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aixur

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Tout ce qui a été posté par aixur

  1. Vraiment très bien d'avoir trouvé ces chiffres. Parce que tant qu'on ne les a pas, on peut se demander si les personnes diagnostiquées S+ à l'occasion d'une maladie sont plus ou moins nombreuses que celles qui ont appris leur séropositivité sans être malades. De même, on pouvait se demander si les personnes qui étaient malades quand elles ont eu un test positif étaient plus ou moins nombreuses que les personnes tombées malades après avoir découvert leur séropositivité. Sans ces chiffres, on était dans le flou. Là, on sait. Pendant un moment, je pensais que, pour le premier cas, elles étaient plus nombreuses ; enfin, en tout cas, assez nombreuses. Parce que je pensais qu'une grosse proportion de personnes étaient diagnostiquées S+ à l'occasion d'une maladie quelconque. Mais en fait, non. Surtout qu'une grosse proportion des personnes diagnostiquées S+ à l'occasion d'une maladie sont, d'après ce que j'avais lu par ci par là, des personnes immigrées originaires d'Afrique. Population forcément plus fragiles, vu le niveau de vie. Donc, si on ne retenait que les personnes françaises, on aurait peut-être 200 personnes diagnostiquées S+ à l'occasion d'une maladie. A vérifier bien sur, mais ça doit être dans ces eaux là. Bref, c'est dérisoire.
  2. Oui, effectivement, c'est aussi une conclusion qu'on peut tirer de ces chiffres. Conclusion qui est la mienne depuis le début. Moi non plus, je ne crois pas que la séropositivité prédise la venue du SIDA.
  3. Très intéressante considération. Je n'avais pas abordé le problème des personnes ignorant leur séropositivité et ne développant pas le SIDA par cet angle, ou le problème du nombre de personne apprenant leur séropositivité lors d'une test faisant suite à une maladie. Excellent. Va falloir se pencher là-dessus.
  4. J'ai mis en ligne une nouvelle catégorie : "la question de la transmissibilité de la séropositivité". http://www.sidasante.com/themes/transmissi...positivite.html J'en ai profité pour traduire l'article de Robert Root-Bernstein, "le paradoxe des prostituées". Ce n'est pas complet. Je devrais ajouter d'autres documents dans cette catégorie par la suite. Mais bon, pour l'instant, je préfère me concentrer sur la mise en ligne d'une nouvelle catégorie sur l'histoire des singes infectés. Sinon, j'ai mis en ligne le témoignage de Bruno Berthelet. Témoignage qui a déjà été discuté récemment sur le forum d'ailleurs.
  5. Tiens, en faisant une recherche, je suis tombé sur ça : Donc, le fait que les singes ne tombent pas malades (voir, ne deviennent pas séropositifs) est aussi ouvertement admis chez les hortodoxes (ils auraient du mal à ne pas l'admettre, mais ils pourraient ne pas en parler). C'est bien. Ca évite qu'on vienne nous dire que c'est un argument qui ne serait défendu que par les dissidents. Et donc, comme déjà dit dans un message précédent, le troisième postulat de Koch n'est même pas validé par un modèle animal. Or, c'est le seul moyen de prouver que le supposé agent pathogène (on ne parle même pas de virus, vu qu'il n'a pas été isolé) cause la maladie.
