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aixur

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Tout ce qui a été posté par aixur

  1. Des antibio, ou d'autres médicaments. Faut voir au cas par cas. Et oui, il y a des antibios qui provoquent ce syndrome, comme j'en avais parlé dans un autre topic. Le Chloramphenicol provoque des morts par hémorragies. Et ça a été vu dans d'autres pays. Mais dans les pays occidentaux, ça a été retiré du marché. Du coup, on en parle pas trop. pourquoi seules les personnes en contact avec les malades développent la maladie ? Ben, si l'eau est empoisonnée, forcément ceux qui boivent au même endroit vont être empoisonnés. Et il y a plus de chance que les gens d'une même famille ou travaillant au même endroit tombent malades en même temps. Donc, ce seront plutot des personnes proches les unes des autres qui seront touchée. Idem, si on traite quelqu'un avec des médoc, comme on suppose qu'il a une maladie contagieuse, on va traiter toute sa famille aussi, voir tout le village. Cela dit, qu'absolument seules les personnes en contact avec les malades développent la maladie, ça, on n'en sait rien, à priori. Pour le singe, le problème, c'est que vu les conditions de détention, un singe, ça crève facilement. Cela dit, on ne sait pas du tout ce qu'il en est des expériences sur les singes, comment elles sont menées, le taux de mortalité, etc... Donc, difficile de se prononcer. Et les souris et cochons d'inde, ça crèvre encore plus facilement que les singes.
  2. Ben, un largage de mercure, ça ne reste pas forcément sur place pendant longtemps. Donc ceux qui en ont ingéré des doses massives meurent rapidement (et uniquement ceux-là). Et puis, le mercure est emporté par le courant. Donc, les gens arrêtent de mourir. C'est simple. Sinon, pour les cas qui se sont passés dans des hopitaux, comme l'a dit Terry, tous n'étaient pas sous antibio ou autre cochonnerie. Et une bonne partie de ceux qui étaient sous médoc, sont morts.
  3. Le problème, c'est qu'après, elle a été soignée pendant deux semaines. Faudrait voir les médicaments qu'elle a pris. A mon avis, c'est de ce coté là qu'il faut chercher. C'est simple. Quand c'est pas un empoisonnement par un produit chimique absorbé accidentellement, c'est quasiment à chaque fois une mort par médicaments.
  4. En cherchant des infos sur Ebola pour vérifier s'il y avait des cas liés à un empoisonnement de l'eau, j'ai trouvé ces infos sur les cas au Gabon. 1) La plupart des épidémies sont situées à coté d'un cours d'eau. 2) Lors de la première "épidémie" en 1994, on a pensé au début à un empoisonnement au mercure. "Une publication récente (Lancet, 18 janvier 1997) a établi de manière officielle qu'une épidémie au Gabon, attribuée en 1994 à la fièvre jaune, était en fait due au virus Ebola. L'épidémie s'est ensuite propagée dans la forêt équatoriale.On a cru à l'époque que ces cas de diarrhées noires avec fièvres et douleurs abdominales intenses étaient secondaires à un empoisonnement par le mercure" 3) Comme par hasard, dans plusieurs cas, ça s'est passé pas loin d'une zone d'exploitation de l'or, voir dans un village de chercheurs d'or. Since late 1994, three apparently independent outbreaks of Ebola virus hemorrhagic fever have occurred among humans in northeastern Gabon, in the forested areas of equatorial Ogooué-Ivindo province. The first, which started in December 1994 in gold-panner encampments of far northeastern Gabon, in the Minkouka area (traduction : Depuis la fin 1994, trois manifestations apparemment indépendantes de fièvre hémorragique de virus Ebola se sont produites chez des humains au nord-est du Gabon, dans les secteurs forestiers de la province équatoriale d'Ogooué-Ivindo. La première a débuté en décembre 1994 dans des campements d'or-pailleurs au nord-est du Gabon, dans la région de Minkouka) Idem, en 1997, près de l'Ivindo rivers, au Gabon, on trouve : "But recently this remote area has suffered the encroachments of gold miners, hunters and, most troubling of all, the deadly ebola virus." (traduction : mais récemment, cette région éloignée a souffert des empiétements des mineurs (d'or), des chasseurs et, encore plus préoccupant, du virus mortel Ebola) Du coup, on peut évidemment se demander si certains chercheurs d'or n'ont pas largué un tout petit peu trop de mercure dans la rivière. Rivière qui était peut-être moins remplie que d'habitude à ce moment-là.
