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sidarta

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Tout ce qui a été posté par sidarta

  1. Sida : « Un séropositif aurait guéri sans traitement » Le Figaro, Le Parisien, La Croix Martine Perez indique en effet dans Le Figaro que selon l'hebdomadaire britannique News of the World, « un Britannique de 25 ans, séropositif il y a 3 ans, est redevenu séronégatif 14 mois plus tard ». La journaliste sinterroge : « Erreur ? Immunité exceptionnelle ? Selon l'hebdomadaire britannique, les médecins du jeune homme semblent catégoriques : il n'y a pas eu mélange de dossiers ou d'échantillons », précise Martine Perez. La journaliste note que « cette histoire, à prendre avec précaution, n'a pas été analysée par une publication scientifique patentée ». « En revanche, des médecins français et américains viennent d'identifier une nouvelle classe de séropositifs, les «HIV controllers», qui, quoique contaminés depuis plus de 10 ans, sont en parfaite santé et n'ont plus de trace de virus détectable, sans le moindre traitement », rappelle Martine Perez. Le Parisien se penche également sur cette « étonnante «guérison» dun jeune séropositif ». Le journal note que « le plus grand scepticisme prévaut dans lHexagone, où les associations redoutent quune énième «bonne nouvelle» mine les efforts de prévention ». La Croix indique aussi, en bref, qu« un Ecossais séropositif pourrait avoir guéri spontanément ». Tout en ajoutant que « pour être crédible, une telle information aurait dû être rendue publique via une revue scientifique ». Revue de presse rédigée par Laurent Frichet laurent.frichet@santor.net
  2. L'information comme quoi un personne a été détecté séronégative après avoir été séropositive n'est pas censurée - elle est en effet relayée dans tous les médias. Mais, à mon avis, cela ne change en rien la position des officiels : VIH, VIH=SIDA, SIDA=MORT ( pour la dernière assertion, nous sommes tous à peu près d'accord sauf que dans sidA il ya acquis et donc irréversibilité et qu'il semblerait que ce soit beaucoup complexe que cela - il semblerait exister des gens qui vivent avec une immunité détectée comme basse voire quasi nulle et qui ne déclelnchent rien - en terme de maladie opportuniste ). Les " officiels " disent que même une charge indétectable ne prouve pas l'absence de virus - ( cocasse lorsque l'on sait qu'il n'y a rien de scientifique dans cette autre assertion ). Donc, nous sommes dans le cadre de la mauvaise foi... Enfin, tout cela pour dire, que tant qu'une autre approche acceptable pour le monde scientifique ne verra le jour sans qu'il perde la face, rien ne changera. Seul Montagnier qui amenait l'approche des co -facteurs a, finalement, à sa manière, tenté de changer la vision du problème de l'intérieur du sytème ; mais, il a vite été ramené à l'ordre et tout juste si l'on ne l'a pas traité de sénil : c'est pour cela que maintenant il s'occupe de papaye fermentée !
  3. AWARD WINNING !..... http://www.hivstopswithme.org/
  4. Mais encore une fois, qui est dans le déni ? SIDA ET DENI : reportage de Xavier PESTUGGIA Toutes les associations qui luttent aujourd'hui contre le Sida l'affirment : on observe dans le monde un relâchement sensible dans les comportements, les personnes se protègent moins qu'auparavant, comme si les nouveaux traitements -comme la trithérapie - étaient devenus la panacée. Outre ce relâchement on observe aussi des phénomènes très inquiétants, comme le "bareback", un phéomène né aux Etats Unis - dont nous avions parlé dans Cosmoplitaine il y a quelques mois - où des personnes séropositives font l'amour sans préservatifs. En parallèle à cette tendance qui demeure fort heureusement marginale - une association de femmes séro positives s'est constituée en France pour demander à ce que leurs conjoints - qui leur ont transmis la maladie, soient pénalisés. Ce relâchement général de la prévention trahit le déni de la maladie. Ce déni, on le constate en Occident mais aussi en Afrique, où l'absence de médicaments rend encore plus cruelle la situation. Xavier PESTUGGIA a intérrogé deux femmes sur ce sujet ; l'une est d'origine algérienne, la seconde est née au Mali. Toutes deux ont appris leur séropositivité en France. http://www.radiofrance.fr/chaines/france-i...cosmopolitaine/
  5. <<En vente libre...>> <<<< Diamant ---------------------- Certainement en vente par correspondance.... Mais, il est sûr que, récemment, Etienne de Harven disait qu'il n'était pas vendu dans certaines librairies.... Ce serait intéressant de connaître son tirage entre les éditions Marco Le pietteur et Dangles...
