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aixur

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Tout ce qui a été posté par aixur

  1. Pour en revenir à la genèse du sarcome de Kaposi, on peut remarquer que le nitrite d'amyle a été découvert en 1844 et commercialisé en 1867. Or, on s'en est servi pour traiter les angines de poitrine. Et comme par hasard, le sarcome de Kaposi a été identifié en 1872 (par le dermatologue autrichien Moritz Kohn Kapos). C'est à dire seulement 5 ans après le début de la commercialisation du nitrite d'amyle. Et on comprend pourquoi c'était les vieux qui étaient touchés par le sarcome en question. Comme l'angine de poitrine est une maladie de personnes de plus de 55/60 ans, c'est donc à des personnes de ces âges là qu'on donnait le nitrite d'amyle. Et en traitement journalier en plus. Du coup, c'est sur ces personnes qu'on a découvert en premier les problèmes de sarcome de Kaposi. Mais on a du faire l'amalgame avec les problèmes de grains de beauté des peuples méditerranéens afin de ne pas accuser le nitrite d'amyle et autres solvants utilisés pour le même usage (trinitrine, autrement appelée nitroglycérine) d'être responsables de ces problèmes. C'est CDM et Gos, du forum questioning aids qui ont compris le truc : http://forums.questioningaids.com/showthre...p?t=7142&page=6 PS : ce qui est possible, c'est que le nitrite d'amyle ait été utilisé au début, puis rapidement remplacé par la nitroglycérine vers 1879. En effet, le nitrite d'amyle est utilisé sous forme de vapeur. Du coup, son effet ne dure pas très longtemps. D'où la nécessité, pour un traitement de fond, de devoir en prendre régulièrement. Alors que la nitroglycérine semble avoir été disponible sous des formes ingérables. L'effet devait durer plus longtemps. Donc, lorsque la nitroglycérine a été disponible, probablement qu'on a abandonné relativement rapidement le nitrite d'amyle comme traitement de fond et qu'on a réservé son usage pour les périodes de crise (vu son effet rapide). Du coup, le sarcome de Kaposi a du voir son incidence diminuer rapidement dans les années 1880. Ce qui expliquerait que rapidement, on n'ait plus trop parlé de cette maladie et qu'on l'ait cantonnée aux méditerranéens âgés. Mais bon, c'est à vérifier bien sur.
  2. Effectivement, la quantité de matériel sur le sujet a l'air assez énorme, bien plus importante que ce qu'on a en français. Je vais essayer de lire tout ça.
  3. On peut se demander aussi pourquoi la quantité de sarcome de Kaposi a diminué depuis les années 90. Selon ce site, la quantité de sarcomes de Kaposi a diminué de 80 % depuis l'arrivée des trithérapies. Alors déjà, on a déclaré que le sarcome de Kaposi était causé par le virus HHV8 en 1994. Du coup, désormais, pour qu'une tumeur dans les alentours du nez, ou dans la bouche, ou que des problèmes aux poumons soient considérés comme un sarcome de Kaposi, il faut que le virus HHV8 soit détecté. Sinon, on dira qu'il s'agit d'une simple tumeur lambda. Or, apparemment, on trouverait le virus chez seulement 60 % des séropositifs. Donc, ça diminue de 40 % la probabilité qu'une tumeur de ce genre soit considérée comme un sarcome de Kaposi. Et comme avec les trithérapies, les risques de se faire diagnostiquer positif aux tests d'anticorps diminuent, le risque d'être positif au HHV8 doit encore diminuer. On notera d'ailleurs l'excellent timing entre la "découverte" du lien de causalité entre le HHV8 et le Sarcome de Kaposi et l'arrivée des trithérapies. 1994 ; c'est juste un ou deux ans avant l'arrivée des ARV. Excellent moyen de valider l'intérêt des trithérapies. Ensuite, l'utilisation intensive de poppers a du diminuer depuis les années 80 dans la communauté homo. En effet, la communauté est passée d'un état d'esprit du genre "il faut bruler sa vie par les deux bouts", "il faut s'éclater à fond", "vive l'hédonisme", "profitons à fond de la libération sexuelle", "la drogue te permets d'atteindre de nouveaux états de conscience" etc..., à une attitude beaucoup plus moralisante, responsable, cherchant la respectabilité, etc.... Le changement d'attitude est assez énorme. Désormais, la tendance est au gay bien intégré, de préférence en couple, qui pense et consomme responsable et qui fait attention à son corps. Du coup, il doit y avoir beaucoup moins (en proportion) de jeunes homos qui se défoncent complètement et régulièrement aux poppers. Supposons qu'il y en ait 50 % en moins qui ait une consommation intensive de poppers, eh bien ça diminue de 50 % les risques qu'il y ait des sarcomes de Kaposi dans la communauté homo. C'est vrai que l'usage des poppers s'est répandu dans le reste de la population. Mais ce n'est pas le même usage. C'est utilisé certainement beaucoup moins fréquemment. Or, c'est la fréquence et la quantité inhalée à chaque fois qui pose problème. Quelqu'un qui utilise les poppers une ou deux fois par mois pendant 1/2 heure ne risque pas grand chose. Le problème est pour ceux qui en consomment par exemple 1 fois par jour pendant 2 heures. L'usage conjoint de cocaïne ou autre drogue inhalée venant s'ajouter au risque de développer un sarcome de Kaposi bien sûr. Et c'est la même chose dans la communauté gay. Les gays consomment toujours des poppers, mais de façon moins intensive qu'avant. Ce qui change tout concernant le risque de survenue de sarcomes de Kaposi. Enfin, on doit utiliser des produits de substitution. A la fin des années 90 est arrivé le viagra (1998 aux USA et 1999 en Europe). Or, le viagra a les mêmes effets que les poppers (vasodilatation et détente des muscles). Sauf que, élément très important, il n'est pas inhalé. Du coup, tous les problèmes d'irritation directe du nez, de l'intérieur de la bouche, des lèvres et des poumons ne sont plus présents. Donc, la plupart des symptômes du sarcome de Kaposi ne sont pas présents avec le viagra. Bref, le viagra aussi a du diminuer l'utilisation de poppers chez les homos et donc diminuer la quantité de lésions de type sarcome de Kaposi. Ca doit être aussi un peu le cas dans la communauté hétéro bien sûr. Mais vu qu'ils avaient probablement une consommation très faible et peu intensive des poppers, l'impact de l'arrivée du viagra a du être infiniment moins important que chez les gays. Donc voilà. Si on a 40 % de sarcomes de Kaposi en moins à cause du lien avec le virus HHV8. Si on a 50 % de consommation intensive de poppers en moins à cause du changement de style de vie des homos, et si on a encore 20 ou 30 % en moins de consommation de poppers depuis l'arrivée du viagra et de ses dérivés, on arrive facilement à 80 % de sarcomes de Kaposi en moins. La baisse de la quantité de sarcome de Kaposi n'a donc pas grand chose à voir avec l'arrivée des trithérapies. A part le fait que ça diminue la probabilité de réagir positif au test d'anticorps du virus HHV8. Ce qui n'est pas négligeable mais pas essentiel.
