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aixur

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Tout ce qui a été posté par aixur

  1. Oui, comme quoi, le moindre truc un peu au niveau du cerveau, des ganglions un peu gonflés, et avec un médecin un peu excité, hop, un petit test de toxoplasmose. Vu que presque 70 % des gens réagissent positivement aux tests sanguins de toxoplasmose, et vu que les médecins considèrent qu'un petit mois de bactrim ça n'est pas dangereux, ben, dans le doute, même si selon leur propres théories, il n'y a très probablement plus présence du microbe depuis longtemps, ils prescrivent une petite cure de bactrim. Enfin, si en plus, un autre médecin dit que le bactrim ne détruit pas le microbe, là, ça tombe encore plus dans le ridicule. A mon avis, tu n'avais pas du tout de toxoplasmose, mais certainement une mauvaise circulation des fluides au niveau de la tête, spécialement des fluides du système lymphatique (d'ou ganglions, yeux irrités, et léger mal de tête). Et peut-être une alimentation trop riche à ce moment là. Peut-être aussi d'autres causes ayant entrainé cette mauvaise circulation et le bouchage des ganglions. A voir. Sinon pour les effets du bactrim, ça va dans le sens de ce que je pensais et que confirmait rock en rock à propos des notices du médicaments parlant des effets secondaires. Ca a l'air d'attaquer le cerveau. Probablement que chez d'autres personnes, ça attaque le cerveau d'une façon plus sournoise, sans douleur.
  2. Ca m'étonnerait que dans le cas de ton conjoint, la séropositivité soit due aux vaccins. Parce que tu as dit dans un message précédent qu'il avait fait 2 tests VIH en 1993 à son retour de Yougoslavie et qu'ils étaient négatifs. Donc, les vaccins auraient du rendre ton conjoint positif en 1993, pas seulement en 1995. Personnellement, je vois plus le fait que son système lymphatique était encombré comme cause de la réaction positive au test VIH que le vaccin. C'est vrai qu'on dit que les vaccins agissent parfois des années après, mais, l'encombrement du système lymphatique me parait plus direct comme cause. Peut-être que les vaccinations ont participé à quelques années de distance au gonflement des ganglions. Ce n'est pas impossible. Mais le fait qu'il était assis toute la journée et qu'il est assez viandard est déjà suffisant en soit pour avoir provoqué le gonflement des ganglions.
  3. Ben c'est simple, montrer une photo d'une particule de la taille d'un retrovirus ne suffit pas, il faut faire tout un travail par ailleurs pour prouver que la particule est bien un retrovirus et dans le cas présent, qu'en plus, c'est un retrovirus pathogène. Or, ce travail n'a pas été fait. Déjà, rien que le travail pour prouver que ce qui a été photographié est bien un retrovirus n'a pas été fait. Pour dire qu'on a isolé un virus, il faut faire une purification de la culture qu'on suspecte de contenir le virus (culture qui vient d'un échantillon d'une personne malade). C'est à dire qu'on filtre la culture pour ne retenir que les particules de taille virale. Or, en 1983, rien que cette purification n'a pas été faite. Donc, en 1983, on ne pouvait clairement pas dire qu'on avait isolé un virus. Ensuite, ce n'est pas suffisant d'avoir purifié, ce qui est important, c'est ce qu'on obtient. Dans la culture purifiée, il faut qu'il y ait à 99 % des particules de même taille et même forme pour dire qu'on a bien un virus. Or, en 1997, il y a bien eu une purification qui a été faite, mais justement, les particules différaient les unes des autres en taille et en forme. Donc, la plupart des particules qu'il y avait devaient être des débris cellulaires. Donc, là encore, on ne pouvait pas dire qu'on avait isolé le virus. Donc, on a selectionné une partie de la photo, et on dit que 4 ou 5 parmi les nombreuses autres particules qui s'y trouvaient étaient le virus VIH. Mais, comme vu plus haut, la photo ne veut rien dire. Donc, il n'y a pas de photo du VIH. Donc oui, toutes les photos qui présentent le VIH sont fausses. Bon, mais, après tout, on pourrait se dire qu'on n'a tout simplement pas trouvé le bon microbe et qu'il y a quand même une maladie transmissible. Mais les statistiques, les taux officiels de contamination (extrêmement bas), l'évolution du nombre de séropositifs, la natalité et la mortalité en Afrique etc..., ne plaident pas du tout en faveur d'une maladie transmissible. Ensuite, l'évolution de la maladie chez ceux qui sont censés être séropositifs ne plaide pas du tout non plus en faveur d'une maladie microbienne détruisant le système immunitaire. Donc, ça commence à faire beaucoup de choses contre l'hypothèse du virus tueur. Enfin, effectivement, l'AZT à haute dose engendre des effets iatrogènes identiques à ceux qu'on attribue au VIH. Mais, il ne s'agit pas de perte d'immunité ; dans le cas de l'AZT, il s'agirait plutot de stress oxydatif. Il y a d'autres médicaments qui engendrent du stress oxydatif comme les poppers (un drogue), des antibiotiques comme le Bactrim, etc... Et il y a des médicaments qui ne font pas qu'engendrer un stress oxydatif, mais engendrent d'autres phénomènes comme ceux que j'ai décrit dans "toxoplasmose et