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forum sidasante

aixur

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Tout ce qui a été posté par aixur

  1. Moi je ne crois pas à la sincérité de ce genre de réponse. Si le gars s'en fout, il devrait alors pouvoir considérer d'un oeil détaché les informations dissidentes. S'il ne le fait pas, c'est en fait parce qu'il ne s'en fout pas et qu'il défend l'autorité a priori, de façon pas détachée du tout (parce que, pour refuser de considérer un truc qui ne le concerne pas directement, il faut vraiment être hystériquement attaché à justifier, ou au moins ne pas remettre en cause, le discours de l'autorité). Ca me rappelle un forum littéraire ou un gars a parlé de la dissidence. Les gens de ce forum semblaient considérer ça comme quelque chose d'important, mais sans plus. Ils ne semblaient pas plus concernés que ça. Et ils semblaient se foutre de la problématique de l'autorité comme de l'an 40. Le fait que l'ensemble de la médecine condamne le discours dissident ne les affectait pas le moins du monde. C'était des gens à l'esprit apparemment très ouvert. Et du coup, comme par hasard, ils considéraient les informations sur le sujet avec une certaine bienveillance. Ils ont pris la peine de lire des informations et ils ont trouvé que c'était crédible. On sentait qu'ils n'allaient pas s'investir plus que ça dans le sujet. Mais ils ont pris la peine de se renseigner et de réfléchir un minimum en gardant l'esprit ouvert. Ca, c'était vraiment des gens détachés.
  2. Il ne faudrait pas qu'il ait été hétérosexuel et fidèle en amour en tout cas. Parce que vu la vitesse à laquelle se transmet le virus lors des contacts hétéros vaginaux (genre un contact contaminant sur 5 ans), il aurait fallu 30 ans avant qu'il y ait l'ombre d'un début d'infection dans... l'arrondissement où habitait le gars en question. J'exagère, mais à peine. En plus, ça n'explique pas que l'infection se soit répandue de façon aussi homogène dans les pays occidentaux, et de façon encore beaucoup plus exponentielle dans les pays africains, même dans des villages pourtant très enclavés et avec des villageois n'ayant pas un rond pour se payer des prostituées. Mais pas dans les pays d'Amérique du sud ou du sud-est de l'Asie, où pour ces derniers, il y a pourtant une prostitution importante dans certaines villes. Et puis il faudrait déjà que le virus VIH ait été isolé. Juste un détail bien sur.
  3. Pour la partie "isolation du vih", le premier titre, quoiqu'un peu plus long, me paraissais mieux. Parce que comme on va y parler des tests, que c'est important, et que ça ne rallonge pas trop le titre, à mon avis, autant le mentionner. En plus, ça permet de voir qu'on va parler de sujets connexes à l'isolement pur. Par ailleurs, concernant le terme "isolation", j'ai l'impression que c'est plutot "isolement" le terme correct. Isolation, c'est plutot utilisé pour l'isolation thermique ou accoustique d'une maison. Je m'étais posé la question il y a longtemps, et j'en étais venu à cette conclusion.
  4. Oui, ça me semble bien comme catégories. Sinon, pour : "Réactions de l’orthodoxie et de la dissidence du sida lorsqu’elles sont confrontées", et autres « coups de gueule", c'est peut-être un peu long comme titre, à voir. Cela dit, on a 372 topics pour l'instant. Avec 9 catégories, ça ne ferait plus en moyenne qu'environ 40 topics par catégories. C'est sur que ce sera beaucoup plus clair. Mais ça risque de faire un peu vide peut-être. Et un forum vide, ça attire moins le chalant. En même temps, là, c'est bien résumé. Je vois difficilement une catégorisation avec beaucoup moins de catégories. Et c'est vrai qu'on a quand même besoin de catégorisation du forum. Donc, a priori, ça me semble bien.
  5. Oui, c'est vrai qu'on en avait parlé. Cela dit, j'hésite un peu, parce que comme il n'y a pas des milliers de topics, ça risque peut-être de faire un peu vide. Faut voir.
