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forum sidasante

aixur

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Tout ce qui a été posté par aixur

  1. Quand on analyse toutes les maladies pulmonaires possibles et mêmes toutes les maladies possibles tout court, on se demande pourquoi les séropositifs en phase de soi-disant SIDA souffrent spécialement de tuberculose et de pneumonie. Pourquoi pas d'une forte grippe, ou d'un rhume carabiné ? Comme vous avez pu le voir par ailleurs, je défends l'idée que les trithérapies sont en réalité des corticoïdes. (voir ici) Or, en analysant les effets de l'arrêt des médicaments de type cortisone, voir de médicaments de types antibiotiques ou anti-inflammatoires, j'ai de plus en plus l'impression qu'on peut obtenir des effets de types toux sèche ; exactement ce qu'on a lors d'une tuberculose ou une pneumonie. Comme je l'ai dit dans mon topic sur les trithérapies, je pense que ce qui se passe quand on prend de la cortisone, c'est qu'il y a une rétention de l'eau du corps dans le centre du corps. Ceci parce que le cortisol est une hormone qui doit servir à préserver les organes vitaux (qui sont dans le tronc) entre autres de la déshydratation. Donc, lorsqu'on prend de la cortisone, le tronc gonfle à cause de l'accumulation d'eau. Les organes vitaux sont préservés et tout va bien. Mais quand on arrête brutalement de prendre de la cortisone (ou une trithérapie), l'eau s'accumule au contraire dans les membres (bras et jambes) et manque fortement dans le tronc. Or, on peut penser que si les poumons sont en manque d'eau, ils vont avoir tendance entrainer une toux sèche. Est-ce que c'est parce que le manque d'eau entraine une irritation des poumons, une moins bonne capacité à gérer les poussières, ou une irritation lors des mouvement des poumons (due à un frottement contre les autres chairs) ? Je ne sais pas trop pour le moment. Mais ça doit être des trucs de ce genre là. Donc, ce qui doit se passer, c'est que dès qu'un séropositif est en manque de cortisol, l'eau va quitter le tronc en masse, et il va éventuellement subir une toux sèche. Comme en plus le fait de manquer de cortisol entraine généralement un amaigrissement, on va s'orienter facilement vers un diagnostic de tuberculose ou de pneumonie. Et il peut se retrouver dans cet état parce qu'il a pris des antibiotiques pendant un certain temps et qu'il arrêté de les prendre d'un coup. Ca peut être aussi des anti-inflammatoires, ou d'autres médicaments entrainant une montée du taux de cortisol. Des choses relativement banales. Voilà pourquoi, à mon avis, les séropositifs souffrent si souvent de soi-disante tuberculose, et pas tellement de rhumes carabinés et de grippes (des maladies à toux grasse). D'ailleurs, on peut faire un parallèle avec l'asthme, autre maladie à toux sèche. On donne de la cortisone à inhaler pour les asthmatiques. Donc, quand la personne va prendre la cortisone, les poumons vont être bien alimentés en eau. Et dès que la personne arrêtera de prendre la cortisone, ou qu'elle n'en aura pas pris depuis longtemps, la crise va revenir. Tout simplement parce que les poumons ne sont plus correctement alimentés en eau. De la à penser que l'asthme est une malade auto-entretenue par la cortisone, il n'y a qu'un pas que je franchis allègrement. On peut même penser que l'asthme est une maladie créée de toute pièce. Il suffirait d'un épisode de maladie avec toux sèche, d'un médecin faisant un diagnostic d'asthme et donnant de la cortisone à inhaler au patient, et hop, celui-ci entre dans le cercle vicieux.
  2. Et sur le forum AidsMythExposed, on a un autre cas de séroréversion. Ici
  3. C'est quoi ce truc de grand mère contre la bronchite ?
  4. Oui. Mais est-ce qu'il y avait une culture de controle montrant un résultat différent de la culture virale ? J'ai l'impression que c'est aussi ça le problème des virus "isolés" par microscopie électronique avant l'avènement des tests d'anticorps et de la méthode d'identification génétique. Il n'y avait pas de culture de controle. Pas de culture de controle, pas de preuve qu'on a bien isolé un virus et pas des particules endogènes genre débris cellulaires. Et donc, les papiers de Sinoussi et Toplin ne valent rien comme preuve de l'isolement d'un virus par technique de microscopie électronique. Cela dit, concernant la possibilité d'obtenir des cultures très pures, ce qui était le problème soulevé initialement dans mon message du 12 avril 2007, et auquel tu répondais, sur les papiers de Sinoussi et Toplin, on n'a pas tellement de photos de virus en plan rapproché. Alors qu'il faudrait des plans rapprochés de toute la surface du plan large. Bref, il faudrait des dizaines de photos en plans rapprochées. Sinon, c'est trop facile d'en sélectionner une ou deux ayant une quantité raisonnable de particules se ressemblant. Et puis, concernant les plans larges, vu la qualité des photos, on ne peut rien dire sur la