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aixur

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Tout ce qui a été posté par aixur

  1. aixur

    La méthode PCR

    Ben le sujet de la discussion il est simple Brume. Suppose qu'on te dise que les compteurs geigers sont sensés mesurer la radioactivité. Et tu as un endroit où tu est absolument sur qu'il n'y a aucune radioactivité. Mais tous les compteurs geigers que tu essaie dans cet endroit détectent une radioactivité maximum (supposons que tu essaie tous les compteur geigers qui existent, histoire d'exclure une mauvaise série). Ben il serait alors clair que ces compteurs geigers ne mesurent pas la radioactivité mais autre chose. Et là c'est pareil. Il n'y a pas de VIH. Et il n'y a rien d'autre qu'un virus qui puisse entrainer la présence de millions d'arn identiques dans le sang. Or, la pcr détecte parfois des millions d'arn identiques dans le sang chez certains séropositifs. Donc, puisqu'il n'y a pas de virus vih, c'est que la pcr ne détecte par de l'arn, mais autre chose. Forcément.
  2. aixur

    La méthode PCR

    Ben voyons. C'est pratique. Il y a 120.000 cd4 par ml produits chaque jour, mais ils sont tous détruits avant qu'on puisse les compter. C'est vraiment trop bête. C'est également trop drôle. Enfin, du coup, il n'y a aucune preuve qu'une telle chose se produise quoi. Et puis, si c'était le cas, avec une telle base de 120.000 cd4 par ml produits par jour, le taux de cd4 varierait fortement. Il serait impossible que le "virus" détruise exactement la même quantité de cd4 par jour. Donc, une semaine, le taux de cd4 serait à 5000 (voir plus avec une base aussi énorme que 120.000), une autre à 200. Mais on ne retrouve rien de tel chez les séropositifs. Ils ont en général une charge virale, soit normale, soit légèrement soit franchement inférieure à la normale. Et ça varie lentement, de quelque dizaines ou centaines de cd4 entre des prises qui datent de plusieurs mois. En plus, on ne retrouve un tel taux de cd4 de 120.000 dans aucune autre maladie. Or, dans les autres maladies, il n'y a pas de virus qui détruisent les cd4. Et si le corps était capable de produire une telle quantité de cd4, il le ferait dans le cas d'autres maladies exigeant une réponse immunitaire puissante. Donc, il est clair que c'est une pure invention. Mais surtout, il n'y a pas de VIH. Tu n'as toujours pas l'air de comprendre que tu es sur le forum de la dissidence du sida. Donc, il n'y a aucun virus pour détruire les cd4 en question. Donc, ta théorie ne tient pas. Cheminot pense que tu es plus ou moins un dissident. Vu que tu n'arrêtes pas de faire reposer tes raisonnements sur l'existence du VIH, il est clair que non. Quand au fait que je remette un morceau de texte que j'ai déjà mis, vu que je crois que tu est là pour faire en sorte que certains de mes messages soient noyés dans le flood de tes arguments bidons (puisque tu n'interviens jamais, sauf quand je poste un truc qui va plus loin que la ce que dit la dissidence actuelle), eh ben, je les remets. Et quand on en aura fini avec cette conversation, je remettrai le message initial. Et comme ça, ton flood n'aura servi à rien.
  3. aixur

    La méthode PCR

    Oui , dans la phase SIDA pas dans celle de séropostivité qui dure quelques années non ? Ahahahah. L'orthodoxie nous dit que le taux normal de cd4 est de 1200 par ml. Et donc, selon toi, durant la phase de séropositivité sans sida, le taux grimperait à 120.000 cd4 par ml. Première nouvelle. Arrêtes de t'enfoncer, tu deviens ridicule. Non, je te le répète. La messe est dite. Y a rien qui puisse produire autant d'ARN dans le sang qu'un virus. Et s'il n'y a pas de virus, un truc qui arrive à trouver des millions de virus par ml de sang est clairement une arnaque. La pcr arrive à trouver des millions d'arn de virus alors qu'il n'y a pas de virus. C'est donc que la pcr est une arnaque. Et ce qu'elle détecte et multiplie sont forcément des débris cellulaires, vu que hormis un virus, il n' y a rien d'autre qui puisse se multiplier autant dans le sang que les débris cellulaires.