séropositivité" (des attaques cérébrales). Depuis 1995 et l'introduction des trithérapies, la mortalité a beaucoup diminué parce que 1) la dose d'AZT a été très fortement diminuée 2) comme la montré ici Cheminot, un autre médicament composé de la molécule 3TC est en fait un antioxydant puissant (un analogue du glutathion si je me souviens bien). Donc, les doses de médicaments dangereux sont beaucoup moins léthales et en plus, on donne un contre-poison (le 3TC). Et en plus de tout ça, comme il s'agit de cocktails, on modifie la quantité, voir on supprime certains médicaments composant le cocktail dès qu'il y a intolérance pour les remplacer par d'autres. Ce qui fait que les séropositifs sous traitement arrivent rarement au point de rupture de tel ou tel médicament. Enfin, on fait depuis le début des années 2000, des arrêts thérapeutiques souvent assez longs (1 an, voir 2 an, voir plus, selon les résultats des examens sanguins). Là aussi, ça évite d'arriver au point de rupture. C'est ce qui motive les dissidents du groupe de Perth ou comme Stefan Lanka à dire qu'il n'y a tout simplement pas de virus VIH et pas de microbe tueur, mais des prises de substances dangereuses (prise de drogues comme les poppers ou autres drogues engendrant un stress oxydant et prise de médicaments dangereux à hautes doses comme l'AZT). Je ne pense pas qu'il y ait volonté de controler la démographie. En tout cas, si c'était la volonté à la base, c'est loupé. Parce que les Africains et autres pays à forte natalité continue à avoir une croissance démographique très importante (d'autant plus l'age moyen où on meurt augmente). Pas mal de dissidents pensent que l'industrie du cancer a été très heureuse de recycler ses théories du cancer causé par des rétrovirus (théorie qui avait fait l'objet d'investissement énormes dans les années 70 et qui était de plus en plus critiquée à la fin des cette décénie) dans celle d'un hypothétique SIDA (hypothétique parce qu'il n'y a manifestement pas immunodéficience) causé par un rétrovirus. A ce qu'il parait, tous les labos qui travaillaient sur le cancer causé par des rétrovirus ont été ravis de la "découverte" du VIH.
  4. Et ça se traduisait par quels symptomes ta toxoplasmose en mai 2001, Vitosi ?
  5. Il faut se méfier des photos et des mots utilisés pour décrire ce qu'on y voit. Les oocystes, ce sont des kystes. Ce ne sont pas les protozoaires eux-même, mais ça contient le protozoaire, grosse différence. Donc effectivement, on doit voir des photos de tissus cérébraux avec des kystes. Mais, est-ce que ces kystes contiennent effectivement le protozoaire ? Ca c'est loin d'être sur. Donc, les photos ne suffisent pas. Il faudrait qu'il y ait confirmation que ce sont bien des oocystes contenant des protozoaires de la toxoplasmose. Parce que des kystes dans le cerveau, il peut y en avoir sans présence de toxoplasmose. La taille des ces protozoaires est d'environs 3 à 7 µ (1 µ = un millionième de mètre, 10^-6 mètres, un millième de millimètre). C'est en fait de la même taille qu'une bactérie (entre 1 et 10 µ). Et les kystes font entre 10 et 200 µ (soit au maximum 1/5ème de millimètre). En quoi c'est important ? Personnellement, je pensais qu'il s'agissait de trucs plus gros que ça (aussi bien au niveau de la taille de la bestiole que de la taille du kyste). Parce que quand on parle de kystes qui peuvent causer la mort d'une personne via des hémorragies cérébrales, ça fait imaginer des kystes assez gros. Mais, s'il s'agit des bestioles de la taille de bactéries, et que donc, conformément à la logique, les kystes sont minuscules, alors ça change beaucoup de choses. Parce qu'on voit très mal comment des trucs de cette taille pourraient déglinguer le cerveau. A moins, bien sur, qu'il y en ait des milliards et que ça crible littéralement le cerveau de kystes, déformant ainsi complètement les tissus du cerveau. Et ça change tout aussi au niveau de la détection des kystes. Parce que, autant des kystes de taille importante doivent éventuellement être visibles, autant des trucs aussi microscopiques, ça ne doit pas être facile à voir au scanner. Et ça peut être n'importe quoi (et même de simples artefacts). Des kystes au cerveau, il y en a pour d'autres choses, et j'ai lu des témoignages disant que ça allait et venait (remarque peut-être que, du coup, là aussi ce sont des artefacts, ce qui expliquerait pourquoi ça va et ça vient). Sinon, en refaisant quelques recherches sur la maladie en question, je suis tombé sur un un truc que j'avais déjà du voir, mais qui n'avait pas fait tilt sur le coup : en fait, les tests concernant la toxoplasmose sont apparemment des tests d'anticorps. Donc, probablement des tests genre Elisa, Werstern blot, etc... Et je vois gros comme une maison le fait très probable que les antigènes recherchés ne soient pas spécifiques au protozoaire de la toxoplasmose. Donc, tout le monde doit posséder des anticorps réagissant à ces antigènes. Comme ce sont des tests avec une dilution probablement assez faible, énormément de monde doit réagir positif au test. Et effectivement, c'est le cas. Je crois qu'on estime que plus de 50 % (jusque à 70 %) des gens sont positifs (donc, qu'ils