant des kystes parce qu'ils savent que tu es séropo et que tu ne prends plus tes traitements. Par contre, les médicaments contre la toxoplasmose m'ont l'air éminemment dangereux. Quand on voit les effets secondaires, au secours. C'est ça, à mon avis, qui te pompe toute ton énergie. Je te conseillais de prendre le traitement jusqu'à la fin vu que je pensais que ça ne portait pas à conséquence. Maintenant, je te conseille d'arrêter de le prendre. Tu n'as rien, et tu vas te bousiller la santé pendant deux mois (6 semaines, plus, le temps de se remettre d'aplomb), pour rien. La toxoplasmose est censée venir avec des symptomes grippaux. Je n'ai pas le souvenir que tu nous ai parlé de ça depuis plus d'un an qu'on se connait. Donc, là, tu serais infecté jusqu'à l'os, mais, tu n'aurais pas les symtomes habituels. Conneries... Bien sur, puisque la toxoplasmose est une maladie bidon. Encore une. La toxoplasmose est censée faire des kystes dans le cerveaux seulement chez les personnes immunodéprimées (à mon avis, c'est de la connerie complète, mais bon, on va prendre ça comme hypothèse de travail). Mais, vu que tu n'es pas immunodéprimé (sinon, on le saurait depuis longtemps, tu aurais eu des rhumes carabinés, des infections intestinales), je ne vois pas comment tu pourrais avoir la forme la plus grave de la toxoplasmose. Conneries encore une fois. Quand au fait qu'ils t'aient trouvés amaigri, personnellement, moi, quand je t'ai vu, j'ai trouvé que tu étais tout à fait à ton poids de forme et en pleine santé. Ils ne faudraient pas qu'ils voient Mark alors, parce que, sinon, vu comme il est sec, ils le mettraient sous perfusion et trithérapie en cinq minutes. Et qu'ils t'aient trouvé fatigué alors que tu avais roulé de nuit, que tu venais d'avoir un accident et que tu ne devais pas avoir beaucoup dormi la nuit, ben, un "peu" normal quoi. Dans le genre, je saute sur n'importe quel truc bidon pour te faire flipper... Enfin bon, de la part d'un pédiatre qui a fait de la recherche sur le VIH et d'une ancienne infirmière, je ne crois pas qu'il fallait s'attendre à une réaction différente. La moindre faiblesse, le moindre rhume, pour eux, sera le signe que tu es immunodéprimé et ils en profiteront pour te faire flipper et te faire revenir dans le "droit chemin". Bref, il fallait bien qu'ils te trouvent quelque chose. Vu que tu n'as objectivement rien, que tu es en pleine santé, ils t'ont trouvé un truc qui ne t'affecte pour le moment en rien, mais qui, comme le VIH, "pourrais" te faire devenir malade à terme. C'est toujours demain qu'on tombera malade avec eux. Mais, si tu ne tombes pas dans leur panneau, c'est marrant, il ne t'arrive rien.
  7. aixur

    Vaccin pas rentable !?

    Aaaah, ça fait du bien de retrouver le forum. Effectivement, j'ai eu la confirmation de ça en lisant un bouquin de Philippe Pignarre "le grand secret de l'industrie pharmaceutique", en page 21, on a ça : "Ainsi, de nombreuses études (par exemple, la plupart des essais dits de phase 4 ) sont commandés et réalisés en fonction - et en fonction seulement - des objectifs du marketing. En donnant aux médecins l'occasion de tester - CONTRE REMUNERATION - un nouveau médicament à large echelle, ces études visent surtout à les habituer à le prescrire". Donc, les médecins sont rémunérés pour prescrire les nouveaux médicaments. Et l'auteur parle de sommes considérables (pas pour chaque médecin bien sur, mais globalement). Donc, les "pauvres" médecins doivent avoir les moyens de mettre du beurre dans les épinards grace aux labos. Ils disent qu'ils n'acceptent pas les cadeaux des labos. Mais, si ce genre de chose est légale, c'est encore mieux que des cadeaux illégaux, puisque c'est carrément de l'argent, et de l'argent légal. Et, avec, en plus, des petits séminaires à l'étranger dans des hotels 5 étoiles payés par les labos (pour rester au courant des avancées de la médecine, bien sur ), ben cool quoi. Je me demandais aussi si, du coté des "pauvres" généralistes, ceux-ci ne mettaient pas encore un peu plus de beurre dans leurs épinards en mettant au point des accords avec des spécialistes. Du genre, "je t'envoie mes patients, mais, tu me donnes 1/3 des honoraires de la première scéance. Le reste sera à toi". Vu que les honoraires du spécialiste sont généralement 3 fois supérieurs à celui du généraliste, du coup, pour chaque patient envoyé chez un spécialiste, le généraliste double son salaire (ou le triple, selon l'accord).
  8. Ah oui, donc, c'était il y a 2 ans. Et tu as arrêté ton traitement il y a 3 ans. A quel moment exactement tu as arrêté ton traitement et à quel moment tu as perdu ces 10 kg ? Et est-ce que tu avais continué à prendre des médicaments hallopatiques pendant quelques temps après avoir arrêté la trithérapie ou pas (du genre antibiotiques, ou autres) ? Les 40° de fièvre, ça a été en continue pendant 3 semaines ou par intermittence ? La dernière crise de fièvre (celle de juillet 2004) a duré combien de temps ? En ce qui concerne la variation de poids, si j'ai bien compris, tu étais à 68 kg, tu es passé après cette période de fièvre à 58 kg. Puis, entre temps, tu es revenu à 63 kg. Et c'est seulement depuis un mois que tu as perdu 4 kg pour passer à 59 kg. Donc, ce que je pense, c'est que, pour le poids, il n'y a pas grand chose d'anormal. Il y a 2 ans, tu as transpiré pendant 3 semaines, perdant ainsi énormément d'eau. Ce qui doit expliquer une bonne part des 10 kg perdus (disons 5 kg). Et, en général, quand on a de fortes fièvres, c'est que le corps est à la base encombré de déchets. Donc, il élimine. Et donc, le cerveau n'envoie pas de signal de faim. Du coup, tu n'as pas du manger autant que d'habitude, ce qui peut expliquer les autres 5 kg perdus (qui eu, étaient réels). Une fois passé la crise d'élimination, ton corps a récupéré les 5 kg d'eau perdus, pour repasser à 63 kg. Puis, en juillet 2004, tu as eu une période de fièvre. A mon avis, cette fois, tu n'as perdu quasiment que de l'eau. Par ailleurs, comme on est en plein coeur de l'été, on peut perdre de l'eau par transpiration plus que d'habitude. Donc, il est probable que tu récupéreras une bonne partie des 4 kg perdus d'ici l'hiver (peut-être même avant). De toute manière 59 kg pour 1m73, ça n'a rien de grave. C'est un poids de forme je dirais. Et comme tu vas très probablement regagner une bonne partie des 4 kg, tu devrais être au dessus de ce poids de forme bientot. Maintenant, qu'est-ce qui a provoqué cette forte fièvre il y a 2 ans ? Il est possible que le corps ait fini par rejeter les traces de trithérapie pendant une phase d'élimination. il est possible aussi que le foie était encore un peu fragilisé et que tu ais mangé des produits un peu lourds qui ont provoqué une crise d'élimination (crise qui aurait peut-être eu lieu de toute manière, mais moins forte avec un foie en meilleur état). Mais, vu que tu n'as pas eu de problème de fièvre depuis 2 ans, on ne peut pas dire que le foie soit en mauvais état. A mon avis, à moins qu'il y ait d'autres symptomes, ça a l'air d'aller plutot pas mal. Il faudrait voir si tu avais mangé plus que d'habitude en juillet dernier et les types d'aliments que tu avais mangé. Pour les produits Beljanski, ça ne doit pas servir à grand chose, à mon humble avis. Non pas que ça ne serve à rien, mais je ne pense pas que ce soit plus efficace qu'une alimentation saine. Acheter des vitamines dans une magazin bio est à peu près aussi efficace et probablement moins cher. Bref, c'est payer bien cher pour ce que c'est.
