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aixur

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Tout ce qui a été posté par aixur

  1. aixur

    Un peu de jeûne

    Oui, je suis d'accord avec Brume de l'Abro, il ne faut pas trop flipper. Attends au moins quelques mois pour voir si ça remonte ou pas.
  2. Ah ben oui. Si tu as pris 10 kg. C'est normal que tu ais de l'hypertension.
  3. Nagon, Dans ce cas là, il y a forcément autre chose qui crée l'hypertension. Ce n'est pas normal. Soit c'est une autre substance chimique que tu as l'habitude de prendre (et peut-être qui te semble trop anodine pour que tu la signales). Soit c'est que tu es hyper stressé. Ou alors, c'est que tu manges comme 4, de la malbouffe, très salé (donc, problème aussi de surpoids). Quelque chose comme ça. Mais ce n'est pas normal d'avoir de l'hypertension. Franchement, le coté génétique, je n'y crois pas trop.
  4. aixur

    Un peu de jeûne

    A mon avis, avoir fait la prise de sang après 8-10 jours de réalimentation, ça a du donner des résultats de charge virale supérieurs à ceux que tu aurais obtenus en faisant la prise de sang pendant le jeûne. Parce qu'après 8-10 jours de réalimentation, la quantité de petites particules a déjà eu le temps d'augmenter pas mal dans le sang. Or, la charge virale, ça ne mesure en réalité que ça (la quantité de petites particules, quelles qu'elles soient). Par contre, tu ne t'es pas réalimenté pendant suffisamment longtemps pour que les cd4 aient le temps de remonter à leur niveau précédent. Parce que le test de cd4 mesure en réalité la quantité de grosses particules dans le sang quelles qu'elles soient (cd4 réels, plus les débris cellulaires agglomérés). Et avec 8-10 jours de réalimentation, il n'y avait pas le temps que la quantité de débris cellulaires agglomérés remonte suffisamment. En fait, le jeûne fait diminuer la quantité de toutes les particules. Si tu avais fait le test à la toute fin du jeûne, tu aurais eu en même temps une charge virale très faible, et un taux de cd4 faible. Enfin, d'ailleurs, c'est ce qui est arrivé. Mais ça aurait du être encore plus marqué pour la charge virale (cela dit, il y a une telle marge d'erreur pour la CV, que ça peut aussi venir de ça). Et aussi un peu plus pour les cd4 (tu te serais retrouvé à par exemple 200-250 au lieu de 350). C'est parfaitement normal que le taux de cd4 soit bas lors d'un jeûne. Le jeûne permet surtout à l'organisme de se décrasser et donc aussi de se réparer. C'est pour ça que tes douleurs à la hanche ont disparu (peut-être seulement momentanément, c'est à voir). C'est surtout ça qui est intéressant dans le jeûne. Par contre, ne jamais faire de jeûne pendant qu'on prend des antibiotiques ou des anti-inflammatoires (et autres médicaments désagrégateurs de cellules). C'est hyper dangereux. Je dis ça juste au cas ou certains seraient tentés de cumuler les deux.
  5. Eh ben voilà. Ne cherche pas plus loin. C'est le Pycnogenol qui est la cause du problème depuis quelques mois. Au départ, l'arrêt du traitement anti-hypertension a du entrainer un effet rebond. Et ensuite, le Pycnogenol a maintenu l'hypertension les mois suivant. Le Pycnogenol, c'est encore un médicament du type anti-inflammatoire. Un genre de cortisone. C'est pour ca que ça fait monter la tension. C'est exactement le type de médicament à ne pas prendre si on veut éviter d'avoir de l'hypertension. Sinon, l'hypertension, c'est simple. C'est entièrement lié à l'augmentation du taux de cortisol. Si tu as un taux élevé de cortisol dans le corps, les cellules du tronc retiennent l'eau et donc celle-ci s'accumule dans le tronc, tandis que les cellules des bras et des jambes relarguent leur eau. En parallèle de ça, les veines des bras et des jambes doivent se contracter (pour limiter l'apport d'eau). Comme le sang passe dans un espace plus faible, la pression augmente sur les veines. Et quand on mesure cette pression, ça indique que la tension veineuse est supérieure à la normale. Si tu diminue le taux de cortisol, c'est l'effet inverse qui se passe, les veines des bras et des jambes doivent augmenter de volume. Du coup, la tension diminue. Là, vu que tu as arrêté le Pycnogenol, ta tension devrait décroitre assez rapidement. A moins que tu ne prennes d'autres substances dont tu n'aurais pas parlé. Cela dit, je ne sais pas depuis quand tu as arrêté le Pycnogenol ; mais il se pourrait bien que d'ici quelques semaines, tu te retrouves en hypotension. Et c'est une situation assez désagréable physiquement (faible énergie, faible appétit, etc...).