  6. Après la papaye fermentée, le jus de grenade : http://www.unevieenplus.com/
  7. J'ai envie de rajouter .... Jouis de ton et de votre bonheur à tous les deux ; oui, l'amour est thérapeutique. Il ne s'agit pas de fuir quoique ce soit mais de se protéger des " peines à jouir" ( les gens, et les évènements ). Et puis,.... exercice physique, nourriture etc.... Enfin, l'amour est un tout en un.
  8. Kinipou, J'ai envie de te dire que tu es sur la bonne voie ; nous avons tous une histoire.. Plus ou moins complexe, à différents niveaux... Les livres sont les livres et ne vivent pas à notre place... en psychogénéalogie; il ya celui d'Annce Ancelin S B 'Aïe mes ailieux !" Desclée Debrouwer réédité. Mais, l'essentiel c'est toi, toi et ton histoire, l'instant présent, comment tu vis - tu cela ?etc... Une question : comment te fais tu aider ? Ta présence sur ce forum me fais dire que tu as envie de te faire aider ou en tout cas de t'enrichir du regard des autres voire des conseils. Ce serait bien, à mon sens, que tu puisses trouver quelqu'un ou un système - si ce n'est déjà fait - qui puisse t'accompagner ? Pourquoi ? Parceque tu as une histoire qui n'est pas simple - si ça te rassure tu n'es pas seul, et que, selon moi, une des grandes chances c'est que tu puisses vivre; vivre heureux... dans une vie pleine de sens !... Trois étapes : Survivre, Vivre heureux, Vivre dans une vie pleine de sens. La majorité d'entre nous oscillent entre la première et deuxième étape, plus dans la première que dans la deuxième d'ailleurs. Enfin, c'est une manière de voire les choses. Alors, c'est merveilleux il ya temps à décourvrir. Mais, bien sûr, il ya ..." La peur de vivre " !
  9. Je remets en ligne la vision extérieure de la dissidence ; c'est intéressant, avec du recul, de voir à quel point il n'y a pas de vision " critique " objective ! ----------------------- Les "dissidents" du sida Le sida n'existe pas. Si les scientifiques ne dénoncent pas la supercherie qu'est cette pseudo-maladie, c'est pour préserver leurs intérêts dans l'industrie pharmaceutique. Voici la thèse de ceux qu'on nomme les "dissidents". Un mouvement proche des médecines alternatives et bio, très actif sur Internet. En français, le plus important de leurs sites s'appelle Sidasanté. Son sigle affiche clairement la couleur : sida y est écrit avec un dollar ($). Il propose de faire découvrir ce que "les officiels du sida et les médias veulent vous cacher". Selon lui, "le 'sida' est un concept sans aucune base scientifique réelle, (...) un syndrome défini artificiellement et non une maladie. Chacun des éléments qui participent à ce syndrome a une cause et une solution qui peuvent se comprendre et se soigner en dehors de toute psychose collective et surtout en dehors de toute origine prétendument virale de la maladie". Les "dissidents" contestent l'authenticité de l'isolement du virus VIH - c'est-à-dire la preuve de son existence -, réalisé pour la première fois par l'équipe du professeur Montagnier en 1983. Ils offrent même un prix de 100 000 dollars à "la première personne qui pourra fournir la preuve photographique de l'existence du VIH". La figure tutélaire du mouvement se nomme Peter Duesberg. Ce professeur de biologie moléculaire et cellulaire à l'université de Californie de Berkeley a été mis à l'écart de la communauté scientifique en 1987 pour sa théorie sur le sida. Selon lui, cette maladie est due à l'usage de drogues et au traitement à l'AZT (traitement contre le sida). Le site de référence des "dissidents" s'appelle Virusmyth. Il a été créé, en 1996, par un militant hollandais dont le fait d'armes est d'avoir été