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forum sidasante

aixur

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Messages posté(e)s par aixur

  1. Tut tut tut Aixur, c'est de la triche ça, espèce de truandeur d'expériences. 4-piout.gif

    Ceci étant dit, ce serait une bonne occasion de tester tes théories sur le cortisol.

    En fait, il n'y a quasiment même pas à tester (mais évidemment, c'est toujours mieux de le faire), vu que les divers phénomènes liés à l'arrêt brutal de la cortisone sont reconnus officiellement par l'orthodoxie médicale. C'est dans tous les manuels et sur les divers grands sites parlant de médecine.

    Il doit y avoir quelques phénomènes qui ne sont pas identifiés par l'orthodoxie lors de l'arrêt brutal de ces médicaments, comme l'apparition d'une toux, mais globalement, c'est assez bien documenté.

    Et ces symptômes peuvent comme par hasard être interprétés comme ceux du passage au stade sida :

    Maux de tête ---> diagnostic de toxoplasmose

    Amaigrissement + toux ---> tuberculose ou pneumonie

    Grosse fatigue ---> baisse du système immunitaire.

    Tout ça s'accompagnant d'une explosion de la charge virale et d'une baisse du taux de cd4.

  2. Cheminot, j'ai une requête à te faire, j'aimerais que tu me dises comment je peux augmenter le taux de peroxynitrite dans mon corps. Je veux tester ta théorie et voir si je vais développer le syndrôme dit du "sida". Avec les poppers se serait bien ?

    La question ne m'était pas posée, mais j'y réponds quand même.

    Si tu veux développer les symptômes du sida, c'est très simple. Tu prends de la cortisone à disons 40 mg pendant 2 mois, puis tu arrêtes d'un coup. Au bout d'environ une semaine, les symptômes du sida commenceront à se développer.

  3. Ah oui, intéressant.

    Donc, si les labos déposent plus de dossiers, l'agence a plus d'argent. Du coup, il est évident qu'il y a corruption, puisqu'il suffit qu'il y ait accord secret entre les labos et l'afssaps pour que les premiers déposent beaucoup de dossiers, et qu'en contrepartie, l'afssaps ne soit pas trop regardant sur tel dossier important ou sur tel ou tel médicament déjà en circulation. Les gros malins.

  4. Un autre truc qu'on peut se dire concernant les tests d'anticorps, c'est que la non spécificité du test VIH (cf. ici) rejaillit sur les autres tests faits pour les maladies qui font réagir le test VIH. Ca invalide leur spécificité aussi.

    Si le test VIH réagit positif à cause de la présence de la lèpre, tuberculose, rhume, grippe, herpès, malaria, hépatite, etc..., alors, les tests supposés spécifiques de ces antigènes ne le sont pas non plus. Les tests d'anticorps de la lèpre, de la tuberculose, du rhume, etc..., ne sont pas spécifiques. Eux aussi doivent réagir aux autres antigènes. Le test du rhume doit réagir aux antigènes de la tuberculose, de la grippe, de l'herpès, de la malaria, de l'hépatite, etc... Et donc, le test d'anticorps du rhume ne doit pas être spécifique. Le test de la tuberculose ne doit pas l'être non plus, celui de l'hépatite idem, etc...

    Et si tous ces test tombent, ça la fout mal pour les autres. Si 20 ou 25 tests ne sont pas spécifiques, on ne voit pas pourquoi les autres le seraient plus.

    En fait, ce qu'on peut se dire, c'est tout simplement qu'il n'y a pas eu de tests supplémentaires de conduits pour voir si d'autres maladies faisaient réagir positif le test vih. Sinon, la liste serait probablement beaucoup plus longue.

    PS : et par ailleurs, ça doit aussi invalider les tests d'hémagglutination. Parce que si les 20 ou 25 tests d'anticorps en question ne sont pas spécifiques, on ne voit pas pourquoi les tests d'hémagglutination correspondant le seraient. Je dis ça pour Nico111. Comme il est mis en difficulté sur les tests d'anticorps, il se rabat sur les tests d'hémagglutination pour pouvoir continuer à affirmer que tout va très bien dans le royaume de l'immunologie.