  6. C'est peut-être aussi pour ça que tu as pu arrêter la tri sans trop de problèmes (en plus de l'avoir arrêté progressivement). En même temps que tu prenais un truc qui augmente la tension (la trithérapie), tu prenais l'antidote (les médicaments anti-hypertension). Cela dit, si tu as de l'hypertension, c'est que tu dois prendre quelque chose qui augmente la tension. C'est par normal. A moins que tu ais arrêté de prendre les médicaments contre l'hypertension il n'y a pas longtemps.
  7. De toutes façons, il est clair que c'est la chimio qui tue la plupart du temps (avec les rayons). Parce qu'à moins d'avoir une tumeur gigantesque qui empêche un organe vital de fonctionner, il n'y a aucune raison que la personne meurt. Or, la plupart du temps, les gens qui meurent ont juste une tumeur de quelques centimètres. Donc, il n'y a strictement aucune raison de mourir. Si la personne meurt, c'est forcément à cause du traitement.
  8. 2 antibiothérapies pendant 9 mois, ça me semble super dangereux. Tout dépend du dosage évidemment, mais ça me semble très dangereux. Surtout qu'une fois sortie de l'antibiothérapie, tu risques de rechuter (à cause du taux de cortisol qui va s'effondrer). Et là, on risque de te filer une antibiothérapie beaucoup plus puissante. Bref, tu risques ta peau en prenant ces médocs.
  9. Mes condoléances. Comme quoi, la chimio, ça peut tuer très vite.
  10. Ah oui, effectivement... Ben si c'est seulement deux mois de traitement, je le sens mal. Mais bon, on verra.
  11. Oui, à mon avis, ça peut marcher. Vu que les trithérapies ne sont que des anti-inflammatoires non stéroïdiens et que les médicaments à bases de plantes sont aussi comme des anti-inflammatoires, l'effet sera le même. En fait, ce traitement, c'est exactement la même chose que la trithérapie. Deux problèmes quand même : 1) Le dosage des produits actifs venant des plantes a tendance à varier. En effet, il est dépendant de l'ensoleillement et de la disponibilité de l'eau pour la plante. Donc, si ces médicaments consistent vraiment en des extraits de plante, il peut y avoir des variations de la quantité de produit actifs. Et du coup, on peut passer à des effets secondaires graves. Ou alors, à des effets relativement faibles (moins importants que la tri). Evidemment, si on a extrait les principes actifs, et qu'on les a ensuite synthétisés chimiquement, ce problème disparait. 2) On demande d'arrêter la trithérapie juste avant de prendre ce traitement. Du coup, comme le produit est la même chose que la tri, ben tout dépend du dosage respectif des deux produits. Si le produit à base de plante est faiblement dosé, on pourrait voir des augmentation de charge virale et des baisse de cd4. Donc, les résultats pourraient être mitigés. Mais c'est sur que si ça marche, c'est très mauvais pour la médecine officielle, parce que ça montrera une fois de plus que n'importe quel anti-inflammatoire, ou produit à base de plante, voir même des antibiotiques faiblement dosés, donnent exactement les mêmes résultats que la trithérapie.
  12. Effectivement, à vu de nez, d'après ce que j'ai lu sur le sujet, je dirais que l'ibuprofène est plus dangereux que l'aspirine qui doit être plus dangereux que le paracétamol. Donc, par niveau de dangerosité Paracétamol<aspirine<ibuprofène. Ca peut peut-être se discuter entre le paracétamol et l'aspirine. Mais j'avais lu que le paracétamol était moins dangereux que l'aspirine. Il était sensé avoir moins d'effets secondaires. Mais bon, d'une façon générale, tout anti-inflammatoire pris avec la tri est dangereux. Parce que les médicaments de la tri sont en fait déjà des anti-inflammatoires. Donc, c'est comme prendre une dose supplémentaire. Et plus on augmente la quantité d'anti-inflammatoire, et plus on passe à des effets de type antibiotiques (avec risques d'hémorragies, agression du foie encore plus importante, perte de poids au lieu d'une prise de poids, rash cutané, etc...).