l'ont, ou l'ont eu). Comme ce sont des tests qui ne sont pas noir/blanc (il y a quelque chose ou pas) mais des tests avec seuil (il y a toujours quelque chose, mais c'est à partir d'un certain seuil qu'on déclare la personne positive), le seuil choisi doit expliquer qu'il y ait 20 ou 30 % des gens qui soient négatifs (avec quelques autres raisons éventuelles). Donc, c'est la même chose que pour le VIH certainement, tout le monde est positif, sauf que là, on dilue beaucoup moins, et donc, une très grande part de la population est positive. Du coup, impossible de savoir avec ces tests s'il y a autant de personnes qui sont ou ont été infectées que la médecine officielle le pense. En ce qui concerne la zone affectée, moi j'ai cru comprendre que ça affectait tout le cerveau (enfin, ches les immunodéprimés). Il ne m'a pas semblé qu'on parlait seulement le cerebellum. Sinon, pour la relation entre ta dépression et la toxoplasmose, normalement, si le truc est si dangereux, ça n'aurait pas du entrainer simplement une dépression, mais carrément comme tu l'as évoqué, tes facultés intellectuelles, ta mémoire, ta coordination musculaire, etc... D'ailleurs, si ça n'affectait que les gens immunodéficients, comme la théorie officielle le défend, tu aurais tu avoir bien d'autres maladies microbiennes en même temps que ta toxoplasmose. En fait, ça a du se passer pour toi comme pour beaucoup de séropo. On savait que tu étais séropo. Tu disais que tu étais dépressif. Pour le médecins, hop, explication tout trouvée : c'est la toxoplasmose. Comme la majorité des gens sont positifs à la toxoplasmose, ton test avait toutes les chances d'être positif. Les médecins n'ont pas cherché plus loin. Ensuite, les médicaments contre la toxoplasmose t'on peut-être attaqué le cerveau et provoqué une petite hémorragie cérébrale qui a entrainé une hémiplégie.
  6. En regardant Trainspoting hier soir, et en voyant qu'un des personnages meurt de toxoplasmose, ça m'a fait penser à un truc à propos de cette maladie qu'on relie à la séropositivité. Jusque là, je n'avais pas vraiment tilté sur le mécanisme complet de lien entre la toxoplasmose et la séropositivité. Quand je ne sais plus qui m'avait dit que la mort de Mark, ca pouvait être de la toxoplasmose, je n'avais pas trop eu le déclic sur le sujet dans son ensemble. Idem pour le cas de Jimmy. Mais là, tout d'un coup, ça a fait tilt. En fait, je me demande si on ne peut pas généraliser ce qui est arrivé à Mark aux accidents attribués à la Toxoplasmose. Pas dans le sens que Mark aurait eu la toxoplasmose bien sur, mais dans le sens inverse, dans le sens que les accidents attribués à la toxoplasmose seraient en fait du à ce qu'a eu Mark à mon avis : à savoir la prise d'antibiotiques chez quelqu'un de maigre. Antibiotiques qui attaqueraient les parois des vaisseaux sanguins et provoqueraient des hémorragies crébrales. Ce qui a du arriver, à mon avis, c'est qu'au début des années SIDA, on devait donner assez fréquemment des antibiotiques aux drogués, comme aux homos (j'avais lu qu'ils étaient assez gros consommateurs d'antibiotiques), comme aux séropositifs sous AZT. Du coup comme ceux ci sont en général, soit à leur poids de forme (les homos parce qu'ils font attention à leur ligne), soit très maigres (les drogués parce qu'ils mangent peu, et pour ceux sous AZT, idem, parce que je crois me souvenir que l'AZT provoquait une grosse perte d'appetit), ben, il est bien possible qu'il y ait eu des cas relativement fréquents d'hémorragies cérébrales. Du coup, pour les médecins, comme les séropositifs étaient supposés être en état d'immunodéficience, ces hémorragies cérébrales ne pouvaient être dues qu'à une maladie microbienne ou parasitaire. Ils ont cherché une maladie qui pourrait éventuellement donner ces symptomes en ayant de l'imagination et sensée être assez répandue dans la population, et ils ont trouvé une maladie qui d'habitude ne provoque que très rarement des symptomes et des symptomes peu graves (la toxoplasmose) et hop, c'est devenu l'explication du problème. Puis, deuxième étape, les médecins ayant décrété que la toxoplasmose était dangereuse chez les séropositifs, on est passé des cas réels (c'est à dire ceux pour lesquels il y avait vraiment des symptomes tangibles) aux cas imaginaires. Il fallait bien trouver des cas de toxoplasmose avant les hémoragies cérébrale. Donc, on a mis au point des tests tous plus bidons les uns que les autres pour dire "vous voyez, on trouvé la toxoplasmose chez beaucoup de séropositifs. Donc, ce que nous disions sur les hémorragies cérébrales causées par la toxoplasmose étaient vraies". Evidemment, ces cas de toxoplasmoses sont quasiment toujours sans aucun symptomes (sauf si c'est une explication à postériori, genre la personne séropositive esquintée par d'autres médicaments qui attaquent le cerveau). Je dis quasiment toujours, parce qu'on donne quoi pour soigner ces toxoplasmoses ? Des antibiotiques. Donc, le médicament provoquant l'effet, on pourra trouver régulièrement quelques cas de personnes ayant eu des attaques cérébrales et qui permettront aux médecin de dire que c'est la preuve qu'il y avait toxoplasmose et que celle-ci peut tuer.