  6. aixur

    Pneumocytose Carinii

    Je répondrai en détail un peu plus tard sur la preuve de la présence du P.Carinii. Mais, une des choses qui était plus ou moins sous-entendue quand je disais que la pneumocystose Carinii n'avait aucune réalité avant l'apparition du SIDA, c'est aussi le problème de la preuve de la pathogénicité de ce champignon. A mon avis, on n'a jamais du prouver que ce champignon était non seulement pathogène chez les sidéens, mais même mortel. Comment a-t-on déterminé qu'il était pathogène et mortel ? Pour des raisons éthiques, on n'a bien sur pas du inoculer le champignon à des sidéens. On a simplement du se contenter de corrélations. Sur 100 personnes déclarées sidéennes et ayant des problèmes de toux sèches, de fièvre, qui s'aggravent ou non, voir qui s'accompagnent de décès, on a retrouvé le champignon en question sur X d'entre elles. Ben, voilà, pour les médecins, c'était le responsable. Ils n'ont pas cherché plus loin. Mais ce n'est qu'une corrélation, pas une causalité. Pour que ce soit une causalité, il faut inoculer le champignon carinii à 100 ou 1000 sidéens ayant moins de 200 cd4, et voir s'ils développent la maladie (sidéens n'ayant aucune raison par ailleurs de développer la maladie : prise de médicaments, de drogues, etc...). Ca c'est une causalité. Déterminer le truc après coup, ce n'est qu'une corrélation et ça n'a aucune valeur. Parce que la présence du P. Carinii peut très bien être un effet incident d'une autre cause. Exemple, un agent chimique attaque les bronches, causant des symptomes de pneumonie, et par ailleurs produisant plein de cellules mortes. Les champignons prospèrent sur les cellules mortes et donc, le P. Carinii se multiplie. Les chercheurs ne cherchent pas la cause chimique, mais se concentrent seulement sur les possibles agents biologiques pathogènes. Lorsqu'il y a pneumonie, ils trouvent le P. Carinii. Pour eux, c'est le responsable de la pneumonie. Sauf que, erreur, ce n'est pas du tout le responsable. Donc, très probablement que le P. carinii ne respecte pas le postulat de Koch disant qu'il faut avoir prouvé que le germe provoque la maladie. Donc, même si on prouve que le germe est présent sur un patient (ça, c'est loin d'être sur, je répondrai à ça dans un autre post), ça ne prouve absolument pas que c'est lui le responsable de la pneumocystose. Ce qui serait déjà suffisant pour invalider la problématique que tu a soulevée sur la preuve de la présence du germe chez les sidéens qui ont une pneumocystose. Mais, je pense qu'on peut aller plus loin et remettre aussi en cause la preuve que c'est bien le germe en question qui est présent. Mais, autre problème qui peut invalider la problématique que tu as soulevée. Le germe peut tout à fait être présent chez tout le monde. Dès lors, même prouver sa présence ne prouve rien quand à la cause de la maladie, puisque comme tout le monde l'a sur soi, le fait de le trouver n'a rien de particulier, rien de spécifique aux malades en question. PS : au passage, quel chance que les sidéens n'attrapent pas plus souvent de rhumes et de grippes. Parce que comme ceux-ci sont soi-disant causés par des virus, il n'y aurait pas d'antibiotiques pour pouvoir les soigner, et ça conduirait invariablement à la mort. Mais, ouf, les sidéens n'attrapent que des pneumocystoses bactériennes ou carinii, qu'on peut fort heureusement soigner par antibiotiques. Ouai, ça c'est de la chance.
  7. aixur

    Pneumocytose Carinii

    Ah, c'est très bien d'aborder ce sujet. Je voulais justement faire un topic sur les maladies opportunistes du SIDA. Et cette maladie étant une des plus communes pour le SIDA, si ce n'est la plus commune, c'est bien qu'il y ait un topic dessus. J'ai fait une recherche rapide sur la pneumocystose carinii, que j'essaierais de compléter par la suite. Déjà, on apprend sur Wikipedia que l'infection à P. Carinii est très courante dans la population générale, de l'ordre de 70 % (90 % dans le livre d'Etienne de Harven, les 10 plus gros mensonges sur le SIDA). Ok d'accord. C'est comme la toxoplasmose. En fait, tout le monde est ou a été infecté. Donc, ce n'est pas difficile de trouver le germe. Tout le monde l'a (ou/et a des anticorps au germe). On aurait pu croire que c'était une forme rare de champignon causant une pneumocystose. Mais pas du tout. Il est présent partout. Mais alors, comment savoir si la pneumocystose est bien causée par le P. Carinii, s'il est présent chez tout le monde ? On ne peut se reposer que sur les symptomes. Or, les symptomes ne sont pas du tout spécifiques de cette