  13. Une petite liste de sites qui censurent la dissidence : Doctissimo (et à peu près tous les sites maintsream de santé) Futura-science Seropo.net (et d'une façon générale, tous les sites maintsream sur le sida, sauf sidaweb apparemment) Sero online Survivre au sida E-carabin Atoute (site du docteur Dupagne) econologie infobebe papamamanbebe.net hardgamer hardware.fr Donc, vu le nombre de sites concernées, on peut dire que cette censure est quasiment la règle. Je crois qu'il est bien de de l'exposer au grand jour. Mettez ceux que vous connaissez. Et venez mettre aussi les sites mainstream qui ne censurent pas la dissidence. Comme ça, on saura où on peut intervenir sans se faire censurer.
  14. Dans Maxiscience, on apprend qu'un quart des séropositifs souffriraient de troubles cognitifs "Une étude réalisée par l’équipe du Dr Chêne, épidémiologiste spécialiste du virus du Sida, montre que 24 % des séropositifs (âge moyen de 46 ans) sous traitement rétroviral présentent ces troubles. Une étude similaire sur des patients plus âgés, réalisée par l’équipe du Dr Gasnault à l’hôpital Bicêtre, indique que ces troubles touchent 49 % des patients de plus de 60 ans. A cet âge, seulement 3 % de la population souffre de troubles de la cognition." http://www.maxisciences.com/s%e9ropositif/...fs_art1247.html Ca n'a rien de surprenant. C'est encore un des effets des trithérapies. Comme je l'ai déjà dit, les trithérapies sont en fait des anti-inflammatoires non stéroïdiens. Or, ces médicaments désagrègent les protéines qu'ils rencontrent. Donc, quand le sang de la personne contient peu de protéines, ils s'attaquent alors directement aux vaisseaux sanguins. En général, les gros vaisseaux seront préservés, mais les plus fins seront percés par le médicament. D'où l'apparition de saignements. Et comme le cerveau ne se répare pas, ou en tout cas beaucoup moins facilement que les autres organes, ça entraine l'apparition de troubles cognitifs chez de nombreux séropositifs. C'est d'ailleurs à mettre en rapport avec un autre article sur le même site, disant que l'aspirine, un anti-inflammatoire non stéroïdien, engendre des micro-saignements. Eh oui, tout se recoupe. "Les personnes utilisant de façon régulière de l’aspirine ou des antiplaquettaires, empêchant la formation de caillots sanguins, ont plus de risques de souffrir de microhémorragies cérébrales. L’équipe du Dr Vernoij de la Faculté de médecine de Rotterdam a pu établir ce lien en examinant un groupe de 1062 sujets, âgés en moyenne de 69 ans et demi et ne souffrant pas de maladies mentales." http://www.maxisciences.com/aspirine/la-as...au_art1609.html
  15. Cela dit, je ne vois pas en quoi le fait d'avoir des verrues et des condylomes a à voir quoi que ce soit avec l'immunité. Et je parle ici en me plaçant du point de vue officiel. Ce n'est qu'un problème local. Ensuite, il y a le problème des cd4. Mais si ce problème n'est pas accompagné de problèmes de santé qu'on peut relier (en se plaçant du point de vue officiel) à une immunité déficiente, on ne peut pas dire qu'il ait pour le moment quelque symptôme clinique que ce soit montrant une faible immunité. Ca reste complètement virtuel pour le moment (uniquement les cd4 qui sont bas). Apparemment, les verrues sont liées à une sècheresse de la peau. Donc, il est possible que les produits qu'il prenait entrainaient une sècheresse des muqueuses au niveau de l'anus (si c'est là qu'il a ce problème) et que du coup, soient apparues les verrues et condylomes. S'il prenait de l'argent colloïdal, à mon avis, ce n'est pas très surprenant. C'est considéré comme un antibiotique très très puissant. Et tout ce qui a une action antibiotique sur les bactéries est forcément un désagrégateur de cellules. Donc, a partir de là, je vois bien pourquoi ses cd4 baissent. C'est l'action antibiotique de l'argent colloïdal qui désagrège ces derniers et en réduit donc le nombre. Et par ailleurs, c'est probablement ça, entre autres, qui doit provoquer l'apparition des verrues. Remarque, peut-être que l'agent colloïdal n'est pas en cause et que c'est un autre produit qui a engendré le problème. Mais puisqu'il avait commencé à prendre ce produit depuis 2 mois, on peut penser que c'est bien lui à l'origine du problème.