  4. aixur

    La méthode PCR

    on a 4 à 10 millions de blancs par litre , en très gros 4 l de sang et 1/4 de T4 donc en tout 4 à 10 millions de T4 dans le corps. Demi vie des blancs de quelques jours donc en 3-4 jours 2 à 5 millions de T4 produits, on est loin des 1 milliard par jour. Ahahahah. On aurait donc 100 fois plus de T4 que d'habitude. Mais l'infection par le virus se caractériserait par... une baisse des T4... Sacré Nico. Ben oui, mais justement, il n'y a pas de virus VIH gros malin (je te rappelle que tu es sur le forum de la dissidence au cas où tu n'aurais pas capté). C'est ça qui fait que si la PCR détecte quelques chose et donne une charge virale de millions de copies, c'est que ça détecte autre chose que de l'arn... puisqu'il n'y a pas de virus pour émettre des millions d'arn. Mais oui, tout va très bien Nico. T'inquiètes pas, les hommes en blanc vont venir et ils seront très gentils avec toi. Ils essaieront de t'expliquer ce que j'ai voulu dire. Les pauvres, ils en ont bien pour 10 ans... Eh oui, tu peux essayer de noyer le poisson comme à chaque fois, la messe est dite. Y a rien qui puisse produire autant d'ARN dans le sang qu'un virus. Et s'il n'y a pas de virus, un truc qui arrive à trouver des millions de virus par ml de sang est clairement une arnaque. La pcr arrive à trouver des millions d'arn de virus alors qu'il n'y a pas de virus. C'est donc que la pcr est une arnaque. Et ce qu'elle détecte et multiplie sont forcément des débris cellulaires, vu que hormis un virus, il n' y a rien d'autre qui puisse se multiplier autant dans le sang que les débris cellulaires.
  5. aixur

    La méthode PCR

    Il parait qu'environ 1 milliard de T4 sont produits chaque jour lors de "l'infection par VIH", oui c'est un explosion du nombre de cellules donc une source énorme d'ARN et ce n'est pas du tout cancéreux. Seul bémol, lors des PCR charge virales on exclu les cellules donc l'ARN du VIH présent dans ces cellules n'entre pas en compte. A remettre dans le contexte. Combien de T4 sont produits d'habitude ? Et surtout, ça m'étonnerais que ça multiplie par mille ou dix-mille la quantité de particules dans le sang. Or, c'est bien des multiplications pareilles qu'on obtient avec la charge virale. De toute façon, si c'était l'arn des T4 que ça mesurait, il y aurait alors autant de copies "virales" que de cd4. Donc, ça ne tient pas. Donc, ça ne change rien. Et on reste bien avec la problématique que j'ai soulevée. Et mon raisonnement détruit bien toute la pcr, pas seulement la pcr appliquée au vih. Parce que si la pcr est capable de détecter une charge virale de plusieurs millions de copies alors qu'il n'y a pas de virus vih, et vu qu'il n'y a qu'un virus qui puisse engendrer ce genre de multiplication phénoménale d'arn, ça veut dire que la pcr détecte autre chose que l'arn. Et donc, forcément, ça invalide la pcr dans son intégralité. Eh oui, bye bye la PCR. Et merci à Wallypat de m'avoir fait réfléchir à nouveau sur le sujet.
  6. aixur

    La méthode PCR

    Tiens, je mets ça que j'ai posté au départ sur un autre topic, avec un petit ajout. Concernant la PCR, s'il n'y a pas de virus VIH, les chiffres très élevés de charge virale deviennent absurdes. Si ça détecte bien une séquence d'ARN, alors, pour qu'il y ait une explosion pareille de "copies" en l'absence d'un virus, il faudrait une division effrénées des cellules. Ca voudrait dire qu'on serait face à un phénomène de type cancéreux. Il est clair qu'on n'est pas face à un tel phénomène. Donc, il n'y a pas multiplication d'arn. Donc, la charge virale ne devrait pas augmenter. La seule autre chose qui peut se multiplier comme ça, ce sont les déchets cellulaires (pas à une telle échelle. Mais la PCR va avoir tendance à amplifier la multiplication. Par exemple, une multiplication par 100 des déchets cellulaires va entrainer une multiplication par 100.000 de la charge virale). Et, si la charge virale augmente jusque à des millions de "copies", ça ne peut être que parce qu'elle détecte des déchets cellulaires, c'est à dire des petites particules. Sans virus, une charge virale de millions de copies est absurde si on reste à l'idée que ça détecte bien un morceau d'arn. ---------- Le problème, c'est qu'a priori, il n'y a que deux possibilités de multiplier l'adn et l'arn : 1) par division de la cellule ; 2) parce qu'un virus détourne la machinerie cellulaire à son profit. Et en plus, le seul processus qui peut entrainer un relargage massif d'arn dans le sang, c'est celui avec le virus. Sinon, l'adn et l'arn restent dans les cellules. Donc, s'il n'y a plus de virus, il ne peut plus y avoir de multiplication massive de l'arn ou de l'adn. Et même s'il y avait division intensive de cellules (un phénomène tumoral), l'adn resterait dans la cellule normalement. L'adn se répliquerait et on aurait une nouvelle cellule avec le nouvel adn. Le nouvel adn ne se retrouve donc pas dans la nature mais dans la nouvelle cellule. Donc, même avec un phénomène tumoral, on ne voit pas pourquoi il y aurait une présence massive d'arn dans le sang. Surtout à des quantités pareilles. Et puis, même avec un phénomène tumoral, la multiplication ne se fait pas aussi vite que dans le cas du virus. Même là, il faut longtemps pour que la cellule se divise. Mais bon, de toute façon, on n'est pas dans un phénomène tumoral. Donc, ça coupe court à ce problème. Donc, tout ça condamne l'idée que la pcr multiplie et donc mesure l'adn ou l'arn. Si c'était le cas, vu qu'il n'y a pas de virus vih, il ne devrait pas y avoir une charge virale aussi énorme chez certaines personne. Ca mesure donc bien autre chose. Et la seule chose dont la quantité augmente fortement en cas de maladie, ce sont les débris cellulaires.
