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aixur

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Tout ce qui a été posté par aixur

  1. C'est intéressant ça. Personnellement, je mets la fièvre paludéenne sur le compte de la faible teneur en minéraux de l'eau, spécialement lors de la saison des pluies. Je pense que l'eau pauvre en minéraux lessive le corps de ses minéraux. Ce qui aboutit à la fièvre. Tes observations vont dans ce sens, vu qu'apparemment, ce sont les pays de la zone équiatoriale (ou il y a des fortes précipitations) qui sont touchés et pas ceux qui sont plus au nord. A mon avis, il suffit de se supplémenter en sel et en magnésium pour éviter le problème. Pour la tuberculose, vu qu'il s'agit selon moi essentiellement d'un amaigrissement et d'une déshydratation importants (enfin, dans ces pays là), du à une sous-nutrition ou malnutrition, effectivement, ça me semble normal que ça ne touche pas les riches locaux et les blancs expatriés.
  2. Delwere Je ne pense pas qu'il y ait vraiment de dissidence dans la procédure d'isolement des virus. A priori, le groupe de Perth et les autres dissidents se réfèrent, si je me souviens bien, aux méthodes d'isolement définies par l'institut Pasteur au début des années 70. Ce sont des procédures d'isolement officielles. Donc, les dissidents du SIDA pointent le fait que Gallo et Montagnier n'ont pas respecté les procédures officielles, rien de plus. Ensuite, Gallo et certains autres ont bien sur intérêt à dire que la procédure n'est pas celle présentée par les dissidents (celle de l'institut Pasteur). Mais, dans ce cas, qu'ils montrent le document officiel, qui, à l'époque, en 1983, établissait que la procédure avait changé. Il semble qu'en fait, ils considèrent que la pratique, qui était éloignée de la procédure officielle, était en fait une nouvelle procédure officielle. Alors qu'a priori, cette pratique n'a jamais été officialisée en théorie officielle. C'est du genre "houlà, c'est chiant cette procédure. Avec ça, on ne trouve rien. Bon, allez, on va alléger la procédure en catimini. Ouf, c'est cool. Et puis, c'est bien comme procédure. Oui, c'est aussi bien que l'ancienne. Bon, allez, on va dire que c'est une bonne procédure". Et puis, après quelque temps, on ne se retient plus et on dit "Oui, c'est ça la procédure". Ben oui, facile comme ça. Donc, a priori, ce ne sont pas les dissidents du SIDA qui sont des dissidents en matière de procédure d'isolement, ce serait plutot Gallo et les autres.
  3. Ah d'accord. En fait, c'est encore plus vicelard. Donc, c'est sur la réaction colorée que ça se joue maintenant. Reprenons pour voir si je comprends bien. La vitesse de coloration dépend de la concentration en anticorps au final. Donc, une personne qui a peu d'anticorps va voir la réaction colorée se faire plus lentement. Donc, le test va donner une couleur plus claire. Ensuite, il suffit de choisir le cut'off de couleur qui va correspondre à une réaction positive chez tel pourcentage de la population. La plupart (environ 99,5 %) des gens vont avoir une couleur de réaction inférieure à telle intensité de couleur. Effectivement, tout est dans le cut'off. En fait, avec les tests Elisa précédents, le cut'off était tout simplement situé beaucoup plus haut dans la gamme des couleurs. Ou alors, le réactif coloré réagissait plus vite. Et du coup, il était nécessaire de diluer le sang 400 fois pour que la réaction ne soit pas systématiquement positive. Et comme ça a conduit à l'expérience de Giraldo, les fabricants se sont empressé de sortir de nouveaux tests ne comportant pas cette faille trop visible.
  4. Hallucinant. Pendant quelques instants, j'ai cru que c'était une blague à la viduité. Mais non. Ca existe vraiment. Trop drôle. Des free hugs. Qu'est-ce qu'ils ne vont pas inventer. Dommage que les Inconnus ne fassent plus de sketchs. Ils auraient pu en faire un sur ce genre d'initiative. Enfin bon, c'est déjà drôle en soi.