  16. Moi, ma position n'a pas varié. Pour moi, les trithérapies sont des anti-inflammatoires non stéroïdiens avec effet de type cortisone à basse dose (le cas le plus fréquent maintenant), et effets de types antibiotiques à haute dose (cas assez rare désormais). Donc, donner une tri à ton ami va très certainement lui faire remonter ses cd4 et diminuer la charge virale. Mais on pourrait aussi bien obtenir le même résultat avec de la cortisone ou n'importe quel anti-inflammatoire non stéroïdien faiblement ou moyennement dosé. Cela dit, ce serait intéressant de savoir exactement quels sont ses symptômes, et quel traitement naturel il prenait jusque là. Pour les symptômes, ça permettrait de mieux comprendre son état. Et pour le traitement, ça permettra aussi à l'avenir, si d'autres personnes suivant le même traitement naturel voient leurs cd4 baisser, de penser que le traitement en question peut conduire à une diminution des cd4.
  17. Je ne suis pas sur qu'il y ait une eau idéale. Ca doit dépendre de l'apport en sels minéraux de l'alimentation. Par exemple, à un moment, je buvais de la Volvic, et j'ai fini par avoir tendance à avoir des crampes dans les jambes. A mon avis, c'est que mon alimentation est relativement pauvre en sel et que la Volvic est elle aussi relativement pauvre en sels minéraux. Donc, les deux ensembles, ça n'était pas bon. Il n'y avait probablement plus assez de sels pour assurer le passage correct du flux électrique dans les nerfs. Maintenant, je prends de l'Hépar et ça va. Donc, on ne peut pas vraiment dire que telle eau est idéale, vu qu'à coté de ça, l'alimentation vient changer complètement le paramètre du problème. Si l'alimentation est pauvre en sels minéraux, il faut que la boisson en apporte. Si l'alimentation est riche en sels minéraux, là, effectivement, il est probablement intéressant que l'eau en soit pauvre. Sinon, Yacre, il est clair que tes problèmes aux jambes sont liés à la trithérapie. Et tes problèmes d'érection aussi. En ce moment, j'analyse le problème de tous ces médicaments à effet de type cortisone sur l'appareil génital. Et il semble bien que ça ait un effet sur l'érection (et pour les femmes, ça peut provoquer des sècheresses vaginales, règles peu abondantes, l'apparition de polypes vaginaux, de tumeurs, etc...).
  18. On parle de la dissidence du SIDA dans le magazine Nexus, sur une quinzaine de page, avec interview d'Etienne de Harven. Je viens d'apprendre ça en regardant le magazine de la santé sur la 5. Evidemment, ils disent que c'est n'importe quoi, qu'il ne faut pas acheter le journal, avec les arguments du style, si le vih ne cause pas le sida, pourquoi les trithérapies marchent, etc... Ben voyons.
  19. A mon avis, ton ami a raison de ne pas prendre de l'EPP, mais pas pour les bonnes raisons. L'EPP semble clairement avoir une action antibiotique. Or, prendre un antibiotique alors qu'on prend un traitement anti-cancéreux, c'est très dangereux. C'est comme prendre prendre une double dose d'anti-cancéreux (peut-être pas double, mais en tout cas, ça ajoute). Mais bon, de toute façon, la chimiothérapie est ultra dangereuse en elle-même. Et ce sera clairement la chimio qui le tuera (+ les rayons s'il y en a). L'évolution classique est apparemment la suivante. La personne maigrit de plus en plus, et au bout d'un moment, soit la chimio tue le patient directement, soit on lui diagnostique une pneumonie, on lui donne des antibiotiques, et la personne est tuée par l'antibiotique. J'ai encore vu ce genre de scénario récemment. Bien sur, ton ami peut avoir de la chance et survivre à sa première chimio. Mais le problème, c'est que souvent, il y a récidive. Et la mort se fait en deux ou trois coup. C'est soit à la deuxième chimio, soit à la troisième que celle-ci tue le patient. Ce que je lui conseille, c'est de se faire soigner uniquement pour la tumeur qu'il a au colon. Le cancer n'existe pas. Il n'y a pas de métastases qui vont se balader partout et transformer le patient en gros blob. On n'a jamais vu ça. Il n'y a que des tumeurs locales. Le diagnostic de cancer est basé essentiellement sur des indicateurs biochimiques mesurés dans le sang. Ca n'a aucune valeur. Qu'il se fasse retirer cette tumeur chirurgicalement si ça le gêne beaucoup (et qu'il évite de se faire retirer les ganglions enflés à proximité, c'est le meilleur moyen de voir repartir une tumeur au même endroit par la suite). Mais surtout, qu'il ne prenne pas de chimio et de rayons. De toute façon, le concept de chimiothérapie est complètement ridicule. Le médicament va forcément réagir avec le reste du corps bien avant d'être en contact avec la tumeur. Donc, il est impossible que la chimio ait une quelconque efficacité, en tout cas pas par le mécanisme avancé par la médecine officielle. En fait, il semble que ce qui fait l'efficacité de la chimio sur la taille des tumeurs, c'est que ça provoque un jeûne forcé. Vu que le patient maigrit puisqu'il mange très peu, la tumeur se réduit en conséquence. Et elle va souvent se réduire encore plus que le pourcentage de perte de poids général, parce que la situation de jeûne va permettre à la tumeur de percer des canaux d'irrigation en sang qui vont rendre le tissu cancéreux normal. C'est d'ailleurs assez ironique, puisque si on proposait à un patient lambda de traiter son cancer par le jeûne, il rirait au nez de celui lui ayant proposé ça ; ou il crierait au fou, à l'illuminé ; alors que c'est exactement ce qui se passe quand il prend une chimio. La fluidification du sang provoquée par la chimio doit servir aussi au percement des canaux. Seulement, ça provoque surtout à la mort du patient par hémorragie (cérébrale souvent).