  4. J'avais décelé un défaut dans mon message du 10 juin 2010 sur les 65 maladies réagissant aux anticorps anti-vih (enfin.., défaut si on cherche couper les cheveux en 4). C'est qu'il est possible que seul l'anticorps anti-vih réagisse aux antigènes des autres maladies. Les anticorps des 65 autres maladies peuvent éventuellement ne pas réagir aux antigènes des 65 autres maladies. Donc, ok pour que les anticorps anti-vih réagissent à la tuberculose, à la lèpre, à l'herpès, etc. Mais les anticorps de l'herpès ne réagissent pas forcément aux antigènes de la tuberculose et de la lèpre. Mais j'ai trouvé la solution. C'est en raisonnant sur le système clef/serrure que j'ai compris. Le problème de la multispécificté, c'est que ça veut dire soit qu'il y a plein de serrures à la surface de l'anticorps (chacune étant spécifique d'un seul antigène), soit qu'il n'y a qu'une serrure, mais qui s'adapte à plein de clefs différentes. Seulement, le problème du cas avec plein de serrures spécifiques, c'est que ça peut finir par faire beaucoup à la surface d'une petite cellule comme un anticorps. Et dans le cas présent, 65 serrures différentes, ça doit finir par être légèrement le bordel. Franchement, ça n'est pas crédible. Et puis, il y a un argument encore plus important s'opposant à ce système. On ne voit pas pourquoi un anticorps irait produire des serrures anti-autres-antigènes. Pourquoi un anticorps anti-vih irait produire 65 autre serrures ? Ca n'a aucun sens. Surtout que parmi ces serrures, il y en a pour des maladies assez peu courantes qu'en général une personne n'a pas rencontré. En tout cas, si ça le fait, les tests sont complètement remis en cause, puisqu'ils sont alors clairement non spécifiques. Et si c'est une seul serrure multispécifique, alors, on en revient bien à ce que j'ai dit. Ca veut dire que si un anticorps A réagit aussi à l'antigène B et C, alors l'anticorps B va réagir aussi aux antigènes A et C. Ceci parce que ça veut dire que la serrure de B est identique à celle de A et de C. Bien sur, on pourrait dire que la serrure A est une serrure peu perfectionnée qui accepte les clefs des antigène B et C. Tandis que la serrure (et donc l'anticorps) B est plus complexe et n'accepte pas forcément la clef A. Mais ça devient un peu trop tiré par les cheveux pour être crédible. Le petit problème, du coup, c'est que si les serrures sont identiques, ça veut dire que les clefs (sur les antigènes) le sont aussi. Ce qui la foutrait légèrement mal du coté de l'orthodoxie, puisque jusqu'à nouvel ordre, les clefs en question sont sensées être complètement différentes. En l’occurrence, les clefs sont supposées être les protubérances à la surface des virus, bactéries et autres antigènes. Or, on sait soi-disant identifier ces protubérances, notamment par leur poids. Pour le vih, c'est la gp120. Et bien sûr, pour d'autre, ce sont des protéines de poids différent. Donc, problème, comme des particules de poids moléculaire différents peuvent être identiques ? Donc, on en revient au problème soulevé dans le précédent message. Le fait que les anticorps anti-vih réagissent aux antigènes de 65 autres maladies remet totalement en cause tous les tests d'anticorps. Parce que ça veut dire que les anticorps spécifiques de chacune des 66 maladies réagissent en fait aux antigènes des 65 autres maladies. Et si c'est le cas pour 66 anticorps complètement pris au hasard, c'est forcément le cas pour tous les anticorps et donc tous les tests d'anticorps. Ca serait un peut trop extraordinaire que 66 anticorps pris complètement au hasard soient non spécifiques entre eux, mais que tous les autres anticorps de la création soient eux parfaitement spécifiques et se limitent à réagir à un seul antigène.
