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forum sidasante

aixur

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Tout ce qui a été posté par aixur

  1. D'accord, ce n'est pas le traitement antibiotique massif qui a fait apparaitre le problème. Mais il me semble clair qu'il l'a très fortement aggravé. Et ce problème est apparu après une opération. Si l'opération nécessitait une anesthésie générale, alors, vu les produits utilisés lors de ce genre d'opération, on peut penser que l'agression de l'oeil vient en bonne partie de là. Si l'opération ne nécessitait pas d'anesthésie générale, le problème à l'oeil vient peut-être simplement du stress subit pendant l'opération. Cela dit, peut-être qu'on t'a donné des antibiotiques pendant ou juste après l'opération, pour éviter une infection, sans te le signaler. Mais, en tout cas, à l'origine, l'oeil n'était pas du tout dans l'état dans lequel il était récemment. Donc, le problème est bien survenu essentiellement après. Donc, après le début de la prise d'antibiotiques. Evidemment, je comprends ton problème. Tu es pris entre deux feux, entre deux affirmations contradictoires. Et apparemment, tu as plus confiance concernant ce sujet en la médecine officielle qu'en moi. Donc, tu as plus peur du staphylocoque que des antibiotiques. A toi de voir. PS : au fait, il s'agissait d'une opération pour quoi ?
  2. En fait, je dirais que ton cas est vraiment typique du cercle vicieux dans lequel peut entrer un séropositif. Un simple problème de sinusite, de rhume, de grippe ou de bronchite ---> prise d'antibiotique ---> la prise d'antibiotique fait se prolonger le problème, et fait même apparaitre d'autres problèmes (yeux dans ton cas, problème de cognition pour d'autres qui va être considéré comme un problème de toxoplasmose, problème d'agression des poumons pour d'autres, qui va être considéré comme une pneumonie) ---> Les médecins s'affolent et déclarent, vu la séropositivité de la personne, que c'est une infection grave ---> Vu le stress, et vu la prise d'antibiotique, les cd4 s'effondrent et la charge virale s'envole. Ce qui va encore plus affoler les médecins. ---> Et là, soit c'est le coup de bol. Les choses reviennent à la normale et les médecins ne sont pas du genre à faire des traitements lourds et la personne en est quitte pour une trithérapie, voir pour rien du tout (elle rentre chez elle et basta). Soit c'est le coup de malchance. Les choses ne s'arrangent pas ou peu. Les médecins donnent une série de traitements lourds, et à cause de ceux-ci la santé du patient se dégrade plus ou moins rapidement, éventuellement jusque à la mort. Les médecins mettant bien sur les problèmes de santé et la mort éventuelle toujours sur le dos de microbes pathogènes ou/et du vih. Si le mec tombe malade, voir meurt, c'est normal, puisque la charge virale était très élevée et les cd4 très bas. Dans la tête des médecins, tout est cohérent.
  3. Salut Jeff, A mon avis, ton infection de l'oeil n'a rien à voir avec une infection. C'est juste la conséquence de la prise massive d'antibiotiques. Les antibiotiques détruisent les cellules, et donc, les petits vaisseaux sanguins (puisque les antibiotiques arrivent dans les tissus via le sang). Or, les yeux contiennent pas mal de petits vaisseaux. J'en parlais encore il y a deux jours (ici). Par exemple, voici les effets secondaires du Rifampicine : Possible coloration rouge des urines et des sécrétions (possible coloration des lentilles de contact). RIMACTAN peut provoquer des réactions allergiques cutanées et des troubles digestifs. En cas de doute, signalez-le à votre médecin traitant lors de votre prochaine visite. Voici les effets secondaires de l'association Isoniazide + Rifampicine (médicament RIFINAH) : Possible coloration rouge des urines et des sécrétions (possible coloration des lentilles de contact). RIFINAH peut provoquer des réactions allergiques cutanées, des douleurs musculaires ou articulaires et des troubles digestifs. Signalez-le à votre médecin traitant lors de votre prochaine visite.Des épisodes fébriles avec maux de tête, vertiges, des troubles respiratoires. En cas de doute, contactez immédiatement votre médecin. Coloration des lentilles, ça veut dire que les yeux saignent. Si l'antibiothérapie est massive, tes yeux peuvent effectivement doubler de volume. Quant à ta sinusite aigüe, je pense là aussi qu'on peut incriminer les antibiotiques. Parce que ceux-ci vont avoir tendance à empêcher l'élimination de se faire. Pour que l'élimination se fasse il faut que les particules qui circulent dans le sang puisse s'agréger. Or, les antibiotiques empêchent cette agrégation de se faire, puisqu'ils désagrègent les particules qu'ils rencontrent. Donc, la sinusite va revenir encore et encore. Sinon, à l'origine de la sinusite, il faut voir si tu prenais des médicaments (allopathiques ou naturels), et quel est ton régime alimentaire. Donc, à mon avis, tes problèmes n'ont rien à voir avec une infection. Tu étais en train de te faire déglinguer par les antibiotiques. Pour la mesure des cd4 et de la charge virale, effectivement, il est très possible que le stress et la prise d'antibiotique fasse virer ces tests au rouge.
  4. Si je le dis, c'est par exemple parce que les symptomes changent selon les régions. Dans les pays occidentaux, où le climats est tempéré et où les gens mangent bien (voir trop) et font peu d'exercice, la tuberculose, c'est surtout une toux récurrente. En Afrique, comme par hasard là où il fait chaud (donc, en cas de maladies faisant transpirer, on perd beaucoup d'eau rapidement) et ou on mange moins bien, c'est surtout une perte de poids importante. Eh oui, en Europe, c'est plus difficile d'obtenir une perte de poids rapide. Par contre, c'est beaucoup plus facile d'obtenir une toux persistante (par exemple en hiver, et avec l'usage d'antibiotiques, qui vont avoir tendance à faire persister la toux. Ou alors, si on s'est fait vacciner récemment). Je le pense aussi parce que la tuberculose ne se répand pas rapidement. On devrait avoir des épidémies de tuberculose alors que ça n'arrive pas. Je le pense également parce que comme pas mal d'autres maladies bidons, quand on en arrive à la phase dangereuse de la maladie, voir même avant, comme par hasard, les symptomes deviennent un peu tout et n'importe quoi. C'était plus particulièrement vrai il y a longtemps, quand on voyait de la tuberculose partout. Exemple, un de mes grand-père est soi-disant mort de la tuberculose. La seule chose qu'il a eu l'essentiel du temps, c'est une miction sanguinolante. Je le pense parce que 9 cas d'infection sur 10 aboutissent à une guérison spontanée. Ca explique un peu trop facilement que le nombre de cas n'explose pas. Et puis, c'est un peu bizarre pour une maladie qui a soi-disant fait tant de mort. Je ne vois pas comment on a pu vérifier le 3ème postulat de Koch, déjà, pour raison éthique, et encore plus dans le cas d'une maladie au long cours comme la tuberculose. Etc... Moi je dis qu'il vaut mieux ne pas s'arrêter de douter. Parce que c'est en ayant trop confiance qu'on prend des traitements qui, eux, vont vous faire passer de vie à trépas. C'est ce qui est arrivé a Mark Griffiths, qui avait confiance dans les antibiotiques. Ou a Eliza Jane, dont la mère avait aussi confiance dans les antibiotiques. Ben, ils sont morts maintenant. Sinon, pour ta copine, il faut voir ce qui s'est passé pour elle. Est-ce qu'il s'est mis à faire froid dans votre région ? Est-ce qu'elle a pris des antibiotiques pour faire passer ce qu'elle pensait être un rhume ou autre chose. Est-ce qu'elle prend d'autres médicaments ayant tendance à désagréger les cellules comme l'aspirine, les anti-inflammatoires, etc..., et donc à faire persister un début de toux ? Est-ce qu'elle s'occupait d'un malade de la tuberculose (j'ai lu que tu étudies la médecine, donc peut-être que ta copine travaille en hôpital) ? Dans ce cas, on pourrait penser qu'elle a commencé à avoir des problèmes de toux à cause du refroidissement hivernal, et que les médecins se sont affolés et ont conclu à une transmission. Bref, il peut y avoir plein d'explication aux symptomes de ta copine et au diagnostic de tuberculose. En tout cas, les effets des antibiotiques dont je t'ai parlé existent bien. Alors, si tu vois que tu commence à avoir des maux de tête, des problèmes de cognition, fais gaffe.