  5. Non, Ebola aussi, c'est des conneries. Les africains morts ont du l'être après un empoisonnement massif à une substance chimique causant des hémorragies. Faudrait voir quelle substance naturelle présente dans l'eau peut causer ce genre de truc. Ou alors, ils ont pris des médicaments causant des hémorragies (c'est pas ça qui manque). Tiens, par exemple, des médecins ont rapporté que le Chloramphenicol tuait les enfants par hémorragie : En Europe et aux USA l'utilisation du Chloramphenicol pour les enfants a été retiré de la circulation en 1970. Les effets secondaires tels que l'aplasie passagère de la moelle osseuse, l'aplasie irréversible de la moelle osseuse, ou encore l'anémie isolée sont connus. Nous avons vu perdre leur sang et mourir des centaines d'enfants à Kantha Bopha des suites de cette complication médicale survenue dans des cliniques extérieures : il n'existe pas de traitement contre cette complication.
  6. Ca fait combien de temps exactement qu'il ne va pas bien ? Et puis, il n'aurait pas essayé d'abattre la foret des landes cet été ? Parce que, d'après ce que je m'en souviens, il avait l'air d'être du genre à pousser le bouchon un peu loin en matière d'effort physique. Ca pourrait expliquer une faiblesse passagère. Cela dit, pour le cocktail de vitamines, à mon avis, ce n'est pas le truc à prendre pendant très longtemps. 15 jours ou 3 semaines doivent suffir amplement. Pour ses cd4, ses leucocytes et ses plaquettes, à mon avis, il est bien possible que ce soit le fait qu'il mange peu qui influence le niveau de ceux-ci. Je ne pense pas qu'il faille s'inquiéter outre mesure.
  7. Ouai, c'est vrai ça. Les greffes obligent à prendre des médicaments estimés immunodépresseurs. Du coup, avec en plus le VIH, elle devrait être vraiment immunodéprimée à fond. Et pourtant, elle est toujours vivante. Alors qu'elle devrait être morte depuis très longtemps et en une semaine d'un microbe qu'on peut se chopper partout comme la légionelle, voir, qu'on a déjà sur soi, comme le staphilocoque doré. Encore un cas qui ne colle pas avec la théorie officielle.
