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forum sidasante

aixur

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Tout ce qui a été posté par aixur

  1. Bon, pour éviter de dévier ce topic, on va parler des prostaglandines ici. Je n'ai pas trop cherché quelle est la réalité de ces molécules. Mais l'élément le plus intéressant ici est le fait que les anti-inflammatoires inhibent l'action des cox-2 qui mènent à la production de prostaglandine et donc à l'inflammation. Mon avis est que cette théorie est fausse. Le problème de l'inflammation n'est pas lié au problème des prostaglandines et des cox-2. C'est simplement un problème de vasodilatation des vaisseaux sanguins dans les membres ou dans la tête. La dilatation des vaisseaux sanguins fait pression sur les nerfs situés derrières ceux-ci. Et du coup, ça entraine de la douleur. La prise d'anti-inflammatoire entraine une vasoconstriction des vaisseaux sanguins. Et du coup, les vaisseaux sanguins ne faisant plus pression sur les nerfs, la douleur disparait. C'est aussi simple que ça. C'est ça le vrai mode d'action des anti-inflammatoires concernant ce type de problème.
  2. Avec l’ibuprofène on est en plein dans l'effet en retour en question. Et c'est lié là encore au taux de cortisol. La douleur vient d'une vasodilatation des vaisseaux sanguins qui font pression contre les nerfs situés derrières les vaisseaux en question. L’ibuprofène augmente le taux de cortisol, du coup, au niveau de la tête, il engendre une vasoconstriction. Les vaisseaux sanguins se resserrant, ils ne font plus pression sur les nerfs et la douleur cesse. Seulement, dès qu'on arrête de prendre l'ibuprofène, le taux de cortisol s'effondre et la vasodilatation revient. Et la douleur avec. C'est l'effet en retour. C'est ça que l'industrie pharmaceutique évite bien de dire (à part pour la cortisone). Il y a des effets en retour à l’arrêt de la plupart des médicaments. Au lieu de dévoiler ce problème, l'orthodoxie dit généralement que c'est un retour de la maladie. Pratique pour rendre accroc les gens. C'est le même principe qu'il y a avec les médicaments contre la migraine. Ca augmente le taux de cortisol, du coup, paf, ça fait disparaitre la migraine (qui n'est là aussi qu'un problème de vaisseaux sanguins qui font pression sur les nerfs). Mais quand on arrête de les prendre, le taux de cortisol redescend et la douleur risque de revenir. Idem pour la pilule. Ca augmente le taux de cortisol. Et si les femmes sous pilule ont tendance à avoir des migraines durant leurs règles, c'est parce qu'elles arrêtent la pilule et que le taux de cortisol baisse à ce moment-là. Pour les prostaglandines, je vais répondre dans ce topic, histoire de ne pas faire dériver celui-ci.
  3. Oui, ça n'est pas évident. L'important je pense, plus que de se concentrer sur les chiffres, c'est de se sentir en bonne santé physique. Tant que la santé va, tout va bien en fait. Le problème, c'est quand la santé ne va pas bien et que les chiffres sont mauvais. C'est là qu'ils peuvent te faire douter et te remettre la main dessus. D'où l'utilité du forum effectivement, pour explorer d'autres pistes à ce moment-là.
  4. Bonjour, et bienvenue sur le forum. C'est là qu'on voit que l'orthodoxie sait faire pression pour ramener les brebis égarées dans son giron. Heureusement, ils n'ont pas réussi.
  5. Bonjour Cheminot, Le problème, c'est que comme je l'ai dit plus haut, avec des doses plus fortes, on passe à un effet de type antibiotique. Ces médicaments se mettent à désagréger les cellules, avec des dangers de saignements. Ca agresse aussi encore plus le foie. Les déchets cellulaires sont donc moins facilement éliminés. Ca peut aboutir à des rash cutanés. Donc, difficile d'expliquer ça si ce sont des médicaments antioxydants. Par ailleurs, concernant les doses normales de ces médicaments, je vois mal comment les actions décrites dans ma théorie peuvent être expliquées par la théorie du stress oxydatif : accumulation d'eau ciblée, hypertension, acidose, thromboses dans les jambes, perte de masse musculaire à terme dans les bras et les jambes, prise de poids (dans le centre du corps), bosse de bison, peau qui devient plus fine, fluides corporels du centre du corps qui sont émis en moins grande quantité et sont plus concentrés, etc... Le stress oxydatif n'explique pas non plus l'effet en retour qu'il y a à l'arrêt de ces médicaments. En seulement deux semaines, il y a des effets en retours. Alors que normalement, la personne ayant été gonflée à bloc en antioxydants devrait péter la forme. Il y aurait ensuite un retour à la normale, mais pas un effet en retour négatif. Donc, la personne devrait continuer à être très bien pendant un temps, puis bien, mais un peu moins, et encore un peu moins, etc.., jusqu'à un retour à un état de santé normal. Et ce retour à la normale devrait se faire pendant un temps assez long (5, 6 mois), pas en 2 semaines. Alors que la théorie du cortisol explique très bien le phénomène. Le taux de cortisol étant augmenté artificiellement, dès qu'on arrête cette augmentation artificielle, il s'effondre à un taux en dessous de la normale.