chassé de la Conférence mondiale sur le sida qui s'est tenue à Berlin en 1993. Les "dissidents" - ou rethinkers ("repenseurs" de la théorie du sida) - ont également un site pour se regrouper. Ils n'ont qu'à entrer le nom de leur pays puis de leur ville pour connaître la date de la prochaine réunion. La remarquable organisation de ce réseau n'en rend ses thèses que plus dangereuses. L'immunodéficience qu'on attribue au sida est, pour eux, due à la pauvreté en ce qui concerne l'Afrique, aux drogues, au stress et aux traitements administrés par les médecins. Il ne sert donc à rien de se soigner, comme y invite Mark Griffiths, animateur du site Sidasanté, qui affirme, en 2004, ne s'être jamais aussi bien porté, alors qu'en 1986, on ne lui donnait plus que cinq ans à vivre. Mais, chez les "dissidents", tout le monde n'a pas la même longévité que Mark Griffiths. Et sur les forums du site Onnouscachetout (sans ironie), où ils se réunissent pour discuter, leurs partisans s'inquiètent de la mort d'illustres "dissidents". Certains arguent que s'ils sont décédés, c'est parce qu'ils... ont pris des médicaments. Cela suffira-t-il à discréditer définitivement les théories des "dissidents" ? La revue Combat contre le sida, proche du réseau Voltaire, déplorait, en mars 2001, un manque de mobilisation face au danger. "Relayés par la mouvance 'bio', des thèses abracadabrantes et des discours paranoïaques viennent détourner les interrogations légitimes des citoyens, sans que les acteurs de la lutte contre le sida, dont les pouvoirs publics, les contredisent efficacement." Lorsque les thèses "dissidentes" ont séduit Thabo Mbeki, président de l'Afrique du Sud, pays le plus touché par la pandémie, les scientifiques ont tout de même décidé d'une mobilisation et publié, à l'été 2000, la "Déclaration de Durban" qui réaffirme que "le VIH provoque le sida" et qu'"il est malheureux que quelques personnes continuent bruyamment à nier l'évidence. Cette position entraînera le décès d'un nombre incalculable de personnes". Pourtant, les "dissidents" continuent à espérer "une ouverture officielle pour l'expression des points de vue dissidents pendant le Congrès mondial sur le SIDA qui aura lieu à Bangkok, en Thaïlande, Juillet 2004". Sites visités entre le 26 et le 28 avril 2004. ------------------------------ L'article n'est pas signé si ce n'est qu'il est sur le site d'arrêt sur image - bonne émission au demeurant ! http://www.france5.fr/asi/006052/33/110926.cfm
  10. Merci Psience, en effet, en ce qui concerne les examens Cd4 etc..., il semblerait que la fraîcheur du prélèvement soit promordiale pour avoir des résultats " cohérents 3. ------------------------------------------ Je livre un extrait d'unarticle de Marie de Hennezel - "la vie menacée"- qui est sans doute une personne de bonne foi. Pourtant, en lisant ce texte, je n'ai pu m'empêcher de rentrer dans une profonde colère. Les personnes de bonnes volontés sont parfois les pires... Aller expliquer à Mairie de Hennezel ce que nous partageons, elle qui se centre sur la compassion... Il faut parier qu'elle targuerait nos échanges d'étape de Déni - selon Annie Kûbler - Ross " les étapes du deuil - sans autres procès... Pourtant, je ne me sens pas, ne nous sens pas dans quelque déni que ce soit mais dans la recherche de la vérité ! ------------------------- Une vie menacée, MARIE DE HENNEZEL En 1942, une jeune file juive hollandaise, pressentant sa déportation prochaine en camp de concentration, écrivait ceci : Bon, on veut notre extermination complète... et en même temps, j'ai une certitude : je trouve la vie belle, digne d'être vécue, et pleine de