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forum sidasante

aixur

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Tout ce qui a été posté par aixur

  1. Il est clair que le taux de cd4 bas vient de la consommation d'antibiotiques. Ces médicaments ont le même effet que l'aspirine, ils désagrègent les particules qu'ils rencontrent. Or, la cytométrie de flux mesure le taux de cd4 en se basant sur le nombre de particules de la taille des cd4. Donc, si un médicament désagrège les particules sanguines, il va y avoir moins de particules de la taille des cd4, et le taux de cd4 va diminuer. En supprimant les antibiotiques, le taux de cd4 remontera (s'il ne prend pas d'autres médicament à effet anticoagulant bien sûr). Sinon, la toxoplasmose est une maladie bidon. Elle n'existe pas. Comme ce genre d'affirmation semble aller au-delà de la capacité de remise en cause de beaucoup, tu n'es pas obligée de me croire. Mais, ce qui est sûr, c'est que la consommation d'antibiotiques risque fortement de provoquer des symptômes de type toxoplasmose. En effet, comme ils ont le même effet anticoagulant que l'aspirine, ton mari risque d'avoir un jour un AVC par hémorragie cérébrale. C'est fréquent avec la médecine : on invente une fausse maladie, et ensuite on donne des médicaments qui provoquent des symptômes qu'on va mettre sur le dos de la maladie. Le problème, c'est que si lui n'est pas convaincu par la dissidence, il n'y a pas grand-chose qui puisse être fait. Même si on arrive à le convaincre de faire ci ou ça, à un moment ou à autre, il va forcément avoir des symptômes divers qui vont faire dire aux médecins qu'il s'agit d'une maladie opportuniste du sida. Il se dira qu'il a été fou d'écouter les dissidents, qu'on est des types dangereux, et il reviendra dans le giron de la médecine officielle. On a déjà vu ça plein de fois. On ne peut pas faire grand chose avec quelqu'un qui y va à reculons et qui va tourner casaque au moindre vent contraire. Au contraire, ça peut même être très dangereux pour la personne, puisque du coup, les médecins risquent fort de se dire qu'elle est en stade terminale. Et à ce moment-là, ils vont l'achever à coup de médicaments (en général, avec de la morphine, et en arrêtant l'alimentation et l'hydratation). Et le risque d'avoir des symptômes de ce genre est d'autant plus grand que l'arrêt de la plupart des médicaments provoque en partie des effets inverses à ceux qu'il y a quand on les prend. Si on prend des anti-inflammatoires, le fait de les arrêter d'un coup va entrainer une hypotension, un manque d'énergie, une dépression, des maux de tête, de la constipation, de la toux, etc... Si on arrête de prendre des analogues d'opiacés, on devient très nerveux, anxieux, on a des diarrhées, une tension élevée, etc...
  2. Oui, pour la simple raison que la consommation d'antibiotiques est généralisée... mais l'inverse n'est pas vrai... si tous ceux qui avaient pris un régime d'antibiotiques faisaient un test (dit) VIH ensuite, il y aurait de quoi multiplier par 10 ou 100 le nombre de séropositifs. Oui, ben, c'est exactement ce qu'implique ce que je dis. Si on faisait des tests sur des personnes venant de prendre des antibiotiques, effectivement, on multiplierait par 100 le nombre de séropositifs. Mais ça implique que si on les retestait ensuite, ils réagiraient négatifs. Effectivement, elles sont rarissimes, puisque pratiquement personne ne se fait retester (en plus dans des bonnes conditions). Et je ne vois pas en quoi tu peux être étonné, puisque c'est ce que je répète depuis au moins dix ans sur ce forum. Quant à Maggiore, je ne me souvenais plus des détails du truc. Mais bon, on peut supposer qu'elle n'a pas fait de test anonyme quand elle s'est fait tester à nouveau. Donc, ça introduit évidemment un énorme biais dans l'interprétation des résultats. Ce qui confirme ce que je disais : très peu de dissidents se sont fait retester dans des conditions appropriées (c'est à dire, anonymement, et en ne prenant plus de traitement influençant les résultats). C'est pourtant ce qu'on fait à longueur de pages sur ce forum depuis qu'il existe. Et ce serait complètement hypocrite et couille-molle de ne pas en donner, alors que par ailleurs, on dit que le vih et le sida n'existent pas. Parce qu'on ne voudrait pas trop se mouiller, on devrait seulement conseiller d'aller voir un médecin (ou ne donner aucun conseil, ce qui revient quasiment à la même chose puisque dans ce cas, les médecins seraient les seuls autorisés à pouvoir donner un avis). Dans ce cas, autant aller jusqu'au bout du raisonnement et arrêter tout discours dissident sur le sida, puisque ça conduit à l'idée qu'il ne faut pas prendre de traitement. Dans ce cas, ne prenons également plus position sur aucun sujet économique, politique, médicale, écologique, etc.., puisque ça pourrait conduire d'une façon ou d'une autre à la mort de nombreuses personnes si on se trompe. C'est sûr que l'industrie médicale adorerait que les gens arrêtent de se donner des conseils médicaux entre-eux et qu'elle soit la seule à pouvoir le faire. Mais problème, les caves se rebiffent.