  5. Puisque ça arrive parfois, et que ça provoque évidemment des inquiétudes et des interrogations, discutons-en.
  6. Exactement jardinier, Sinon, on peut s'intéresser aussi au lien entre poppers et sarcome de kaposi (autre que pulmonaire, vu qu'on a déjà vu de quoi il retournait). Personnellement, j'en étais resté au fait qu'il s'agissait de petites tumeurs bénignes sur le visage. Mais quand on regarde sur Wikipédia, on a ça : "L'atteinte muqueuse est observée dans plus de 50 % des cas, buccopharyngée (palatine, gingivale, labiale, jugale, linguale, amygdalienne), ano-génitale ou oculaire". Bref, on s'aperçoit que ça atteint, comme par hasard une fois de plus : l'intérieur de la bouche, les lèvres, les yeux, l'anus ou les voies génitale. Et avec les photos qu'on peut voir sur Google, on voit aussi des atteintes au nez. Et j'ai lu par ailleurs qu'on pouvait en trouver aussi sur les zones de l'avant-bras ou des mollets (donc, mains et pieds inclus). Or, une fois de plus, ça colle très bien avec l'usage des poppers, qui agressent le nez, les yeux, l'intérieur de la bouche, les lèvres et éventuellement l'anus (via le mécanisme évoqué plus haut dans le topic). Donc, il est clair qu'il y a un lien entre poppers et sarcome de kaposi. Au passage, quand on lit l'historique de la maladie, on a comme l'impression qu'il y a eu redéfinition des symptômes spécialement pour l'ère sida. En effet, avant, il s'agissait de tumeurs sur le visage (éventuellement sur les mains) concernant essentiellement les peaux méditerranéennes, ou africaines. Et ça, chez des personnes âgées. En fait, il s'agissait surtout de gros grains de beautés un peu envahissants qu'on peut trouver sur les peaux méditerranéennes. Rien de bien extraordinaire. Et ça n'était pas considéré comme malin et donc dangereux. De simples mélanomes en fait, pour l'essentiel. Mais tout d'un coup, à partir des années 80, on y inclut les yeux, l'intérieur de la bouche, plus ou moins les lèvres, les poumons, l'anus et les organes génitaux. Et les formes les plus fréquentes sont celles à la bouche, aux lèvres, au yeux, au nez, aux poumons et aux voies génito-anales. Tiens donc, exactement ce qui correspond à l'usage de poppers. Du coup, il est possible qu'on ait modifié la description de la maladie pour rendre plus crédible le sida. Si une maladie apparemment rare (le nom était quasiment inconnue du grand public jusque là), et touchant une toute autre catégorie de population se mettait à toucher en masse une autre catégorie de population, dans l'esprit des gens, c'est forcément que la nouvelle maladie qu'était le sida avait une vraie réalité. Et aussi une vraie spécificité. Vu qu'aucune autre maladie ne faisait ça, c'est forcément que le sida était une maladie nouvelle et bien particulière.
  7. Merci pour l'info, Eh ouai. C'était des tests bidons. Et c'est normal, parce que tous les tests d'anticorps sont bidons. Tout simplement parce qu'il n'y a pas de système immunitaire et donc pas de système clef/serrure. Il y a juste un système de collecte des déchets. Le concept de système immunitaire nécessite un niveau d'intelligence, de réactivité, de capacité à identifier une menace, etc.., de la part du corps un peu trop extraordinaires pour être possible. Le corps est bien fait, mais il ne faut pas lui imaginer une complexité plus grande qu'il n'est capable d'avoir. Un système lymphatique parallèle au système sanguin capable de collecter les déchets et ensuite de les évacuer, c'est déjà très fort. Quant aux microbes, ils ne peuvent pas se développer dans le corps. Pour se développer, il leur faut un terrain de ph acide. Or, les chairs ont un ph basique. Le sang est acide. Mais le flux empêche les microbes de se développer. En tout cas, j'aimerais bien voir les estimations de spécificité et de sensibilité concernant les tests de tuberculose en question. Il est bien possible qu'ils aient dit qu'ils étaient spécifiques et sensibles à 99,99 % et que tout allait donc parfaitement dans le meilleur des mondes. Cela dit, j'aime bien le concept d'anticorps multispécifiques. Ca veut dire qu'il y a plusieurs type de de serrures sur ces anticorps ? Ca doit finir par être un peu le bordel à la surface d'un anticorps de ce type.
  8. Effectivement. A mon avis, l'AZT n'est rien d'autre qu'un produit de type antibiotique. Du coup, ça désagrège les cellules que ça rencontre. Donc, pris à hautes doses, sur un temps assez long, ça va créer des hémorragies. Et ça spécialement là où il y a des petits vaisseaux sanguins. Ca ne va pas forcément poser énormément de problèmes là où il y a des muscles par exemple, puisque ceux-ci se réparent facilement. Mais dans les endroits fragiles ou/et qui se réparent mal, comme les poumons, les yeux, le cerveaux, les oreilles, ça va poser problème. D'où des AVC, des atteintes oculaires, des pertes d'audition, etc.. Surtout qu'en plus, comme ça augmente le taux de cortisol, ça provoque une hypertension. Ce qui va être mauvais dans le cas des yeux. C'est un peu le même problème finalement qu'avec les poppers (hypertension), mais via une cause différente.
  9. Continuons dans la liste des signes cliniques du sida de Wikipédia : Dans la liste des manifestations neurologiques, on trouve : Les atteintes cérébrale focales : selon Wikipédia, "elles peuvent se manifester par des céphalées, une atteinte motrice ou sensitive, des convulsions, une cécité, des troubles de la personnalité, une confusion, une désorientation - voire un coma". Or, les poppers engendrent justement des céphalées, éventuellement une cécité, de la confusion, désorientation, coma, etc... - Les encéphalites : idem - Les méningites : "Le syndrome méningé est souvent discret, avec souvent des céphalées intenses, caractéristiques quand elles sont frontaux-orbitaires et associées à des nausées et à des troubles de la vision" Donc, là encore, même chose. Ca ressemble tout à fait aux symptômes qu'on peut obtenir avec les poppers. - Les rétinites : surprise, on retrouve à nouveau des atteintes aux yeux. Selon Wikipédia : "Près de 70 % des patients atteints de SIDA présentent des nodules dysoriques ou nodules cotonneux à l'examen du Fond d'œil, mais la plupart n'ont pas d'atteinte de la vision." et "La rétinite à Cytomégalovirus (CMV) est la plus fréquente". - Dans la catégorie atteintes pulmonaires, on trouve un symptôme qu'a judicieusement évoqué jardinier, les sinusites : et bien sûr, là encore, les poppers sont des très bon candidats alternatifs à ce type de symptôme. Comme quoi la compréhension du mode d'action des poppers et de ses effets secondaires est très féconde pour comprendre l'arnaque des soi-disant symptômes du sida. En fait, la liste des symptômes du sida est à 90 % une liste des symptômes qu'on peut avoir en consommant des poppers (et autres solvants), ou des antibiotiques.