  5. " Bonjour, il n'y a pas d'obligation de traitement pour l'AZT chez le nouveau-né.

    Certains de nous (parents du Comité des familles) l'ont donné pour 4 ou 6 semaines, d'autres n'ont rien donné du tout, à partir du moment où l'accouchement s'est passé sans problème avec une charge virale indétectable.

    De manière général, aucun traitement n'est obligatoire en France. Une maman qui refuse ne s'expose à rien, sauf un éventuel harcèlement de l'accoucheur et/ou du pédiatre, mais l'AZT se donne par les parents à la maison, où il n'y a pas de médecin."

    C'est excellent ça. Donc, ça veut dire qu'on peut faire ce qu'on veut en fait.

    Très bonne nouvelle pour les femmes dissidentes séropositives qui veulent accoucher.

  6. Autre solution possible : négativer ton propre test.

    Déjà, naturellement, il y a des chances que sans rien faire, tu sois négative si tu refaisais un nouveau test (anonymement bien sur). Et durant la grossesse, comme au bout de quelques mois, le taux de cortisol est plus élevé que d'habitude, les chances d'avoir un test négatif augmentent (mais, peut-être que le fait de manger plus va à l'encontre de cet effet par contre, à voir).

    Edit : autant pour moi. Ce que je viens de dire est débile, vu que la grossesse est connue comme une source de faux positif.

  7. Cela dit, si tu accouches chez toi, tu n'es pas obligée de leur dire que tu attends un enfant, ni que tu as accouché. Comment peuvent-ils le savoir si tu ne leur dis pas ? Vu que personne ne fait jamais ça, il n'y a pas tellement de procédure pour repérer les femmes n'ayant pas déclaré leur enfant.

    Tu peux attendre un ou deux ans avant de le déclarer. Et là, vu que la fenêtre de prise du traitement est dans la première année si je me souviens bien, tu es déjà un peu hors d'atteinte des médecins.

    Ou mieux, au bout d'un an ou deux, tu peux faire faire un test anonyme à ton enfant dans un autre pays européen. S'il est positif, tu le refais ailleurs. Et ainsi de suite jusqu'à ce qu'il soit négatif. Et là, tu peux sortir un joli résultat négatif en même temps que tu déclares l'existence de ton enfant. Et personne ne peut plus t'emmerder.

  8. Aixur,

    J'ai contacté une avocate près de chez moi, elle me dit qu'un juge pour enfant, s'il estime qu'il y a mise en danger de la vie de l'enfant, pourra me faire retirer la garde du bébé ...

    Eh oui, c'est ça le problème.

    Déjà, si tu accouches dans un hôpital, tu es complètement à la merci des médecins. Et c'est sur qu'ils vont commencer le traitement aussitot et que si tu dis quelque chose, ça n'aura aucun effet. Au contraire, ils te signaleront peut-être à la justice et te confisqueront peut-être ton bébé préventivement.

    Donc, déjà, il vaut beaucoup mieux accoucher chez toi. Là, c'est toi qui garde le contrôle ; en tout cas au début.

    Après cette étape, il n'y a pas tellement de solutions.

    - soit il faut mentir en faisant croire que tu fais prendre le traitement à ton bébé. Dans ce cas : soit il faut avoir dans sa poche un médecin qui sera dans le coup et acceptera de mentir aux autorités ; soit il faut faire croire à un médecin orthodoxe que tu fais suivre le traitement à ton bébé.

    - soit il faut plus ou moins te cacher pendant 1 an en changeant de pays tous les 2 ou 3 mois. Le temps que la justice se mette en marche, à chaque fois, tu sera ailleurs et ils devront recommencer la procédure.

    - soit il faut aller dans un pays où ce danger de se faire retirer la garde de son bébé n'existe pas. Mais je ne sais pas quel pays permet ça.

    - soit tu ne fais rien, et tu comptes sur le fait que la médecine et la justice ne te remarqueront pas. Mais c'est très risqué.

