Aller au contenu
forum sidasante

aixur

Administrateurs
  • Compteur de contenus

    1 275
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Days Won

    13

Tout ce qui a été posté par aixur

  1. Pour montrer encore une fois qu'avoir des tests positifs, puis négatifs, puis positifs, etc..., est quelque chose de tout à fait possible, voilà un témoignage de Christine Maggiore, trouvé sur sidasante. Christine Maggiore est la fondatrice des Heal, une organisation de dissidents américaine à l'origine, devenue internationale depuis : "Pour moi toute l'histoire a commencé en 1992 lorsque je suis allée faire un test du sida parce que mon médecin me disait que c'était une question de responsabilité sociale comme de voter ou de ne pas jeter à la poubelle de boîtes de conserves en aluminium. J'ai été choquée et désespérée quand ce que je faisais pour être simplement un bon citoyen a débouché sur un test positif. J'ai vu un spécialiste du sida quelques jours plus tard qui m'a déclaré que le test que j'avais fait n'était pas suffisant pour aboutir à une conclusion sûre. Il m'a priée de le refaire en faisant un examen de sang beaucoup plus complet, depuis le taux de cholestérol jusqu'aux cellules T. Le résultat de ce second test était indiscutablement positif mais les autres examens montraient que j'étais en parfaite santé. Le spécialiste m'a promis que ma bonne santé n'était que temporaire et m'a dit qu'il fallait m'attendre à être bientôt malade et à mourir du sida. Il m'a conseillé d'éviter les vitamines et autres thérapies alternatives pour protéger mon système immunitaire en me disant que tout cela n'était pas efficace. Il m'a dit qu'il n'y avait absolument rien à faire d'autre que d'attendre, de tomber malade et de prendre de l'AZT. Une année plus tard j'ai trouvé un médecin qui n'inondait pas ses patients de médicaments toxiques et de prédictions fatales. Il m'a traitée comme un individu plutôt que comme la pièce de puzzle d'une statistique et m'a conseillé un programme de vie pour rester en bonne santé. Sur sa recommandation j'ai fait un autre test dont les résultats n'étaient pas clairs. Par la suite je vis alterner au fil des années des tests positifs avec des tests négatifs. J'étais dans la confusion, dans une situation qui défiait toutes les règles dont j'avais parlé moi-même comme conférencière volontaire et membre de plusieurs organisations du sida......" PS : Cheminot, j'avoue que je ne comprends pas un mot d'allemand. Donc, ça me serait un peu difficile ne serait-ce que d'entrevoir la signification d'un article sur le site que tu as évoqué. Bref, ça m'obligerait à te demander au pif ce qu'il y a dans tel ou tel article. Ce serait bien du travail pour toi pour un intérêt souvent aléatoire pour moi (vu que beaucoup de textes doivent ressembler à ce qui est disponible en anglais). Du coup, il vaut mieux laisser tomber. Mais, merci de la proposition.
  2. En fait, Jimmy a déjà refait un test anonyme (il en avait parlé sur 123positive et pas sur Doctissimo, ça doit être pour ça que tu es passé à coté). Il s'est avéré positif. Mais peut-être que, comme tu l'évoques, la carte vitale permet l'accès à ce genre d'information et fausse tout. Qui sait ? Et puis, peut-être que, comme j'en parlais plus haut, le fait que la moelle osseuse ait été agressée pendant un certain temps fausse le test d'une certains façon (dans l'idée dont je parlais, la moelle se mettait en quelque sorte en sommeille après la fin de l'agression des médicaments. Ce qui devrait plutot ne plus faire réagir le test, mais, peut-être que, par d'autres chemins, cette mise en sommeille conduit à faire réagir le test). Cela dit, en ce qui concerne la signification du test sur la dégradation de la santé, je ne suis pas si sur que ça en ait une si grande que ça. Quand on voit que le test peut réagir simplement à cause d'une vaccination, ou après un rhume, ou parce qu'une femme est enceinte, on ne peut pas dire que le test ait une signification très précise. Ca peut signifier un état très dégradé (par exemple un drogué en sale état qui réagit positif) ou un état de simple stress biologique passager (ou non) qui ne conduira à aucune maladie (exemple donné plus haut des suites d'un rhume ou d'une femme enceinte). Donc, la fourchette est tellement large qu'il me semble qu'on ne peut en tirer aucune conclusion sans connaitre l'état et le mode de vie de la personne. Cela dit, je pense que, déjà, vu que c'est une source absolument fondamentale de santé, si on a une alimentation classique, on peut la modifier pour passer à une alimentation majoritairement végétarienne/frugivore. J'en ai vu les effets sur moi depuis un peu plus d'un an. Et je suis désormais convaincu de ses bienfaits et de son importance capitale pour la santé. Acné persistant, maux de têtes, rhume des foins, tous ont diminué de 85/90 %, les tableaux d'amélioration de maladies qu'on trouve sur le site de Jean Seignalet, et qui parlent d'améliorations simliaire sur ces maladies et sur plein d'autres, je crois, ne doivent pas être des inventions, à mon avis. Au fait, si je comprends bien tu lis l'allemand dans le texte. Est-ce qu'il y a sur le net d'autres textes de Kremer et Hassig, Lanka (et autres...) que ceux auxquels ont a accès en français et en anglais ? PS : tu devrais proposer un texte sur les gluthations à Sidasanté. J'ai trouvé ça très intéressant.