pureté de la culture. On ne le peut qu'à partir des plans rapprochés. Mais comme déjà dit, le problème, c'est qu'il n'y en a pas assez. Mais à mon avis, si c'était faisable d'obtenir des particules de même taille à quelques nanomètres près, on devrait alors pouvoir toujours obtenir une purification pure à 99 %, à partir de n'importe quelle soupe de départ. Donc, on ne voit pas pourquoi on ne le ferait plus maintenant. Vu qu'il ne s'agit que d'une simple technique d'ultracentrifugation, ça ne doit pas être extrêmement sorcier à faire. Si on n'arrive pas à obtenir une culture pure, c'est qu'en réalité, on ne doit pas pouvoir le faire et on n'a jamais pu le faire. La technique ne doit pas permettre de filtrer les particules à quelques nanomètres près. D'où le problème de soupe de particules rencontrée. Cela dit, si c'était possible, ce serait auto-confirmant alors. Parce que quelque soit la soupe de départ, vu qu'il y a des particules d'un peu toutes les tailles (enfin à cette échelle bien sur), il y aurait forcément un truc pur à 99 % à la fin. C'est un peu comme si on filtrait du sable. On obtiendrait forcément un certain nombre de grains de seulement un millimètre avec des filtres adéquats. On pourrait obtenir aussi un isolat pur à 99 % à exactement la même taille de particules avec une culture non virale. Il y en aurait peut-être moins. Mais il y en aurait certainement. Et ce serait là aussi pur à 99 %. En fait, on peut se dire que si c'était possible de filtrer les particules à quelques nanomètres près, alors, les virologues pourraient bien faire exprès de refuser d'utiliser cette technique. En effet, se pose alors le problème des échantillons de contrôle. En réalisant des cultures de controle, on verrait bien que des particules identiques se retrouveraient aussi dans l'échantillon de contrôle. Alors bien sur, on me dira que c'est le cas aussi quand on fait le contrôle avec les tests d'anticorps et l'identification génétique. Mais on peut se dire aussi que le problème avec l'identification visuelle par microscopie électronique, c'est que la similitude est trop évidente. Le fait qu'on obtienne la même chose dans un cas comme dans l'autre (culture virale et culture de controle) se voit trop facilement. Alors qu'avec les tests d'anticorps et les tests génétiques, on peut noyer le poisson. On peut jeter un écran de fumée technique qui va intimider le critique potentiel. Alors qu'avec une comparaison visuelle directe, c'est beaucoup moins le cas.
  5. Justement, ça devrait faire de toi un dissident ou au moins quelqu'un qui s'intéresse au sujet et tu devrais en parler dans les divers topic. Mais tu n'interviens a peu près jamais ; sauf quand justement je vais plus loin et que j'étends les problèmes au delà du VIH. Donc, pour moi il est clair que tu es un mec qui vient sur ce forum pour éviter que ça dérape plus loin que le VIH. Un mec qui intervient sur les forums pour noyer le poisson ou détourner le sujet du moment de son cours. Genre Valbelle sur Doctissimo. Et je commence à me lasser fortement de cette petite stratégie qui consiste à noyer le poisson en répondant plus ou moins à coté. Alors, ce qui va se passer, c'est que dès que je considèrerais que tu cherches à noyer le poisson par des messages à coté du sujet, ben je les supprimerai. Ou alors, je les déplacerais dans un topic ad hoc spécial nico111. Pour qu'ils restent sur le topic initial, il faudra qu'ils soient pertinents. Et si tu balances quelque chose, il faudra qu'il y ait des preuves derrières. Parce que ça aussi, balancer des faits invérifiables (je ne te parles pas de théories, hein, mais de faits), j'ai constaté que tu t'y entendais bien. Par contre, tu seras tout à fait libre de discuter des sujets classiques de la dissidence. Vu le peu de fois où tu interviens sur ces sujets, cela dit, ça ne devrait pas faire beaucoup de messages. Non, moi je parle du fait que les anticorps (ou plutot les tests) vont réagir alors qu'il ne devraient pas selon la théorie officielle. Et qu'en plus, ils vont réagir en fonction de la concentration en particules, quelque soit les anticorps, et quelque soit les antigènes en face. Montrant ainsi qu'ils ne sont pas spécifiques. Toi, tu ne traites pas du tout de ce problème, puisque tu parles d'un cas où justement, les anticorps doivent réagir (selon la théorie officielle). T'es complètement à coté de la plaque. Comme d'habitude.
  6. Evidemment, Nico intervient toujours dès qu'on va plus loin que le problème du VIH. Il n'a rien à foutre de la dissidence. Mais dès qu'on sort du cadre de la dissidence, il est là pour faire dériver le débat avec des arguments qui n'ont rien à voir avec la choucroute. Il y a un jour ou je vais m'énerver, je le sens. Ca devient un peu trop régulier cette façon de faire. Tellement régulier, que j'étais sur que Nico interviendrait sur ce débat. Juste un truc, on parle des globules blancs, hein. Rien à voir avec les globules rouges.
