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aixur

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Tout ce qui a été posté par aixur

  1. Mais si je comprends bien, pour le lien http://jvi.asm.org/cgi/content/full/77/4/2...d=12551992#COR1 , ce n'est pas toi qui a fait l'expérience. Donc, je ne vois pas comment tu peux m'assurer urbi et orbi que la culture de controle a été faite de façon exactement similaire à celle de la culture "virale". Donc, tu racontes n'importe quoi quand tu dis ça. Tu n'as aucune preuve de ce que tu avances. D'ailleurs, ou est-ce qu'il est marqué que les celllules de controle ont été mises en culture ? Et pour le papier qui serait fait par toi ( http://pathogens.plosjournals.org/perlserv...al.ppat.0030146 ), là, on obtient quelque chose dans le controle. Donc, là, ça va dans le sens de ce que disent les dissidents.
  2. Si, les antibiotiques font du mal aux cellules. Ca a tendance à les désagréger, et à entrainer un stress pour la cellule. Ca désagrège aussi les particules non cellulaires. Donc, la présence d'antibiotiques (et éventuellement d'autres produits chimiques) est à mon avis la cause de l'obtention des particules virales. C'est pour ça qu'il me semble absolument impossible que les cellules soient mises en culture de façon identique. Soit elles ne sont pas mise en culture (on fait les mesures sur les cellules filtrées à partir du sang, bref, on pend un isolat ; ceci pour les cellules de controle bien sur, les cellule infectées étant elles mises en culture), soit elles sont toutes mises en culture (cellules infectées + cellules saines de controle), mais alors, on ne met pas d'antibiotique ou d'autres produits chimique dans la culture de controle. Le problème, c'est que ce qui se passe sur le terrain contredit ce que tu avances. Or, dans la mesure où on ne peut pas truander l'expérience de terrain, c'est ce qui se passe sur le terrain qui prime et qui donne le là (enfin, pour les expériences de terrain, on peut certaines fois truander, mais vu qu'il y a beaucoup d'études, ça devient difficile. Et surtout, quand ça vient de l'orthodoxie et que ça contredit ce que dit cette dernière par ailleurs, a priori, l'expérience est a peu près honnête). Et en l'occurrence, là, les diverses expériences montrent que la p24 n'est pas spécifique du tout. On a trouvé la p24 (et aussi la gp120, la gp47 et la p31) chez 40 % des chiens testés*. Il y a des gens qui ont une charge virale positive alors que le test d'anticorps est négatif**. C'est ça qui prime. Donc, aller faire croire que tout est clean dans les expériences de labo, c'est bien gentil. Mais vu ce qui se passe sur le terrain, ce n'est pas crédible. Et puis, si c'était si clean, on ne voit pas pourquoi Montagnier et ceux qui ont fait l'isolement de 97, auraient eu autant de mal à isoler et, pour ceux de 1997, auraient obtenu la même chose dans la culture de controle et dans la culture virale (au niveau des protéines émises). * : Strandstrom HV et al. Studies with canine sera that contain antibodies which recognize human immunodeficiency virus structural proteins. Cancer Research 1990 ;50 :5628s-5630s. ** : http://www.sidasante.com/themes/tests/pcr/...t_positives.htm
  3. Ok. Merci pour le résumé. Donc, il y a deux possibilités : 1) Soit, concernant les cellules de controle, il ne s'agit que d'un isolat. Donc, ça n'est pas mis en culture. Ca pourrait expliquer la non réaction. Puisque, effectivement, le sang d'une personne séronégative va être beaucoup moins chargé en débris cellulaires. Et en face (cellules infectées), on réaliserait des cultures. Ce qui changerait évidemment la donne, puisque pour les cultures, on doit utiliser des produits chimiques qui vont avoir tendance à créer des débris cellulaires. 2) Soit les cellules de controle sont mises en culture, comme les cellules infectées. Et alors, la culture de controle ne doit pas être faite de la même façon. On doit ne pas mettre certains produits chimiques dans la culture de controle. Ce qui expliquerait que beaucoup moins de débris cellulaires soient produits et donc, la non réaction. Mais il est impossible que les cellules de controle, si elles sont mise en cultures, le soient de façon identique à celle des cellules infectées (hors inclusion du "virus" bien sur). Sinon, elles doivent donner le même résultat.