  5. Ah, j'étais sur que Cheminot aurait la réponse. Je suppose que quand tu dis "la coloration dépend de la concentration d'antigènes dits "vih" purifiés", tu parles des antigènes qui se trouvent sur le kit de test, pas les antigènes du plasma sanguin. Vu que le test en question est un test sandwich qui détecte aussi bien les anticorps que les antigènes (et donc contient lui aussi des antigènes et des anticorps), c'est important de le préciser. Donc, si je comprends bien, ça a à voir avec ce que j'avais écrit le 6 mars. En fait, on joue sur la concentration d'antigène présent sur le kit. Si on est sur que le test va réagir chez 100 % des gens avec une concentration de 100 ppm* (partie par millions) d'anticorps dans le sang, avec en face, des antigènes concentrés aussi à 100 ppm, il y a deux solutions. Soit on dilue le sang. Avec 0,25 ppm (dilution de 400 fois), on va être sur que le test ne va plus réagir que chez 0,5 % des gens. Soit on dilue de l'autre coté. On met 0,25 ppm d'antigènes dans le kit. Et là aussi, on va être sur que le test ne va réagir que chez 0,5 % des gens. Et là, effectivement, on n'a pas eu à diluer le sang. Est-ce que c'est bien ça, ou est-ce qu'il y a autre chose ? Parce que tu parles "d'utiliser la peroxydase dans une réaction biochimique qui donne des produits colorés à absorbance faible". Est-ce que ça intervient aussi. De quelle façon ? C'est très important ça. En tout cas, ça signifie que sidasante n'est pas à jour sur ce sujet. Il faut écrire un truc rapidement là-dessus. * : je ne pense pas que les ppm soit l'unité appropriée. Mais bon, on comprends quoi.
  6. Oui, effectivement, ils disent que ce n'est pas dilué. Bizarre. Il va falloir analyser ça.
  7. Je viens de découvrir un forum sur la maltraitance des enfants placés en famille d'accueil. Il y a un sujet sur les placements institutionnels abusifs. Ca peut éventuellement intéresser des mères séropositives qui subiraient ce genre de situation (se voir enlever leur enfant par le gouvernement parce qu'elles refusent de lui faire suivre le traitement). C'est ici
  8. aixur

    Guérir le Sida!

    Effectivement, le fait que tout d'un coup, pour eux, le marqueur des cd4 n'est plus si pertinent, c'est assez marrant. Sinon, je dirais même que plus on est prétentieux, et plus on a tendance à être illogique. Puisqu'on hésite alors beaucoup moins à être de mauvaise fois, juste pour avoir raison. Ils ne vont quand même pas se laisser faire par un petit médecin généraliste de rien du tout et son emmerdeur de patient qui ne veut pas rentrer dans la norme, non mais tout de même. Et s'il faut laisser tomber le marqueur des cd4 pour l'occasion, pas de problème. D'ailleurs, ça me fait penser à un truc que j'ai déjà constaté de nombreuses fois. Chaque médecin a tendance à faire sa petite cuisine idéologique dans son coin. Ce qu'ils refusent par ailleurs (le droit à croire ce qu'on veut) à ceux qui ne sont pas de leur camp, ils le pratiquent allègrement. Ils jouent les orthodoxes, les mecs ultra rigoureux, mais il y a régulièrement un ou plusieurs trucs qu'ils adaptent à leur sauce (mais eux ils ont le droit). Des fois, il partent carrément en vrille (voir le cas de Dupagne, un peu plus bas). J'ai constaté ça plusieurs fois en discutant sur les forums avec des mecs se revendiquant de l'orthodoxie. Il y avait régulièrement des trucs dont on se demandait d'où ça sortait. Des trucs qui ne sont pas du tout défendus ou affirmés par l'orthodoxie. La dernière en date d'ailleurs, c'est cléo, ici même. Elle nous balance plus ou moins que la transcriptase inverse est spécifique des virus, alors qu'aucun orthodoxe n'a jamais attaqué la dissidence sur ce sujet. Je me rappelle aussi du docteur Dupagne. Il interdit aux dissidents de venir discuter sur son forum (enfin, dès qu'ils devenaient un peu trop bons. Quand ils venaient juste de découvrir la dissidence et n'avaient pas encore de très bons arguments, là, le courageux Dupagne se sentait pousser des ailes et se laissait aller à la tolérance). Mais lui même s'autorise à balancer des trucs qui vont complètement contre l'orthodoxie, comme le fait que vu le taux de contamination extrêmement bas, le nombre de cas pour l'Afrique doit être bien plus bas que ce qu'on dit. Bref, il aurait pu écrire à ma place "les statistiques bidons du SIDA en Afrique" sur sidasante comme un bon dissident. Les autres n'ont pas le droit de faire ce genre de truc ; mais lui, oui. Mais effectivement, pourquoi se gêner ? Là où il y a de la gêne, il n'y a plus de plaisir.