  9. Ben, le problème, c'est que tu as pris les médicaments. Et apparemment, ils ont eu un effet néfaste sur toi. Dans ce forum, les dissidents (dont je fais partie) disent qu'ils ne faut pas prendre les trithérapies à causes des effets secondaires que ça crée. Tu es un bon exemple de ça (puisque tu dis toi même que tes problèmes ont commencé à partir du moment où tu as pris tes médicaments). Maintenant, les dissidents n'ont pas réponse à tout. Et en l'occurence, une fois que l'empoisonnement est fait, ce n'est pas toujours simple de savoir comment revenir à une situation normale. Sur ce forum, il y a des dissidents du VIH/SIDA, pas des guérisseurs d'empoisonnement. Surtout que, jusqu'ici, il n'y a quasiment eu que des personnes qui ont vu leur santé redevenir excellente en arrêtant les médicaments. Alors, il n'y avait pas vraiment de raison de parler des traitements alternatifs possibles Passer en revue les méthodes alternatives, ok. Mais, c'est en fonction des différentes maladies qu'il faut les analyser. Et vu qu'ils y a plein de symptomes possibles dues aux empoisonnement par médicaments, pas simple de donner une grille de symptomes et les méthodes possibles pour guérir. Cela dit, concernant tes symptomes, il faudrait donner un peu plus de précisions. Pourquoi a-tu maigri autant ? Est-ce que c'est parce que tu as arrêté de te nourrir ? Ou est-ce que ton organisme éliminait tout ce que tu mangeais ? Tu pesais combien avant de maigrir et tu pèses combien maintenant ? Et tu as maigri récemment, ou il y a plus longtemps (et si oui, quand) ? Tu n'as vraiment plus pris aucun médicament hallopatique depuis 3 ans ? Tu n'en prends pas actuellement ? A mon avis, le seul risque éventuel, c'est que tu ais développé une tumeur au niveau du foie. Mais, si on ne t'a pas diagnostiqué ça, à priori, in n'y a pas de problème, ce n'est pas une tumeur. Donc, ça ne doit pas être très grave. Ton foie est peut-être juste surchagré (qu'est-ce que tu manges en général : beaucoup de viandes, de produits lacté, de céréales, ou plutot des fruits et légumes verts ?) et tu fais une crise d'élimination (d'où les fièvres de 40°) qui va passer. Et le poids perdu l'a peut-être été beaucoup en eau. Tu pourrais donc reprendre assez vite une partie de ce poids perdu. Quand à tes T4 sanguins, ce n'est pas un problème. Ca ne signifie rien (ça représente seulement 2% de l'ensemble des T4). Quand au produits Beljanski, à mon avis, c'est payer bien cher pour ce que c'est.
  10. Au fait, c'est bien Eve Plenel qui est trésorière désormais à Act-up. Eve Plenel qui est la fille d'Edwy Plenel, le directeur de la rédaction du journal "le Monde". Le même "Monde" qui critique la façon d'agir de la Chine. Tout se recoupe hein... Dans la famille Plenel, y en aurait pas un qui bosserait pour ou aurait des liens avec les labos par hasard (en tout bien tout honneur et toute honnêteté bien sur) ? Le mari de la fille ? La femme d'Edwy ? Quelqu'un d'autre ? Edwy lui-même ? Mystère...
  11. Il me semble qu'effectivement, les labos essayent de faire ouvrir le marché chinois en mettant la pression sur le gouvernement chinois. Ca a déjà été le cas avec le SRAS. Bon, bien sur, le SRAS est un virus bidon. Je pense que l'invention de ce faux virus et de cette fausse maladie et l'invention d'une origine asiatique ont servi à 2 choses : 1) permettre à l'OMS de sauver son budget "maladies infectieuses" qui était en train d'être remis en cause par les pays qui financent l'OMS, et ce, juste au moment ou allait se tenir la réunion pour voter les nouveaux budgets (vers mars/avril 2003). En inventant cette maladie, ça lançait un message disant : "vous voyez que les maladies infectieuses peuvent encore frapper. Alors, ne diminuez pas notre budget, mais augmentez le plutot". 2) l'OMS étant apparemment de plus en plus inféodée aux labos (qui représentent une part croissante de son financement) et pénétrée dans son organisation par des hommes des labos, ça servait à ceux-ci (aux labos) à faire pression sur le gouvernement chinois en montant une campagne de presse disant que celle-ci n'avait pas réagi assez vite et assez fort. La campagne de presse concluant que la Chine devait ouvrir ses structures médicales aux gens de l'OMS et des labos. Pour les aider bien sur (ben voyons)... Ca pouvait être un premier pas vers la pénétration de l'énorme marché chinois. C'est parce que le fabuleux marché chinois était visé qu'on n'a pas inventé un épicentre africain ou européen, etc..., mais asiatique. Par ailleurs, en créant cette panique, ça a eu des répercussions économiques négatives sur l'économie chinoise. Répercussions qui se sont poursuivies avec le massacre de centaines de milliers de poulets suite à l'invention d'une autre maladie bidon : la grippe aviaire. Ces répercussions économiques apportaient des arguments plus frappants et donc, convaincants, au cas ou la Chine n'aurait pas été sensible aux campagnes de presse. Une manière de dire "vous voyez les dégats économiques que nous sommes capables de vous infliger. Alors, si vous n'ouvrez pas votre marché, attention, vous allez avoir des problèmes". Et ça doit être la même raison (l'envie de pénétrer ce marché) qui engendre la publication d'articles critiques sur les réactions des autorités chinoises aux actions des militants associatifs contre le SIDA. Vous vous rendez compte, le fric que ça pourrait représenter pour les labos d'avoir accès au marché chinois des séropo (forcément en très grande augmentation bien sur ) ? Miam miam, y a bon $$$$$$ !