  5. C'est un traitement dangereux. Les antibiotiques attaquent les parois des vaisseaux sanguins et provoquent des saignements, spécialement là où il y a des petits vaisseaux (poumons, yeux, cerveau), et là où il est le plus concentré (système digestif). Voici les effets secondaires du Rifampicine : Possible coloration rouge des urines et des sécrétions (possible coloration des lentilles de contact). RIMACTAN peut provoquer des réactions allergiques cutanées et des troubles digestifs. En cas de doute, signalez-le à votre médecin traitant lors de votre prochaine visite. Voici les effets secondaires de l'Isoniazide : RIMIFON peut provoquer des réactions allergiques cutanées, des douleurs musculaires ou articulaires, des troubles digestifs ou neurologiques. Signalez-le rapidement à votre médecin traitant. Voici les effets secondaires de l'association Isoniazide + Rifampicine (médicament RIFINAH) : Possible coloration rouge des urines et des sécrétions (possible coloration des lentilles de contact). RIFINAH peut provoquer des réactions allergiques cutanées, des douleurs musculaires ou articulaires et des troubles digestifs. Signalez-le à votre médecin traitant lors de votre prochaine visite.Des épisodes fébriles avec maux de tête, vertiges, des troubles respiratoires. En cas de doute, contactez immédiatement votre médecin. Ensuite, tout dépend de ta corpulence et de ce que tu manges. Si tu es maigre et que tu manges peu, tu risques de voir apparaitre une partie de ces symptômes rapidement. Sinon, tu ne ressentiras peut-être rien. A mon avis, ça ne sert strictement à rien de prendre ces médicaments, parce que je pense que la tuberculose n'existe pas. Donc, il ne reste que le danger d'avoir des problèmes à cause de la prise de ces antibiotiques.
  6. En attendant, l'exemple du screening sur 135 187 militaires (dans le document pdf cité par Cheminot) est intéressant. Ca va dans le sens du taux de positif trouvé lors de l'expérience concernant les vaccins contre le sida (dans ce topic). Ca tourne dans les 3 ou 4 %. Donc, on peut penser que les tests Elisa sont conçus pour réagir dans les 3 ou 4 % du temps. Pour que seulement dans les environs de 0,2 % de la population générale soit positive (je dis 0,2 % au pif, je ne me rappelle plus des chiffres pour les usa, mais ça doit être dans ces eaux là), il faut donc que 1) peu de monde se fasse tester. Avec seulement 5 % de la population qui se fait tester, on arrive dans les environs de ce taux de 0,2 %. 2) Mais comme les personnes qui passent le test sont des personnes en générale dans une situation de santé qui entraine un risque d'augmenter la réaction du test, on peut penser que le taux de positif du test augmente (disons qu'il est multiplié par 5 et qu'il passe à 15 % en moyenne). Il faut donc que pour arriver à 0,2 % de positifs dans la population générale, que 1 % de la population passe le test et que ce 1 % soit constitué entièrement de personnes à risque. Disons qu'avec 0,8 % de la population qui font le test et qui sont à risque, et 1 % de la population pas à risque qui passe le test, on doit arriver vers 0,2 % de la population générale séropositive. Citation du texte de bookreview : She gave an example of screening 135,187 military applicants by the standard ELISA method, finding 6,000 (4.4%) positives. A repeat ELISA found only 4,000 (3%) positives; thus, it is not a reliable test.
  7. Bref, j'ai peur que ce ne soit pas vraiment une avancée car même si Rebecca Culshaw ne partage pas ce type de positions de l'AAPS, elle ne peut que se griller en publiant des revues de ce type (même si elle saisit une opportunité car l'orthodoxie doit lui refuser tout autre type de tribune plus "respectable"). De la même façon Duesberg s'est grillé il y a une dizaine d'années maintenant, avec ce type de positions "borderline"... avec tout le mal que ça a pu faire pour les repenseurs. Tel que tu tournes ta phrase, ça donne l'impression que c'est Duesberg qui a balancé les recommandations que tu cites (sur les prostituées, les sex-clubs, etc...). Alors qu'a priori, ce sont uniquement les propos de l'auteur de l'article, Stanley Monteith. Peut-être que Duesberg a balancé des trucs dans ce genre par ailleurs. Qui sait ? Mais je n'en ai personnellement jamais entendu parler. Et je pense qu'on l'aurait su, puisque l'orthodoxie se serait fait un plaisir de se jeter sur ce genre de déclaration. D'ailleurs, ça n'aurait aucun sens que Duesberg balance ce genre de truc, puisqu'il ne croit pas que le VIH soit infectieux. Il n'aurait donc aucune raison de penser qu'il faut retirer les prostituées infectées de la rue, ni de vanter la chasteté. La seule chose qu'on a reproché à Duesberg et aux dissidents, c'est de dire qu'une partie de la communauté homo était assez touchée par la consommation de drogue au début des années 80. Donc, ça serait homophobe de dire ça. Sauf que si c'est vrai, ça n'a rien d'homophobe. Et puis, ça fait légèrement procès staliniens où on prête des intentions inavouables sur le moindre petit truc pouvant être interprété de travers. Par contre, ça ne génait pas du tout les mêmes personnes de balancer que si la communauté homo était touchée, c'est parce qu'ils avaient plus de relations sexuelles multiples que les hétéro (bref, que c'était la partouze continuelle chez les homos). Idem pour le fait que l'Afrique ait vu le nombre de séropositifs exploser en une dizaine d'années (de zéro à plusieurs dizaines de millions). Selon eux, c'est parce que les africains sont des bites sur pattes qui baiseraient tout ce qui bouge. Donc bon. Si on le voulait, on pourrait dire que ce genre de déclarations sont liées à des intentions homophobes et racistes.