  6. aixur

    à Brume

    D'accord pour les chiffres de cd4 et de charge virale. Mais pour moi, quand je parle de bonne santé, je parle de ce qui se passe physiologiquement. Or, la plupart de ces gens allaient parfaitement bien avant d'être considérés comme malades et de mourir. Leurs chiffres étaient supposés mauvais. Mais au niveau physique, ils disaient qu'ils pétaient le feu. C'est la seule chose que je considère. Or, la phase où ils avaient la pêche avait duré pendant des années. La plupart du temps, ce n'est que tout d'un coup que les choses ont commencé à aller moins bien. Alors que si les chiffres avaient à voir avec l'état de santé, ils auraient du être malade très régulièrement avant de mourir d'une infection. Or, ce qu'il y a, c'est qu'une baisse de forme peut toujours survenir sur un intervalle de plusieurs années. C'est le cas chez n'importe quelle personne normale. Seulement, alors que chez une personne séronégative, on lui diagnostiquerait une maladie bénigne, chez un séropositif, et a fortiori chez un séropositif ayant des chiffres bas, on va lui diagnostiquer des maladies graves : pneumonie, tuberculose, kaposi pulmonaire, toxoplasmose, virus divers. Et du coup, la personne va se voir infliger un traitement de cheval et va mourir rapidement. Surtout qu'il faut voir que si on considère la personne comme étant en phase terminale, on va lui prescrire de la morphine. Or la morphine tue en provoquant une hypotension mortelle. Ca se fait sur plusieurs semaines ou mois bien sur. On peut aussi lui couper l'alimentation (puisque vu qu'elle est en phase terminale, on considère que ça ne sert plus à rien de la nourrir). Dans ces conditions, la personne peut mourir assez rapidement. Or, un sidéen ayant des mauvais chiffres depuis des années et à qui on vient de diagnostiquer une maladie grave peut être considéré assez rapidement comme étant en phase terminale. Enfin bref, hormis les chiffres, ces gens étaient pour la plupart en parfaite santé au niveau physiologique. Ils n'ont eu des effets négatifs à l'arrêt de la trithérapie que pendant quelques mois, et après, ils allaient bien. Donc non, ces gens là n'ont pas dépéris pendant des années après l'arrêt des arv. Enfin..., pas au niveau physiologique. Ce qui est le critère principal à considérer pour moi.
  7. aixur

    à Brume

    En fait, ça c'était au tout début de ma théorie sur le taux de cortisol. Depuis, j'ai changé d'idée sur le sujet. Je pense plutôt qu'il y a vasoconstriction ou vasodilatation générale. Je ne vois pas du tout ce que ça a d'intenable. Les symptômes sont les mêmes. Bien sûr, on peut trouver des bacilles de la tuberculose dans les crachats (vu que ce sont de simples bactéries qui se développent quand il y a des déchets cellulaires). Donc, il n'y a aucune raison que les médecins ne fassent pas ce diagnostic. Sauf qu'ils ne feraient pas le même diagnostic chez une personne séronégative. Ils diraient simplement que c'est une bronchite ou quelque chose comme ça. Ils n'iraient bien sûr pas chercher la présence de bacilles de la tuberculose. C'est en ça qu'ils interprètent. Et l'interprétation est à la tête du client.
  8. On va mettre le premier échange d'idées sur le sujet : Le problème, c'est quand même que la théorie du stress oxydatif telle qu'elle est actuellement implique une sorte d'augmentation progressive de ce stress chez les personnes séropositives. Peut-être pas la totalité d'entre eux, mais un grand nombre. La théorie du cortisol est plus optimiste sur le sujet, puisque la baisse du taux de cortisol est considérée comme temporaire : qu'elle soit provoquée par l'arrêt de la consommation de substances l'augmentant, ou qu'elle soit naturelle. Et c'est bien ce qu'on peut constater par exemple sur ceux qui arrêtent la trithérapie. Ils sont très mal pendant 2 à 4 mois (faiblesse, déprime, douleurs articulaires, toux, etc...). Puis, ils sont à nouveau bien. Alors que selon la théorie du stress oxydatif, ça devrait continuer à se dégrader. Par ailleurs, il y a plein d'autres produits autres que les arv qui permettent de remonter le taux de cd4 (tous les anti-inflammatoires). Je ne pense pas qu'on puisse dire que tous ces produits diminuent le stress oxydatif. Et puis, plus on augmente la dose de ces produits, plus au contraire, ils ont un effet de désagrégation des cellules (à part la cortisone a priori) et donc un effet négatif. Alors que s'ils avaient un effet essentiellement antioxydatif, ils devraient avoir un effet de plus en plus positif au fur et à mesure qu'on augmente les doses. Peut-être pas de façon infinie bien sûr. Mais on devrait pouvoir augmenter de 3 ou 4 fois les doses sans problème. Alors qu'avec ces médicaments, ça devient rapidement problématique.