  6. Pas tout à fait. Parce qu'il y a une donnée du problème qui reste. Les patients pensent qu'ils ont une maladie mortelle, et les médecins aussi. Et même si le patient est un dissident et qu'il ne pense pas avoir de maladie mortelle, les médecins eux le pensent. A partir de là, le problème est que les médecins vont avoir tendance à transformer n'importe quelle maladie bénigne en maladie très grave. Une grippe va être considérée comme une pneumonie. Ou alors, par mesure de précaution, une petite maladie va être traitée avec des antibiotiques. Or, pour les maladies d'élimination comme le rhume ou la grippe, les antibiotiques vont bloquer le processus d'élimination et vont avoir tendance à faire récidiver la personne. Résultat, après une ou deux rechute, au lieu d'un diagnostic de grippe ou de rhume, on aura un diagnostic de pneumonie. De même, des migraines vont conduire au soupçon de toxoplasmose. Or, les examens de toxoplasmoses sont bidons et on aura tendance à la trouver chez un peu n'importe qui. Donc, le soupçon a de forte chance de se transformer en certitude et la personne va avoir un diagnostic de toxoplasmose alors qu'elle n'a rien. La prise d'antibiotiques contre la toxoplasmose va confirmer fallacieusement le diagnostic, puisque les antibiotiques attaquent les vaisseaux sanguins et ont tendance à provoquer des migraines, des troubles de la cognition, de la mémoire, etc..., ce qui sera mis sur le compte de la toxoplasmose. Sans compter le stress. Déjà, le type de stress qu'engendre l'annonce de la séropositivité va avoir tendance à faire s'effondrer la forme physique de la personne (par réaction physiologique directe, mais aussi manque de sommeil par exemple, ou manque d'appétit). Mais, en plus, la réaction de l'organisme à ce stress va avoir tendance donner l'impression aux médecin que la personne est passée au stade sida. Un stress prolongé va aboutir à la surproduction de cortisol dans un premier temps. Ce qui va entrainer une redistribution de l'eau dans le corps (vers le centre du corps, c'est un mécanisme de sauvegarde). Mais à terme, la production de cortisol va finir par s'effondrer. Et là, l'eau va suivre le parcours inverse et quitter le centre du corps pour aller vers les membres. Ce qui va aboutir à des symptomes comme une hypotension (donc, une baisse importante de vigueur physique, une fatigue continuelle), des rash cutanés sur les membres, etc.... Mais en plus, comme il y a alors plus d'eau dans les membres, le taux de cd4 va mécaniquement baisser dans ces endroits là (puisque la dilution sera plus grande). Or, comme c'est là qu'on fait les prises de sang pour les cd4, on va conclure que le taux de cd4 s'effondre et donc, que la personne est passée au stade sida. En fait, pour bien faire, il faudrait que l'expérience soit en double aveugle, donc qu'aussi bien les patients que les médecins ne sachent rien de l'état du patient. Là, on verrait qu'une personne n'ayant jamais pris de médicament et n'ayant pas fait réagir le test pour des raisons de fond (genre prise de drogues ou maladie chronique), prenons l'exemple d'une femme enceinte, a une espérance de vie moyenne identique au reste de la population. Là, pour le moment, quand on parle de telles expérience, il s'agit d'expérience où aussi bien le patient que le médecin sait que la personne est séropositive. Ca influence tout le reste du parcours de la personne. Dans ces conditions, les seuls cas qu'on pourrait considérer comme représentatifs sans double aveugle, ce serait les séropositifs n'ayant jamais pris de médicaments, ne voulant pas entendre parler de traitement de la part des médecins, inaccessible au discours alarmiste des médecins, refusant de croire aux diagnostics alarmistes pour le moindre symptôme bénin ou ordinaire de maladie, ne croyant pas aux diagnostics un peu trop bien adaptés aux séropositifs du genre toxoplasmose. Là, on pourrait commencer à discuter (même si pour tout cas de mort, les médecins, sachant la séropositivité de la personne, auraient tendance à mettre la mort sur le compte du sida). Et même là, l'expérience de Mark Griffiths nous montre qu'à l'intérieur de cette catégorie de séropositifs, il peut y avoir encore des failles. Parce que de tels dissidents peuvent utiliser des méthodes de soins naturelles et en même temps des médicaments allopathiques. Or, certaines des premières méthodes sont incompatibles avec la prise de certains médicaments. Par exemple, la pratique du jeûne est incompatible avec la prise d'antibiotique, qui ont tendance à créer des hémorragies (et moins la personne mange, plus elle est maigre et plus l'antibiotique créé des hémorragies graves, d'où le danger de pratiquer un jeûne en même temps qu'on prend des antibiotiques). C'est ce qui s'est passé pour Mark qui a jeûné et pris des antibiotiques, et qui est mort de ce qui semble clairement être une hémorragie cérébrale.
  7. Bonjour Glubutz, Bienvenue sur le forum. Et pas de problème pour utiliser les articles.
  8. Bon, Compte supprimé. Pour les partisans de la thèse officielle, si vous voulez intervenir sur ce forum, vous venez avec des arguments sérieux pour remettre en cause la théorie dissidente. Sinon, bye bye. Et il est évident qu'un post comme celui de Giovanni, qui fait comme si rien n'avait été dit par la dissidence sur ce forum pendant 5 ans, amènera un bannissement immédiat.
