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aixur

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Tout ce qui a été posté par aixur

  1. Tiens, ça me fait penser à une émission passée il y a quelques semaines, où Rocco Sifredi était reçu. Il disait qu'il souffrait régulièrement de cystites qui le faisaient pas mal souffrir. Et ce, parce qu'il faisait trop l'amour. Et je crois me souvenir qu'il disait que c'était un problème courrant dans le milieu du X. Ca me semble normal. En faisant l'amour trop souvent, il doit y avoir du sperme qui doit rester dans le sexe et qui doit irriter le conduit. Par ailleurs, comme quand on fait l'amour, le sang stagne en partie dans le sexe, à trop le laisser stagner, trop souvent, ça doit conduire à un stress oxydatif. Et puis, vu que les substances comme le viagra et les poppers semblent avoir un effet sur l'érection, il est logique que des substances similaires soient en jeu dans l'érection, et qu'en les activant trop souvent, ça conduise au même effet que le viagra ou les poppers ; donc là aussi, un stress oxydatif. Tout ça explique que bien que l'intérieur du sexe de l'homme ne soit pas en contact avec quoique ce soit d'extérieur à lui durant l'amour, il puisse tout de même être endolori à cause de cet acte. Donc, à mon avis, il doit y avoir beaucoup de cas où on diagnostique une MST alors qu'il ne s'agit que d'une simple cystite. Alors, il y a le problème du chancre. Mais, déjà, sa présence n'est pas obligatoire pour diagnostiquer une MST. Et ensuite, les conditions dans lesquelles on attrape une cystite favorisent aussi l'apparition d'un truc qui ressemble à un chancre. Quand on fait l'amour un peu trop souvent dans un temps limité, le gland peut finir par s'irriter à cause du frottement. Donc, comme la cystite est liée au fait d'avoir fait un peu trop souvent l'amour, on se retrouve dans des conditions ou il y a un risque qu'apparraisse aussi une irritation du gland. Et cette irritation peut tout à fait passer pour un chancre (vu que la définition du chancre est relativement floue et qu'en plus, ça passe par le filtre de l'interprétation du médecin). Bref, souvent, on va avoir le cas suivant : quelqu'un fait l'amour un peu trop souvent dans un temps court. A cause de ça, il va se chopper une cystite et une irritation du gland qui ressemble à un chancre. Et pouf, il est diagnostiqué comme ayant une MST. Alors que ça n'a rien à voir. Du coup, la seule solution pour que la douleur disparaisse, c'est une abstinence momentanée, le temps que le corps s'auto-répare. D'ailleurs, dans la discussion du topic de 2004 cité juste avant par Wallypat, c'est ce qu'évoquait Mark. Il disait qu'il avait eu des MST et qu'il n'y avait qu'une solution pour les faire passer : les antibiotiques et l'abstinence. Lui croyait aux antibiotiques et pensait que c'était la cause essentielle de sa guérison. Mais, à mon avis, c'est uniquement l'abstinence qui faisait que sa douleur partait.
  2. Même réponse que Cheminot : as-tu des références expérimentales ? Parce que, jusqu'à maintenant, tu as beaucoup affirmé concernant ces expériences de controle, mais tu n'as pas été capable de nous fournir un papier sur le sujet de l'isolement ou des expériences sur tel ou tel virus, avec des expériences de controle.