  9. J'avoue que je ne connais personne dans ce domaine. Et je ne me souviens pas de cas comme le tien sur le forum.

    Par contre, je ne pense pas qu'on puisse t'oblige à prendre une trithérapie. C'est ton corps et ton choix. Ensuite, une fois l'enfant né, c'est une autre paire de manche. Là, vu les excités qu'il y a du coté de l'orthodoxie, ils sont capables de tout. Mais effectivement, il faudrait une réponse d'un juriste.

  10. Concernant le greffé de Berlin, à mon avis, c'est surtout le traitement qu'il prend qui a du le rendre négatif.

    Comme je le dis dans cette page (section 3,3), les traitements qui augmentent le taux de cortisol font baisser la charge virale et augmenter le taux de cd4.

    Donc, ça négative aussi certainement les tests. En effet, le résultat des tests va dans le même sens que celui de la charge virale. Bref, plus la charge virale est basse, et plus le test vih a des chances d'être négatif.

    Or, les médicaments pris dans le cas d'une greffe augmentent le taux de cortisol. Donc, il font augmenter le taux de cd4, baisser la charge virale, et négativent les tests vih.

  11. En fait, l'analyse que j'ai faite concernant le fait que la mise au point des instruments de mesure des cd4 (années 70) a en quelque sorte engendré l'invention du sida pousse à une autre réflexion.

    On peut se dire que le fait que les drogués et les homo aient été déclarés les groupes les plus touchés par le sida est lié à une situation historique passagère et donc, à un manque de bol. Ils ont été là au mauvais moment. Et sans ça, on peut penser que l'invention du sida aurait été plus difficile, puisque les médecins n'auraient pas eu de vastes groupes d'individus à se mettre sous la dent.

    En effet, la scène gay hardcore (forte consommatrice de drogues et d'antibiotiques) est apparue à la fin des années 60. Mais elle n'a commencé à prendre de l'importance que dans les années 70. Ca signifie que si la mise au point des instruments de mesure des cd4 s'était faite plus tôt, dans les années 50 par exemple, la scène gay hardcore n'existant pas encore, les scientifiques n'auraient pas eu ce groupe comportant beaucoup "d'immunodéficients" sous la main. D'un seul coup, leur invention manquait de patients potentiels.

    Alors bien sur, depuis les années 70, la scène gay hardcore a toujours perduré. Donc, on peut se dire que si le sida avait été inventé dans les années 90 par exemple, là, ça aurait marché. Et donc, ce n'est que si le sida avait été inventé dans les années 50 que ça aurait échoué. Mais ce n'est pas si sur. Parce qu'on peut imaginer que les problèmes de maladie des gays de la scène hardcore auraient reçu une explication moins catastrophiste depuis bien longtemps. Donc, là aussi, la fenêtre de temps durant laquelle on pouvait lier sida et gays se serait probablement refermée. Et l'invention du sida dans les années 90 n'aurait donc pas permis d'établir un lien.

    Et pour les drogués également, leur annexion par les inventeurs du sida s'inscrit dans des conditions historiques. C'est dans les années 70 que la consommation d'héroïne a atteint son apogée. Avant, elle était complètement marginale. Et ensuite, dans les années 80, elle a fortement diminué et n'a jamais vraiment repris. Depuis, c'est la cocaïne qui s'est imposée. Donc, si les instruments de mesure des cd4 et donc le sida, avaient été inventés dans les années 60 ou à la fin des années 80, le groupe des drogués n'aurait pas fourni grand monde comme sidéens. Déjà, ils auraient été moins immunodéficients. Mais surtout, sans la seringue, pas de transmission du vih. Donc, sans la seringue, impossible de dire que les drogués ont le vih. Et sans vih, pas de sida.

    Donc, les inventeurs du sida ont bénéficié de deux groupes importants présentant à la fois des maladies fréquentes et des pratiques qui pouvaient faire penser à un phénomène transmissible (sexe pour les gays et seringue pour les drogués) juste au bon moment.

    Peut-être que sans ça, les "découvreurs" du sida n'y auraient jamais pensé. Mais c'est probablement s'avancer. Parce qu'après tout, il suffisait de quelques centaines de cas pour que ça fasse tilt dans la tête de ces gens. Et puis, ils auraient pu trouver leurs cas en Afrique. Mais dans ce cas, ça serait peut-être devenu plutôt une maladie africaine lointaine. Ils auraient peut-être pensé à une transmission par les moustiques ou un truc comme ça.