  9. Je pense qu'au moins, ça régresse. A mon avis (voir ce topic), les trithérapies agissent comme des corticoïdes, voir sont carrément des corticoïdes. Or, à l'arrêt des corticothérapies, l'embonpoint engendré lors du traitement a tendance à fortement régresser. Donc, pour les trithérapies, c'est la même chose. Ce qui se passe, c'est qu'il y a une redistribution de l'eau dans le corps. Lors de la prise de ces médicaments, l'eau se concentre dans le tronc. Et lors de l'arrêt, l'eau migre vers les membres. Du coup, la graisse de la bosse de bison se vide son eau et la bosse diminue fortement de taille. Par contre, comme pour une corticothérapie, il faut arrêter progressivement la trithérapie. Parce que sinon, ça engendre des effets physiques désagréables. On ne peut pas avoir une redistribution masssive (et déséquilibrée) de l'eau dans le corps sans ressentir des symptomes pénibles divers et variés.
  10. aixur

    nouvelle

    Désolé, mais a priori, le texte est définitivement perdu. A moins éventuellement que vous ayez toujours la page de prévisualisation d'affichée. Auquel cas, peut-être qu'en faisant retour en arrière (flèche gauche du navigateur), vous pourriez récupérer le texte. Mais il faut qu'il soit toujours en mémoire. Comme quoi, il est préférable de copier son texte dans un éditeur de texte quelconque avant de publier. On ne sait jamais.
  11. Je me demandais combien de temps durent les effets négatifs, lors de l'arrêt d'une trithérapie. Je viens d'avoir un début de réponse. Une personne sur le forum Aidsmyth Exposed vient de dire que ça lui avait pris 4 mois pour commencer à se sentir mieux après l'arrêt de la trithérapie (un combo AZT, 3tc, Sustiva pris pendant 11 ans). Elle a été vraiment mal pendant ce temps là. Puis, ça a commencé à aller mieux. Et depuis 1 mois, elle est en super forme. Donc, la durée des effets négatifs de l'arrêt doit tourner autour de ces eaux là , dans les 4 à 6 mois, le temps que le corps se remette à produire du cortisol.
  12. Je viens d'avoir un début de réponse pour la durée des effets lors de l'arrêt d'une trithérapie. Une personne sur le forum Aidsmyth Exposed vient de dire que ça lui avait pris 4 mois pour commencer à se sentir mieux après l'arrêt de la trithérapie (un combo AZT, 3tc, Sustiva pris pendant 11 ans). Elle a été vraiment mal pendant ce temps là. Puis, ça a commencé à aller mieux. Et depuis 1 mois, elle est en super forme. Donc, la durée des effets négatifs de l'arrêt doit tourner autour de ces eaux là , dans les 4 à 6 mois, le temps que le corps se remette à produire du cortisol. Non. Elle n'a pas encore donné de nouvelles.
  13. Non, je ne te l'aurais pas demandé. En 2 ans et des poussières, alors que tu te présentes comme un spécialiste en biologie, je n'ai à peu près rien appris avec toi sur le sujet. Tu as tendance à répondre à coté de la plaque et à ne pas être clair dans tes réponses. Je dirais même que tu as tendance à embrouiller le truc. C'est peut-être volontaire d'ailleurs. Qui sait ? On a d'ailleurs deux exemples dans ta réponse. Non, là, je parle de de la façon dont on obtient les antigènes. Donc, réponse à coté de la plaque. Et là, réponse pas clair du tout. Donc, je vais continuer à chercher par moi-même, ou en demandant à d'autres personnes. A mon avis, ça sera plus rapide.
  14. En relisant ce témoignage, effectivement, ça ressort exactement d'un manque de cortisole. Comme l'eau migre vers les membres (bras et jambes), la pression dans le coeur est moins grande. Du coup, il y a baisse de tension. Il y a également de la fièvre par manque d'eau dans le tronc. Et les poumons étant eux aussi déshydratés, il y a un fort risque de bronchite persistante. Et tout ça peut durer pendant des mois. C'est ce qui était arrivé au père de Babo. Au début, ça allait à peu près bien. Puis, il y a eu un manque de forme qui a trainé pendant des mois. Le problème, c'est qu'on ne sait pas trop combien de temps ça peut trainer ce problème de manque de cortisole. Il faudrait voir du coté des gens qui en ont pris pendant longtemps, puis, ont arrêté.