seule maladie. Sur Wikipedia, on a les symptomes suivants : instauration d'une toux sèche qui se majore peu à peu, accompagnée de fièvre et d'altération de l'état général. Super spécifiques comme symptomes. Ca pourrait être un peu tout et n'importe quoi. Mais non, on sait que c'est du P. Carinii. En l'absence de traitement, l'évolution se fait vers un tableau de pneumonie interstitielle diffuse avec insuffisance respiratoire aiguë. Ouai, donc, ça va d'une petite toux sèche à une insuffisance respiratoire aigue. Bref, les symptome sont tellement larges qu'on peut dire tout et n'importe quoi sur cette maladie. Tout symptome de ce genre peut être mis sous la catégorie "P. Carinii". Et comme on n'a que les symptomes pour déterminer s'il s'agit, ou non, de pneumonie carinii, c'est la voie ouverte à toutes les interprétations personnelles. Alors, soit disant, on sait que ce du P. Carinii, parce qu'on a donné des antibiotiques au patient et que ça n'a rien donné. Donc, par ce fait, on a éliminé la possibilité que ce soit une pneumocystose d'origine microbienne. Sauf qu'il semble bien que souvent, si ce n'est la plupart du temps, pour les séropositifs (c'est à dire les seuls qui soient concernés par cette histoire de pneumonie carinii, avec les greffés), on ne passe pas par cette étape des antibiotiques destinés aux autres types de pneumonie. On déclare directement que c'est une pneumocystose Carinii. Donc, à ce moment-là, rebelote, le diagnostic est fait complètement au pif. Surtout que même en passant par cette étape des antibiotiques, on ne peut pas savoir si c'est un problème qui n'est pas lié à un germe pathogène (et qui donc, ne réagira pas aux antibiotiques), comme de l'asthme par exemple. Et en fait, comme il y a forcément des cas qui ne réagissent pas aux antibiotiques, et c'est forcément le cas pour les malades en état de faiblesse comme les sidéens, on peut penser qu'on a simplement inventé une nouvelle cause de pneumonie pour expliquer ce fait en ce qui concerne les soi-disants immunodéprimés. Une explication ad hoc bien pratique. Ensuite, il est ajouté que ça ne conduit à une maladie pulmonaire que lorsque le taux de lymphocytes T CD4+ circulants est inférieur à 200/ml. Donc, avant le SIDA et les traitements pour les greffes, cette maladie n'avait aucune réalité. Ca a été inventé pour l'occasion, presque en même temps que le SIDA en fait. Au final, on peut penser que si une personne "normale" a une toux sèche avec de la fièvre, résistante aux antibiotiques, le médecin va simplement penser que c'est bizarre. Il va prescrire du repos à la personne, ou quelque chose comme ça. Et, si ça dure longtemps, il va finir par faire un diagnostic d'asthme par exemple. Tandis que si la personne est catégorisée séropositive, là, tout d'un coup, le médecin ne va pas se la jouer "bof, on ne sait pas trop ce que c'est", mais va sortir ce diagnostic de Pneumocystose Carinii quasiment immédiatement. C'est le diagnostic à la tête du client.
  8. Ah oui, effectivement. Je ne me souvenais pas exactement du taux de décès considérés comme dûs au SIDA. 37 %, ça craint pour l'hortodoxie (enfin, juste un fait de plus ou ça déconne complètement pour l'hortodoxie). Tu pourrais nous faire un topic intitulé "le nombre de décès considérés comme dus au SIDA par l'hortodoxie" ? Ca centraliserait ce problème important dans un seul topic, Et ça m'aiderait à le retrouver plus tard. Merci d'avance.
  9. Non, la transfusion sanguine ne transmet pas le SIDA, ça a tendance à provoquer la séropositivité (ou plutot, la réaction positive au test). C'est très différent. Sinon, je pense qu'il faudrait que ce soit ta femme qui refasse le test. Viduité, séropositif présent sur ce forum, l'a refait, et le résultat a été négatif (donc, ex-séropositif maintenant). Voilà qui pourrait lui faire remettre en cause de façon très efficace la validité de ce que les médecins lui ont dit jusque là. Bien sur, comme l'historique de la personne semble compter dans le restultat du test (la note de gueule), il faudrait faire comme viduité : faire un test anonyme, de préférence dans un pays différent du votre, tout ça en se présentant comme quelqu'un d'absolument pas à risque. Il faudrait probablement éviter de prendre du fer une semaine ou deux avant le test. Peut-être bien que ça aide le test à réagir positif.
  10. Bonne année à tous. Et bonne santé (mais bon, comme le VIH n'existe pas, déjà, ça aide bien). Espérons que la dissidence se répendra encore plus cette année et qu'on en aura bientot fini avec cette connerie de théorie VIH/SIDA.
