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aixur

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Tout ce qui a été posté par aixur

  1. Voilà enfin une répons de Candide sur le fond, et avec un vrai argument. Incroyable ! Comme quoi tout arrive. Bon, je vais voir de quoi il retourne. En attendant, attaque les autres points du texte que j'ai copier/coller. Ca devrait t'être extrêmement facile, vu que selon toi, c'est un tissu de mensonges. Edit : Ah oui, déjà, comme le dit le texte de la réfutation de la déclaration de Durban, 25 personnes seulement sur les 56 dont la séroconversion est documentée ont développée le SIDA. Donc, là-dessus, les dissidents disent vrais (le texte de la réfutation parle bien de personnes ayant développé le SIDA, pas de séropositifs). Et apparemment si les dissidents qui ont écrit le texte parlent de zéro cas, c'est parce qu'ils considèrent que les cas "documentés" sont considérés séropositifs dans l'exercice de leur fonction parce qu'on n'a pas pu trouver de meilleure explication. Ce qui veut dire qu'on n'est pas du tout sur à 100 % que les cas en question ont été contaminés a tel ou tel moment. Percutaneous exposure, ça ne signifie pas forcément qu'on connait le moment précis où ils se sont fait piquer, mais qu'ils ont pu être amené à être piqués dans l'exercice de leur profession. C'est très différent. Parce que dans ce cas, c'est une reconstruction a posteriori. Tandis que si on teste juste après une piqure, là, c'est plus convaincant. Ici, on n'a aucune preuve que le test a été fait juste après une piqure précise. Donc on reconstruit le scenario a posteriori en disant que c'est "probablement" une piqure qui a été faite il y a 1, 2, 3 ou 4 ans qui a causé la séroconversion. On reste dans le domaine de l'hypothèse et pas du tout de la chose sure et certaine. Eh oui, pauvre Candide, tu aurais du penser que les dissidents qui ont rédigé le texte ne sont pas des rigolos, et que s'ils ont sorti ça, c'est qu'ils avaient des arguments derrières. Tu aurais dû te douter que c'était un peu trop facile de pouvoir démonter cet argument de cette façon. Bon ben, j'attends tes attaques sur les autres points de l'extrait de la réfutation de la déclaration de Durban.
  2. Ouai, tout à fait, le séropo qui tombe sur ce topic, il y a de forts risques qu'il laisse tomber aussitot à cause du pourrissement de topic de la part des Candide ADDTC et autres (et c'est à mon avis tout à fait le but qu'ils recherchent). Mais c'est vrai que ce n'est pas un forum dédié à la dissidence. Plutot un forum d'échange. Ils se servent de cet objectif premier du forum pour justifier leurs interventions et pourrir le topic. Il va peut-être falloir que je mette en place un forum dédié avec des règles plus strictes du genre de celles de Aids Myth Exposed ou les mecs qui s'opposent à la dissidence doivent sortir des arguments bétons contre la dissidence (avec référence) s'ils veulent pouvoir intervenir. Du coup, curieusement, il n'y a quasiment jamais personne qui vient contredire les dissidents sur ce forum.
