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forum sidasante

aixur

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Tout ce qui a été posté par aixur

  1. Ouai, en fait, tu ne peux faire qu'une réponse de normand parce que tu n'as pas d'expérience sur le sujet. Le problème, ce sont les cas constatés. Au niveau de la théorie tout est lié à la question du dosage. Donc, je pourrais avoir tort comme raison. Ce sont les cas cliniques qui indiquent si ce que je pense est exact ou non. Et les cas, on les a (fille de Christine Maggiore, cas d'enfants vietnamiens mourrant par centaines. Cas de Mark Griffiths, même si ça a été moins rapide). Ces cas indiquent bien que le dosage peut tout à fait être trop important et causer la mort d'une personne. Et puis, comme on ne t'a jamais parlé du problème des hémorragies, difficile de me répondre sur le fond apparemment. Alors tu réponds sur les à cotés. J'aimerais quand même une réponse. Alors, à ton avis, est-ce que les antibiotiques sont susceptibles de créer des hémorragies ou pas ? Sinon, concernant les doses, ok, il y a un dosage en fonction du poids. Mais, comme les médecins ne sont pas conscients du problème des hémorragies, et croient que les antibiotiques ne sont pas dangereux (ils sont conscients qu'il y a des effets secondaires, mais ils estiment qu'ils ne sont pas dangereux, et à court terme, alors là, encore moins), ils sont tout à fait capables de donner une double dose en fonction de la gravité du cas. D'ailleurs, Pierrot dit lui même qu'on lui a prescrit de fortes doses. C'est bien que les doses peuvent varier. Et même sans double dose, si le traitement dure un peu longtemps, l'effet peut-être le même. Et par ailleurs, comme les médecins ne sont pas conscient que l'action des anti-inflammatoires est identique à celle des antibiotiques, ils vont être capables de prescrire les deux en même temps (cas de la fille de Christine Maggiore). Ce qui fait l'équivalent d'une double dose là aussi. Et puis, sur le topic "lobbys médicaux", si tu pouvais me répondre sur le problème que j'ai soulevé pour les greffes.
  2. Encore faut-il que ce soit vraiment une pneumocystose. Or, comme les symptomes ressemblent à ceux de pas mal d'autres maladies, les médecins donnent ce diagnostic comme ils pourraient en donner un autre. Enfin, spécialement si le gars est séropo. Si c'est le cas, et qu'il a des cd4 bas, ben, n'importe quelle fièvre qui dure un peu avec éventuellement un peu de toux (c'est peut-être même pas obligatoire), hop, embalé c'est pesé, c'est une pneumocystose. Cela dit, effectivement, faudrait savoir si Pierrot a pris des trucs avant d'avoir ces épisodes fièvreux.
  3. Je ne conteste pas les effets 2r très fréquents d'ailleurs avec ce produit (mais l'intensité est très variable). Par contre le rapport maigreur ou IMC / action ATB est contestable même si c'est vrai que les "plus gros" ont un métabolisme hépatique notamment augmenté (qui transforme le médicament donc concoure à son élimination sauf cas spécifiques de médicament administrés sous forme inactive) les posologies sont adaptées en fonction du métabolisme. Ex : Bactrim 20mg/kg/j de TMP et 100 mg/kg/j de SMZ en 3 à 4 prises, par voie orale ou IV pdt 3 semaines. Le mg/kg illustre bien que cette différence de morphologie est prise en compte. Et pourtant, il y a clairement des problèmes d'hémorragies (cas de la fille de Christine Maggiore, cas des enfants vietnamiens traités avec du Chloramphenicol). Alors ? Ben alors, le fait de prendre en compte le poids n'est pas suffisant. Pour certaines personnes, relativement rares heureusement, il y a des éléments supplémentaires qui vont entrainer le risque d'hémorragie. Le fait d'être maigre implique que les veines ont des parois moins épaisses que celles des gens qui mangent l'alimentation grasse et protéinée classique (cette alimentation grasse et protéinée va entrainer un dépot sur les veines, épaississant leurs parois). Du coup, là ou elles sont le moins épaisses, les veines risquent de lacher sous l'action désagrégeante de l'antibiotique. Alors que des personnes déjà légèrement