sens... La vie et la mort, la souffrance et la joie, les ampoules des pieds meurtris, le jasmin derrière la maison, les persécutions, les atrocités sans nombre, tout, tout est en moi et forme un ensemble puissant, je l'accepte comme une totalité indivisible et je commence a comprendre de mieux en mieux —pour mon propre usage, sans pouvoir encore l'expliquer à d'autres — la logique de cette totalité. Je voudrais vivre longtemps pour être un jour en mesure de l'expliquer, mais si cela ne m'est pas donné, eh bien, un autre le fera a ma place, un autre reprendra le flux de ma vie là où il sera rompu. » J'ai souvent pensé a Etty Hillesum, l'auteur de ces lignes dans Une vie bouleversée, chaque fois qu'il m'a été donné d'écouter et d'accompagner des personnes séropositives, lucides quant à leur destin, évoquant sans détour ce que seraient sans doute un jour leur maladie et leur mort. Leur témoignage, recueilli en 1995 dans le cadre d'un film vidéo, Une vie menacée, une vie créative', me semble prolonger celui de cette jeune file morte deux ans après avoir écrit ces lignes. Bien sûr, aujourd'hui, les nouvelles thérapies ont éloigné la menace mortelle, et on peut s'en réjouir. Mais beaucoup sont morts. Et la façon dont ils ont vécu leurs dernières années reste pour nous un témoignage bouleversant de la manière dont l'être humain peut traverser les pires crises et se transformer à travers elles. Côtoyant pendant plusieurs années des personnes porteuses du VIH, j'ai découvert, à côté de leur souffrance et de leur solitude, la force et les ressources souvent insoupçonnées qui se révèlent au fur et à mesure de leur difficile chemin. J'ai été témoin du travail psychique, du travail intérieur que la menace létale a progressivement ou brutalement, selon chacun, mis en route. Au-delà du choc initial et de la sidération qui suit parfois ce choc, chacun fait face à l'angoisse à sa manière, à travers l'expression de multiples stratégies défensives que nous connaissons bien (la dénégation, la révolte, la dépression). Malgré cela, cet ébranlement intérieur n'est que rarement recouvert. L'ébranlement intérieur révèle à chacun sa vulnérabilité et sa mortalité. Ainsi, la menace de mort est un révélateur de notre véritable intériorité, dans la mesure où elle nous renvoie à notre capacité de nous ressouvenir de ce que nous sommes réellement, un être humain voué à la mort, confronté à la question de son origine et de son devenir. Nous sommes alors renvoyés aux vraies questions concernant le sens de notre vie, concernant les valeurs sur lesquelles notre vie repose. On cherche trop souvent la question du sens l'extérieur de soi, comme si elle pouvait nous être livrée toute prête. Or le sens est en nous. Mais s'élabore et se construit en grande partie grâce aux épreuves qui portent en quelque sorte le germe du sens de nos existences. L'épreuve — et la menace létale en est une — confronte donc à une vulnérabilité extrême et en même temps, au creux de cette impuissance, on assiste parfois au surgissement d'une force insoupçonnée. Michel de M'uzan, clans un texte intitulé « Le travail du trépas parle d'expansion libidinale, de « surprenant élan pulsionnel », le professeur Fisher de « ressort invisible ». Chacun désigne par là la force psychique qui semble se mettre au service d'une tâche essentielle : s'accomplir, oser être soi, vivre plus consciemment et peut étre, selon l'expression de M'uzan, " tenter de se mettre complètement au monde avant de disparaitre ». Ce travail psychique, ce travail du trépas — travail du passage — commence " très tôt, car les processus morbides qui se déroulent dans le corps, l'appareil