  12. Excellente initiative ! D'ailleurs, ça faisait un ou deux mois que je voulais proposer un truc du même genre. Donc, je suis à fond pour. Très bien le débroussaillage avec les liens vers les différentes interventions. Par contre, c'est sur que résumer le tout n'est pas simple. Il y a danger du trop succin et du trop détaillé. Il faudrait peut-être faire plusieurs niveaux de résumés. Un premier résumé rapide du genre de celui de Jerman, un second plus détaillé, donnant, pour chaque sujet, un certain nombre de détails. Et enfin, un résumé plus riche. A mon avis, ce dernier, vu sa taille, ne pourra être limité au début que sur les questions les plus importantes. D'un autre coté, pour ce dernier type de résumé, il y a déjà pas mal de documents sur le site de Mark. Donc, il y a un danger d'être redondant. Je pense qu'il faudrait se concentrer au début sur les problèmes les plus techniques pour les rendre le plus accessibles possible. Justement, j'avais commencé à approfondir les problèmes d'isolement du VIH et des postulat de Koch et j'ai commencé à écrire un article sur le sujet. Donc, je pourrais proposer ça d'ici quelque temps. Il y a déjà des articles là dessus, mais je pense que ce sera peut-être plus accessible (enfin j'espère. De toute manière, un document de plus ne fera pas de mal).
  13. Merci Cheminot En fait, j'ai l'impression qu'ils abordent le problème des autres médicaments que les antirétroviraux, mais sans s'engager complètement dans une autre vision de la médecine et donc, sans s'investir à fond sur le problème de ces autres médicaments (antibiotiques, entre autres). Ils s'arrêtent à la moitié du chemin, ou plutot aux trois-quart. Enfin, c'est selon l'objet considéré. Aux trois-quarts sur le problème des médicaments, parce que certains chercheurs dissidents laissent quand même entendre que les autres médicaments sont néfastes, mais sans s'attarder dessus. Comme une chose qui est dans la suite logique du problème des antirétroviraux ; une chose qu'on devrait en partie comprendre de nous-même et qu'en partie, ils évoquent tout de même (plus ou moins succintement). Problème, ils y a des gens qui ne voient pas le message laissé à demi-mot et qui considèrent que c'est seulement les médicaments des trithérapies qui posent problème et qu'on peut continuer à prendre tous les autres médicaments sans danger. Enfin, bon, cela dit, il y a quand même des chercheurs qui évoquent assez précisément les problèmes engendrés par les autres médicaments et, dans les forums, il y a toujours des gens pour mettre en garde contre les autres médicaments. J'ai l'impression que les dissidents qui continuent à prendre des antibiotiques et autres trucs dangereux ont du mal à la base à se séparer totalement du recours à la médecine officielle. Donc, même si les discours de tous les dissidents étaient clairs et nets sur ce sujet, je pense qu'on aurait encore des gens dans ce style ne voulant pas mettre toutes leurs billes dans le même panier. Donc, il ne faut pas non plus trop incriminer les chercheurs dissidents qui ne vont pas au bout du problème. Mais bon, quelque soit la responsabilité des uns et des autres, la diversité d'individus et, un peu, des discours qu'on peut trouver au sein de la dissidence font qu'on risque d'avoir des cas de personnes qui continuent des traitement hortodoxes (même si ce ne sont pas des traitements antirétroviraux), et qui en meurent. A la moitié du chemin sur le problème d'une remise en cause plus générale de la médecine moderne. Ils ont les outils théoriques pour faire cette remise en cause plus générale. Mais ils s'arrêtent au seul problème du VIH (et des hépatites). En relisant de Harven pour mieux comprendre le problème de la charge virale (que j'avais laissé un peu de coté, j'avoue), on peut constater que dans certains cas, il aborde des points techniques qui peuvent tout à fait conduire à une remise en cause plus générale de la virologie. Mais, il ne fait jamais aucune réflexion dans ce sens. Peut-être que l'idée qu'il a consacré 40 ans de sa vie à une erreur scientifique le fait reculer inconsciemment. C'est peut-être cette même raison qui a fait reculer inconsciemment Duesberg à l'idée de remettre en cause l'existence du VIH. Ce qui est sur, c'est que l'absence de remise en cause plus générale chez certains nuit à la clarté du discours sur les médicaments ne faisant pas partie des antirétroviraux, même si beaucoup de dissidents sont assez conscients tout de même que ceux-ci ne sont pas bons. Il n'y a que Stefan Lanka (et peut-être Heinrich Kremer, puisqu'il font partie de la même école de pensée, mais j'ai moins de documents venant de lui) qui entame une remise en cause plus complète de la vision officielle des virus pathogènes et de la médecine en générale (cf. la théorie évolutionnaire et ses implications sur le problème des cancers par exemple).
  14. Dans le message d'accueil du forum SIDA et prévention de doctissimo, voici ce qui est écrit : Les dissidents ne seront plus tolérés ici Ce ne sont pas certains dissidents qui ne sont plus tolérés. Ce sont tous les dissidents qui sont interdits de parole. C'est tout simplement de la censure.