  8. En fait, tout repose sur les tests, vu que c'est par là qu'on dit qu'une personne a contracté le virus ou pas. La médecine admet qu'en moyenne, avec 1000 contacts sexuels, le test risque d'être positif au moins une fois. Bref, selon la théorie officielle, le VIH est sensé être très peu contaminant. Mais, même très peu contaminant, ça reste dans la définition d'une MST. On est pas mal dans le n'importe quoi (parce qu'il faut 5 ans en moyenne avec un contact tous les 2 jours pour qu'il y ait contamination, comme MST, ça se pose là), mais techniquement, on ne peut pas dire que ce n'est pas une MST. Même s'il y avait un contact contaminant tous les 30 ans, ça resterait une MST. Et, même s'ils ne sont pas conçus pour réagir souvent, les tests sont quand même conçus pour réagir un minimum de fois. Donc, on trouvera toujours des tests réagissant positif, et donc, on pourra toujours dire qu'il s'agit d'une maladie sexuellement transmissible. Donc, la problématique de la MST renvoie en fait à la problématique des tests. Ce sont eux qu'il faut remettre en cause. L'expérience de Giraldo a permis de voir qu'en fait, sans les dilutions énormes (400 fois pour l'Elisa et 50 fois pour le Western Blot), tout le monde était positif (cela dit, les nouveaux tests ne sont plus dilués. L'industrie pharmaceutique a du sentir venir le vent du boulet à ce sujet). Mais en fait, la plus grande faiblesse des tests, c'est que comme ils sont conçus pour réagir rarement (3 % du temps a priori), la situation normale d'une personne, c'est de réagir négatif. Donc, la plupart du temps, quand une personne réagit positif, c'est parce qu'elle est dans une situation de santé anormale. Situation qui n'est pas appelée à durer. Donc, la plupart du temps, une personne qui a réagi positif, réagira négatif 1 an après ou 2 ans après. Du coup, si tous les séropositifs se faisaient retester, et ceci en n'étant pas dans une situation de santé pouvant faire réagir positif le test (vaccination, maladie récente, prise d'antibiotiques, de certains anti-inflammatoire, grossesse, etc...), probablement qu'entre 85 et 90 % seraient négatifs. Probablement qu'une faible proportion, genre 10 % d'entre eux doivent réagir positif plus souvent que d'ordinaire, ou seraient toujours dans une situation de santé entrainant un test positif.
  9. Ouai, d'après ce que j'ai pu remarquer avec les différents spécialistes de la théorie officielle (docteurs, biologistes, virologues, etc...), il y en a plein qui ont leur petite version perso. Par exemple, le docteur d'atoute à une version légèrement dissidente. Montagnier parle de co-facteur. Etc... Et bien sur, ils se proclament quand même représentants de l'orthodoxie. La contradiction ne les gène pas trop.
  10. Demande lui aussi le taux de cortisol. C'est important de suivre son évolution. En effet, c'est la diminution de la quantité de cortisol dans le sang qui, à mon avis, est la cause de pas mal d'effets négatifs quand on arrête la trithérapie. Donc, c'est un truc à surveiller.
  11. Sinon, je pense qu'il faut arrêter le traitement progressivement. Comme je le dis dans ce topic, à mon avis, la trithérapie est en réalité une corticothérapie (ils font croire que ce sont des nouveaux médicaments, mais ce sont en fait des corticoïdes ; comme de la cortisone quoi). Et il est connu qu'il ne faut pas arrêter d'un coup une corticothérapie. En fait, il y a un recentrage des graisses et de l'eau vers le centre du corps durant une trithérapie (comme dans une corticothérapie), et l'arrêt brutal fait que c'est l'effet contraire qui arrive, avec tout un tas d'effets physiologiques désagréables liés à ça. On a vu pas mal de personnes ici qui ont arrêté leur traitement d'un coup, et qui ont eu des problèmes de grande fatigue, de perte de poids, etc..., après quelques semaines d'arrêt.
  12. Je vois deux explications possibles pour cette évolution. Soit la trithérapie commence à produire ses effets délétères consistant entre autres à faire refluer l'eau des membres vers le centre du corps. En fait, il y aurait moins d'eau dans tes bras, ce qui ferait que le sang y serait plus concentré et que du coup, à quantité de T4 égale, le taux de T4 serait plus élevé. La quantité de T4 n'aurait en fait pas bougé, mais la concentration serait plus importante. Bref, une évolution qui ne serait pas positive puisque ça signifierait que tes bras seraient en train de se dessécher. Voir ce que je dis des trithérapies sur cette page. Soit il n'y a pas eu d'évolution de ce genre, mais le taux de T4 aurait augmenté à cause de la prise d'Ergymag. Le magnesium contenu dans l'Ergymag ferait que les T4 se colleraient plus facilement aux anticorps servant à révéler les T4 lors des tests de T4. Un ancien du forum, Terry, avait déjà mis en avant l'idée que le magnesium pouvait augmenter artificiellement la charge virale. Et il est bien possible que ce soit le cas aussi pour l'estimation des T4. En fait, comme le collage entre les T4 et les anticorps utilisés lors du test se réalise par une liaison électromagnétique, tout produit favorisant cette liaison électromagnétique va faire augmenter le nombre de collage T4/anticorps (et le magnesium est un bon produit pour ça apparemment). Et du coup, le test va montrer une quantité de T4 en augmentation. Augmentation complètement artificielle bien sur. Donc, là, il n'y aurait pas d'évolution négative. Le truc serait neutre.
  13. Bienvenue sur le forum, La période où tu as réagi positive correspond bien à ce que dit la dissidence sur le sujet, puisque tu étais enceinte et que c'est une cause reconnue de faux positifs. A mon avis, si tu refaisais le test maintenant, tu réagirais négative. En tout cas, c'est bien que tu ais gardé la pèche et le moral.