  3. Oui, je pense que si le test était refait de façon anonyme dans quelques mois, avec tout de même une meilleure hygiène de vie, il devrait réagir négatif. Il faut voir que très peu de dissidents séropositifs ont refait des tests. Sur le présent forum, si mon souvenir est bon, il n'y en a eu que deux (un négatif et un positif). Et sinon, aux USA, il y avait eu Christine Maggiore je crois, qui en avait refait 3 ou 4, avec au moins 2 qui étaient négatifs. Donc, on a tendance à croire que ça a été fait assez souvent et que malheureusement, les tests initiaux ont été confirmés la plupart du temps, alors que ça n'est pas le cas.
  4. Voilà, je crois qu'il n'y a pas à chercher beaucoup plus loin la raison du test positif. Les antibiotiques entrainent une augmentation du nombre de particules sanguines. Et le test vih mesure en fait la concentration du sang en particules diverses (il n'est pas spécifique du tout des soi-disantes particules du soi-disant VIH, il réagit à tout). Donc, c'est la prise d'antibiotiques 10 jours avant qui a entrainé le test positif. C'est arrivé très souvent que les personnes témoignant ici d'un test positif aient pris des antibiotiques quelques jours ou semaines avant. Le fait de boire de l'alcool a dû y participer aussi. Au passage, la consommation d'alcool, associée à la consommation de tabac et au manque de sommeil a pu provoquer la toux sèche persistante. L'hypotension induite par tout ça peut provoquer de la toux (et s'il y avait amaigrissement, ça entrainait aussi de l'hypotension). Sinon, c'est juste un hypothèse, mais il est éventuellement possible qu'il se soit agit d'un petit décollement de la plèvre (pleurésie), qui est, on le sait, favorisé par la maigreur et la consommation de tabac.
  5. Personnellement, je pense que si le sexe anal posait ce genre de problème, on s'en serait aperçu bien avant. Les homosexuels auraient dû se mettre à mourir de façon prématurée bien avant 1981. On n'a pas attendu ces années-là pour avoir des homos ayant des relations sexuelles fréquentes. Donc, on aurait dû s'apercevoir qu'une certaine catégorie d'homos mourrait avant 30 ou 40 ans dès les années 1930. Parce que c'est bien ça que ça implique cette théorie : le sexe anal fréquent entrainerait une baisse irrémédiable de l'immunité, conduisant donc au sida, puis à la mort. Et il devrait y avoir des degrés dans l'arrivée du problème. Donc, depuis que le problème a été évoqué dans les années 90, un certain nombre d'homos ayant des relation sexuelles nombreuses mais ayant une vie saine par ailleurs (pas de drogue ni d'alcool, pas de prise de médicaments) auraient dû dire qu'effectivement, ils avaient remarqué que lorsqu'ils avaient des relations sexuelles plus nombreuses que d'habitude, ils se sentaient moins bien, ou/et avaient plus de rhumes et d'infections en général. Je ne crois pas qu'on ait entendu parler de ça. Et puis, si le sperme posait problème, alors qu'est-ce qu'il devrait en être des excréments ? Une personne ayant régulièrement des diarrhées et souffrant par ailleurs d'hémorroïdes devrait être à risque que les selles passent la barrière de l'anus et se retrouvent dans le corps. Et on peut imaginer que les selles aient un effet oxydant sur les cellules. Donc, ces personnes-là aussi devraient mourir avant 40 ans. Surtout que, quelle est la quantité qui serait absorbée par le corps ? Le sperme, c'est juste quelque grammes à chaque coup tiré. Là-dedans, il y a 98 % d'eau ou quelque-chose comme ça. Ensuite, une fois dans l'anus, 99 % de ce qui reste devrait se coller aux particules fécales. Et l'essentiel de ce qui reste sous forme libre ne doit quand même pas traverser la barrière anale (en supposant que ça le fasse vraiment). Donc, la quantité de se qui pourrait passer, si ça passait vraiment, serait vraiment minuscule. Pas de quoi flinguer le corps en aucune façon. Et, encore dans l'hypothèse où ça poserait problème, ça ne devrait pas représenter grand chose par rapport au niveau de stress oxydatif impliqué par le tabac, l'alcool, les drogues, les médicaments, la malbouffe, etc... D'ailleurs, si on veut comparer à l'alcool, par rapport au très faible taux d'absorption final du sperme évoqué plus haut, on peut se dire qu'un seul rapport anal serait comme absorber juste une goutte d'alcool fort (whisky par exemple). Donc, cette histoire de sexe anal qui viendrait tuer les homosexuels prématurément, ça me semble être complètement bidon.
  6. Ils peuvent dire que c'est du virus purifié autant qu'ils le veulent. Le problème c'est de le prouver. Et pour ça, il faut un papier montrant que les étapes ont été faites, et ce, avec une culture de contrôle bien sûr. Mais bon, de toute façon, on sait que l'industrie médicale bidonne complètement. Donc, même un papier fait maintenant ne serait plus suffisant. L'affaire s'est jouée en 1984 et surtout en 1997, quand ils ont commis l'erreur de présenter un papier où on pouvait voir que la culture de contrôle entrainait un résultat positif sur certaines particules supposées être spécifiques du VIH. Ça a été l'erreur fatale. Maintenant, on sait qu'une culture de contrôle donne le même résultat que la culture supposément virale du VIH. Donc, c'est fini. C'est trop tard. Ils ne peuvent plus se rattraper.
  7. Ouai, le n'ième traitement révolutionnaire. Comme on n'en a pas entendu parler dans les journaux grand public, à tous les coups, ça sera tombé dans l'oubli dans deux semaines. Le jour où l'orthodoxie voudra en finir avec le sida, le (pseudo) traitement recevra beaucoup plus de publicité que ça.
  8. aixur