    Bref, on peut se dire qu'il y a eu un coté complètement contingent à l'invention du sida. Du bol pour les inventeurs, et un manque de bol pour les victimes de cette invention. En tout cas, il est bien possible qu'un des ces groupes ou les deux aurait été beaucoup moins considéré comme spécialement touché par le sida, et donc comme groupes à risque.

    Peut-être qu'avec trop peu de cas, ils n'auraient pas considéré ça comme une maladie transmissible, mais auraient pensé à des problèmes liés à des substances chimiques. Ils auraient donc adhéré dès le départ à la théorie de certains dissidents. Qui sait ?

  12. A mon avis, le test de charge virale ne mesure que la quantité de petites particules dans le sang. Rien à voir avec l'adn du virus.

    C'est pour ça que les gens qui consomment des antibiotiques ou qui ont un taux de cortisol bas vont avoir une charge virale élevée (et un taux de cd4 bas aussi). Les antibiotiques, parce que désagrège les cellules, et le taux de cortisol, parce que ça conduit à un relargage des débris accumulés dans les cellules.

    Le test du génotype est donc aussi bidon. Il donnera n'importe quoi. Fait ailleurs, ça donnerait d'autres résultats.

  13. En revanche, je voudrais rendre un vibrant hommage à Aixur (ainsi qu'à Rasnick, Lauritsen, etc.) pour son post du 7 décembre 2008 sur ce forum : il y fait mention d'un blog informant de ce que Burroughs Wellcome, fabriquant initial de l'AZT, fabriquait et commercialisait aussi du poppers. Je viens de faire une recherche à ce sujet, et selon 4 à 5 sources différentes sur le net, ce serait exact. Ne resterait plus qu'à savoir dans quelle mesure l'absorption de poppers peut déclencher une séropositivité des tests de dépistage plus ou moins "spécifique", et... J'espère - et ne doute guère - que vous aurez suivi mon raisonnement !..

    A Aixur encore, en tant qu'administrateur du site cette fois-ci : il semble s'être passé quelque chose d'assez singulier sur ce forum depuis le 19 mars dernier : j'ai consulté la liste des membres du forum, et, depuis cette date, plus de 1400 personnes se sont inscrites et sont en attente de validation !

    Bien à vous tous

    Merci beaucoup jardinier,

    Par contre, je suis désolé de te décevoir pour les 1400 inscrits. Moi aussi, j'aurais bien aimé que ce soit le cas. Mais en fait, plus de 99 % sont des robots.

  14. Le problème, en fait, c'est qu'il fallait expliquer pourquoi d'un seul coup, les gens mourraient et pas avant. Du coup, si on supprimait le problème de la drogue et des antibiotiques (et autres traitement médicaux), c'est sur que la tentation de la maladie microbienne nouvelle était tentante. Cela dit, le fait de considérer ça comme nouveau était déjà fallacieux en soit, vu que les outils de mesure n'avaient pas plus de 10 ans.

  15. En réfléchissant à nouveau au problème des cd4, je me suis tout d'un coup dit qu'il y avait de fortes chances que l'estimation de la réalité de l'immunodéficience soit relativement récente, et même, qu'elle n'ait été possible que seulement 10 ans ou quelque chose comme ça avant l'émergence du SIDA. Ce qui voudrait dire qu'il est bien possible que ce soit l'apparition de l'outil de comptage qui a permis de développer tout un discours sur l'immunodéficience, et a permis aux scientifiques de se monter le bourrichon a propos de ce problème.

    Avant ça, le concept d'immunodéficience était quelque chose qui existait. Mais comme on ne pouvait pas l'estimer précisément, c'était limité à des cas assez particuliers où la théorie estimait qu'il devait y avoir immunodéficience. C'était le cas des personnes dont on pensait qu'on avait détruit la moelle osseuse via traitement. Ces personnes étaient supposées ne plus avoir de moelle osseuse fonctionnelle. Et du coup, on estimait qu'elles n'avaient plus de défenses immunitaires.