  7. Ben fais le test Wallypat (lorsque tes cd4 sont hauts et ta CV à moins de 10.000 copies). Et tu verras si j'ai raison ou pas. Forcément, vu le degré de remise en cause que je fait, il y a des éléments que je n'ai pas et qui ne sont référencés nul part. Quand on remet en cause un domaine, on ne peut pas toujours le faire à partir de données déjà existantes. C'est pour ça que dans une théorie nouvelle il y a des prédictions. Et c'est d'ailleurs le fait de prédire avec succès que telle chose va se passer, alors que la théorie actuelle ne l'a pas prévu et donc pas expliqué, qui fait la qualité d'une théorie. Et c'est pour ça qu'avec une théorie nouvelle, il faut de nouvelles expériences. Moi, je prédis que quelqu'un avec une charge virale de moins de 10.000 copie a de fortes chances de tester négatif. Que plusieurs personnes fassent l'expérience, et on verra si j'ai raison ou si j'ai tort. Mais enfin bon, on a quand même déjà des données (celles que j'ai citées précédemment) sur le fait qu'il y a des gens négatifs au test d'anticorps, et positifs à la charge virale. Mais quand ça arrive, ils ont généralement moins de 10.000 copie. Ce qui veut dire qu'au dessus de 10.000 copies, ce genre de phénomène arrive peu et que le test d'anticorps réagit en général positif. Donc, ça veut dire qu'en dessous de 10.000 copies, il y a de fortes chances de tester négatif. Donc, au moins pour ce problème, on a une étude allant clairement dans le sens de ce que je dis. --------------- Concernant la PCR, s'il n'y a pas de virus VIH, les chiffres très élevés de charge virale deviennent absurdes. Si ça détecte bien une séquence d'ARN, alors, pour qu'il y ait une explosion pareille de "copies" en l'absence d'un virus, il faudrait une division effrénées des cellules. Ca voudrait dire qu'on serait face à un phénomène de type cancéreux. Il est clair qu'on n'est pas face à un tel phénomène. Donc, il n'y a pas multiplication d'arn. Donc, la charge virale ne devrait pas augmenter. La seule autre chose qui peut se multiplier comme ça, ce sont les déchets cellulaires (pas à une telle échelle. Mais la PCR va avoir tendance à amplifier la multiplication. Par exemple, une multiplication par 100 des déchets cellulaires va entrainer une multiplication par 100.000 de la charge virale). Et, si la charge virale augmente jusque à des millions de "copies", ça ne peut être que parce qu'elle détecte des déchets cellulaires, c'est à dire des petites particules. Sans virus, une charge virale de millions de copies est absurde si on reste à l'idée que ça détecte bien un morceau d'arn. Ben parce que c'est un processus de polymérisation et que le processus de polymérisation entraine une agrégation des particules. Et à la fin, on mesure la taille des particules obtenues. Donc, pour qu'on ait une particule de taille X (celle qu'on veut avoir) à la fin, il faut qu'il y ait eu agrégation de particules plus petites entre elles. Donc, on part de particules de taille plus petite que celle obtenue à la fin. Et comme la particule obtenue à la fin est très petite, forcément, ce qu'on a agrégé, et donc, ce qu'on comptabilise, ce sont des petites particules. Si tu veux otbenir une boule de la taille d'une balle de tennis à partir d'une phénomène d'agrégation, tu va utiliser par exemple des balles de ping-pong. Utiliser une ballon de foot ne donnerait pas le résultat escompté. Ce serait trop gros. Et à la fin, quand tu mesurerais la boule en question, tu verrais que c'est trop gros. Et si tu utilisais des balles de tennis directement, ça n'irait pas non plus, parce qu'il y aurait collage de plusieurs balles de tennis entre elle, ce qui donnerait une boule trop grosse à la fin.
  8. Faudrait peut-être voir un conseiller conjugal. Des fois, ça peut aider à débloquer des situations, à donner des nouvelles pistes, ou des petits trucs simples comme le conseil de Brume de l'Abro d'aller prendre l'air ailleurs.
  9. Wallypat, Ton raisonnement semble logique. Mais il y a un truc qui le rend faux. Le test de cd4 mesure en fait la quantité de particules de la taille des cd4 sans spécificité. Tout ce qui a la taille des cd4 sera inclu dans le résultat. Et les cd4 sont des grosses particules. Bref, ça mesure le taux de grosses particules dans le sang. Tandis que les tests d'anticorps et de charge virale mesurent le taux de petites particules. Or, ces deux taux vont en sens opposé. S'il y a beaucoup de grosses particules, il y aura peu de petites particules, et inversement. Donc si le test de cd4 donne un résultat élevé, ça veut dire à l'inverse que la charge virale sera basse, et surtout, que le test d'anticorps réagira négatif. Comment ils arrivent à mesurer la taille des particules avec le test de cd4 ? Ils utilisent pour ça un laser qui ne comptabilise que les particules d'une taille relativement grosse. Tandis que pour le test d'anticorps vih, ils ne font pas ça. S'ils n'utilisaient pas ce laser pour identifier la taille des particules, le test de cd4 mesurerait aussi la taille des petites particules, et on se retrouverait avec une charge virale élevée en même temps qu'un taux de cd4 élevé, ou une charge virale basse et un taux de cd4 bas. Ca la foutrait mal c'est sur. C'est pour ça que si tu t'étais fait tester lors de ton dernier examens, tu aurais surement réagi négatif.