psychique ne manque jamais de les rep& rer à quelque niveau que ce soit ». II est possible, cependant, ajoute M'uzan, qu'il ne s'effectue vraiment qu'à partir du moment oh, ayant &passé la phase de dépression, le patient en vient à une sorte d'acceptation de son destin. En concevant le film « Une vie menacée j'ai souhaité donner la parole à quelques-uns de ces exclus de la société que sont les personnes atteintes d'une maladie chronique potentiellement mortelle. Au-delà de la solitude, de l'épuisement, de la souffrance, le film se propose surtout de montrer les forces profondes qui se manifestent pour y faire face : la solidarité, la tendresse, l'humour, la foi clans une dimension qui transcende l'homme, quel que soft le nom qu'on lui donne. Avoir contacté ces forces profondes en soi ne signifie pas pour autant que l'épreuve est définitivement dépassée. On peut connaitre d'autres brisures, d'autres désespoirs qui creuseront encore davantage la conscience de sa fragilité et de ses limites, mais ouvriront davantage aussi la capacité d'humour, de tendresse qui conduit à oser étre soi. Car la vie de chaque homme est un chemin qui doit le conduire à lui-même. La force de ce témoignage tient à l'authenticité de ceux qui, sentant qu'ils n'ont plus de temps à perdre, veulent vivre, et vivre l'essentiel. Ainsi, ils deviennent ce que, peut-étre, ils n'auraient jamais imaginé devenir. Ils découvrent un sens à leur vie. Les expériences douloureuses qu'ils traversent semblent stimuler en eux des aptitudes nouvelles. Ils semblent mieux apprécier les choses et les gens, étre plus tolérants dans leurs rapports aux autres. Ils deviennent plus sages. Voici quelques extraits de ce témoignage : « Ca nous apprend beaucoup de choses, cette maladie. Maintenant, je dis que la vie est géniale, parce que maintenant, je l'écoute, la vie. Non seulement je la vois, mais je l'écoute. C'est venu progressivement. Par exemple, il n'y a pas une journée ou it ne se passe pas quelque chose de chouette dans la vie, un détail, un sourire... il n'y a pas une journée ou ca n'existe pas. Survivre à tout prix, non ! C'est vivre bien ce que j'ai à faire : toutes ces choses formidables qui vous arrivent dans la vie, tous ces cadeaux qu'on reçoit, on doit les redonner, cela va de soi, on doit en faire profiter les autres. Donc, on va vivre, on aura le temps de faire ce qu'on a à faire » (Zazie, séropositive depuis cinq ans, décédée deux ans après ce témoignage). « La maladie m'a fait comprendre que j'approchais de la mort et en même temps, c'était un éveil. C'était une naissance pour moi. Donc, j'avais une nouvelle chance de voir autrement la vie. Je crois que je n'ai jamais été aussi heureux ! Je vais à l'essentiel. Je suis revenu aux petites choses simples, je commune plus facilement avec les éléments. Je crois que là, on tire le nectar de toutes choses. On pose les yeux sur les petites choses. On prend le temps de communiquer, d'échanger. On court, on court, on oublie tout ça ! Moi, pour me ressourcer, j'ai besoin d'un pare, la verdure, l'eau — tout ce qui est silencieux, en fin de compte, et qui apporte la paix, le calme. J'ai besoin de cette paix. Je crois que là, je suis en communion avec l'univers et je me sens aimé " (Jean Teddy, séropositif depuis onze ans). « J'ai pensé à la mort, mais je n'ai pas peur de la mort. Ma maladie n'a jamais été un regard sur la mort. Je l'ai pris comme une reconnaissance. Je me suis trouvée, moi, à l'intérieur. J'ai réussi à aller au-dessus de ma maladie par l'amour. C'est l'amour qui me donne cette force. Je crois que c'est l'amour qui me sauve. Voilà... et plus j'ai été