  10. Bien sûr, comme ces problèmes sont considérés par les médecins comme fréquents chez les homo, ils vont aussi avoir tendance à diminuer leurs exigences et à faire plus facilement un diagnostic alors que le symptômes sont assez limités. Ce qui ouvre effectivement la voie à d'autres causes possibles. Un gay séropo qui prend des médicaments contre la migraine va pouvoir présenter des symptômes de type zona. En effet, comme ces médicaments entrainent un effet en retour, la personne va avoir des migraines à répétition. Et parmi celles-ci, il pourra y avoir des migraines oculaires. Vu que le gars est homo et séropo, il y aura un risque que le médecin lui fasse un diagnostic de zona oculaire. De la même façon, les migraines à répétition lui feront rechercher une toxoplasmose. Si le gars en question à la lange un peu blanche parce qu'il mange trop de sucre, ou fume, etc.., le médecin risque de lui faire un diagnostic de candidose buccale. J'ai remarqué que les aliments à pâte assez pulvérulente du genre gâteaux secs, viennoiseries, cake, etc.., ou les amuses-gueule d’apéritif assez salés peuvent irriter la bouche et causer parfois des aphtes. Pas souvent, mais disons 2 ou 3 par an. Ben, si c'est chez un gay séropositif (qui aura eu la malchance d'en avoir 2 ou 3 en peu de temps), le médecin pourra éventuellement dire que c'est un problème lié au sida. Donc oui, tous les cas ne seront pas à mettre sur le dos des poppers. Mais pour les cas plus spectaculaires, ça sera plus souvent le cas.
  11. Bien sur qu'on peut trouver ces symptômes par ailleurs. Et bien sur qu'il y a d'autres causes. Mais ces symptômes sont beaucoup plus fréquents chez les gays (surtout ceux qui sont amateurs de fêtes non stop, de parties fines et de relations sexuelles très fréquentes avec partenaires multiples). Donc, il faut se demander pourquoi. Et les poppers, vu la fréquence de leur usage chez les gays et vu leurs effets sont de bons candidats. Si ces symptômes peuvent être engendrés par 10 causes différentes, mais que d'habitude, ça entraine les effets en question chez seulement 0,5 % de la population. Et que dans un segment particulier de la population, on retrouve ces symptômes chez 20 % des gens (chiffre complètement au pif), on peut se dire qu'il y a éventuellement une (ou deux ou trois) des dix causes qui se retrouve particulièrement souvent dans cette population. Concernant la gingivite, là encore, bien sûr qu'il y a d'autres causes possibles (alimentation par exemple). Mais on peut penser que dans le cas du sida, il ne s'agit pas de la gingivite de monsieur tout le monde. Ca doit être des gingivites plus avancées. Et ça, c'est déjà beaucoup plus rare. Idem pour la candidose buccale. Ca ne doit pas être la langue légèrement blanche de la personne qui mange trop de sucre. Ca doit là encore être souvent plus spectaculaire. Pour la vision, non. Ca fait longtemps qu'on dit que ça peut avoir un effet sur l'oeil pendant assez longtemps, voir un effet permanent. Et récemment, il y a eu pas mal de nouveaux articles pour souligner les dangers des poppers sur l'oeil (ici, et ici par exemple). Mais de toute façon, ici, je ne parlais pas d'atteintes irréversibles de l'oeil, mais de symptômes de type zona oculaire. Or, on sait que les poppers peuvent augmenter la pression interne de l'oeil et donc, provoquer des symptômes de type zona. Alors bien sûr, les symptômes disparaissent au bout de quelques heures à une journée. Mais si la personne en prend fréquemment, ça sera présent régulièrement. Et il n'y a pas besoin que ça soit présent au moment ou la personne se fait examiner par le médecin. Il suffit qu'elle dise que ça lui arrive fréquemment depuis quelques temps. Et si elle est séropositive, le médecin pourra faire un diagnostic de zona. Surtout que dans les symptômes du zona, il est dit qu'il peut y avoir des atteintes cutanées au niveau du nez. Et ça, c'est bien un symptôme caractéristique des poppers. Sinon, effectivement, on peut penser que pas mal de problèmes pulmonaires sont liés à l'usage de poppers. Mais ils vont être mis sur le compte de microbes pathogènes. Je me suis limité au kaposi pulmonaire, mais on peut tout à fait généraliser à d'autres maladies pulmonaires. Pour en revenir au fait qu'on peut trouver ces symptômes par ailleurs, il faut savoir que par exemple les étudiants en médecine s'amusaient à sniffer de l'éther dés 1830. Les "éther parties" étaient assez populaires à l'époque. Donc, l'usage de solvants ayant ce type d'effets ne remonte pas à hier. Et c'était répandu dans toute la population (Maupassant sniffait de l'éther). Donc, effectivement, ces symptômes existaient déjà avant la propagation de l'usage des poppers. Sauf que des produits similaires aux poppers existaient eux aussi déjà avant. Ca ne veut pas dire qu'il n'y a pas d'autres causes possible. Ca veut dire qu'on a trouvé une très bonne source de cas. Je dirais que ça pourrais facilement expliquer au moins 50 % des cas des maladies cutanées en question concernant les homo et certains drogués qui sniffent des solvants.