    aidez moi s'il vous plait

    @Dorade Non, là encore, les symptômes en question sont interprétés par les médecins dans le sens de la théorie officielle. Si un séropositif a une grippe, souvent, ça ne sera pas une grippe pour le médecin, mais une pneumonie, ou un sarcome de Kaposi pulmonaire, ou une tuberculose. S'il a des maux de tête, ce sera une toxoplasmose. Etc... Donc, les soucis de santé en question ont l'air spécifiques parce qu'ils sont interprétés différemment par les médecins. Mais si on y regarde bien, ils ne sont pas spécifiques. Et puis, il faut voir qu'au début de l'histoire du sida, ce sont les drogués qui étaient le plus concernés dans les pays occidentaux. Forcément, ceux-ci développaient des problèmes de santé particuliers liés à l'usage de la drogue. Et c'est souvent ce genre de soucis qu'on a en tête quand on pense aux maladies particulières du sida (en plus de ceux liés à la prise d'AZT à haute dose). Mais tout ça, c'est un peu de l'histoire ancienne. Maintenant, les séropositifs ont un mode de vie généralement plus sain, et la spécificité des symptômes vient essentiellement de l'interprétation biaisée des médecins. En dehors de ça, il y a bien sûr, les affections spécifiques liées aux trithérapies. Mais là, évidemment, c'est différent. La question de départ, c'est bien "est-ce que les séropositifs développent naturellement des affections spécifiques ?".
  9. Oui, ils sont moins toxiques qu'avant. Mais ils restent toxiques. Donc, autant ne pas les prendre, vu que ça ne sert à rien.
  10. Bonjour, Il n'y a pas besoin de soigner son immunité s'il n'y a pas de VIH, et donc pas de SIDA. Tout ce qu'il y a à faire, c'est de vivre normalement.
  11. aixur