  3. Selon la théorie dissidente, il est tout à fait possible d'avoir un test positif, puis négatif. Toutefois, vu qu'en général, les diagnostiqués positifs ne cherchent pas à refaire de test et que les dissidents n'y croient plus et donc, n'en refont pas, je n'ai pas lu beaucoup d'exemples d'essais multiples de tests avec résultats positifs, puis négatifs. En voilà un, trouvé sur le forum Aids myth exposed, de Snagel, dans le topic, "poz then neg" : "Continuez les tests jusqu'à ce que vous obteniez le résultat que vous souhaitez. Ma fille a été testée 5 fois sur une période de 5 ans... 2 fois négative et 3 fois positive... Alors ? Négative ou positive ? Notre médecin est arrivé avec les 3 meilleurs résultats des 5 et a essayé de lui faire continuer à prendre ses merveilleuses drogues. Elle avait commencé à prendre ces drogues géniales à l'age de 2 mois et on nous avait dit qu'elle POURRAIT vivre jusqu'à l'age de 2 ans. A 20 mois, alors qu'elle n'était pas loin de mourir, nous avons décidés d'arrêter ces si géniales drogues... toutes... Et elle ne les a plus jamais reprises depuis. Elle aura 13 ans le mois prochain. Tous les autres enfants séropositifs du Minnesota ont été suivis par un des 3 mêmes docteurs à cette époque et sont tous morts depuis 6 ans ou plus. Alors ? Positif ou négatif ? Steve Nagel"
  4. Oui, c'est vrai que c'est touchant. J'ai été ému en lisant ton témoignage. Peut-être parce que je suis un peu parti prenante. Tiens, tu pourrais peut-être proposer ton témoignage à www.sidasante.com . Ca pourrait intéresser Mark Griffith. Je trouvais que son site manquait un peu de témoignages.
  5. Elle est désormais dans le forum sexualité. Ils ont déplacé d'autres catégories, comme "alimentation", dans laquelle j'interviens de temps à autres. Peut-être aussi est-ce pour les rendre moins visible, dans la mesure ou ce sont des catégories envahies de dissidents de tous poils (antilaits, végétariens, pour la catégorie "alimentation" ; dissidents pour la catégorie "SIDA"). Peut-être que la catégorie "vaccin", qui est aussi envahie de dissidents, et ou je suis intervenu (et padre aussi, une ou deux fois, je crois, pour le BCG), va être changée de place aussi, qui sait ? Mais, peut-être est-ce tout simplement une simple recatégorisation sans aucune idée derrière la tête. Merci de ton post. Je n'avais pas une vision très claire de l'histoire de l'isolation du VIH. C'est plus précis maintenant. En tout cas, c'est lourdingue ces quelques ahuris surrexcités qui pourrissent le topic "le sida un mythe ?".
  6. Je poste un message que j'ai mis sur doctissimo (j'y interviens sous le pseudo de Alain) sur un point assez intéressant. Le fait qu'un certain nombre de personnes voient leurs indicateurs sanguins (CD4, plaquettes) diminuer après l'arrêt du traitement, puis remonter s'ils reprennent le traitement, ce qui, du point de vue des partisans de la médecine officielle, prouverait que les trithérapies sont efficaces : "Certains dissidents ont une explication, qui me semble convaincante, pour cette histoire des indicateurs sanguins qui baissent avec l'arrêt de la trithérapie et réaugmentent lors d'une reprise de la trithérapie. Selon eux, certains médicaments de la trithérapie agressent la moelle osseuse (là ont sont produit les CD4 et les plaquettes), ainsi que le reste du corps. Du coup, la moelle osseuse réagit à cette agression par une augmentation de la production de T4 et de plaquettes. Mais, sur le long terme, la trithérapie détruit la moelle osseuse. Donc, au bout d'un moment, la production de T4 et de plaquettes diminue petit à petit. Du coup, les médecins disent que la trithérapie ne fait plus effet parce que le virus mute. Lorsqu'on arrête la trithérapie, et donc, l'agression de l'organisme, la moelle osseuse n'a plus de raison de fabriquer des T4 et des plaquettes en quantité supérieures à sa capacité de production normale (qui est diminuée par rapport à un individu non traité) et donc, cette production diminue très fortement. La médecine officielle dit alors que le virus repasse à l'attaque. Si la personne reprend sa trithérapie, l'agression de l'organisme recommence, la moelle osseuse se remet à fabriquer des T4 et des plaquettes en quantité supérieure à la normale. Et du coup, la personne croit que la trithérapie apporte un bien. Mais, si l'individu laissait passer un certain temps sans trithérapie, sa moelle osseuse aurait le temps de se reconstituer et, au bout d'un ou deux ans, la production de T4 et de plaquettes reviendrait très probablement à la normale."
  7. C'est un forum mis sur un compte Lycos. Et, hélas, Lycos n'est pas très rapide pour la gestion du PHP, d'ou des lenteurs (surtout entre 20h et 22h, je suppose). Bon, si ça prend de l'ampleur, je migrerais le forum sur un hébergeur payant, mais plus rapide. Sinon, j'ai appris qu'il y avait un forum dissident en anglais : http://groups.msn.com/aidsmythexposed/general.msnw C'est vrai que l'information sur la médecine semble cloisonnée, mais, je pense qu'on n'est qu'au début d'un mouvement de prise de conscience. Et ça, grace à Internet.
  8. Bon, puisqu'il n'y a pas de forum français spécialisé sur les théories des dissidents, j'ouvre mon propre forum sur le sujet. L'adresse est http://membres.lycos.fr/planitus1/forum/phpBB2/ Pour éviter d'être aussi intolérant que les forum officiels vis à vis des dissidents, c'est ouvert aux non dissidents sur 2 forum réservés : un avec inscription et un autre sans.