  9. aixur

    Guérir le Sida!

    Interressant effectivement. Bref, si on est séropo, il vaut mieux : 1) Ne pas être drogué, parce que ça ne plait pas à l'équipe de l'hopital. 2) Ne pas prendre de traitemement alternatif. Parce que ça ne plait pas à l'équipe de l'hopital. 3) Ne pas exiger de dialogue. Parce que ça ne plait pas à l'équipe de l'hopital. Bref, ce que semble aimer l'équipe de l'hopital, c'est : "prend uniquement les médicaments qu'on t'a prescrit, et fermes ta gueule".
  10. C'est bien qu'on parle de la transcripase inverse. Parce que j'aimerais bien savoir comment on la détecte. Est-ce que c'est encore par un test d'anticorps ? Ou c'est une autre technique ? Parce que si c'est par un test d'anticorps, vu leur valeur, bonjour le problème.
  11. Le pire, avec l'AZT et le SIDA, c'est que ce n'est pas comme la chimiothérapie pour le cancer. Pour le cancer, on pense qu'à terme, il peut finir par disparaitre. Donc, ok, la chimiothérapie est considérée comme dangereuse. Ok, on reconnait qu'un certain nombre de patients vont mourir à cause de la chimio. Mais comme il y a un terme relativement rapide à l'utilisation de la chimio, il y a des chances de se sortir de son cancer en ayant survécu à la chimio (et avec le cancer vaincu). Tandis qu'avec l'AZT et le SIDA, comme on pensait que le VIH serait toujours là, et qu'il faudrait toujours prendre de l'AZT, il n'y avait en principe aucune chance de réchapper à la mort par l'AZT. Même si ce n'est pas le SIDA qui tuait, ca devait forcément être l'AZT. Donc, en fait, l'AZT, c'est le truc qui n'était sensé donner qu'une rémission. Et encore, pas énorme, vu qu'on peut penser qu'avec la toxicité de l'AZT, la personne qui en prend, doit mourir en moins de 5 ans grand maximum (à la dose de l'époque). Tout ça en raisonnant du point de vue orthodoxe bien sur. C'est marrant que l'horthodoxie n'ait jamais fait d'estimation sur le temps à partir duquel le traitement par AZT est sensé être 100 % létal. C'est sur que c'est le genre du truc sur lequel ils ne devaient pas trop vouloir que le grand public ait d'éclaircissement. Bon, mais, en revenant au point de vu dissident, il est clair que près de 100 % des morts des patients sous AZT était causé par l'AZT (directement ou non), vu que les patients mourraient au bout de 2 ou 3 ans après avoir été supposément infectés. Alors qu'on dit maintenant que le stade SIDA n'est atteint qu'au bout de 10 ans environ. Comment peut-on mourir en 2 ans d'un virus qui n'est sensé causer la maladie qu'au bout de 10 ans ?
  12. Vous n'avez pas lu la synthèse sur le SIDA apparemment. Alors, vous la lisez. Vous nous donnez la preuve que le VIH a été isolé. Et ensuite, on peut commencer à discuter. http://www.onnouscachetout.com/forum/index...showtopic=12416
  13. Un autre truc important pour les histoires de dilution. On parle de dilution pour le sang. Mais il y a un deuxième élément qui peut être dilué : c'est ce qu'il y a sur les bandelettes et qui réagit avec le sang. Qui nous dit que ce qu'il y a là n'est pas plus ou moins dilué ? Ca pourrait expliquer là aussi, des différences de réaction.