vers l'amour, plus j'ai donné aux autres, plus j'ai aidé les autres, et plus je me suis aidée moi-même, en fait » (Valérie, séropositive depuis neuf ans). « C'est ça que j'oublie trop souvent : cet état d'urgence ! La mort n'est pas loin, elle risque même d'être proche. II y a quelque chose qui m'interpelle profondément, c'est ça, c'est une approche du coeur, arriver à aller au fond de soi, tranquillement, dans la difficulté les hésitations et les maladresses, mais éveiller cette présence à soi, l'autre » (Roland, séropositif depuis cinq ans). « On prend conscience qu'on est mortel, et que la vie dure un certain temps, en tout cas sur cette terre, et ça donne encore plus envie de se battre et de vivre et d'apprécier un tas de choses qu'on n'apprécierait pas si on n'était pas conscient qu'un jour ou l'autre on peut partir. Il y a des moments où on se sent seul, on perd des amis, et puis tout le monde ne comprend pas. II y a la peur d'être contaminé, la peur de l'image de l'autre si un jour elle se dégrade. Mais les autres ne se rendent pas compte de tout ce qui se vit de positif, de toute la force intérieure qui se découvre en même temps. On se rend compte qu'on est capable de porter beaucoup. Je voudrais ne pas avoir vécu tout ça pour rien, que ca serve à quelque chose » (Thierry, séropositif depuis cinq ans). 1. Ce film video est diffuse par l'Association Bernard Dutant (Maison des Associations, 93, Canebière, 13001 Marseille). --------------------------------------- Ma réaction par rapport à ces témoignages : A chaque fois qu'elle cite une personne, parfois elle dit --- tant d'années de séropositivité , puis mort il y a .... tant d'années. Terribles témoignages car sentence irrémédiable : tout séropositif est en survie ! Eh bien, sachant ce que je sais, vous le comprendrez, cela me fait bondir : l'enfer est pavé de bonnes intentions ! « Le principal fléau de l'humanité n'est pas l'ignorance, mais le refus de savoir. » Simone de Beauvoir
  11. Des experts du médicament pris dans des conflits d'intérêts Médecine Un tiers des experts interrogés par la revue Nature avouent avoir des liens avec l'industrie pharmaceutique. Le Figaro Jean-Michel Bader [20 octobre 2005] LA REVUE savante britannique Nature publie aujourd'hui une enquête révélant les liens étroits entre des chercheurs et des médecins experts du médicament d'une part, et les firmes pharmaceutiques, d'autre part. Plus d'un tiers des 685 auteurs étudiés ont déclaré un conflit d'intérêt potentiel avec un ou plusieurs laboratoires. Et dans 49% des cas étudiés, les recommandations qu'ils établissent, souvent au nom de sociétés savantes, pour les règles du bon usage des nouveaux médicaments, ne mentionnent jamais ces conflits d'intérêts. Selon Jim Giles, auteur de l'enquête, 70% des groupes d'experts en question sont touchés par le phénomène. Dans la vie d'un futur médicament, après des essais sur l'animal, des essais cliniques sur l'homme sont organisés. Depuis septembre 2004, les grandes revues médicales qui publient le résultat de ces essais ont décidé de réclamer que tout essai soit préalablement déclaré aux autorités sanitaires. Une fois tous les essais terminés, le dossier complet est étudié par la commission d'autorisation de l'Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) en France, ou par la Food and Drug Administration (FDA) aux Etats-Unis. Une fois le médicament autorisé, il faut donner des recommandations de bon usage (les doses, les durées, l'étendue des indications) du médicament. En France, c'est l'Afssaps qui produit ses recommandations. Mais aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, il