  3. Ouai, mais, tout dépend de la façon de présenter les choses. Effectivement, présenté comme tu le fais, ça en impose. Un gars qui a une grippe depuis un mois, c'est sur que ça impressionne. On imagine le gars qui a 40 de fièvre non stop pendant un mois, bref, qui est dans le pic de la crise de grippe pendant un mois. Idem pour un cas de diarrhées persistentes qu'on présenterait de telle façon qu'on croirait que le gars a eu des diarrhées non-stop depuis un mois. Là, on se dit que les gars ne doivent pas aller bien du tout. Seulement, les situations sont en général assez différentes de cette façon de présenter les choses. Un gars dont on va annoncer qu'il a une grippe depuis un mois, ça va être en général plutot quelqu'un qui a eu un épisode grippal éventuellement intense, et qui a encore une toux persistante ou alors, par intermittence, des courbatures. Bref, qui a eu une ou deux semaines intenses et deux ou trois semaines de lente récupération. Pareil, un gars dont on dit qu'il a eu une diarrhée pendant un mois, c'est en fait en général un gars qui a eu des diarrhées par intermittence pendant un mois. Genre, 3 jours de diarrhées, puis une semaine sans rien, puis à nouveau des diarrhées. Ben, sinon, le gars serait mort (parce que, perdre autant d'eau dans des pays chauds comme ça, on ne survit pas longtemps). Et on ne parle pas des pneumonies ou de la tuberculose, qui sont là aussi des trucs qui fonctionnent soit par intermittence, soit sont plus constants dans les symptomes, mais beaucoup moins intenses (genre, petite toux récurrente). Donc, la plupart du temps, les cas ne vont pas être aussi impressionnants que le cas que tu évoques (je parle bien sur de situations normales ; hors situations de guerre, de famine, de sécheresse, etc... où les cas graves peuvent exploser). Et malgré tout, sans test, on va dire que ces gars sont séropositifs et ont le SIDA. Pour rappel, voici les conditions faisant qu'on peut dire, sans test, qu'un africain a le SIDA : Signes majeurs : perte de poids > 10% diarrhée chronique > 1 mois fièvre > 1 mois (constante ou intermittente) Signes mineurs : Toux depuis > 1 mois Démangeaisons généralisées infections récurrentes à HVZ candidose oro-pharyngée infection herpétique chronique progressive et disséminée lymphadénopathie généralisée Critères d’exclusion : Cancer malnutrition sévère autre causes reconnues Le SIDA est défini par l’existence de : au moins 2 signes majeurs et au moins 1 signe mineur en l’absence de tout critère d’exclusion ou en présence d’un sarcome de Kaposi généralisé ou en présence d’une méningite à cryptocoque http://www.sidasante...ion_ouverte.htm On voit bien que les diarrhées ou la fièvre ne sont pas obligatoirement constantes, mais peuvent être intermittentes, ce qui introduit d'énormes possibilités d'interprétation. Ca peut aller du cas très grave au cas benin. Alors, ça peut arriver qu'il y ait des cas impressionnants, mais, ça va être relativement rare. Et ça va surtout être des cas de diarrhées. Ce qui n'est pas étonnant, vu les problèmes de qualité d'eau dans ces pays.
  4. Si l'herpes était lié à la santé du système immunitaire, les séropositifs présentant un système immunitaire affaibli et ayant été diagnostiqués positifs à l'herpes devraient avoir des "boutons de fièvre" en permanence. Ce n'est pas le cas.
  5. C'est clair. Vu le nombre de fois que vous avez été testées, vous avez eu une sacré chance. Et il est clair également que ta mère serait encore en vie à l'heure qu'il est. Et peut-être même ton père (à moins d'une overdose bien sur. Mais il y a plein de gens qui se droguent pendant des années sans faire d'overdose, tout du moins d'overdose fatale). Mais, c'est certainement le cas pour bien d'autres problèmes médicaux que le SIDA. En fait, la médecine tue ou esquinte dans plein d'autres cas. Je crois que si les gens, étudiaient les cas des personnes mortes ou ayant contracté certaines maladies dans leur familles, ils verraient que dans plein de cas, c'est la médecine qui est en cause. Je pense que presque tout le monde a été touché de près ou de loin par les erreurs de la médecine moderne. Mais les gens ne s'en rendent pas compte, parce qu'ils ne font pas le lien entre les traitements ou opérations subies par leur proches (ou eux-mêmes) et les problèmes qui ont suivi. Et d'autres fois, quand ils font le lien et qu'ils posent des questions, on leur fait croire que le traitement était inévitable et que sinon, ça aurait été la mort ou une maladie plus ou moins grave, alors que la plupart du temps, c'est totalement faux. Personnellement, je me suis rendu compte qu'une de mes grand-mères a eu la maladie d'Alzheimer à cause d'une opération. Idem pour une de mes tantes après un traitement contre le cancer. Idem, plus ou moins, pour une autre tante qui avait eu probablement une hémorragie cérébrale l'ayant rendue assez incohérente. Elle s'en remettait rapidement. Mais on lui a donné des antibiotiques qui, à mon avis, l'ont fait rechuter définitivement.