  14. Merci Wallypat pour toutes tes interventions. Ca a bien fait avancer les choses. J'espère que ta situation personnelle va s'arranger le plus tot possible. Bon courage, et, je n'en doute pas, à bientot.
  15. Probablement qu'il est mort d'une insuffisance rénale. Apparemment, chez ceux qui prennent la trithérapie, c'est assez fréquent. Mais bon, il semble qu'il n'y ait pas trop d'info sur la cause de sa mort.
  16. C'est clair que c'est complètement bidon cette histoire du réchauffement climatique. Dès le départ, ça m'avait semblé louche. Faut dire qu'à l'époque, j'en étais resté au nouvel age glaciaire qu'on nous avait promis dans les années 70. Alors forcément, vu le grand écart, la pilule avait du mal à passer. Et quand j'avais lu dans les années 90, qu'Haroun Tazieff ne croyait pas du tout à la chose, et avançait des arguments solides, comme par exemple que les stations pour estimer le réchauffement se situaient souvent dans des villes (qui, on le sait, on un micro-climat chaud), pour moi, l'affaire avait été quasiment pesée et emballée. Surtout qu'en face, ça avait l'air de n'être qu'hystérie et anathèmes. Comme pour le SIDA effectivement. Tiens, un site bien fait sur le sujet. http://www.climat-sceptique.com/ Franchement, le nombre de conneries qu'on a voulu nous faire avaler dans les années 80, c'est dingue. Trou dans la couche d'ozone, réchauffement climatique, vache folle, SIDA, microbes mutants qui allaient à nouveau engendrer des pandémies, etc etc...
  17. Excellent. Vraiment excellent. Grandiose même. Effectivement, pourquoi considérer que le rapport anal réceptif protégé est une pratique non dangereuse, alors que le rapport vaginal insertif non protégé est considéré comme une pratique à haut risque, vu que les probabilités de devenir séropositif sont plus importantes dans le premier cas ? Le genre de constatation qui va faire mal (... à l'hortodoxie). Très bien vu.
  18. J'aime ce genre d'histoire avec une belle morale. Et c'est si bien raconté. J'espère d'ailleurs que la feuille de choux aura d'autres éditions. C'est vrai que ce genre de gars qui cherche à controler totalement sa vie et qui veut être le meilleur est une proie révée pour l'hortodoxie. Ce sera le parfait petit soldat qui suivra parfaitement son traitement. De l'importance de savoir laisser tomber. Enfin, cela dit, pour ce genre de gars, souvent, il n'y a pas de demi-mesures. Décrocher, ça revient souvent à exploser en vol et à se transformer en loque pour un bon bout de temps.
  19. Par rapport à votre discussion, en me souvenant des mes cours de statistiques, je crois que l'important, ce n'est pas qu'il y ait corrélation, mais corrélation forte. Donc, pour la séropositivité et le SIDA, vu que déjà, comme souligné par delwere, dès qu'il y a vie il y a corrélation avec la maladie, il y a forcément corrélation. Mais la corrélation est trop faible pour que ça ait une signification quelconque. Cela dit, je crois que pour Wallypat, l'idée était que la corrélation augmentait quand on considérait les personnes ayant certains comportements à risque, comme la prise de drogue. Ca devait être plutot là dessus qu'ils se concentrait. Cela dit, le problème, à ce moment-là, c'est que la corrélation séropositivité/SIDA perd alors complètement de son importance par rapport à celle "prise de drogue/SIDA" (d'ailleurs, je préfère le terme de corrélation prise de drogue/maladie. Parce que, pour moi, ils ne s'agit pas de maladies d'immunodéficiences). Donc, comme indicateur, même dans le cas le plus favorable, ça n'a pas grand intérêt. Surtout que si la personne arrête de prendre de la drogue, la corrélation séropositivité/maladie redevient faible. Cela dit, je crois que l'important, ce n'est pas tellement les corrélations, que les rapports de causalité. Voir une corrélation n'a pas tellement d'importance. C'est plutot comprendre