  15. Bonjour Vanilly, Bon, déjà, officiellement, le risque de devenir séropositif par rapport sexuel est de 1 sur 1000 ou 2000. Donc, avec 3 rapports avec un séropositif, tu n'as qu'une chance sur 300 ou 600 de devenir séropositive. Donc, même si le gars était séropositif, ça serait un peu trop "manque de bol" que tu deviennes séropositive au bout de seulement 3 rapports. C'est loin d'être impossible bien sur (puisque, une chance sur disons 450, ce n'est pas si faible), mais quand même. Et tout ça en ne considérant que la thèse officielle. Donc, bizarre quand même que tu soit devenue séropositive après seulement 3 rapports. Surtout que le gars avait l'air de dire que finalement, il était séronégatif. Mais bon, venons en aux idées dissidentes. Là, la séropositivité va devenir moins bizarre. A mon avis, ce sont clairement les antibiotiques que tu as pris qui ont fait que tes tests ont été positifs ; aussi bien pour le CMV que pour le VIH. Et c'est aussi le responsable de tes migraines et douleurs de la rétine. Un des effets des antibiotiques est de désagréger les cellules du corps humain. Donc, ça attaque les parois des vaisseaux sanguins comme de l'acide. Et ça va esquinter spécialement les petits vaisseaux sanguins. Donc, ça a commencé à attaquer les vaisseaux sanguins de tes yeux et du cerveau. D'où les migraines et les douleurs de la rétine. En ce qui concerne l'influence des antibiotiques sur les tests, je pense que les tests d'anticorps mesurent en réalité la quantité de petites particules présentes dans le sang. Plus il y en a, plus le test va risquer de devenir positif. Or, l'antibiotique, en désagrégeant les cellules, va multiplier les petites particules dans le sang. Donc, après une prise d'antibiotiques, les tests d'anticorps vont avoir tendance à réagir positifs. Et c'est ce qui t'es arrivée. Donc, en réalité, tu n'es positive ni au CMV, ni au VIH. Il suffirait de refaire les tests d'ici 3 ou 4 mois pour que selon toute probabilité, ils soient négatifs (spécialement pour le VIH qui a été mis au point pour faire réagir un pourcentage assez faible des personnes faisant le test. Pour le CMV, c'est moins sur). Quand aux symptomes de départ, tu as du juste avoir une tourista ou une simple gastro, ou encore peut-être une déshydratation due à la chaleur.
  16. aixur

    "VIH" et vaccins ...

    En tout cas, c'est intéressant. On peut penser qu'on tient là le taux de séroconversion moyen des test d'anticorps. 24 sur 741, ça fait 3,2 % de séroconversion (ou 21 sur 762, ça fait 2,7 %). Bref, dans les 3 % de séroconversion en moyenne.
  17. Intéressant. Je suis tombé sur ça (sur wikipédia), très certainement écrit par Cheminot. C'est une discussion sur le test Elisa et le problème du cut'off : "Il y a des tests qui dosent uniquement l'antigène P24 (par exemple HIV-1 Ag EIA de biorad), des tests qui dosent les anticorps - aux antigènes gag et env le plus souvent - (par exemple Anti HIV EIA de Roche), voire les deux (Axsym Ag Ac VIH de Abott). Evidemment, pour doser l'antigène P24 (Biorad), les cupules sont tapissées avec des anticorps monoclonaux de souris (on leur a injecté la protéine P24, et elles ont fabriqué ces anticorps). Puis on laisse l'antigène P24 se lier à ces cupules, on lave, pour éliminer toutes les protéines qui ne se sont pas fixées. Ensuite, on passe un conjugué qui est formé d'anticorps anti-P24 obtenus cette fois-ci chez des moutons. Sur ces ces anticorps est greffée de la biotine, puis un second conjugué (avidine) est lié à ces anticorps biotinylés. Ce second conjugué est une peroxydase qui va oxyder la tétraméthylbenzidine en quinone très colorée. La coloration dépend bien entendu de la concentration en antigène P24." Très intéressant tout ça. Donc, le mystère des anticorps de "synthèse" est levé. Il ne s'agit que de simples anticorps de souris. C'est sur que ça fait vachement moins high-tech que le terme "anticorps des synthèse". Il n'y aura plus qu'à déterminer comment sont obtenus les antigènes de synthèse, et on aura fait le tour de la question. Au passage, se pose la question de la variabilité de la réactivité de ces anticorps de souris avec les antigènes dans le sang du patient. Parce que, si comme on le suppose, il y a un rapport entre le groupe sanguin d'un être humain et sa susceptibilité à réagir positif, il est possible que des phénomènes de ce genre se retrouvent chez la souris. On ne sait pas si des phénomène de stress pourraient rendre les anticorps plus réactifs. Et du coup, il est possible que les anticorps d'un groupe de souris soient plus réactifs que ceux d'un autre groupe. Ce qui ferait que tel groupe de tests pourrait réagir de façon plus importante qu'un autre. ------------ Et surtout, il y a l'information sur le lavage. Depuis quelque temps, j'avais pensé à la possibilité qu'il y ait une sélection en fonction de la taille des particules à un moment ou à un autre dans la procédure. Et c'est là que ça doit se trouver. Parce que, bien sur, lors du lavage, il faut sélectionner les cellules qui doivent rester (sinon, tout partirait dans le lavage). Et ça, on le fait forcément en fonction de la taille (ou du poids moléculaire, c'est le même principe). Mais, quand on présente la technique en version "grand public" (la version simplifiée), et même apparemment la version à destination des médecins, on ne donne pas ces importants détails techniques. On dit qu'on met simplement le sang en contact avec les anticorps ou les antigènes, que ça donne une coloration, et c'est tout. Donc, il y a bien une sélection des particules détectées en fonction de la taille. Il ne reste plus qu'à déterminer en quoi ça joue dans le résultat final.