  4. Donc, le TCID50, c'est la mesure de l'activité de transcription inverse si je comprends bien. Et on mesure par ailleurs la p24. Le problème, c'est qu'ils sentent légèrement le moisi ces deux indicateurs. L'activité de transcription inverse, ça fait longtemps que l'orthodoxie elle-même reconnait qu'on en trouve dans toutes les cellules et que ce n'est pas propre du tout à la présence d'un virus. Et la p24, on en trouve chez 40 (ou 60 %, je sais plus) des chiens testé. Dans le genre foireux comme indicateur, et dont on a bien montré la non spécificité totale, ça se pose là. Chez les humains, on sait que les tests peuvent être positivés à tort pour plein de raisons diverses (grippe, paludisme, vaccination, grossesse, etc...). Mais bon, face à l'exemple des chiens, ça devient presque du détail. Mais l'important, c'est la culture de controle. Le fait que les cultures de cellules amènent la multiplication de ce genre de cellule ne prouve rien sans culture de controle. Pour l'instant, il n'y a qu'un seul exemple que tu nous donnes. Mais, vu le sabir que sont ces documents, et vu que le sujet initial n'a pas l'air l'isolement du vih, mais l'analyse du role de la PI3-kinase dans la réplication du "virus", si tu voulais bien nous expliquer de quoi il retourne (but de l'expérience, en quoi consiste le controle, similarité des produits utilisés pour la culture de controle, explication du schema), ça nous éviterait de perdre du temps en décryptage. Cela dit, je vois mal comment on pourrait ne pas trouver la p24 et l'activité de transcription inverse aussi dans la culture de controle vu la non spécificité de ces indicateurs. D'ailleurs, je trouve bizarre qu'on fasse des cultures de controle pour autre chose que l'isolement du virus, vu qu'une fois qu'on a prouvé qu'il existe, il n'y a plus besoin de faire des cultures de controle. Ca serait comme dire qu'on n'est pas sur de l'existence du virus en question. Remarque, petit apparté, pour la p24 et les chiens, en y pensant, c'est normal : les chiens, comme les autres carnivores mangent en général de grosse platrées de viande. Pour que ça n'aboutisse pas à une agrégation dans le sang, ils doivent émettre un produit chimique genre cortisone ou un truc plus puissant pour éviter cette agrégation. Du coup, ça doit faire plein de petites particules dans le sang. Ce qui fait qu'on trouve facilement ce genre de particules chez eux (parce qu'à mon avis, c'est bien ça que mesurent les tests : les petites particules). En fait, les carnivores doivent être des candidats idéaux pour montrer la non spécificité de la plupart des particules sensées être spécifiques de tel ou tel virus (sauf des virus spécifiques aux carnivores bien sur). D'ailleurs, d'une façon générale, cette histoire des chiens et des faux positif dans la population générale pose le problème de la confrontation des bidouilles des virologues aux tests de masse dans la population générale. Et ce, pour tous les indicateurs en question. Les virologues pourraient bien bidouiller dans leur coin et dire que leur indicateur se retrouve uniquement dans les cellules infectées et pas dans les cultures de controle et qu'ils ont donc bien un virus. Mais dans la population général, on va forcément trouver ces particules chez des personnes qui ne sont pas supposées infectées par le virus. C'est le cas pour les particules du vih, mais à mon avis, ça l'est aussi pour toutes les autres particules de tous les autres virus. C'est un défaut fatal de la virologie. La seule solution pour contrer ça, c'est de dire que le virus se trouve chez presque tout le monde. Ce qui est le cas pour de nombreux virus (genre herpes). Comme ça, impossible de montrer la non spécificité (ce qui fait que ça devient légèrement irréfutable, donc, non scientifique). Cela dit, il y a encore les chiens et autres carnivores qui doivent pouvoir aider même dans ce dernier cas. Sinon, personnellement, je ne préconise pas du tout l'usage du préservatif. Pour moi, comme il n'y a pas de virus et pas de transmission sexuelle, ça ne sert à rien de mettre des préservatifs pour s'en protéger. On revient à la situation de la fin des années 70. A l'époque, avec les antibiotiques, personne n'avait plus rien à foutre de se protéger des MST, dont la prévalence était d'ailleurs en chute libre. Si l'usage du préservatif est revenu à la mode, c'est uniquement parce qu'il y avait le VIH. Sans le VIH bye bye le préservatif. Cela dit, si les gens veulent mettre un préservatif, qu'ils le mettent. Si ça leur chante, no problème. De toute façon, qu'on préconise ou pas l'usage du préservatif, vu ce que dit la dissidence (qu'il n'y a pas de vih), un bon nombre de gens seront forcément amenés à remettre en cause son usage. C'est de la simple logique. D'ailleurs, demander aux dissident de préconiser, par sécurité, l'usage du préservatif alors qu'en même temps, on ne voit pas de problème à ce qu'ils disent que le vih n'existe pas, c'est être assez tordu quand même. C'est vraiment de l'hypocrisie. Ca a un coté complètement byzantin ou l'important, ce n'est pas le fond du discours, mais l'apparence et le petit détail. Ca a par ailleurs un coté très vicelard ce genre de demande. Dans un premier temps, on demande un truc contradictoire avec le fond du discours, et puis ensuite, on dit "vous voyez. Ils ne croient pas vraiment en leur théorie, puisqu'ils préconisent un truc qui contredit leur croyance de fond".
  5. D'après ce que je vois dans la figure 1b, il y a quelque chose dans le controle (c'est la p24 qui est mesuré si j'ai bien compris). Il y en a moins que dans la culture "virale", mais il y a quelque chose. Donc le "virus" est bien présent dans la culture de controle. Donc, loin de prouver l'existence du virus, ça prouve que ce que dit la dissidence est juste : on va avoir tendance à trouver du virus aussi bien dans la culture de controle que dans la culture virale. Donc, le soi-disant virus est en réalité une particule produite naturellement par les cellules. Par ailleurs, je ne comprends pas comment est faite la culture de controle. On applique le HMBA sur la culture de controle ou pas ? Et à quel endroit du texte est décrite la méthode utilisée pour la culture de controle ? Quel sont les réactifs (pénicilline, etc...) utilisés pour la culture de controle ?
  6. Il n'y a rien dans les liens que tu donnes (les deux premiers). De toute façon, c'est normal, si tu avais la moindre preuve que le vih a été isolé, tu n'aurais pas fait que donner des liens, tu nous aurais expliqué par a+b en quoi le virus était isolé. Là, ce sont des liens pour noyer le poisson. Encore une fois. On commence à connaitre la chanson. Quand au 2), il n'y a aucune preuve de ce que tu avances ; évidemment. Bref, du blabla quoi.