  7. Oui, c'est ce que je dis. Mais en fonction de la sensibilité du test, il faut que la concentration en particules soit suffisante. Une fois ceci obtenu, effectivement, à mon avis, n'importe quel anticorps réagit avec n'importe quel antigène. Un certain niveau de charge électromagnétique des particules (puisque, à mon avis, c'est en utilisant cette force que les particules se collent les unes aux autres) doit aider. Pour la plupart des maladies microbiennes, les test sont beaucoup moins dilués que pour le VIH et donc réagissent beaucoup plus souvent (en général entre 40 et 80 % du temps). Mais la médecine officielle a un truc qui lui permet d'expliquer cette situation. Elle dit qu'entre 40 et 80 % des gens ont rencontré le microbe et ont donc des anticorps contre la maladie. Donc, ça n'étonne personne si le taux de réaction du test est élevé. Personne n'ira incriminer la non spécificité de l'anticorps. Donc, la médecine officielle semble inattaquable. Surtout qu'on fait les tests essentiellement sur des personnes qu'on soupçonne déjà d'avoir le microbe en question. Donc, personne ne se pose de question. Cela dit, même dans cette situation, il y a moyen, je pense, de montrer la non spécificité des anticorps. Il suffit de tester sur les animaux. Comme en général, on dit que tel microbe est spécifique de telle espèce, tel microbe pathogène humain ne va a priori pas se rencontrer chez les autres animaux (ou alors quelques uns, mais pas beaucoup). Et on doit pouvoir montrer sans trop de problème que tel animal qui est sensé ne pas posséder tel microbe ou virus a des anticorps contre le microbe en question. Les carnivores me semblent de bons candidats. Quand on voit que 40 % des chiens ont réagi au VIH alors que le test est très peu sensible dans le cas du VIH, je ne te raconte pas à combien il réagit dans le cas d'un test qui est sensé réagir 70 % du temps (par exemple). Ca doit donner du 100 %. Eh oui, comme les carnivores ont beaucoup de protéines en suspension dans le sang à cause de leur alimentation, ça fait que la concentration en particules est très élevée. Exactement ce qu'il faut pour faire réagir fortement un test d'anticorps. Mais bon, on peut faire aussi des tests in vitro. On fait un test sur une culture qui ne contient pas beaucoup de particules. Ca test négatif. Donc, a priori, il n'y a pas d'anticorps. Puis on fait un test sur la même culture qu'on a exposé à des antibiotiques à forte concentration. Ca va créer des tas de petites particules. Et là, ça devrait réagir. Ou alors, effectivement, comme tu le suggères, on plonge des anticorps dans un bain d'antigène (n'importe quel antigène), et en fonction de la concentration, ça va réagir ou non. En fait, ce que je pense, c'est que c'est la quantité totale de particules qui fait réagir le test. Donc, ce qui fait réagir un test, ce n'est pas tellement la multiplication des anticorps que la multiplication des petites particules. Les particules vont réagir entre elles. Il n'y a même pas besoin de la présence d'anticorps pour faire réagir le test. Les petites particules suffisent. Et comme elles vont être beaucoup plus nombreuses que les anticorps, ce sont surtout elles qui vont faire réagir le test.
  8. Ca doit être une erreur de traduction. Je pense que c'est la solution 1). La bonne traduction doit être "induit" au lieu de "produit". Sinon, concernant la façon dont on détermine la spécificité de tel anticorps, ben, il faudrait tester l'anticorps avec plein d'autres antigènes. Je me rappelle qu'il y a quelques années, sur le présent forum, j'avais posé la question de savoir si de telles expériences avaient été faites. D'après le silence qu'il y a eu en face, il n'y a apparemment que très peu d'études de produites pour savoir si tel anticorps est vraiment spécifique de tel antigène, ou s'il est multispécifique, voir pas spécifique du tout (il réagit à tout, pour peu qu'il y a suffisamment de l'antigène en question). Il y a du y en avoir, vu qu'on sait que certains anticorps sont non spécifiques. Mais il y a du y en avoir extrêmement peu. Eh oui, forcément, si on avait cherché plus loin, on se serait certainement rendu compte qu'en fait, tous les anticorps sont totalement non spécifiques. Certaines personnes bien placées ont du en prendre conscience. Et donc, on n'a surtout pas cherché plus loin. Tout les tests d'anticorps invalidés, ça le fait pas du tout pour l'industrie pharmaceutique. Et si aucun anticorps n'est spécifique du tout, il y a un problème concernant l'existence du système immunitaire. Comment peut-il y avoir un système immunitaire s'il n'est pas capable de reconnaitre spécifiquement les antigènes qui pénètrent à l'intérieur du corps ? Et le problème pour la médecine officielle, c'est que ça, c'est facile de le voir. Comme les tests sont accessibles au grand public, il suffit que quelqu'un qui a réagi à un test essaye de faire le test de plusieurs autres maladies et il va voir qu'en fait, il va réagir également à certains d'entre eux. Evidemment, vu que les gens ne se méfient pas, ils ne le font pas. Mais le jour où il y en aura qui le feront, ça fera mal. La validité des tests s'effondrera, et avec les tests, la théorie du système immunitaire. Et si la théorie du système immunitaire s'effondre, celle des microbes pathogènes suivra immédiatement, entrainant avec elle les vaccins, ainsi que les antibiotiques et les antiviraux. Eh oui, le problème de la non spécificité des anticorps entraine très très loin. C'est comme des dominos qui tombent les uns après les autres.