  7. Ben, le problème, c'est que quand j'ai demandé à Pierre des précisions sur le candida, il a bien précisé que, selon lui, c'était transmissible en l'absence de terrain altéré. Que ça la transmission progressait à la vitesse grand V (déjà 1/3 des français contaminés) et qu'au niveau des symptomes c'était carrément grave. Et en plus, ce n'est pas un truc dont on peut se débarasser facilement, comme une pneumonie, ou autre. Non, c'est le truc vicelard dont on met apparemment des mois, voir des années, à se débarasser en se soignant (parce que si on ne se soigne pas, alors là...). Bref, c'est quasiment le SIDA bis, mais pas à cause du VIH, à cause du candida. Alors que la dissidence, jusque là, c'est : 1) il n'y a pas de VIH ou le VIH s'il existe est inoffensif 2) Donc, quelqu'un diagnostiqué séropositif qui ne s'esquinte pas la santé avec des drogues ou des médicaments et qui n'est pas en état de malnutrition n'a aucune raison d'avoir de maladie particulière. Avec la thèse de Pierre, ben, si, on peut être malade en l'absence de ces causes là. 3) si on a eu des maladies, vu qu'on sait soigner la plupart des maladies microbiennes rapidement, il est tout à fait possible de s'en débarasser assez vite, soit avec l'aide de la médecine classique, soit avec l'aide des médecins douces (sujet qui n'est pas tellement approfondi sur le site. Normal, ce n'est pas le sujet du site). Et une fois ceci fait, il n'y a plus de raison de retomber malade, sauf de maladies banales comme des rhumes, grippes, gastro, etc... Donc, la thèse de Pierre va complètement à l'encontre de la philosophie du site. Ce serait quasiment mettre une variante de la thèse officielle sur le site. Dans ce cas là, pour être oecuménique, je pourrais aussi mettre la thèse selon laquelle le VIH est causée par les vaccinations en Afrique ou qu'il a été inventé par les labos américains. Ca achèverait de faire du site un grand n'importe quoi. Les gens ne comprendraient plus rien. Sidasante, ce n'est pas site qui présente différentes thèses dissidentes sans prendre parti comme onnouscachetout et où chacun se fait ensuite un avis. C'est un site qui défend une thèse. Libre aux gens ensuite d'y adhérer ou de la refuser. Mais du coup, on ne peut pas y mettre plusieurs thèse contradictoires différentes. Ca donnerait l'impression qu'on ne croit pas à ce qu'on dit. Et je n'ai pas l'impression de trahir l'esprit de Mark, puisque lui-même avait très certainement connaissance de ces théorie du candida, vu qu'il était en contacts réguliers avec Emma Holister qui a un site sur le SIDA et le candida. S'il n'a jamais intégré ces théories dans son site, c'est qu'il ne devait pas trop y croire.
  8. Très bien ce powerpoint. Quand ce sera fini, je le mettrais sur sidasante. Enfin, si tu es d'accord évidemment.
  9. Rock en rock, Il y a eu au moins un média qui en a parlé. Et c'est d'ailleurs grace à lui que je suis là (et beaucoup grace au site de Mark évidemment, qui a en quelque sorte transformé l'essai) : c'est le journal Science et avenir. En janvier 2002, ils ont publié un article sur les hérétiques de la science, et notamment sur Duesberg (et l'article n'était pour une fois pas du tout une charge contre la thèse dissidente). En le lisant, j'étais un peu couci couça, quoique fortement interloqué. Mais quand j'ai lu à la fin de l'article qu'il y avait 600 scientifiques qui avaient rejoint Duesberg, là, ça a fait tilt. Il me semblait clair que si 600 scientifiques l'avaient rejoint, c'est qu'il y avait forcément quelque chose. Bon, c'est sur qu'UN article dans UN journal, on ne peut pas dire que ce soit énorme. Partout ailleurs, ça a été le black-out total à ce que j'en sais. Cela dit, concernant les forums des sites officiel, je trouve au contraire que ça bouge pas mal. Il y a plein de gens qui interviennent dans le sens des thèses plus ou moins dissidentes diverses (vaccins, alimentation, produits chimiques, etc...). Et il y a plein de gens qui sont réceptifs. Sur les forums Doctissimo (ou j'avais le pseudo Alain1), j'ai été étonné qu'il y ait autant de monde remettant en cause l'interêt et l'inocuité des vaccins dans la section du même nom. Et j'ai été étonné de la réceptivité des gens. Quelque part, la censure montre bien qu'il y a de plus en plus de gens qui se posent des questions sur ces questions et que les partisans des thèses officielles n'ont pas de réponse. Donc, je trouve que depuis qu'il y a Internet, et surtout, les forums, les mentalités bougent. Ca ne bouge jamais assez, ni jamais assez vite, mais ça bouge, c'est indéniable. Il y a seulement 10 ans, critiquer les vacccins était inconcevable, alors que maintenant, plein de gens se posent des question ; manger végétarien, c'était un truc de secte, alors que maintenant, c'est limite à la mode ; l'industrie pharmaceutiques avait encore une excellent aura, alors que maintenant, presque tout le monde est conscient qu'ils sont pourris jusque à la moelle ; etc, etc... D'ailleurs, ici même, il y a un peu plus d'un an, on était seulement 5 ou 6 dissidents du SIDA environ. Et maintenant, on est près de 40. Pas mal quand même.