  18. Oui, pour d'autres raisons, je pense aussi qu'une telle chose est possible. A mon avis, les tests réagissent en fait à la quantité de particules présentes dans le sang, sans aucune spécificité. Il s'agit d'un collage. Et ce collage se fait par une attirance électromagnétique. Du coup, si on a des éléments favorisant le collage électromagnétique dans le sang d'une personne, le test peut réagir plus facilement positif. Et il est possible que les cellules d'un individu appartenant à tel groupe sanguin aient une plus grande attirance électromagnétique avec les particules du test. Donc, ce serait effectivement intéressant de voir ce qu'il en est.
  19. Oui Ecliptux est passé à autre chose et à fermé le forum onnouscachetout. Du coup, j'ai repris cette partie du forum avec l'accord d'Ecliptux. C'est donc maintenant un forum spécifiquement consacré à la dissidence. Tu fais bien d'arrêter progressivement ta trithérapie. Je ne sais pas si tu as vu mon topic sur le sujet. A mon, avis, les trithérapies, ce sont simplement des corticothérapies. C'est pour ça qu'il ne faut pas les arrêter d'un coup. Parce que comme une corticothérapie, si on arrête d'un coup, ça va entrainer plein d'effets physiologiques désagréables, liés en grande partie à un décentrage de l'eau dans le corps. Ton expérience va dans ce sens. Tu as arrêté le 26 juillet 2006, et le 10 aout, tu ressentais les effets physiologiques en question (certainement que ton taux de cortisol était en train de s'effondrer). Ca rejoint d'autres expériences qui ont été reportées sur le forum. Sinon, à mon avis, la baisse des cd4 lors de l'arrêt brutal est une illusion. La quantité de cd4 dans le sang est toujours la même, mais comme il y a d'un seul coup 2 fois plus d'eau dans les bras quand on arrête la trithérapie, les cd4 sont dilués. Le taux de cd4 est donc divisé par deux. Mais, d'un autre coté, le taux est deux fois plus élevé dans le tronc. La variation est donc liée à un phénomène local. Si on faisait un prélèvement dans le tronc, le taux de cd4 serait à mon avis 2 fois plus élevé que dans le bras (donc, un taux considéré comme bon). Et c'est bien sur l'inverse quand on prend la trithérapie. Il y a alors 2 fois plus de cd4 dans le bras (là où on fait la prise de sang), et il y en a deux fois moins dans le tronc. D'ailleurs, corolaire de tout ça, l'indicateur a surveiller est le taux de cortisol dans le sang. S'il se met à tomber rapidement, tu recommenceras probablement à ressentir les effets que tu avais déjà ressentis. Il faut le faire évoluer lentement, histoire que le décentrage de l'eau se fasse progressivement. Et il ne faut pas non plus qu'il tombe en dessous d'un niveau normal. Sinon, ce sera pareil je pense.
  20. De toutes façons, ce n'est pas très étonnant que les trithérapies soient des corticothérapies. J'en viens de plus en plus à penser qu'il y a en gros 4 types de médicaments. 1) Les médicaments à base de minéraux (surtout des métaux), comme le mercure ou l'arsenic. Médicaments en général très dangereux. Ils ont été utilisés depuis très longtemps, et ont du voir leur utilisation augmenter entre la renaissance et la fin du 19ème siècle, avant d'être petit à petit abandonnés. 2) Les médicaments à base de plante. Utilisés depuis la préhistoire. Très dangereux également. Parce que le plantes contiennent des composés actifs très puissants qui leur servent pour gérer le manque d'eau ou le froid. Et ces principes actifs vont attaquer les cellules et créer des saignements. 3) Les médicaments basés sur les produits actifs utilisés par les champignons. Utilisés depuis le 20ème siècle. Très dangereux également ; pour à peu près les mêmes raisons que les médicaments à base de plante (attaquent les cellules et créent des hémorragies), même si la cause est différente. 4) Les médicaments basés sur des hormones synthétiques (ou non). Utilisés aussi depuis le 20ème siècle. Là, dans la mesure où il s'agit de médicaments basés sur des produits utilisés par le corps, l'effet va être moins létal (en tout cas moins rapidement). On peut les prendre pendant des mois, voir des années. Donc, dans la mesure où les deuxièmes et troisièmes types de médicaments sont excessivement dangereux à moyen terme, et que les trithérapies permettent une survie plus longue, alors qu'elles sont fortement dosées, et qu'en plus, elles ne causent pas de saignements, il est clair qu'elles ne peuvent appartenir qu'à la catégorie des médicaments basés sur les hormones naturelles. Et surtout, comme il n'y a pas 36 types de médicaments possibles, un médicament qui a un effet similaire à un autre ne peut appartenir qu'à la même catégorie (sauf dans le cas des plantes et des antibiotiques, qui ont des effets relativement similaires). Et vu que les effets secondaires des trithérapies, à la prise comme à l'arrêt, sont similaires à ceux de la cortisone, il y a peu de chances que ce soit autre chose que de la cortisone.