    De la même façon, on pouvait estimer qu'une personne attrapait telle ou telle maladie microbienne ou virale à cause d'un système immunitaire légèrement déficient. Mais là, c'était de simples hypothèses.

    Mais en dehors de ces cas particuliers, en l'absence d'outil de mesure, on ne pouvait pas savoir qui était immunodéficient. Il y avait apparemment quelques outils à partir des années 40. Mais il semble que ça restait confiné aux labos de recherche et que ça ne pouvait pas servir à des analyses à grande échelle. Donc, dans la pratique, on ne pouvait pas mesurer l'immunité des gens.

    C'est à partir de la fin des années 60, que le premier appareil à cytométrie de flux a été mis au point (c'est ce genre d'appareil qui est utilisé actuellement pour estimer la quantité de cd4, cd8, etc...). Il s'agissait de l'ICP11, réalisé par Wolfgang Göhde de l'université de Munster, en 1968. Et il a été commercialisé vers 1969. D'autres appareils ont vu le jour peu de temps après : le Cytofluorograph en 1971, le PAS 8000 en 1973, le FACS en 1974, etc...

    On peut penser qu'il a fallu 4 ou 5 ans avant que l'usage de ce genre d'appareils ne se répande. Ce qui nous amène vers 1975 environ ; juste 6 ou 7 ans avant l'invention du SIDA.

    Ca va dans le sens de ce que je pensais au départ. Les outils permettant de compter l'immunité on précédé de peu la découverte (en fait "l'invention") de maladies d'immunodéficience.

    Donc, on peut penser que c'est effectivement l'apparition d'outils de mesure de l'immunité qui a conduit à l'invention des maladies d'immunodéficience (autres que les cas particuliers cités plus haut).

    Avec ces outils, d'un seul coup, on a pu faire des analyses statistiques, choses qu'on ne pouvait absolument pas faire avant. Et on a pu se rendre compte que certaines personnes avaient des niveaux de cd4 qu'on estimait être dangereusement bas. Comme un niveau de cd4 bas était associé à un bas niveau d'immunité, évidemment, on supposait que ça devait conduire à la mort. On a donc cherché des gens qui vérifiaient cette théorie. Et il n'a pas été difficile d'en trouver chez les toxico ainsi que chez dans la scène gay hardcore de l'époque, qui consommait des drogues à tout va et était très régulièrement sous antibiotiques.

    On avait ainsi une base statistique de départ. On avait un petit pourcentage de population qui était supposée immunodéficiente. On aurait pu en rester là, et se contenter de cette population très limitée. Mais ça, c'est s'il n'y avait pas eu des excités des rétrovirus (dont certains en mal de succès, comme Gallo) pour venir trouver des virus là où il n'y en avait pas. A partir de là, c'est de l'histoire connue. Les virologues, en imposant l'idée que l'immunodéficience était due à un rétrovirus ont étendu le truc à un pan beaucoup plus large de la population. D'un seul coup, ce n'était plus quelques centaines ou milliers de personnes qui étaient impliquées, mais des dizaines de milliers.

    Il est bien sur possible qu'il y ait des dessous politiques derrière l'invention du sida. Mais ce qui est sur, c'est qu'avec les théories existantes à l'époque concernant l'immunité, l'apparition des outils de mesure de l'immunité entrainait un risque important de trouver plein d'immunodéficients.

  16. Ouai, depuis qu'on a compris qu'il fallait arrêter la trithérapie progressivement, à moins que ma mémoire me fasse défaut, on n'a quasiment plus de dissidents ayant de gros problèmes lors de l'arrêt de la tri, ni même de dissident hors médocs ayant de gros problèmes de santé en général. Ca a l'air de se passer assez bien.

    Alors qu'avant qu'on ne comprenne ça, au début du forum, vers 2003-2004, il y avait eu des témoignages de personnes ayant des problèmes après un arrêt brutal du traitement (le père de boubou par exemple).