  3. Bon, ben, puisqu'on en est à faire des copier/coller, voici une petite partie de la réfutation de la déclaration de Durban, sur le non respect des postulats de Koch : (suite de la Déclaration de Durban) : "La preuve que le SIDA est provoqué par le VIH-1 ou le VIH-2 est claire, absolue et dénuée de toute ambiguïté, et est administrée conformément aux exigences les plus sévères de la science (3-7). Les données remplissent exactement les mêmes critères que ceux utilisés pour d'autres maladies virales telles que la poliomyélite, la rougeole et la variole." COMMENTAIRE En ce qui concerne les "exigences les plus sévères de la science", il se trouve que le VIH ne remplit aucun des postulats de Koch fixant les règles fondamentales à respecter pour faire la preuve qu'un microbe est l'agent causal d'une maladie. Ces règles furent adoptées au XIXème siècle pour mettre de l'ordre dans une situation où des chasseurs de microbes proclamaient à qui mieux mieux, mais à tort, avoir découvert des microbes causant telle ou telle maladie. Nombre des maladies en question s'avérèrent non infectieuses; c'est le cas du scorbut, du béri-béri, de la pellagre (maladies dues à des déficiences vitaminiques) et, plus récemment, du "virus SMON" japonais... qui n'était en réalité qu'un artefact provoqué par une substance médicamenteuse bien précise, le clioquinol. Les postulats de Koch ne sont rien d'autres que l'énoncé de règles d'une logique inattaquable qui doivent être respectées pour faire la preuve qu'un microbe (virus ou autre) est l'agent causal d'une maladie donnée. Première règle : on doit trouver le microbe en abondance chez tout patient souffrant de la maladie en cause et dans tous les tissus malades. Deuxième règle : il faut isoler le microbe et le multiplier en laboratoire. Troisième règle : le microbe purifié doit à son tour provoquer la maladie lorsqu'on l'inocule à un autre patient. Et voici maintenant ce qu'il en est du VIH et de ces trois incontournables postulats : Première règle : on doit trouver le microbe en abondance chez tout patient souffrant de la maladie en cause et dans tous les tissus malades. Des milliers de personnes déclarées atteintes du SIDA restent obstinément séronégatives aux tests visant à mettre en évidence la présence d'anticorps au VIH (Duesberg, 1993). En outre, les tests d'anticorps sont rarement utilisés en Afrique et autres régions pauvres où sont supposées se trouver la majorité des personnes atteintes du SIDA, ce qui empêche de savoir combien de ces personnes sont séropositives. De plus, il est très possible que même les personnes trouvées séropositives à ce qu'on a déclaré être des anticorps au VIH ne soient porteuses d'aucun virus; il n'existe en effet aucun test prétendant détecter le VIH lui-même. Tous les tests existants se contentent de rechercher des marqueurs de substitution tels que des anticorps ou des petits fragments d'ARN ou d'ADN. On fait le pari que la présence de ces sustituts prouve que le patient a été infecté par le VIH, mais cela n'a jamais été démontré en ayant recours aux indispensables techniques d'isolement. Mieux encore : même en utilisant la technique des marqueurs au lieu de celle de l'isolement, les chercheurs en VIH ont observé qu'il existe des individus séropositifs chez qui on ne trouve aucune trace de virus dans le sang circulant et qu'il est très rare de trouver ne serait-ce que des fragments de virus dans le sérum (Michaelis & Levy, 1987). On ne trouve des "traces du virus" que chez 30% des personnes séropositives, et le plus souvent à des concentrations insignifiantes, inférieures à 10 "particules infectieuses" par millilitre (Levy, 1988). La plupart des gens croient que le test de charge virale met en évidence le vrai virus, or ce n'est pas le cas. Ce test recherche de minuscules brins d'ARN qu'on déclare être spécifiques au VIH. On applique alors une formule mathématique complexe qui génère un nombre qu'on étiquette "charge virale". En 1993, Piatak et ses collègues ne parvinrent à "isoler" (les guillemets rappellent qu'il ne s'agit pas d'un véritable isolement au sens scientifique du terme) le virus que chez 53% des personnes dont la charge virale atteignait des centaines de milliers de particules infectieuses par ml. L'un de leurs patients avait une charge virale de 815 000 exemplaires par millilitre mais ils ne parvinrent tout de même pas à "isoler" le moindre virus actif chez lui. Ceci montre combien le diagnostic de séropositivité est contestable du point de vue scientifique et combien il serait opportun de réévaluer tout cela. En fin de compte, si une personne vivant dans un pays occidental (c'est-à-dire où on a les moyens de se payer des tests sanguins) souffre de l'une ou l'autre des 29 