  6. A propos du sidaction, cet après-midi, il y avait l'émission médicale du samedi de France 2. Sidaction oblige, il y avait un sujet sur le SIDA. Ils nous ont montré un gars qui avait été diagnostiqué vers 1984 environ. Bien qu'il ait eu une neuropathie qui l'avait privé pendant un temps de l'usage de ses jambes (ceci à cause des médicaments, dixit le gars) et qui affectait l'usage de ses muscles d'une façon générale, il semblait être à peu près valide (il marchait et bougeait normalement). Bizarre tout de même, qu'après si longtemps sous médoc, après la phase AZT, puis la phase trithérapie le gars soit encore vivant et aille à peu près bien. Ben, comme par hasard, le gars ne prenait plus de médicaments depuis des années. Selon le médecin, c'est un miracle. Ben voyons. Bref, le seul gars à peu près valide, ayant été diagnostiqué il y a plus de 20 ans, qu'ils avaient réussi à choper, était un gars qui ne prenait plus de médicaments depuis des années. C'est la honte quand même pour la thèse officielle, qu'ils n'aient pas été foutus de trouver un gars dans la même situation, mais continuant à prendre des médoc.
  7. Tu dis ça parce que ta mère a été diagnostiquée séropositive alors que ton père l'était ? Du coup, tu penses que le diagnostic de séropositivité vient de ce que ta mère a été contaminée par ton père lors d'une relation sexuelle ? Mais tout est bidon dans cette histoire de VIH et de SIDA : le VIH, les tests, la séropositivité, la définition de la maladie, les statistiques, tout. Tout sauf la létalité des médicaments. Ca, c'est la seule chose qui est réelle. A partir de là, il est clair qu'on oriente comme on veut la pensée des gens. Il suffit de faire croire que les gens qui ont plus de relations sexuelles ou qui s'injectent des drogues ont plus souvent le SIDA pour faire rentrer dans la tête des gens l'idée que c'est une maladie sexuellement transmissible. Il suffit de donner à ces personnes des drogues qui vont les tuer pour faire croire aux gens que c'est une maladie mortelle. Etc, etc... En ce qui concerne les tests, on leur fait dire pour une bonne partie ce qu'on veut ; et en plus, leurs résultats sont aléatoires. Déjà, c'est pas mal à la tête du client. Donc, à cause de cette note de gueule, la compagne d'un séropositif va avoir 10 fois plus de chances d'être diagnostiquée séropositive à partir d'un résultat de test identique que si elle était la compagne d'un prêtre par exemple. Et en plus, le résultat est aléatoire. Les tests ne mesurent pas la présence d'un virus, mais la présence de déchets cellulaires dans l'organisme. Il suffit d'avoir eu récemment une maladie, même bénigne (comme un rhume), une grossesse, un vaccin, une transfusion, etc..., pour que ce taux augmente et que le test passe de négatif à incertain, voir positif. Pour ta mère, ce qui a du se passer, c'est qu'elle a du faire un test à un moment ou elle subissait une des nombreuses causes pouvant entrainer un test positif : grippe, rhume, grossesse, prise de médicaments, etc, etc... Et si jamais le test était plus ou moins incertain, comme elle était la compagne d'un séropositif, et vu l'hystérie du moment vis à vis du SIDA, la conclusion a été "positif", au lieu de "incertain". Donc, dans la tête de quelqu'un qui croit que le VIH existe, ben, ça va valider l'idée que la séropositivité est lié aux relations sexuelles. Eh oui, elle était la compagne d'un séropositif, elle a fait l'amour avec lui, elle a été diagnostiquée séropositive. Donc, c'est forcément par les relations sexuelles que se transmet la séropositivité. Eh oui, mais quand on sait comment fonctionnent les tests et le fait que la tête du client intervient dans le choix de dire si c'est positif ou non, on comprend mieux que les relations sexuelles n'ont rien à voir là dedans.
  8. De toute façon, l'écrasante majorité des séropositifs morts l'ont été à cause des médicaments. Mais, pour tes parents, s'ils ont commencé à être traités vers la fin des années 80, c'est encore plus clair qu'ils sont morts à cause des médicaments. On peut penser qu'ils ont probablement été tués principalement par l'AZT. Mais, s'ils ont réussi à atteindre la période des trithérapies, celles-ci ont du finir d'esquinter leur corps déjà endommagés. Une prise d'antibiotiques peut aussi avoir été le déclencheur.