la causalité qui est important et intéressant. En fait, si je me souviens bien, je crois que toute cette histoire avait comme base, pour Wallypat et Cheminot, l'idée que la séropositivité est la marque d'un stress oxydatif et que si celui-ci est important et prolongé, il est difficile, voir impossible parfois, que le corps endigue ce stress oxydatif. Et donc, la personne va avoir tendance à continuer à développer des maladies diverses et variées, caractéristiques du stress oxydatif. La, effectivement, il y a explication d'un rapport de causalité. Donc, en fait, tout le point d'achoppement se situe sur l'idée que même en abandonnant les comportements à risque, on continue à risquer de contracter des maladies. Mais il faut que la corrélation soit forte. Et même là, ce n'est pas suffisant, il faut qu'il n'y ait pas d'autres causes possibles conduisant à la maladie. Or, dans le cas des séropositifs, il y a le traitement contre le "SIDA" qui vient parasiter l'analyse de la corrélation entre séropositivité et maladie. Donc, le différent se situerait sur la corrélation "séropositivité/maladies dans le cas des séropositifs ex-drogués qui n'ont pas pris de traitements ou alors, les ont abandonnés". Je ne crois pas qu'on ait beaucoup de statistiques pour ces personnes là. Et est-ce que la corrélation est forte ? Surtout qu'il ne faut pas qu'il y ait de comportement de substitution (genre fumer 3 paquets de clope par jour, bouffer énormément, etc...), ni de traitements autres que la trithérapie (genre prise répétée d'antibiotiques), ni de suivi paranoiaque de la part du système médical (qui va voir une pneumonie là où il y a simplement une grosse angine). Personnellement, je pense que le corps a des capacités d'autoréparation très importantes. Je pense qu'il est possible qu'un stress oxydatif, ou autres causes de maladie, engendrent une diminution permanente de de capacité. Mais ça va être rare. C'est possible si la personne arrive à un point tel de dégradation d'un organe que celui-ci ne va pas pouvoir se réparer. Et je pense qu'il va être très rare qu'une personne subisse une dégradation une fois la prise de drogue ou de médicament supprimée. Et s'il y a dégradation, ça ne va pas se jouer sur plusieurs années. S'il y a dégradation, à mon avis, elle devrait être rapide et fatale. A mon avis, ça va être le cas s'il y a un organe vital touché. Ouai, c'est ça, tout doit se passer au niveau des organes vitaux. Mais je ne crois pas en un processus de dégradation généralisé, qui ne se situerait pas à un endroit précis. C'est trop vague. Il y a bien l'idée que le rapport oxydants/antioxydants serait dégradé en faveur des oxydants, avec la trop faible présence d'antioxydants en face. Ce qui causerait maladie sur maladie. Mais je ne pense pas que ce soit quelque chose de valable sur le long terme. Si la personne a réussi à sortir d'une maladie et à retrouver la santé, ça veut dire que le rapport oxydants/antioxydants a été rééquilibré. D'ailleurs, on a le cas des personnes qui prennent un traitement contre le cancer. Ca engendre un très fort stress oxydatif. Et pourtant, une fois fini, les gens récupèrent sans trop de problème (je ne parle pas de situations ou il y a un organe qui a été fortement dégradé par le traitement). Le problème, c'est que souvent, on va leur trouver une récidive et que le deuxième ou le troisième traitement va les tuer. Mais bon, vu que j'étais concentré sur d'autres choses, je n'ai pas lu grand chose de vos débats. Donc, il y a probablement des choses que j'ai loupées, des idées déjà traitées. Faudra que je lise tout ça.
  20. . Excellent. C'est clair qu'il y a tellement d'affections possibles à cause du VIH, qu'on se demande ce qui n'en fait pas partie. Même être dépressif peut-être causé par le VIH. Forcément, quand on part dans ce genre de délires, c'est la porte ouverte à tout.