en surpoids vont avoir des veines plus épaisses qui vont résister. Comme en plus l'antibiotique a un effet d'aplasie médullaire, la rupture d'une veine est moins facilement réparable. Le deuxième truc qui va faciliter l'hémorragie, c'est le fait que le sang de la personne soit assez fluide, peu encombré de déchets. Comme l'antibiotique désagrège les parois des cellules qu'il rencontre, plus il en rencontre avant de tomber sur les parois des veines, moins il y a d'antibiotique qui rencontre les parois veineuses. C'est comme un seau en fer dans lequel on verserait un acide. Si on le remplit de calcaire, l'acide sera neutralité avant d'arriver sur les parois du seau. Or, quelqu'un qui a jeûné ou qui se nourrit de façon très légère, et avec peu de protéines, va avoir un sang beaucoup moins encombré de déchets que quelqu'un qui mange de façon classique. Donc, l'antibiotique aura beaucoup plus d'effet sur lui. Normalement, ça n'est pas grave parce que ce ne sont que des petites veines qui sont touchées, et ça se répare facilement. Mais dans le cerveau, ça n'est pas le cas. Une hémorragie cérébrale entraine des dommages irreversibles et relativement souvent, la mort. Pour ces personnes maigres et ayant plus ou moins jeûné, le dosage des antibiotiques, même avec la prise en compte du poids est trop important. Cela dit, même pour les personnes en léger surpoids, avec une alimentation occidentale classique, on peut se demander s'il n'y a pas de nombreux cas d'hémorragies cérébrales dont les effets sont cachés, mais réels. Comme c'est un problème qui n'est pas analysé et qu'en plus, c'est en général difficile de s'en apercevoir, il est possible qu'il y ait pas mal de cas de problèmes cognitifs légers après des prises d'antibiotiques. Si une personne séronégative (jeune bien sur) meurt d'une hémorragie cérébrale suite à une prise d'antibiotique, on dira que c'est une crise cardiaque. On jouera les étonnés. On ne comprendra pas comment c'est arrivé. On classera ça dans les mystères de la médecine. Si c'est une personne séropositive, on dira que c'est le SIDA bien sur. Et si c'est en plus un dissident, on dira que ce sont ces malades mentaux de dissidents qui l'ont dissuadé de se soigner avec leurs idées délirantes et dangereuses. Surtout qu'il y a une maladie toute trouvée pour expliquer ça dans le cas d'un séropo qui ne se soigne pas : la toxoplasmose. PS : les anti-inflammatoires entrainent les mêmes problèmes.
  4. Je ne comprends pas ce qu'ont tous les médecins à dire que leur travail est un art. Ca a l'air d'être le dernier truc à la mode de dire ça. Sauf que, un art, on est libre de le faire comme on veut. Alors que les médecins ne le sont pas. Si un médecin s'avise de traiter un cancer avec un peu d'eau sucrée, ou s'il s'avise de faire un vaccin de fabrication maison, il se fera poursuivre par le conseil de l'ordre. Les méthodes de soins sont dictées par les autorités médicales et le médecin ne peut pas s'en écarter ou très peu. Donc, on n'est vraiment pas du tout dans le domaine de l'art. Et puis l'art, ça se fait dans le domaine artistique, donc, il s'agirait plutot d'un artisanat que d'un art (mais c'est sur qu'artisanat, ça fait moins chic. On ne fait pas bac + 12 pour être artisan). Et puis, les médecins revendiquent par ailleurs le coté scientifique de la médecine par rapport aux médecines parallèles. Donc, faudrait savoir. Soit c'est scientifique, soit c'est de l'art, mais ça ne peut pas être les deux. Pour moi, la médecine est une science. Enfin, elle devrait l'être si elle ne déconnait pas autant. Mais, en supposant pendant un instant que, sur onnouscachetout, on soit tous dans l'erreur et que ce soit la médecine officielle qui ait raison, alors, ce serait bien une science. Bien sur, une science imparfaite laissant la place à l'interprétation pour les divers cas traités. Une science en pleine recherche dans certains domaines, donc, susceptible d'adaptation et de changements. Mais globalement, ça serait une science. C'est bien pour ça qu'on paye ces milliers de chercheurs. On ne les paye pas pour faire de l'art, mais de la science.