  11. En tant que dissidents, on peut remarquer que dans cette affaire Sevran, les journalistes ainsi que Pascal Sevran ont tout d'un coup totalement oublié le fait que l'Afrique soit ravagée par le SIDA et donc que le problème de l'Afrique n'est pas le controle des naissances puisqu'il va y avoir dans certains pays dans les 20 ou 30 % des gens qui vont mourir. Sans compter la chute de natalité, vu que ce sont les gens en age d'avoir des enfants qui meurent (cf les villages africains ou il ne reste plus que les vieux et les jeunes). Au contraire, selon la logique que nous serinent les journalistes à longueur d'année, le problème serait plutot l'usage du préservatif pour empêcher l'épidémie de SIDA de s'étendre. Mais non, là, d'un seul coup, c'est la trop grande natalité des africains qui pose problème. Oublier si facilement les fondamentaux du discours horthodoxe, seulement deux semaines après la journée mondiale contre le SIDA, ça la fout mal. En tout cas, c'est marrant cette capacité à avoir deux idées totalement contradictoires dans la tête, et à passer de l'une à l'autre en ne tiltant absolument jamais sur le fait qu'il y a comme un petit problème de logique. D'ailleurs, je crois me souvenir qu'avant d'être dissident, c'était une contradiction que j'avais vue et qui m'avait fait douter. Discours officiel "l'Afrique est ravagée par le SIDA" + "l'Afrique a une trop grande croissance démographique. Moi, "Euh, attends là, si l'Afrique a une croissance démographique si importante, et ça c'est sur, c'est qu'ils ne doivent pas être si nombreux à être malades". Mais bon, sans la dissidence, je n'avais pas la clef pour remettre en cause plus en profondeur le truc.
  12. A moins que je ne me trompe, je ne crois pas que Lanka ait parlé du Chikungunya. Il a parlé de la grippe aviaire, mais pas du Chikungunya. Cela dit, comme c'est un problème surtout français, peut-être que cette histoire n'a pas trop franchi les frontières, ce qui expliquerait le silence de Stefan Lanka sur le sujet. J'avais aussi écrit quelques trucs sur ça. Vu les symptomes en question, je pense qu'il peut s'agir de problème d'eau contenant trop peu de sels minéraux, comme c'est le cas dans ces iles. Et en période de saison des pluies, c'est évidemment encore plus le cas (l'eau de pluie a encore moins le temps de se charger en sel minéraux). Surtout qu'avec la chaleur humide, on a tendance à transpirer et à boire plus. En buvant de l'eau contenant trop peu de sels minéraux, le corps va être lessivé de ses sels minéraux (qu'il perd déjà en grandes quantités à cause de la transpiration), et vu que les sels minéraux sont essentiels aux muscles, leur manque va provoquer des courbatures, de la fièvre, etc... D'ailleurs, le fait que le Chikungunya réagisse très bien à l'absorption de chlorure de magnesium va tout à fait dans ce sens là. A mon avis, vu qu'il s'agit d'îles, il y a une solution encore moins cher : le plasma de Quinton. Il s'agit d'eau de mer mélangée à de l'eau douce (avec un rapport de 2/5ème d'eau de mer je crois). L'eau de mer étant riche en sels minéraux divers, et étant gratuite et disponible en grande quantité, ce serait une solution simple pour empêcher le problème de survenir durant ces périodes là. Evidemment, ça ne pourrait rien faire contre le diabète, ou le surpoids, qui engendrent aussi ce genre de problèmes, ou encore, les travaux des champs pénibles, qui engendrent des problème de rhumatismes. Or, dans l'hystérie, on a bien évidemment inclus des cas classiques de symptomes de diabète, de surpoids, de maladies professionnelles, etc..., dans la catégorie Chikungunya. Bien sur, comme les moustiques se multiplient à ces époques de saison des pluies, et qu'ils piquent beaucoup de monde, si on croit aux microbes pathogènes, on a un coupable tout désigné. Mais, à mon avis, ces pauvres moustiques ne sont responsables de rien. D'ailleurs, j'ai généralisé cette idée du problème de l'eau manquant de sels minéraux au paludisme. Quand on observe le truc, on a bien l'impression qu'il s'agit d'un problème similaire. A mon avis, le paludisme, c'est aussi un problème d'eau (j'avais fait un topic là-dessus : paludisme, les moustiques, ou l'eau ?). Ce serait effectivement intéressant de connaitre l'opinion de Lanka sur le sujet. Mais, je ne sais pas trop comment le contacter. J'avais essayé, il y a quelques années, sur 2 adresses email différentes, sans succès.