  10. Oui, c'est sur sidasante. C'est en traduisant le document suivant que j'ai compris le truc (et aussi en ayant compris ce qu'est réellement la PCR. Sinon, je serais passé à coté). Charges virales faussement positives Voici l'extrait qui en parle : Les faux positifs se produisent avec toutes les analyses d'ARN disponibles, y compris la génération de tests la plus nouvelle (Mendoza et autres 1998). Quand ces tests sont faits sur le sérum de personnes considérées VIH-négatives, 3% à 10% d'entre elles ont généralement des charges virales positives, et le taux rapporté le plus élevé de résultats faux positifs est de 60% (HIV surrogate marker coll. group 2000). Bien que la plupart des cas rapportés aient des charges virales fausses de 10.000 ou moins, il y a eu des rapports des charges virales faussement positives montant jusqu'à 100.000 copies par millilitre. Donc, il y a des gens qui testent négatifs aux test d'anticorps, mais qui sont positifs à la PCR. Mais généralement, c'est avec moins de 10.000 copies. Pourquoi ? Parce qu'en fait, contrairement ce qu'on nous dit, la PCR ne mesure pas la présence de tel bout d'ARN. Ca ne mesure en fait que la quantité de petites particules (des débris cellulaires). Et les tests d'anticorps aussi mesurent la quantité de petites particules. Bref, il mesurent la même chose. Mais il y a un léger décalage entre le test de charge virale et le test d'anticorps. Le test d'anticorps est négatif quand le test de charge virale est à 10.000 copie. Ils ne sont pas négatifs au même niveau de quantité de petites particules. C'est ce qui fait que quand on a moins de 10.000 copies, on a des très fortes chance de réagir négatif au test d'anticorps.
  11. Oui, pour toi c'est bon. Quand on a passé la période 2 ou 3 mois après l'arrêt de la trithérapie, il n'y a plus trop de problème. Et même les 2 ou 3 mois, c'est plutot quand on arrête la trithérapie du jour au lendemain. Le seul danger, ce serait que tu te choppes une toux sèche, comme ça arrive chez n'importe qui (ça m'est arrivé en mars après quelques efforts physiques prolongés. Je n'ai rien fait et c'est passé en 2 semaines), qu'ils te diagnostiquent une pneumocystose et que tu te laisses envahir par la peur de ce diagnostic. A part ça, je ne vois pas trop ce qui pourrait t'arriver maintenant. D'ailleurs, pour éviter de flipper face à ce genre de situation, il faut comprendre quand ça arrive. C'est lié au taux de cortisol dans le sang. S'il est bas, ce genre de toux peut se déclencher parce qu'il y a alors moins d'eau dans le centre du corps, ce qui rend plus irritable les poumons. Donc, ce genre de situation arrive soit parce que comme moi en mars, on a fait trop d'efforts physiques prolongés (le taux de cortisol s'effondre pour laisser le corps réparer les muscles) ; soit parce qu'après les gros repas de fêtes de fin d'année, on mange moins. Du coup, le taux de cortisol qui était haut pour gérer les repas copieux, s'effondre et la toux apparait. Ou alors, séquence vicieuse, on prend des médicaments pour une raison banale (problème digestif ou autre). Le taux de cortisol augmente artificiellement à cause du médicament (il est reconnu comme un poison par le corps, et l'accumulation d'eau dans le centre du corps grace au cortisol évite que les parties vitales de l'organisme soient endommagées). Et à l'arrêt du médicament, le taux de cortisol s'effondre, et la toux apparait. Dans tous ces cas, il ne faut rien faire, ne prendre aucun médicament, et laisser le corps gérer la situation. En 3 semaines, le taux de cortisol remonte et le problème est réglé (peut-être un peu plus longtemps, genre 1 mois ou 2 s'il y a eu prise de médicaments). Donc, ça peut arriver. Mais en sachant pourquoi ça arrive, on sait qu'il ne faut pas s'inquiéter. Ca évite de paniquer et de retomber sous l'influence des médecins.
  12. Bonjour Bamboo, Je vois qu'il prenait un médicament au mois de janvier 2007. C'est sur que c'est ça qui a fait positiver le test. Il faudrait qu'il se refasse tester. Il est bien possible qu'il soit à nouveau négatif. Surtout si sa charge virale est à moins de 10.000. Cela dit, c'est vrai que s'il s'en remet entièrement aux médecins, et qu'il est dépressif, je ne vois pas trop ce qu'on peut faire pour lui. Il va se laisser dériver sans rien faire. Il faut régler le problème psychologique avant le reste. Mais vu que ça a l'air de durer depuis pas mal de temps, c'est pas évident.