  7. Je crois que c'était effectivement la première chose à dire. Ca me rappelle Nico111. Quand on lui a demandé de prouver ce qu'il racontait concernant les travaux qu'il avait fait sur des virus, il n'y a eu aucune réponse. Ca doit faire 2 ou 3 ans qu'on attend. Là, je crois qu'on va attendre également "assez" longtemps les preuves des travaux de dartagnan32.
  8. aixur

    La méthode PCR

    Oui, c'est vrai que tu t'es adapté à ce problème et que tu défends l'idée que certains anti-inflammatoires pourraient avoir une fonction réductrice. C'est vrai que la théorie du stress oxydatif, puisqu'elle se base sur la chimie est plus adaptable que la théorie virale. Seulement, je prédis que la charge virale, lors de la prise de ces médicaments et lors d'un arrêt brutal, n'est pas la même dans le tronc et dans les bras et les jambes (puisque le sang serait plus dilué dans le tronc que dans les bras lors de la prise du médicament et inversement lors de l'arrêt). Il faudrait alors que la théorie du stress oxydatif puisse expliquer ça. Pas évident. Par ailleurs, en traduisant un texte sur la nocivité des herbes médicinales de Mike Benton, je crois avoir trouvé d'autres éléments qui peuvent influencer la répartition de l'eau dans le corps. Probablement qu'une trop grande consommation de sel conduit au même effet que la cortisone (parce que ça conduit le corps à émettre de la cortisone justement. Ceci parce que le corps a une réaction de survie face au dessèchement et concentre l'eau dans le centre du corps, là où se trouvent les organes vitaux). Il faudrait alors expliquer en quoi le sel à une action réductrice et pourrait lutter contre le stress oxydatif. Et pourquoi quelqu'un qui n'a aucun stress oxydatif par ailleurs verrait une variation dans sa charge virale et son taux de cd4 suite à une prise trop importante de sel (sur une période un peu prolongée peut-être. Quoique peut-être que ça marche sur un seul repas, à voir). De même, il est possible qu'un effort entrainant une certaine déshydratation entraine ce genre d'effet (puisque, comme dit plus haut, le corps émettrait alors du cortisol pour lutter contre le dessèchement). Il faudrait expliquer comment une déshydratation, qui est sensée amener plutot du stress oxydatif, au contraire, diminue la charge virale et augmente le taux de cd4. Dans le même genre, je pense qu'une personne qui prend des médicaments contre l'hypertension va voir sa charge virale diminuer et son taux de cd4 augmenter lors de l'arrêt de ces médicaments. Il faudrait expliquer une telle chose selon la théorie du stress oxydatif. Evidemment, là aussi les chiffres ne seront pas les mêmes selon qu'on fait le prélèvement sanguin dans le bras ou dans le tronc. Autre chose peut-être pas trop gênante a expliquer pour la théorie du stress oxydatif, mais quand même. Il est possible que l'effet soit lié au dosage, pour les anti-inflammatoires non stéroidiens. Il faudrait alors expliquer pourquoi tel anti-inflammatoire donne un effet opposé en fonction du dosage. Surtout que c'est peut-être valable aussi pour les antibiotiques. Je n'en suis pas sur, mais c'est une possibilité. Donc, on aurait des antibiotiques qui auraient un effet oxydant à telle dose et un effet anti-oxydant à une dose bien plus faible. Ca finirait par faire beaucoup de choses à expliquer pour la théorie du stress oxydatif.
  9. Je ne l'ai pas précisé dans mes messages précédents, mais pour moi, il est clair que cette histoire de virus causant le cancer du col de l'utérus est complètement bidon. Si on a toujours cette théorie virale de certains cancers, c'est parce qu'on se traine l'héritage des premières expériences d'inoculation de soi-disant virus sur des souris au début du 20ème siècle. C'est le président de Verychip qui a levé le lièvre. Pour défendre ses abominables puces sous cutanées, il a déclaré qu'une expérience d'introduction de ces puces sur les souris ne valait rien, parce que les souris ont tendance à développer des tumeurs au point d'injection quelque soit le produit injecté (c'est ce qu'avait montré l'expérience d'insertion de puce sous-cutanée sur les souris, l'insertion d'une puce causait une tumeur au point d'inoculation). Donc, au début du 20ème siècles, les mecs qui ont fait des expériences d'inoculation de "virus" sur les souris ont évidemment obtenu des tumeurs au point d'injection. Du coup, comme ils étaient en plein délire sur les microbes pathogènes, ni une ni deux, ils ont pensé à des virus oncogènes, des virus engendrant des tumeurs, voir des cancers. Evidemment, sur les êtres humains, il a été impossible d'obtenir le même résultat (puisque les virus oncogènes n'existent pas et que tout était lié à la sensibilité des souris à l'injection de substances étrangères). Donc, la théorie virale du cancer a été battue en brèche sur la plupart des cancers. Mais sur quelques uns, les spécialistes ont réussi à ce que la théorie virale soit en partie conservée. Bien sur, comme on n'a pas pu faire d'expérience d'inoculation, impossible de prouver la théorie. Mais ce n'est pas grave en médecine. Il suffit qu'il y ait une simple corrélation pour que telle ou telle théorie soit considérée comme encore crédible. Là, on trouve du virus quand il y a des cancers, donc on considère que le virus cause le cancer. On n'est pas capable de le prouver définitivement, mais bon, il y a une corrélation pas trop mauvaise, alors c'est bon.