  10. Oui, le dernier en date (enfin, à ma connaissance), c'est celui "faites vous confiance à la médecine". J'ai simplement demandé à un modérateur qui affirmait que le cancer non traité aboutissait automatiquement à la mort s'il tirait ça de plusieurs études l'ayant montré catégoriquement ou si ça lui semblait tellement évident qu'il n'avait pas cherché à vérifié. Pouf ! Fermeture du topic. En tout cas, je trouve que c'est une très bonne initiative de la part de stougard. Plusieurs sites sur le sujet ne peuvent pas faire de mal.
  11. D'ailleurs, quand on se rend compte que les protéines de ce virus bidon qu'est le VIH ne sont pas spécifiques, on peut se poser la question de savoir s'il y a vraiment une ou des protéines caractéristiques pour les autres virus. Si ça n'était pas le cas, alors, ça remettrait en cause le principe du système immunitaire tel qu'on nous le décrit (un truc qui s'attaque spécifiquement à chaque virus et bactérie et qui a en mémoire ces protéines et qui ne serait pas capable de les éradiquer s'il ne les a jamais rencontré).
  12. S'il n'y avait que la peur de la maladie en jeu, évidemment que je le ferais. Sans aucun problème. D'ailleurs, il faudrait qu'on soit assez bizarre pour être sur ce forum depuis plusieurs années et continuer à avoir peur de se faire contaminer par un virus auquel on ne croit plus. Ce serait absurde. Maintenant, dans la réalité, c'est plus compliqué que ça. Parce qu'il n'y a pas que la peur du virus en jeu. Il y a la peur de l'ostracisme des gens. Si tu couche avec une nana séropositive, ben, si après tu veux coucher avec d'autres nanas (séronégatives, elles), et que celles-ci savent ce qui s'est passé avant, il y en aura pas mal qui diront non. Donc, dans la réalité, ça pose un problème au niveau social. Et vu l'hystérie de gens sur ce sujet, ce n'est pas un petit problème.
  13. Sinon, je pensais à un truc il y a quelques jours. Bon, le truc un peu basique quand on sait ce qu'on sait. Mais il est bon de reprendre les choses basiques parfois. En fait, il n'y a probablement jamais eu d'étude montrant que sur X personnes séropositives 100 % étaient sures de mourir. D'ailleurs, on pourrait faire la même réflexion pour le cancer.
  14. Bienvenue abyssen, Oui, il ne se serait pas fait opérer ton oncle, ou sinon, il n'aurait pas pris des médicaments, avant d'être atteint de la maladie d'alzheimer ?
  15. Moi non plus, ça ne passe pas.
  16. Le poids de forme que quelqu'un de 1m72, c'est plutot 57 kg. Donc, il était en dessous de son poids de forme de 3 kg. Ce qui veut dire à contrario qu'avant, (il faisait 17 kg de plus, donc 71 kg) il était au dessus de son poids de forme de 14 kg. Il était loin d'être obèse, mais quand même, il était en surpoids. Mais bon, c'est vrai que la raison faisant qu'il ne s'alimentait plus n'était pas forcément une réaction du cerveau, mais la difficulté à avaler. Donc, là dessus, effectivement, la cause n'était pas celle que je pensais. Et c'est vrai que le développement d'une tumeur à cet endroit, vu son mode de vie, est étrange (à moins qu'il ait pris des médicaments à ce moment-là). Cela dit, à mon avis, ce jeûne forcé a été positif puisque ça a du éviter que la tumeur ne s'étende plus rapidement. Ensuite, je ne dis pas que la tumeur n'était pas là. Je dis qu'elle aurait pu disparaitre d'elle-même. Cela dit, effectivement, ça dépend du développement de la tumeur. Si c'est trop développé, c'est foutu, l'organisme n'est alors plus capable de réparer les chairs endomagées et le truc se propage de proche en proche, vers les ganglions lymphatiques à proximité, puis aux autres. Eventuellement, ça peut aussi stagner, avec une tumeur qui n'augmente pas, mais ne disparait pas non plus. Donc, là, effectivement, il vaut mieux opérer. Ce que je pense, c'est que lorsque le système lymphatique se bouche, au centre de la tumeur, il y a les cellules revenues à une forme primitive de développement (c'est la théorie de Heinrich Kremer). Elles se développent comme des bactéries, indéfiniment (c'est la tumeur en elle-même). Ceci parce qu'elles ne sont plus alimentées en oxygène et nutriments. A mon avis, elles peuvent revenir à une forme de développement normal lorsque l'oxygène et les nutriments leur sont à nouveau fourni. Il faut donc que le flux sanguin puisse accéder à ces cellules. Ce qui va être fait via la création de canaux sanguins et lymphatiques dans la chaire tumorale (c'est un processus classique dans les cancers). Une fois alimentées à nouveau en oxygène et nutriments, les cellules vont, à mon avis, arrêter de se multiplier. Ensuite, l'organisme va sculpter l'ensemble pour que la configuration redevienne à peu près comme avant. Tout le problème, c'est que la zone tumorale ne soit pas trop étendue. Et également, si elle ne l'est pas trop, que la personne ne continue pas, par son mode de vie, à boucher les canaux lymphatiques. Or, vu que tu n'avais pas l'air de parler d'une tumeur énorme, et vu que ton père avait perdu pas mal de poids, je pense que la tumeur était suffisamment petite et le corps suffisamment nettoyé pour que l'organisme arrive à se débarasser seul de la tumeur. Et ça n'est pas une simple vue de l'esprit, puisqu'il y a de nombreux cas de personnes qui développent des tumeurs ou des cancers qui disparaissent seuls.