  21. Bon, génial, ça marche. Oui, des théories niant le lien entre le vih et le sida persistent sur Internet. Et j'ai comme l'impression qu'elles vont persister longtemps.
  22. Pourquoi y a-t-il plus ou moins de telle ou telle protéine quand un test Western Blot est réalisé (gp120, p24, p41, etc...) ? Pourquoi untel va réagir positif aux bandes p24 et p41, et pas à la gp120 ? A mon avis, c'est peut-être bien un problème de polymérisation, ou autrement dit d'agrégation plus ou moins importante des protéines dans le sang. En fait, il est bien possible que les protéines en question ne soient pas forcément des protéines ayant une identité propre, mais soient souvent des agrégations de protéines plus petites. Il faut voir que ce qui différencie une protéine de l'autre dans ces tests, c'est une différence de poids moléculaire, c'est à dire, de taille. Donc, avec un test non spécifique, il suffit que des protéines aient polymérisé, c'est à dire, se soient agrégées les unes aux autres un peu plus ou un peu moins, et on va avoir un peu plus ou un peu moins de protéines de telle taille. Par exemple, prenons la gp120, qui est une des plus grosses protéines du test WB pour le VIH. Il suffit que les protéines de plus petite taille se soient agrégées un peu plus (par exemple 5 p24 pourraient donner une gp120), et il y aura plus de gp120. Si elles se sont moins agrégées, il y aura moins de gp120 et peut-être plus de gp41. Bien sur, il y aura toujours un peu de gp120. Mais ce n'est pas grave, puisque ce sont des tests à limite. S'il y a peu de gp120, on considèrera qu'il n'y en a pas. Il faut voir que les protéines sont des particules qui se collent les unes aux autres. Donc, une agrégation de celles-ci entre elles est une idée parfaitement normale. C'est bien des protéines dont on se sert pour avoir un liant, en pâtisserie. D'où viendrait l'agrégation ? Ben, peut-être de la concentration du sang en protéines (un sang plus concentré entraine la présence de plus grosses protéines à cause d'une agrégation plus importante). Et ceci, soit à cause de l'hydratation plus ou moins grande du sang à l'endroit ou est faite la prise de sang (le bras en général). Soit à cause de la phase de la maladie dans laquelle est la personne. Supposons qu'en fait, lors d'un certain nombre de maladies il y ait une production de déchets plus ou moins grande selon la phase de la maladie. Ca va aboutir à une concentration plus ou moins grande de protéines. Et il y a peut-être d'autres causes qui favorisent ou non l'agrégation ou la désagrégation des protéines (médicaments par exemple, ou certaines substances comme le magnésium). Peut-être que même une fois le sang prélevé, les protéines vont continuer à s'agréger. Donc, il doit y avoir pas mal de facteurs qui vont faire que les protéines vont être plus ou moins agrégées entre elles et qu'il va donc y en avoir plus ou moins à tel ou tel endroit du test Western Blot.