  9. Il semble qu'en fait, ce soit fortement lié à ce qu'on mange. Effectivement, il faut faire un régime pauvre en sel et boire beaucoup (peu à chaque fois, mais régulièrement) comme le préconisent les médecins. Mais il est probable que ça ne soit pas suffisant. Une trop grande concentration en protéines et graisses aboutit peut-être aussi au même problème. Le mécanisme à l'oeuvre est à mon avis le suivant. Le corps est très sensible à la déshydratation. Donc, s'il constate qu'il y a trop de sel, voir trop de particules en suspensions (protéines, graisses, peut-être les sucres), il va protéger les organes vitaux et retenir l'eau dans le centre du corps (du coup, il y en aura moins dans le sang des bras et des jambes). Pour ça, il produit du cortisol en plus grandes quantités que d'habitude. Du coup, comme le coeur est plus alimenté en eau, il pompe plus que d'habitude à chaque battement. Ce qui induit une plus grande pression dans les veines. Par ailleurs, les veines des bras et des jambes se resserrent peut-être pour s'adapter à la déshydratation qui les touche. Donc, la pression doit augmenter aussi tout simplement parce que les veines sont resserrées. Or, comme on mesure la pression dans les veines des bras, la pression apparait comme élevée (elle doit l'être aussi dans les veines du tronc, mais peut-être moins, puisque celles-ci doivent s'adapter à la plus grande quantité d'eau en se dilatant). Donc, l'hypertension n'est qu'une adaptation du corps à des signaux de déshydratation (ça peut être lié à d'autres situations, mais là, c'est surtout celle là qui est liée au problème). Il n'y a rien de mystérieux dans ce mécanisme. Mais tout ça, on ne le dit très probablement pas au patient. On pointe du doigt le sel, mais sans expliquer le mécanisme au patient, qui ne voit qu'un truc mystérieux. Il a de l'hypertension, c'est comme ça, et il faut qu'il prenne des médicaments pour combattre celle-ci, point. Bien sur, je parle d'une situation normale où il n'y a pas de prise d'autres chose que l'alimentation classique des pays riches. Si on prend des médicaments ou des drogues, cet effet peut aussi survenir. Le fait d'être enceinte augmente probablement aussi l'hypertension, puisque la femme va avoir tendance à manger plus. Par ailleurs, le problème des médicaments contre l'hypertension, c'est que certains d'entre eux vont avoir tendance à perturber le fonctionnement normal des hormones en jeu dans ce problème. Ils vont se substituer aux hormones naturelles. Ici, certains médicaments vont se substituer aux hormones qui combattent l'effet d'hypertension. Donc, si on arrête brutalement le traitement, comme l'hormone n'est quasiment plus produite par le corps, il n'y en aura plus assez pour combattre l'hypertension de façon naturelle, et la personne va subir une phase de très importante hypertension. Ce qui lui donnera l'impression que c'est une espèce de fatalité et qu'elle doit prendre ses médicaments à vie. Ce n'est pas vrai pour tous les médicaments contre l'hypertension, vu qu'il y a plusieurs moyens de la combattre (par exemple, certains médicaments font plus uriner, pour évacuer le sel plus rapidement et en plus grandes quantités. On ne joue donc pas, dans ce cas, sur l'hormone régulant l'hypertension). C'est exactement comme l'effet rebond à l'arrêt cortisone, mais dans le sens inverse. L'arrêt de la cortisone va entrainer de l'hypotension (comme l'arrêt subite d'une trithérapie d'ailleurs, voir le topic que j'ai fait sur le sujet). Là, la personne va avoir de l'hypertension.
  10. Ahahah, excellent. Vraiment bien immité.
  11. Pour ceux qui prennent ou qui connaitraient des gens prenant ce genre de médicaments, il semble que certains hypertenseurs provoquent des oedèmes plus ou moins importants (je dis certains, parce qu'il y a pas mal de type d'antihypertenseurs). J'ai l'exemple de deux personnes dans mon entourage. Une amie et un gars que je connais qui ont tous les deux connu ce genre de problème. La première a parfois eu des rougeurs très étendues (jusqu'à 10 centimètres de diamètre) quand elle se faisait piquer par des insectes en été. Et le deuxième à souffert d'oedèmes de Quincke à répétition en 2005. A mon avis, c'est lié à la chaleur et à la déshydratation vu qu'à chaque fois que c'est arrivé, c'était l'été et il faisait très chaud. Le médecin du gars a d'ailleurs mis en cause les médicaments contre l'hypertension. Bref, si ce genre de choses arrive, vous aurez une idée de ce qui cause le problème.
  12. A mon avis, c'est au contraire très facile de redevenir négatif. C'est en réalité plutot la norme qu'autre chose. Les tests sont conçus pour réagir négatif environ 3 % du temps. Et à mon avis, ils réagissent à la quantités de débris cellulaires présents dans le sang. Donc, ce ne sont que les personnes ayant une quantité de déchets cellulaires importante qui réagiront positif. Et être dans cette situation là, ce n'est quand même pas si courant. La plupart du temps, les gens auront réagi positif parce qu'ils auront pris des antibiotiques ou des anti-inflammatoires, qu'ils auront eu une maladie (même bénigne du genre rhume ou grippe), qu'ils se seront fait vacciner peu de temps avant ; pour les femmes, qu'elles auront été enceintes, etc... Et là, je parle des cas de gens normaux. Pour ceux qui prennent des drogues, c'est encore plus évident. Mais ça veut dire qu'une personne qui est dans ce cas peut facilement réagir négatif. Il suffit que la période de prise d'antibiotique soit passée depuis quelques mois, idem pour la vaccination, que la personne ait arrêté de prendre ses anti-inflammatoires depuis un certain temps (parce que dans un premier temps, la taux de petites particules a plutot tendance à monter lors de l'arrêt), pour les femmes, que le bébé soit né depuis un certain temps, etc... Et pour les drogués, qu'ils aient arrêté de prendre de la drogue évidemment. Prendre des médicaments qui vont augmenter le taux de cortisol va faire diminuer la quantité de petites particules dans les bras (là où est faite la prise de sang). Donc, la personne va avoir aussi tendance à réagir négatif. Donc, une personne qui prend de la cortisone, ou des anti-inflammatoires légers comme de l'aspirine, va réagir négatif la plupart du temps. Une personne qui prend une trithérapie qui est en dessous de 10.000 copies de charge virale va elle aussi souvent réagir négatif aux tests d'anticorps. D'ailleurs, puisqu'on est dans le topic spiruline, une personne prenant de la spiruline a des doses relativement importantes aura tendance aussi à réagir souvent négatif. Bref, redevenir négatif, c'est facile.