  14. Ben si j'ai bien compris, tu a pris une trithérapie depuis 3 ans. Donc, tu prends bien quelque chose.
  15. aixur

    jeune therapeutique

    A mon avis, c'est bon dans les cas de surcharge de l'organisme par un trop plein de nourriture. Ou pour décrasser l'organisme de temps en temps. Après ou pendant une prise de médicament au long terme, je pense qu'il faut être très prudent. Dans le cas des trithérapies, vu que ces dernières entrainent une redistribution de l'eau dans l'organisme (recentrage vers le tronc), et vu qu'on ne sait pas ce que le jeûne peut entrainer comme effet dans ce cas, je pense qu'il faut éviter ce genre d'expérience. Et à mon avis, quand on fait un jeûne, il ne faut surtout pas prendre d'antibiotique, d'anti-inflammatoires non stéroïdiens, d'aspirine, et autres médicaments ayant tendance à attaquer les parois des cellules de l'organisme. Parce que le médicament va attaquer beaucoup plus les parois des vaisseaux sanguins et conduire beaucoup plus à des hémorragies que chez une personnes qui s'alimente normalement, avec une alimentation classique occidentale (parce que dans ce dernier cas, le médicament va réagir avec les protéines, les acides aminés venant de l'alimentation, et les débris cellulaires qu'il rencontre dans le sang. Et donc, il n'y aura plus assez de produit actif pour attaquer les parois des vaisseaux sanguins). En fait, on peut comparer les parois des vaisseaux sanguins aux parois d'un seau dans lequel on met un acide. Si le seau est rempli de calcaire (qui va correspondre aux acides aminés, aux protéines, aux cellules et aux débris cellulaires se trouvant dans le sang), l'acide va réagir avec le calcaire. Et il n'y aura plus d'acide pour réagir avec les parois du seau. S'il n'y a pas de calcaire dans le seau, l'acide va réagir essentiellement avec les parois du seau, et va les percer (ce qui correspond au fait que si une personne ne s'alimente pas, l'antibiotique va réagir essentiellement avec les parois des vaisseaux sanguins, et va les percer). Je pense que c'est cette combinaison du jeûne et de la prise d'antibiotique qui a tué Mark Griffiths (celui qui a créé le site sidasante). Il prenait des antibiotiques suite à une opération des dents. Ca lui créait des problèmes digestifs. Et apparemment, il essayait de résoudre ses problème digestifs par le jeûne. Et il est mort de ce qui a bien l'air d'être une hémorragie cérébrale (il faisait des actions incohérentes peu de temps avant de mourir, comme essayer de changer les chaines de sa télé avec une lampe torche ou de se rouler une cigarette sans tabac à l'intérieur). Donc, méfiance ; l'association jeûne + médicament (enfin, certains médicaments) peut tout à fait être mortelle. Voir le topic que j'ai fait sur onnouscachetout.com : http://www.onnouscachetout.com/forum/index...?showtopic=8906 Et il ne faut pas remplacer les antibiotiques par des huiles essentielles en se disant qu'ils s'agit de produits naturels et donc, non dangereux. Certaines d'entre elles ont en réalité exactement les mêmes effets que les antibiotiques.
  16. J'ai reçu ce mail de demande de témoignages pour un documentaire italo/espagnol retraçant le point de vue dissident. Bonjour! Je vous écrit par rapport à un projet de documentaire sur le sida, point de vu dissident Nous voulons raconter l'histoire de la prise de conscience d'une femme séropositive que, après presque 10 ans des traitements (AZT, cocktails, etc.) décide de quitter tout médicament et retrouve -sans l'espérer- la santé. À partir de ce "miracle" elle commence à ce documenter et découvre les dissidents. Nous voulons expliquer la théorie dissident en partent d'un point de vue très personnel et en mélangent cette histoire avec des interviews à d'autre séropositive, à médecins dissidents et non. Pour cette raison je vous écris, pour vous demander si vous pouvez poster cet e-mail, ou bien résumer son contenu, sur votre site, nous cherchons de nous mettre en contact avec médecins dissidents et séropositives. On essaye de se renseigner sur le fonctionnement du système sanitaire dans les différents pays d'Europe (moi je suis italienne et les autres engagés dans le documentaire sont espagnoles). Mais on cherche aussi des contacts avec des séropositives qui puissent nous raconter leur histoire, on veut savoir qu'est-ce qu'il se passe aux femmes HIV+ en en ceintes en France, si elles sont obligées á prendre des médicaments ou non et beaucoup d'autre questions... Donc si vous pensez de connaître quelqu'un qui puisse être intéressé a nous aider vous pouvez même lui envoyer mon contact e-mail. Je vous remercier beaucoup, mes meilleurs salutations, Ecrire à : walkabout.x(at)gmail.com . Remplacer le (at) par @
  17. J'ai trouvé cette bonne idée de Ngongmahk sur le forum AidsMyth Exposed, dans un sujet sur l'hépatite C (cliquez sur " Afficher tous les messages" pour voir tout le topic en question). Comme il le dit, le virus de l'hépatite C doit servir en fait de camouflage pour expliquer que le foie de nombreux séropositifs au VIH soit bousillé. On porte la faute sur le virus de l'hépatite C et pas sur les médicaments, qui sont la vraie cause des problèmes de foie. Vu qu'un tiers des séropositifs au VIH sont sensés avoir l'hépatite C, ça permet donc d'expliquer 1/3 des problèmes de foie des séropositifs. Sinon, il faudrait augmenter d'autant le nombre des séropositifs ayant le foie esquinté par les médicaments. Ca ferait tache.
  18. Je ne vois pas en quoi c'est "bien plus complexe que cela". Je suppose que Dee stroy et Chapristi avaient bien conscience que si une personne a un système immunitaire déficient, la grippe va être plus grave pour elle. Mais ça ne concerne qu'une infime partie des gens qui ont la grippe. Quelques milliers de cas chaque année (souvent des personnes âgées), dont certains meurent. Dans 99,9 % des cas, officiellement, ça se passe comme j'ai dit. Il n'y a pas de problème d'immunité. C'est simplement que la personne attrapant la grippe n'avait jamais rencontré la souche de l'année.
  19. Ben normalement, il fonctionne correctement tout le temps. Il n'y a que quand une maladie s'attaque spécifiquement au système immunitaire que la personne connait un affaiblissement de celui-ci (ou quand elle prend des médicaments s'attaquant au système immunitaire). Quand au glissement, je ne pense pas que ce soit volontaire. C'est peut-être justement avec toutes ces histoires de sida et de problèmes du système immunitaire qu'on en vient à faire ce léger glissement. On se met à voir des baisses d'immunité à tous les coins de rue.
  20. Non. Officiellement, une personne qui fait une grippe ne la fait pas parce que son système immunitaire est affaibli, mais parce que le système immunitaire n'a pas encore rencontré la nouvelle souche virale de l'année. Et lors de l'infection, le virus ne s'attaque pas au système immunitaire. Donc, le système immunitaire est parfaitement en place avant, pendant, et après la grippe (ou autre maladie autre que le sida). Mais c'est vrai qu'il semble y avoir un glissement subreptice dans les journaux et autres médias, vers l'idée que si une personne a une grippe ou autre maladie, c'est que son système immunitaire est affaibli.