  21. Ah oui, je n'avais pas vu qu'il y avait une version retouchée. Sur Montagnier, ça passe de : "il m'a déconseillé de contacter Luc Montagnier à Pasteur, un mauvais. Et c'est vrai, Montagnier c'était le 182ème joueur mondial en rétro virologie, ça faisait vingt ans qu'il cherchait un rétrovirus sans rien trouver... Montagnier, on me dit il est nul..." à "et ils ne m'ont pas conseillé un certain Montagnier à Pasteur, au registre qu’il jouait 182ème dans la rétro virologie mondiale... Avec les français ? Montagnier, on me dit qu’il est pas balèze..." Amusant.
  22. Tiens, à propos également des découvreurs du virus. Quelqu'un (je ne sais pas si je peux donner son nom, donc, je m'abstiens) m'avait écrit il y a un peu plus de 6 mois. Et il m'avait communiqué ce lien. http://picardp1.ivry.cnrs.fr/Leibowitch.html Comme on ne peut apparemment pas reproduire le texte en question, j'en fais un résumé partiel. Un certain Jacques Leibowitch se vante d'être à l'origine de la découverte du VIH. Apparemment, il aurait eu besoin d'un virologue pour valider sa stupide croyance que c'était un virus qui était à l'origine du SIDA. Il serait allé voir le D. Stehelin à Lille, Jean Paul Lévy à Cochin. Mais ils auraient refusé de chercher le "virus". Levy lui aurait quand même donné le numéro de Robert Gallo aux NIH. Et il lui aurait déconseillé Montagnier, parce que selon Levy, Montagnier était considéré comme un mauvais, le 182ème joueur mondial en matière de rétrovirologie. Il cherchait un rétrovirus depuis 20 ans sans arriver à en trouver un. Donc Leibowitch aurait appelé Gallo. Il est tombé sur sa secrétaire et lui a dit "je vais vous laisser six mots clés que vous lui répéterez, OK? HTLV, Health, Transfusion, Haïti, Africa and AIDS". Le lendemain, Gallo rappelait. Et 2 mois plus tard, en février 1983, il s'invitait à un meeting avec Gallo et tout le staff des NIH. Selon lui, si Gallo a merdé au début, c'est qu'il y avait un mec qui salopait le boulot, et aussi parce qu'il était obnubilé par l'idée de trouver un HTLV. Et ça ne marchait pas. Donc, l'histoire du virus aurait été imaginée par Leibowich au départ, pas par Gallo ou Montagnier. Bon, cela dit, le Leibowitch en question a l'air bien prétentieux (genre j'avais tout compris avant tout le monde, je suis un mec super cool qui allait aux réunions en patins à roulette et qui n'était pas impressionné par les super pontes qui faisaient trembler les autres). Donc, peut-être aussi qu'il a arrangé l'histoire à son avantage. Mais peut-être pas. A voir. La personne qui m'a écrit m'a suggéré de faire une copie d'écran et une sauvegarde de la page en question, parce que "dès que nous allons l'utiliser elle disparaîtra, j'en suis certain". Je crois qu'effectivement, il serait sage que ceux qui iront lire ce texte en fassent une sauvegarde.