  13. Tiens, je viens de découvrir qu'en fait, il est interdit de parler des effets antibiotiques (et autres effets du genre médicamenteux) de la spiruline aux USA et au Canada dans les publicités la concernant. Et ça a l'air d'être valable pour tout ce qui est considéré comme complément alimentaire. Ca explique qu'on ait si peu d'informations sur le sujet. C'est sur que ceux qui produisent la spiruline ne vont pas trop attirer l'attention sur son éventuel effet antibiotique, ou anti-inflammatoire. Parce que ça impliquerait certainement le passage dans la catégorie médicaments. Et il faudrait alors obtenir l'AMM (autorisation de mise sur le marché). Ce qui n'est pas forcément évident à avoir. Et puis, avec la classification comme complément alimentaire, il n'y a pas besoin de faire de nombreuses vérifications sur les effets secondaires du produit. Pas besoin d'essais cliniques, etc... C'est sur que la révélation de la présence d'effets secondaires nuirait fortement au produit. Alors que là, on peut dire que c'est un produit idéal qui n'a que des avantages. Ca pourrait être le cas, remarque, s'il ne contenait que ce qu'il est sensé contenir officiellement. Mais il semble bien qu'il contienne d'autres éléments. Et que ceux-ci ne soient pas anodins.
  14. A mon avis, si tu veux avoir une explication des effets secondaires à partir de l'explication officielle, ce topic n'aboutira à rien. Et tu n'obtiendra pas plus de réponse en allant sur des forums officiels. Tout simplement parce que l'orthodoxie ne fournit aucune réponse quant aux effets secondaires des antirétroviraux. Et ceci parce qu'elle ne comprend pas le fonctionnement réel de ces médicaments. Tant qu'on reste dans l'explication officielle, on ne comprend pas le vrai mode d'action de ces médicaments et le pourquoi des effets secondaires. La bosse de bison, c'est complètement bizarre, les symptomes à l'arrêt, c'est complètement bizarre aussi. L'hypertension lors de la prise, et l'hypotension à l'arrêt, c'est incompréhensible, etc... Un des seuls trucs qui n'est pas bizarre, c'est l'attaque du foie. Personnellement, je n'y comprenais rien avant. C'est pour ça que j'ai cherché une explication alternative. Mais quand on comprend que ces antiviraux soi-disant super high-tech, ce n'est que de la cortisone, ou de la cortisone-like, et qu'on comprend à quoi sert la cortisone, ben, tout s'éclaire d'un coup. Le mécanisme d'action est expliqué et les effets secondaires aussi. Pour ça, voir le topic que j'ai fait sur le sujet : http://www.sidasante.com/forum/index.php?showtopic=16558 D'une façon générale, ce qu'il faut comprendre, c'est qu'en réalité, la médecine n'a pas des milliers de médicaments à disposition. Il y a l'air de y en avoir des milliers, mais en réalité, il y a peut-être moins de 5 types de médicaments qui sont utilisés couramment, et peut-être 5 à 10 de plus qui sont utilisés plus rarement. Donc, la médecine ne fait que recycler quelques médicaments et les met sous des tonnes d'appellations différentes pour donner une impression de diversité. Et en général, les médicaments qu'on utilise, ce sont surtout des médicaments qui ont le même genre d'effet que les antibiotiques, ou que la cortisone. Il doit y avoir aussi les anti-histaminiques qui sont utilisés. Bref, ça ne fait pas des tonnes de types de médicaments qui sont utilisés en général. Les chimiothérapies anticancer, ce ne sont que des médicaments du genre antibiotiques qui sont utilisés. Les anti-inflammatoires non stréroidiens, ce sont des antibiotiques-like faiblement dosés, etc...
  15. J'ajoute aussi ce message concernant la mort de Mark Griffiths, que j'ai mis sur le topic de vitosi (ici) : "Tiens, d'ailleurs, en relisant le topic sur la spiruline, je constate que Mark Griffiths en avait pris à partir de mai 2004. Et il est mort fin octobre 2004. Or, j'avais déjà mis en avant le fait qu'il avait pris des antibiotiques pendant un mois ou deux durant l'été et qu'il suivait en même temps un jeûne (le jeûne laissant le champs libre à l'action de destruction des petits vaisseaux sanguins par l'antibiotique). Ce qui a été, je pense la cause de sa mort. Celle-ci étant dûe assez clairement à une hémorragie cérébrale. Mais maintenant qu'on a des éclaircissement sur la spiruline (une action de type cortisone donc), on peut penser que la prise de spiruline, en plus de l'antibiotique et du jeûne, ça n'a pas du aider."