  9. Par raport à l'expérience de Pierrot, je pense qu'il est utile de voir aussi ce qui peut faire baisser le taux de cd4. A mon avis, plusieurs choses sont susceptibles de faire baisser ce taux : 1) Perte de poids. 2) Jeûne temporaire ou alimentation légère sans perte de poids significative (moins de 2 ou 3 kilos). 3) Prise d'antibiotiques (ce qui pourrait expliquer d'ailleurs, le fait que les cd4 baissent après la maladie. Une personne tombe malade, elle prend des antibiotiques. Le taux de cd4 diminue). Les antibiotique détruisent les cellules qu'il rencontrent. Et donc, ils détruisent les cd4 sanguins. 4) Prise d'anti-inflammatoire (ils ont les mêmes effets que les antibiotiques). J'inclue l'aspirine là dedans. 5) Peut-être certaines substances oxydantes, qui vont probablement elles aussi détruire les cellules rencontrées. 6) Prise de substances naturelles ayant les mêmes effets que les antibiotiques : huiles essentielles, ail, extrait de pépins de pamplemousse. 7) Stress. Ca va induire la production de cortisole par le corps. Et le cortisole a le même effet que la cortisone (qui est un anti-inflammatoire). Par ailleurs, le stress va parfois entrainer un manque d'appétit. On se retrouve alors en plus dans les cas 1 ou 2.
  10. Ouai, donc, la méthode que j'ai donnée (manger plus de protéines et graisses), n'a pas marché. Seulement, apparemment, tu prenais un truc à base d'ail et des huiles essentielles. A mon avis, ça fausse le résultat. Parce que, comme je le disais dans un message un peu après que tu ais parlé du fait que tu prenais de l'ail et des HE, ça a à mon avis le même effet que les antibiotiques (avec une intensité moindre). Ca doit attaquer les parois des cellules et donc, ça doit détruire les cd4 sanguins. Donc, le fait de manger plus protéiné et gras ne sert pas à grand chose dans ces conditions, parce que l'effet de cette alimentation est contrée par l'effet de l'ail et de l'huile essentielle. Du coup, pour le moment, on n'a pas d'expérience non biaisée concernant l'impact d'une alimentation plus protéinée et grasse sur le taux de cd4. Le fait de prendre de l'ail et de l'huile essentielle est à mon avis un facteur qui a du jouer fortement dans la baisse de tes cd4. Ca plus la perte de poids (si je me souviens bien), je pense que ce sont les causes qui ont fait que tes cd4 ont baissé.
  11. aixur

    La méthode PCR

    Je reviendrais plus tard sur le reste. Revenons au coeur du problème soulevé dans mon dernier message. Tu me réponds donc que la méthode PCR est géniale, qu'elle est super spécifique. Donc, aucun problème avec la méthode PCR. Et à toutes les étapes du truc, il n'y a aucun problème ou si peu. Et tu dis que tes expériences montrent que ce que tu obtiens est forcément une chose virale, puisque on ne retrouve pas dans l'échantillon de controle, ce qu'on trouve dans l'échantillon ou est sensé être le virus. Et comme les virologues ont des méthodes standardisées et que ce sont des gens sérieux, la même chose a été faite pour le VIH et est même faite quasi quotidiennement pour l'étudier. Seulement voilà, pour le VIH, on sait qu'il y a des gens qui ont une charge virale, alors qu'il n'ont aucune raison d'avoir le "virus" en eux. Eh oui, vu que c'est une MST qui ne se transmet pas facilement, c'est facile de déterminer que certaines personnes n'ont clairement pas été en contact avec le supposé virus. Donc, puisque, selon toi, la méthode PCR est super spécifique, ben, ce qu'on a identifié chez ces gens, c'est exactement la même chose que ce qu'on a identifié dans les cultures de cellules. Problème : la chose en question est clairement un élément endogène puisque des gens qui ne sont clairement pas en contact avec le "virus", possèdent cette chose dans leur sang. Et ça, ça fout le bordel pour l'interprétation officielle, parce que, si cette particule est endogène, sa présence est du coup liée aux conditions dans lesquelles vivent les cellules. Donc, lors de l'étape 1, celle où on cultive les cellules, si les conditions de culture sont les mêmes, normalement, on devrait retrouver des particules, aussi bien dans la culture du "virus", que dans la culture de controle (sans "virus"). Or, d'après ce que tu dis, ça n'arrive apparemment pas. Donc, soit il y a un problème dans la méthode PCR, soit dans le protocole de l'expérience, soit dans la façon d'appliquer le protocole ou un des deux ou les trois. Eh oui, les 3 étapes (culture de