  8. Non mais Terry, la différence entre les homos et les hétéro concernant la sodomie, c'est évidemment la fréquence de la pratique. Chez les hétéro, c'est une pratique qui, chez la plupart, est réalisée de temps en temps (quand c'est pratiqué), alors que chez les homos, forcément, c'est beaucoup plus souvent. Et parmi la masse des homo, il y a en certains qui ont une sexualité débridée et qui se feront sodomiser 3 ou 4 fois en une soirée. Et ça, pendant plusieurs semaines ou mois. Ca n'a rien à voir avec les nanas qui le feront pour la plupart peut-être une ou deux fois par semaine. Ca n'exclue pas la possibilité que certains couples hétéro le fassent aussi de façon très fréquente, mais ça doit être vachement rare. Du coup, c'est vrai qu'on peut se poser la question de l'impact des sodomies répétées sur la santé de ces gars là. Et ça n'a rien d'homophobe d'étudier ce genre de risque. Au contraire, c'est plutot sympa. Ca leur permettra peut-être (s'il y a vraiment problème à ce niveau là) de savoir d'où pourraient venir d'éventuels problèmes de santé et de réguler leur pratique de la sodomie en cas d'apparition de certains symptomes. Dire que c'est homophobe, c'est comme venir engueuler un type qui dirait à un diabétique que prendre trop de sucre peut être dangereux pour lui et de le traiter d'anti-diabétique. Cela dit, à la réflexion, on peut se dire qu'il est possible que le sperme ne soit pas vraiment le responsable du problème d'une éventuelle immuno suppression. Parce qu'il y a tellement de cochonneries qui passent par l'anus, que le sperme, ce n'est jamais qu'une cochonnerie de plus. Et normalement, il n'y a pas de problème ; les parois de l'anus ne laissent rien passer. Donc, il est possible que ce soit plutot des lésions répétées de l'anus lors de la sodomie qui conduisent à la mise en contact du sang avec les cochonneries qui passent par l'anus (dont éventuellement le sperme). Cela dit, peut-être que comme la composition du sperme est différente de celle des déjections, les parois de l'anus le laissent passer dans le sang. A voir.
  9. Bonjour et bienvenue, Non, les choses se sont faites progressivement. En fait, il faut voir qu'entre 1981 et fin avril 1984, on avait la maladie (le SIDA), mais pas le virus et donc, pas les tests de séropositivité. Donc, comme on ne pouvait pas tester les gens en bonne santé, les médecins ne pouvaient diagnostiquer comme sidéens que les personnes malades qui venaient les voir. Ils n'avaient donc sous la main que des personnes qui étaient déjà assez malades. Donc, comme il n'y a pas trente-six raisons d'être malade quand on est jeune, ils ne pouvaient avoir que des personnes se détruisant la santé avec des drogues et des médicaments. Or, en dehors des drogués purs et durs identifiés en tant que tel (qui étaient rélativement nombreux, la fin des années 70 début des 80 étant vraiment des années défonce), il y avait une communauté dans laquelle, à l'époque, les drogues récréatives circulaient à fond depuis le milieu des années 70, c'était la communauté homo (enfin, une partie de la communauté bien sur). Forcément, comme certains témoignages le décrivent, lorsque l'usage des drogues dans la communauté est devenue tendance, il y a eu assez rapidement des mecs qui, ayant abusé, étaient devenus de vrais zombis en proie à plein de maladies. Comme en plus, on leur donnait des antibiotiques en masse au moindre soupçon de maladie vénérienne, et que les antibiotiques sont dangereux, ça ne devait pas améliorer les choses. Donc, il devait y en avoir qui mourraient simplement à cause de la prise conjointe de drogue et de médicaments divers. Mais comme ils étaient diagnostiqués sidéens, on attribuait déjà la mort au sida plutot qu'à la drogue et aux médoc. Et donc, ça rentrait dans les statistiques de morts par le sida. Par ailleurs, avant l'AZT, vu qu'on pensait déjà à une origine virale, on donnait déjà des médicaments avec des effets secondaires importants. On donnait de l'interleukine 2 et de l'interferon. Donc, les malades diagnostiqués comme étant sidéens, qui n'étaient déjà pas en forme, devaient mourir aussi pas mal de ces médicaments pré-AZT. Et là aussi, on les diagnostiquaient comme "morts à cause du sida". Donc, oui, avant l'AZT, on avait déjà un certain nombre de morts diagnostiqués comme "morts à cause du sida". Ca ne représentait pas un nombre énorme de gens bien sur. Mais suffisament pour que ça donne de la consistance à la "nouvelle maladie". Surtout que le nombre de gens morts était faible, mais c'était sur des communautés assez restreintes : les drogués et les homo assez noceurs et sur une maladie supposée émergente. On pouvait donc penser sans problème que sida égalait mort. Puis, lorsque les tests ont été mis au point (en 1984, par qui ? par Gallo, qui en a breveté un, le gros malin), vu qu'on pensait que séropositivité égalait mort, on pouvait d'un seul coup donner les médicaments anti-sida de l'époque à beaucoup plus de monde. On a commencé à en donner non seulement aux personnes déjà clairement très malades, mais aussi à celles qui ne présentaient que certains symptomes ou avaient le niveau de certains indicateurs (CD4) considéré comme signifiant le passage au stade sida. Donc là, le nombre de mort a bien sur augmenté. Et enfin, on a décidé de ressortir l'AZT des cartons, en tant qu'anti-rétroviral (en 1987). Et, là, ça a été le massacre. D'autant plus le massacre que comme ça devenait l'hystérie, on poussait encore plus qu'avant les homo et les drogués à se faire diagnostiquer. Et on commençait même à pousser les hétéro multi-partenaires à se faire tester aussi. Et comme on supposait un temps de latence entre la contamination et la déclaration de la maladie, ben, on ne s'étonnait pas du nombre de mort et on ne soupçonnait pas les médoc anti-sida d'être la cause des morts. C'était simplement que les contaminés des années 1982/84 arrivaient au stade SIDA et mourraient. Evidemment, avec le recul, vu qu'on dit qu'un séropositif qui ne prend pas de médicament ne développe pas le SIDA avant presque 10 ans maintenant, l'explication de l'époque est complètement foireuse. Mais qui s'en soucie plus de 15 ans après ?
  10. Oui, donc, les 6 kg, tu les as pris entre 2003 et 2004 si je comprends bien (ou début 2004). Et là, depuis un an, tu as perdu 8 kg. Donc, le changement entre 2004 et 2005, ça va dans le sens de ce que je disais (la perte de poids entraine une stagnation ou une perte de cd4 sanguins). Par ailleurs, 15 jours avant de faire le test en 2004, tu étais malade du ventre. Donc, on peux supposer que tu ne devais pas t'empiffrer de nourriture. Tu devais même plutot manger relativement peu. Là aussi, de quoi influer le test à la baisse (malgré les 6 kg pris, qui étaient déjà stockés dans le corps et ne comptaient plus vraiment pour le test de cd4). L'antibiotique n'avait rien à voir, vu que tu l'as pris après le test, ok. Si tu veux bien, et puisque tu as l'air d'être en forme pour écrire, est-ce que tu pourrais me donner le résultat de tes tests de cd4 et charge virale chaque année à partir de, on va dire 2001 ? En précisant à chaque fois si tu avais été malade peu de temps avant et si tu avais pris des antibiotiques (ou autres médoc) peu avant le test, et si tu prenais un traitement sur le long terme à ce moment-là. Et aussi, si tu avais pris ou perdu du poids durant l'année (donnes ta taille aussi). Sinon, pour la méthode que j'ai indiquée pour faire monter les cd4, je pense que c'est vraiment un truc qui agit localement dans le temps. Dans cette optique, prendre 6 kg sur un an ne sert à rien si 15 jours avant le test, on réduit sa consommation de nourriture. C'est vraiment pendant les 10 ou 15 jours avant le test qu'il faut mettre le forcing à mon avis (peut-être plutot 10 jours que 15 finalement, parce que sur 15 jours, le corps pourrait peut-être s'habituer à toute cette bouffe et l'éliminer plus rapidement. Enfin, à voir). Et le jour du test, pour enfoncer le clou, faire deux repas vraiment gros (donc faire le test plutot en fin d'après midi. Sinon faire un très gros repas le soir et aussi le matin du jour du test), avec de la viande, des graisses et enfin des fruits pour gêner la digestion de l'ensemble. Et même, continuer à grignoter des cochonneries sucrées et protéinées jusque à 1/2 heure avant le test. Quand au sport, il ne doit pas être destiné à favoriser une trop grande élimination des déchets, mais plutot leur circulation. Donc, il vaut mieux faire un sport peu épuisant pendant 1/2 heure par jour (genre jogging, natation, vélo, tennis, muscu légère). Et pas besoin d'en faire pendant 15 jours, mais 5 jours avant le test doit être suffisant. Sinon, pour les témoignages, ben, la plupart datent de bien avant que je reprenne sidasante. Je ne connais pas les personnes en question. Mais, c'est vrai que pour les autres, il faudrait faire un suivi. Je vais essayer d'organiser ça.