  12. Ah, et en continuant mes recherches sur le sujet, je suis tombé sur la page Wikipédia des signes cliniques du sida. Beaucoup font parti des "manifestations cutanéo-muqueuses". Parmi celles-ci, on en trouve plein qu'on peut relier en fait à la prise de poppers. C'est le cas de : La dermite séborrhéique : selon Wikipédia, "elle se traduit par une desquamation sur fond érythrosique parfois limitée au nez, front, cuir chevelu". Le poppers entraine des dermites au nez. Et bien sur, ça doit pouvoir s'étendre au front. Herpès buccal : même chose, les effets des poppers peuvent atteindre les lèvres et la langue. Aphtes : idem Candidoses buccales : idem Molluscum contagiosum : selon Wikipédia : "Il se traduit par une papule de 5 mm de diamètre ombiliquée, couleur peau saine, donnant l'impression d'une lentille posée sur la peau, localisée au visage". Là encore, selon l'emplacement, ça peut être en fait un effet des poppers. La leucoplasie chevelue serait spécifique du VIH : selon Wikipédia "il s'agit d'excroissances blanches striées, sur le bord latéral de la langue". Donc, là aussi, les poppers peuvent parfaitement être incriminés. Zona : le zona ophtalmique touche, comme son nom l'indique l'oeil. Donc, vu les effets des poppers sur les yeux, on peut là encore incriminer les poppers au lieu d'un microbe. La gingivite récidivante : même chose Le sarcome de Kaposi : celui se trouvant au niveau du visage. Bon, ça c'est connu depuis longtemps par la dissidence. Sinon, on a vu qu'il était possible que des lésion soient créées par l'utilisation de poppers et de lubrifiants lors de la sodomie. Du coup, il est possible que les maladies suivantes (toujours dans la catégorie cutanéo-muqueuses) soient en fait causées par ça. Ca concerne : Candidoses péri-anales Herpès péri anal Les infections à papillomavirus situées sur le canal anal Les cancers ano-génitaux Et on comprend du coup pourquoi les homo sont si touchés par ces maladies (particulièrement ceux qui sont des hard-fêtards). Donc, l'utilisation des poppers est carrément dangereuse indirectement, puisque si on se fait diagnostiquer une de ces maladies et qu'on ne s'est pas encore fait tester pour le vih, le médecin risque de vous pousser à le faire. Et si on est déjà séropositif, qu'on a des chiffres bas et qu'on ne prend pas ses médicaments, le médecin risque de faire un diagnostic de phase terminale.
  13. Au passage, je pense que de très nombreux cas de kaposi pulmonaires sont en fait des cas de gens ayant consommé des poppers ou autres solvants. Vu l'effet des poppers sur le nez, il est évident que ça agresse aussi les poumons. Ensuite, il suffit qu'on fasse une radio, et si on a éliminé la possibilité d'une pneumonie ou d'une tuberculose, on conclura à un kaposi pulmonaire. Chez un dissident qui ne prend pas d'arv, en cas de problème de toux, on pourra faire ce diagnostic. Terrorisé, celui-ci prendra un traitement. Et s'il n'a pas de bol, le traitement le tuera. Et ensuite, on dira qu'il est mort du sida.
  14. En cherchant des infos sur le sujet, j'ai constaté que pas mal de gens ne comprennent pas trop en quoi consistent les risques immédiats des poppers. Donc, je vais en parler ici, au cas où quelqu'un tomberait sur cette page en cherchant des infos sur les poppers. Le danger immédiat des poppers vient de leur effet de vasodilatation des vaisseaux sanguins et aussi de la détente des muscles. Le problème de la vasodilatation, c'est que ça entraine une hypotension sanguine. Le sang circule alors moins vite à vitesse de battements de coeur égale, et il faut que le coeur compense en battant plus vite. Donc, si la vasodilatation est trop importante, le coeur est obligé de compenser au delà de ses capacités. Et au bout d'un moment, il finit par ne plus pouvoir continuer à battre aussi vite et la personne meure par manque d'oxygénation du corps. C'est pour ça qu'on préconise de ne surtout pas prendre de poppers avec en plus de l'alcool. Même chose avec le viagra. Comme ces 2 autres produits sont aussi des vasodilatateurs, il y a risque que la vasodilatation devienne trop importante et qu'il y ait hypotension mortelle. C'est valable pour tous les autres produits vasodilatateurs : éther, morphine, héroïne, etc... C'est aussi pour ça qu'on préconise au gens qui ont des problèmes cardiaques de ne pas prendre ce genre de produits. C'est aussi pour ça qu'il vaut mieux ne pas prendre un gros repas avant de consommer des poppers. Comme un repas copieux entraine un gros afflux de sang au niveau du ventre (pour la digestion), il y en a moins pour le reste du corps. On est en état d'hypotension. C'est pour ça qu'on est fatigué et qu'on a envie de s'allonger après un repas de ce genre. Donc, aller prendre un vasodilatateur comme les poppers juste après, ou même quelques heures après est dangereux. L'effet de détente des muscles pose un peu le même genre de problème au niveau de la circulation sanguine. Le retour du sang vers le coeur ne dépend pas du coeur lui-même. Ca se fait par contraction des muscles qui sont autour des veines. Seulement, si les muscles sont détendus, forcément, le sang va revenir moins vite vers le coeur. Donc, il y a risque que le retour du sang vers le coeur ne soit pas assez rapide. Du coup, on est face au même problème. Le coeur n'arrive pas à renvoyer assez de sang dans le corps et il y a risque de mort par asphyxie. Il est possible aussi que le coeur, par manque d'apport de sang se mette à battre plus ou moins dans le vide. Du coup, le coeur va se mettre à battre d'une façon anarchique, ce qui peut conduire là encore à la mort parce que le coeur n'arrive plus à faire circuler le sang assez rapidement. Au passage, on comprend pourquoi il ne faut pas manger trop salé pour éviter de diminuer l'effet des poppers. Comme le sel a un effet de vasoconstriction des vaisseaux sanguins, ça s'oppose à l'effet de vasodilatation des poppers. On comprend aussi pourquoi il ne faut pas manger trop gras. Comme apparemment ça réagit avec les produits gras, la présence d'une grande quantité de lipides va faire que les poppers vont réagir avec les graisses présentes