  10. aixur

    La méthode PCR

    Bon, de toute façon, je crois qu'on tient une expérience qui remet en cause la PCR. C'est moins direct que l'expérience que j'ai proposée plus haut, mais à mon avis, c'est quand même une preuve. Cette expérience, c'est celle dont parle Wallypat sur cette page, où une personne a vu sa charge virale réduite (vers 600) et son taux de cd4 augmenter à 1.200 à la suite d'une prise d'ibuprofen (un anti-inflammatoire léger). La preuve que la pcr ne mesure pas la quantité d'ADN, mais la quantité de petites particules, c'est le fait qu'avec un anti-inflammatoire stéroidien (cortisone), ou un non stéroidien à faible effet (comme l'ibuprofen), la personne va voir sa charge virale diminuer. Or, la charge virale ne devrait pas diminuer. Jusqu'à nouvel ordre, un anti-inflammatoire ne fait pas baisser la charge virale (ni monter les cd4, mais c'est un autre problème), parce qu'un anti-inflammatoire n'a pas d'action anti-virale. Donc, il devrait y avoir autant d'adn viral qu'avant. Autant, avec une trithérapie, on peut dire que c'est parce que la trithérapie agit bien comme on dit qu'elle agit (action anti-virale). Mais avec un anti-inflammatoire, non. Bien sur, il y a l'hypothèse dissidente du stress oxydatif. On pourrait me dire qu'il n'y a pas de vih, et que ce qui est mesuré, c'est l'adn des molécules de stress émises par l'être humain. Seulement, jusqu'à nouvel ordre, les anti-inflammatoires ne sont pas supposés lutter contre le stress oxydatif. Donc, là aussi, il y a problème. Surtout qu'il faudrait expliquer le fait qu'un anti-inflammatoire puissant à moins d'effet sur le stress oxydatif qu'un anti-inflammatoire peu puissant. Ce qui est légèrement illogique. Par contre, avec ma vision des trithérapies (à savoir, que ce sont des simples anti-inflammatoires stéroidien du genre cortisone, ou non stéroidien, mais a faible effet), et ma vision de la méthode PCR, tout s'explique très bien. La méthode PCR ne mesure pas la quantité de tel bout d'adn, mais la quantité de petites particules. Et si la quantité diminue aussi bien dans le cas de la prise d'une trithérapie que celle d'une prise d'anti-inflammatoire light ou de type cortisone, c'est parce que la concentration plus élevée des particules dans le sang fait que les petites particules s'agrègent beaucoup plus entre elles. Donc, il y en a peut-être autant d'émises à la base, mais il y en a moins au final, parce qu'elles s'agrègent entre elle. Elles sont donc remplacées par des agrégats de petites cellules qui sont forcément en nombre moins élevé (s'il faut 10 petites particules pour faire un agrégat, la formation d'un agrégat aura divisé la quantité de ces particules par 10). En supposant que la trithérapie agit bien comme je le dis, si la PCR mesurait bien la quantité d'ADN dans les particules, l'agrégation des particules ne devrait avoir aucune influence sur la charge virale. Si ça en a, c'est bien que ce n'est pas l'ADN qui est mesuré, mais bien la quantité de petites particules.
  11. aixur

    La méthode PCR

    Non, tu ne comprends vraiment pas. Je me demande d'ailleurs comment tu as fait pour obtenir tes diplômes. Parce que vu le bordel que sont certains cours ou polycopiés de cours en fac, et vu ta capacité à comprendre de travers les trucs les plus évidents, je me demande comment tu as fait pour comprendre tes cours et ensuite, réussir tes examens. Je vais simplifier le truc pour que tu comprennes mieux. Mais, je crois que tu vas encore faire exprès de comprendre de travers. Je dis que s'il y a deux bactéries 1 et 2, et un bout d'ADN A qu'on ne peut théoriquement trouver que dans la bactérie 1 et pas dans la bactérie 2, avec la méthode PCR, on pourra quand même trouver le bout d'adn A dans la bactérie 2. Mais bon, ça fait un certain temps que je pense que tu n'es là que pour noyer le poisson.