  13. Le problème de Lanka, c'est qu'il n'a rien développé. Il a juste fait un article disant qu'il avait fait des recherches à propos de divers virus considérés comme pathogènes, et qu'il n'y avait aucune preuve qu'ils aient été correctement isolés. Point. Pour les grandes épidémies, j'ai fait quelques recherches et j'ai écris des messages sur le sujet sur ce forum. Par exemple, pour la peste, il faut bien garder à l'esprit qu'il s'agit d'un problème analysé à posteriori, pas au moment où les évènements se sont passés. Les témoignages sont apparemment peu nombreux, peu précis et souvent peu fiables. Alors, comme ce sont des évènements qui se sont passés il y a des siècles, on ne peut pas dire que tout ça soit très digne de confiance. Par ailleurs, certains évènements peuvent expliquer différents épisodes de soi-disante peste. Par exemple, je me souviens avoir lu que, lors d'un épisode de peste à Marseille, il y avait une sécheresse et donc, il y avait des problèmes d'approvisionnement en eau. C'était un problème fréquent à Marseille. Du coup, on peut se demander si l'épidémie en question n'était pas un simple problème de pollution de l'eau (genre tannerie, fleuve servant d'égout, ou autre industrie reversant ses déchets dans l'eau, comme ça se faisait à l'époque en toute inconscience). Pour les épidémies européennes de peste, il y a par ailleurs des scientifiques qui ont déclaré qu'il était impossible que l'épidémie se soit propagée à la vitesse à laquelle c'est sensé l'avoir fait. Dans la mesure où ce sont les puces des rats qui étaient sensées transmettre l'épidémie, jamais la propagation n'aurait pu être aussi foudroyante. Donc, même certains scientifiques sont dubitatifs à propos de cette histoire de grande peste. A mon avis, les études faites au 19ème siècles, en plein délire microbien, étaient orientées pour justifier la théorie microbienne, et en fait, elles ne reposaient pas sur grand chose. Tout ça sans compter les symptomes de la peste bubonique. Je ne crois pas qu'on ait jamais vu les bubons en question. D'ailleurs, hors bubons, les symptomes ont l'air très flous, ce qui est bien pratique pour inclure tout et n'importe quoi dans la dénomination de peste et donc, trouver à coup sur ce qu'on cherche. En fait, je crois avoir lu qu'à l'époque, les médecins n'avaient même pas vraiment de nom pour la peste elle-même. Pestis, c'était plutot la pestilence ou un truc comme ça (donc, tout et n'importe quoi en fait). Donc, dire que quand les textes anciens parlent de pestis, il s'agit d'une maladie bien particulière et définie (à savoir, la peste), c'est complètement fallacieux. De toute façon, quand on voit que même en 2006, on peut faire croire qu'il y a une épidémie de SIDA en Afrique, ayant tué des millions de personnes, alors qu'il n'y a rien, on se dit que c'est un jeu d'enfant de faire croire à des épidémies bidons dans les siècles passés.
  14. Effectivement, mais, dans la mesure ou je rapportais ce que dit la version officielle, c'était contenu dans ce que je disais. Bien sur, ma position est encore plus révolutionnaire que celle de Lanka, puisque j'inclus aussi les bactéries dans la remise en cause (sauf certaines pour lesquelle je suis d'accord avec l'orthodoxie quand à leur action indirecte, comme la toxine du tétanos ou la toxine cholérique).
  15. Duesberg dit avec force que les microbes ne sont pas la cause première des maladies. Peu à peu, à cause de la réflexion qu'ils portent sur le sida et le vih, tous ces chercheurs en arrivent à cette conclusion plus globale, que ce soient les gens de Perth, Heinrich Kremer, Stefan Lanka....et Peter Duesberg. Voir Barnesworld Attention avec l'expression en question. Parce qu'on peut prendre ça de deux façons : 1) les microbes ne causent pas les maladies dites microbiennes. 2) les maladies microbiennes ne représentent qu'une petite partie du total des maladies. C'est la deuxième façon de comprendre la chose dont parle Duseberg. C'est très différent du 1). C'est infiniment moins révolutionnaire. C'est juste la constatation d'un état de fait. Ca ne va pas bien loin. Parce que les partisans des germes pathogènes ont alors beau jeu de dire que c'est la vaccination, les antibiotiques, etc..., qui sont la cause de la diminution des malades et morts dus aux maladies microbiennes. Et que si ceux-ci n'étaient pas là, les maladies microbiennes représenteraient une part beaucoup plus importante des malades. Et ils n'ont qu'à citer l'Afrique pour plus que relativiser les propos de Duesberg concernant la proportion que représente les malades dus aux germes pathogènes dans le total des malades. Par ailleurs, les partisans de la théorie des germes pathogènes peuvent ressortir l'idée du danger de la mutation des germes. Effectivement, dans ce cas là, il y a danger que ce qui était vrai hier concernant la faible proportion des malades dus aux microbes pathogènes, ne le soit plus demain. Ce qui peut justifier le maintien de l'hystérie à propos des microbes pathogènes. Ca aurait été étonnant, quand même, que Duesberg devienne si révolutionnaire à 70 ans. Alors que ça fait des années qu'il adopte une position assez conservatrice parmi les dissidents. La position de Stefan Lanka est beaucoup plus radicale.