  11. Ouai, donc, si tu as pris du poids en 2004 et que ça fait un an que tu as arrêté les antibio, tu devais encore en prendre à ce moment-là, non ? Si j'ai mis "étaient", c'est parce que, pour la plupart, c'était dans le passé qu'ils avaient 50 cd4. C'est tout. Donc, il avaient 50 cd4, et à ce moment là, il étaient en parfaite santé. Et le moment où ils avaient un taux de cd4 bas est tout ce qui importe par rapport à la section dans laquelle je dis ça. Ca veut tout simplement dire qu'un taux bas de cd4 n'est absolument pas une sentence de mort rapide. Alors que ça devrait l'être selon la théorie officielle. On devrait crever en moins d'une semaine. Alors que là, il y a des personnes qui se baladent avec moins de 100 cd4 en n'étant absolument pas atteint par une maladie microbienne foudroyante. Et ce pendant des mois et des mois. Oui, ils sont morts. Mais la cause de leur décès importe énormément. Ben sinon, on peut aussi bien dire que le fait que les séropo sont morts en masse entre 1986 et 1992 prouve que ce le VIH est la cause de leur mort, en oubliant totalement l'AZT. Idem pour les cancéreux. Ils meurent, donc, c'est sur que si on se fout de savoir la cause de la mort, on risque de désigner le cancer comme responsable, en oubliant là aussi juste un tout petit détail : les chimio, les rayons et les opérations. Or, quand on analyse ce qui s'est passé avant leur mort, on voit qu'il y a à chaque fois ou presque (disons 95 % par sécurité), une prise de médicaments quelques temps ou même pendant longtemps avant de mourir. Les uns parce qu'ils se disaient dissidents alors qu'ils continuaient à prendre des médoc (donc, des dissidents bidons), et les autres parce qu'ils ne se méfiaient pas assez de certains médoc, comme les antibiotiques. Et non je ne suis pas séropo (et ce n'est pas une question indiscrète du tout). Et du coup, bien sur, je ne sais pas combien j'ai de t4 et je m'en fous. Et, vu ce que je sais sur les cd4, je m'en foutrais même si j'étais déclaré séropo demain.
  12. Ben, pas grand chose, vu que ça ne veut rien dire. Je rappelle que les cd4 sanguins ne représentent que 2 % de tous les cd4. Le reste se trouve dans les tissus des ganglions. Donc, quand les cd4 sanguins baissent, ça veut simplement dire que pour une raison ou pour une autre, une partie des 2 % des cd4 totaux ne migrent plus. Et il y a bien des choses autres qu'une baisse de l'ensemble des cd4 qui peut expliquer ça : stress, changement d'alimentation, période après une maladie, etc... Donc, la lymphopénie, c''est vraiment une explication parmi d'autres. Et de façon générale, si on ne prend pas de substances chimiques dangereuses (drogues ou médicaments) et qu'on est bien alimenté, il y a, à mon avis, très peu de risques que ce soit une lymphopénie. S'il y a très peu de témoignages de séropo qui auraient réussi à faire remonter ce taux, c'est parce qu'il y a peu de dissidents et qu'une bonne part de ceux-ci arrête de se faire mesurer ce taux. Alors forcément, ça limite les témoignages sur le sujet. Cela dit, je me souviens d'une nana qui disait que le sport augmentait le taux sanguin de cd4. A mon avis, vu que les cd4 ne sont que des agrégateurs de déchets cellulaires, leur nombre doit croitre quand on augmente ceux-ci. Ensuite, le fait de faire circuler les fluides lymphatiques dans le corps de façon plus dynamique grace