  9. Maintenant, si je crois que les bactéries sont innofensives, c'est essentiellement à cause de ces expériences là : C'est un message posté par Quintal sur usenet. EXPERIENCES AVEC LES MICROBES Toutes les tentatives et toutes les expériences réalisées pour produire des maladies spécifiques chez l'homme en introduisant des microbes dans son corps ont échoué. Il n'en est pas de même de certains parasites. On connaît, par exemple, les essais historiques du Dr Waite qui voulait tuer le Colonel Peck. Le Dr Waite nourrit sa victime de chacun des microbes qui produisent soi-disant la maladie. Les cultures de microbes furent faites sur place et parfois importées. Ces cultures comprenaient les microbes des maladies les plus mortelles que l'on connaisse.En dépit de celà, le Colonel Peck ne semblait pas en souffrir le moins du monde. Finalement, le Dr Waite fut obligé d'avoir recours au chloroforme et au coussin pour tuer sa victime. Quand on parle de la guerre des microbes, je suis bien sceptique. Mais il n'en est pas de même de la guerre chimique qui est mortelle. Le docteur Pettenkofer, professeur de bactériologie à l'Université de Vienne, arriva à la conclusion que les microbes ne causent pas la maladie. Un jour qu'il donnait un cours dans le laboratoire bactériologique de l'Université, et à la stupéfaction de ses élèves déroutés, Il prit un verre contenant des millions de microbes de choléra vivants et en avala le contenu entier. Il y avait là dans ce verre, a écrit le Dr Kruif, des millions de bacilles virgules se tortillant, assez pour infecter tout un régiment. Mais Pettenkofer se contenta de dire : "Voyons si j'aurai le choléra !" Mystérieusement, rien n'arriva et le fait que le fou Pettenkofer n'eut pas le choléra reste à ce jour une énigme, sans même un début d'explication. Il va sans dire que pour nous les Hygiénistes, cette énigme n'existe pas. Voyons ensuite les expériences du Dr Thomas Powell qui mourut à l'âge de 80 ans avant la deuxième Grande Guerre Mondiale. On a dit que ce docteur avait pris plus de microbes que tout autre homme. Il lança le défi de produire, fut-ce une seule maladie, en lui inoculant des microbes. Pendant longtemps, plusieurs théoriciens du microbe firent de leur mieux pour faire taire cette voix discordante. On inocula dans son corps des germes de choléra, ceux du bubon de la peste et des microbes de toutes sortes. On mit ces microbes dans toutes les sortes d'aliments qu'il mangea. On badigeonna sa gorge un grand nombre de fois à l'aide de germes de la diphtérie. Mais tous ces efforts restèrent sans résultat. Ils ne réussirent pas une seule fois à produire en lui une seule maladie. Il nous reste à raconter l'histoire la plus passionnante de toutes: "La revue américaine Physical Culture de Bernarr Macfadden, de mai 1919, avait publié un article d'un médecin, le docteur John B. Fraser de Toronto, au Canada, décrivant une série d'expériences réalisées de 1911 à 1918. Le but de ces expériences était de déterminer si les microbes causent oui ou non la maladie. On passa 3 années à s'évertuer à déterminer si le microbe apparaît avant ou après l'attaque de la maladie. Le verdict fut "après l'attaque". Alors d'où vient-il? Puis on commença en 1914 à incorporer les microbes frais et vigoureux aux aliments et aux boissons et à en nourrir des personnes. La première expérience, écrit de Dr Fraser, consiste à boire de l'eau contenant 50.000 microbes de diphtérie. On attendit quelques jours. Aucun signe de la maladie. Et l'on considérait alors le danger passé." "Dans la seconde expérience, on donna à boire du lait contenant 150.000 germes de diphtérie. Là non plus, aucun symptôme de diphtérie n'apparaissait." "Dans la troisième expérience, on badigeonna les amygdales, le voile du palais, sous la langue et dans les narines. Là encore, on ne pouvait pas discerner le moindre signe de la maladie. Et comme ces résultats étaient très concluants, on décida d'expérimenter avec d'autres microbes." "On réalisa alors une série de tests avec les microbes de la pneumonie dont on employa des millions dans l'eau, le lait, le pain, les pommes de terre, la viande, etc. Malgré des efforts persistants, on ne réussit jamais à développer le moindre signe de maladie." "On réalisa ensuite uen autre série d'expériences avec les microbes de la thyphoïde. On prit un soin particulier pour infecter l'eau distillée, du lait cru, du pain, de la viande, du poisson, des pommes de terre,... avec ces millions de microbes les plus virulents que l'on puisse incuber. Les résultats furent complètement négatifs." "C'est alors qu'on entreprit une autre série de tests avec les effrayants microbes de la méningite. Là au moins, on s'attendait à des résultats. Comme on croit que ces microbes se développent principalement dans la muqueuse nasale, on prit un soin particulier pour écouvillonner, avec des millions de microbes, les parois des narines, les sinus turbinés, les amygdales, sous la langue et la paroi postérieure de la gorge. En plus de ces tests, on en fit d'autres avec des aliments et des boissons dans lesquels on introduisit des millions de microbes dans chaque cas. Malgré tout celà, aucune trace de la maladie n'apparut." "Les expériences avec les microbes de la tuberculose furent réalisées autrement. On permit un temps plus long de s'écouler entre les expériences pour permettre aux microbes de se développer, car les observations cliniques ont montré que cette maladie peut rester latente durant des mois. On a attendu donc des mois entiers durant lesquels on observa minutieusement l'apparition du mooindre signe. On employa des millions de microbes dans l'eau, le lait et dans divers aliments. On essaya toutes sortes d'aliments et de boissons. Quoique 5 années entières se soient écoulées depuis le début de l'expérience avec la tuberculose, aucun symptôme de la maladie n'est apparu. Par conséquent, nous pouvons dire en toute certitude que les microbes sont inoffensifs." Mais il en est de même du virus du sida. Poursuivons les expériences. "En plus de ces expériences, on utilisa une combinaison de microbes comme ceux de la thyphoïde avec ceux de la pneumonie, méningite et thyphoïde, pneumonie et diphtérie, etc. Aucune maladie ne s'ensuivit." A quand des expériences similaires avec le virus du sida? Des expériences similaires à celles que l'on vient de relater et réalisées par 7 médecins, durant 2 and et demi, furent publiées dans le très respectable journal médical The London Lancet Medical Journal du Canada (juin 1916). On employa les cultures des microbes de diverses maladies et particulièrement ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la thyphoïde, -dans toutes sortes d'aliments et dans les circonstances les plus favorables. On administra les microbes en doses variant de 50.000 à 1.500.000. Ils ne réussirent pas à produire le moindre signe de maladie. De leur côté, les camps de la marine américaine U.S. Naval Detention Training Camp on Deer Island ont entrepris des expériences similaires durant les épidémies de grippe 1918-1919. Le but était de transmettre la maladie aux bien portants. On inocula donc plusieurs groupes de volontaires avec des cultures pures de bacilles de Pfeiffer, avec les sécrétions des passages respiratoires supérieurs e avec du sang pris de "cas typiques de grippe". On badigeonna et on écouvillonna le nez de 30 sujets. Le texte final du rapport officiel se résumait en ces mots : "En aucun cas, l'on n'a pu produire une attaque de grippe.3 "On prit