    Sinon, il y a du y avoir trois ou quatre morts au début. Mais à chaque fois, c'était assez spécial. Un d'entre eux se droguait apparemment ou s'était drogué (Dak'az) et allait régulièrement à l'hopital, où il recevait des doses massives d'antibiotiques. Un autre avait été très esquinté par les traitements et était fortement handicapé (du coup, il continuait à fréquenter les hopitaux). Et enfin, le pauvre Jimmy le Rebel s'est apparemment fait avoir par les médecins qui lui ont diagnostiqué une toxoplasmose et lui ont donné un traitement massif d'antibiotiques. Et après, on ne l'a plus revu.

    Mais depuis 5 ans, c'est a peu près le calme plat.

  17. Ce que je pense, c'est que le liquide céphalo-rachidien doit contenir beaucoup moins de particules en suspensions que le sang.

    Or, c'est la quantité de particules en suspension que compte la charge virale en réalité. C'est aussi simple que ça.

    Du coup, comme il y a très peu de particules dans le liquide céphalo-rachidien, forcément, la charge virale est extrêmement basse.

    Par ailleurs, les antibiotiques, par leur pouvoir de désagrégation des cellules (à la place d'une seule, il y a alors 10 débris), peuvent faire exploser la charge virale (sanguine). Alors qu'ils ne doivent avoir aucune influence sur ce qui se passe dans le liquide céphalo-rachidien. Donc, quand quelqu'un prend des antibiotique, ou est dans une autre situation qui augmente la quantité de débris dans le sang, la charge virale va augmenter avec un échantillon sanguin, et quasiment pas avec le liquide céphalo-rachidien.

  18. Pour moi, ça ressemble à un état de baisse de cortisol. Tu as pris des plantes qui ont du augmenter pendant un temps le taux de cortisol. Puis, lorsque tu as arrêté de les prendre, le taux s'est effondré. D'où les symptômes que tu as eu par la suite (fatigue, fièvre, toux...). Tu es simplement en état d'hypotension. Et la chaleur de l'Amérique du sud ne doit pas aider.

    Faut pas prendre de plantes. C'est dangereux (à cause de l'effet en retour). C'est comme la trithérapie. Ca augmente le taux de cortisol. Puis, quand on arrête brusquement, celui-ci diminue fortement et d'un seul coup.

    Là, si tu as arrêté les plantes depuis plusieurs mois, le taux de cortisol devrait se remettre à augmenter et tu devrais aller mieux à nouveau.

  19. Oui, ce serait super. Mais quelqu'un qui travaille dans un centre de transfusion sanguine et qui serait prêt à nous fournir ce genre de renseignements, ça ne se trouve pas sous le sabot d'un cheval. Pas évident de dégoter ça.

    J'aurais bien posé la question sur le forum aidsmythexposed, histoire d'augmenter un peu la taille de l'échantillon. Mais ça m'a l'air d'être un peu l'apocalypse là-bas en ce moment.

  20. Je viens de réfléchir à nouveau au problème et de m'apercevoir d'un truc.

    Et en fait, ce qu'on peut remarquer, c'est que les groupes qui réagissent le plus aux tests vih sont ceux qui sont le moins compatibles avec les autres groupes sanguins. C'est le groupe le plus compatible (le O, le donneur universel) qui réagit le moins.

    Donc, par rapport à ce que j'ai écrit dans mon premier message, ce qu'on peut se dire, c'est que probablement que le groupe universel (le O donc) doit être le plus neutre électromagnétiquement et donc se coller le moins facilement à d'autres particules. Tandis que les cellules des autres groupes doivent se coller beaucoup plus facilement à d'autres particules.

    Et probablement que ça doit jouer dans la compatibilité sanguine. Bien sur, il doit y avoir des éléments spécifiques qui font que deux membres du groupe A (par exemple) peuvent se donner leur sang l'un à l'autre. Mais la coté plus ou moins "collant" des divers groupes sanguins doit jouer aussi.

    Et concernant les tests d'anticorps, comme ce sont en fait des tests qui réagissent à la quantité totale de particules présentes dans le sang selon moi, le coté plus ou moins collant des particules sanguines doit jouer. Donc, si les particules sanguines d'un groupe ont tendance à être plus réactives électromagnétiquement, ça doit jouer dans la probabilité de réagir positif.

    Logiquement, ça devrait être le groupe AB (le moins compatible) qui devrait être le plus important comparativement à sa représentation dans la population générale.

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