  9. Bon, puisque Cheminot est désormais plus disponible, j'ouvre ce topic pour confronter nos deux hypothèses. Donc d'un coté, la théorie de Kremer/Lanka/Perth Group/Cheminot. De l'autre coté la mienne. La théorie du stress oxydatif est la suivante (que Cheminot me corrige si j'oublie quelque chose ou si je me trompe) : - Le sida est essentiellement un problème de stress oxydatif. Les cellules sont oxydées plus que d'ordinaire, ou alors, elles n'arrivent pas à lutter contre l'oxydation ordinaire. - S'ensuivent des symptômes du sida. - Chez les séropositifs, il y a une tendance à ce que le stress oxydatif augmente petit à petit au fur et à mesure des années, faisant tomber la personne au stade du sida. Cette tendance est apparemment irréversible chez de nombreux séropositifs. - Les tests vih mesurent donc en fait cette tendance à avoir des problèmes de stress oxydatif. - Mais on peut arrêter au moins temporairement ce mouvement vers le sida en donnant des antioxydants aux séropositifs. - C'est ce que seraient certains antirétroviraux comme le 3TC. Ca expliquerait pourquoi les arv ont un effet positif. La théorie du taux de cortisol : - Le sida est en grande partie (mais pas seulement) un problème de taux de cortisol bas - Un taux de cortisol bas entraine essentiellement que les cellules du centre du corps se vident de leur eau tandis que celles des bras et des jambes accumulent l'eau. Par ailleurs, il y a vasodilatation des vaisseaux sanguins. Il semble aussi que ça ait un effet direct sur le moral de la personne. - Les deux premiers éléments entrainent des problèmes physiologiques en cascades : faible tension, manque d'énergie, déprime, douleurs articulaires, toux, maux de tête, éventuellement nausées, faible appétit, parfois éruptions cutanées, etc, etc... - Cet état est temporaire. Le taux de cortisol remonte naturellement au bout de quelques mois si on ne fait rien. Au bout de 2 à 4 mois, la situation revient à la normale. - Si les antirétroviraux ont l'air de marcher, c'est qu'en fait, ils augmentent le taux de cortisol. En réalité, loin d'être des médicaments high-tech, ce sont simplement des anti-inflammatoires mis sous un autre nom. - Concernant ce que sont les tests, ça ne fait pas vraiment partie de la théorie du cortisol. L'idée est que les tests ne sont pas spécifiques du tout. Ils réagissent à un peu tout ce qu'il y a dans le sérum sanguin. Donc, ils mesurent surtout la proportion de particules dans le sang. Cette proportion peut augmenter temporairement quand une personne prend des médicaments désagrégateurs de cellules comme des antibiotiques, des anti-inflammatoire à plus ou moins forte dose. Les vaccins peuvent aussi aboutir à ce résultat. Une situation de taux de cortisol faible peut aboutir à ce résultat vu qu'il peut y avoir relargage de débris cellulaire en grande quantité à cette occasion. Les tests photographient donc juste une situation temporaire et très peu significative en elle-même concernant l'évolution de l'état du patient dans le futur.
  10. Le problème, c'est quand même que la théorie du stress oxydatif telle qu'elle est actuellement implique une sorte d'augmentation progressive de ce stress chez les personnes séropositives. Peut-être pas la totalité d'entre eux, mais un grand nombre. La théorie du cortisol est plus optimiste sur le sujet, puisque la baisse du taux de cortisol est considérée comme temporaire : qu'elle soit provoquée par l'arrêt de la consommation de substances l'augmentant, ou qu'elle soit naturelle. Et c'est bien ce qu'on peut constater par exemple sur ceux qui arrêtent la trithérapie. Ils sont très mal pendant 2 à 4 mois (faiblesse, déprime, douleurs articulaires, toux, etc...). Puis, ils sont à nouveau bien. Alors que selon la théorie du stress oxydatif, ça devrait continuer à se dégrader. Par ailleurs, il y a plein d'autres produits autres que les arv qui permettent de remonter le taux de cd4 (tous les anti-inflammatoires). Je ne pense pas qu'on puisse dire que tous ces produits diminuent le stress oxydatif. Et puis, plus on augmente la dose de ces produits, plus au contraire, ils ont un effet de désagrégation des cellules (à part la cortisone a priori) et donc un effet négatif. Alors que s'ils avaient un effet essentiellement antioxydatif, ils devraient avoir un effet de plus en plus positif au fur et à mesure qu'on augmente les doses. Peut-être pas de façon infinie bien sûr. Mais on devrait pouvoir augmenter de 3 ou 4 fois les doses sans problème. Alors qu'avec ces médicaments, ça devient rapidement problématique. Mais bon, on dévie encore du sujet du topic. Je vais ouvrir un topic que je veux ouvrir d'ailleurs depuis un certain temps : stress oxydatif vs cortisol.