ensuite 10 hommes différents et on les garda 45 minutes à côté de 10 cas récents de grippe. Dix malades toussaient en face de chaque personne saine. Le résultat: "Aucun des 10 volontaires ne développa de symptômes de grippe durant l'expérience." Des expériences similaires furent réalisées à San Francisco et sont relatées dans un autre article. Ici, on donna à un groupe de 10 hommes des cultures émulsionnées du bacille de Pfeiffer. Aucun résultat durant les 7 jours d'observation. On donna ensuite à d'autres groupes d'autres émulsions des sécrétions provenant des voies respiratoires supérieures des malades dans le stade actif de la grippe. On plaça ces émulsions dans le nez à l'aide d'un compte-goutte et d'un vaporisateur. Les résultats ont été décrits dans ces termes : "Dans tous les cas, les résultats furent négatifs, concernant la production de la grippe, La surveillance de tous ces hommes se prolongea durant 7 jours après l'inoculation." D'autre part, on réalisa à Philadelphie au Camp Pike des expériences similaires avec des résultats négatifs. De tels résultats négatifs ne sont nullement favorables à la théorie des microbes en général, ni en particulier, surtout que les muqueuses pulmonaires, intestinales, etc., sont spécialement susceptibles à l'invasion microbienne. Nous dirons plutot que ces résultats prouvent l'erreur de toute la théorie. Tout au moins, ils prouvent que les microbes seuls ne peuvent pas causer la maladie. Le Dr Belbow Bailly écrivant dans le Medical World de Londres en 1928 dit ceci : "Je possède des faits scientifiques établis prouvant qu'il n'existe pas un seul cas où n'importe quel microbe ait pu être la cause spécifique d'une maladie quelconque." Voilà déjà longtemps que la théorie des microbes a été lancée, puis ce fut celle des virus qui est venue à sa rescousse. Mais il n'existe pas une seule maladie qui soit prouvée définitivement avoir un microbe ou un virus pour origine et pas une qui puisse être guérie selon cette théorie. Même pas le sida. A moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu'ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. En effet, une cause doit être CONSTANTE ET SPECIFIQUE dans son action, sinon ce n'est plus une cause. "Les microbes et les virus sont omniprésents - voici une des vérités fondamentales que Pasteur ou Béchamps ont découvertes. Mais Pasteur et ses disciples semblent ignorer le fait que les microbes et les virus n'ont jamais eu d'influence spécifique." LES RECHERCHES VALABLES Pour le sida, comme pour toutes les autres maladies, les recherches bactériologiques bactériologiques ne jettent aucune lumière sur les états du corps qui permettent aux microbes et aux virus de croitre, sinon les états qui empèchent leur développement. Aucune recherche n'a jamais levé le voile sur le terrain qui favorise le développement d'un microbe ou d'un virus dans le sida, la grippe, l'hépatite virale etc. Aucune recherche scientifique n'a jamais été faite sur la toxémie qui permet la multiplication des microbes et des virus. Des ébauches sont faites pour déterminer le taux de cholestérol, du sucre dans le sang, etc., mais c'est nettement insuffisant. D'après les Hygiénistes, les virus et les microbes ne se développent que si une toxémie profonde s'installe, un genre d'intoxication provenant d'une nourriture non spécifique l'espèce humaine, malsaine, chimiquée ou par d'autres causes d'empoisonnement (alcool, café, tabas, etc.). La maladie n'est pas causée par le microbe ou le virus, mais par le terrain qui permet au germe ou au virus de se développer. C'est cet état toxémique impur de l'organisme qui rend possible le multiplication des virus et des microbes. C'est ça le virus filtrant tant recherché. Celà provient des vilations des Lois de la Vie. Ce n'est pas l'effet du hasard. Ecoutons ce que dit le célèbre Dr Tilden : "L'état du corps précédant immédiatement l'apparition des virus et des microbes est déterminant pour le développement de l'infection ou de la maladie. En fait, c'est bien le facteur nécessaire sans lequel la maladie ne peut jamais se développer, microbes ou pas microbes, virus ou pas virus. Ces derniers sont aléatoires et secondaires. Il est certes difficile de comprendre pourquoi le corps médical tout entier a perdu la tête pour des punaises en négligeant totalement ces états sous-jacents du métabolisme et de la nutrition qui constituent, quand ils sont viciés, la cause universlle de toute maladie." " Albert Mosséri, "Le Goulag du SIDA", Editions Aquarius Genève 1987
  10. Résumé du début du débat sur le topic "et si le vih était un canular ?" J'ai écrit :
  11. Cheminot, Quand je dis que la bactérie de la syphilis c'est bidon comme le VIH ou les hépatites, ça peut effectivement prêter à confusion. Alors, précisons ; je ne dis pas que la bactérie de la syphilis n'existe pas, je ne dis même pas non plus qu'elle n'est pas exogène. Ce que je pense, c'est qu'elle n'est pas la responsable de la maladie de la syphilis. Et je pense que pour toutes les bactéries soi-disant pathogènes, c'est pareil. Dans cette vision des choses, que la pénicilline empêche la prolifération in vitro de la bactérie, du coup, n'a plus grande importance. La seule chose qui en ai alors, est la question "est-ce que la bactérie de la syphilis donne la syphilis ou pas ?". Tu dis qu'on a pu rendre malade des animaux. J'aimerais connaître le compte-rendu des expériences. Parce qu'on dit que le virus de la grippe est contagieux, et on a des centaines de millions de malades chaque année pour s'en assurer. Or, tu sais bien ce qu'il faut penser de la grippe. Pareil pour le VIH. Après tous ces virus dont la contagiosité et la pathogénicité étaient sensées avoir été vérifiées et revérifiées et rerevérifiées, et qui, en fait n'existaient même pas, je suis désolé, mais, moi, je jette un regard extrêmement suspicieux sur les bactéries également, et encore plus quand elles mettent 20 ans à agir et qu'elles disparaissent avec le niveau de vie (l'utilisation d'antibiotique peut être une explication, mais alors, pourquoi la maladie n'est pas éradiquée, comme on l'a fait pour la variole ?). D'ailleurs, les exemples que tu cites vont plutôt dans mon sens. Tu dis : "Maintenant il faut aussi savoir qu'avant le traitement par la pénicilline, on les soignait avec du mercure, de l'arsenic ou leurs dérivés, de manière totalement anarchique, et on peut se demander si les dernières phases de la maladie n'étaient pas plutôt une maladie iatrogène". Forcément, ça ne devait pas aider du tout. Du coup, effectivement, tous les cas en phase 3 avant la pénicilline sont touchés de suspicion. Tu parles de l'expérience de tes enfants : "En ce qui concerne la rougeole, je peux donner ma propre expérience, car mon fils l'a contractée à la suite d'un effort physique intense (vérification par sérologie), et ses frères et soeurs, qui étaient dans sa promiscuité, ne l'ont pas attrapée du tout. Elle a d'ailleurs duré 2 jours grâce à une thérapeutique bien adaptée. Dans ce cas, la contagiosité dépend-elle de l'état général actuel de chacun ?". Je m'étonne que tu crois encore que certains virus soient des agents pathogènes. En tout cas, ton expérience ne va pas du tout dans le sens d'une maladie contagieuse, puisque aucun de ses frères et soeurs n'ont été atteints. Je ne crois pas non plus que, dans notre famille, la rougeole ou la rubéole, etc... aient été synchronisées. PS : je vais ouvrir un nouveau post. Parce que là, on dérive du sujet initial qu'est le SIDA.