    aidez moi s'il vous plait

    Bonjour, Tu dois tout simplement avoir une bonne alimentation et hygiène de vie. Cela dit, il faut avoir conscience que tu peux avoir un jour ou l'autre des pépins de santé, comme tout le monde. Et ceux-ci seront alors interprétés quasiment automatiquement comme des symptômes du SIDA par les médecins orthodoxes. C'est surtout ça le problème sur le moyen-long terme.
  12. Il faut en conclure qu'avec des tests non trafiqués, tu en serais à 1.500/1.600 de cd4, soit la fourchette haute de l'échelle.
  13. Oui, c'est ce qu'il disent. Sauf que c'est seulement en partie vrai. Et en fait au bout du compte, c'est faux. C'est vrai que ce sont les champignons qui provoquent l'irritation. Mais à la base, ce n'est pas une histoire de terrain vierge qui se ferait contaminer soudainement par le candida, qui se développerait alors à toute vitesse. A la base, le terrain est déjà contaminé par le candida, et il ne se passe strictement rien. L'organisme vie en symbiose avec lui. Ce qui fait que l'irritation arrive, c'est simplement que le terrain change. Il y a surproduction de déchets cellulaires. Et les champignons s'en nourrissent. Si en plus, il y a humidité du vagin, la quantité de champignons explose et les irritations arrivent. J'ai lu aussi que pendant la grossesse, il y a plus de glycogène dans le vagin. Ca aussi ça participe à la multiplication du candida. Donc, c'est juste une histoire d'équilibre du terrain vaginal et pas du tout de contamination par un méchant champignon. Le candida n'est que la cause intermédiaire, pas la cause initiale. Ca change tout, parce que dans un cas, on cherche à éliminer seulement la cause intermédiaire, ce qui fait que le problème revient encore et encore. Tandis que dans le second, on cherche à éliminer la cause première. Et là, le problème disparait aussitot. Dans le premier cas, on cherche à détruire le champignon. Mais comme les conditions qui ont entrainé sa multiplication son encore là, il va revenir sans cesse (ce qui arrange les médecins, parce que les patients reviennent les voir régulièrement). Dans le second cas, on enlève les conditions de sa multiplication, et alors, il disparait et ne revient pas. C'est comme tuer les abeilles qui sont autour d'un pot de miel. 2 heures après, d'autres abeilles seront arrivées et tout est à refaire. Mais si on enlève le pot de miel, les abeilles s'en vont et ne reviennent pas. Le problème, ce n'est pas les abeilles, c'est le pot de miel.
  14. Oui, ton compagnon ne t'a rien transmis. C'est seulement le Diantalvic combiné à la grossesse qui a fait positiver le test. C'est tout. C'est juste le manque de chance d'avoir fait le test juste à ce moment-là. Quand aux mycoses vaginales persistantes, c'est un problème qui peut survenir si on prend la pilule, ou s'il y a arrêt récent de celle-ci, ou probablement aussi, quand on est juste dans les premières semaines de la grossesse. Ça n'a rien à voir avec le candida albicans en soi. C'est simplement une surproduction de déchets cellulaires combinés à l'humidité du vagin. Les champignons s'en nourrissent. Quand la surproduction de déchets cellulaires cesse et qu'ils sont évacués du vagin, la mycose s'arrête aussitôt. Les champignons sont toujours présents (et ils sont là dès le plus jeune âge), mais en nombre trop faible pour entrainer des désagréments.
  15. Eh bien voilà. Il n'y a pas à chercher beaucoup plus loin je pense (à moins qu'il y ait eu prise d'autres médicaments encore). C'est la prise de Di-antalvic combiné à la grossesse qui a positivé le test. C'est aussi simple que ça. C'est surtout le paracétamol contenu dans le Diantalvic qui a du faire positiver le test. Mais le Dextropropoxyphène (un analogue d'opiacé) a dû potentialiser encore plus l'effet de ce dernier en limitant la capacité du corps à s'en débarrasser.