  12. Je dirais que ça va plutot complètement dans le sens de ce que je dis concernant le fait que les trithérapies sont en réalité des anti-inflammatoires (mais non stéroidiens à mon avis. Donc, plutot du type cortisone). Si les anti-inflammatoires ont cet effet, c'est parce que ça entraine une redistribution de l'eau dans le corps (d'où la bosse de bison et le gros bide). C'est un mécanisme de protection vital pour protéger les organes vitaux (qui sont dans le centre du corps). Si le taux de cd4 monte, c'est parce qu'il y a moins d'eau dans le sang des bras. Donc, forcément, le taux de cd4 doit remonter, vu que c'est "quantité de cd4/sur quantité de liquide sang", et que le liquide sanguin, c'est de l'eau. En plus, la concentration plus importante des particules dans le sang des bras (et des jambes), fait que les petites particules vont avoir tendance à s'agréger plus facilement, diminuant la quantité de petites particules et augmentant celle des grosse particules. Donc, la charge virale va avoir tendance à baisser, puisqu'en réalité ce que mesure la méthode PCR ce n'est pas la quantité d'adn de je ne sais quel particule présente dans le sang, mais la quantité de petites particules dans le sang. Cela dit, c'est intéressant, parce que je me demandais si les anti-inflammatoire non stéroidiens pouvaient avoir cet effet sur le taux de cd4 et la charge virale, et donc, s'il y avait une différence de nature entre la cortisone et les anti-inflammatoires non stéroidiens. Peut-être qu'il n'y a pas de différence de nature mais un simple différence de quantité. L'effet étant le même en dessous d'une certaine quantité. Cela dit, peut-être qu'il y a une différence de nature et que l'effet similaire à la cortisone est obtenu avec des quantités très faibles de substance active. Ce qui n'empêcherait pas d'avoir certain symptomes liés aux anti-inflammatoires non stéroidiens, comme des douleurs d'estomac et une certaine désagrégation des cellules, celle-ci étant plus ou moins masquée par la concentration du sang dans les bras (ce qui provoquerait les phénomènes d'agrégation des particules évoqués plus haut). Donc, il y aurait certains effets similaires en diminuant les quantité, mais avec d'autres effets différents dûs à la différence de nature des produits. En tout cas, on voit qu'il ne faut pas se fier du tout aux marqueurs du SIDA. Ils sont complètement bidons, et complètement manipulables. Et concernant ce gars, vu qu'il prend un anti-inflammatoire non stéroidien, il risque plutot de finir par avoir des problèmes digestifs et même de mourir par arrêt cardiaque ou hémorragie cérébrale. Donc, il aura un taux de cd4 super, une charge virale super, sauf qu'il sera mort. Surtout que dans le cas d'un séropositif, ça peut arriver beaucoup plus vite que prévu. Si l'action de l'anti-inflammatoire entraine un risque de mourir disons dans 5 ans (je dis ça complètement au pif), l'étiquette "séropositif" collée sur le front peut faire entrer la personne dans un cercle vicieux "diagnostic catastrophiste/prise de médicaments/effets secondaire de ces médicaments/diagnostics encore plus catastrophistes". Par exemple, les douleurs intestinales pourront être prises comme une infection opportuniste liée au VIH. Ce qui entrainera une prise d'antibiotique. La prise d'antibiotique entrainera des maux de tête ou/et une agression des poumons. Et en tant que séropositif, le diagnostic des maux de tête pourra très bien être "toxoplasmose", et celui des poumons "pneumonie". Ce qui entrainera la prise d'encore plus d'antibiotiques. Antibiotique qui seront encore plus dangereux. En quelque mois de ce régime, la personne peut mourir. Tout ça parce qu'elle a pris des anti-inflammatoires et qu'elle est séropositive.
  13. Salut Wainglu, Et bienvenue sur le forum. Pour un éventuel complot, je dirais que c'est possible. En y regardant de plus près, on constate qu'il y a eu la promotion de l'auto-controle et de l'auto-motivation dans pas mal de domaines au début des années 80, de même qu'un état d'esprit assez hystérique. Il fallait faire du participatif dans les entreprises (c'est à dire que ce n'était plus les employés qui obéissaient passivement voir même avec réticence à la hiérarchie, mais que les employés étaient désormais impliqués dans la réussite de l'entreprise. Il devenaient leur propre maitre). Il fallait se bouger pour réussir (principe libéral arrivé avec Reagan. En France, on faisait la publicité de la boss génération en opposition avec la bof génération des années 70). On faisait la promotion de la gagne dans le sport. Il fallait que "tout le monde bouge" pour lutter contre la pauvreté, au lieu de s'en remettre à l'état providence. Et dans le domaine de la santé, avec le sida, on a là aussi instauré un esprit d'auto-controle des populations (auto-controle de la personne sur elle-même, et controle de ce que font les voisins), puisque le sida, c'était "l'affaire de tous". Donc, au lieu du je m'en foutisme un peu anar et frondeur des années 70, on est passé d'un coup à un esprit limite nazi complètement hystérique. Etat où tout le monde est tellement concerné par les malheurs du monde (en raisonnant bien sur avec les trippes et pas avec la tête) et a tellement intégré la notion d'auto-controle ainsi que l'absence d'esprit critique que les gens acceptent toutes les lois liberticides du gouvernement pour soi-disant lutter contre ces malheurs. Donc, s'il y avait un complot, moi, je le verrais éventuellement à ce niveau là. On a peut-être inventé le SIDA pour servir comme élément dans ce mouvement général visant à instaurer plus d'auto-controle, d'auto-motivation, d'hystérie, etc..., dans la population. Cela dit, ce n'est qu'un faisceaux d'indices. Ca peut aussi n'être qu'une histoire de fric, ou alors, une simple erreur. Et puis, même s'il y avait effectivement un complot, il faut bien voir que tout ça se serait fait grace à la stupidité, la paresse intellectuelle, et l'ignorance des médecins. C'est une chose de décider d'inventer une maladie pour en faire un instrument de controle ou pour se faire du fric, c'en est une autre de l'imposer au corps médical. Donc, même si complot il y a, la réalisation de ce complot n'a pu avoir lieu que parce qu'à tous les niveaux de la médecine, on a laissé faire. Complot ou pas complot, le corps médical a montré qu'il est complètement perméable à ce genre de conneries et que c'est l'encéphalogramme plat dans le corps médical. Sinon pour le test obligatoire, je ne pense pas qu'il y en aura un. Il y a plein d'autres marchés dans le domaine médical. Il n'y a pas besoin de faire croire à la ménagère de 50 an qu'elle a le VIH. Il y a le marché de l'ostéoporose, du cancer du sein, de la ménopause, etc... De quoi se faire plein de fric sans avoir besoin du SIDA. Sinon, pour la progression de la dissidence dans le monde médical, difficile à dire. En tout cas, on n'a pas eu beaucoup de médecins dissidents ici (en fait, aucun je crois). Pourtant, ça ne serait pas difficile d'intervenir sous pseudo.