  17. Babo, Pour ton père, c'est le même principe que pour ton conjoint : une surcharge du système lymphatique (la différence avec le cas de ton conjoint, c'est que ton père ne restait probablement pas assis 10 heures d'affilées). S'il a perdu 17 kg, c'est qu'il devait être en surpoids. Donc, les trucs gras et protéinés qu'il ingérait et qui le faisaient grossir ont du finir par lui boucher des vaisseaux lymphatiques près de la gorge (donc : lymphome). D'où la douleur vive à cet endroit. Le fait qu'il ait perdu 17 kg n'était pas mauvais, bien au contraire. C'est le cerveau qui, en diminuant l'envie de manger, permettait au corps de se purger. Exactement comme quand on a un gros rhume (qui est aussi une maladie de surcharge avec un processus d'élimination), on ne mange quasiment rien. Le cerveau décide d'alimenter beaucoup moins le corps, le temps que celui-ci se purge de tous les déchets qu'il a en surplus (d'où le nez qui coule et la transpiration). En continuant à maigrir, le problème du lymphome serait très probablement réglé tout seul. Et, le jour ou le problème aurait été réglé, il se serait remis à avoir faim. Et comme pour ton conjoint, le fait que le corps soit surchargé en déchets augmentait fortement la probabilité qu'il réagisse positif au test VIH, puisque, comme je l'ai dit dans le message précédent, le test mesure en réalité la quantité de particules servant au nettoyage de l'organisme. Résultat ton père est "soigné" depuis 8 ans pour un virus et une maladie qu'il n'a pas.
  18. Non, rien ne s'emballe. Le nombre de CD4 ne signifie rien. Si ça signifiait quelque chose, ton conjoint serait mort à l'heure qu'il est. Il serait mort en une ou deux semaines d'une maladie microbienne foudroyante. Physiquement, il n'avait pas l'air au 36ème dessous. Il était un peu en dessous de son poids de forme, mais, de 1 ou 2 kg maximum. Donc, rien de bien grave. Ca a l'air surtout au niveau psychologique qu'il était au 36ème dessous. Ca se comprend d'ailleurs. Quand on vous annonce que vous avez des résultats qui signifient que vous allez mourir dans éventuellement 1 semaine et maximum quelques mois, forcément il y a de quoi être complètement à la dérive psychologiquement. Concernant son taux de CD4 très bas, il faut bien se souvenir que le taux mesuré est un taux sanguin et que les CD4 se trouvent à 98 % dans les tissus lymphatiques et que les 2 % qui se trouvent dans le flux sanguin peuvent migrer dans les tissus lymphatiques pour un oui ou pour un non. Un simple stress peut les faire migrer. Donc, ça ne signifie rien concernant la quantité réelle de CD4 dans l'organisme. Une explication possible de ce taux bas est que l'arrêt de la trithérapie à conduit à un rattrapage de la part de l'organisme sur l'élimination des dechets. Déchets qui seraient restés en partie contenus dans l'organisme durant la trithérapie (en partie seulement, sinon, évidemment, on tombe malade). Lors de la phase de rattrapage, les déchets circulent du coup en plus grande quantité dans le système lymphatique, se fixent au CD4, qui sont, à mon avis, comme des agrégateurs de déchets. Les CD4, collés au déchets sont alors indectables par les examens sanguins, même s'il sont présents. Du coup, le taux de CD4 sanguin est déclaré bas alors qu'il y en a éventuellement toujours autant dans le flux sanguin. Mais, il peut y avoir d'autres explications, comme le fait que le rattrapage conduit à l'utilisation des CD4 uniquement dans les tissus lymphatiques. La prise de médicament autres que les trithérapies peuvent aussi influer sur le taux de CD4. Donc, les causes de variation peuvent être multiples et variées. Mais bon, ça n'a pas grande importance, vu que ça ne signifie rien, ni pour le taux de CD4 réel dans le corps, ni pour la santé.