  15. Ah, enfin on en arrive à parler du fond ! Comme quoi tout arrive. On va enfin pouvoir s'amuser (quoique déjà, on rigolait pas mal). Bon, évidemment, c'est pas ça. Et Candide, s'il a vraiment lu les 30 pages et est allé sur sidasante.com devrait le savoir. a) Se soigner ou pas ? Ouai les recommendations ont évolué en ce qui concerne le moment ou débuter le premier traitement. Et l'on est moins interventionniste qu'il y a quelques années. On peut appeler ça une "évolution". On peut surtout appeler ça un désaveu de la théorie de Ho selon laquelle il fallait frapper vite et fort. En bref, ils avouent sans le dire qu'ils se sont complètement gourés. Comme ils s'étaient gourés pour le temps d'incubation de la maladie, qui était soi-disant de 2 ans, puis, qui, au fur et à mesure des années, est passé à 10 ans. Maintenant, on arrête même les traitements pendant 2 ou 3 ans. Ah oui, il fallait vraiment frapper vite et fort. Et pourtant, on présentait ça comme étant une théorie solide comme le roc, aussi solide que la théorie que le SIDA est du au VIH... b) Témoignages Concernant les traitements les deux témoignages intéressants sont les deux derniers. Ils laissent à penser que les trithérapies ne sont pas dangereuses. Cool. C'est comme des petits bonbon alors ? Mais effectivement, il y a des personnes qui ont moins d'effets secondaires que d'autres. Pourquoi ? D'après ce que j'ai pu comprendre via un certain nombre de témoignages, ça vient de ce que, comme ces cocktails sont composés de plein de médicaments différents, en n'arrêtant pas d'en modifier la composition, on évite que le patient arrive au point de rupture sur un type de médicament en particulier. D'ailleurs, c'est ce que laisse entendre coco212 : "moi ca fait 7 ans que je prend des traitements, avec plusieurs changements depuis". En plus, il y a les arrêts thérapeutique. Tout ça mis ensemble fait que certains arrivent à ne pas avoir trop d'effets secondaire pendant longtemps. Quand il y avait l'AZT seul, c'était forcément beaucoup moins facile de faire sa petite cuisine. Il faut ajouter que certaines études laissent entendre que beaucoup de gens ne prennnent pas leur traitement sérieusement. Bref, les traitements maintenant, c'est souvent le grand n'importe quoi. Et puis, au milieu de ça, il y a les pauvres gars qui sont suivi par des médecins rigoristes qui ne modifient pas les traitements (ou pas suffisamment souvent), qui n'ont pas des résultats de charge virale et CD4 assez bons pour que le médecin leur fasse faire un arrêt thérapeutique (ou alors, si, mais le médecin est du genre prudent), et qui prennent leur traitement de façon rigoureuse. Et ceux là, ben, ils se retrouvent probablement beaucoup plus souvent avec une bosse de bison et des problèmes, par exemple, neurologiques. Et pour ceux qui sont déjà fragilisés par l'absorption de drogues, ça n'aide évidemment pas. Mais, bien que les traitements actuel, et la façon dont ils sont administrés soient clairement moins léthaux que l'AZT seul, il doit y avoir aussi ceux qui déclarent ne pas avoir trop de problèmes d'effets secondaires ; mais qui, en fait, mentent sur la gravité de ceux-ci. Pour les besoins de la cause, pour que les personnes qui pourraient avoir besoin du traitement n'hésitent pas à les prendre. Sur le forum 123sante, à les entendre, ils allaient tous bien. Sauf que d'après Jimmy, qui les connaissait un peu, un bon nombre avait des problèmes ; entre autres, des problèmes neurologiques. c) L'efficacité des traitements Sur l'efficacité des traitements Bon, là, ça va être assez rapide. Pour la première partie, c'est à dire trithérapies contre AZT seul, c'est bien gentil de citer des chiffres de baisse de mortalité après l'introduction des trithérapies, mais, un chiffre seul ne veut rien dire. Sa signification peut changer du tout au tout selon la mise en perspective. Et là, tu omets de citer ce que les dissidents déclarent. A savoir, que si, après l'introduction des trithérapies la quantité de morts a chuté, ce n'est pas parce qu'elles soignent, mais parce qu'elles tuent beaucoup moins que l'AZT. Ca change tout et rend caduc les chiffres cités. Et ça, si tu as lu les théories dissidentes, tu dois certainement le savoir. Donc, il y a volonté de tromper. Ensuite, la deuxième partie : trithérapie vs pas de traitement. Ben, là, c'est sur la définition de "maladie" que les études jouent pour bidonner l'analyse. Toute cette partie est bidon, parce que la définition de la "maladie" ou "évolution vers la maladie" est apparemment basée sur le nombre de CD4 et la charge virale, jamais sur le seul truc important, le seul truc sérieux et valable, la présence de symptomes réels. D'ailleurs, même s'il y avait présence de symptomes réels, il faudrait encore préciser. Parce que, vu que les maladies du SIDA vont de la simple fatigue, à la pneumonie en phase terminale, on peut dire là aussi tout et n'importe quoi sur le passage au stade SIDA. Donc, les études citées n'ont aucune valeur. Dans le genre byzantin, on ne fait pas mieux. d) Et pour l'avenir Puisqu'on a un petit chapitre de propagande amusante. Amusons nous. On va reprendre ça à notre sauce. La recherche médicale est en perpétuelle évolution pour essayer de vous arnaquer en mettant au point des "médicaments" vous rendant malade juste ce qu'il faut pour que vous continuiez à payer pendant longtemps. Alors, ni pour le moment ni jamais n'espérez aucun remède miracle qui soignerait définitivement et sans effet secondaire. Au terme de la 15e conférence internationale sur le Sida qui s'est tenue à Bangkok en juillet 2004, plusieurs priorités se sont fait jour : • Favoriser l'accès à l'empoisonnement pour les habitants des pays du Sud. Mais comme il n'ont pas une tune ce seront les personnes des pays riches (vous) qui paieront pour les faire tomber malade (via le biais des aides internationales) [Reuters, 13 juillet 2004] ; • Mieux dé-sinformer les populations sur le VIH/Sida • Tromper les jeunes générations. Ne jamais oublier qu'un jeune, c'est un futur client. • Trouver des financements afin, bien sur, d'avoir encore plus de piscines, de bagnoles, de residences secondaires, de pouvoir, etc... Mais aussi corrompre ou intimider les journalistes, les hommes politiques, payer des personnes pour intervenir sur les forum dissidents . Prospérer sur le malheur du monde, c'est pas gratos man. • Faire semblant de poursuivre les recherches sur un éventuel vaccin. En sortir un si les dissidents deviennent trop puissants. Ca permettra de lacher du lest à peu de frais. • Faire du vent en faisant croire qu'on explore des moyens de prévention, tels que les gels spermicides. L'international Aids Society dans sa grande sagesse estime aujourd'hui qu'on va en rester à l'arnaque actuelle des trithérapies. Evidemment, pas de remède définitif. On ne tue pas la poule aux oeufs d'or. En terme d'agitation des bras pour faire croire qu'on agit, on continue à faire espérer aux gens l'arrivée d'un vaccin. Exemple typique d'excuse pour repousser le truc "mais il faudra encore plusieurs années afin d'avoir une indication sur leur efficacité". Ca ne mange pas de pain et ça fait croire aux gens qu'on a de super chercheurs qui cogitent un max. En conclusion, la trithérapie est vraiment un miracle pour les profits de l'industrie pharmaceutique. Elle a des effets secondaires, mais contournables. Parce que, bien sur, comme tout traitement inefficace pour soigner une maladie bidon, elle a des effets indésirables. En plus, par rapport à l'AZT, elle améliore le pronostic des pigeo..., heu..., des patients. Ensuite, chaque docteur est libre, en conscience, d’avoir son opinion et de choisir de prescrire ces poisons ou pas. De toute façon, en cas de problème, ils pourront toujours dire en geignant "mais, on ne savait pasheuuu...", après avoir dit avec morgue "écoutez mon petit ami, vous n'avez pas fait 9 années d'études comme moi, alors taisez vous. Nous on sait". Il est donc nécessaire de dire que le VIH n'existe pas et que les trithérapies sont responsables du Sida. Dire cette vérité est une bonne action. Ca pourrait détourner les personnes malades d'un traitement non seulement inefficace, mais tueur. Propager l'idée contraire est mensonger et criminel.