  11. aixur

    à Brume

    Bon, je vais continuer la conversation dans ce topic pour éviter la dispersion dans l'autre (ici). Ben, j'ai fait un gros article sur le cortisol et le sida dans sidasante (section médicaments). J'ai développé cette théorie aussi sur mon blog dans de nombreux articles. Je ne peux pas faire tellement plus. Par ailleurs, vu que la base est assez simple, je rappelle les fondements de ma théorie régulièrement. Donc, là encore, difficile de faire plus. Concernant le fait que j'ai une unique interprétation pour l'ensemble des problèmes de santé, je suis désolé, mais non. La théorie du cortisol est très féconde, et le cortisol est un élément de régulation majeur du corps. Donc, forcément, ça s'applique à de très nombreux problèmes. Et du coup, il est normal que j'ai écrit de nombreux articles sur le sujet. Mais c'est loin d'être mon unique interprétation pour tout. Je parles des antibiotiques, et des autres médicaments qui ont un effet désagrégateur de cellules. Je parle de la morphine. Mon interprétation du cancer recourt relativement peu au problème du cortisol. Pour la vache folle, je reprends les théories de Mark Purdey. Je parle aussi de l'excès de protéines. Etc, etc... Bref, même si le cortisol est un élément central de mon analyse, je ne me limite pas à lui. Par ailleurs, je sais reconnaitre quand ma théorie est insuffisante. Quand je ne connaissais encore que le problème des antibiotiques, il y avait plein de problèmes que je reconnaissais ne pas pouvoir être expliqués via ce problème. Concernant le cortisol et le diabète, je me suis par exemple limité à la remise en cause du seul diabète de type II parce que de ce que je voyais du type I, j'avais l'impression que ma théorie avait des insuffisances le concernant. Donc non, je ne suis pas un excité qui applique ses théories aveuglément à tout ce qui se présente. Et concernant, le sida, évidemment que je parle régulièrement du problème du cortisol, parce que c'est là aussi un élément majeur du problème (même encore plus qu'ailleurs). Les médicaments du sida augmentent tous le taux de cortisol et tout leur effet positif vient de là. Donc, forcément, dès qu'on me parle d'une personne qui a vu son état amélioré par les arv, je m'oriente automatiquement vers le problème du cortisol. Et avant tout prise d'arv, donc avant tout lien clair et net avec le problème du cortisol, comme de très nombreux états maladifs sont liés au problème du cortisol, forcément, je donne souvent un diagnostic incluant le problème. L'adresse de mon article sur le cortisol sur sidasante : http://www.sidasante.com/azt/tritherapie_e...orticoides.html
  12. Brume, Ma théorie sur ce que sont les arv (des médicaments qui augmentent le taux de cortisol) explique parfaitement l'effet Lazare. Donc, je ne vois pas ce qu'il y a de nouveau dans le fait que ton ami ait eu un effet lazare avec les arv. A moins bien sur de ne pas croire en ma théorie. Ce que je respecte. Mais bon, la dissidence est capable d'expliquer la chose. Ce n'est pas un mystère absolu qui la tiendrait en échec, la laisserait sans voix.
  13. Up pour que ce soit plus visible.
  14. En fait il y a deux éléments : 1) la trithérapie augmente artificiellement le taux de cd4 2) la tri augmente le taux de cortisol et protège donc de la survenue de maladies en fait liées à un taux de cortisol faible. Or, la plupart du temps, les symptômes de la pneumonie, ou de la tuberculose, ou du kaposi pulmonaire sont causés par un taux de cortisol faible. Donc, grâce aux médicaments, le non dissident prend du poids et ne risque pas de développer une toux. Donc, déjà, ce type de maladie a peu de chance d'être diagnostiquée. Par ailleurs, même si par hasard (autres causes pouvant entrainer des problèmes aux poumons), des symptômes de ce type arrivaient, les médecins risqueraient assez peu de faire un diagnostic de ce type. Ceci parce que le taux de cd4 reste normal. En plus, le non dissident prenant ses médicaments, il a une bonne "note de gueule". Le dissident n'est pas protégé artificiellement par la prise d'arv lui. Donc, il peut avoir des variations du niveau de cortisol. Ca arrive à tout le monde, même des gens sains. Et si le dissident a pris des arv pendant des années, forcément, ça n'aide pas. Donc, il peut y avoir à certains moments une perte de poids et une toux sèche ou grasse. Et comme dans ces cas là, le taux de cd4 va être bas et la charge "virale" élevée, le médecin va tout de suite penser à quelque chose de grave. Donc au choix : une pneumonie, une tuberculose, un kaposi pulmonaire. Va venir s'ajouter à ça l'inconscient moralisateur du médecin qui va lui faire penser que c'est normal d'attraper ce genre de maladie grave quand on est inconscient au point de refuser de prendre ses médicaments. Inconsciemment, il va être trop content de pouvoir montrer une fois de plus que les dissidents ont tort et que la médecine officielle a raison. Il va aussi s'enorgueillir de se positionner en spécialiste responsable face au patient inconscient. Grace à cet position mentale, il ne s'interrogera pas du tout sur le fait que le dissident est resté de longues années sans médicament, et même parfois avec un taux de cd4 assez bas, sans tomber malade du tout, ce qui pose quand même légèrement problème par rapport à la théorie officielle.