  5. Effets secondaires du bactrim : nausées, vomissements, éruptions cutanées, aplasie médullaire. Donc, à mon avis, c'est bien un antibiotique qui attaque les parois des cellules et donc, est suceptible de causer des hémorragies cérébrales. Et comme tu as dit que tu étais relativement maigre, à mon avis, c'est spécialement dangereux.
  6. Salut Pierrot. Tu toussais pendant ce dernier mois ? Parce que, franchement, comme pour le mari de zab, je ne vois vraiment pas le rapport entre de simples fièvres qui, en plus, s'en allaient durant la journée, et une pneumocystose. Et je ne vois pas trop en quoi il s'agit d'un truc particulièrement grave. Fais gaffe avec les antibiotiques. Je pense que c'est ça qui a emporté Mark Griffith, et aussi la fille de Christine Maggiore. Et en plus, ça tue sans prévenir. D'un seul coup, l'hémorragie cérébrale est là. Et à ce moment-là, c'est terminé. Il est possible que tes fièvres soient dûes à l'eau que tu absorbes. L'eau de Genève est faiblement minéralisée. Et en plus, il a pas mal plu ces dernières semaines. Donc, il est possible que l'eau se soit déminéralisée encore un peu plus et que ça ait diminué la quantité de sels minéraux dans ton organisme et donc, que ça ait provoqué des fièvres à répétition.
  7. J'aurais des renseignements complémentaires à demander. Quel est son poid et sa taille ? Et pour les symptomes durant le mois de maladie, c'était uniquement ce que tu as déjà dit (il a maigri, il était gris, n'avait plus aucune énergie, plus de libido) ou est-ce qu'il y avait d'autres symptomes ? Parce que je ne vois pas ce qu'un diagnostic de pneumocystose vient faire avec ces symptomes là. Il toussait ? Sinon, le fait d'être faible et de maigrir, je ne vois pas ce que ça a d'étonnant quand on fait un jeûne. Au fait, le jeûne à duré combien de temps et s'est terminé il y a combien de temps ? Pour la fièvre, qu'est-ce qu'il buvait comme eau ? Et est-ce qu'il buvait beaucoup ? Et les trucs aux plantes, c'était quoi ? Il n'a rien pris d'autres comme truc à base de plantes ? Ah, et pour les cd4 à 8, à mon avis, c'est normal s'il vient de jeûner. Est-ce qu'il est sous perfusion à l'hopital ?
  8. Je n'ai pas trop réfléchi au problème de la cicatrisation d'une blessure (enfin, j'y ai pensé un peu, mais sans m'attarder longtemps dessus). Mais ça ne me semble pas présenter un problème difficile par rapport à ma vision des choses. Ce qui crée l'inflammation, c'est le fait que des veines soient cassées, que le sang ne circule plus dans certaines zones. Du coup, certaines zones sont mal alimentées en oxygène. Ce qui crée une inflammation et une douleur. Le corps s'autorépare. Mais selon l'étendue du problème, ça met du temps. Voir, le problème n'est pas réglable et du coup, ça donne une gangrène. Enfin, c'est juste une analyse vite fait. On pourrait rentrer plus dans le détails. Mais d'emblée, comme ça, je ne vois aucune incompatibilité avec ce phénomène et ma vision des choses. Non, ce qui m'a posé question au départ, c'est effectivement le problème des greffes. S'il n'y a pas de système immunitaire, pourquoi y a-t-il rejet des greffes ? Effectivement, problème. En fait, j'en suis venu à l'idée qu'il y a simplement incompatibilité entre les tissus. Je veux dire incompatibilité de structure. Ce n'est pas le système immunitaire qui rejette la greffe, mais la jonction entre les tissus qui ne se fait pas ou mal. Du coup, le tissus greffé n'est pas alimenté en oxygène, ou mal, et se nécrose plus ou moins. D'ailleurs, quand on y réfléchit, c'est plutot l'explication avec l'intervention du système immunitaire qui pose problème. Eh oui. Si le système immunitaire est sensé rejeter le greffon, alors, il faut inhiber le système immunitaire. C'est ce qu'on fait. Oui mais, si le système immunitaire est vraiment inhibé (et il doit l'être très bien pour qu'il n'arrive pas à reconnaitre un truc aussi volumineux qu'un organe), ben, la personne greffée devrait mourir à court terme de maladies microbiennes. Ce serait l'équivalent d'un sidéen en phase terminale. Mais les personnes greffées ne meurent pas d'une maladie microbienne au bout de quelques semaines de traitement immuno-supresseur. Donc, c'est bien que le système immunitaire est toujours parfaitement en place. Mais s'il est toujours parfaitement en place, il devrait rejeter le greffon. Tu vois le problème ? Ben, là non plus, je ne vois pas trop de problème. Il y a bien d'autres explications concernant la régulation des protéines endogènes. Pas besoin d'avoir recourt à un système immunitaire pour ça. Il suffit de limiter la production de la protéine en question. Et sinon, pour ce qui est déjà produit et pour les protéines exogènes, tout est régulé par le système d'élimination des déchets. C'est évacué dans le système d'égout du corps (le système lymphatique). Tout simplement. Et par des systèmes de secours en cas de surcharge de ce dernier (nez qui coule par exemple, éruption cutanée, élimination par les aisselles...).