  13. Encore un autre médicament qui fait remonter les cd4 : le sulfasalazine. Le sulfasalazine est un anti-inflammatoire. Il est utilisé pour la rectocolite hémorragique ou la maladie de Crohn (maladies inflammatoires du colon). Il est aussi utilisé en rhumatologie pour traiter la polyarthrite rhumatoïde ou la spondylarthrite ankylosante. En 1994, 4 patients séropositifs ne prenant pas de trithérapie et souffrant du syndrome de Reiter ont reçu un traitement à base sulfasalazine. Au début du traitement, le taux de cd4 était de 315 +/- 179. Il est passé à 542 +/- 231 à la fin du traitement. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/7913502 Ca commence à faire beaucoup, puisqu'on avait déjà une étude sur l'aspirine, et une autre sur un mélange d'anti-oxydants et de médicaments "naturels" ayant des effets de type anti-inflammatoire. Eh oui, n'importe quel médicament de type anti-inflammatoire augmente les cd4 et diminue la charge virale. Et c'est pareil pour les antibiotiques faiblement dosés, et pas mal de médicaments à base de plante.
  14. En faisant quelques recherches, je suis tombé sur un article dissident disant qu'en fait le cortisol attaque le système immunitaire. La base de cette affirmation est une étude faite par Anthony Fauci vers 1976. Selon cette étude, l'injection de cortisol entrainerait une baisse de la quantité de cd4. Comme ça va à l'encontre de ce que je dis, je me suis demandé "comment ça se fait ?". Ben apparemment, justement, il s'agit d'une injection. Et le truc, c'est qu'il semble que le prélèvement sanguin pour mesurer le taux de cd4 soit fait à l'endroit de l'injection. Du coup, ça reste cohérent avec ce que je dis. A l'endroit de l'injection, il y a un afflux d'eau dans le sang. Du coup, comme il y a plus d'eau, mathématiquement, le taux de cd4 chute (si on a 300 cd4 dans 1 ml d'eau et qu'on ajoute 1 ml d'eau en gardant les 300 cd4, on a alors 300 cd4 pour 2 ml, soit 150 cd4 par ml. Donc, le taux de cd4 a été divisé par 2). Mais il chute uniquement à cet endroit. Puis, au bout de quelques heures (4h dans l'étude), l'eau n'est plus retenue, et le taux de cd4 revient à la normale à l'endroit en question. Le problème, c'est que les résultats de cette expérience ont été mal interprétés. D'un phénomène local, on a conclu que le cortisol faisait chuter le taux de cd4 d'une façon générale, et que donc, ça attaquait le système immunitaire partout. Alors que c'est faux. Le taux de cd4 ne chute que pour une partie du corps (le tronc). Alors que pour l'autre (les bras et les jambes), au contraire, il augmente. Comme on l'a vu dans ce topic, quand de la cortisone est prise par voie digestive, elle va entrainer une accumulation d'eau dans le tronc, et une diminution de la quantité d'eau dans les bras et les jambes. Elle va donc entrainer une chute des cd4 au niveau du tronc. Mais par contre, elle va entrainer une augmentation des cd4 au niveau des bras et des jambes. Donc, la prise de cortisone, loin de faire baisser le taux de cd4 mesuré par le test, va au contraire l'augmenter. Ceci parce que la prise de sang est faite dans les bras. Si on faisait la prise de sang dans le tronc, les résultats de l'étude auraient été confirmés. Mais manque de chance, avec une prise de sang dans le bras, ils sont infirmés. L'affirmation de l'étude n'est donc vraie que localement. Et en extrapolant ce résultat local au niveau général, l'étude s'est complètement plantée. Ceci parce que ses concepteurs ne comprenaient pas en fait comment fonctionne le cortisol, et à quoi il sert. Du coup, un certain nombre de gens croient que le cortisol ou la cortisone font baisser le nombre de cd4, alors que ce n'est pas le cas (dans la mesure où on fait la prise de sang dans le bras bien sur). Et ils croient que ça a une influence négative sur le système immunitaire, alors que le résultat n'a rien à voir avec ça. La hausse ou la baisse du taux de cd4 ne vient que d'une dilution ou une concentration par apport ou par diminution d'eau dans le sang.