  12. Oui, mais les personnes diagnostiquées syphilitiques doivent très probablement être des personnes ayant une sexualité avec de nombreux partenaires. Or, parmi les cas parisiens diagnostiqués, un bon nombre (une large majorité) l'étaient en phase 2 de la syphilis (éruption cutanée) ; phase qui survient 2 mois après l'infection. Un temps suffisant pour infecter des centaines d'autres personnes qui iront en infecter des milliers d'autres. D'ailleurs, l'éruption cutanée peut survenir jusqu'à 12 mois après l'infection. Suffisament pour infecter un nombre encore plus énorme de personnes avant d'être détecté syphilitique. Donc, le coup des antibiotiques qui sont sensés détruire la bactérie avant qu'elle ne se répande, j'y crois très moyennement. Enfin bon, je ne vous oblige pas à y croire. Mais, pour moi, c'est clair, la syphilis, c'est du même tonneau que les hépatites et le VIH : du bidon.
  13. Oui, je pense que c'est une vue de l'esprit. Je pense que c'était les conditions de vie qu'il fallait mettre en cause. Quand à venir se plaindre de mes conseils, c'est tout le problème de la responsabilité du conseil. Beaucoup de conseils peuvent être dangereux. Est-ce une raison pour se taire quand on pense quelque chose ? Est-ce qu'on est responsable du conseil qu'on donne ? On peut penser que oui, on peut penser que non. Moi, je pense que non. Quand je suis les conseils de quelqu'un et qu'ils se révèlent mauvais, je ne viens jamais me plaindre après. Parce que je considère que je suis un grand gaçon et que c'est moi qui ai été bête de les suivre et de ne pas voir leur fausseté. A l'inverse et logiquement, je ne me considère pas responsable des actions que les autres ont faites à cause de mes avis. La mentalité d'assisté mental qui consiste à dire "je suis votre conseil, mais, si ça ne marche pas, c'est vous qui serez responsable" ça n'est pas mon truc, ni d'un coté (quand je peux en bénéficier après coup), ni de l'autre (quand ça peut me retomber sur les doigts). Donc, je pense que non, on n'est pas responsable des conseils que l'on donne et on ne doit pas se taire même s'ils peuvent s'avérer dangereux. Bref, à toi, Tchargal, de prendre tes responsabilités. PS : un exemple pratique. J'ai changé de régime alimentaire (vers un régime très frugivore) en lisant des sites végétarien. S'il se révélait que ce régime était mauvais (mais, jusque là, il s'est révélé au contraire, très bon), jamais je n'irais me plaindre auprès des sites qui conseillent le régime frugivore.
  14. Oui, et j'avais lu qu'à l'inverse, dans certains pays occidentaux (la France, par exemple), depuis 1999, le nombre de séropositifs diminuaient, alors que les autres MST augmentaient. Très logique. D'ailleurs, à l'inverse, à la fin des années 80, en France et dans d'autres pays occidentaux, certaines MST diminuaient ou stagnaient, alors que le nombre de séropositifs augmentaient. Va comprendre Charles... D'ailleurs, puisque on parle de microbes qui tuent à long terme et des autres MST, intéressons nous à un soi-disant microbe (une bactérie) qui tue à long terme et qui est une MST : la syphilis. Voilà une bactérie qui est sensée tuer au bout de 20 ans. Un microbe qui tue à long terme, quand on y réfléchit, c'est quand même très bizarre. Voilà un organisme ultra simple, qui se divise à toute vitesse sans connaitre de pose. Donc, toutes les maladies à microbe devraient être d'issus rapide (létale ou non). Mais non ! Sur certaines maladies, on nous dit que le microbe fait une pose, ou alors que c'est l'organisme qui réussit à contenir le microbe pendant longtemps, puis, au bout d'un certain temps, craque (sans qu'on sache pourquoi). Quand on a vu que le VIH, c'était bidon, on est conduit à se dire que ces histoires de microbes qui tuent à long terme, qui sont déjà éminemment suspect à priori, sont complètement bidons. D'ailleurs, Stefan Lanka affirme que toutes les hépatites (encore des maladies microbiennes à long terme), ne viennent pas de virus, mais d'empoisonnement et du mode de vie, comme pour le VIH. Ce qui confirme le très gros doute qu'on commençait à avoir vis à vis des ces maladies microbiennes à long terme. Après avoir réglé le cas du VIH et des hépatites, la porte est donc grande ouverte pour la remise en cause d'autres maladies microbiennes à long terme. Observons donc de plus près la syphilis. Regardons d'abord les symptomes. On est face à une maladie aux symptomes peu particuliers à la syphilis dès qu'on a passé le stade des manifestations primaires et secondaire, qui, en fait, ne sont pas forcément non plus très particulières à la maladie (des éruptions cutanées, on en retrouve ailleurs et des chancres, on en retrouve aussi dans pas mal d'autres infections : herpes, chancre mou, etc... et même quand il n'y a pas d'infection). La maladie se manifeste en premier lieu par un chancre sur le sexe ou les lèvres, puis, au stade secondaire, par une éruption cutanée sur tout le corps. Ensuite, seulement 1/3 des personnes ayant subis le stade secondaire passeront au stade latent. Et parmi ces personnes au stade latent, seules 1/3 d'entre elles développeront une affection, c'est à dire, passeront au stade tertiaire. Donc, seulement 1/6 risqueront vraiment leur vie, c'est à dire 16 %. Et, durant ce stade tertiaire qui les touchera 20 ans après, auront-elle des signes cliniques très particuliers à la maladie ? Eh bien non. Ils seront affectés de cardiopathie, démence, cécité et paralysie. Ce sont des affections qu'on peut retrouver ailleurs. Quelqu'un qui a une éruption cutanée à 30 ans et qui meure d'une crise cardiaque à 55 ans, quoi de plus banal ? Mais, on dira que c'est la syphilis. De plus, j'ai lu que seulement 20 % des personnes ayant atteint le stade tertiaire mourront en l'absence de traitement (mais, est-ce que ce chiffre ne reprenait pas le 1/3 ? à voir). 