  9. Je ne crois plus non plus au système immunitaire. S'il n'y a pas de microbes pathogènes, pourquoi aurait-on besoin d'un système immunitaire ? Sans microbes pathogènes, il n'y a plus que de l'air, de l'eau et de la nourriture qui normalement, entrent dans l'organisme. Donc, à quoi servirait une système immunitaire dans ce contexte ? A rien. L'environnement interne est stable et favorable et donc, le corps n'a pas à s'adapter à une environnement interne éventuellement hostile et changeant. A mon avis, il n'y a donc pas de système immunitaire. Je pense qu'il y a simplement un système d'élimination des déchets. Par exemple, dans cette façon de voir, un rhume ou une grippe n'est pas causé par un virus, mais par une surcharge du corps en protéines et graisses (mais surtout protéines je pense), qui sont éliminées par le nez. Ce qui explique qu'on n'ait pas faim lors d'une grippe ; le cerveau supprime la sensation de faim afin qu'on ne surcharge pas le corps en protéines pendant qu'il se débarasse des déchets.
  10. Ouai, mais là, on parle de séropositifs qui veulent refaire le test. Alors, si le médecin a accès à leur dossier médical, ben là c'est mort.
  11. Personnellement, je considère que dans le domaine de la chirurgie, la médecine occidentale fait de bonnes choses (même s'il y a pas mal de trucs qui déconnent même dans ce domaine là et qu'il y a certainement de nombreuses opérations inutiles). Dans l'optique aussi. Et probablement dans un certain nombre de domaines divers. Par contre, je considère qu'il n'y a pas de virus et que les bactéries, elles, existent, mais ne sont pas pathogènes (ou alors de façon indirecte pour un petit nombre d'entre elles, par empoisonnement via toxine, pour le cas du tétanos ou du choléra). Donc, je rejette toute la médecine cherchant à lutter contre les microbes. Et je considère qu'un très grand nombre de maladies non microbiennes chroniques sont dues à des problèmes d'hygiène de vie et de mauvaise alimentation. Donc, là aussi, la médecine occidentale déconne pour l'essentiel. Et pour le cancer, je pense qu'il s'agit d'une maladie liée à un simple embouteillage local des ganglions lymphatiques. Donc, là aussi, je pense que la médecine déconne dans son diagnostic et les solutions proposées. La plupart des médicament, sont à mon avis inutiles et donc, à causes des effets secondaire, je pense que leur usage a un résultat uniquement négatif. Je pense que certains, assez rares, sont utiles sur le court terme et quelques uns (très rares) sur le long terme. Globalement, je pense que le bilan est extrêmement mauvais par rapport à ce qu'on pourrait avoir.
  12. Oui, mais est-ce que d'une façon ou d'une autre, le médecin n'a pas accès à votre dossier médical ? Au moins, à l'étranger, on est sur que non.
  13. Aaaaaah, génial. Carrément génial. J'espère que d'autres se referont tester anonymement. En tout cas, excellente nouvelle.