dans le sang et moins avec les vaisseaux sanguins. Donc, il y aura un effet moindre de vasodilatation sanguine et de détente des muscles. On comprend aussi quel est l'intérêt du produit pour les homo et pourquoi c'est plutôt utilisé par eux. Comme ça détend les muscles, ça rend plus facile la pénétration anale. Et comme ça entraine une vasodilatation des vaisseaux sanguins, peut-être que ça rend plus sensible les parois de l'anus, ce qui augmenterait alors le plaisir lors de la sodomie. Par contre, pour un jeune hétéro, ça n'a pas tellement d'intérêt, puisque le sexe masculin est un organe érectile. Il y a un afflux naturel de sang dans le sexe masculin lors de l'érection. Donc, un jeune hétéro n'a pas besoin de poppers pour augmenter le plaisir grâce à une vasodilatation des vaisseaux de son sexe, puisqu'il sont déjà dilatés naturellement. Par contre, pour un hétéro vieux, ça peut avoir un intérêt, puisque ça augmente l'érection (comme le viagra). Peut-être que ça pourrait augmenter le plaisir chez une femme via vasodilatation des veines du vagin. Mais par contre, il n'y en a pas besoin pour introduire une détente des muscles du vagin, vu que c'est un organe qui est naturellement fait pour accueillir le sexe masculin. Donc, il n'y aurait éventuellement que le coté vasodilatation qui pourrait éventuellement avoir un intérêt pour une femme. A voir.
  15. On peut penser aussi que les poppers ont une influence sur l'apparition de lésions au niveau de l'anus lors d'une pénétration anale. Comme ça entraine une vasodilatation des vaisseaux sanguins, ceux-ci étant gonflés sont plus fragiles. Du coup, la sodomie faite à ce moment là aurait tendance à esquinter les parois de l'anus. On peut penser que l'usage de lubrifiants doit aussi fragiliser les parois. Ca doit les empêcher de respirer (à cause de la matière huileuse qu'il y a dedans). Et du coup, à moyen terme, ça doit les fragiliser. Du coup, on peut penser qu'un certains nombre de MST qui sont diagnostiquées via des lésions au niveau de l'anus sont en fait de simples lésions provoquées par l'usage de poppers et de lubrifiants (et de la sodomie bien sûr). C'est le cas de l’herpès génital, des condylomes génitaux et de certains cas de chlamydia. En fait, ces problèmes n'ont rien à voir avec des microbes pathogènes. Et du coup, on comprend pourquoi la communauté homo est particulièrement touchée par les MST. Ca explique aussi l'apparition d’hémorroïdes. On peut aussi penser que l'herpès buccal a à voir avec les poppers. C'est vrai que les poppers ont tendance à irriter plutôt la zone autour du nez. Mais la bouche n'est pas loin. Alors il est possible que les irritations aillent jusqu'au niveau de la bouche et soient comptabilisées comme de l’herpès buccal. On peut se demander aussi si ça n'a pas à voir avec certaines MST diagnostiquées cette fois via des lésions sur le sexe. En fait, tout dépend cette fois de la durée d'utilisation des poppers. Ce qu'il y a, c'est que si on garde le sexe en érection pendant trop longtemps, les cellules finissent par être mal irriguées, et des lésions peuvent apparaitre. Donc, si une personne prend des poppers pendant trop longtemps, vu que ça améliore l'érection, il se peut que ce genre de phénomène survienne. Et ça sera alors diagnostiqué comme mst.
  16. Déjà, concernant l'effet agressif des poppers sur les chairs, les tenants du stress oxydatifs mettent en avant l'effet oxydant du produit. C'est possible. Mais je pense qu'on peut surtout mettre en avant le fait que ce soit sous forme de solvant. Les solvants sont généralement agressifs pour la peau. Donc, ce n'est probablement pas la molécule en elle-même qui pose problème, mais l'utilisation sous forme de solvant. L'ether par exemple, est lui aussi agressif pour la peau. Mais du coup, concernant le lien avec la séropositivité, on peut se faire la réflexion suivante : Peut-être bien que ça a un effet dissolvant sur les particules de la peau. Donc, la partie qui arrive dans le sang joue peut-être un effet proche de celui des antibiotiques. Peut-être que ça dissout les particules qui se trouvent dans le sang. Ce qui expliquerait pourquoi les gays, qui sont grands consommateurs de ce genre de produits réagissent souvent positif aux tests vih. Alors, est-ce que l'effet est aussi grand ou moins grand que l'effet des antibiotiques ? A priori, je dirais que ça doit être plus faible. Et puis, vu que les solvants s'attaquent plutôt aux graisses, ça doit dissoudre plutôt les graisses dans l'organisme que les protéines. Mais, bon, le principe reste valable. Probablement que ça doit augmenter la quantité de particules (via dissolution) et que ça favorise la séropositivité. A voir... D'ailleurs, il parait que dans les notices de tous les médicaments de type viagra, il est indiqué qu'il ne faut pas manger trop gras. On peut penser que c'est parce que ces médicaments, qui sont tous des vasodilatateurs, agissent tous comme les poppers et ont un pouvoir dissolvant sur les graisses. Du coup, manger trop gras diminuerait l'efficacité de ces produits à cause de la fixation de ceux-ci sur les particules de graisse. Il y aurait alors moins de produit pour agir sur les parois veineuses et donc un moins grand pouvoir de vasodilatation. Il est également dit qu'il ne faut pas manger trop de sel. Ce qui est logique, vu que le sel a un effet hypertenseur (donc, ça a un effet vasoconstricteur). Du coup, comme l'effet de ces produits est basé sur la vasodilatation, ça limiterait l'effet en question. C'est vrai que l'alcool a aussi un pouvoir de vasodilatation. Donc, ça devrait avoir un effet aussi sur l'érection. Mais comme ça entraine généralement une mobilisation de sang dans le ventre, celle-ci doit limiter l'apport de sang au sexe. Du coup, on ne constate pas de pouvoir d'augmentation de l'érection. Aixur
  17. @Rebayima, Ben, l'avis du médecin on s'en fout complètement. C'est le patient qui décide jusqu'à nouvel ordre. Donc, si le patient a envi d'arrêter, le médecin n'a pas son mot à dire. Et s'il a envi de recommencer, le médecin est obligé de le soigner. Donc, je ne vois pas ou est le problème.