20 % de 16 %, ça ne fait pas lourd : 3,2 %. Regardons maintenant les chiffres de l'épidémiologie. Déjà, O surprise (enfin, surprise qui confirme plutot parfaitement ce qu'on peut penser de ce genre de maladies à long terme), on s'aperçoit que, loin d'être une maladie répandue, c'est une maladie très rare et même déclarée exceptionnelle depuis la fin des années 80 en France. Hélas, ça n'est plus une maladie à déclaration obligatoire depuis la fin des années 80 en France. On n'a donc pas de chiffre global pour la France depuis 1990 (mais un chiffre de 148 cas pour Paris en 2003, qui est LA zone ou on doit retrouver le plus de cas, ce qui n'augure pas d'un chiffre beaucoup plus élevé que 300 cas pour toute la France). Par contre en Angleterre, j'ai lu qu'on avait recensé que 132 cas en 1995. Pour un pays de 58 millions d'habitants, c'est presqu'une maladie orpheline. En 2000, pour l'angleterre, encore seulement 326 cas. Comment une MST si contagieuse peut-elle n'affecter que 132 personnes dans un pays de 58 millions d'habitants ? Mystère. Surtout que les 132 personnes en question, pour avoir réussi à être atteintes de la syphilis, devraient être de véritable lapins. Et donc, être du genre à transmettre la maladie à au moins des centaines d'autres personnes qui iraient en contaminer des millier d'autres. A moins que ce ne soit pas la maladie bactérienne qu'on croit, mais une maladie de la pauvreté ou du style de vie (alimentation, empoisonnement, drogues récréactives). Comme par hasard, l'OMS déclare que la majorité des cas se trouvent dans les pays d'Asie et d'Afrique subsaharienne (12 millions en 1995). Là ou il y a le plus de pauvres et aussi.... là ou c'est le plus difficile de vérifier les dire de l'OMS. Bref, ce que je crois de plus en plus, c'est qu'il n'y a pas plus de syphilis que de VIH ou d'hépatite. Et je ne crois plus non plus aux MST en général. A mon avis, on peut avoir des rapports sans préservatif sans risquer quoi que ce soit.
  15. aixur

    pneumopathie atypique

    Ca y'est ! J'ai compris d'ou vient ce faux nouveau virus ; qui a inventé cette histoire et pourquoi. Naif que j'étais, je croyais que c'était les médecins de l'hopital de Hong-Kong (et quelques autres) qui avaient imaginé ce truc à partir de leur expérience. Il était pourtant peu probable que de pauvres médecins de base aient inventé eux-mêmes cette histoire. Surtout que les symptomes sont tellement similaires à ceux d'une banale grippe, qu'on voit mal comment ils auraient pu conclure d'eux-même qu'il s'agissait d'une maladie atypique. Il était bien plus probable que cette histoire venait de beaucoup plus haut. C'est, par hasard, en achetant VSD en partant en voyage que j'ai trouvé l'information qui m'a permis de comprendre le truc. Il y est dit que les différents pays qui financent l'OMS, dont les USA, veulent réduire le budget de l'OMS consacré à la lutte contre les maladies infectieuses (cf. "Alors que la menace infectieuse n'a jamais été aussi présente, certains pays, comme les Etats-Unis, réclament une réduction du budget destiné à la lutte contre ces maladies. Comme pour l'ONU, ils voudraient se passer de l'OMS"). Alors, d'un seul coup, tout s'explique, tout devient clair. L'OMS se sentant menacée dans son budget "maladies infectieuses", voir, dans son existence même (cf. les USA qui voudrait se passer de l'OMS), a décidé d'inventer une fausse maladie. Du coup, en faisant remonter la peur sur le sujet des maladies infectieuses, l'OMS met la pression sur les pays qui décident de son budget. Comment ceux-ci pourraient-ils décider d'une baisse du budget, alors qu'il vient d'être démontré d'une façon éclatante que les maladies infectieuses restent une menace à prendre très au sérieux ? En créant la panique sur le ce virus bidon qu'est le SRAS, les (ou au moins certains) dirigeants de l'OMS sauvent ainsi leur budget et peut-être même leurs places. En étant aux premières places de la lutte contre la soi-disante infection, ils regagnent de la légitimité, de la reconnaissance, donc, du pouvoir et bloquent ainsi toute remise en cause de leur budget et de leur existence pour un bon bout de temps. En analysant l'histoire de cette fausse épidémie, on constate effectivement que l'OMS est derrière cette affaire dès les premiers instants, et même avant. Il semble que l'OMS ait voulu plutot, au début, faire monter la sauce sur la grippe arvaire. Ce n'est qu'un peu après qu'elle a inventé le SRAS. Etait-ce prévu dès le début ? L'OMS a-t-elle été aidée par des médecins trop zélés qui lui ont offert une fausse nouvelle maladie sur un plateau (ou, au moins l'opportunité d'inventer une autre fausse maladie), ce qui l'aurait conduit à changer rapidement son fusil d'épaule et faire monter la sauce sur le SRAS tout en gardant les cas de grippe arvaire pour faire monter encore un peu plus la pression ? Pour l'instant, mystère. Cela dit, comme je le disais précédemment, cette lamentable histoire est rendue possible par l'abrutissement complet des médecins du monde entier, qui gobent cette histoire sans aucun esprit critique, malgré toutes ses invraisemblances grotesques. On pourrait, pour les excuser, évoquer la peur de l'Ordre des médecins. Mais il y a Internet qui permet l'anonymat vis à vis de l'Ordre des médecins. Et on ne voit aucun médecin y intervenir pour remettre en cause toute cette histoire ridicule.