  15. Le taux de cortisol n'est effectivement pas à l'origine de toutes les maladies. Mais vu que c'est un élément central de régulation des grands équilibres physico-chimiques du corps, il est derrière quand même dans beaucoup de maladies (qui sont donc faussement attribuées à d'autres causes). Et en l'occurrence, c'est clairement la cause de la plupart des pneumonies/tuberculose/kaposi pulmonaires diagnostiqués chez les séropositifs. Or, comme ce sont ces maladies qui sont les principales causes de décès des dissidents, il est évident que la connaissance de ce problème est capital pour la dissidence du sida. C'est un élément complètement libérateur, puisqu'il annule tous les diagnostics de pneumonies/tuberculose/kaposi pulmonaires fait par l'orthodoxie et aurait donc permis d'éviter la mort des la plupart des dissidents.
  16. Non, Emery Taylor a été traité à la fin. Donc, il n'est pas resté sans rien faire. Il a pris un traitement. Il n'y a aucun dissident mort qui n'ait pas pris un traitement quelconque avant sa mort. Donc, ta position serait juste s'il y avait effectivement des cas de dissidents ayant refusé jusqu'au bout de prendre des médicaments. Là, tu pourrais dire que ce que je dis, c'est "nier la réalité en bloc". Mais ça n'a jamais été le cas. Quand on aura des cas de dissidents de ce genre, ton objection sera valable, mais pour le moment, non. Quant à la position de "ne pas tout nier en bloc", ben c'est exactement ce type d'attitude qui fait, selon moi que les dissidents continuent à mourir. Tous se disaient la même chose. Il faut être raisonnable et ne pas nier les autres maladies. Il ne faut pas tout nier en bloc. Seulement, en réalité, c'est ça qui est dangereux. Dans la situation actuelle d'un dissident qui a arrêté la trithérapie, c'est la position intermédiaire qui est risquée. Comme je l'ai dit dans le message précédent, tôt ou tard, le dissident en question aura un pépin de santé, et souvent ce sera un problème de toux lié à une faiblesse du taux de cortisol. Du coup, s'il se la joue raisonnable et ne cherche pas à aller plus loin dans la remise en cause, il acceptera le diagnostic de pneumonie/tuberculose/kaposi pulmonaire. Il prendra les médicaments adéquats. Et il aura un gros risque de mourir. Alors que s'il choisit l'attitude jusqu'au boutiste, fait un pas plus loin et ne prend pas les médicaments non plus pour la soi-disante pneumonie/tuberculose/kaposi pulmonaire, il survivra. Ce n'est même pas l'attitude seulement de respect de la dissidence dans sa forme actuelle qui peut sauver la personne, mais l'attitude d'être capable d'aller au delà de celle-ci. Donc, c'est l'attitude exactement inverse de l'attitude intermédiaire. La position d'entre-deux donne une fausse impression de sécurité, une impression de prendre le meilleur des deux mondes (et aussi de ne pas être dogmatique). Sauf que c'est une mauvaise impression. Parce que dans un cas, on a le choix entre une théorie fausse (la théorie officielle) et entre une théorie incomplète (la dissidence actuelle). Dans l'état actuel incomplet de la théorie dissidente, choisir une position intermédiaire, c'est mauvais. En fait, penser que faire un pas supplémentaire dans la remise en cause, c'est "nier en bloc la réalité des choses", c'est comme des types qui, au 15ème siècle, auraient parcouru l'océan atlantique, mais seraient retournés sur leur pas alors qu'ils étaient à seulement 100 km des cotes de l'Amérique. Parce qu'effectivement, ce qui est dommage, c'est que le bout du chemin n'est pas loin. Juste quelques remises en cause en plus, et c'est bon, il n'y aura plus de morts de ce genre parmi les dissidents. Pour donner un exemple de l'utilité de l'attitude sans concession en question, ce n'est pas en ayant une position entre-deux que j'ai compris qu'il ne fallait pas arrêter les arv d'un coup. C'est en allant plus loin dans la remise en cause et en comprenant que loin d'être des médicaments super high-tech, les antirétroviraux c'est de l'équivalent de la cortisone en fait. Et que c'est pour ça qu'il ne faut pas les arrêter d'un coup, parce que sinon, le taux de cortisol s'effondre. Si j'avais été un gentil gars bien conciliant, je me serais dit qu'il y avait du vrai dans ce que disait l'orthodoxie et qu'il fallait adopter une position intermédiaire entre l'orthodoxie et la dissidence. Et jamais je n'aurais compris de quoi il retournait vraiment. Et on ne saurait toujours pas qu'il faut arrêter de prendre les antirétroviraux progressivement, et pourquoi il y a ces effets en retour (ni le pourquoi des effets durant la prise). D'une façon plus générale, le problème, c'est que si on ne fait pas le pas supplémentaire en question vers une remise en cause plus profonde, c'est la fin de la dissidence dans sa forme actuelle à plus ou moins long terme. Parce qu'il va y avoir encore des dissidents qui vont mourir de cette façon. Et du coup, il va y avoir de plus en plus de dissidents qui vont se dire que : 1) il y a un truc qui fait que les séropositifs meurent avant l'heure ; 2) les tests reflètent ça et donc ils ont quand même une signification quant au déclin de la santé de la personne avant 12 ou 15 ans ; 3) les arv empêchent la santé de décliner et rallongent fortement la durée de vie par rapport à celle que la personne aurait eu sans eux. Il y a même déjà pas mal de dissidents qui tiennent plus ou moins ce discours. Donc, en fait, à terme, la dissidence tiendra le même discours que l'orthodoxie, le vih en moins (ou le vih tueur en moins, puisque le clan Duesberg accepte l'idée que le virus existe). D'où la nécessité d'aller plus loin dans la remise en cause. Sinon, demain, on en sera à une dissidence hyper light (et surtout complètement fausse).