  16. Hola, les sabots de Candide. Ils sont si gros qu'on pourrait faire un beau meuble (genre commode) avec. Qu'est-ce qu'on se marre. C'est vrai, en ces périodes estivales, où la chaleur nous rend un peu apathiques et où on est paresseux pour écrire, il y a heureusement un homme qui vient nous aiguillonner sur ce topic et nous divertir, alors que sans lui, nous sombrerions dans la torpeur. Ouf ! C'est bien qu'il soit là en ce moment finalement. En même temps, c'est dommage, il semblait qu'avec ADDTC, on en venait enfin un peu à aborder le fond du problème. Il n'est pas content que Mark ouvre souvent un nouveau topic. Je comprend bien Candide. Les tentatives d'entrisme de certains ici (suivez mon regard) et de pourrissage de topic sont plus facile avec un topic unique. Pourrir 30 topics différents, ça demande plus de monde et plus de travail. C'est la mort du pourrissage de topic. Continue à ouvrir de nouveaux topic Mark, il semble que ça nous prémunit contre les trolls. Trolls qui aimeraient bien noyer régulièrement nos interventions intéressantes dans deux ou trois pages de polémiques sans intérêt (sur la forme ou sur des détails sans grande importance). Forcément, avec un seul topic, on peut faire un prix de groupe et attendre qu'il y ait déjà eu 10 interventions intéressantes pour les noyer dans 2 pages. Avec 30 topics différents, il faut écrire 60 pages. C'est beaucoup plus emmerdant. Concernant la réponse de Candide, merci encore de nous faire rire : Mes critères de décision : les faits, l'analyse des faits, la logique, la réflexion, l'analyse du fond du problème (technique, politique, économique, historique, psychologique) de préférence à l'analyse de la forme (combien il y a de personnes dans chaque camp, est-ce qu'untel croit à l'astrologie ou pue des pieds). Normal quoi. Le travail de la pensée de quelqu'un qui a un cerveau en état de marche. Ca n'empêche pas que si je vois qu'il y a 2 prix nobels et quelques super spécialistes en virologie qui sont de la partie et qui ont été rejoint par 600 scientifiques, j'ai tendance à me dire au départ qu'il y a quelque chose. Qu'il ne s'agit pas d'hurluberlus. Donc ça me pousse AU DEPART à aller voir ce qui se cache derrière tout ça. Mais, ça n'entre absolument en ligne de compte pour la décision finale.
  17. C'est vraiment trop drole la méthode de Candide. L'important, ce n'est pas le fond du problème. Non. L'important, c'est le nombre de personnes dans chaque camp. S'il y a 100.000 scientifiques dans le camps officiel, et seulement 600 dans le camps des dissidents, alors, c'est forcément les 100.000 qui ont raisons. Idem pour le nombre de dissidents non scientifiques. C'est une logique purement numérique, qui se contente de compter le points. Une démission de la pensée quoi... Mais, c'est fait de façon tellement candide (comme quoi, le pseudo est bien choisi), que c'en est carrément drole. S'il s'était trouvé à l'époque de Gallilée, vu sa conception purement numérique des débats scientifiques, il aurait été dans le camps de l'église. En fait, Candide se place de lui-même en déhors du débat en quelque sorte. Il nous suffit d'attendre d'être beaucoup plus nombreux, et là, on n'aura même plus besoin de convaincre Candide. Il se dira de lui-même "Ah oui, quand même, maintenant, ils sont un million. C'est qu'il doit y avoir quelque chose". Et quand on sera 100 millions, alors là, pour lui, la dissidence sera forcément une vérité d'évidence. Même en continuant à ne rien connaitre du fond du dossier.
  18. Candide, Si tu as lu les 30 pages, tu dois savoir que nous ne reconnaissons pas l'hypothèse selon laquelle le VIH a été isolé et existe. Donc, nous ne reconnaissons pas l'hypothèse d'une progression de la séropositivité, nous ne reconnaissons pas non plus le fait que les morts en question, si morts il y a, sont des morts du SIDA. Donc, non, nous n'avons pas l'impression de nous tromper de combat (surtout que les faits que tu nous cites ne sont pas nouveaux. Ca fait des années qu'on nous serine que la séropositivité augmente de façon alarmante. Donc, si nous avions du avoir l'impression de nous tromper de combat, ça ferait longtemps que nous l'aurions eu). Pour nous faire penser que nous nous sommes trompé de combat, il faudrait nous présenter une procédure valide d'isolement du supposé virus. Il faudrait, au minimum, nous présenter des cas de centaines de personnes n'ayant aucune raison de développer des maladies, qui auraient été infectées par des personnes séropo, qui ne prendraient aucun médicament d'aucune sorte (ni trithérapie ni rien d'autre) et qui développeraient des maladies caractéristiques du SIDA (et pas des cas sélectionnés parmi des millions. Ca, on peut toujours trouver des cas de personnes qui tombent malades soudainement. Non, il faut que l'échantillon de départ soit bien défini). Et les maladies caractéristiques du SIDA, ce n'est pas des cancers, pas des sarkoms de kaposi, pas une bonne grippe, pas une grosse fatigue. C'est une maladie microbienne qui dégénère gravement d'un coup. Et ce n'est pas une maladie à champignon (genre pneumonie carinii). Et, de préférence, il faudrait avoir des cas de personnes contaminées par du "virus" isolé en culture pure. Il faudrait aussi que les "protéines du VIH", soient bien uniques et ne se retrouvent pas n'importe ou (par exemple, 40 % des chiens testés qui ont réagi positivement à la protéine p24 si je me souviens bien). Et plein d'autres éléments de la même veine. Et à mon avis, ce n'est pas près d'arriver. Ce n'est pas arrivé avant, je ne vois pas pourquoi ça arriverait maintenant. PS : c'est bien d'aller voir le site des nation-unis, mais, maintenant, va plutot voir celui-ci ( sidasante.com ). Ca sera mieux que le présent topic qui, comme tout topic un peu long, part forcément un peu dans tous les sens. Tu y trouveras des articles très documentés.