  14. Tiens, c'est comme le fils Depardieu. Une première opération, puis une deuxième, puis je ne sais pas combien. Et finalement, on lui a coupé la jambe. Dans ma famille, j'ai : 1) Une grand-mère devenue Alzheimer juste après une opération 2) Une tante devenue Alzheimer après un traitement contre le cancer du sein 3) Une autre tante qui avait eu manifestement une hémorragie cérébrale. Mais qui n'était pas très grave, puisqu'elle était capable de s'exprimer de façon logique le jours d'après. Seulement, on lui a donné des antibiotiques 2 jours plus tard, et à partir de ce moment-là, elle n'a plus été capable de sortir quoique ce soit de cohérent. Bref, maintenant, elle est Alzheimer aussi. Peut-être qu'elle l'aurait été sans les antiobitiques. Mais vu les témoignages que j'ai déjà vu sur l'action des antibiotiques, je pense que leur role a été majeur dans le fait de rendre HS son cerveau.
  15. A propos de la protéine gfp évoquée par Nico111, c'est vrai que c'est intéressant pour le problème qui nous intéresse. Voilà une protéine qui est capable de donner une fluorescence verte au virus. Donc, avec cette protéine, il est possible de voir le virus se multiplier. On n'est plus au niveau de l'interprétation par des tests indirects manifestement assez foireux, mais d'une vérification visuelle directe. Donc, pas de possibilité de triche. Ben, étonnement, alors que ce truc existe depuis environs 10/12 ans, on ne l'a apparemment jamais utilisé pour mettre en évidence des virus dans le corps des animaux infectés (ou en tout cas, ça n'a pas marché). Pourtant, ça serait facile de rendre relativement fluorescentes au moins certaines parties du corps d'un animal. Certains virus infectent 80 % des cellules de certains organes, si je me souviens bien. Donc, ça devrait se voir. Quand à l'infection de cellules de culture, j'ai vu effectivement une référence avec une photo. Mais il s'agissait seulement d'une photo d'une cellule infectée avec le virus de la vaccine. Et il s'agissait d'une image reconstituée par ordinateur (donc ça ne vaut rien). Et en plus, même là, on ne voyait pas bien s'il s'agissait de trucs aglutinés autour de la cellule, ou de trucs dans la cellule. Ce qui change tout. Puisqu'on peut introduire des particules qui, dans la culture, à cause du manque d'espace, vont s'agglutiner contre la cellule.
  16. Alors toi, tu as un truc qui permet d'exprimer un gène autre, on te dis que c'est du VIH. Donc, c'est du VIH, puisqu'il permet d'exprimer un gène autre. Bonjour la logique. Tu ne crois pas qu'il faudrait prouver que c'est du VIH d'abord ? Ton truc, ça peut être n'importe quel autre virus. Ce n'est pas parce que ça se reproduit que c'est spécifiquement du VIH. C'est quoi cette histoire ? Jusque là, je n'ai entendu d'histoire de souris verte que dans le cas d'embryon transgénique, pas d'une souris adulte à laquelle on injecterait un "virus". Enfin, en tout cas dans le cas présent, c'est à dire, du VIH, je ne vois pas comment ça serait possible de rendre une souris totalement verte, vu que le VIH n'infecte que les cellules T et qu'il n'infecte qu'une quantité extrêmement faible de celles-ci. Donc, je pense qu'on doit bien utiliser un simple test d'anticorps. Si c'est un truc visible comme la gfp, effectivement, ça se voit qu'elle n'est pas synthétisée par le corps d'habitude. Mais, s'il s'agit d'une protéine invisible, tout est basé sur des tests d'anticorps. Donc, une culture de controle est nécessaire pour voir si dans les conditions de culture utilisées, cette protéine n'est pas détectée par le test d'anticorps en question.
  17. Ok, autant pour moi, je n'avais pas tilté sur la technique en question. Donc, tu dis qu'on a un VIH qui exprimerait une protéine spécifique qui n'est pas exprimée d'habitude si je comprends bien. Premier problème, il faut prouver que c'est un VIH. donc, on retombe sur le même problème que d'habitude. Et là, dessus, ce genre d'expérience ne prouve rien. Donc, tu ne peux pas dire que ce que tu as, c'est un VIH. Donc, je ne vois pas trop en quoi cette technique a un rapport avec la choucroute (ie. prouver que le VIH existe et qu'il est infectieux). Deuxième problème, il faut que la technique de détection de la protéine soit fiable. Or, je suppose qu'on utilise la technique des tests d'anticorps pour déterminer que la protéine produite par les cellules est bien de la protéine introduite. Le problème, c'est qu'on sait bien que les tests en questions ne sont pas fiables parce que non spécifiques. Troisième problème. Bien sur que si qu'il faut une culture de controle. Il faut bien vérifier que les cellules ne produisent pas la protéine en question en temps ordinaire. Donc, pas de culture de controle, pas de validité des expériences en question.