  16. aixur

    pneumopathie atypique

    Vous commencez peut-être à me connaitre. Je ne crois pas au pouvoir pathogène de tous ces microbes (ni à l'existence de certains d'entre eux, comme les virus). Examinons donc les évènements sous l'hypothèse qu'il n'y a aucun nouveau virus entrainant une pneumonie atypique. Les évènements on débuté dans des villes comme Hong-Kong. Ayant déjà vu que dans la maladie du virus de Nil, c'était la pollution qu'il fallait incriminer, j'ai aussitot cherché de ce coté là pour les villes en question. Et, comme par hasard, je suis tombé immédiatement sur des articles disant qu'un bon nombre de ces villes étaient extrêmement polluées. Et cette extrême pollution est reconnue, à Hong-Kong (le centre de la soi-disante épidémie), comme étant la cause directe de 4000 personnes par an par maladie pullmonaire. Je crois qu'il n'y a pas à chercher plus loin. Les pneumonies atypiques sont causées presque uniquement par la pollution de l'air de ces villes. On met des cas qui étaient dans la catégorie "pollution" dans la catégorie "virus atypique". Et pour les compagnies pharmaceutiques, si elles mettent au point un nouveau vaccin en moins de 6 mois (merci la médecine d'être si efficace), ca fera plein de $$$$ pour elles. S'il n'y a pas de nouveau vaccin et que le soi-disant nouveau virus tombe dans l'oubli, ben ça permettra quand même de maintenir la pression sur tous ces microbes soi-disant hyper dangereux. Cela dit, ce n'est même pas sur qu'il faille recourir à l'idée d'un coup fourré de la part des labos. La médecine moderne est tellement imprégnée de cette théorie pasteurienne que les chercheurs peuvent tout à fait inventer des nouveaux virus qui n'existent pas. Quand on regarde les pays ou la maladie est présente, on a au 25 mars 2003, l'essentiel des cas et des morts à Hong-kong (286 cas, 10 morts), ville très polluée. 69 cas à Singapour (aucun mort), ville qui subit une certaine pollution chronique et d'énormes pollutions ponctuelles de feux de forets causés par la déforestation. 58 cas au Vietnam, (4 morts). 39 cas aux USA (aucun mort). Et 11 cas au Canada avec 3 morts (or, à cette époque là de l'année, on ne peut pas dire qu'il fasse chaud au Canada, ce qui explique amplement les cas de pneumonie et les 3 morts). Le reste des cas est résiduel dans divers pays avec aucun mort. Franchement, on peut expliquer sans aucun problème ces pneumonies par la pollution ou le froid ou la pauvreté.
  17. Ah mais oui. C'est vrai. J'avais complètement oublié ce truc des immunoglobulines. Effectivement, fabriquées par des chevaux. Amusant. Surtout que, dans le principe, je suppose qu'il faudrait en injecter une sacré quantité et régulièrement pour que ça donne la même chose que le système immunitaire de la personne. En plus, l'organisme chercherait probablement immédiatement à éliminer ces protéines étrangères. Dans le genre principe bidon, encore une fois, ça se pose là. Quand aux diverses absurdités du vaccin contre le SIDA, je crois qu'ils n'en sont plus à ça près.
  18. Ca me fait penser au vaccin "express" de Pasteur contre la rage. L'enfant qu'il avait vacciné était déjà mordu, mais, le vaccin allait aller plus vite que le virus. Fantastique vaccin qui permet d'immuniser alors qu'on a déjà la maladie (qui tue en seulement quelques semaines). Il faut savoir que d'autres enfants avaient été mordus par le même chien. Et, ils n'ont pas développé la rage. Forcément, ça explique beaucoup de choses. C'est sur que c'est très facile d'immuniser quelqu'un qui n'a rien. Ici, c'est le même principe. On est déjà infecté, mais, on peut quand même être vacciné. Fabuleux. Et quid du virus qui mute à toute vitesse et tout le temps (quel pouvoir pour un simple bout d'ARN, qui n'est jamais que quelques morceaux de protéines et dont beaucoup de gens se demandent si c'est du vivant ou du minéral) ? Oublié tout ça. L'explication, je la vois venir d'ici. On va nous dire que ça se concentre sur une des caractéristiques du virus qui ne mute pas. Et hop, ça passera comme une lettre à la poste. On nous dira que c'est grace aux milliards investis dans la recherche, on béatifira les chercheurs à l'origine de la découverte et tout le monde dira merci à la médecine officielle sans se poser de question.
  19. Bibi, Je pense toujours qu'il n'y a pas de virus. Le vaccin est une pure invention pour un virus qui est lui aussi est une pure invention. Quand au fait que H mangeait du fromage tous les jours, ça confirme le fait qu'il n'avait aucun virus détruisant son système immunitaire, sinon, il serait mort d'une salmonellose ou d'une listeria bien avant de mourrir de son cancer (ou plutot du traitement de son cancer).
  20. Evidemment, le vaccin est aussi bidon que le virus (d'ailleurs, un vaccin thérapeutique, on ne voit pas trop de quelle façon ça fonctionne). Le fait qu'ils disent que ça permet à 25 % des personnes traitées d'abandonner la thritérapie est intéressant. Ca pourrait leur permettre d'abandonner petit à petit les trithérapies. En ceci en augmentant régulièrement l'efficacité supposée du vaccin. D'ici 3 ou 4 ans, ils pourraient dire "on a amélioré l'efficacité du vaccin. Désormais, 50 % des personnes traitées au trithérapies ne sont plus obligées de les prendre". Puis, ce sera 75 %, et enfin, peut-être 100 %.
  21. Ben oui, bien sur, ils veulent enterrer l'affaire. Moi aussi, quand j'ai entendu, parler de ce vaccin, hier, ça a fait tilt. Eh oui, le vaccin, c'est leur solution la meilleure pour faire oublier le SIDA. Comme tu le dis, ça fait d'une pierre deux coups. Et comme personne ne se soucie plus des gens qui sont morts durant la période AZT, même si l'affaire devait éclater d'ici 2 ou 3 ans, personne (ou pas grand monde) ne viendra faire de procès. Pour un truc qui est arrivé il y a 10/15 ans et qui n'a tué qu'un nombre limité de personnes, il n'y aura pas grand monde pour se mobiliser. Et, pour l'impact dans les médias, ce serait relativement mineur. Au mieux, il y aura quelques actions en justice. Mais, en les faisant trainer en longueur et en se concentrant sur quelques lampistes, ça n'aboutira pas à grand chose.