  16. La constipation est aussi liée à ça. La baisse du taux de cortisol entraine une détente des muscles. Du coup, le transit intestinal se fait plus lentement (il se fait avec des contractions musculaires), ce qui crée de la constipation. Il ne faut pas s'affoler. Personnellement, des fois je ne vais à la selle qu'une fois tous les 4 jours. Je n'ai jamais eu aucun problème.
  17. Oui, c'est normal de perdre du poids quand on arrête le traitement. Celui-ci augmente le taux de cortisol, ce qui provoque une rétention d'eau et donc une prise de poids. Quand on arrête de le prendre, ça provoque l'effet inverse. L'eau sort des cellules et on perd du poids. C'est le même phénomène qu'avec la cortisone ou la pilule.
  18. Ah d'accord. J'avais zappé le passage où il parlait d'une période de 30 mois sans médicaments. Il faut dire qu'il y a eu tellement de remèdes de type anti-inflammatoires de proposés... Bon, s'il dit qu'il n'y a pas retour à une charge virale positive pendant un an après l'arrêt du traitement, et que le taux de cd4 est resté à 990, le type ment. Son étude est certainement bidon. La seule façon d'avoir ce genre de résultats, c'est avec des anti-inflammatoires, et quand on arrête de les prendre, la concentration du sang diminue et du coup, le taux de cd4 aussi. Et la charge virale augmente parce que les cellules relarguent leur déchets (dont l'adn qu'elles contiennent). C'est d'ailleurs ce qui permet à l'industrie pharmaceutique d'obliger les séropositifs à prendre leur traitement ad vitam eternam. La motivation pour cette arnaque doit certainement être financière, puisque le traitement coute 3.000 euros.
  19. N'importe quel traitement de type anti-inflammatoire marche. Voir mon article (et celui-là) sur sidasante. Donc, le traitement en question est à tous les coups un traitement de ce type. Celui-là marche et il y en a d'autres de ce genre qui marchent et qui marcheront. Par ailleurs, en réalité, vu que les tests de cd4 doivent être traficotés à la baisse, ça n'est pas bon d'avoir un taux de cd4 élevé. Ni une charge virale basse d'ailleurs. Parce que ça implique une surconcentration du sang. Et ça, à terme, c'est dangereux.
  20. Bonjour Marc13, Et bienvenu sur le forum. Pour les T4, à mon avis, tu peux rajouter 500 à ton compte. En effet, il semble que les tests soient truandés à la baisse. Donc, là, tu dois être plutôt à 1.100. Et avant, tu étais à 1.400. Sinon, pour la charge virale, ça varie de façon explosive (l'échelle de variation est de x100.000 au total : de 100 T4 à 10 millions). Donc, des variations de 100.000 T4 ne veulent rien dire (100.000, c'est 1 % du maximum). C'est quasiment du bruit de fond. Aucune inquiétude à avoir. Le problème, c'est que les gens partent du minimum. Et ils se disent "waoh, 100.000 cd4, par rapport à 100, c'est énorme". Mais c'est du maximum qu'il faut partir. Et là, 100.000 T4, c'est très peu. Je suis quasi sûr que si on testait les gens séronégatifs, la plupart seraient dans les 100.000. En fait, c'est être à une charge virale de 0 qui doit être anormal, parce que ça implique une surconcentration du sang. On a fait croire que c'est un charge virale de 0 qui est normale (ce serait celle des séronégatifs). Mais en réalité, ça a du être truandé par les labos pour faire croire aux séropositifs que leur charge virale est anormale. Alors que ce n'est pas le cas. Bien sûr, on a tendance à se dire qu'ils n'oseraient pas faire une telle chose. Mais ils l'ont déjà fait pour la tension sanguine. Avant (je dis les chiffres au pif), c'était 17 qui était considéré comme de l'hypertension. Puis, ils ont abaissé artificiellement le chiffre à disons 14. Du coup, des gens parfaitement normaux sont considérés comme hypertendus. Donc, pour la charge virale, ils ne se sont surement pas gêné pour faire la même chose.
  21. aixur

    GcMaf

    Oui, Ruggiero, je ne l'ai jamais senti. Dès le départ, il me semblait bidon. Effectivement, c'était donc le cas.
  22. Bon, j'ai refait la page d'accueil. Tout refonctionne comme avant.
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