  15. Tout ça, ce sont des effets secondaires qu'on retrouve chez les antibiotiques (et d'autres médicaments du même genre). C'est pour ça que je pense que les trithérapies, ce sont des antibiotiques à faible doses. Enfin, au moins pour certains médicaments des trithérapies, pour d'autres, ce sont peut-être uniquement des corticoïdes. C'est ce qui fait que ces médicaments ont la plupart du temps les mêmes effets que les corticoïdes. En effet, faiblement dosés, ils vont simplement augmenter le taux de cortisol dans le sang. mais si on augmente les doses, ils ont les mêmes effets que les antibiotiques, des effets plus graves. C'est parce que la dose est généralement faible que la plupart du temps, les patients sidéens ne rapportent pas ces effets secondaires de type antibiotiques. Ils ne rapportent que des effets de type corticoïdes. Mais ces effets sont rapportés dans les notices de médicaments parce que les notices rapportent les effets secondaires les plus graves constatés. Et par ailleurs, quelques rares fois, on a des témoignages de personnes qui ont connus ces effets secondaires. Et la raison en est que les doses étaient alors plus importantes que d'habitude. Ces témoignages seront rapportés surtout en début de traitement. Parce que si ce genre d'effets arrive, le docteur en charge du patient va d'une part souvent arrêter le traitement, et d'autre part, une fois le traitement repris, il diminuera les doses. Et comme les doses étaient plus importantes au début des trithérapies, ce genre d'effets arrivait plus souvent. Ce qui fait que les dissidents ont bien sur tiré la sonnette d'alarme sur les nouveaux médicaments. Mais les doses ont été réduites au cours du temps. Ce qui fait que ce genre de problème est moins apparu. Et du coup, les orthodoxes du sida ont eu beau jeu de fustiger l'alarmisme des dissidents. Les gros malins. Bref, tout est dans le dosage.
  16. Mouai, ça m'a l'air louche cette histoire d'abandon de la recherche sur les médicaments anti-vih de la part de Roche. Ca doit être tout simplement parce que, comme le dit Peter Staley, ça ne leur rapporte pas assez.
  17. Edit 21 juin 2012. Avec la nouvelle version du forum, il n'y a plus de problème d'inscription (normalement). Donc, ce message n'a plus d'objet. Le forum subit des inscriptions massives de robots. Ce qui entraine que nous devons valider les inscriptions (sinon, nous serions floodés de messages de publicité). Mais, le problème est qu'il est difficile de savoir qui est humain et qui est un robot. Aussi, inscrivez vous, puis envoyez moi un mail à sidasante1@yahoo.fr en précisant votre pseudo et je validerai votre inscription. A bientôt sur le forum Aixur
  18. Bonjour, et bienvenue sur le forum. Pour la grossesse, difficile à dire précisément. Comme vous le dites, on n'a pas de statistiques sur le sujet. Et puis, on ne sait pas le pourcentage de femmes enceintes à qui on fait le test. Cela dit, normalement, il y a des études officielles qui ont montré que c'était une cause de faux positif. Donc, probablement que ça augmente le risque de réagir positif. Mais de combien exactement ? Je ne sais pas. Probablement aussi que les vaccins faits aux femmes enceintes (celui contre la rubéole en particulier) engendrent des faux positifs. Heureusement, on fait rarement de vaccination quand la femme est enceinte. Le fait d'avoir un rhume ou une grippe au moment du test peut le faire réagir positif. La prise de médicaments doit aussi jouer. Tiens, là par exemple, sur Doctissimo, je suis tombé sur le cas d'une femme enceinte qui avait eu un test douteux (un Elisa positif sur les deux réalisés. Heureusement, un deuxième test a été fait dans un autre labo qui s'est avéré négatif). Mais elle avait un rhume à ce moment là. En fait, ce qui semble se passer, c'est que les tests Elisa réagissent apparemment assez fréquemment positifs chez les femmes enceintes. Par contre, le test Western-Blot de confirmation, lui réagit négatif. Donc, le pourcentage de test positif au final ne doit pas être trop important. Sinon, il y aurait une épidémie de séropositivité chez les femmes enceintes. Bref, les deux affirmations doivent être vraies. Il y a plus de réactions positives. Mais ça doit concerner surtout l'Elisa et pas le Western-Blot. Donc, au final, il doit y avoir quelques réactions positives en plus, mais pas tant que ça. Et ça doit concerner plutot les femmes qui ont une raison supplémentaire de réagir positif (donc, vaccination, rhume, prise de médicaments, etc...). Pour le VIH, je crois que le médecin doit proposer systématiquement au patient le choix de détecter ou non le vih lors des examens sanguins. Enfin, normalement, c'est le cas en France. En Belgique, je ne sais pas ce qu'il en est. Et puis, effectivement, ça doit dépendre du médecin. Il y a toujours des sagouins qui pratiquent la politique du fait accompli. Sinon, en cas de test positif, il faut refaire un test un ou deux mois après. Pas deux jours plus tard. Un ou deux mois plus tard, les conditions qui ont fait positiver le premier test ont toutes les chances d'être parties. Donc, même un cas de test positif peut se rattraper avant la naissance de l'enfant. Et pour ne pas réagir positif au départ, il faut bien sur ne pas avoir fait de vaccin récemment, ne pas avoir eu de grippe, ni de prendre de médicaments. Je pense qu'il faut manger plutot léger quelques jours avant de faire le test (surtout des aliments ne contenant pas trop de protéines). Et là, ça doit être bon. De toute façon, même au cas où il y aurait un test positif, une fois la grossesse passée, le test va réagir négatif tôt ou tard. Idem pour l'enfant qui est né si on fait le test plusieurs fois. Donc, vu que les tests sont conçus pour réagir positifs seulement 2 ou 3 % du temps, fatalement, en se refaisant tester, on finit toujours par réagir négatif.