  19. Précision au cas où (mais, je pense que vous aviez compris). Dans le post précédent, à chaque fois que je parle du VIH, je parle en fait des protéines supposées spécifiques du VIH (faussement bien sur). Les protéines p24, gp120, etc... Evidemment, vu que, comme la plupart des dissidents, je pense que le VIH n'existe pas, ça pouvait éventuellement prêter à confusion.
  20. Depuis quelques temps une idée me trote dans la tête. En reprenant la thèse que j'ai découverte sur internet disant qu'en fait, le système immunitaire n'existe pas vraiment, mais consiste en le collage des protéines présente dans le système lymphatique via des protéines super collantes, je me demande si en fait, quelque soit l'antigène (à condition qu'il consiste en quelque chose de protéinique), il y aura toujours une protéine super collante, que la médecine officielle appellera "anticorps", qui viendra se joindre à cet antigène. Ce serait la raison pour laquelle on trouve des anticorps aux protéines soit-disant spécifiques du VIH chez n'importe qui, pourvu qu'il n'y ait pas dilution (comme l'a montré une expérience avec et sans dilution). N'importe quel "anticorps" serait adapté au VIH en fait. Il n'y aurait pas de phénomènes tels que décrits par la littérature de mémorisation des antigènes. Même en n'ayant jamais eu affaire au VIH, l'organisme produirait une réaction, puisque n'importe quelle protéine super collante serait en mesure de coller au VIH (enfin, plutot aux protéines supposées spécifiques du VIH). En fait, les tests ne mesureraient pas le taux d'anticorps spécifiques des protéines du VIH, mais le taux d'anticorps tout court. Ou plutot, le taux de protéines super collantes. Ce qui expliquerait pourquoi n'importe quel évènement entrainant la surproduction de ces protéines super collantes serait susceptible de faire réagir positivement le test : rhumes, tuberculose, fièvre, etc... En fait, même s'il y avait des protéines spécifiques d'hypothétiques virus, il serait impossible de le déterminer (qu'elles sont uniques) via le système de réaction antigène/anticorps, puisque les anticorps réagiraient à absolument tous les antigènes protéiniques possibles et imaginables. A discuter bien sur.
  21. Bref, tu avoue que tu ne connais pas assez les problèmes soulevés par la dissidence ; mais tu te permets de la juger. Genre "Je sais rien, mais je dirais tout". Donc, pour les messages à venir, tu vas continuer à ne jamais parler du fond, mais à dire qu'on est des criminels en puissance (en oubliant opportunément que peut-être que toi aussi, si tu te trompes) et que tous les chercheurs du monde ne peuvent pas se tromper. Génial ! Et je rappelle encore une fois qu'on est sur onnouscachetout.com ici, pas sur si99%desgenspensentteltrucalorsilsontforcementraison.com ; ou sur sicetaitvraicasesaurait.com ; ou sur latheorieducomplotcestuntrucdeparanoiaques.com.
  22. Aux séropositifs, on leur propose juste de se renseigner sur nos idées ; en toute liberté. Ce qui, s'ils y adhèrent, devraient, on l'espère, leur faire abandonner leurs traitements destructeurs et leur faire abandonner la peur d'une espérance de vie très réduite. Aux gars d'act-up, je n'étais pas à la gay-pride. Donc, je ne sais pas trop ce qu'il y avait sur les papiers distribués. Mais, en tout cas, moi, ce que je leur propose, c'est d'arrêter de croire à l'hypothèse officielle et de rejoindre nos rangs. C'est pas gagné, vu les excités qu'il y a l'air d'y avoir là-bas. Mais, il y a partout des gens ouverts, alors, il y en a peut-être quelques uns qui auront le déclic. Il y a bien act-up San-Fransisco qui a fait cessession avec les autres act-up américains.
  23. Oui, on parle de nous, et pour "Certains arguent que s'ils sont décédés, c'est parce qu'ils... ont pris des médicaments", à priori, c'est de moi qu'il doit s'agir. Je vais donc répondre. Ben oui, ils sont morts parce qu'ils ont pris des médicaments (et pour certains, parce qu'ils ont subis, en plus, des opérations). Ca semble extraordinaire pour ce journaliste. Mais quand on considère les médicaments en question, on s'étonne beaucoup moins.