  16. Je mets un lien vers le témoignage de Vitosi après un an de spiruline. Ce qu'on peut en tirer comme idée sur la spiruline, c'est qu'en réalité, ce n'est pas anodin du tout. Ca agit comme de la cortisone. C'est pour ça que certaines choses s'améliorent. Et bien sur, ça a les mêmes effets secondaires que la cortisone (rougeurs au visage, et probablement maux de tête dans le cas de Vitosi). C'est pour ça que ça augmente apparemment le nombre de leucocytes (à mon avis, en réalité, ils sont simplement plus concentrés dans le sang des bras. Il n'y en a pas forcément plus). Voir ce que je dis concernant la cortisone sur ce topic, et pourquoi ça améliore le taux de lymphocytes ou leucocytes, et aussi pourquoi ça améliore la forme chez certaines personnes. Bref, spiruline = pas bon. Ce n'est pas le médicament miracle attendu. Et on peut se poser des questions sur certains autres compléments phytothérapiques. D'une façon générale, dès qu'on voit "action antibiotique ou anti-cancéreuse ou anti-inflammatoire, ou plusieurs de ces actions en même temps" d'indiquée, il faut fuir le produit en question. Il peut y avoir une amélioration (comme quand on prend de la cortisone). Mais il va y avoir des effets secondaires qui vont être dangereux à terme, et qui en plus, vont être considérés comme des symptomes du sida par l'orthodoxie. C'est peut-être même ce dernier problème le pire. Dans le cas de Vitosi, on lui a diagnostiqué un sarcome de Kaposi (certainement à cause des rougeurs persistantes au visage) et une toxoplasmose (probablement à cause de maux de tête). Bonjour l'angoisse. Alors que les symptomes en question sont clairement uniquement liés à l'action de type cortisone de la spiruline.
  17. aixur

    kaposi et toxo

    Tiens, d'ailleurs, en relisant le topic sur la spiruline, je constate que Mark Griffiths en avait pris à partir de mai 2004. Et il est mort fin octobre 2004. Or, j'avais déjà mis en avant le fait qu'il avait pris des antibiotiques pendant un mois ou deux durant l'été et qu'il suivait en même temps un jeûne (le jeûne laissant le champs libre à l'action de destruction des petits vaisseaux sanguins par l'antibiotique). Ce qui a été, je pense la cause de sa mort. Celle-ci étant dûe assez clairement à une hémorragie cérébrale. Mais maintenant qu'on a des éclaircissement sur la spiruline (une action de type cortisone donc), on peut penser que la prise de spiruline, en plus de l'antibiotique et du jeûne, ça n'a pas du aider.
  18. aixur

    La méthode PCR

    Je ne pense pas, non. Ca attaque le foie et ca augmente le taux de cortisol au delà du taux normal. Ce n'est pas bon. La seule situation ou ça pourrait être utile, c'est dans le cas ou le taux de cortisol est faible. Mais dans ce cas, il vaut mieux prendre de la cortisone directement. Parce qu'au moins là, les médecins sont formés au suivi de la prise de cortisol et à l'existence des effets secondaires. Et il faudrait que le médecin le fasse en ayant bien conscience que c'est pour rétablir la cortisolémie. Le problème, avec les médicaments qui ne sont pas des anti-vih, c'est que le moindre effet secondaire négatif va être interprété par l'orthodoxie comme la manifestation d'une maladie du sida. Donc, à moins d'être mentalement très fort, le séropositif dissident va avoir tendance à succomber à la sentence du médecin et a prendre un traitement anti-vih, plus, en général, des antibiotiques et autres médicaments dangereux. Il n'y a qu'à voir l'expérience de Vitosi. Il a pris de la spiruline pendant un an, produit qui a lui aussi un effet similaire à la cortisone. Seulement, forcément, ça a engendré des effets secondaire connus de la cortisone : des rougeurs sur le visage et probablement des maux de tête. Résultat, on lui a diagnostiqué un sarcome de Kaposi et une toxoplasmose. Donc, non seulement ça me semble dangereux en soi à cause des effets secondaire, mais en plus, à cause des réactions des médecins orthodoxes face aux effets secondaires. Avec une prise de cortisone, peut-être que le médecin traitant s'affolerait moins en face des effets secondaires, mais ce n'est pas complètement sûr non plus. Mais ce qui est sur, c'est qu'avec des médicaments autres que la cortisone, là, tout effet secondaire sera considéré comme le symptome d'une maladie du sida. Donc, franchement, la prise d'aspirine, ça me parait dangereux.
  19. aixur

    kaposi et toxo

    Je crois avoir l'explication du problème. La cause du Kaposi, à mon avis, c'est la spiruline. En faisant une recherche sur le sujet, j'ai vu que la spiruline a une action antibiotique. Ca n'a pas l'air d'être reconnu par tout le monde. Et quand ça l'est, la responsabilité est rejetée sur un micro-organisme appelé microcystine. Mais à mon avis, il y a une action anti-bactérienne. Mais ça doit être faiblement dosé. Donc, ça doit avoir une action pas trop importante du genre cortisone. C'est ça qui explique la disparition de la candidose, la fin de l'anémie, l'amélioration du nombre de leucocytes, etc... Et ça explique que tu ais eu des allergies sur la figure (voir témoignage ici). Les rougeurs au visage c'est un effet secondaire connu de la prise de cortisone. Cette allergie a du dégénérer un peu et entrainer des petites excroissances de chair, ou des rougeurs persistantes, qui ont été considérées comme du sarcome de Kaposi. Et peut-être bien que ça a provoqué des maux de tête (autre effet secondaire connu de la cortisone). Et ceux-ci ont du être diagnostiqués comme toxoplasmose par les médecines, alors que ce n'est qu'un effet secondaire de la prise de spiruline. C'est ça le problème de se reposer sur des médicaments. Il y a toujours un effet secondaire à un moment où à un autre. Et quand ce sont des médicaments non reconnus par l'orthodoxie, ces effets secondaires vont être considérés comme une manifestation du SIDA. Alors que si ces effets secondaires étaient venus d'un médicament officiel, là, comme par hasard, ce serait tout simplement... un effet secondaire du médicament. C'est pour ça qu'il ne faut pas prendre de médicament (ici, je ne parle pas des vitamines et minéraux bien sur). Cela dit, c'est vrai que la spiruline, c'est vicelard, parce que l'effet antibiotique n'est pas du tout mis en avant apparemment. Donc, la spiruline apparait comme un produit anodin de prime abord. Donc, mon avis, c'est qu'il n'y a ni sarcome de Kaposi, ni toxoplasmose. Les problèmes viennent tous de la prise de Spiruline.