  19. Et voilà. C'est exactement ce que je disais plus haut (ici). Ils vont dire que le vaccin n'aura que peu d'incidence (donc, le business du cancer continuera à marcher à fond). Mais, probablement qu'en dépit du papier des autrichiens, on vaccinera quand même (parce qu'on dira que même quelques % de gagnés, c'est toujours ça). Donc, comme je le disais, ils auront le beurre et l'argent du beurre ; le fric des vaccinations et le fric des traitements anti-cancéreux. Enfin, peut-être qu'ils laisseront tomber le vaccin, mais ils ne laisseront jamais tomber les traitements anti-cancéreux (enfin, en tout cas pas avant très longtemps). Ca rapporte beaucoup trop de fric. On peut avoir la situation vaccin + traitements, la situation traitement tout seul, mais certainement pas la situation vaccin tout seul. Merci de l'info Cheminot.
  20. Non, mais de toute façon, son taux de cd4 devrait remonter maintenant. Ce qui l'a fait baisser, ce sont les antibiotiques qu'il a pris pendant 18 mois. Les antibiotiques détruisent les cellules qu'ils rencontrent. Ils agissent comme un désagrégeant sur les particules (cellules, mais aussi débris cellulaires). Donc, il y a moins de cd4. C'est pour ça qu'il n'avait plus que 125 cd4. Mais si j'ai bien compris, il a arrêté son traitement antibiotique depuis 1 mois et demi. Donc, dans ce cas là, son taux de cd4 devrait remonter fortement. Surtout que la trithérapie seule boost artificiellement le taux de cd4. En effet, comme il y a moins d'eau dans le sang des bras, la concentration en cd4 augmente mécaniquement. Enfin, ce que je dis est vrai sauf si éventuellement, il y a de l'azt à doses relativement fortes dans son traitement (l'azt agirait alors de la même façon qu'un antibiotique). Il faut voir.
  21. En relisant le document sur "l'isolement" de 1997, je crois avoir compris de nouvelles choses concernant la façon d'obtenir le résultat qu'on veut avec le test Western Blot lors de l'isolement d'un virus. En fait, quand on regarde le résultat pour la culture "virale" et pour la culture de controle, on constate que ça réagit dans les deux cas. Ce n'est pas un résultat avec quelque chose d'un coté et rien de l'autre (comme je le pensais au début). Ce qu'on constate lorsqu'on regarde le Western Blot de 1997, c'est que la distribution des particules est légèrement décalée entre les deux Western Blot (WB). On n'a pas des distributions complètement aléatoires, mais des distributions assez centrées. Distributions centrées qui sont simplement légèrement décalées. En fait, tout repose sur ce léger décalage. Sur cette photo, on voit que le Western Blot de la culture de controle est plutot centré sur la partie comprise entre 42,7 et 97,4. Tandis que le WB des deux échantillons viraux est centré plutot sur la zone comprise entre 6 et 42,7. Je pense que quand on comprend le principe qui est à l'oeuvre dans l'expérience, on comprend le pourquoi du décalage et comment l'obtenir. Et on comprend qu'on peut bidonner l'expérience en toute bonne fois, en modifiant simplement très légèrement la façon de faire entre les deux cas. Et on comprend aussi ce qui est mesuré et ce qui se passe vraiment lors de l'expérience. Ce qu'il faut comprendre, c'est que les protéines en question sont obtenues en désagrégeant les cellules et les débris présents. Ce faisant, on va obtenir une soupe de protéines qui vont avoir une taille plus ou moins grosse en fonction de l'importance de la désagrégation. Et la distribution de la taille de ces particules va être assez centrée (peut-être que ça suit une loi normale ou quelque chose comme ça. Cela dit, on ne peut pas le voir sur la photo dans le cas du "virus", puisqu'il y a une limite inférieur à la taille des particules identifiées). On croit que la taille des protéines est indépendante et qu'elle vient du fait qu'elles appartiennent ou non à telle ou telle particule. A mon avis, c'est faux. C'est la désagrégation qui donne la taille des protéines obtenues. Maintenant, si on a deux cultures, il suffit d'avoir une désagrégation des cellules un tout petit peu plus importante dans l'une des deux pour que la distribution des cellules soit légèrement décalée. Il y aura des cellules en moyenne plus grosses dans l'une que dans l'autre. C'est un peu comme si vous coupiez des dés de viande aléatoirement. Si vous avez deux steaks et que vous coupez un peu plus longtemps le deuxième, vous allez avoir des dés en moyenne plus petits dans le deuxième cas, même s'ils ne sont pas tous de la même taille. Et donc, la distribution des dès de viande en fonction de la taille va être légèrement décalée. Du coup, sur le WB, on va retrouver cette différence de distribution et on va avoir deux distributions légèrement décalées. En fait, le décalage vient seulement de la désagrégation faite plus longtemps ou plus forte dans un cas que dans l'autre. Donc, ce qui est mesuré par le test Western Blot, en réalité, c'est simplement le niveau de désagrégation des particules. Et du coup, on comprend qu'il est facile de bidonner l'expérience. Il