  24. La médecine actuelle en est peu ou prou là ou elle en était il y a 20 ans sur le SIDA. Il y a quand même certaines choses qui ont évolué au fil du temps. Les chercheurs se sont rapidement rendu compte qu'en réalité, on trouvait très peu de virus VIH dans les cellules T4 des patients. Je crois me souvenir que moins de 1% des cellules T4 étaient infectées. Ca posait forcément un gros problème, parce qu'on ne voit pas comment les séropositifs auraient pu voir leur T4 décliner en nombre, alors qu'il avaient 99 % de leur T4 non infectés (du coup, ils n'avaient pas de raison de mourir non plus). Du coup, pendant tout un temps, on a dit que le virus était dormant pendant X années, puis, qu'il se réveillait d'un coup. A partir de 1995, David Ho a sorti une nouvelle théorie allant complètement à l'encontre de la précédente, qui disait que le virus, loin de rester dormant, se multipliait à toute vitesse dès le début de l'infection, mais qu'il était tenu en respect par le système immunitaire, qui finissait par s'effondrer, épuisé au bout de X années (comment, pourquoi, ça mystère...). Ce qui a engendré la théorie selon laquelle il fallait frapper vite et fort (et donc, commencer la prise de médicaments dès le début de l'infection). Toutefois, cette thèse a été plus ou moins remise en cause elle aussi vers le début des années 2000, puisqu'on fait désormais des arrêts thérapeutiques, parfois très long (plus de 2 ans). Mais, ça s'est fait plus ou moins en catimini j'ai l'impression. bien sur, il y a eu l'abandon de l'AZT seul en doses massives qui tuait à toute vitesse pour les trithérapies, vers 1996, qui tuent beaucoup moins, ce qui a donné l'impression, pour les partisans de la thèse officielles (enfin, pour les partisans mal informés), qu'elles marchaient mieux que l'AZT seul. En plus de cette évolution, il y a eu, puisque le VIH n'existe pas, le recul sans cesse plus important de la date de déclenchement de la maladie en l'absence de prise de médicaments. On pensait que la maladie, en l'absence de prise de médicament, se déclenchait au bout de 3 ans. Puis on a reconnu que c'était au bout de 5 ans, puis, on a repoussé ça à 7 ans. Et maintenant, c'est dans les 10 ans. Par ailleurs, il y a eu des manipulations statistiques sur la définition de la séropositivité (vers 1990, je crois, à confirmer), ce qui a augmenté le nombre de cas. Je crois me souvenir que, par exemple, en Afrique, il suffisait d'avoir un maladie considérée comme caractéristique du SIDA (une tuberculose par exemple), plus quelques symptomes supplémentaire (de la fièvre depuis 1 mois par exemple), pour être considéré séropositif, en l'absence de tout test. Forcément, ça a augmenté fallacieusement le nombre de séropositifs d'une façon importante. Egalement, les chercheurs officiels, devant la faible augmentation du nombre de séropositifs en occident, ont été obligé de reconnaitre que la transmissibilité du virus était beaucoup plus faible que ce qu'on croyait. Ils ont fini par reconnaitre (vers 2000 je crois, ou 1999) que la transmission lors d'un rapport hétérosexuel vaginal était de 1/2000, idem pour un rapport anal insertif, et de 1/30 pour un rapport anal invertif. Et, je crois, 1/300 pour une piqure. Problème, ça explique le faible nombre de cas en occident, mais alors, la progression exponentielle du nombre de cas en Afrique entre 1984 et 1994 devient impossible. Il ya eu aussi une reprise du travail d'isolement du virus vers 1997 (pas sur de la date), puisque la première expérience d'isolement avait des défauts. Mais, ce nouveau travail était incorrect lui aussi. Cheminot doit être plus calé que moi sur ce sujet. En ce qui concerne les dissidents, il y a deux écoles : l'ancienne et la nouvelle. L'ancienne est celle de Duesberg, qui, à partir de 1987, postule que le VIH existe, qu'il a été isolé, mais qu'il n'est pas pathogène. La nouvelle, qui s'est imposée plus ou moins vers 1992 je crois, est celle du groupe de Perth, de Stefan Lanka et Kremer, qui dit que le VIH n'a jamais été correctement isolé et qu'il n'y a donc aucune preuve qu'il existe. D'après mon impression, Duesberg est désormais très marginalisé et c'est la nouvelle école qui est celle à laquelle tout le monde se réfère. Quoiqu'il en soit, tous sont d'accord pour dire que ce qui cause la maladie, ce sont les médicament et les drogues pour le monde occidentale et la pauvreté et les médicaments dans les pays du tiers-monde. Puisque c'est la deuxième école qui domine (qui est d'ailleurs celle à laquelle je crois), parlons de l'isolement du virus. Pour isoler un virus (ou une bactérie) pathogène, on se réfère aux postulats de Koch : 1) Le micro-organisme doit être présent dans chaque cas de maladie, mais absent des organismes sains. 2) Le micro-organisme suspect doit être isolé et cultivé en culture pure. 3) La maladie doit se développer quand le micro-organisme est inoculé à un hôte sain. 4) Le même micro-organisme doit de nouveau être isolé de cet hôte malade C'est logique, on a prend des malades, on isole un éléments qu'on ne retrouve pas chez les sujets sains et qui infecte les cellules qu'on pense être celles qui défaillent lors de la maladie (les T4 pour le SIDA). On l'isole en culture pure (c'est à dire qu'il ne doit plus y avoir que 99 % du supposé microbe dans la coupelle). Ainsi, on n'a plus que du microbe, et pas d'autres éléments qui pourraient être aussi cause de la maladie. Donc, si on arrive à causer la maladie, on sera sur que ce sera du au microbe. On inocule le microbe isolé à un nombre suffisament grand de gens sains. S'ils ont les mêmes symptomes que les malades sur lesquels ont a isolé le microbe, à priori, c'est que c'est bien l'agent pathogène. Or, plusieurs de ces étapes n'ont pas été réalisées lors des travaux d'isolement. Ce qu'il faut comprendre, c'est qu'un virus, ce n'est jamais que quelques morceaux de protéines. Et des morceaux de protéines, il y en a plein dans l'organisme. Et il y en a un certain nombre qui se comportent comme des virus mais qui n'en sont pas : ce sont les virus like. Donc, comme évoqué dans le paragraphe précédent, trouver (et photographier) un bout de protéine qui entre dans des cellules, ne signifie rien en soit. Il faut d'autres étapes en amont et en aval. Déjà, il faut le trouver à chaque fois chez les malades (donc, quelques malades ne suffisent pas), et ensuite, il faut qu'il prouver qu'il rend malade. Donc, il faut l'inoculer à des gens bien portants et les rendre malade pour être sur qu'on a bien un virus pathogène. Pour cette 3ème étape des postulats de Koch, vous voyez le problème ; on ne va pas inoculer un virus mortel chez des gens. Donc, on ne réalise pas une étape absolument capitale du processus. Alors devant l'impossiblité de remplir correctement les postulats de Koch, on biaise. Comme on maitrise certaines notions de génétique, une fois le supposé virus isolé, on va l'analyser. Le virus est un antigène, et le corps, en présence d'un antigène, produit des anticorps qui viennent se fixer, pour le neutraliser, sur un et souvent plusieurs récépteurs de l'antigène (comme des serrures pour les récepteurs à la surface du virus et des clefs pour les anticorps). Donc, la théorie est que si on détermine les récepteurs en question, et que ces recepteurs sont propres uniquement au virus et qu'on