  20. Je crois, mais je n'en suis pas absolument sur, qu'ils se basent en grande partie sur l'étude de Padian. En gros, l'étude portait sur la transmission au sein de couples sérodiscordants. Ils ont trouvé qu'il n'y avait quasiment aucune transmission. Du coup, ils ont sorti ces chiffres là. Disons qu'ils se sont adaptés à l'étude de Padian quoi. Maintenant, pourquoi ces chiffres en particulier ? Ce sont les mystères de l'orthodoxie a priori. Mais, il y a peut-être une réponse précise. Qui sait ?
  21. En y réfléchissant, je crois qu'il est possible de refaire l'expérience de Giraldo. C'est vrai que suite à son expérience, les tests ont été adaptés à la dilution sanguine normale. Donc, a priori, la dissidence s'est faite avoir définitivement sur ce problème. Mais il est possible de refaire l'expérience. En fait, puisque ça a été adapté à la dilution normale, il suffit cette fois de concentrer le sang. C'est vrai que c'est peut-être difficile de concentrer 400 fois (50 fois, on peut en approcher par contre). Mais, on peut peut-être biaiser. Pour créer des tas de petites cellules (vu que c'est ça que mesurent les tests en réalité), il suffirait d'utiliser un antibiotique ou un anti-inflammatoire dans le sang prélevé. Il n'y aurait donc même pas à faire prendre d'antibiotiques à la personne avant le test. Et là, on pourrait devrait arriver à faire réagir les gens positifs en quantités importantes. Le taux de réaction positif serait en plus dépendant de la concentration du sang et de la quantité et de la durée d'exposition aux antibiotiques. Ce qui montrerait encore plus nettement le coté bidon des tests. Evidemment, on ferait un test avec le sang non concentré et non exposé aux antibiotiques. Test qui se révèlerait bien sur négatif. Ce qui ferait qu'à partir d'un même échantillon sanguin, de la même façon que dans l'expérience de Giraldo, on aurait un sang positif ou négatif, selon qu'il serait concentré ou pas. En fait, là, on refait les expériences d'isolement de virus de laboratoire quelque part, puisque ces expérience se font sur du sang prélevé sur des gens, avec introduction de produits chimiques genre antibiotiques dans la culture. Donc, là, ça y ressemble en partie. Il n'y a pas le coté isolement des lymphocytes du reste des autres cellules. Mais, on n'en a pas besoin.
  22. Voici un autre type de faille, qui ne se situe pas au niveau des expériences de laboratoire elles-mêmes, mais au niveau de la confrontation des résultats trouvés en laboratoires aux résultats obtenus dans le vaste monde. Il me semble clair que les expériences de laboratoires sont truandées à fond (pas de culture de controle, ou culture de controle sans certains produits chimiques, ou mesures sur le controle faites à un moment différent des mesures sur la culture virale, etc...). Le problème, c'est qu'ensuite, les choses échappent aux virologues. Ils ne peuvent donc plus faire leurs petites truandes dans leur coin. Ils sont livrés au verdict des tests dans la population, sans possibilité de les influencer. Et évidemment, ce qui se passe dans la population générale contredit les études de laboratoire. Or, tout doit être cohérent. On ne peut pas avoir un résultat en laboratoire et un résultat opposé dans le grand public. Et si ce qui se passe dans la population contredit ce qui se passe en laboratoire, c'est ce qui se passe dans la population qui prévaut bien sur. Le problème va se situer sur la spécificité des particules virales et de l'adn viral. Les virologues vont bien sur trouver que les particules et l'adn sont spécifiques de tel virus. Ils vont peut-être même faire des cultures de controle (truandées bien sur), où il n'y aura rien, alors qu'ils trouveront quelque chose dans la culture virale. Mais, une fois les tests disponibles dans le grand public, on va pouvoir voir que la spécificité des particules en question est complètement bidon. Comme les tests mesurent en réalité la quantité de petites particules dans le sang (pcr comprise), on va pouvoir voir de très nombreuses situations ou la personne n'est pas sensée du tout réagir positive, mais réagira quand même positive. En fait, les causes de positivation des tests sont en partie les mêmes que celles déjà trouvées pour le VIH. On ajoutera d'autres causes très importantes de positivation du test que sont les antibiotiques, les anti-inflammatoires et les anti-paludéens. C'est valable aussi bien pour les protéines d'un virus, que pour son adn. C'est ce qu'on constate pour le VIH, ou 40 % des chiens testés sont positifs à la p24, la gp120, la gp47 et la p31. Et il y a des gens qui ont une charge virale positive (jusque à environ 10.000 copies apparemment), alors que le test d'anticorps est négatif. Bref, la confrontation avec le monde réel représente potentiellement une faille fatale pour les virologues. Ca se voit relativement peu parce que les médecins adoptent la théorie des virologues et ne refont pas les tests, ne testent que les personnes "à risque", ou trouvent une explication ad hoc si la personne n'est pas à risque. Mais si le grand public se mettait à faire des