au sport doit permettre d'en envoyer plus facilement dans le sang. Donc, je pense que pour augmenter artificiellement le nombre de cd4 sanguins, il suffit, 10 ou 15 jours avant le test, de manger plus que d'habitude, bien gras et protéinés (viandes de toutes sorte). Ce qui va augmenter le nombre de cd4 pour faire face à l'afflux de déchets. Et il faut faire du sport pour envoyer des cd4 dans le sang. Et un peu avant l'examen, se faire un repas avec, là aussi, beaucoup de protéines et de graisse, et en plus de tout ça, du sucre et des fruits pour gêner la digestion de l'ensemble et faire circuler beaucoup de protéines et de graisse dans le sang. En plus, le bon repas devrait permettre d'endormir temporairement le stress si on y est sujet. Là, si le taux précédent était de 200, tout ça devrait pouvoir le faire monter à 400. En l'absence de prise de médicament, évidemment. Par contre, la charge virale devrait augmenter également. PS : cela dit, je crois que j'avais déjà fait un topic là dessus (comment faire monter son taux de cd4).
  13. Charlotte Vallandrey séropositive ? C'est dingue ça. Et voilà, à quoi ça l'a menée : Greffe du coeur. Encore un autre gachis. Si ça se trouve, si elle s'était faite tester à une période où on était moins hystérique et où l'interprétation prenait une place plus large dans les tests, on l'aurait déclarée négative.
  14. aixur

    Economies ...

    Bah, ça permettra peut-être aux compagnies pharmaceutiques de remplacer ces anciens médicaments par des nouveaux qui seront quasiment identiques ; mais qui seront couverts par des brevets récents (donc, qui renouvelleront pour environ 15/20 ans leur monopole sur ces médocs). Eh oui, avec leurs comportements dégueulasses, on voit le mal partout maintenant (enfin, disons plutot qu'on devient réalistes).
  15. Salut Korian et bienvenue, Est-ce que je peux mettre ton témoignage sur sidasante ?
  16. Mise en ligne d'un article sur le travail en Afrique du Sud de l'infirmière et sage-femme Tine van der Maas. L'article confirme les articles de Marc Deru. Si on nourrit correctement les gens malades en Afrique (qu'ils soient considérés comme ayant le SIDA ou pas), la plupart du temps, ils ne meurent pas. Là, c'est encore plus spectaculaire que l'expérience retracée par Marc Deru (qui était déjà impressionnante), parce que c'est plus axé sur les cas cliniques. Et il n'y a apparemment l'emploi d'aucun médicament, juste un programme nutritionnel adapté. http://www.sidasante.com/themes/afrique/si...tion_a_mort.htm
  17. Je me suis fait une cure de chlorure de magnesium pendant un peu plus de 15 jours, il y a un mois. Je n'ai pas eu d'effet secondaire, à priori. Au contraire, je me sentais plutot un peu mieux. Pour la vitamine C, une fois dans le sang, l'organisme a un moyen très simple de maintenir le ph du corps : il pompe dans les os des reserves de matières basiques (le calcium). Et puis, tu sais, les gens qui mangent de façon classique, 3 repas par jours, bien protéinés et gras, vont avoir dans le sang, plusieurs centaines de gramme de matières acidifiantes. Alors, ce ne sont pas les 500 malheureux milligrammes de vitamine C qui vont faire quoique ce soit à l'organisme en matière d'acidification de celui-ci. Surtout que, contrairement aux protéines et aux matières grasses, la vitamine C va être utilisée par le corps (dans le foie, dans