les rétrouve uniquement chez les malades du SIDA, alors, on peut penser que le virus est propre aux seuls malades du SIDA et que c'est bien la cause de la maladie. On n'aurait donc alors plus besoin des étapes 3 et 4 des postulats de Koch, et même de l'étape 2. Le problème c'est que les récepteurs du virus (les serrures) identifiés comme étant soi-disant propres uniquement à celui-ci, ne sont pas du tout propre à ce virus. Donc, tout ce travail de biasage des postulats de Koch tombent à l'eau. On dit que les protéines gp120 et p24 sont vraiment les plus spécifiques (parmi d'autres) au virus VIH, et que lorsqu'il y a des anticorps pour ces protéines, c'est que le virus est présent. Mais c'est faux. On trouve des anticorps pour ces protéines dans d'autres cas. Cela dit, même si les protéines en question étaient apparemment propres uniquement au supposé virus, ça ne répondrait pas une question "est-ce que l'élément en question (le supposé virus) est la cause ou la conséquence de la maladie ?". Ca, seule la réalisation des postulats de Koch dans leur entier permettrait de le dire. Donc, si on analyse la réalisation des postulats de Koch étapes par étape, on a ça : En fait, on a plus ou moins commencé par l'étape 2). Or, l'étape 2) n'est pas remplie parce qu'on n'a pas pu avoir une culture pure du supposé virus. La culture obtenue ne contenait même pas 1 % de particules virale (on détermine que ce sont les mêmes particules virales par le fait qu'elles ont la même forme et la meme taille), alors qu'il en faut 99 %. Je crois qu'il y a eu une deuxième expérience ou on trouvait 99 % de particules virale, mais là, on avait utiliser des produits chimiques cancérisant les cellules et provoquant artificiellement et donc indument la multiplication des particules supposément virale. Mais, pour cette deuxième expérience, je ne maitrise pas complètement. Cheminot est meilleurs là dessus. Malgré la tentative de biaiser pour l'étape 1), celle-ci n'est pas remplie non plus, puisque les protéines à la surface du VIH ne sont pas spécifiques du VIH. Donc, le on ne peut pas déterminer si le VIH est spécifique au seuls malades du SIDA, puisque ceux-ci peuvent avoir des anticorps contre ces protéines en l'absence de VIH. En plus, pour la deuxième parti du postulat 1 : "mais absent des organismes sains", il ya des personnes répondant aux maladies soi-disant spécifique du SIDA et chez lesquelles on ne retrouve pas d'anticorps aux protéines (déjà non spécifiques) du VIH. Donc cette deuxième partie du premier postulat n'est pas remplie de toute manière. Quant à l'étape 3, bien sur, par étique, on ne l'a pas remplie. Du coup, la 4ème étape n'est pas remplie non plus. Donc, en réalité, aucune des étapes des postulats de Koch n'est remplie. Donc, en résumé, on a bien des photos d'un bout de protéine, et des photos de 5 ou 6 particules de taille et de forme identiques, mais c'est à peu près tout. Par ailleurs, au dela de l'isolement de virus, beaucoup de chose ne cadrent pas avec la thèse du virus : prostituées qui ne se protégent pas et qui ne meurent pas ; séropositifs qui sont toujours vivant après 15 ou 20 ans alors même que certains ont eu des maladies considérées comme caractéristiques du SIDA ou ont eu des T4 très bas, ce qui fait qu'on ne peut pas invoquer la thèse de la protection génétique ; pendémie africaine qui ne cadre pas avec les nouveaux taux officiels de contamination désormais très bas (il y aurait eu 0 contaminés en 1983 ou 84, et des dizaines de millions en 1994), chiffres de mortalité en Afrique qui ne cadrent pas avec les expérience sur le terrain (voir l'étude de Deru qui dit qu'en réalité, les adultes n'étaient pas morts, mais étaient simplement allés chercher du travail ailleurs et que la mise en place de règle d'hygiènes simple et d'une meilleure alimentation a stoppé la mortalité élevé des villages soi-disant à l'épicentre de l'épidémie africaine), etc, etc... Voilà à peu près l'état du problème actuellement (bien sur, je n'ai pas du tout aborder).
  25. Ah, oui, c'était sur le forum atoute, avec le docteur Dupagne et le docteur Philippe ; le sujet "Qui a vu une photo du VIH ?". J'ai bien aimé la réponse de ce dernier : "Je vous défie aussi de trouver une photo d'un staphylocoque ou d'un herpès virus qui vienne directement d'un malade. Vu les problèmes techniques que posent ces photos, il est quasiment impossible de les prendre "sur le vif". Dans le genre "j'invente carrément un truc qui va complètement à l'encontre de la thèse officielle tout en croyant que je dis un truc allant dans son sens", c'était très fort. En plus, c'était le premier message de réponse. Ca commençait bien. Le pauvre Dupagne, il est pas aidé. Et les photos du VIH alors ? Ensuite, le docteur Dupagne lui-même qui balance "On sait que les antirétroviraux soignent le sida. On sait cultiver le VIH a partir du sang de sidéens. On sait mettre en évidence des anticorps anti-VIH uniquement chez des sidéens. La messe est dite, non ?" Il ignore donc manifestement la thèse qui affirme que les antirétroviraux semblent soigner mieux les sidéens tout simplement parce qu'ils les tuent moins que le médicament d'avant (l'AZT). Il ignore aussi que la culture des quelques morceaux de protéines présentés comme étant le VIH n'est obtenue que grace à l'utilisation de produits chimiques entrainant un stress biologique et cancérisant la préparation in vitro, ce qui d'après les virologues dissidents, est une méthode qui ne devrait pas être employée parce qu'elle fausse les résultats en entrainant la multiplication du supposé virus, alors que, sans ça, il ne se multiplierait très probablement pas. Enfin, il ne sait pas non plus que les anticorps en question ne sont pas uniquement anti-VIH, mais anti-beaucoup de chose et donc, qu'il n'ont pas de valeur pour estimer que le VIH a été isolé. Un poil moins baltringue que le docteur Philippe, mais pas trop renseigné le docteur Dupagne. Mais, ce n'est pas étonnant. Je vois très bien le comportement du genre "Moi, le docteur Dupagne, fort de toute la science médicale moderne, je n'ai eu besoin que d'aller voir 10 minutes le site sidasante pour avoir 100 arguments définitifs contre les dissidents. Trop facile pour moi". C'est un trait de caractère assez courant chez pas mal de médecins qu'on peut rencontrer sur Internet et qui défendent de bonne foi les thèses officielles contre les thèses dissidentes : ils aiment se la jouer talent facile. Donc, pas besoin d'étudier en profondeur les thèse adverses. Ils aiment à croire que 10 minutes leur suffise. Grave erreur de sous-estimation de l'autre. Il faut dire que quand on ne se prend pas pour de la merde, comme le font beaucoup de médecins, on a tendance à prendre les autres pour quantité négligeable, des gens qui ne valent même pas 1 heure d'efforts de lecture et de réflexion (surtout que là, 10 heures ne seraient pas inutiles). Par ailleurs, les médecins sont en général plutot fainéants intellectuellement (sinon, ils réfléchiraient plus et se seraient rendu compte depuis longtemps qu'il y a bien des choses qui ne vont pas dans leur science). Ca va leur faire tout drole, un jour ou l'autre, quand ils se rendront compte qu'ils ont tort. Non, docteur Dupagne, la messe n'est pas dite du tout.
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