expériences pour tester la spécificité des tests et leur stabilité dans le temps, on aurait des surprises, et on mettrait en lumière rapidement la non spécificité des tests, et donc, des particules virales (puisque c'est uniquement par les tests qu'on établit leur spécificité, leur caractère unique). Le truc pour éviter ça, ça va être de dire que presque tout le monde a le virus, ou a rencontré le virus et donc, a des anticorps. Ce second cas représente encore une faille, puisqu'on peut montrer que la personne a aussi les protéines du virus (puisqu'on peut tester la positivité aux antigènes, c'est à dire, les protéines du virus), ou même l'adn du virus. La première solution semble la meilleure donc, pour éviter que des vérifications ne mettent en évidence la non spécificité des protéines et de l'adn (ou en tout cas, la non spécificité des tests, mais comme on n'a que ça pour identifier les particules et l'adn, ça revient au même en pratique). Seulement, du coup, on se rapproche fortement d'un truc non réfutable. Or, en épistémologie, ça n'est pas recevable. Si on ne peut pas faire d'expérience montrant que la théorie est fausse, la théorie devient non scientifique. Cela dit, même là, on doit pouvoir mettre en évidence le caractère non spécifique du truc, vu que comme l'expérience des chiens pour le vih le montre, on doit pouvoir faire réagir certains animaux aux tests en question. Donc, si c'est sensé être spécifique des humains, ça invalide la spécificité des particules et de l'adn. Il n'y a que si tous les animaux possibles sont supposé être infectés que là, on retombe dans le non scientifique.
  23. Ben, je suis désolé, mais il n'y a rien de précisé pour le troisième triplicate. Donc, qu'est-ce qu'il y a dedans ? On ne sait pas. Dans la mesure où ils testent un inhibiteur de PI3-kinase, peut-être que le troisième puit est un truc infecté, mais traité avec la PI3-kinase. Donc, considéré comme non infecté. Ce n'est pas clair du tout. Et puis, même en supposant que ça soit bien une culture non infectée, sur la figure 6, on ne voit pas ce que donne la PCR sur le uninfected. On a bien le résultat en B dans un graphique. Mais on n'a pas la fluorescence, comme pour les autres triplicates. Donc, sans le résultat visuel de la PCR, on doit leur faire confiance. Ce n'est pas acceptable. Surtout que la PCR ne donne pas beaucoup de copies (1000). Entre 1000 et rien, avec la PCR, la frontière est mince. Donc, il suffit qu'il y ait eu une légère variation pour qu'on se retrouve avec rien, ou un truc considéré comme rien. Sinon, comme le dit Nicholas Bennett, cité par Wallypat, les expériences ne sont pas faites en aveugle. C'est vrai que c'est un énorme défaut du truc. Vu la capacité des virologues à truander leurs expériences concernant la culture de controle (cf. les expériences citées par Wallypat), l'expérience en aveugle me semble indispensable. Sinon, pour ce que tu dis à la fin "peut etre un jour l’un des deux cotes prouvera incontestablement son fait.", pour nous, c'est bon. On peut faire faire redevenir négatif un séropositif très facilement. Je pense avoir trouvé ce que sont les trithérapies (en fait, des corthicothérapies) et donc, j'ai trouvé comment faire arrêter aux séropositifs leur traitement sans qu'ils subissent d'effets secondaires (les mêmes qu'à l'arrêt d'une corticothérapie). Du coup, on peut faire varier la charge virale et le taux de cd4 facilement. Comme déjà dit, on trouve la p24, la gp120, la gp47 et la p31 chez 40 % des chiens testés. Il y a des gens qui ont une charge virale positive jusque à environ 10.000 copies et qui sont négatifs aux tests d'anticorps. De notre coté, la messe est dite.
  24. En relisant le document, il n'est pas clair du tout que le terme "uninfected" corresponde à ce que tu nous dis. Il n'est par ailleurs pas précisé que les cellules de controle (si controle il y a) soient cultivées. Si c'était le cas, dans ton dernier message, on nous parle d'une procédure générale de mise en culture sans rien préciser spécifiquement pour la culture de controle. Donc, même s'il y avait des cellules de controle et qu'elles étaient mise en culture, on n'est pas sur que la culture en question serait dans les mêmes conditions que les cultures infectées. On ne peut pas se contenter d'un truc où on doit extrapoler en se disant que si ce n'est pas précisé, c'est qu'ils n'ont pas éprouvé le besoin de le faire, mais que la procédure générale décrite inclut le controle. Parce qu'ils pourraient très bien ne parler en fait que des cultures infectées. C'est le genre de truc qui doit être précisé. On est en fait même pas sur qu'il y ait des cellules ou une culture de controle qui corresponde à ce que tu dis. Le mot "uninfected" ne revient que deux fois dans tout le texte, et pas du tout dans le sens auquel on s'attendrait si c'était bien des cellules ou une culture de controle. Il faut dire qu'on est dans le cadre d'une expérience particulière où on essaye de voir ce que donne un inhibiteur de PI3-kinase. Bref, ce n'est pas clair du tout.
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