  22. Juste une question, et si le malade meurt, tu diras quoi à sa famille, c'était un test pour voir s'il allait mourrir? Si je propose ça, c'est que je suis sur à 99,999 % qu'il ne lui arrivera rien, évidemment. Pour la bonne raison que l'expérience se déroule tout les jours. Tous les jours, il y a des HIV positifs qui ont des taux de CD4 bas qui cotoient des gens qui ont des rhumes, ou qui absorbent des légionnelles en prenant leur douche, ou des salmonelles en mangeant du fromage ou des oeufs, et à qui il n'arrive rien. C'est bien pour ça que ce qu'on nous dit être le SIDA n'en est pas un (cf. un de mes posts précédents).
  23. Finalement, il y a un moyen de savoir si cette histoire de SIDA est vraie ou fausse. Il faudrait exposer un sidéen ayant un taux de CD4 bas, donc, sensé succomber à n'importe qu'elle infection en quelques jours, à un virus de rhume quelconque. Ou alors, pour que ce soit plus sécurisé, à une bactérie pathogène mais pas trop (une salmonelle par exemple. En gros, il suffit de lui faire manger des oeufs ou du fromage), pour laquelle on dispose d'antibiotiques. Et ensuite, on verrait s'il tombe très malade ou pas. Je suis sur qu'on aurait des surprises. Bien entendu, il vaudrait mieux avoir un sidéen ne prenant pas de tritérapies, ce serait plus probant. Sinon, on pourrait toujours dire que la tritérapie à aidé à ce qu'il ne tombe pas malade.
  24. Donc, puisque le système immunitaire des soi-disant séropositifs semble fonctionner parfaitement, on peut réellement dire que le SIDA (hormis celui des enfants bulles) n'existe pas. On pourrait très bien innoculer le virus de la grippe (auquel je ne crois plus que très moyennement cela dit) à des sidéens sans qu'il se passe rien. Et ce, même si leur taux de CD4 était très bas. Ceci, parce que le taux sanguin de CD4, qui fait si peur aux gens qui se croient atteints du SIDA, ne signifie rien en matière d'immunité. 98 % des CD4 se trouvent dans les tissus. Et le taux sanguin de CD4 peut énormément varier en fonction du stress. Dans ce cas, les CD4 du sang migrent vers les tissus. Donc, une personne stressée qui fait un test de CD4 peut se retrouver avec un taux très bas, alors qu'en réalité, elle a encore 100 % de ses CD4 (98 % dans les tissus et 2% précédemment dans le sang qui ont migré sous l'effet du stress dans les tissus). Ce qu'on les Sidéens n'est pas un SIDA. Mais, qu'est-ce que c'est alors ? Eh bien, certains hérétiques du SIDA pensent qu'il s'agit d'un empoisonnement entrainant une mauvaise oxygénation des cellules. Ce sont les petits vaisseaux sanguins qui sont d'abords touchés, et donc les régions qui en comportent beaucoup, comme les poumons. D'ou les pneumonies carnicomia. Et ils expliquent le fait que ce soit souvent des maladies à champignon par le fait que les champignons prospèrents sur les organismes morts. Ils ont une fonction de nettoyeur en quelque sorte. A cause de la mauvaise oxygénation des cellules, celles-ci meurent, et les champignons ont alors un terrain pour se développer. C'est pour ça que, dans les médicaments pour sidéens, il y a très souvent des antifongiques. La mauvaise oxygénation, peut aussi causer des tumeurs, voir des cancers. En effet, certains hérétiques du SIDA pensent que les tumeurs et cancer, contrairement au théories officielles, sont plutot dues à une mauvaise oxygénation des cellules ; mauvaise oxygénation due à certaines substance, stress ou apports de protéines étrangères au corps. L'idée est que lorsque la cellule est soumise à une mauvaise oxygénation, au lieu de mourrir, il peut arriver qu'elle survive, mais qu'alors, elle passe à un mode de survie anaérobie. Dans ce mode de fonctionnement, la cellule se divise à toute vitesse à l'identique. D'ou les sarcom qui sont des sortes de tumeurs. Et d'ou la présence des cancers comme maladie caractéristiques du SIDA. Ce qui cause la mauvaise oxygénation ? Les substances à base de nitrites comme les popers, des substances empéchant les cellules de se diviser comme l'AZT, l'apport de protéines étrangères au corps comme le sperme dans le cas de la sodomie (pour celui qui est passif bien sur), etc...
  25. Une chose montre clairement qu'on n'est pas du tout en face d'une maladie d'immunodéficience, comme on cherche à nous le faire croire. Selon la théorie officielle, le SIDA est une maladie d'immunodéficience. Une fois développée, le système immunitaire de l'individu est sensé être incapable de faire face à n'importe quelle attaque bactérienne ou virale pathogène que ce soit. En bref, le malade du SIDA est comme un enfant-bulle. Mais alors, pourquoi les malades ne meurent-ils pas justement de maladies virale ou bactérienne courantes ? Une fois le système immunitaire en berne, ils devraient tous mourrir en quelques jours d'un des ces microbes qu'on rencontre partout : salmonelle dans la nourriture, légionnelle dans n'importe quelle salle de bain, rhumes, grippes, staphilocoques. Or, selon la médecine officielle, au contraire, ils ne meurent pas du tout de ces maladies virales ou bactérienne, mais de maladies assez ou très exotiques et non virales : sarcom de kaposi, pneumonie carcinomia, maladies à champignon. Vous allez dire, "et la pneumonie ?". Eh bien, justement, la pneumonie en question est causée par un champignon. Donc, s'ils ne meurent pas de maladies à microbes, c'est qu'il ne s'agit pas du tout d'une maladie d'immunodéficience comme il a été présenté, mais d'autre chose. Bref, même sur les symptomes et donc, le fonctionnement de la maladie en question, la médecine se trompe et nous trompe. Les hérétiques du SIDA, eux, ont une interprétation de cet état de chose en accord avec leur idée que ce sont les drogues et les médicaments qui causent la maladie et donc, que ce n'est pas du tout une épidémie virale. La suite, au prochain épisode...
×
×
  • Créer...