  21. Oui, effectivement. J'ai répondu à coté. Oui, donc, tu me parlais uniquement de cellules de Hamsters, et pas de Hamster entiers. Ben du coup, je considère que ton argument n'a aucun intérêt. Le travail sur culture me semble complètement bidon. Dans la mesure où c'est un travail en labo, c'est propre à toutes les truandes. Surtout que le procédé est probablement protégé par le secret industriel (même s'il y a un brevet). Donc, on ne sait en réalité rien de la façon dont c'est fait. La compagnie pharmaceutique (ici Amgen) peut déclarer ce qu'elle veut sur la méthode utilisée, on ne pourra pas vérifier de toute manière. Et en plus, on sait que les start-up de biotechnologie truandent à mort leur résultats, pour pouvoir revendre leurs actions à prix élevé, ou pour tout simplement pouvoir revendre la société à une multinationale (genre Glaxo). Donc, dans le genre pas fiable, ça se pose là. Cela dit, je ne dis pas que c'est impossible de faire produire de l'EPO par des cellules de hamster. Mais je ne crois pas du tout que ça soit fait en utilisant un morceau d'ADN humain codant pour faire de l'EPO qu'on inclut dans l'ADN des cellules de hamster par l'intermédiaire d'un virus. Dans le cas où une telle chose serait faite (l'obtention de l'EPO), je pense qu'il s'agirait en réalité de l'introduction d'une particule qui permet de produire l'EPO. Une particule autonome qui n'a rien à voir avec le principe de l'ADN tel qu'on nous le présente. Si j'ai été titillé par les souris fluo, c'est parce que ça c'est convaincant. Là, difficile de truander. Mais, déjà, tout ça a l'air d'avoir été reproduit très rarement, sans démonstration de la chose en public. Donc, il y a un fort doute sur la réalité de la chose. Et surtout, si résultat il y a vraiment eu, il n'a été obtenu qu'à partir d'embryons. On n'a jamais réussi à obtenir des souris fluo à partir d'une infection virale. Ce qui montre bien que cette histoire d'infection virale qui transmet un ADN codant une protéine est bidon. En fait, ma réponse englobait largement le problème que tu soulevais. Si la technique de l'infection par un virus porteur du gène marchait si bien, ça marcherait à plus grande échelle. Si ça ne marche pas à plus grande échelle, c'est tout simplement que ça ne marche pas du tout, et que les quelques résultats obtenus officiellement sont de la truande totale. Soit le résultat est bidon (ça ne produit pas ce qu'on dit que ça produit), soit il est obtenu d'une façon complètement différente de ce qui est dit. Là, pour l'EPO produit par des cellules de hamster, si ça se trouve, on doit utiliser des cellules de reins de hamster. Comme les reins produisent de l'EPO, les cellules en questions produisent de l'EPO. Et si ça se trouve, l'EPO produit est tout à fait utilisable par les être humains. Mais c'est sur que ça la foutrait mal, pour une société de biotechnologie de dire ça. Parce qu'alors, qu'est-ce qui empêcherait les autres sociétés de simplement prendre des cellules de rein de hamster, de les multiplier, et ensuite, de produire de l'EPO ? Ben rien. Et sur quoi la société en question fonderait son brevet ? Sur de la culture de cellule de rein de hamster ? Je crois qu'il en faudrait plus pour pouvoir déposer un brevet. Donc, on balance un truc comme quoi on a fait une infection virale avec un gène humain codant la protéine EPO, et hop, on peut déposer un brevet. Ou peut-être qu'on utilise carrément des cellules de foie ou de rein humains qu'on a multiplié. Qui sait ? Ou alors, plus high-tech, comme dit plus haut, on a simplement mis directement la particule produisant l'EPO dans quelques cellules de hamster qu'on a fait se multiplier. D'ailleurs, l'histoire de la biotechnologie va bien dans le sens de ce que je dis. Au départ, dans les années 80, on a déclaré qu'on a fait produire des protéines à des cellules, voir à des animaux entiers. Puis, dans les années 90, quand on a voulu passer au traitement des êtres humains, toutes les prétentions de l'industrie biotechnologique se sont évaporées dans la nature. Eh oui, le problème, c'est que contrairement aux cellules, ou aux souris, les être humains parlent, eux. Et ils peuvent dire que la technique n'a pas marché sur eux. Oh, j'étais sur que tu me le balancerais celui-là. Effectivement, c'est du concret. Mais, déjà, c'est le seul truc qui ait marché officiellement. C'est donc le seul truc que tu peux me balancer. C'est d'ailleurs l'exemple qui est balancé à chaque fois (d'où le fait que j'étais sur que tu me le balancerais), vu qu'il n'y en a pas d'autres. Ca fait un peu pauvre, même très pauvre. Et si tu étais honnête, tu aurais dit qu'effectivement, la recherche en thérapie génique, ça n'a pas été ça du tout, à part cet exemple. Ca donne l'impression que tu veux faire croire au lecteur que si si, tout va très bien dans le monde de la thérapie génique. Alors que ce n'est absolument pas le cas. C'est ce qui fait d'ailleurs, qu'il y a de plus en plus d'articles dans les journaux du style "faut-il encore croire à la thérapie génique ?". Pour que les journaux officiels se permettent de balancer ça, il faut vraiment que les résultats soient absolument misérables. Cela dit, c'est vrai que pour ma problématique à moi, si ce genre de technique marche une seule fois, ça remet en cause ma façon de penser. Donc, effectivement, c'est un argument. Seulement, problème qui coupe directement court à ton argumentation, je ne reconnais pas les enfants bulles comme étant malades. Pour moi, c'est une arnaque les enfants bulles. Si leur système immunitaire était réellement HS (de la façon dont la théorie officielle le conçoit), ils mourraient en trois jour. Parce qu'ils ne peuvent pas être exempts de bactéries pathogènes à la base, même mis en chambre stérile immédiatement après l'accouchement. Ce qui fait qu'on pourrait leur donner n'importe quelle poudre de perlimpinpin et les faire aller mieux, vu qu'ils n'ont rien. Pas difficile d'avoir un succès, à partir de là. Succès qui ne signifie bien sur rien. En fait, d'une façon plus générale, pour moi, l'immunodéficience telle que conçue par la médecine officielle, c'est du n'importe quoi. Parce que, à moins d'être dans une boite de conserve et d'avoir été flash pasteurisé, genre paté en boite, avoir un corps libre de toute bactérie pathogène ne peut être qu'une vue de l'esprit. Le soi-disant immunodéficient possède toujours des microbes pathogènes qui devraient le tuer en trois jours. Bref, vu l'omniprésence des bactéries pathogènes (selon la théorie officielle), un homme qui n'a pas de système immunitaire est un homme qui bouffe les pissenlits par la racine. Et comme ça n'arrive pas, ça veut dire que le système immunitaire de ces gens est parfaitement en place. Ou alors, que les bactéries ne sont pas pathogènes. Mais en tout cas, qu'il ne vont pas mourir en 3 jours s'ils sortent de leur bulle (ou s'ils arrêtent de prendre leur traitement dans le cas de sidéens). Ce n'est pas une bouillie. Je te parles des anticorps qui s'attaquent aux globules rouges quand le facteur Rhésus est différent. Je ne voyais pas l'intérêt de parler des incompatibilités entre groupes sanguins différents. Parce que je ne vois pas du tout ce que ça à faire avec l'immunité (vu que les globules blancs n'interviennent pas, ce sont les globules rouges qui coagulent entre eux, à priori). Cela dit, si je n'ai pas tout capté, et que les globules blancs n'interviennent jamais dans la réaction de coagulation, et que tout se joue entre globules rouges, ben alors, pour moi le problème est réglé. Le système immunitaire n'intervient alors pas et c'est un simple problème de différence de structure entre globules rouges. Et donc, on n'est pas du tout dans le cadre d'une réaction anticorps/antigène.