  18. Pas d'accord. Je pense qu'il ne faut pas empêcher un dissident qui est influençable (par le discours de l'orthodoxie), de reprendre une trithérapie si ses chiffres sont bas et qu'on lui a diagnostiqué une maladie opportuniste. Ceci parce que de toute façon, à un moment ou a un autre, il aura trop peur et il retournera dans les filets de l'orthodoxie. Mais il le fera au pire moment, ce qui pourra conduire à sa mise à mort par la médecine. Mais on peut tout à fait et on doit conseiller aux personnes sous traitement de l'arrêter. Surtout maintenant qu'on a compris le truc et qu'on sait qu'il faut l'arrêter progressivement pour limiter le plus possible l'effet en retour. La plupart des gens qui ont arrêté le traitement puis l'ont repris ont eu une vacance du traitement de 7 ou 8 ans. Leur corps a évité les effets très délétères des arv sur leur foie et sur le reste de leur corps pendant 7 ou 8 ans. C'est donc un bilan très positif. Par contre, effectivement, le problème, c'est que la médecine va chercher à leur remettre le grappin dessus au moindre pépin de santé (en leur faisant croire qu'il s'agit d'une maladie grave et que leur dernière heure va arriver dans très peu de temps) et que la plupart des gens vont succomber à cette influence. C'est à ce moment-là que les dissidents meurent, tués par la prise conjointe d'arv, d'antibiotiques et souvent aussi de morphine (dans les dernières semaines). En fait, ce problème touche même la plupart des dissidents endurcis, puisqu'ils croient encore au reste de la médecine officiel. Donc, même eux finissent par craquer ; et là, à un moment encore pire que les autres. Donc, il faut conseiller à ces personnes la chose suivante : prendre le traitement contre la maladie grave, et seulement après, reprendre une trithérapie pendant disons un an, et l'arrêter à nouveau. "Seulement après", parce que la prise en même temps d'un traitement antibiotique et de la trithérapie peut être mortel. Bref, il faut essayer de négocier le mieux possible ce passage délicat. Mais d'une façon générale, je pense qu'il faut aller plus loin et remettre plus en cause la médecine ; afin de mettre fin à la peur des maladies opportunistes. En clair, comprendre que la tuberculose c'est bidon, que la pneumonie, c'est bidon, le kaposi pulmonaire idem, la toxoplasmose pareil, etc... C'est surtout comme ça qu'on passera ce point délicat de l'abandon de la trithérapie. Mais bon, comme personne n'ose aller plus loin dans la remise en cause de la médecine, c'est pas gagné.
  19. Pourtant, il y a toujours des instituts de beauté avec des lampes à bronzer. Il y en a même qui ne font que ça. Donc, je n'ai pas l'impression que ça ait disparu.
  20. aixur

    à Brume

    Sauf qu'après, on fait la numération avec un appareil de cytométrie de flux qui utilise un laser. Cet appareil est capable de mesurer la taille des particules. Donc, on tient compte aussi de la taille.
  21. aixur

    à Brume

    Si, dans ta liste, je vois cinq éléments le faisant : Les capsules d'ail La spiruline L'echinacéa L'aloé vera L'extrait de pépins de pamplemousse Ce qui pourrait expliquer qu'elle n'ait pas eu de phase d'effet en retour quand elle a arrêté de prendre les arv. Ca pourrait expliquer aussi ses chiffres bas. Tout dépend de la dose de produits absorbée. Si elle est suffisamment élevé, on obtient un effet de désagrégtion des cellules. Du coup, il y a moins de grosse particules dans le sang et plus de petites. Or, le test de cd4 mesure en fait la quantité de grosses particules quel qu'elles soient. Et la charge virale mesure la quantité de petites particules, là encore sans spécificité. Donc, avec une dose suffisamment élevée de ce genre de produits, le taux de cd4 va être bas et la charge virale élevée. Et du coup, concernant ses AIT, il se pourrait qu'il s'agisse en fait d'une hémorragie. En effet, si on arrive à la dose où il y a désagrégation des particules, ça se met à attaquer les vaisseaux sanguins, ce qui peut provoquer une AIT. Ou alors, il peut y avoir eu variation dans le dosage. Et du coup, il se peut qu'à un moment où le dosage était plus faible, et où l'effet de type taux de cortisol élevé prédominait, il y ait eu formation de caillots. Et ensuite, les caillots se seraient détachées à d'autres occasions. Mais vu la quantité de produits, je pencherais désormais plutôt vers l'hémorragie et pas le caillot. Du coup, à mon avis, tant qu'elle prendra ces produits, elle risquera d'avoir de nouveaux AIT. Et si elle prend du kardégic en même temps, alors là, le risque est encore plus grand. Le problème, c'est que tout dépend de savoir si le problème vient d'un caillot où d'une hémorragie. Si le problème vient d'une hémorragie, prendre ces produits plus le kardégic, voir même le kardégic tout seul est dangereux. Si c'est un caillot, je conseille de ne prendre que le kardégic et d'arrêter les autres produits. Mais bon, je pense maintenant que ça vient plutôt d'une hémorragie.