  14. aixur

    La méthode PCR

    Ben je me base sur tout ce que j'ai dit avant. Sinon, relis bien ce que j'ai écrit. J'ai écrit "Mais il suffit de prendre des bactéries par exemple, et prendre un ADN soi-disant propre à un type de bactérie". Donc, ta remarque sur le gène commun, etc..., n'a pas d'objet. Je parle d'un truc spécifique à chacune des deux bactéries. Mais on peut prendre deux animaux avec un bout d'ADN sensé être propre à chacun de ces deux animaux. Je ris d'avance du résultat d'une telle expérience.
  15. aixur

    La méthode PCR

    De toute façon, il y a moyen de vérifier si la méthode PCR est non spécifique. Là, c'est vrai qu'on ne peut pas vérifier puisqu'on peut supposer que ce qui est mesuré par le test est dans le corps de tous les humains même s'il s'agit d'un ADN non viral. Mais il suffit de prendre des bactéries par exemple, et prendre un ADN soi-disant propre à un type de bactérie. Et ensuite, essayer de détecter le même ADN dans la culture d'une autre bactérie. Et là, on verra que, surprise ! la méthode PCR, soi-disant ultra spécifique, détecte aussi l'ADN en question chez l'autre bactérie.
  16. En re-réfléchissant à cette histoire de vaccin contre le cancer du col de l'utérus et à ce que je disais plus haut, je me rends compte que j'ai parlé trop vite et qu'il va certainement y avoir plusieurs éléments qui vont faire que mon raisonnement optimiste sera mis en grande partie en défaut et que l'industrie médicale va avoir le beurre et l'argent du beurre. En fait, le vaccin n'est efficace que contre 75 % des cancers dûs au papillomavirus. Les 25 % restant étant dûs à des souches de papillomavirus plus rares. Du coup, on pourra continuer à détecter des cancers du col de l'utérus (les 25 %), tout en ayant vacciné une partie de la population. Surtout qu'il suffira de dire qu'une partie de la population n'est pas vaccinée, et que du coup ça maintient un nombre de cas élevés (si on a 50 % de la population vaccinée, ça fait encore 62,5 % de personnes non protégées). Et il faut voir que certainement que le papillomavirus n'est pas la seule cause du cancer de l'utérus. Donc, si ça ne représente que 50 % des cas (chiffre que je prends au pif), ça veut dire qu'ont n'a plus au final qu'une diminution du nombre de cas de 20 %. Et puis, par rapport à ce que je dis plus bas sur l'ulcère, il suffira éventuellement de trouver de nouvelles causes de cancer de l'utérus, ou de dire que d'anciennes causes entrainent plus de cancers de ce type pour refaire monter la prévalence de celui-ci. Surtout qu'à terme, on pourra toujours dire que le vaccin n'est pas si efficace que ça (genre 40 ou 50 % au lieu de 75 %) pour réduire encore plus l'impact de celui-ci dans la prévalence générale. Donc, le business du cancer du col de l'utérus continuera, et celui du vaccin marchera très bien aussi. Le beurre et l'argent du beurre. Donc, peut-être que le nombre de diagnostic de cancers du col de l'utérus diminuera un peu, mais pas tant que ça. Enfin, ce sera toujours ça de gagné. Cela dit, pour les ulcères, on a mis en soi-disant en évidence que c'était dû à 99 % à une bactérie. Ce qui était sensé tuer le business de l'ulcère, vu qu'il suffisait de prendre des antibiotiques. Et finalement, il semble que celui-ci continue à se porter très bien (parce qu'ils ont découvert, ô surprise, que les anti-inflammatoires avaient tendance à causer l'ulcère, et que ça représentait la grande majorité des cas désormais). Donc, pour le cancer du col de l'utérus, le business pourrait continuer à marcher très bien.
  17. Oui, c'est vrai que c'est un gros problème de la médecine alternative. Soit effectivement, on propose un traitement qui ménage la chèvre et le choux pour se protéger d'un éventuel problème et surtout d'une potentielle accusation de secte, de mise en danger du patient, etc... Ce qui fait que le truc est assez inefficace. Parce que c'est bien les traitements officiels du cancer qui tuent (je dirais minimum 95 % des patients). Soit il y a des livres qui disent que les traitements sont inefficaces voir dangereux. Mais très rarement ils remettent en cause le taux de mortalité attribué aux cancers. Donc, comme les gens continuent à croire que le diagnostic en question est un diagnostic de mort, ils restent près à prendre n'importe quel traitement, même un traitement officiel. Surtout qu'en général, en cas de cancer, ils vont retomber sur la première catégorie, qui va leur conseiller de ménager la chèvre et le choux. Parce que la deuxième catégorie n'est représentée que par des gens qui écrivent des livres.