  22. Diminuer les doses en espaçant les prises je ne pense que ce soit une bonne idée. Parce que ça conduirait à avoir des gros pics de cortisolémie, mais simplement espacés dans le temps. Pas vraiment idéal comme truc. Je pense qu'il vaut mieux diminuer la quantité petit à petit, ce qui éviterait les pics. Mais c'est vrai qu'avec ces deux médicaments en un, ce n'est pas pratique du tout. Sinon, ça prend apparemment en général 2 ou 3 semaines avant que les effets négatifs de la baisse du taux de cortisol ne se manifestent. Si jamais ces effets apparaissaient, à mon avis, il faudrait prendre de la cortisone, attendre que le taux de cortisol remonte et que les effets en question disparaissent, puis baisser petit à petit la quantité de cortisone prise, comme pour un arrêt classique de prise de cortisone après un long traitement. Mais bon, peut-être qu'il ne va rien se passer. Je te le souhaite en tout cas. Mais bon, si ça arrivait, ce n'est que désagréable. Ca n'a rien à voir avec l'apocalypse et la sentence de mort prédites par la médecine officielle.
  23. Mais oui, bien sur. Si l'infection par virus modifiés marchait si bien que ça, on arriverait à produire des souris fluorescentes par ce moyen là. Seulement, ça ne marche pas. On arrive à rendre fluo une zone d'à peine quelques dizaines de nanomètres autour du point d'injection. Le seul moyen pour y arriver, c'est de modifier l'embryon. Sur des souris adultes, ça ne marche pas. Et encore, on se demande parfois si vraiment tout ça est réel. Parce qu'à part 2 ou 3 labos, il n'y a pas eu une bien grande reproduction du phénomène des souris fluo. Mais bon, acceptons en l'augure. Si ce genre de technique marchait, la thérapie génique marcherait. Or, on sait bien que la thérapie génique est un échec total. Enfin, le grand public ne le sait pas lui. Il faut bien qu'il continue à donner au Téléthon. Donc, tes souris adultes à EPO via un virus, mon oeil. Ou alors, il s'agit d'infection d'embryons. Et alors, ça n'a rien à voir. Quant aux tests d'hémagglutination, ils ne prouvent strictement rien. Et ils auraient même plutôt tendance à aller dans le sens de ma thèse concernant les greffes que la thèse officielle concernant le système immunitaire. Si les globules blancs reconnaissaient vraiment les globules rouge du donneur, ils le feraient dans 99 % des cas, comme pour le cas des greffes. Le fait qu'ils ne le fassent pas, et donc, que le sang d'un grand nombre de personnes soit compatible avec celui d'un receveur X (quand le groupe sanguin l'est déjà bien sur), va plutôt dans le sens de l'idée, au contraire, qu'il ne s'agit pas de reconnaissance des globules rouges par le système immunitaire , mais d'une simple incompatibilité structurelle. Et ceci, par différence de potentiel électrique. Les globules rouge disons par exemple d'un receveur de Rhésus + ne doivent pas interagir avec ses propres globules blancs pour une raison de répulsion ou de non attirance électrique. Et si les globules rouges en Rhésus - du donneur interagissent avec les globules blancs du receveur, ça doit être parce qu'il y a attirance électro-magnétique, tout simplement.
  24. Ayant commencé à comprendre ce que mesurent réellement les tests d'anticorps/antigènes, de cd4, et la méthode PCR, je pense pouvoir proposer une critique générale des tests et une explication alternative de ce qu'ils mesurent en réalité et des raisons pour lesquelles ils réagissent positifs (pour les test VIH), ou pour lesquelles ils varient (pour la charge virale et les cd4). J'avais déjà fait une critique dans d'autres topics. Mais là, ça permet d'avoir un vision globale du problème. 1) Les tests d'anticorps/antigènes Ce que je pense déjà depuis longtemps, pour les tests d'anticorps et d'antigènes, c'est qu'en réalité, en aucun cas, ce ne sont des tests spécifiques. Ils sont incapables de mesurer la présence d'une particule ou d'une cellule particulière. Cette idée a déjà été plus ou moins énoncée par la dissidence. Sauf qu'on dit que les anticorps sont multispécifiques, alors que moi je dis qu'ils ne sont pas spécifiques du tout. Mais là ou j'introduis une nouveauté encore plus radicale, c'est que je pense que tous ces tests (d'antigène comme ceux d'anticorps) mesurent en réalité toutes les particules présentes dans l'échantillon, et que c'est la quantité de petites particules présentes dans le sang (de simples déchets cellulaires) qui fait la différence entre séropositivité et séronégativité. En effet, comme dans certains cas (maladie ou prise de médicaments par exemple), il y a beaucoup plus de petites particules que de grosses, ce qui va faire réagir positif ces tests, ce sont les petites particules. Ou disons, l'explosion de la quantité de ces petites particules. La quantité de grosses particules restant stable et relativement faible. 2) Le test PCR Comme j'en ai déjà parlé sur le topic concernant la méthode PCR, je pense désormais que la méthode PCR ne détecte que des particules de petite taille, de façon non spécifique également. La différence avec les tests d'anticorps/antigènes, c'est que ça ne doit a priori pas détecter les particules agglomérées (mais bon, c'est à voir). L'hypothèse à partir de laquelle je pars, c'est que la méthode PCR n'est jamais qu'une méthode d'agrégation de particules en réalité. Ici, ce qu'on veut obtenir en réalité, ce sont des particules d'une taille donnée (officiellement un long morceau d'ADN, mais en fait, un aggloméra de particules) à partir de particules de plus petite taille (un morceau plus court d'ADN, des petites particules isolées). Comment obtenir ça ? En fait, comme l'obtention d'aggloméras de particules dépend de la température de chauffage et du temps de chauffage, il suffit de chauffer le liquide contenant les petites particules pendant un temps X à une température Y pour obtenir les particules de la taille voulue. Evidemment, comme on parle d'un temps qui se compte en dizaines de secondes. Si on chauffait pendant plus longtemps, on obtiendrait des particules beaucoup trop grosses, et on risquerait de se rendre compte de la supercherie. Donc, ce que ça compte, ce ne sont pas des brins d'ADN, mais des agrégations de petites particules, des grumeaux quoi. Et c'est normal d'ailleurs, qu'il en soit ainsi. Parce que comment voulez-vous que des particules se collent de façon spécifique en si peu de temps (on parle de quelques dizaines de secondes) à des bouts d'ADN précis, dans une soupe d'ADN pareille ? Avec en plus les nucléotides qui seraient fourni exactement au bon endroit au bon moment ? C'est impossible. Ca ne peut être que non spécifique. 