les cellules). Donc, elle va se retrouver dans le foie et les cellules rapidement. Et le peu qui restera sera éliminé assez rapidement aussi. Donc, bon. Par contre, les régimes protéinés et gras, eux, vont provoquer de l'ostéoporose à force d'obliger l'organisme à puiser dans les os pour contrer l'acidification de l'organisme. Quant à l'anorexique, ben, elle doit être complètement vidée de ses sels minéraux et de ses vitamines. Donc, je lui donnerais ça en priorité. Plus une alimentation forcée (par sonde). Et pas du tout un antibiotique qui, à mon avis, ne sert strictement à rien (et qui est carrément dangereux), et encore moins dans le cas d'un(e) anorexique. Une pneumonie chez un(e) anoréxique, ce n'est clairement pas une maladie d'élimination (forcément). Donc, c'est clairement une agression par le froid, ou un manque tellement énorme de nutriments essentiels et d'antioxydants que la moindre agression envers les poumons dégénère (pas assez d'antioxydants face à l'oxydation de l'organisme). Donc, alimentation, sels minéreux, vitamines. Et si la respiration est difficile, éventuellement respiration artificiel. Ben, très peu évidemment. Parce que les gens ont tellement peur qu'ils prennent les traitements alternatifs en plus des traitements par chimio et rayon. Ils se disent qu'ils prennent le meilleur des deux mondes, sans se rendre compte que ce qui cause la mortalité chez les cancéreux, c'est à plus de 90 % les traitements. Tiens, il y a eu récemment un article sur une centaine de personnes ayant un cancer de la prostate et n'ayant pas suivi de traitement pendant un an. Une moitié avait changé d'alimentation pour une régime contenant plus de fruits et de légume. O surprise, le groupe en question voyait ses marqueurs du cancer diminuer alors que pour l'autre, ça ne bougeait pas ou ça empirait. Mais, au dela des marqueurs qui ne signifient pas forcément grand chose (et même probablement rien), ce qui est significatif, c'est qu'apparemment, personne n'est mort au bout de l'anné sans traitement (seul environ 9 en ont pris un sur environs 90 personnes). Ok, c'est un cancer à évolution lente. Mais bon, c'est quand même intéressant.
  18. L'acidité de l'acide gastrique étant entre 1 et 2, ça m'étonnerais beaucoup que la vitamine C fasse quoique ce soit à l'estomac. Quant à l'intestin, il a un ph de 8. Donc, la vitamine C serait rapidement dégradée. Et dans le corps, le foie contient naturellement de la vitamine C. Donc, si c'était dangereux, ça n'en contiendrait pas, à priori. Ben voyons. Elle rembourse les anticancéreux qui ne marchent pas et sont dangereux, les vaccins qui ne servent à rien et sont éventuellement dangereux, l'AZT qui ne sert à rien et est dangereux. Bref, elle déconne à pleins tubes. Mais, par contre, quand elle décide ne pas rembourser certaines vitamines, à ce moment là, c'est un effet de son immense sagesse et c'est parce que c'est trop dangereux et que ça ne sert à rien.
  19. Il y a une autre technique sympa (toujours dans l'article "le dernier débat", mais je n'avais pas tilté la première fois que je l'avais vu) : il y a exactement la même chose dans la culture de controle et dans la culture avec le "virus" ? Ben, tu déclares tout simplement que c'est différent. Cool hein ? Elle est pas belle la vie des virologues ? C'est ce qui s'est passé pour "l'isolement" du VIH de 1997.