suffit d'exposer la culture virale au produit désagrégeant un tout petit peu plus longtemps et c'est bon ; on a la légère différence de distribution. D'ailleurs, en fait, on doit obtenir un décalage la plupart du temps, même sans le vouloir. Parce qu'il doit être assez difficile d'obtenir deux distributions rigoureusement identiques. Donc, on peut bidonner en toute bonne foie, pour peu qu'on ne soit pas trop exigeant intellectuellement. Et bien sur, comme cette différence de distribution est la règle plutôt que l'exception, il n'y a pas de difficulté à la retrouver plusieurs fois de suite. En fait, la culture de controle ne sert à rien, puisqu'il y a quand même quelque chose dedans. Et un quelque chose en fait très proche du quelque chose qu'il y a dans la culture virale. Si on avait un résultat du type "quelque chose dans la culture virale" contre "rien dans la culture de controle", ok. Mais là, ce n'est pas le cas. La culture de controle ne sert à rien et l'expérience ne repose donc sur rien en fait. Elle repose essentiellement sur la supposition que ce qu'il y a dans la culture virale est du virus. Le seule chose qui fait tenir le truc vient en fait de la reproduction de la différence de distribution. Mais une fois qu'on a compris que cette différence de distribution s'obtient très facilement, la présence de ce dernier élément n'est pas plus significative. Et au final, comment fait-on la différence entre les WB des deux cultures avec des différences aussi minimes et qu'on peut si facilement obtenir ? Ben on se repose uniquement sur l'hypothèse que ce qu'il y a dans la culture virale est du virus.
  22. Ce qu'il faut comprendre, c'est que la trithérapie, c'est une arnaque totale. En fait, ce n'est que de la simple cortisone (Voir ce que j'en dis ici) Il suffit de comparer les effets. Ce sont les mêmes à la prise et à l'arrêt. Du coup, les compléments contre le stress oxydatif vont permettre d'éviter quelques effets liés au stress oxydatif. Mais la plupart des problèmes causés par ces médicaments ne sont pas liés au stress oxydatif. Ce sont des problèmes liés à l'abondance ou le manque d'eau dans certaines parties du corps. En gros, quand on prend une trithérapie ou de la cortisone, il y a beaucoup d'eau dans le tronc, et peu d'eau dans les membres. Et inversement, quand on arrête brutalement la trithérapie ou la cortisone, le tronc manque d'eau, et il y a beaucoup d'eau dans les membres. S'il est maçon, ça va lui poser des problèmes, parce que le fait que ses membres manquent d'eau va conduire à une acidose à cet endroit et à la lente destruction de ses cartilages. Donc, il risque de souffrir petit à petit de douleurs articulaires et à devoir arrêter son boulot. Ses muscles des bras et des jambes risquent aussi de s'atrophier (par manque d'eau). Donc, il aura moins de force pour faire son métier. Bien sur, la trithérapie esquinte le foie. Donc, au bout d'un moment, ça aussi, ça va causer des problèmes. Donc, sans un arrêt progressif de la trithérapie, il finira forcément par souffrir de problèmes divers. On ne peut pas prendre en permanence et à très grosses doses un truc qui n'est utilisé par le corps qu'en situation de problèmes physiques divers sans avoir d'effets secondaires importants. La seule solution, c'est d'arrêter la trithérapie. Mais il faut surtout le faire très progressivement. Parce que si on le fait d'un coup, ça fait mal (c'est la même chose quand on arrête brutalement la cortisone). La baisse du taux de cortisol et la redistribution soudaine de l'eau vers les membres, entraine une perte de poids importante, souvent une déprime, un grand manque d'énergie, des douleurs articulaires (pour des causes différentes de la phase précédente), éventuellement une toux sèche (qui pourra être interprétée comme un tuberculose par les médecins dans le cas d'un séropositif), parfois des rash cutanés sur les mains, etc... Donc, il faut diminuer les doses petit à petit. Arrêter temporairement la diminution si des problèmes apparaissent. Et vu que la production de du cortisol a été perturbée pendant longtemps, une fois la trithérapie arrêtée, pendant un ou deux ans, il faut s'attendre à avoir de temps à autre les problèmes en question.
  23. Colombe, La réponse aux problèmes que tu as rencontrés est là. Les trithérapies sont en fait des corticoïdes (de la cortisone quoi). Quasiment tous les effets à la prise comme à l'arrêt sont les mêmes. Il faut arrêter une trithérapie lentement, et pas d'un coup. Sinon, tu subis exactement les mêmes problèmes que quand tu arrêtes la cortisone d'un coup.
  24. Colombe > Concernant les trithérapie, la théorie que je défends à propos de ce qu'elles sont en réalité répond à la question. (voir ici)
  25. Effectivement, c'est de mieux en mieux. Enfin, dans le sens ou c'est dit par l'orthodoxie. Evidemment, nous, on savait bien qu'avec des antibiotiques ou des vaccinations, un bébé peut éventuellement réagir positif, même si la mère est séronégative.
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