  23. Comme je voulais mettre le texte de Rebecca Culshaw sur sidasante, j'en ai un peu amélioré la traduction. J'ai aussi rajouté le titre (sinon, on ne savait pas de quel texte il s'agissait à l'origine). Voilà la traduction modifiée : Bien, qu'en est-il de ces tests ? (Well, What About Those Tests?) par le Dr Rebecca Culshaw Une autre particularité de l’évangile du VIH/SIDA est que beaucoup de ce que nous entendons et encore beaucoup plus de ce que les docteurs et des chercheurs pensent être vrai, est tellement éloigné de ce qui est documenté dans la littérature scientifique que lorsqu’on apprend ce qui y figure vraiment, la réaction immédiate est l’incrédulité. Je doute que beaucoup de citoyens ordinaires, voire de praticiens médicaux soient conscients que dans les kits de tests d’anticorps pour le VIH, il existe des phrases d’avertissement telles que : "Le test EIA [Elisa] ne peut pas être utilisé pour diagnostiquer le SIDA." Je doute que beaucoup de personnes qui se soumettent à ce test aient une connaissance quelconque que leur avenir, leur capacité à se faire couvrir par les sociétés d'assurance, à porter des enfants naturellement, à voyager, ou à vivre sans crainte, dépend des résultats d’un test qui n’a même pas été approuvé pour diagnostiquer l’infection par le VIH, sans pouvoir être "confirmé" par les nombreux tests semblables, qui fonctionnent tous de la même manière et qui contiennent tous des avertissements semblables. Mais je doute encore plus que la majorité des praticiens médicaux soit consciente du changement subtil mais significatif dans le langage utilisé dans les kits de tests VIH depuis le début de l’ère du SIDA. Par exemple, de 1984 jusqu’à un passé très récent, les notices des kits de test contenaient cette déclaration sans équivoque : "le SIDA est causé par le VIH". En 2002, OraSure modifie cette déclaration pour dire : "le SIDA, les complexes liés au SIDA et le pré-SIDA sont supposés être causés par le VIH." Mais depuis cette année, dans un remarquable - et potentiellement significatif - changement de pensée, la tendance semble être de faire une déclaration encore moins péremptoire. Par exemple, la notice du test ELISA d’Abbott Diagnostic contient la phrase suivante : "Les données épidémiologiques suggèrent que le Syndrome d'Immuno-Déficicience Acquise (le SIDA) est causé par au moins deux types de virus d’immunodéficience humaine, connus collectivement comme le VIH." Vironostika semble être même moins désireux de soutenir un vrai rôle causal, comme le dit la notice de leur kit de test de 2006 : "les données publiées indiquent une corrélation forte entre le syndrome d’immuno-déficience acquise (le SIDA) et un retrovirus désigné comme étant le virus d’Immuno-Déficience Humain (le VIH)." Tout cela nous indique que vingt-deux ans plus tard, nous n’avons pas avancé. Comme l’indique la publication récente de Rodriguez et al., la quantité de virus (mesurée de manière douteuse par les tests de charge virale) n’a pratiquement aucune influence sur la baisse des cellules CD 4+ alors qu'on a si longtemps cru que ces cellules mouraient sur l’ordre du VIH. Ainsi que Zvi Grossman l’a exposé dans une publication récente, "les processus pathogènes et physiologiques menant au SIDA restent une énigme." Autrement dit, nous n’avons toujours aucun indice sur ce que fait le VIH en réalité .Que deviennent les cellules-T ? Personne ne le sait. De même, qu’est-ce que la charge virale ? Personne ne le sait. Après vingt-deux ans, nous sommes revenus à la corrélation - revenus à l’épidémiologie. Nous sommes toujours scotchés dans la même habitude de promouvoir ces tests, qui peuvent mesurer quelque chose, mais personne ne comprend vraiment ce que c’est. Pire encore, nous utilisons les résultats de ces tests pour littéralement ruiner des vies des gens. La tendance la plus inquiétante de derniers est "la forte recommandation" que toutes les femmes enceintes soient testées pour le VIH. Et si elles ne sont pas testées pour le VIH pendant leur grossesse, nous recommanderons fortement qu’elles le soient au moment de l'accouchement. Est-ce que je suis la seule personne que cela inquiète ? Terroriser et intimider des femmes au moment où elles sont le plus vulnérables - quand elles sont enceintes et quand elles accouchent - est le signe d’une société qui souffre d’une maladie plus mauvaise que celle qu’elle terrorise. C’est d’autant plus horrible que la grossesse est documentée dans la littérature médicale comme une source de faux positifs pour les tests d’anticorps VIH. Ce qui pourrait sembler a priori une décision se souciant de l’enfant à naître se