  22. aixur

    à Brume

    Et quels produits naturels prend-elle ? Je pose cette question, parce que j'ai pu constater que certains produits présentés comme entièrement naturels et inoffensifs ont en fait une action augmentant le taux de cortisol. Or, c'est important. Parce que si jamais il s'avère qu'elle prend des produits qui augmentent le taux de cortisol, alors le problème vient probablement de là. Et surtout, ça veut dire que ça risque de recommencer. D'où la nécessité de bien chercher si au quotidien, elle prend un produit de ce genre.
  23. aixur

    à Brume

    Il est possible que les AIT soient purement accidentels. Mais il est possible aussi que ce soit du à un taux élevé de cortisol. Parce qu'un taux élevé de cortisol entraine une vasoconstriction. Du coup, comme le bas des jambes est souvent moins bien irrigué, des caillots peuvent s'y créer. Et ensuite, ils peuvent s'en détacher, aller se coincer ailleurs et provoquer des crises cardiaques, des avc, des ait, ou des embolies pulmonaires. Donc, la question est : a-t-elle pris ou prend-elle des médicaments autres que les arv ? Et a-t-elle pris ou prend-elle des médecines douces comme des huiles essentielles ? Prend-elle la pilule ou des hormones ? C'est important, parce que si le problème vient de la prise de substances augmentant le taux de cortisol, et que la consommation n'est pas arrêtée, le problème risque de revenir. Une autre question : ou se situent ses esquarres ? Parce que si on ne lui a pas donné de médicaments du style opiacé, ça n'est pas très normal qu'elle en ait. Donc, ça pourrait signifier qu'elle a un problème vasculaire à l'endroit des esquarres.
  24. D'ailleurs, la mise au point des anti-inflammatoires inhibant seulement les cox-2 afin d'éviter les problème de douleur d'estomac* a été un échec. Ils continuent à provoquer des douleurs d'estomac. Et c'est normal. Jamais il n'arriveront à empêcher cet effet secondaire. C'est intrinsèque au mécanisme d'action des anti-inflammatoires. En effet, le problème est là encore lié au taux de cortisol. Ce qui se passe en réalité, c'est que comme l'augmentation du taux de cortisol entraine une rétention d'eau au niveau des cellules dans le centre du corps, toutes les cellules du centre du corps qui émettent des fluides vont en émettre moins et plus concentrés. Et quand on sait comment fonctionne l'estomac, on comprend où est le problème. L'estomac opère une première digestion rapide en émettant de l'acide chlorhydrique. Seulement, normalement, ça devrait aussi digérer les parois de l'estomac. C'est pour ça que pour éviter ça, est émis un mucus de ph basique au niveau des parois de l'estomac, qui va les protéger de l'acide. Le mucus colle aux parois et du coup, la digestion peut se faire sans agresser celles-ci. En augmentant le taux de cortisol, il y a donc moins de mucus d'émis et plus concentré. Parce qu'il y a moins d'eau dedans. Donc, le mucus va être plus pâteux et à certains endroits, il va être moins épais, voir carrément disparaitre. Il va y avoir des trous. Et du coup, l'acide chlorhydrique va attaquer les parois de l'estomac à cet endroit. D'où les douleurs d'estomac. Du coup, on comprend pourquoi jamais l'industrie pharmaceutique n'arrivera à empêcher les douleurs d'estomac lors de la prise d'anti-inflammatoires. Vu que ça joue sur le taux de cortisol, et que le problème des douleurs d'estomac est un problème de taux de cortisol élevé, fatalement, les anti-inflammatoires finissent par entrainer des douleurs d'estomac. L'explication par les cox-1 est une explication pratique pour éviter de révéler que le problème est inhérent à l'action des anti-inflammatoires. Et puis, ça permet à terme de vendre de nouveaux médicaments et de faire croire que la recherche avance. Les anti-inflammatoires spécifiques des cox-2 sont en réalité tout simplement moins fortement dosés que les précédents anti-inflammatoires. C'est aussi simple que ça. C'est pour ça qu'ils doivent entrainer un peu moins de douleurs d'estomac. Le problème, c'est qu'en diminuant les doses, on a aussi diminué l'effet désagrégateur de cellules. Du coup, ça provoque plus de thromboses et donc de risques d'accidents cardiaques ou d'avc, ou d'accidents pulmonaires. Eh oui, parce que ces médicaments provoquent un resserrement des veines (vasoconstriction). Toujours un phénomène lié au taux de cortisol. Donc, à l'endroit où la circulation est moins bonne (le bas des jambes quand on est assis), des caillots peuvent se former. Et si ensuite ils se détachent, ils peuvent venir obstruer une veine du cerveau ou du coeur ou d'un poumon. Les précédents anti-inflammatoires, avec un pouvoir plus élevé de désagrégation des cellules limitaient ce problème. Et comme avec les nouveaux, ça n'est plus le cas, pouf, des problèmes apparaissent. * : selon l'orthodoxie, c'est parce que les anti-inflammatoires bloqueraient aussi le mécanisme des cox-1 et parce que ceux-ci sont essentiels au mécanisme de la digestion que des douleurs d'estomac apparaitraient.
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