maladies considérées comme typiques du SIDA et présente des symptômes identiques à ceux du SIDA, elle ne sera pourtant pas considérée comme atteinte du SIDA si elle n'est pas séropositive puisque, dans ces pays, il ne peut pas y avoir SIDA sans séropositivité. Ceci donne lieu à une corrélation artificielle et parfaitement ridicule par laquelle la définition du SIDA exige une séropositivité, ce qui est ensuite utilisé comme prétendue démonstration que le VIH est la cause du SIDA. Dit autrement, la "science" orthodoxe s'appuie sur le "raisonnement" suivant : 1) il n'y a SIDA que s'il y a séropositivité, celle-ci étant censée prouver l'infection par le VIH, 2) donc il y a toujours VIH lorsqu'il y a SIDA et 3) cette corrélation (parfaite par construction) montre que le VIH est l'agent causal du SIDA... *Voir APPENDIX B: What "HIV" Researchers Mean by "Isolation" and "Cloning" Deuxième règle : il faut isoler le microbe et le multiplier en laboratoire. L'isolement du VIH n'a jamais été réalisé par qui que ce soit. Eleni Papadopulos-Eleopulos et ses collègues nous rappellent que l'isolement d'un virus exige la réalisation de photographies au microscope électronique de particules virale purifiées, ce qui n'a jamais été fait pour le VIH (Papadopulos, 1998). Non pas qu'on n'ait pas essayé de le faire, mais toujours sans succès ainsi que le décrit Étienne de Harven, l'un des pioniers de la technique de microscopie électronique pour identifier les rétrovirus (de Harven, 1998). Le découvreur du VIH, Luc Montagnier, a lui-même reconnu qu'il n'était pas parvenu à isoler le virus (Tahi, 1997). Les articles traitant du VIH utilisent le mot "isolement" non pas dans le sens exigé par les postulats de Koch mais pour désigner la détection de marqueurs de substitution, par exemple des protéines déclarées spécifiques au VIH. Cette perversion du vocabulaire fait croire que le VIH a été "isolé" alors que cela n'a jamais été fait. Pour ce qui est des protéines utilisées comme marqueurs de substitution, on les a déclarées "spécifiques du VIH" alors qu'on les retrouve chez l'homme et les animaux séronégatifs. Par exemple, les anticorps à la p24, l'une des protéines couramment utilisées comme marqueurs de substitution servant de base à la déclaration d'isolement, est présente chez 14% des donneurs de sang séronégatifs et en bonne santé (Genesca et al, 1989), chez 41% des personnes séronégatives mais atteintes de sclérose en plaques et chez 13% des personnes séronégatives mais souffrant de verrues généralisées (Ranki et al, 1988; Papadopulos et al, 1993). Troisième règle : le microbe purifié doit à son tour provoquer la maladie lorsqu'on l'inocule à un autre patient. Aux Etats-Unis, aucun personnel paramédical ni technicien ou chirurgien urgentiste n'a contracté le SIDA à l'occasion de son travail (CDC, 1999). Sur un total de 733 374 cas de SIDA répertoriés aux U.S.A. depuis l'origine jusqu'à 1999, 25 seulement sont considérés comme ayant été contractés à l'occasion de l'exercice d'une profession, et encore (comme on l'a déjà indiqué) cette explication n'a-t-elle été retenue que parce qu'on n'en a pas trouvé de meilleure (CDC, 1999). Au Canada, sur un total de 16 235 cas de SIDA répertoriés, 3 seulement ont été déclarés contractés à l'occasion de la profession mais, là aussi, sur la base d'indices indirects (CCDR, 1992; LCDC, 1998). Rapprochez ces chiffres des quelque 1 million de blessures par piqures d'aiguille qui se produisent chaque année chez le personnel médical aux Etats-Unis, qui donnent lieu à environ 1 000 cas d'hépatite. Ceci signifie qu'en 18 années d'ère du SIDA, le personnel médical de ce pays a été contaminé 18 000 fois par le virus de l'hépatite et seulement 25 fois par celui du SIDA, alors que tous deux sont censés se trouver dans le sang. Décidément, ce VIH est un virus bien étrange !
  4. Oui, c'est logique. A mon avis, les plaques sont un signe de fluidification sanguine (lié à une production de cortisole ; normalement liée à un stress, ce qui est apparemment le cas ici). Aller mettre des médicaments oxydants (et peut-être également des fluidificateurs sanguins) là dessus risque évidemment de créer des hémorragies. Et évidemment, le risque est encore plus grand là où le médicament est le plus concentré : dans le système digestif. C'est une mort iatrogène du même genre que celle de Mark (hémorragie interne. Sauf que celle de Mark était au cerveau).
  5. Ben oui, vu que les médecins eux, croient que le SIDA existe. Et vu que les symptomes sont hyyyyyyyper larges, pour eux, n'importe quoi est le signe que la maladie est réelle (les 2 % cd4 sanguins en baisse, la charge virale bidon en hausse, une grippe, du mal de tête, une gastro, des symptomes iatrogènes, etc...).