cellule, broyat, et mesure PCR sur la population) étant liées, il suffit qu'une seule montre que la particule recherchée est endogène pour que les deux autres étapes soient invalidées en tant que preuve d'un agent exogène viral. Et là dedans, il est clair que c'est la troisième étape qui est le maillon faible. Tant qu'on reste dans les labos avec des gens qui peuvent soutenir que tout va bien madame la marquise et qu'il n'y a aucun défaut à la méthode, difficile de savoir ce qu'il en est. Mais, avec la troisième étape, ce biais disparait, et on peut voir que les méthode décrites comme correctes sont loin de l'être. Bref, ça m'étonnerais beaucoup que tes expériences soient si nickel que ça. Dans tout ça, ce qui pourrait être sauvé, paradoxalement, c'est la méthode PCR. Puisqu'elle pourrait être valable (parce que spécifique) et le protocole d'expérimentation non valable. Alors que l'inverse n'est pas vrai. A priori, c'est plutot le protocole de culture du "virus" ou son application qui pose problème. Mais, si le protocole ou la façon de l'appliquer a un défaut fatal, alors, le doute est porté sur le reste des méthodes utilisées, dont la méthode PCR.
  12. J'ouvre ce topic pour parler spécifiquement des fraudes sur les statistiques africaines du VIH/SIDA. On n'en avait pas d'ouvert sur ce sujet spécifique et du coup, les infos sont éparpillées sur d'autres topics. Or, c'est important parce que sur sidasante, le sujet est assez moyennement développé. Donc, ce sera utile d'avoir un topic de réflexions et d'informations sur le sujet.
  13. Il est possible que l'ail soit en partie à l'origine de cette baisse des cd4. Je pense que ça agit de la même façon que les antibiotiques et anti-inflammatoires. Ca doit fluidifier le sang et désagréger les cellules (et donc, les cd4). Ca doit le faire de façon moins forte qu'un antibiotique. Donc, ça doit être beaucoup moins dangereux. Mais, en ce qui concerne les cd4, il est bien possible que ça ait un effet. Si par ailleurs, tu avais maigri, les deux mis ensembles peuvent expliquer, à mon avis, la baisse des cd4. Et il est possible que l'He de mente poivrée ait aussi ce genre d'effet. Si tu l'as absorbé par voie digestive, ça peut avoir participé à la baisse des cd4.
  14. http://www.lewrockwell.com/orig7/culshaw1.html Excellent. Avoir une spécialiste des modélisations mathématiques introduite dans le domaine de la recherche sur le SIDA dans nos rangs pourrait nous donner des informations très intéressantes. Déjà, il y a le fait que la mortalité actuelle serait majoritairement due à une défaillance du foie à cause des médicaments. Venant de quelqu'un connaissant si bien les données statistiques du SIDA, c'est une information importante. En plus, elle m'a l'air canon.
  15. Ah ok. comme on était parti sur des histoires d'injection, j'étais parti du coup sur les drogués. Effectivement, si la statistique a été établie sur des transfusions, ça conduit naturellement aux cas des transfusions sanguines sur les hémophiles, plus quelques cas d'accidentés de la route. Seulement, ça ne change rien par rapport à la conclusion que je faisais. Parce que la transfusion sanguine elle-même est connue pour favoriser la séroconversion. Les protéines étrangères qui sont contenues dans le sang tranfusé provoquent un stress dans l'organisme du receveur. Je crois que Stefan Lanka et Heinrich Kremer mettaient en cause en particulier le facteur 8. En plus, les accidentés absorbent de nombreux autres médicaments. Bref, il y a beaucoup trop de biais faussant la statistique pour que celle-ci soit fiable. Sinon pour revenir à l'acte de Willner, si les 90 % de risque d'une séroconversion se font dans le cadre d'une transfusion, le fait de faire une injection avec un tout petit peu de sang n'aurait probablement pas été considéré comme une transfusion et donc, comme un acte entrainant 90 % de risque de séroconversion. Donc, piqure ou injection, ça ne changeait pas grand chose de ce point de vue là. En plus, du coup, si, dans le cas des 90 % de risque d'être contaminé, il s'agit carrément de transfusion, c'était clairement un acte difficile à réaliser pour Willner (surtout sans le soutien des autorités médicales). Sans compter le problème que j'ai déjà soulevé de la compatibilité du sang de Pedro Tocino avec celui de Willner. Et ce, aussi bien pour le problème de la transfusion que pour celui de l'injection. Donc, on comprend qu'il ait privilégié la simple piqure.