  16. C'est important cette histoire des singes. Bon, déjà en soit. Mais aussi parce que, du coup, le 3ème postulat de koch "le microbe purifié doit à son tour provoquer la maladie lorsqu'on l'inocule à un autre patient" n'est pas rempli. On n'a pas inoculé le "VIH" (enfin, ce qu'on croit être le VIH) aux humains pour raisons étiques. Et les singes auxquels on l'a inoculé n'ont pas développé la maladie. Donc, le troisième postulat de Koch n'est pas rempli.
  17. Tu veux faire un test malgré tout ce qu'il y a sur ce site et sur sidasante ? Je ne comprends pas trop là. Mais, si tu fais quand même le test. Il est clair qu'il ne faut surtout pas le faire pendant une période de prise d'antibiotiques, ni même un peu après. Il faut le faire longtemps après, genre quelques mois (et plutot minimum 3 ou 4, que 2).
  18. aixur

    "VIH" et vaccins ...

    Pour les hémophiles, c'est probablement parce qu'on a arrêté de les tester en masse (en fait, on ne doit plus les tester du tout). Si on le refaisait, on trouverait des séropositifs. Sinon, pour le sang contaminé, c'est absurde comme l'a relevé Stefan Lanka. Le sang est conservé sous forme de poudre. Or, le VIH ne résiste pas au séchage, selon l'orthodoxie. Donc, selon l'orthodoxie elle-même, il n'est pas possible qu'il y ait eu contamination par ce biais là.
  19. Intéressante l'interview de Lynn Gannett (qui a travaillé pendant 3 ans comme chercheuse sur l'AZT) dans "deconstructing the myth of AIDS" (à 1h03). Elle dit que lors de l'étude sur l'AZT, en fait, les effets négatifs de l'AZT, souvent, n'étaient tout simplement pas enregistrés par les responsables de l'étude. Forcément, si on ne rapporte pas les effets secondaires qui sont rapportés par les participants à l'essai clinique, on peut faire passer de la mort aux rats pour un médicament. http://video.google.com/videoplay?docid=39...&q=myth+of+aids
  20. Super. Merci Wallypat. Ca va faire l'objet d'une catégorie sur sidasante. Ca manquait.
  21. Ah non. Vu le titre de l'autre topic, quelqu'un qui chercherait l'information sur les chimpanzés ne trouverait jamais ce qu'il cherche. Surtout que, comme je le dis en début de topic, c'est une question qui revient régulièrement de la part des orthodoxes. Il faut que quelqu'un qui cherche sur le net ou sur onnouscachetout puisse trouver facilement l'information. Copions plutot les informations concernant les singes de l'autre topic vers celui-ci. Surtout que l'autre sujet est beaucoup plus général. PS : mais merci pour le lien. Si le présent topic est conservé, ça nous fera des infos supplémentaires.
  22. Parfois, il y a l'histoire des singes infectés par le VIH qui revient sur le tapis. Jusque là, je ne savais pas trop de quoi il retournait. Mais je suis tombé sur les deux documents suivants qui disent qu'en fait, les singes vont très bien. Ce qui a poussé l'hortodoxie à dire que ceux-ci ne sont pas sensibles au VIH. L'un d'entre eux était sur sidasante (donc, je suis plutot retombé dessus), et l'autre, ce sont les 20 questions insolubles de Darin Brown (question 15). Sida : catastrophe virale ou catastrophe scientifique ? et http://barnesworld.b...ivaids_hyp.html (je traduirai le passage) Voilà ce qu'il y a dans "Sida : catastrophe virale ou catastrophe scientifique ?". Sinon, il y a aussi le livre d'Etienne de Harven, ou il en parle (p.221). S'il y a d'autres dissidents qui ont d'autres infos là-dessus, je suis preneur.