  18. Je pense que c'est une théorie incomplète qui ne s'attache qu'à une des conséquences du problème. Et une théorie fausse en ce qui concerne la responsabilité du candida. Je pense que c'est soit une agression chimique externe qui cause le problème (médicaments la plupart du temps), ou alors, le blocage d'une zone du corps. Blocage dans le sens ou les déchets ne peuvent pas s'évacuer et s'accumulent dans la zone en question, entrainant un étouffement progressif des cellules de la zone en question (et du coup, les cellules passent à un mode de développement différent, proche de celui des bactéries, avec une multiplication anarchique). La présence du cancida albicans n'est qu'une conséquence de la présence de cellules mortes et de l'acidification de la zone (acidification qui va avec la présence des cellules mortes), cellules mortes et acidification qui sont donc elles-mêmes conséquence de l'agression chimique ou du blocage physique de la zone. Je ne suis pas sur que la prise de bicarbonate de soude ait vraiment un effet. Parce que si la zone est bloquée et qu'il y a accumulation de cellules mortes, de toute façon, la zone va s'acidifier et elle sera plus ou moins imperméable à l'arrivée de substances. Mais bon, je ne suis pas sur du contraire non plus (que ça n'ait aucun effet). Donc, c'est déjà une possibilité intéressante. Toutefois, bien qu'incomplète, et même si le bicarbonate de soude n'avait aucun effet, c'est quand même une théorie utile. Parce qu'en fait, je pense que la plupart des cancers (ou plutot des tumeurs, parce qu'à mon avis, le cancer est un concept faux. Il n'y a pas de métastases) ne vont pas causer de désagrément importants. On le voit avec les chiffres donnés dans le message précédent : 90 % des cancers avec une tumeur de moins de 3 cm n'entraine aucun problème (avec la prise de bicarbonate de soude. Mais je pense que sans bicarbonate de soude, le résultat serait plus ou moins similaire). C'est pour ça qu'en fait, tous les traitement alternatifs marchent. C'est parce que la plupart des cancers ne sont pas mortels. De toute façon, il est clair que la plupart des morts de cancer le sont à cause du traitement (médicaments ou rayons). Parce qu'on ne voit pas comment une tumeur de moins de 3 ou 4 cm, ce qui est le cas la plupart du temps, pourrait entrainer la mort d'une personne. A part éventuellement pour certaines tumeurs liées à des petits organes vitaux, et mal placées. Mais à part ça, la plupart du temps, la personne atteinte n'a aucune raison de mourir d'une si petite tumeur. Donc, si la personne meurt, c'est forcément à cause du traitement.
  19. Je n'ai lu que le deuxième livre de Jean-Claude Roussez, celui écrit avec Etienne de Harven : Les 10 plus gros mensonges sur le SIDA. Je ne sais donc pas ce que vaut le premier livre. Mais en tout cas, le deuxième est excellent. Quasi parfait pour une introduction à ce qu'est la dissidence. C'est parfaitement vulgarisé, tout en n'étant ni trop détaillé, ni pas assez. Et je n'ai pas du tout trouvé de Harven excessif.
  20. Si tu prenais encore des antibiotiques au moment où tu as été cloué au lit avec de la fièvre et des nausées, puis que tu t'es choppé une gastro, moi, je dirais que c'est l'antibiotique le responsable. Pour la gastro, là, c'est un effet très connu des antibiotiques. Et pour la fièvre et les nausées, quoique moins connu ce sont aussi des symptomes que peuvent entrainer les antibiotiques. Sinon, au fin d'année, il est assez fréquent que les gens aient de la fièvre ou se choppent un gastro. Donc, même sans antibiotiques, ces symptomes ne sont pas extraordinaires à cette époque là de l'année. Enfin, pour les taches sur les jambes, c'est bizarre, mais c'est peut-être simplement un truc lié au stress. Parce que tu m'as l'air d'être assez stressé tel que tu présentes les choses. Mais peut-être que tu prenais des médicaments à ce moment-là. Ca pourrait aussi expliquer ce genre de symptome.
  21. Je pense que ce vaccin est du pur n'importe quoi. Mais ceci étant dit, bizarrement, ça pourrait être un espoir dans un certain sens. Pourquoi ? Ben parce que je pense que de très nombreux cas de cancer ne sont que de simples tumeurs, souvent même de simples artéfacts liés aux instruments de diagnostic, et que ce qui tue dans ce cas, ce sont les médicaments. Donc, ce vaccin pourrait éviter éventuellement des milliers de morts causés par les médicaments anti-cancer. Parce que quand un médecin croit qu'une personne est vaccinée contre telle ou telle maladie, il va bien sur penser que la personne ne peut pas attraper la maladie en question. Donc, le nombre de diagnostics de cancers du col de l'utérus s'effondrerait. Et au lieu de ça, les femmes en question auraient un diagnostic de simple tumeur, entrainant un traitement infiniment moins lourd, et donc moins dangereux, que dans le cas d'un diagnostic de cancer. Donc, le nombre de morts du cancer de l'utérus s'effondrerait. Tout ça, par le simple fait de la croyance dans le vaccin. Bon, mais évidemment, vu le coté nocif du vaccin en lui même, il faudrait voir si le rapport bénéfice/risque est vraiment positif. Si on vaccinait toute la population féminine, est-ce qu'on n'aurait pas de nombreuses personnes qui développeraient des affections liées à la vaccination ? Ce qui diminuerait, le bénéfice en question. A voir.
  22. Bonjour, Bienvenu sur le forum, Ben c'est clair. C'est le traitement anti-palu qui a fait positiver le test à 99 % de chances (la crise de paludisme elle-même présente un risque de faire positiver un test). Si le Western Blot s'avérait positif, en plus de ne pas prendre le traitement, il faudrait qu'elle refasse le test d'ici 6 mois ou un an. Il redeviendra très probablement négatif (sauf si, à ce moment-là, y a d'autres causes faisant positiver le test, comme des vaccins, la prise d'antibiotiques, un rhume, le fait d'être enceinte, etc...).