3) Le test de cd4 Le test cd4, lui, est probablement tout aussi non spécifique que les autres. Mais, contrairement aux autres, il mesure la quantité de particules qui ont effectivement la taille des cd4. Donc, des particules assez grosses. C'est grâce à une technique assez sophistiquée, mais simple dans son principe, qu'on arrive à le faire. En fait, on fait passer le produit obtenu dans une machine contenant un laser. Les cd4 sont sensés être marqués par des particules fluorescente (plus précisément par des anticorps auxquels sont attachés des particules fluorescentes). Et le laser est capable d'identifier la taille des particules. Donc, au final, on ne compte que les particules fluorescentes de la taille des cd4 (chose qui est bien sur faite par ordinateur sans intervention humaine). Donc, même s'il y a des particules fluo de plus petites tailles, elles ne seront pas comptées. Les techniciens utilisant la méthode ne voient rien, parce que seul le concepteur initial du test a pu éventuellement se rendre compte du problème. Les techniciens se contentent de lire le résultat final sans se poser de question. D'ailleurs, le fait que ça utilise cette technique particulière signe un peu la supercherie. Si les tests normaux identifiaient bien le nombre de grosses particules, on n'aurait pas besoin d'utiliser une méthode par laser pour n'identifier que les grosses particules. On utiliserait une méthode ordinaire avec anticorps et fluorescence, genre test Elisa. Seulement, si on faisait ça, le test de cd4 irait dans le même sens que le test de charge virale. Ce qui la foutrait carrément mal puisqu'ils sont sensés évoluer en sens opposé. Mais on va certainement nous dire que là, ça permet de faire un compte précis. Justification qui peut être valable. Mais on est tout de même capable de mesurer la colorimétrie des tests Elisa de façon assez précise (par paliers). Ca ne doit pas être un calcul à l'unité près, mais on peut penser que ça doit être précis par pallier de 50. Donc, suffisamment précis pour ce qu'on veut faire. Et en plus, ça doit coûter beaucoup moins cher. Donc, l'utilisation d'un test Elisa pourrait être concevable (par exemple, dans les pays pauvres). Mais, le problème, c'est que tout d'un coup, les résultats seraient inverses à ceux du test de cd4. 4) Explication des résultats des tests. Les caractéristiques des tests permettent d'expliquer les différents résultats obtenus en fonction de l'état de la personne. On va avoir essentiellement 2 situations. a) Situation où la personne n'est pas encore déclarée séropositive et passe un test : les tests d'anticorps et d'antigène. Dans la mesure ou les tests d'anticorps et d'antigène réagissent positifs en réalité à cause de la quantité de déchets cellulaires (qui sont des petites particules), quelqu'un qui a une grande quantité de déchets cellulaires va avoir beaucoup plus de risques de réagir positif aux tests d'anticorps/antigènes. Donc, quelqu'un qui vient d'être malade, ou qui a pris des antibiotiques (qui ont tendance à désagréger les cellules), ou des anti-inflammatoires non stéroïdiens, va avoir tendance à réagir positif au test. C'est cohérent avec ce que souligne la dissidence depuis des années, à savoir que les tests d'anticorps réagissent positifs quand une personne est ou vient d'être malade (voir ici les causes de résultats faux positif) b) Situation où la personne a été déclarée séropositive : les tests de cd4 et de charge virale Une fois que la personne est détectée séropositive, les tests de cd4 et de charge virale (méthode PCR) vont suivre souvent une tendance inverse. Si la charge virale est élevée, la quantité de cd4 va avoir tendance à être basse, et inversement. Ca s'explique de la façon suivante. - Les petites particules. Les maladies se caractérisent par la création de grandes quantités de déchets cellulaires, soit parce que les cellules sont détruites ou subissent un stress, soit parce que, en se réparant, elles déversent des nombreux déchets. Donc, la charge virale va être élevée. En fin de maladie, ces particules vont être éliminées et recyclées en étant collectées par les globules blancs (qui vont se coller à elles) et envoyés dans les organes recycleurs comme le foie. La charge virale va alors diminuer. - En ce qui concerne les grosses particules, déjà, le test de cd4 doit calculer la quantité de cellules, mais probablement aussi la quantité de particules agrégées en aggloméras. Ce qui se passe, c'est que lorsqu'on est en phase de maladie, on va souvent prendre des médicaments qui vont détruire les cellules, et empêcher l'agrégation des particules. Donc, la quantité de globules blancs et d'aggloméras de particules va baisser. Par contre, en phase de fin de maladie (qui coïncide généralement avec la fin de la prise de médicaments), les déchets vont enfin pouvoir s'agglomérer, et les globules blancs ne vont plus être détruits. Donc, la quantité de grosses particules va remonter. Et comme le taux de cd4 mesure en fait la proportion de cette quantité dans le sang, il va remonter également. Donnant la fausse impression que le système immunitaire de la personne est en meilleure état. Donc, il est logique que les résultats de charge virale et de cd4 soient proportionnellement inverses. Cela dit, dans certaines situations, il doit être possible d'avoir les deux indicateurs qui vont dans le même sens. Déjà, parce que la mesure de la charge virale est très aléatoire. Comme la PCR est un processus exponentiel, le moindre défaut dans la méthode conduit à des résultat très différents. Et puis, il doit y avoir des conditions spéciales qui font que les résultats vont parfois dans le même sens. Explication pour les trithérapies Par ailleurs, je rappelle ici l'effet que j'ai trouvé concernant les trithérapies. En fait, les trithérapies sont des corticothérapies. Et ce qu'elles font surtout (en plus d'attaquer le foie), c'est faire migrer l'eau vers le centre du corps. Et quand on arrête de les prendre, l'eau migre dans le sens inverse, c'est à dire, s'accumule dans les membres. Et selon que l'eau a migré en masse vers le tronc ou vers les membres, ça va influencer la concentration en petites et grosses particules dans un sens ou dans l'autre. Ce qui nous intéresse ici, c'est ce qui se passe dans les membres, puisque c'est là que les prises de sang sont faites (dans le bras) pour les tests de cd4 et de charge virale. -Prise de la trithérapie : Quand on prend une trithérapie, l'eau va migrer vers le tronc. Et il y aura alors moins d'eau dans les membres. Or, ce que mesure le taux de cd4, c'est la quantité de particules par millilitre de sang (sang qui est pris dans le bras). Donc, à quantité de particules égales, s'il y a moins d'eau, la concentration des particules va augmenter. Il y aura plus de particules par millilitre de sang. Donc, le taux de cd4 va monter mécaniquement. Par ailleurs comme les particules sont plus