  19. Babo > Bienvenue parmi nous. Concernant ton compagnon, voilà ce que je pense. En 1986, il n'avait aucune tréponématose (je veux parler de la maladie, pas de la présence ou non du tréponème). Les érythèmes qu'il a développé au pied devaient tout simplement être dus à la transpiration des pieds (s'il faisait son service militaire, peut-être qu'il devait se trimbaler en plein cagard avec de grosses chaussure et que, du coup, il transpirait des pieds. Ou peut-être qu'il transpirait naturellement des pieds et que la macération provoquait des irritations au niveau des pieds). Une fois revenu en France, dans un pays moins chaud, les symptomes ont disparus. Logique. Concernant la positivité au tréponème, le test doit être aussi bidon que pour le SIDA. On doit pouvoir être déclaré positif selon certaines conditions à mon avis (parce que, comme pour les protéines supposées spécifiques du "VIH", beaucoup de monde doit être positif au tréponème). Pendant 9 ans, il n'a rien. Normal. Il est en parfaite santé. L'épisode des ganglions gonflés en 1995. A mon avis, ça s'explique simplement aussi. Les ganglions font partis du système d'élimination des déchets qu'est le système lymphatique (un circuit de vaisseaux, comme les vaisseaux sanguins, mais servant à éliminer les déchets. C'est un système veineux dont le flux est beaucoup moins dynamique que celui du système sanguin). Tu dis que ton conjoint conduisait parfois 10 heures d'affilées. A mon avis, rester assis aussi longtemps d'affilé n'est pas bon pour le système lymphatique. Les fluides de ce système veineux ralentissent, voir stagnent. Du coup, les ganglions qui, en simplifié, sont comme des petites usines de traitement des déchets, sont surchargés, se bouchent, et gonflent. Or des vaisseaux lymphatique, il y en a des gros, au niveau des aisselles et du cou. Comme c'est un problème mécanique, tous les ganglions ne se bouchent pas partout dans le corps, mais seulement là où le flux circule le plus mal. Je le constate sur moi. Je joue rarement sur PC, mais quand je le fais, je joue à un jeu de stratégie qui me fait rester 3 ou 4 heures assis. Je sens alors très bien le fait que le la circulation du système lymphatique a été perturbée. D'ailleurs, j'ai désormais très rarement de l'acné au niveau du visage. Mais, quand je joue, c'est en général à ce moment-là que j'en ai. Et les boutons sont tous le long du vaisseau lymphatique droit qui remonte sur le visage (je tiens ma souris de la main droite). S'il s'alimentait mal, ça serait encore une cause supplémentaire de bouchage des ganglions. Tu dis qu'il sautait fréquemment des repas. Mais, les routiers n'étant pas connus pour être végétariens, peut-être qu'après les 10 heures de conduite, il faisait des repas assez importants avec pas mal de cochonneries grasses et protéinées qui encrassent le système lymphatique. Il faudrait voir le poids qu'il faisait à ce moment là. Si, à ce moment là, il avait grossi, ou s'il avait un poids supérieur au poids de forme, ça aurait alors contribué au bouchage des ganglions. La leucoplasie chevelue peut aussi s'expliquer par ce biais je pense (surtout s'il bouffait des produits fortement protéiné et gras). Sa séropositivité à de multiples germes est logique aussi. Plus on a de déchets dans le corps, plus les tests risquent de réagir positifs. Parce que les anticorps mesurés sont simplement des particules servant au nettoyage de l'organisme. Et les ganglions signifiaient que ton mari avait pas mal de déchets en attente d'élimination. A mon avis, il aurait suffit de chercher pour le trouver positif à d'autres germes (résultats tout aussi bidons que ceux pour le VIH, le tréponème et l'herpes bien sur).
  20. aixur

    Bye, bye, ...

    Salut rock, Dommage que tu t'en ailles. C'était bien intéressant ce que tu disais sur l'Afrique. Mais bon, je suppose que ce n'est qu'un au revoir. Bonne route à toi.
  21. > Pierre : Donc, pour toi, ce n'est pas contagieux. Donc, quelle raison y'aurait-il de voir une épidémie de candidoses dans les prochaines années, si ça n'est pas contagieux ? Bon, j'ai bien compris, que, selon toi, les raisons d'avoir une candidose ont l'air d'être multiples et variées et que, du coup, un peu n'importe qui pourrait avoir une candidose. Mais bon, quand même. Dans la mesure où les conditions de vie n"ont pas bougé tellement depuis 15 ans, je ne vois pas pourquoi il y aurait plus de candidoses maintenant qu'il y a 15 ans. Et puis, à la base, l'origine de la candidose est apparemment chimique selon toi. Donc, tu fais une concession énorme à l'hypothèse de la chimie comme origine ultime du truc. Ce qui nous différencie, c'est que tu penses qu'à partir d'un certain moment, le candida va avoir tellement proliféré que le corps perd le controle et qu'il ne peut pas y avoir de retour en arrière dans sa prolifération. Il faut alors détruire le candida. Réparer le terrain ne suffira pas. Bien sur, qu'il se multiplie ne serait pas grave s'il n'était pas dangereux (autre point sur lequel nous diffèrons). Toi, tu nous dis qu'il pompe le sucre (ce qui fatigue) et qu'il émet des spores qui vont favoriser les infections. C'est une façon de voir les choses. Le problème c'est que dans cette hypothèse où le corps perd le controle, selon ta théorie, le développement du champignon stagne. Il n'arrive pas à détruire la paroi intestinale. Il ne se développe donc pas au détriment des tissus sains. Il arrive à se maintenir mystérieusement au niveau qu'il a atteint lorsque les produits chimiques ont favorisé sa multiplication. Pas très logique ça. Soit il continue sa multiplication dans les tissus sains, soit il régresse quand ceux-ci se sont réparés. Mais, on ne voit pas pourquoi il stagnerait dans son développement. Si on considère que ce qui fait prospérer le champignon, ce sont les cellules mortes, le problème, c'est "de quoi se nourrit le champignon ?". S'il stagne, ça veut dire que le terrain n'arrive pas à se réparer et continue à sécrèter des cellules mortes. On ne voit pas pourquoi le terrain n'arriverait pas à se réparer alors que ces champignons sont déjà présents et que, d'habitude, ils n'attaquent pas le terrain. Pourquoi l'attaqueraient-ils ici ? A moins de les considérer d'emblée comme des ennemis. Mais, si ce sont des ennemis, même question, pourquoi ne se développent-ils pas d'habitude ? Pour moi, c'est nier les capacités autoréparatrices du corps. Avec cette vision, toute inflammation au niveau du système digestif devrait mener à une candidose selon cette théorie. Et on ne devrait jamais s'en remettre. Bien sur, on peut refuser l'idée que le champignon prospère sur les cellules mortes. Mais alors, il faudrait expliquer pourquoi il a commencé à se multiplier et pourquoi il se maintient, sans régresser ni progresser. Et pourquoi ces spores se maintiendraient-elles dans l'organisme ? Si on accepte l'idée que les champignons prospèrent sur la matière morte. S'il n'y a pas de matière morte, les spores ne doivent pas survivre. Donc, par manque de nourriture, les spores meurent et la quantité de champignons dans l'organisme reste à bas niveau. Si on refuse l'idée que la nourriture de ces champignons, ce sont les cellules mortes, il faut alors expliquer ce qui les nourrit. Et pourquoi ils ne se multiplient pas d'habitude. Ensuite, que les spores en surnombre fassent qu'on attrape plus facilement des infections quand le terrain est favorable, je n'y crois pas. Parce que les spores sont partout, même chez un individu sain. Et elles se développent à toute vitesse si le terrain est favorable. Donc, qu'à la base, il y ait 100.000 spores ou 1000, ça ne devrait rien changer parce que, vu leur vitesse de multiplication, elles atteindront de toute manière leur quantité maximale possible en peu de temps. Ca ne se jouerait qu'en terme de dizaines de minutes ou d'heures.