trouve être en réalité une décision non informée, parce que la plupart des mères parturientes ne sont pas conscientes que leurs chances d’être enregistrée comme (faussement) positives augmenteront (et l’augmentation apparaît particulièrement saisissante parmi les femmes noires). La plupart ne saura pas qu’un résultat positif empêchera son enfant de recevoir la nutrition optimale via l’allaitement. La plupart ne sera pas conscient qu’elle sera contrainte de prendre des médicaments dont on ne connaît même pas les effets à long terme sur elle ou sur son enfant. Le plus mauvais aspect de ce type de terrorisme médical aboutit à des situations comme celle du cas tragique de Joyce Ann Hafford (qui a conduit à un tel effet dévastateur suite à la chronique de Celia Farber dans son récent article dans le magazine Harper), qui est morte suite à la toxicité de la nevirapine. Le fait que Hafford puisse finalement avoir été fausse positive rend sa perte d’autant plus horrible. Et nous ne pouvons pas oublier le fait que nous n’avons aucune idée ce qui arrivera à long terme aux enfants qui reçoivent ces médicaments in utero. De même, nous ne savons absolument pas s'ils tomberaient seulement malades s’ils ne prenaient pas de médicaments. Ceci étant dit, la seule preuve que nous ayons d’un quelconque rôle joué par le VIH dans le SIDA est une corrélation epidémiologique. Pire, c’est une corrélation entre les manifestations d’un syndrome clinique particulier et les résultats d’un test d’anticorps qui n’a pas été standardisé, n’a jamais été vérifié à l'aune d'un véritable isolement viral et qui n’est pas même approuvé pour le diagnostic d’une infection au VIH. A cause de ces tests, nous avons créé de nombreuses lois discriminatoires, mais nous ne savons même pas ce que ces tests signifient. Et si nous ne savons pas ce qu’ils signifient, n’importe quelles données de corrélation obtenues à partir de ces tests doivent être regardées avec prudence, si ce n'est rejetées entièrement. Quand tout est ainsi mis à nu, nous commençons lentement à comprendre combien sont incertaines les fondations de l’industrie du VIH/SIDA toute entière, et tout ce qui reste est alors la chose suivante : rien. (*) : Rebecca V. Culshaw a travaillé sur des modèles mathematiques de l'infection au VIH pendant presque 10 ans. Elle a obtenu un Ph.D. en mathematiques (avec une specialisation en mathématiques appliquées à la biologie) à l'université de Dalhousie au Canada en 2002 et est actuellement professeur assistante de mathematiques à l'Université du Texas à Tyler. http://barnesworld.blogs.com/barnes_world/..._culshaw_2.html
  24. Mouai, ça date de 1995. Peut-êre que l'opinion de Mullis a évolué depuis. Cela dit, Mullis ne s'est apparemment jamais beaucoup exprimé sur la dissidence. Même pour la PCR, ses indications sur les raisons pour lesquelles elle n'est pas valable pour estimer la charge virale sont minimalistes.
  25. Bon, comme promis, voilà la traduction de la question 15 des 20 questions insolubles de Darin Brown. "Pourquoi pas un seul chimpanzé sur plus de de 250 infectés avec succès par le VIH depuis 1984, n'a développé le SIDA ? Il n'y a pas d'autre microbe pathogène viral humain qui ne puisse reproduire une maladie semblable chez les chimpanzés. Stolberg (26) rapporte que : "Jessie et Dover [deux chimpanzés du centre national de recherches sur les primates de Yerkes] n'ont pas vraiment besoin d'être à Yerkes, mais il n'ont aucun autre endroit où aller. Engendrés pour la recherche biomédicale, ils sont maintenant sans emploi ; le résultat d'un vaste excédent de chimpanzés de laboratoire. Ils passent leurs journées dans de petits enclôts de béton et d'acier, jouant avec des sacs de toile de jute et déchiquetant de vieux annuaires téléphoniques pour se divertir... L'excédent est un legs inattendu du SIDA. Dans les premiers temps de l'épidémie, les scientifiques ont théorisé que le chimpanzé serait un modèle utile pour étudier la maladie chez les humains. En 1986, les instituts de santé ont commencé un programme agressif de multiplication qui a conduit au doublement de la population de chimpanzés de laboratoire ; seulement pour constater après coup que bien que les chimpanzés pouvaient contracter le virus du SIDA, ils devenaient rarement malades à cause de lui. Ce problème rend difficile l'emploi de ces animaux pour tester des traitements ou des vaccins contre le SIDA. (26). Stolberg, Sheryl Gay, "For Retired Chimps, a Life of Leisure", The New York Times, January 7, 2003." http://barnesworld.blogs.com/barnes_world/...ivaids_hyp.html
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