  17. Eh oui, encore un dissident mort. Et il y en aura d'autres, tant qu'on n'aura pas compris qu'il faut aller plus loin dans la remise en cause et pas seulement se limiter au vih. Là, Karri Stokely est morte apparemment d'une pneumonie. Il y a quelques mois, c'était un autre dissident à qui on avait diagnostiqué un kaposi aux poumons. Tant que les dissidents n'auront pas compris que ces maladies aussi sont bidons, l'orthodoxie pourra les rattraper par ce biais là. Ca arrive à tout le monde d'avoir des périodes de toux prolongées, parce que c'est lié au taux de cortisol. Dans le cas des dissidents, l'orthodoxie saute immédiatement sur l'occasion pour donner un diagnostic de pneumonie, de tuberculose ou de kaposi pulmonaire. Et paf, à cause des médicaments prescris, le dissident meurt. Et l'orthodoxie a beau jeu de dire que les dissidents sont irresponsables, etc... Tant que les dissidents n'auront pas compris et accepté que la pneumonie, la tuberculose et le kaposi pulmonaire sont des maladies tout aussi bidon que le sida, ce genre de chose continuera d'arriver. Quand ils l'auront compris, ils attendront tranquillement sans rien faire que les symptômes passent. Et ils passeront. Et on arrêtera de voir des dissidents connus mourir.
  18. Il a juste mis la vidéo sur son site. Je ne vois pas en quoi il y a récupération outre mesure. La récupération, ce serait aller beaucoup plus loin que ça. Ca serait faire dire à De Harven qu'il soutient le mouvement de Soral. Ca serait monter un site dissident relié entièrement à Soral destiné à éclipser sidasante. Ca, ce serait de la récupération. Mais diffuser une vidéo, ça ne va pas bien loin. De toute façon, s'ils voulaient s'approprier la dissidence du sida, ça ne leur poserait aucun problème. Comme je l'ai dit plus haut, ils pourraient monter un site reprenant les thèses dissidentes. Ils peuvent le faire sans citer sidasante ou les figures de la dissidence. Comme les idées dissidentes n'appartiennent à personne, ça serait un jeu d'enfant pour eux de le faire. Et on ne pourrait rien dire. Donc, je ne crois pas qu'ils aient besoin d'avoir la bénédiction de De Harven ou de sidasante pour récupérer la dissidence s'ils voulaient vraiment le faire. Quant l'idée d'aider le FN en s'appropriant le discours des dissidents du sida, ne ne crois pas que la dissidence du sida soit tout à fait dans la ligne idéologique du FN (euphémisme). Donc, ça m'a l'air assez farfelu comme théorie. Et puis, si vraiment le FN avait voulu s'approprier le discours des dissidents, vu leurs moyens, là encore, ils auraient tout à fait pu le faire sans notre assentiment. Et dans ce cas, on aurait vu fleurir des articles pro dissidence sur les sites web reliés directement au FN. Ils ne l'auraient pas fait indirectement via le site de Soral. A priori, il n'y a eu aucun article de ce genre sur un site relié directement au FN. Donc, cette idée ne tient pas debout. Mais bon, même s'il était manifeste qu'ils chercheraient à s'approprier la dissidence, je n'irais pas leur interdire de mettre un lien vers sidasante. C'est un problème de liberté d'expression.