concentrées, elles vont avoir tendance à plus s'agréger (ce qui va aussi avoir tendance à faire monter le taux de cd4). Donc, il va y avoir moins de petites particules. Et puisque ce sont les petites particules que détecte en fait la PCR, la charge virale va diminuer. -Arrêt de la trithérapie Quand on arrête la trithérapie, l'eau va migrer vers les membres. Il y aura plus d'eau dans les membres. Donc, comme la concentration du sang en particules diminue (il y a la même quantité de particules, mais il y a plus d'eau), le taux de cd4 va diminuer aussi. Par ailleurs, la concentration en particules diminuant, l'agrégation va être moins importante. Il y aura donc le maintien d'une plus grande quantité de petites particules. Mais la quantité de petites particules risque d'augmenter pour d'autres raisons. En effet, comme les membres ont été en situation de privation d'eau pendant un bon moment, il se peut qu'il y ait une réparation qui se fasse dans les cellules endommagées. Ce qui aboutira au relargage d'une quantité importante de déchets cellulaires. Deuxièmement, comme le coeur est moins alimenté en sang, la personne se retrouve en état d'hypotension sanguine. Or, ça veut dire que le flux sanguin est moins rapide. Or, la personne peut avoir des problèmes de circulation sanguine par ailleurs, déjà parce que ses vaisseaux ont été endommagés durant la phase de privation d'eau, ce qui peut avoir entraîné la formation de varices, scléroses et autres problèmes vasculaires. Et ensuite, parce que la personne peut se mettre dans des postures qui vont dégrader le flux sanguin dans les membres. C'est le cas si la personne reste dans une position assise prolongée. Ce qui risque fort d'arriver puisque la personne est hypotendue, ce qui ne pousse pas à faire des efforts, mais plutôt à se reposer. Dans cette situation assise, le sang va avoir tendance à légèrement stagner dans les extrémités. Donc, tout ça mis ensemble (hypotension, sclérose vasculaire éventuelle, position assise) fait que le sang risque de stagner un peu trop dans les extrémités. Or, la stagnation d'un liquide dans le corps est très mauvais. C'est une situation ou les cellules meurent par mauvaise oxygénation, et où les bactéries se développent. Ce en quoi elles vont être encore plus aidées par la concentration supérieure en eau du sang (certains niveaux de concentration en eau entraînent un environnement idéal pour le développement des bactéries). Donc, il va y avoir largage de grandes quantités de déchets dans le flux sanguin. Donc, avec l'augmentation de la quantité de petites particules dans le sang au niveau des membres, la charge virale va augmenter fortement. Au passage, c'est à cause de cette stagnation de l'eau dans les extrémités qu'on assiste (parfois) à l'apparition de rash cutané sur ces endroits là lors de l'arrêt brutal d'une trithérapie.
  25. Ouai, en lisant les réactions sur Agoravox (ici), je constate qu'on trouve toujours le même genre de types sur ces forums (je parle du coté officiel bien sur). Ce qu'il faut comprendre, c'est qu'Agoravox, comme d'autres sites (Futura Science par exemple), sont des sites montés par le pouvoir pour garder la main sur l'information. Il y a beaucoup de news, pour donner de l'animation et attirer un maximum de monde (*). Ceci pour éviter que les gens n'aillent voir des sites moins recommandables. Donc, forcément, vu que ces sites émanent du pouvoir, ils pratiquent la censure envers les idées dissidentes. Soit une censure pure et simple, comme sur Futura science, ou Doctissimo, soit une censure par flood, quand ils sont obligés de se donner un air démocratique et ouvert, comme sur Agoravox. Avec le flood, il s'agit de pourrir les échanges en mettant un maximum de messages inintéressants et mettant une sale ambiance, pour dégouter le lecteur éventuel. Régulièrement, c'est la même technique. Il y a le ou les excités de service (ici TALL), complètement buté, désagréable, voir insultant, qui balance des dizaines de messages de 3 lignes. Et il y a la caution scientifique (ici jouée par Svenn). Caution scientifique qui ne fait que sortir des banalités et ne donne jamais de preuves de ce qu'il avance quand ça porte sur un sujet crucial. Eh oui, avec seulement l'excité, la défense du coté officiel paraitrait minable. Svenn doit être en fait très probablement Nico111 (qui intervient sur ce forum). Il officie par ailleurs sur Hardware.fr (sous le nom de Svenn là aussi). C'est le même style. C'est le même genre de réponse qui se réclame de la vérité officielle, mais sans jamais donner de références quand on en vient au fond du problème. Ou des références qui sont à coté de la plaque. C'est un mec qui est là pour noyer le débat d'une autre façon ; c'est à dire en se concentrant sur des tas de petits problèmes techniques d'importance secondaire et en évitant de parler du fond. Et si on affirme un truc juste sur un élément important, dans la mesure du possible (par exemple si on n'est pas trop sur), il va se servir de sa soi-disante stature scientifique pour affirmer (sans le prouver bien sur) qu'en fait, on a tout faux. C'est pour ça que sur un sujet comme ça, on voit rappliquer immédiatement les mecs en question. Ils ne sont pas la par hasard. Déjà, ils surveillent ces forums pour intervenir rapidement. Mais si jamais ils passent à coté, on les prévient. C'est pour ça qu'ils postent tous ces messages. Et c'est pour ça qu'ils ne changent jamais d'avis. Ils sont en service commandé. Au passage, on peut constater qu'Agoravox a créé quelques sujets polémiques depuis quelques temps pour se faire un peu d'audience et avoir plus d'inscriptions à leur site (pour pouvoir répondre aux articles). Après le passage au mode "inscription" pour pouvoir répondre aux articles, il y a eu un effondrement des réponses aux sujets. Et on voyait clairement que ce n'était que quelques dizaines d'habitués (payés ?) qui répondaient aux articles. Du coup, il faut bien créer quelques sujets polémiques pour capter un peu d'audience et d'inscriptions. Remarque, pour le sida, tant mieux, malgré le flood, vu qu'il y a un certain nombre des nôtres sur le sujet, ça fait notre beurre. (*) C'est un peu le principe des journaux gratuits. Les gens ne veulent plus payer pour la presse quotidienne ? Oui, mais il faut absolument qu'ils continuent à être sous influence. Ben qu'à cela ne tienne, on va leur fournir les journaux gratuitement. Il faut qu'ils continuent à lire la même merde qu'avant et à penser dans le bon sens. De toute façon, avec la taxe cachée qu'est la pub (à la rigueur, demi-taxe), ils continuent à payer qu'ils le veuillent ou non. Donc, il n'y a même pas vraiment de manque à gagner avec tous ces journaux gratuits.
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