  20. On m'a posé une question sur le fait de savoir si on peut obliger un bébé à prendre une trithérapie contre l'avis des parents en France. Est-ce que quelqu'un a des infos ? Je sais qu'il y a eu des cas ailleurs (Canada je crois, Pays-bas), mais en France, je ne sais pas trop. Sinon, est-ce que par hasard, il y en a qui connaitrait des gynéco ou des sage-femmes dissidents ?
  21. Oui, mais si on s'aperçoit que les tests sont bidons, ça ne va plus du tout rapporter aux labos. Cela dit, il est bien sur possible de faire un test anonyme, ou avec un autre médecin. Mais si on se fait suivre dans un hôpital, là, apparemment, ce n'est pas possible d'obtenir un nouveau test d'anticorps.
  22. On avait déjà eu une information allant dans ce sens pour la Belgique, si je me souviens bien. Eh bien, c'est confirmé pour la France aussi. J'ai conseillé récemment à une femme qui est sûr qu'elle n'a pas pu se faire contaminer par le VIH, de se refaire tester régulièrement. Il y a quelque jours, elle va à l'hopital. Je ne sais pas si, au départ, elle a demandé qu'on lui fasse aussi des tests d'anticorps, ou si elle l'a demandé après coup. En tout cas, elle s'est vue répondre par le médecin qu'ils ne lui feraient plus jamais de tests d'anticorps. Ils ne lui feront plus que le test de charge virale. Pour eux, une fois qu'une personne a été déclarée positive avec les tests d'anticorps, elle est considérée comme positive à vie. Eh oui, c'est sur que s'ils refaisaient les tests d'anticorps, on s'apercevrait rapidement de la variabilité de résultat des tests. Ca la foutrait mal. La crédibilité des tests d'anticorps tomberait à zéro immédiatement. Pour la charge virale, ils n'ont pas de problème : 1) si la charge virale est indétectable, l'explication, c'est que le virus se cache dans les ganglions ou ailleurs. Donc, on reste considéré comme positif. Ca ne remet pas en cause le diagnostic de départ 2) La plupart des gens vont avoir une charge virale positive. A vu de nez, je dirais que plus de 80 % des gens ayant un état de santé normale doivent avoir une charge virale positive. Donc, ils sont sur de trouver une charge virale positive chez à peu près tous les gens séropositifs chez qui ils estiment la charge virale. Donc, il n'y a que très peu de risque pour les médecins qu'une personne ayant eu un test d'anticorps positif se retrouve juste après avec une charge virale indétectable (ce qui la foutrait quand même assez mal, même s'ils pourraient sortir l'argument 1). D'ailleurs, on peut penser que c'est pour ça que la charge virale est un poil plus sensible que le test d'anticorps. Ca permet de faire en sorte qu'une personne ayant réagit positif ait systématiquement une charge virale positive. Donc, avoir une charge virale nulle, c'est plutôt difficile à obtenir. En plus, quand ça arrive, les médecins peuvent dire que le virus se cache. Tandis que pour les tests d'anticorps, il ne peuvent pas dire que les anticorps on disparu. Sauf si le taux de cd4 tombe à moins de 50, ou même 10. Mais dans ce cas, la personne va plutot avoir tendance à réagir positif. Quand une personne réagit négatif, elle va avoir quasi systématiquement un taux de cd4 suffisant pour qu'on ne puisse pas sortir l'argument que les anticorps on disparu. Donc, si le test réagit négatif alors que les anticorps sont là (et alors que la personne a déjà réagit positif une première fois bien sur), ça met bien en évidence que les tests d'anticorps sont complètement bidons. Donc, les médecins ne vont pas dire que vous êtes séronégatif avec une charge virale indétectable, tandis qu'ils seront obligés de le dire avec un test d'anticorps négatif. Du coup, on comprend bien pourquoi les médecins refusent de refaire les tests d'anticorps. Officiellement, c'est soi-disant parce qu'ils considèrent que le test est totalement fiable. Officieusement, on peut aussi penser qu'il y a des gens haut placés qui ont parfaitement conscience que les tests sont bidons et qui ont une peur panique à l'idée que les séropositifs se mettent à refaire régulièrement les tests d'anticorps.