  19. J'ai reçu des mails m'enjoignant plus ou moins à demander aux administrateurs du site d'Egalité et Réconciliation de supprimer le lien qu'ils ont mis vers sidasante. Ceci parce que Soral serait un fasciste et qu'il faut se désolidariser de lui. Il est évidemment hors de question que je fasse une telle chose. Déjà, c'est ridicule, parce que tout site à un droit de citation. D'autre part, je pense personnellement que tout site à le droit de mettre les liens qu'il veut. C'est la liberté d'expression. Et c'est le coeur même du web et de l'accès libre à la connaissance. Donc, je crois que sur le coup, ce serions nous les fachos. Quant à se désolidariser publiquement de Soral ou d'Egalité et Réconciliation, je n'ai pas à le faire (ni les autres dissidents), puisqu'au départ, ni moi ni aucun dissident ne s'est solidarisé avec eux. Par ailleurs, ni Soral ni Egalité et Réconciliation n'ont cherché à s'approprier d'une façon ou d'une autre la dissidence du sida. Donc, les choses sont claires, il ne s'agit que d'un lien de gens qui visiblement apprécient le travail de la dissidence et qui ne demandent rien en retour. Les deux entités sont clairement séparées. Je ne vois donc pas où est le problème. Donc, je ne suis gêné en aucune façon du lien qui pointe vers sidasante, mais au contraire, je les remercie de nous faire de la publicité sans nous demander de faveurs en retour. Comme je remercierais le PS, l'UMP, le PC, les verts, le NPA ou le FN et tout autre parti ou mouvement politique s'ils mettaient un lien vers sidasante. Et puis, même si on se dit que tel parti est le diable incarné, ce n'est pas au moment où ils feraient quelque chose de bien (parler de la dissidence du sida) qu'il faudrait leur taper sur les doigts. Par ailleurs, d'un strict point de vue utilitaire, ce serait complètement stupide de faire interdire le lien. Il n'y a pas beaucoup de sites ayant une large audience qui mettent des liens vers sidasante. Donc, ça serait vraiment malin d'aller faire retirer le peu de liens qui pointent vers le site. Pendant qu'on y est, faisons aussi retirer le lien d'onnouscachetout et comme ça, ce sera bien, il ne restera quasiment plus aucun grand site pour mettre des liens vers nous (petit aparté au passage, je remercie chaleureusement les bénévoles qui mettent des liens vers le site sur les forums ou sur les blogs). Mais enfin, même si ça ne changeait rien à la fréquentation du site, je ne ferais pas quelque chose allant à l'encontre de la liberté d'expression. Le but de la dissidence est uniquement la survie et le bien-être des gens déclarés séropositifs et la fin de la théorie officielle du sida. Ce n'est pas un mouvement politique. Donc, les choses sont clairement définies et séparées. Mais je crois que tout le monde l'a bien pris comme ça et que ça ne pose de problème chez quasiment personne. Je crois même que le but de la dissidence est suffisamment clair et spécifique pour que des dissidents puissent se réclamer de tel ou tel mouvement politique sans que ça ne l'affecte. Tant qu'ils ne disent pas "la dissidence du sida est une émanation du parti communiste, socialiste, fn, vert, ump, etc... (mettez celui qui vous plait)", je ne vois pas où est le problème. D'ailleurs, ça serait tellement ridicule que ça ferait rire plutôt qu'autre chose. Par exemple, le fils de De Harven est apparemment à l'UMP et est tout de même un dissident. Et ça ne pose aucun problème. De même qu'on trouve des liens vers le site dans des articles écrits sur des sites plus ou moins d'extrême gauche. Et là encore ça ne pose aucun problème. Donc voilà, non seulement je ne demanderais pas la suppression du lien, mais au contraire, je les remercie de l'y avoir mis sans demande de contrepartie.
  20. En tout cas, c'est intéressant cette histoire de kaposi pulmonaire. Comme on ne parle plus trop du sarcome de kaposi, j'en était resté aux atteintes cutanées. Donc en fait, chez les séropositifs, il doit y avoir de nombreux cas qui sont des cas pulmonaires. Et en réalité, ces cas sont pour la plupart dus à la prise de drogues inhalées, genre poppers ou cocaïne, peut-être même la simple cigarette, etc... Ces produits agressent les poumons, et forcément, ça y laisse des traces. Du coup, quand un séropositif ayant des problèmes pulmonaires et ayant consommé ces produits se fait faire une radio, on risque de lui diagnostiquer une tuberculose ou un sarcome de kaposi pulmonaire. Comme on ne peut pas bien faire la différence au niveau de la radio, le médecin peut faire le diagnostic qu'il veut. Et il n'y a même pas besoin que la personne consomme ce genre de drogue au moment de la radio. Il suffit qu'il en ait consommé même 15 ou 20 ans avant pour qu'il y ait des lésions. C'est vrai que le médecin va probablement faire des prélèvements (biopsie) pour confirmer le diagnostic de sarcome de kaposi. Mais comme il y a vraiment des lésions, elles vont être prises pour des lésions causées par le sarcome, et le diagnostic va être confirmé. Et du coup, on peut se dire que pour l'orthodoxie, le kaposi pulmonaire, c'est bien pratique pour expliquer les problèmes respiratoires d'un séropositif ayant moins de 300 cd4 chez qui on n'a pas réussi à trouver le bacille de la tuberculose (ce qui est le cas ici). Si le médecin ne trouve pas de bacille de la tuberculose, ben pouf, c'est un sarcome de kaposi pulmonaire. Comme là, il n'y a pas besoin de trouver le germe, le diagnostic est à la convenance du médecin. Donc, dans tous les cas, le séropositif est baisé. Si on ne lui diagnostique pas la tuberculose, ce sera le sarcome de kaposi pulmonaire (ou éventuellement une pneumonie). Et du coup, il rentrera bien dans la case "sidéen ayant attrapé une maladie opportuniste caractéristique du sida". Et si c'est un séropositif dissident, l'orthodoxie aura beau jeu de crier à l'inconscience des dissidents et à leur responsabilité dans la mort du gars. Sauf qu'en faisant un diagnostic erroné, ce sont eux qui l'ont tué ; alors qu'il aurait pu être sauvé facilement.