  18. Ben y a déjà sidasante, qui est assez connu (ce qui n'empêche pas monter d'autres sites. Plus il y en aura, mieux ce sera). Le problème, pour toi donc, c'est plutot le forum et l'image d'onnouscachetout. On pourrait monter un forum indépendant. J'y ai pensé. Et j'y viendrais peut-être. Mais, soyons pragmatiques, le problème, c'est qu'il serait totalement inconnu au départ. Et ça mettrait peut-être des années avant qu'il y ait du monde. Alors que le forum onnouscachetout est assez connu et apporte énormément de lecteurs qui sinon, ne seraient probablement pas au courant du problème. C'est l'avantage d'un forum généraliste par rapport à un forum spécialisé. Surtout que les lecteurs qu'il y a ici ont l'esprit ouvert. Et puis, on a déjà une bonne communauté ici, avec des tas de messages. Ouvrir un nouveau forum reviendrait à perdre tous les messages et à éclater peut-être la communauté en deux et la voir diminuer. Ou alors, si on voulait maintenir les deux communauté, il faudrait intervenir sur les deux forums. Ce qui impliquerait de poster deux fois plus de messages, ce qui serait difficilement tenable. Donc, pour le moment, restons sur ce forum et capitalisons sur ce qu'on a déjà en matière de messages et de participants. En plus, il y a une bonne dynamique actuellement. Il y a pas mal de gens qui se joignent au mouvement. On a peut-être atteint les 70 dissidents, voir 80. Donc, il vaut mieux ne toucher à rien pour l'instant. Surtout qu'on a déjà galéré pendant 1 ou 2 ans au début, jusqu'à 2004, avec moins d'une dizaine de personnes dans le mouvement. Je n'ai pas trop envie de prendre le risque de regalérer à nouveau pendant 1 ou 2 ans parce que la communauté aura éventuellement splité. Le problème du fait que les gens seraient rebuttés par les thèmes du genre ovni, etc, est surement un problème pour certaines personnes. Donc, on doit louper des ralliements à cause de ça. Mais à cette étape du mouvement, je pense qu'on a plus besoin de convaincre des gens ouverts. C'est plus facile. Or, comme déjà dit, sur ce forum, il y a essentiellement des gens ouverts. Une fois qu'on aura atteint les 200 ou 300 dissidents, peut-être qu'il sera intéressant d'ouvrir un forum dédié. Mais avant, je pense qu'il vaut mieux rester ici et bénéficier de l'effet "communauté dissidente". Et en plus, pour sortir du pur pragmatisme, moi j'aime bien ce genre auberge espagnole. On n'est pas dans nos murs, mais justement, il y a un petit coté communautaire sympa. Et puis, la qualité des échanges qu'il y a sur ce forum est excellente.
  19. Non, je ne veux pas une liste d'abstracts, mais juste un papier complet (et pas un simple abstract hein) prouvant ce que tu as avancé plus haut. Et je veux un papier avec culture de controle bien sur (c'est que je te vois venir maintenant, gros malin) et la description de celle-ci (pas juste un truc du genre "si si, on l'a faite, je vous jure"). Je ne sais pas pourquoi, je crois que je vais attendre longtemps.
  20. Ben, comme pour d'autres trucs, on veut des sources. Parce que comme d'habitude, tu affirmes, mais tu ne donnes pas de source pour qu'on puisse vérifier tes affirmations.
  21. aixur

    Oxyde nitrique

    Intéressant ça. On pourrait aussi penser que les bronchodilatateurs pour l'asthme entretiennent l'asthme. Ca pourrait avoir un effet bronchodilatateur dans l'instant, puis, un peu après, entretenir l'asthme en entretenant l'inflammation des bronches. Par ailleurs, les asthmatiques inhalent des corticoides et d'autres anti-inflammatoires. Or, il est clair qu'ils augmentent à terme l'inflammation. Bref, les médicaments provoqueraient la maladie, comme dans le cas du SIDA.