  23. De toute façon, je m'en souviens maintenant, il y a l'étude de Padian, qui a analysé des couples sérodiscordants. Elle montrait que quasiment aucun des partenaires séronégatifs n'était devenu séropositif après de nombreuses années de relations sexuelles avec un compagnon séropositif. D'ailleurs, si je me souviens bien, c'est en grande partie pour ça qu'ils ont revu les taux de transmission énormément à la baisse.
  24. Oui. Il existe toujours. Mais je viens de changer d'hébergeur. Donc, le problème n'est que temporaire. Ca devrait revenir à la normal d'ici quelques jours au maximum. Edit : c'est bon. C'est à nouveau accessible.
  25. Eh oui. C'était donc bien une opération sous anesthésie générale. Or, je me souviens avoir lu que l'anesthésie générale nécessite l'injection de tout un tas de produits pour supprimer les réactions normales du corps. Je crois même me souvenir qu'ils parlaient de curare dans l'article en question. Donc, ça ne serait pas étonnant qu'un ou plusieurs de ces produits aient une action oxydante, ou du même type que celle des antibiotiques (ce qui pourrait expliquer ton énorme mal de crane à la sortie de l'opération). Par ailleurs, les anti-inflammatoires, à part la cortisone, ont les mêmes effets que les antibiotiques (c'est pour ça qu'on voit régulièrement apparaitre des histoire de problèmes avec ces médicaments). Donc, si on t'a donné du paracétamol, ça pourrait tout à fait être une explication à l'inflammation de ton oeil. Ca n'aurait probablement pas entrainé un tel effet en temps normal. Mais là, avec l'opération, peut-être que oui. En tout cas, opération (stress oxydatif) + produits utilisés pour l'anesthésie générale + paracétamol, ça me semble être suffisant pour expliquer une inflammation de l'oeil. Concernant tes céphalées, ça peut s'expliquer bien sur par une sinusite. Mais ça peut aussi tout à fait s'expliquer par la prise d'antibiotiques. C'est un des effets secondaires des antibiotiques. Ceux-ci détruisent les petits vaisseaux sanguins. Et donc, dans le cerveau, ça provoque des saignements et donc, des céphalées. A mon avis, si ta sinusite se résume à des céphalées intenses et éventuellement des douleurs musculaires, tu ne souffres pas du tout de sinusite, mais d'empoisonnement aux antibiotiques. D'ailleurs, dans ce topic, je disais justement à angel123 : "En tout cas, les effets des antibiotiques dont je t'ai parlé existent bien. Alors, si tu vois que tu commences à avoirdes maux de tête, des problèmes de cognition, fais gaffe". Par ailleurs, ça ne te semble pas bizarre cette histoire de staphylocoque qui t'infecte l'oeil après l'opération ? A priori, vu que tu t'es fait opérer du colon, c'est plutot là que l'infection aurait du démarrer, et pas à l'oeil.. Surtout que ça a du t'esquinter pas mal les chairs du colon cette opération. Mais non, bizarrement, le staphylocoque attaque l'oeil. Par contre, avec les produits de l'anesthésie générale, le paracétamol et les antibiotiques, c'est beaucoup moins bizarre. Le problème à l'oeil devient même complètement normal. Je te rappelle l'effet secondaire cité plus haut pour un antibiotique parmi d'autres : "Possible coloration rouge des urines et des sécrétions (possible coloration des lentilles de contact). Donc, un saignement de l'oeil. Et c'est probablement la même chose pour les produits utilisés lors de l'anesthésie générale. Idem pour le paracétamol. A partir des informations que tu as donné, je vois ton parcours a peu près comme ça. Tu te fais opérer avec anesthésie générale. Les produits utilisés lors de l'anesthésie générale + le paracétamol provoquent une inflammation de l'oeil et une forte céphalée. Tu prends peut-être des anti-inflammatoire à nouveau pour faire passer le mal de crane une fois chez toi (genre paracétamol à nouveau, ou aspirine). Vu que ces médicaments entretiennent le problème, ça ne passe pas ou peu. Et en tout cas, si ça passe un peu, ça revient rapidement. Tu vas voir un médecin qui te fait un diagnostic complètement erroné de sinusite (pas forcément erroné sur certains symptomes, mais sur la cause), et voyant ton statut de séropo, il te fait une maxi ordonnance d'antibiotiques. Et là, l'antibiotique t'attaque le cerveau et te provoque d'énormes céphalées en continue. Il augmente par ailleurs l'inflammation de l'oeil droit dont l'état dégénère petit à petit. L'acidité dans la région de l'oeil attaque l'os (acidité provoquée soit simplement par la destruction des cellules, soit par le rejet des produits de fonctionnement du staphylocoque qui se nourrit des chairs mortes). Il y a des staphylocoques de présents parce qu'il y a des chairs mortes et que ceux-ci s'en nourrissent. Donc, la présence du staphylocoque est une conséquence de l'attaque de l'oeil, pas une cause. Au bout de trois mois, ton oeil à tellement été attaqué par l'antibiotique que tu dois aller à l'hopital te faire hospitaliser. C'est maintenant. Et vu qu'ils croient, à tort, que le problème est lié à une infection nosocomiale (le staphylocoque), et qu'en plus, ils connaissent ton statut de séropositif, il te donnent à nouveau une maxi dose d'antibiotique. Vu le résultat avant, je le sens mal.
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