  6. Oui, ça me fait penser à un reportage sur la 2 à propos d'une "épidémie" de syphilis au canada si je me souviens bien. Une épidémie liée à des histoires de partouzes entre étudiants (une histoire qui avait l'air assez délirante et peu crédible, puisque, à les écouter, on avait l'impression que la moitié de la population estudiantine de cette petite ville était concernée). En fait d'épidémie, ils avaient fait un test sur une ou deux personnes, et avait posé ensuite comme postulat que tous ceux qui participaient à ces soi-disantes partouze était contaminés. Forcément, avec ce genre de méthode, on invente toutes les épidémies qu'on veut.
  7. aixur

    Guérir le Sida!

    Ouai, évidemment. Ca me fait penser à Mitterrand. Début 1981, Le docteur Gubler lui avait annoncé l'apocalypse pour dans moins de 3 ou 4 mois. Et finalement, à la fin de l'année, miracle tout allait bien, les indicateurs étaient à nouveau au vert. Heureusement que Mitterrand avait refusé la chimiothérapie lourde qu'envisageait Gubler (qui n'a pas l'air d'avoir inventé la poudre). Du coup, Gubler lui a donné un traitement très léger qui a laissé Miterrand en vie pendant 12 ans. Pas mal pour un type qui aurait du mourir en trois mois. Seulement, Mitterrand n'a pas eu l'énergie de refuser une seconde fois un traitement lourd vers fin 1992, quand Gubler et revenu à la charge avec de nouveaux examens "catastrophiques". Et là, en un peu plus de trois ans, c'en était fini pour Mitterrand.
  8. aixur

    Guérir le Sida!

    Ah oui, le cancer, ça tue effectivement en trois fois maximum (enfin, en général ; des fois, il y a des gens solides) : la première fois, les traitement tuent certains, esquintent d'autres et épargnent un troisième groupe. La deuxième fois, les traitement tuent une partie du second groupe, et esquintent ceux du troisième. Et enfin, le troisième traitement tue tous ceux qui avaient réussis à s'en sortir. C'est rare qu'il y ait une quatrième fois, à mon avis.
  9. Mais, Pourquoi, va sur http://www.sidasante.com Là tu trouveras plein de documents en français sur le sujet.
  10. Tu veux bien nous rappeler dans quels messages se trouvent vos arguments à ce propos.
  11. Donc, ton petit bon sens t'a fait découvrir la vérité immanente. Très fort. Tu crois au vin émetique et au moine bourru ? Ah, si j'avais su que c'était si facile de connaitre la vérité, je ne me serais pas emmerdé à lire des centaines, voir des milliers de pages sur le sujet. Dis, tu prends toutes tes décisions comme ça, à l'intuition, sans rien lire ? Parce que, justement, j'ai des polices d'assurances à des prix très défiant toute concurrence qui pourraient t'intéresser.
  12. Ben si, les dissidents le réfutent, vu que les protéines détectées ne sont pas celles d'un virus.
  13. Bon, allez, une petite piqure de rappel copiée/collée de la réfutation de la déclaration de Durban sur le fait que le SIDA n'est pas une maladie infectieuse : Une étude extensive portant sur les utilisateurs de drogues par voie intraveineuse a démontré que les personnes utilisant exclusivement des seringues neuves (dans le cadre de programmes d'échange gratuit de seringues) se trouvent avoir 10 fois PLUS de chances de devenir séropositifs que celles qui n'utilisent jamais de seringues neuves (Bruneau, 1997). La théorie d'une maladie infectieuse est incompatible avec ce fait. ● Une étude ayant suivi pendant dix ans des couples de partenaires sexuels sérodiscordants (l'un séropositif et l'autre séronégatif) n'a mis en évidence AUCUN cas certain de transmission par voie sexuelle (Padian, 1997). ● Une étude portant sur 21 hémophiles vivant en couple a montré que seulement deux épouses étaient séropositives (mais pas atteintes du SIDA), une seule d'entre elles ayant un décompte anormal des cellules immunitaires (Kreiss, 1986). ● Les CDC reconnaissent que la transmission du VIH par piqure accidentelle par des aiguilles jetées est rarissime et attribuent cela au fait que le VIH s'inactiverait rapidement en ambiance sèche. Et pourtant, la préparation des facteurs VIII et IX comporte des étapes très poussées de chauffage, de refroidissement et de séchage dont le VIH sortirait donc miraculeusement idemne. On verra plus bas qu'il existe des explications beaucoup plus convaincantes de la séropositivité des hémophiles. ● Si le VIH se transmettait par le sang ou par d'autres fluides corporels, on s'attendrait à ce que les personnels de santé les plus exposésà ces substances soient régulièrement contaminés. Or il n'en est rien. Sur les 733 374 cas de SIDA répertoriés aux États-Unis depuis l'origine jusqu'à la fin de 1999, seulement 25 sont considérés comme ayant été contractés dans le cadre de l'activité professionnelle. Et encore faut-il savoir que ceci résulte simplement de l'absence d'une autre explication, c'est-à-dire qu'on a considèré que ces personnels de santé ont été contaminés à l'occasion de l'exercice de la profession simplement parce qu'ils n'étaient ni homosexuels, ni utilisateurs de drogues, ni hémophiles et qu'ils n'avaient pas reçu de transfusion sanguine. Les CDC n'ont fait état d'aucun cas confirmé de contamination à l'occasion de l'exercice de la profession chez les chirurgiens et le personnel paramédical.