  22. Non, elles n'ont pas été contaminées par le VIH, puisque le VIH n'existe pas. Il n'y a pas d'affaire du sang contaminé. Par contre, il y a quand même un problème en ce qui concerne les transfusion, c'est que certains produits sanguins (le facteur 8 essentiellement, si je me souviens bien) agressent l'organisme du transfusé. Donc, ça créé des problèmes sur le long terme. Donc, il est normal que certains hémophiles qui se font souvent transfuser subissent des problèmes de santé (je pense que ça doit affecter surtout le foie). Et comme les non hémophiles qui se font transfuser ont plus de problèmes de santé que la moyenne, il est normal qu'on trouve dans cette population, des gens qui vont avoir un état de santé précaire par la suite (exemple, un gars qui se fait greffer un rein et qui se fait transfuser du sang en même temps. Il peut avoir par la suite des problèmes de santé lié à la greffe du rein). Du coup, quand l'hystérie du SIDA est arrivée, c'était facile de prendre ces hémophiles ayant des problèmes à cause du facteur 8 et de dire que c'était le SIDA. Du coup, on a traité ces personnes avec de l'AZT et une partie est morte à cause de l'AZT. Mais assez peu somme toute (je crois me souvenir que les chiffres du nombre de transfusés soi-disant morts du SIDA sont très faibles). Donc, les seuls transfusés, hémophiles ou non qui sont morts l'ont été à cause de l'AZT.
  23. Juste vite fait une pensée sur un truc que je voulais écrire depuis pas mal de temps (depuis à peu près mes dernières interventions sur ce topic, donc novembre ou décembre environ). En lisant des documents sur le sujet, et spécialement ceux de Etienne de Harven, à mon avis, il y a un problème dans chacune des deux techniques d'isolement (la méthode par microscopie électronique et celle par techniques chimiques). La technique visuelle, par microscopie électronique pose le problème des particules de taille virale qui sont produites dans l'échantillon de controle. Et la technique chimique est entachée de multiples biais qui la rendent non valide elle aussi. Or, il semble que les deux techniques ne se sont jamais rencontrées. Je veux dire par là qu'elles n'ont probablement jamais été utilisées ensembles. Jusqu'au début des années 70 (ou environ), on n'avait pas encore les techniques chimiques permettant de caractériser les virus. Et à partir du début des années 70, on a du commencer à utiliser les techniques chimiques en arrêtant d'utiliser la microscopie électronique. Bref, il n'y a jamais eu d'utilisation conjointe des deux techniques, utilisation conjointe qui aurait pu permettre d'avoir des isolements moins bidonnés. Résultat, probablement qu'aucun virus n'a pu être isolé correctement. Bien sur, les études faites après les travaux d'isolement n'ont pas de valeur, puisqu'elles ne reprennent que certaines des techniques et procédures utilisées lors de l'isolement. PS : Et tout ça, sans même évoquer les virus "isolés" avant les années 40, bien sur.
  24. Vu sur Aids Myth Exposed : le Washington Post vient de publier un papier intitulé "How AIDS in Africa Was Overstated" (comment l'épidémie de SIDA en Afrique a été exagérée). Ils citent une étude menée par ORC Macro, une société de recherche basée à Calverton (dans le Maryland apparemment, bref, aux USA), et financée par l'Agence des Etats-Unis pour le développement international, des donateurs internationaux et divers gouvernements là où les études ont eu lieu. D'après eux, le taux d'infection au Rwanda n'a jamais été de 30 % comme ça a été estimé par d'autres chercheurs, ni 13 % comme ça a été estimé par les Nations-Unis en 1998, mais de seulement 3 %. Remarque, ça ne fait jamais que la 4ème baisse depuis 1998. ils étaient passé à 11,2 % en 2000, 8,9 % en 2002, et 5,1 % en 2004 (chiffres UNAIDS). Bref, ils reconnaissent que les chiffres précédents étaient complètement bidons. Exactement ce que les dissidents disent depuis des années. Enfin, sauf que nous on dit en plus qu'il n'y a carrément pas d'infection. Bref, que le taux est de 0 %. Voici l'article http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/conte...6040502517.html