  16. Pour en revenir au problème de la piqure et non de l'injection de sang avec une seringue de la part de Willner, en même temps, s'injecter une certaine quantité de sang non compatible avec le sien, même si elle n'est pas très importante, est peut-être dangereux. Donc, il est possible que Willner, par sécurité, n'ait pas fait une injection avec du sang (ce qui aurait peut-être impliqué une quantité pouvant réagir), qui aurait pu le rendre malade par incompatibilité et qu'il se soit donc rabattu sur une simple piqure. Et comme faire une "culture" de "virus" (autre choix possible), ça aurait pris du temps et des moyens techniques et qu'il ne les avait probablement pas, il a choisit l'inoculation directe avec du sang de quelqu'un considéré comme séropositif. Surtout que le choix du sang frappe les esprits. Il n'y a pas de trucage possible. Alors qu'une "culture de virus", on peut toujours se dire qu'il y a un truc, qu'à une étape, on a truandé, etc... Au passage, on peut égratigner cette statistique de risque de 90 % de séroconversion à cause de l'injection de sang. Comment a-t-elle été trouvée ? En injectant du sang de séropositif à des séronégatifs ? Ce qui aurait posé quelques problèmes d'étiques évidemment. Ou, plus probablement, en analysant des cas de gars prenant des drogues par voie intraveineuse et s'échangeant des seringues ? Problème, la prise de drogue est aussi une cause très importante de séroconversion (avec en plus, tout le style de vie qui va avec : absorption de drogues multiples, consommation d'alcool, mauvaise alimentation, prises régulières d'antibiotiques et autres médicaments à causes des pépins de santé qui apparaissent avec cette mauvaise hygiène de vie). Donc, pas très sérieuse certainement, cette statistique.
  17. aixur

    La méthode PCR

    Ben, je sais pas, c'est toi qui me dis qu'on peut "amplifier une séquence de levure avec une amorce faite pour l'ADN humain". Et là, il ne s'agit pas de contaminant, mais simplement du fait que la méthode PCR n'est pas spécifique (ou pas assez). Ben justement. Si l'écart de température entre l'obtention de ce que l'on veut et le rien du tout est si faible, la fourchette dans laquelle se joue le fait que le lien imparfait saute ou pas est extrêmement réduite. Donc, on ne doit pas tellement pouvoir jouer sur la température pour éliminer les mauvaises liaisons tout en gardant celles avec les ADN cibles. Mais, quand même, on ne fait pas l'expérience avec tous les ADN ou ARN qui pourraient se lier avec l'ADN ou ARN amorce. Donc, ce que tu me dis, c'est de la théorie. Avec certains ADN, c'est possible, mais avec d'autres, peut-être pas. Et comme on ne test pas tous les ADN ou ARN... Non, quand j'ai dis "Et quand on travaille avec si peu de matériel génétique, la moindre incertitude peut tout foutre en l'air", c'était relié à ce qui venait après. Ce que je dis, c'est, supposons que tu as des ADN cibles et des ADN non cibles et que l'amorce se lie aussi bien avec l'un qu'avec l'autre. Le problème c'est que tu as très peu de chacun d'entre eux. Alors, il se peut très bien qu'il n'y ait que l'ADN non cible en fait. Et que malgré la température, l'ADN non cible reste lié avec l'amorce. Et là, tu obtiens un résultat alors qu'il n'y a pas d'ADN cible au départ. Le fait qu'il y ait très peu de matériel fait que ça peut se jouer à peu de choses. Il peut y avoir 10 ADN non cibles, et aucun ADN cible, mais la présence de l'ADN non cible, même en très faible quantité, fait réagir le test alors qu'il n'y a rien de ce qu'on cherche. Du coup, ça entraine une forte incertitude sur la validité des résultats. Le problème, c'est que, pour savoir si les amorces sont spécifiques de ce que tu recherches, il faut tester je ne sais pas combien de millier ou de centaines de milliers d'ADN ou ARN différents. Tu ne peux pas dire que ton amorce est spécifique tant que tu n'as pas montré qu'elle ne réagit pas avec d'autres ADN ou ARN. Le controle, il se fait avec très peu de cellules différentes je suppose (parce que la culture de cellule n'en contient pas énorméments de différentes a priori. Et c'est encore pire si c'est basé sur des échantillons filtrés pour n'avoir que des particules de taille virale) Donc, impossible de savoir si, dans des conditions où il y aurait beaucoup de cellules différentes (un test de charge virale par exemple), il n'y aurait pas d'autres ADN ou ARN faisant