  14. Effectivement, Parce que, depuis le temps qu'il connait la dissidence, Candide, il devrait avoir un super argumentaire contre nous. Et pourtant non. Il est toujours incapable de critiquer sur le fond. Eh oui, c'est parce qu'on a raison. Tout simplement. Edit : et ta pauvre reprise de la déclaration de Durban a été réfutée point par point par les dissidents. Ca ne vaut rien. Tiens, voilà la réfutation de cette déclaration ici : http://www.sidasante.com/science/refutation.htm
  15. Tout à fait. Et si on prend en compte le fait que les scientifiques dissidents risquent TRES gros professionnellement en se déclarant comme tel, on relativise encore plus. Et à nouveau encore plus si on considère que, en plus de risquer gros, beaucoup de ces dissidents n'ont absolument rien à gagner dans l'affaire (puisqu'il s'agit de chimistes, de mathématiciens, de physiciens, etc...). Un dissident qui n'est clairement pas un farfelu vaudra toujours infiniment plus qu'un mouton qui bèle ou qu'un rat qui a peur de perdre sa place.
  16. Mais non, il n'est pas réfuté par la majorité des chercheurs. Face aux analyses des dissidents, les chercheurs ne disent rien. C'est le silence total. Forcément, vu l'avalanche de faits mis en avant par les dissidents, tous plus décisifs les uns que les autres, les chercheurs ne peuvent faire qu'une chose en dehors de se rallier à notre hypothèse : se taire.
  17. Oui, enfin, tu as un cerveau quand même. Et la signification des tests à seuil, elle est simple : ça signifie que que tout le monde est plus ou moins séropositif. Donc, tout le monde a des anticorps pour les protéines sensées être spécifiques du VIH. Normalement, ça devrait être tout blanc, ou tout noir. On réagit positif ou pas. Mais là, non. Et c'est pas logique, puisque soit on est infecté par le virus, soit non. On ne l'est pas un peu, beaucoup, passionnément, à la folie. Au fait 40 % Des chiens* réagissent positifs à la protéine p24, sensée être la plus spécifique du VIH (mais aussi à la gp120, gp47, et p31). Tu interprètes ça comment ? Moi, j'interprète ça dans le sens que ce sont des protéines produites par le corps, tout simplement. *Strandstrom HV et al. Studies with canine sera that contain antibodies which recognize human immunodeficiency virus structural proteins. Cancer Research 1990 ;50 :5628s-5630s
  18. Oui, c'est tout ce qu'il y a d'officiel (mais, évidemment, on ne le dit pas au grand public) : En voici une (la ligne en dessous du titre "le VIH1") (Société Canadienne de pédiatrie) : http://www.cps.ca/francais/enonces/ID/id99-02.htm En voilà une autre (agence de la santé public du Canada) http://www.phac-aspc.gc.ca/publicat/ccdr-r...2/rm2207fc.html Et il y a plein d'autres sources. Comme je le disais dans un message précédent, ça fait entre 2 et 10 fois moins de risques que pour la sodomie récéptive (celui qui reçoit), qui est entre 0,5 % et 3 %. Hallucinant non ? On s'injecte directement le produit, mais on a en moyenne 5 fois moins de chance de devenir séropo qu'en se faisant sodomiser.
  19. Oui (enfin, si c'est bien le chiffre que tu recherches) : une injection accidentelle par piqure c'est 0,3 % de risque de devenir séropositif.