  21. Apparemment, Emery Taylor avait les symptômes d'une baisse du taux de cortisol (amaigrissement, difficulté respiratoire...). Et il semble qu'il ait commencé de façon discontinue une trithérapie vers la fin. En cas d'amaigrissement, c'est dangereux de prendre un trithérapie, puisque ça peut provoquer une hypotension sévère aboutissant à une crise cardiaque (le fait de la prendre de façon discontinue multipliant les occasions de crise cardiaque). C'est probablement ce qui a du arriver. Et puis, son compagnon (Billy) a refusé de répondre quand Jonathan Barnett lui a demandé si Emery Taylor prenait des poppers. Ce qui laisse à penser que c'était bien le cas (il est possible qui lui aussi en consomme et qu'il ne veuille pas d'ennui avec la police, ou pas écorner une image de mec sportif, sain de corps et d'esprit, vis à vis de sa famille, ses amis, etc...). Ca expliquerait pourquoi il avait des lésions de type tuberculose ou sarcome de kaposi dans les poumons. Autre explication possible à son amaigrissement, ses difficultés respiratoire et ses douleurs cardiaques, peut-être qu'il prenait des produits de type opiacé. Comme ça fait maigrir (par absence de faim et problèmes de digestion) et donc que ça déshydrate, ça entraine une difficulté respiratoire. Et comme ça entraine une vasodilatation des vaisseaux sanguins, ça peut provoquer des douleurs cardiaques. Ca combiné avec la prise d'une trithérapie, ça peut amener à une crise cardiaque. Ca semble plutôt cette explication la bonne, puisque ses problèmes duraient depuis plus d'un an. Opiacé ne signifiant pas forcément drogue récréative d'ailleurs. Il y a plein de médicaments qui en contiennent (antitussifs, anti-douleurs, produits contre la diarrhée je crois, produits contre la tachycardie, etc...). Ce qui est possible, c'est qu'il y a un an, il ait eu des problèmes de toux ou de tachycardie ou d'autre chose qui ait amené son médecin à lui prescrire un produit contenant des opiacés, que ça ait entrainé les effets secondaires classiques de ce type de produit (donc, amaigrissement, vasodilatation, hypotension, détresse respiratoire, etc...). Si c'est bien ça, de toute façon, son destin était quasiment scellé. A cause des opiacés, il aurait maigri de plus en plus, aurait subi une hypotension de plus en plus sévère. Et soit il serait mort de ça, soit il serait mort comme il l'a probablement été, à savoir à cause d'une crise cardiaque entrainée par la prise d'un produit (ant-inflammatoire, antibiotique, chimio, cortisone, etc...) mobilisant soudainement beaucoup d'eau et de sang dans l'abdomen et créant donc une hypotension mortelle au niveau de la poitrine. Bref, il ne s'agit pas d'une mort due à un système immunitaire trop faible (donc au sida) ou à un sarcome de kaposi, mais encore une mort causée par les médicaments, comme à chaque fois.
  22. Tout à fait d'accord. Je ne crois pas non plus au sida. Mais bon, il y en a qui y croient encore sur le forum (mais pas au vih). D'où le titre du topic. Ce sont les différentes tendances de la dissidence.
  23. Oui, j'avais effectivement vu qu'il avait mis les liens. Mais je voulais mettre ça plus en valeur en faisant un topic dédié. A priori, c'est bien lui le traducteur. Il m'a écrit un mail avant de s'inscrire dans le forum me disant qu'il avait fait cette traduction.
  24. Excellente nouvelle. Passfred a sous titré la vidéo dissidente "HIV = AIDS fact or fraud". La liste des différente parties est disponible ici : http://www.dailymotion.com/user/PassFred/1 Première partie ici : http://www.dailymotion.com/video/xg8inp_vi...vostfr-1-7_tech Merci beaucoup à lui. C'est un gros boulot. Et de ce que j'en ai vu, c'est très bien fait.
  25. Merci boo. Et bonne année à tous.
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