  23. aixur

    La méthode PCR

    Un autre problème est celui de la séquence d'ADN utilisée pour la PCR et l'identification de cette séquence. En fait, si je comprends bien, a priori, on doit avoir la séquence qui est créée et identifiée en amont de la réalisation de la PCR. On doit créer une séquence synthétique d'ADN. et, quand on fait la PCR, on n'identifie pas la séquence à la fin de la PCR. Parce qu'on doit la "voir" par une autre méthode (fluorescence par exemple). On doit se contenter de la localiser. Si c'est bien le cas, alors, le problème de l'identification de l'ADN se pose une seule fois, lors de la création de la séquence synthétique. Et la vérification de cette séquence aussi se fait une seule fois. Ce qui fait que si cette séquence est bidon, on ne peut pas le vérifier après. Or, comme vu sur ce topic, l'identification des séquences d'ADN a tout du bidonnage complet. Donc, en l'absence de vérification, les possibilités de truande de l'ADN synthétique sont énormes. Surtout que la création de l'ADN synthétique se fait dans les laboratoires pharmaeutiques. Donc, pas chez des gens qu'on pourrait qualifier d'indépendants et d'honnêtes. Et du coup, on ne s'étonne pas que les biologistes ne trouvent pas de résultats divergeants lorsqu'ils analysent l'ADN. Tout simplement parce qu'ils ne l'analysent pas. Probablement que, parfois, ils l'analysent. Mais ça doit être fait pour des recherches particulières (analyses de mutation de l'ADN par exemple). Ca ne doit pas être fait souvent. Et dans ce cas, la méthode PCR serait vraiment le meilleur moyen pour truander l'analyse de l'ADN. Bon, alors bien sur, il est possible que ça ne se passe pas comme ça et qu'une analyse de l'ADN soit faite lors de chaque PCR. Seulement, lors de mes lectures sur la méthode PCR, la partie analyse de l'ADN n'est en général pas évoquée. Donc, on peut penser que c'est parce qu'il n'y a pas d'analyse qui est faite et que ça se passe comme je l'ai dit. D'ailleurs, quand j'ai posé la question de l'identification de l'ADN à la fin de la PCR, ici et ailleurs, à chaque fois, j'avais l'impression qu'on me répondait à coté, qu'on éludait le problème et qu'on me disait que la réponse se situait au départ de la procédure. Ce qui irait, là aussi, dans le sens de ce que j'ai dit dans ce message.
  24. Une statistique qui va dans le sens de ce que j'avance dans le premier message du topic. Vu dans the prostitute paradox, de Robert Root-Bernstein : Je disais donc que les dilutions étant beaucoup moins importantes pour les tests d'anticorps de ces maladies, on devrait avoir des taux de positifs très élevés. Et c'est le cas pour les prostituées. Alors bien sur, si on reprend le point de vu officiel, on va dire que c'est parce que les prostituées ont de très nombreux contacts non protégés, et donc, qu'à terme, elles finissent par attraper ces maladies. Seulement, problème, la prévalence de ces maladies est extrêmement basse en occident. Par exemple pour la syphilis, en France, on parle de quelques centaines de cas par an (peut-être uniquement des prostituées du coup). A une époque, c'était moins de 100 cas par an (en plus, une partie de la communauté homo était touchée, ce qui retire d'autant plus de cas pour infecter des prostituées). Donc, on voit mal comment 50 % des prostituées pourraient être contaminées. Surtout qu'il y a de nouvelles arrivantes tous les ans. A mon avis, si on testait systématiquement la population générale, on trouverait les mêmes taux.
  25. Oui, tout à fait. C'est une réflexion que je me faisais aussi il y a quelques jours. A mon avis, la plupart du temps, on va chercher le dernier transmetteur du VIH, mais sans aller plus loin (et parfois, on ne fera même pas ça et la cause restera inconnue). Parce que, comme le dit Liane, si on devait chercher plus loin (le contamineur du contamineur), ben, on ne trouverait rien. Et c'est sur que ça la foutrait mal. Alors, pour ne pas passer pour des cons, les medecins orthodoxes évitent d'être trop curieux et de remonter trop loin dans la chaine de "la contamination".
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