  20. Sauf que le HHV8 n'a été considéré comme cause du sarcome de Kaposi qu'en 1994. Donc, avant, je suppose qu'on considérait que c'était le VIH le responsable plus ou moins direct. Donc, non, ce n'est pas évident.
  21. La transmission du VIH par seringue infectée est officiellement de 0,3 %. Alors, des chirurgiens infectés par piqûre, il ne doit pas y en avoir des masses. C'est même moins que le risque de transmission par voie anale récéptive, qui est compris entre 0,5 et 3 %. C'est hallucinant. Quelqu'un se fait sodomiser, il a plus de de risque de devenir séropositif que s'il se fait piquer directement avec une seringue contaminée. Vachement logique.
  22. Désolé Rosalie, mais moi, je nie qu'il y ait immunosuppression. Parce que les séropositifs ne meurent pas par des microbes qu'on trouve partout, comme ceux du rhume ou de la légionellose, ou de la listeriose, ou comme les staphilocoques, mais de maladies beaucoup plus exotiques comme la toxoplasmose, la pneumocystose. Maladies qui sont les paravents, en réalité, des morts iatrogènes selon moi. Quand au cancers, pour moi, ça n'a rien à voir avec une maladie virale. Et puis, il y en a plein qui meurent des effets iatrogènes (reconnus, cette fois) des médicaments (genre : crise cardiaque, foie déglingué, etc...). Par ailleurs, le marqueur de l'immunité utilisé -les cd4-, est clairement bidon, puisqu'il y a des séropositifs qui ont des taux de cd4 inférieurs à 50 et qui n'ont aucune maladie opportuniste.
  23. Manque de bol, c'est ton naturopathe qui avait raison. C'est bien une maladie liée à l'encrassement. A mon avis, ton naturopathe ne devait pas savoir que c'était lié à un excès de protéines. Donc, il ne pouvait pas détailler fortement son raisonnement. Ce qui devait le rendre moins convaincant. Mais, malgré un raisonnement probablement incomplet, il avait raison sur le fond. Quand à sentir la progression de la maladie, ok. Mais, à partir de là, être sur que c'est le virus qui se développe, il y a un pas que tu franchis de façon très osé. Parce qu'à part avoir une connaissance transcendante du virus, je ne vois pas comment on peut être sur que quand la maladie se développe, c'est parce que le virus se répand. A moins d'avoir un a priori. Moi, ce que je sens, c'est l'encrassement de ma gorge et de mon nez, quand je fais des écarts par rapport à mon régime assez frugivore. Et la, le rapport de cause à effet est beaucoup plus clair, parce que c'est un truc que j'ai constaté des dizaines de fois. Et ça se passe dans la demi-heure qui suit le repas. C'est pas que c'est à la mode. C'est que maintenant qu'il y a Internet, on a accès aux informations qu'on nous taisait soigneusement. Du coup, la montagne de mensonge qui était accumulée depuis plus de cent ans, et soigneusement enterrée, remonte à la surface. Et forcément, on en parle. Et voyant qu'on nous a menti pendant tout ce temps, on est pas très content.
  24. Et ce texte date de mars 2005 Ouai, autant pour moi, le sarcome de Kaposi est toujours considéré officiellement comme faisant partie des infections opportunistes du SIDA. Je pensais qu'en Amérique ça n'était plus le cas, mais ça l'est toujours (évidemment, les références françaises, je m'en foutais un peu dans ce cas précis. Parce que, dans ce domaine, c'est l'Amerique qui donne le là.). Je me suis trompé là dessus, désolé. Ce qui a été changé, vers 1994 je crois, c'est le fait qu'on a dit que ce n'était pas le VIH directement, qui causait le Sarcome de Kaposi. On s'est mis à accuser le HHV8. D'où l'erreur. Bon, ben, tant qu'on est au HHV8, on peut noter qu'en Thailande, 28 % de la population réagit positivement aux tests d'anticorps du HHV8, et la Thailande est sensée avoir une épidémie de SIDA. Mais, il n'y a que 0,2 % de la population qui ait un Sarcome de Kaposi. Ce qui remet légèrement en cause le role du HHV8 dans le sarcome de Kaposi. Par ailleurs, il ne semble pas que ce soit un virus seulement sexuellement transmissible, puisque 26 % des enfants texans ont le HHV8.
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