  23. aixur

    La méthode PCR

    On peut faire les deux. L'un n'empêche pas l'autre. Ca fait deux arguments au lieu d'un. Par ailleurs, c'est une technique clef dans l'isolement des virus. Et puis, le fait qu'il y ait des variations dans la charge virale à partir d'un même échantillon sanguin va bien dans le sens de l'idée que la technique n'est pas spécifique. Et enfin, comme je te l'ai dit, je vise aussi la critique de l'existence de l'adn. Plein de raisons que me poussent à remettre en cause la pcr. Je ne me limite pas à la problématique du vih. Ben justement, si c'est partout dans les bouquins, tu ne devrais avoir aucune difficulté à me donner des preuves. Cela dit, ça ne nous mènerait pas bien loin, vu que comme je l'ai dit, la preuve est reportée sur le séquençage. C'est le séquençage qu'il faut réfuter. Heureusement, depuis deux jours, j'ai une explication alternative sur ce sujet, qui est dérivée de celle que j'ai donnée sur la pcr. Eh oui, effectivement, si on a un truc de départ plus petit, c'est que l'amorce n'est pas spécifique. Effectivement, c'est logique par rapport à l'orthodoxie. Ca lui permet d'expliquer pourquoi il y a erreur si l'amorce est trop petite. Mais bon, ça ne réfute pas ma théorie. Et puis, tu continues à te contredire, puisque, avant tu avais bien dit que la taille de départ n'avait pas d'importance. Bien sur, parce que, pour les autres virus, il n'y a pas de dissidence pour mettre le doigt sur le problème. Mais je suis sur que si on calculait la charge virale plusieurs fois sur un même échantillon pour d'autres virus, on obtiendrait le même genre de variabilité. Je ne trouve pas que ce soit énorme. On reste à une échelle de taille très petite. Ben, c'est exactement ce que je disais. Le temps de chauffe influe sur la longueur de l'agrégation obtenue. Par ailleurs, ma théorie cadre mieux avec un temps de chauffe aussi court. C'est quand même très bizarre qu'en aussi peu de temps, les nucléotides arrivent à se ranger parfaitement dans le bon ordre le long d'un ruban. Tandis qu'avec ma théorie, ce n'est pas étonnant que des polymères soient capable de s'agréger en grumeaux de façon anarchique pendant ce court temps. Je rebondis là dessus à nouveau. c'est un truc qui m'avait déjà fait tilter. C'est vrai qu'il y a des pcr foireuses. Et qu'est-ce qu'on fait alors ? On recommence la pcr. Bref, on veut obtenir quelque chose de précis (parce qu'on sait ce qu'on veut obtenir), et quand on ne l'obtient pas, on recommence jusqu'à ce qu'on l'obtienne. Ben, forcément, comme ça, c'est sur que souvent, on va finir par obtenir à peu près ce qu'on veut. D'ailleurs, j'aimerais bien savoir le taux de réussite d'une pcr.
  24. aixur

    La méthode PCR

    Oui, mais comme la technique en question permet d'inventer des résultats, on en vient à être obligé de réfuter carrément la technique en question. En plus, je cherche à aller plus loin que le problème de l'isolement d'un virus. Je cherche à remettre en cause l'identification de l'adn. Ca, c'est toi qui l'affirme. Il faut le prouver. Cela dit, c'est vrai que la pcr peut foirer. Si on chauffe trop longtemps ou pas assez, la taille des particules marquées par la fluorescence ne va pas correspondre à la taille attendue. Et si on chauffe trop longtemps, on risque aussi une d'avoir une distribution des bandes plus éparpillée. Donc, effectivement, le séquençage va être plus foireux. Et en plus, comme tu l'évoques plus loin, le séquençage peut s'avérer foireux même si tout semble s'être bien passé. Cela dit, je ne parlais pas de séquençage dans mon dernier post. Je me limitais à la méthode pcr. Ce que j'ai dit dans mon dernier post ne permet pas de réfuter ou non le problème du séquençage, ni même de la pcr, puisque c'est lié au problème du séquençage (chose que j'ai dite clairement au début de mon message). C'était juste une explication alternative. Pour réfuter ces techniques, c'est la technique du séquençage qu'il faut réfuter. Idem, je ne parlais pas du séquençage. Mais bon, effectivement, effectivement, tu peux avoir une bonne taille et un séquençage foireux. Vu comment est fait le séquençage, ça ne m'étonne pas trop. Apparemment, tu te contredis toi même juste après, puisque tu reconnais qu'une amorce trop courte peut tout faire foirer. Ca va tout à fait dans le sens de ce que je dis. Une température trop chaude, ou pas assez, amorces trop courtes, temps de polymérisation trop court ou trop long font foirer le truc. Parce que les grumeaux attendus ne seront pas à la bonne taille, et verront leur distribution plus éparpillée. Non, on sait que la charge virale peut être très variable sur un même échantillon. Ca, c'est quelque chose de connu. Par ailleurs, en tant que défenseur de l'orthodoxie, tu aurais plutot du mal à venir nous dire que l'adn du vih n'est pas archi-connu. Or, c'est bien sur la charge virale du vih qu'on a des données sur la très grande variabilité des résultats à partir d'un même échantillon sanguin. Ben, on obtient des produits de petites tailles. On ne peut pas dire que les quelques dizaines à centaines de nucléotides, ce soit très long. D'où le fait que la température d'agrégation dure très peu de temps. Ca permet d'avoir des agrégations de taille assez similaire. Ca permet d'éviter la dispersion. Je l'ai pourtant déjà dit dans mon post.