  25. Oui, un bon médecin. Mais probablement que pour pas mal, la messe sera dite sans même faire d'examen. Ils donneront des antibiotiques pour 15 jours. Et hop, ce sera bon. C'est si facile de ne pas se poser de question et de compter sur les antibiotiques. Je me rappelle d'un reportage d'Envoyé Spécial, ou au Canada, des étudiants d'une petite ville faisaient apparemment des partouzes. Un de ces étudiants a été diagnostiqué comme ayant la syphilis et a avoué l'histoire des orgies. Ben, du coup, tous les étudiant participants à ces partouzes ont été diagnostiqués comme ayant la syphilis, sans qu'aucun test ne soit fait. Et on leur a tous donné un traitement. Effectivement, on ne peut pas rentrer dans la controverse relative à l'existence ou non des virus. Les bactéries en question existent, c'est clair. Mais on peut entrer dans la controverse sur la fiabilité des tests d'anticorps. On sait que pour le VIH : 1) le test detecte des protéines qui sont endogènes et donc, que tout le monde a ; et 2) qu'en plus, les anticorps ne sont pas spécifiques de tel ou tel antigène. Donc, mon avis, c'est que ces défauts des tests VIH se retrouvent aussi dans les test d'anticorpps utilisés pour ces bactéries. On va tester les anticorps pour les bactéries, mais en fait, soient les antigènes testés sont déjà présents dans le corps d'un peu tout le monde, soit les anticorps ne sont pas spécifiques. Et ça peut même être les deux ensembles. Donc, le sang des patients va réagir facilement et il y aura beaucoup de positifs. Et comme il y a relativement peu de monde de testé et que ce sont quasiment toujours des personnes qui viennent voir le médecin parce qu'elles souffrent, il y a peu de risque pour celui-ci d'avoir l'air con parce qu'un gamin de 10 ans ou un hermite qui n'a jamais touché une femme ont réagi positif. Par ailleurs, là aussi, ça doit être des tests à limite plutot que des tests tout ou rien. Donc, ce sont des tests qui dépendent en partie de l'interprétation du médecin et de la tête du client. Donc, selon la quantité d'anticorps, selon leur réactivité, etc..., le test va réagir ou non. Et le fait qu'il y ait une alternative qui est la cystite sert finalement les médecins. Si le test réagit positif, c'est une MST ; sinon, c'est une cystite. A tous les coups le médecin a une explication à fournir. Et puis, au passage, on peut aussi entrer dans la controverse sur la pathogénicité des microbes en question. On peut supposer qu'effectivement ils sont présents, mais qu'ils ne sont pas pathogènes. Ils ne seraient là que parce qu'ils consommeraient par exemple, les déchets cellulaires présents. Donc, il peuvent être là comme effet et non comme cause. Et ils peuvent ne pas être présents tout le temps. Bien sur que oui. De mon point de vue, si ça passe en 15 jours avec des antibiotiques, c'est que ça serait passé en 15 jours sans antibiotiques. C'est le corps qui s'auto-répare. Les antibiotiques ne jouent à mon avis aucun role. Donc, il n'y a qu'à attendre. De toute manière, la personne est condamnée à l'abstinence vue la douleur. Donc, quoiqu'il arrive, le corps impose ce sacrifice. Et même avec les antibiotiques, le médecin impose l'abstinence (pour éviter une nouvelle contamination ou pour éviter de contaminer le partenaire). Alors, de toute manière, c'est une chose qui va être imposée. La seule différence, par rapport à la solution que je préconise, c'est que, à mon avis, les antibiotiques ne servent à rien et donc, qu'il n'y a pas à en prendre. Et je pense même que les antibiotiques sont dangereux pour : le système digestif, les poumons, et surtout, le cerveau chez les personnes maigres. Donc, à mon avis, ce ne sont pas des petites pillules innofensives. Et je ne pense pas que le problème soit grave, ni que ça dure longtemps. Le sexe est simplement fortement endolori. Il y a peu de risques que la personne souffre le martyre bien longtemps. Cela dit, ma vision du problème évite à mon avis certaines rechutes dues à une mauvaise compréhension du problème. Par exemple, le gars qui croit que c'est microbien et qui prend des antibiotiiques peut se dire qu'abstinence sexuelle ça veut dire pas de relations, mais qu'il peut toujours se branler. Ben, avec mon explication, le gars éviterait de faire cette erreur qui va prolonger la douleur.
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