  22. Ben, ce n'est pas vraiment clair dans l'approche de pierre. Il dit : Donc, est-ce qu'il suppose que le candida est infectieux même en l'absence de terrain déterioré ou pas ? Ce qui en ferait une maladie épidémique ? Pas clair. Pas clair, mais j'ai l'impression que c'est ça. A mon avis, il pense que c'est infectieux.
  23. 1) Ca n'existe pas Question subsidiaire : si la personne est malade, c'est pour d'autres raisons* que l'attaque du système immunitaire par le VIH. Donc, à partir de ce moment-là, la personne fait ce qu'elle veut pour la maladie particulière qu'elle subit. Elle peut utiliser la médecine allopathique pour la maladie en question (pour une pneumonie si c'en est une, pour une gastro si c'en est une), si c'est en la médecine allopathique qu'elle croit. Elle peut utiliser la théorie du stress oxydatif, du candida si elle veut, de l'homéopathie, etc... Toujours pour la maladie précise qu'elle subit. Mais, en tout cas, il n'y a pas besoin de prendre de trithérapie, vu qu'il n'y a pas de virus VIH à combattre. *Autres raisons que la dissidence n'a pas forcément vocation a étudier, mais, elle l'a fait pour certaines. Donc, s'il y a eu inhalation de poppers ou prise de drogue ou d'AZT, il est clair que ce sont des substances dangereuses et que la maladie a des chances de provenir de là.
  24. C'est vrai que dans la mesure où je reprends le site, et où je suis un adepte de la théorie du stress oxydatif, ben, ce sera cette vision qui sera plutot privilégiée. En 2004, Mark n'avait pas apprécié que je dise que la capote ne servait à rien (à part à éviter de faire des enfants). Ben, je comprenais tout à fait qu'il ne mette pas ma vision des choses sur le site. Dans la mesure ou c'était son site, je n'allais pas lui imposer une vision qui n'était pas la sienne. Il n'aurait plus manqué que ça. Il n'allait pas non plus développer la thèse sur son site que le VIH existait et que c'était une création des labos US. Pourtant, on pourrait défendre l'idée, par oecuménisme, qu'il aurait du le faire. Ben non. Ca aurait été absurde vu sa vision des choses. Et puis, une vision centrée sur le stress oxydatif, c'est un peu toujours ce qu'à développé le site, via les articles des scientifiques dissidents. Duesberg et les autres défendent l'idée que ce sont les poppers, les drogues, les médicaments, l'AZT, qui sont responsables à la base des affections mises sous la dénomination de SIDA. Donc bon, ce n'est pas une découverte non plus que c'est cette vision qui domine sur ce site. Le site développe depuis toujours aussi le fait qu'il n'y a pas d'épidémie de SIDA. Or, avec la vision du candida, on retombe dans l'idée qu'il y a une épidémie qui pourrait être plus ou moins apparentée au SIDA. On retombe sur l'idée qu'il y a une maladie qui serait une sorte de SIDA light. C'est toute cette vision qui me gène dans la théorie du candida. On retombe dans la peur du microbe. Ben, pour ma part, c'est non. Mais, il y a des sites dissidents en français qui développent cette idée. Donc, c'était sans agressivité que je préconisais que l'article, si article il devait y avoir, devrait plutot être proposé là bas. En ce qui concerne le volet de la proposition de soin, de toute façon, sidasante n'est pas tellement un site préconisant des solutions. C'est surtout un site qui dénonce le mythe du lien VIH/SIDA. Donc, il n'y a jamais eu tellement de solutions de proposées, et ça devrait continuer à être le cas jusqu'à nouvel ordre. Je pense que c'est plus sage. Parce que, le problème, c'est que sinon, on tombe dans les visions de chacun. On devrait proposer l'homéopathie, le soin pour les candidas, pour le stress oxydatif, etc... Donc, les quelques pages assez évasives qu'il y a sur les soins devraient rester en l'état pour l'instant. Les proposition des soins seront l'apanage d'autres sites. Et il n'y a pas trop de souçi à se faire, parce que des sites proposant des conseils de soins alternatifs, il y en a des tonnes maintenant. S'il y avait un forum propre à sidasante, il n'y aurait aucun problème pour que les gens développent leurs interprétation du truc, leurs conseils de soins. Le forum serait libre comme il l'est ici. Mais, sur le site, non.
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