  25. aixur

    La méthode PCR

    Ouai, en fait, comme je le pensais lors du dernier message, la question de la validité de la pcr est reportée sur le problème de la validité des amorces. Mais (ce que je n'avais pas évoqué la dernière fois), elle est aussi reportée sur le problème de la validité du séquençage. Donc, quelque part, l'analyse de la méthode pcr n'est qu'une étape dans le problème en question. Le problème se reporte in fine sur le séquençage de l'adn (qui intervient aussi dans la vérification des amorces). Toutefois, je crois avoir compris ce qu'est réellement la méthode pcr et pourquoi elle donne ce genre de résultats. Donc, j'ai quelques éléments qui, quoiqu'ils ne donnent pas la preuve que la méthode est bidon, expliquent ce qui se passe réellement. A mon avis, ce qui se passe lors de la pcr, c'est simplement une agrégation de particules entre elles. C'est bien une polymérisation, comme le dit l'orthodoxie, mais pas une polymérisation ordonnée de nucléotides le long d'un brin d'adn. C'est une polymérisation de particules de taille inférieure à celle de l'agrégation obtenue à la fin (ce que l'orthodoxie pense être un brin d'adn) qui donnent une boule de particules à la fin, une agrégation quoi. C'est une agrégation anarchique et en 3 dimensions. Et c'est une agrégation non spécifique. Il y a un peu de tout qui se colle durant cette réaction. C'est vrai qu'on obtient des particules de taille voulue à la fin. Donc, on pourrait penser que l'orthodoxie a raison, et que c'est parce qu'on a introduit une amorce et une sonde à la fin qui termine la réaction. Mais en fait, il y a un truc qui fait qu'on obtient ces particules de taille voulue. Tout repose en fait sur la taille des particules introduites au départ (les amorces) et sur le temps de chauffe (et aussi, la température de chauffage). En fait, avec un temps de chauffe T, et des particules de taille X, on sait qu'avec une polymérisation, on va obtenir des particules de taille X+b à la fin du temps de chauffe T (à une température Y). Donc, il suffit de chauffer un temps donné, à une température donnée, en ayant introduit des particules de taille donnée pour obtenir les particules de la taille désirée (ce qu'on pense être les brins d'adn) à la fin. Particules qui seront plus grosses que celles introduites au départ. Bien sur, on chauffe pendant très peu de temps, pour ne pas avoir des particules de taille très différentes. C'est pour ça que quand on met les particules obtenues sur gel d'électrophorèse pour les séparer par niveau de taille, on obtient bien ce qu'on veut à la taille voulue. Les particules recherchées, marquées par fluorescence, se trouvent bien sur la bonne bande du gel (qui correspond à la taille X+b qu'on voulait obtenir). Donc, en fait, c'est comme quand on a une pâte qui a tendance à faire des grumeaux. On sait que si on chauffe tant de temps à telle température, il va y avoir des grumeaux de créés. En cuisine, ce n'est pas voulu. Ici, ça l'est. Et on veut controler la réaction pour n'obtenir que des grumeaux de taille voulue. Bien sur, on pourrait se dire que puisqu'il s'agit d'agrégation, et qu'on multiplie ces dernières en plusieurs étapes, on devrait avoir des boules de plus en plus grosses. Mais en fait, la phase dite de séparation des brins, où on introduit une température plus élevée, doit faire que les particules obtenues se désagrègent. Donc, on repart un peu à zéro à chaque coup. Alors pourquoi y a-t-il des variations dans la charge virale ? Déjà, en partie, parce que la méthode pcr étant exponentielle et non spécifique, il y a des risques de variations très importantes (d'où le fait que la méthode de la charge virale ne soit pas valable). Mais, à mon avis, comme les amorces se lient de façon non spécifique avec des particules de petite taille (à peu près aussi petites que les amorces), le résultat va dépendre de la quantité de ces particules de petite taille dans la solution. Or, ces particules de petites tailles c'est quoi ? Ce sont des déchets cellulaires. Donc, plus la personne à de déchets cellulaires dans le sang, plus la charge virale risque d'être élevée. Et donc, la charge virale va varier en partie en fonction de la quantité de ces déchets présents dans la solution. PS : Par contre, par rapport à ce que je disais au début de ce message, pour la charge virale, ce que je disais est valide. On n'analyse pas l'adn obtenu à la fin, ni l'amorce utilisée au départ (on fait confiance à l'entreprise qui l'a vendue). On se fie simplement à la présence plus ou moins grande d'une fluorescence dans la solution finale. Du coup, on ne sait absolument pas ce qui se passe réellement lors de la réaction. Le technicien ne sait rien de ce qui se passe réellement. Il fait juste une mesure de fluorescence à la fin (probablement automatisée). Donc, ça élimine la possibilité qu'un technicien ayant de l'esprit critique vienne remettre en cause la méthode.
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