réagir le test. Tu parles de broyats d'organes infectés, seulement, est-ce qu'à ce moment là, on fait des tests de controle avec un autre broyat ? Et même avec beaucoup d'autres broyats ? Parce que, si ça se joue avec très peu de cellules, un échantillon peut aussi ne pas en contenir. Sinon, qu'est-ce que tu entends par bande contaminante ? Ce qui pose encore le problème des échantillons de controle et de leur nombre. On peut tomber sur une échantillon de controle qui ne va pas réagir. Il faudrait donc plusieurs centaines d'échantillons de controle pour être sur qu'on a bien un truc spécifique. Et se pose apparemment le problème des différentes étapes de vérification (étape 1 : culture de cellule, étape 2 : broyat d'animaux, étape 3 : sang d'animaux ou de personnes lambdas), du nombre de cellules différentes impliquée et aussi du nombre d'échantillons de controle à chaque niveau. Au niveau de la lignée cellulaire, il va probablement y avoir peu de cellules différentes (susceptibles de réagir avec les amorces alors que ce ne sont pas des ADN cibles), ce qui rend moins valable la procédure de controle. On peut penser aussi que le nombre d'échantillons non infectés reste assez faible. Rendant là aussi moins valable la procédure de controle. Cela dit, le problème de cette défense, c'est que quelque soit la cause qui fait réagir la PCR faussement (une particule de stress présente chez beaucoup de monde, ou le fait que la methode PCR réagit avec un peu n'importe quoi), le fait que la PCR réagit faussement positive chez des individus qui n'ont pas le virus, normalement, ça devrait se répercuter sur le stade 1 (l'étape de la culture de cellules), et on devrait avoir des cultures de controle qui devraient réagir positives à la PCR. Parce qu'elles devraient posséder aussi ces particules de stress. Donc, si la PCR ne réagit pas sur les cultures de controle, c'est qu'il y a un problème, soit dans la méthode PCR, soit dans la culture de controle, soit dans la façon de faire des expérimentateurs. Ou alors, ils ne pratiquent pas la méthode PCR sur l'échantillon de controle. Selon ce que tu dis, il ne peut pas y avoir de faux positifs avec la méthode PCR, quelque soit l'étape (culture de cellules, broyat d'animaux de laboratoire, échantillons sanguins d'animal ou d'humain lambas). Selon toi, la méthode PCR est ultra spécifique. Donc, comme il est clair qu'il y a des faux positifs dans le cas des séropositifs au VIH (des gens qui n'ont jamais été en contact avec le virus ont une charge virale), soit c'est parce que la chose qu'on détecte n'est pas virale (une particule de stress par exemple, ou autre chose), soit parce que la méthode PCR déconne. Selon toi, dans ce cas, c'est forcément parce que la méthode PCR ne détecte par un virus mais une particule autre. Donc, pour toi, la méthode PCR reste valable. Seulement, le problème, c'est que ça devrait se répercuter aux étape antérieures. Il y a des particules de stress dans les broyats et dans les cultures de cellules, puisqu'on détecte quelque chose avec le test PCR (la même chose que ce qu'on détecte chez des individus lambdas). Donc, il n'y a pas de problème d'absence de ces particules à ces étapes là. Et du coup, on ne voit pas pourquoi il n'y aurait pas de particules de stress dans les broyats et dans les cultures de cellules de controle (puisque ce sont des particules endogènes, des conditions similaires de culture devraient produire les mêms particules). Et donc, on ne voit pas pourquoi la PCR ne réagirait pas aussi dans les échantillons de controle. Si ça ne le fait pas, c'est donc bien qu'il y a un problème avec la méthode PCR, ou alors dans le protocole d'expérimentation ou alors, parce qu'on n'applique pas la méthode PCR aux échantillons de controle, ou alors, qu'il n'y a tout simplement pas d'échantillon de controle. Donc, il y a un problème sur l'expérience faite avec les cultures de cellules (et les broyats). Et comme, selon toi, la méthodologie est standardisée et donc reprise par tous les virologues, et que les expérimentateurs sont des gens sérieux, si ça déconne pour le VIH, ça peut déconner potentiellement partout, sur toutes les expériences faites avec des virus. Bref, s'il y a des faux positifs à une des étapes, qui impliquent que les particules sont endogènes, il doit y en avoir à toutes les étapes. Ou alors, c'est qu'il y a un problème dans le protocole expérimental.