  23. Ben déjà, s'il n'y a pas eu de Western Blot de pratiqué, le test ne vaut rien. On sait bien que l'Elisa réagit très facilement positif. Et le test de charge virale est déconseillé comme test VIH si je me souviens bien. Si en plus, il a eu un vaccin deux mois avant, et qu'il avait des problèmes d'ulcères buccaux à ce moment là, ben, oui, c'est déjà suffisant pour influencer le test. En plus, si ça se trouve, il a pris des médicaments pour soigner les ulcères avant le test. Si c'est le cas, ça aussi, ça aurait influencé le test. Une fois qu'il sera guéri de ses ulcères, il n'aura qu'à passer un nouveau test trois mois après (auprès d'un autre labo de préférence), et ça devrait être négatif. Sinon, si ça n'est pas négatif dès la première fois, il suffira de repasser un test tous les quatre mois, et tot ou tard, ça sera négatif.
  24. L'inflammation, en fait, ce n'est jamais que les veines qui sont en état de dilatation, et qui font pression sur les nerfs adjacents. Les anti-inflammatoires agissent simplement en créant une vaso-constriction artificielle. Du coup, plus de pression sur les nerfs, et plus de douleur. Mais le problème, c'est que c'est une solution temporaire. Dès qu'on arrête l'anti-inflammatoire, les veines reviennent à un état de vaso-dilatation pire qu'avant. Et en plus, c'est une solution qui aggrave le problème sur le long terme. Parce que comme ça crée une acidose locale, le cartilage de l'articulation est détruit petit à petit, ce qui cause évidemment une inflammation de plus en plus importante. Ce qu'il y a de sur, c'est que quand on a pris des anti-inflammatoires pendant longtemps, et qu'on arrête de les prendre, il faut attendre pas mal de temps avant que la douleur s'estompe, parfois plusieurs mois. Donc, on ne peut pas dire que la douleur est provoquée par un réel problème corporel tant qu'on n'a pas passé cette phase. Durant cette phase, la douleur est en fait provoquée par l'effet en retour de l'arrêt de l'anti-inflammatoire. C'est vicieux, puisque du coup, à cause de la douleur qui revient à chaque fois, on n'arrive pas à arrêter de prendre l'anti-inflammatoire.
  25. Eh oui, c'est un article de notre excellent Cheminot. Sinon, pour l'ulcère, il est connu que les anti-inflammatoires provoquent ce genre de problème. J'ai compris le truc récemment. En fait, pour digérer, l'estomac émet de l'acide chlorhydrique. Et pour se protéger de l'acide, l'estomac émet aussi un mucus qui tapisse ses parois, qui lui, est basique. L'acide attaque les aliments, et l'anti-acide protège les parois de l'estomac. Tout va bien. Le problème, c'est que les anti-inflammatoires entrainent une rétention d'eau de la part des cellules. Ce qui fait que les cellules de l'estomac n'arrivent plus à relarguer de l'eau. Le mucus devient donc trop pâteux, trop sec. Et par endroit, il doit laisser passer l'acide. D'où des problèmes d'ulcères. C'est un problème apparemment propre à tous les anti-inflammatoires. Et comme les Trithérapies sont en réalité des anti-inflammatoires, prendre un anti-inflammatoire en plus de la tri, c'est comme prendre une double dose d'anti-inflammatoire. En plus, comme ce sont des anti-inflammatoire non-stéroïdiens, prendre l'équivalent d'une double dose risque fortement de faire passer à un effet de type antibiotique, bien plus dangereux.
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