  20. Déjà, là , ça commence mal. Parce qu'ici, on n'a pas de virus, et donc pas de protéines du virus. Ensuite, ta description de la mise en place du test, c'est de la pure théorie. Dans la réalité, évidemment, on n'a pas fait ça, vu que comme les gens ont tous les protéines en question, ils vont tous réagir positifs. On va voir de façon un peu plus réaliste comment le test est conçu : On a une dizaine de salopards qui vont faire crever des dizaines de milliers de personnes dans des conditions atroces assis autour d'une table. Voici leur conversation. Intervenant 1 "On n'a pas réussi à trouver de virus. Et les protéines qu'on a supposé être des éléments du virus, évidemment, du coup, ce sont des protéines produites par le corps. On les trouve chez tout le monde, c'est chiant pour le test". Intervenant 2 "Pas grave, on va faire la procédure habituelle pour la mise en place du test. Tout le monde n'a pas une quantité identique de ces protéines. On va diluer les tests autant qu'il faudra pour finir par faire réagir la quantité de monde qu'on veut avoir. Et puis, on mettra une zone "indéterminée" relativement large, ce qui laissera une large plage pour l'interprétation de la part des médecins (genre, si la personne a une pneumonie et est homo avec multiples partenaires, le test indéterminé sera considéré comme positif). Facile" Intervenant 1 "Ouai, mais là, du coup, il va falloir diluer à mort pour que tout le monde ne réagisse pas positif" Intervenant 2 "Ouai... On s'en fout. Ca passera comme une lettre à la poste". Là dessus, l'intervenant 8 sort "Et on ne fait pas une procédure de validation du test avec 1000 personnes ayant des symptomes caractéristique du SIDA et 1000 personnes considérées comme saines ?" Et là, toute la salle s'esclaffe de rire. Et Intervenant 1, tout en riant "Hahaha, sacré Intervenant 8, il nous fera toujours rire. Quel déconneur".
  21. Un nouvel article en ligne. C'est la traduction de "Top 100 AIDS Science Inconsistencies" (le Top 100 des incohérences scientifiques sur le SIDA). C'est un "digest" sur le sujet. Toujours bien pour l'argumentation (surtout qu'il y a les références). http://www.sidasante.com/science/top_100_i...rences_sida.htm
  22. Il est connu que le stress psychologique engendre la production de cortisole (ie. l'équivalent naturel de la corstisone). Ma théorie, c'est que le cortisole sert à clarifier le sang, de façon à ce que les nutriments ainsi que l'oxygènes, puissent arriver aux cellules de façon optimale. C'est utile lorsqu'on doit faire un effort. C'est comme un facilitateur de l'effort. Seulement, évidemment, c'est un phénomène qui ne peut pas durer bien longtemps sans provoquer des problèmes. Quelques jours au maximum. Au delà, le problème qui va survenir, c'est que les dechets liés au fonctionnement de l'organisme ayant probablement besoin d'être agrégés pour être évacués, ne vont pas l'être et vont donc rester dans le corps, ce qui provoque un étouffement des cellules. Le corps va moins bien respirer et va donc se fatiguer. Et, si je me souviens bien, la mauvaise respiration des cellules entre dans la catégorie du stress oxydatif. Donc, oui, à mon avis, le stress psychologique conduit très probablement au stress oxydatif et surement au stress des cellules. Edit, et comme dit dans l'extrait cité par Cheminot, on peut très probablement inclure le risque d'inflammations et de tumeurs dans le lot des risques engendrés par un stress continu. Dans la mesure où une inflammation est très souvent liée à un défaut de respiration d'une zone de l'organisme, le fait que les déchets de l'organisme s'accumulent vont engendrer le risque qu'une zone du système lymphatique (qui est une sorte de système d'égout pour le corps) soit bouchée et donc, que les zones adjacentes respirent mal. Idem, de nombreuses tumeurs sont à mon avis dûes à un problème équivalent de bouchage locale du système lymphatique, mais de façon plus sévère. Du coup (ça, c'est la théorie de Kremer et Stefan Lanka), les cellules des zones adjacentes risquent de retourner à un état de développement plus primitif de type bactérien (développement infini), bref, de type tumoral.
  23. Non, ce n'est pas le bon topic pour poster cette question. Va plutot dans "le VIH ne causerait pas le SIDA". Et puis, le site que tu as mis, n'est plus mis à jour. Le bon site, c'est www.sidasante.com .
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