  18. Sinon, sur le papier de nikoteen. Apparemment, Nikoteen n'a pas eu accès aux journaux espagnols de la semaine en question, ni aux émissions télé. Donc, lui aussi se base sur des témoignages. Donc, pour le moment, je ne vois pas en quoi ça a tellement plus de valeur que ce qui est dit sur les sites dissidents. Je trouve que Nikoteen exige des preuves solides de notre part, mais il est beaucoup moins exigeant pour sa version des faits. Le seules choses fausses sont clairement : la date de 1999 (erreur du seul Sunder, mais malheureusement reproduite sur sidasante ou il y a un article de Sunder. L'erreur va être corrigée). Et peut-être le fait que l'inoculation se soit faite en directe à la télévision. Mais peut-être que le docteur Willner s'est inoculé le sang de Pedro Tocino aussi à la télévision en octobre 1993 (et peut-être un autre jour que le 14, et peut-être que ce n'était même pas en octobre). Mais bon, comme dit Wallypat, c'est un élément assez insignifiant dans la problématique dissidente. Vu qu'il est mort environ un an et demi ou deux ans après sa première injection, son expérience ne signifie rien pour infirmer ou confirmer la thèse dissidente. Enfin, merci quand même à Nikoteen de nous avoir signalé cette petite erreur de date et les quelques imprecisions et incertitudes sur la version dissidentes des faits. Grace à lui (via Wallypat qui a fait des recherches), on sait désormais que Willner a recommencé l'expérience. Ce que personnellement, j'ignorais.
  19. Merci Cheminot. Mais, ensuite, se pose la question : est-ce que Willner avait connaissance de ces chiffres ? Pas sur. Après tout, Internet n'était pas encore démocratisé. Donc, ces données n'étaient pas aisément accessibles, même s'il était docteur. Et il semble que ce fait ait commencé à être connu lors de l'étude sur le taux de contamination des différents types d'actes sexuels. Or, apparemment, cette dernière étude date de 1997 (Padian, voir ici). Et forcément, ça changerait tout par rapport à son geste. Puisque l'important, c'est ce qu'il croyait.
  20. Effectivement, en faisant une nouvelle recherche, j'ai trouvé aussi cette citation sur sidasante. L'erreur vient de Richard Sunder. http://www.sidasante.com/critique/ren.htm Je vais ajouter les précisions en question. Cela dit, il y a un autre texte sur sidasante qui ne parle pas de seringue : http://perso.wanadoo.fr/sidasante/journal/jouwill.htm "J'ai interviewé le Dr Robert E. Willner, qui a pratiqué la médecine à travers le monde pendant plus de 35 ans. Il a récemment abasourdi l'Espagne en s'inoculant en direct à la télévision, un échantillon de sang provenant de Pedro Tocino, un hémophile séropositif." Quant au problème du risque pris en s'inoculant le sang de Pedro Tocino, il faudrait savoir à quel moment les taux de contamination ont été définis. Ce n'est pas sur qu'en 1994, on avait déjà défini que les taux étaient de 3 pour 1000. Et donc, Willner ne savait peut-être pas qu'il ne prenait "officiellement" qu'un risque de 3/1000 de s'inoculer le soi-disant virus.
  21. Là, à mon avis, vous faites référence au site de richard sunder. Sur sidasante, effectivement, il y a un article où il est fait mention de cette histoire d'inoculation, mais il n'y a pas de date de mentionnée. Maintenant, si vous nous disiez quelles informations vous avez concernant cette histoire ; puisque vous savez apparemment ce qui s'est réellement passé. Venez en aux faits.
  22. Ben puisque toi, tu sembles le savoir, dis nous tout. On va pas jouer au chat et à la souris pendant 3 jours.
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