suffit d'avoir une qualification professionnelle, d'être affilié par exemple à l'Association américaine du diabète ou à la Société royale de médecine britannique, et de respecter une méthodologie de base. Or ces groupes autoproclamés sont infiltrés par l'industrie à un niveau inégalé : sur 200 groupes de recommandations mondiales, déclarés en 2004 aux Etats-Unis, seuls 90 contiennent des détails sur les conflits d'intérêts de leurs auteurs et seulement 31 de ces dernières sont libres de toute influence industrielle. Plus d'un tiers des groupes comprenait au moins un membre titulaire d'actions de la compagnie dont on étudiait le médicament. Or, pour Bruce Fye (Mayo Clinic, Rochester, Minnesota), les médecins sont influencés directement par ce type de recommandation qui a un effet direct sur les ventes et donc sur la cote boursière des firmes. Un exemple de ces recommandations «orientées» : dans le traitement de l'anémie des sujets contaminés par le VIH, un groupe d'experts avait été sélectionné par Paul Volberding (université de Californie, San Francisco). Ce pionnier de la recherche sur le sida l'a fait à la demande de Ortho Biotech, une firme américaine qui a payé les six experts, dont M. Volberding. Le groupe a bien évidemment recommandé l'usage prioritaire du produit commercialisé par Ortho Biotech.
  12. Le premier problème en matière de droit est de trouver un juriste intelligent, sincère et peut-être pas forcément acquis à " la cause " mais procédurier et tacticien. De plus, les meilleurs, bien souvent, et cela peut vous faire bondir...se payent... Les films Hollywoodiens d'Avocats engagés et bénévoles qui gagnent les causes perdues ne sont souvent que des films. Dans la réalité, c'est tout autre chose ; cela n'enlève rien à ma vision optimiste de l'existence mais à ne pas confondre avec de l'angélisme béat. Donc, quel est cet avocat ( Maître Collard ?.... ) efficace et vénal. Maître Vergès, ce serait mieux... Et, il faut voir cela également au niveau international... Aller, on va jouer au permier qui trouve ! Je suis la voie qu'ouvre Wallypat et attends avec impatience ( sincèrement ) ses idées... Mais, si elles sont diffusées sur ce site la " partie adverse " ne peut que se régaler. D'ailleurs, la tactique de la " partie adverses " est de dire qu'il n'y a pas de partie adverse puisque la réalité est connue : le VIH existe et il donne le SIDA, tous les scientifiques sont d'accord à part quelques huluberlus - d'ailleurs regardez ce forum... sur onnouscachetout.com qui mélange UFO etc.... Théorie du complot.... hien.. pas très sérieux tout ça, non ? Allons, allons, soyez sérieux...
  13. Bon, d'accord, on va faire comme les autres... On va faire sérieux ; on va mettre cet interlude sous le signe de besoin de récration sous pleine lun !..... Finalement cela me fait penser à ce besoin inhérent à tous : rire pour sortir du drame, de l'obsession. Mais n'a-t-on pas tout dit ? Tant qu'une certaine médecine perdurera, surtout en France ( pays le plus gros consommateur en Médicaments de Labo au monde !.... beau score !), nous pouvons nous interroger, et surtout nous prtéger de cette polution médiatique. Dernier cas : la grippe aviaire. Nous apprenons qu'un stock d'antiviraux ( et non retro viraux !?...)a été constitué et est géré par l'armée... Acheté à qui ; quel labo ? On met cela sur le compte des médias qui eux - mêmes font leur méa culpa reconnaissant qu'ils terrorise en sur - désinformant. Finalement, pour certains, c'est " le pied " ! Il n'y a pas grand chose à faire : une " bonne " agence de presse et le tour est joué.... Mais que fait Anne Méau ?
  14. De retour.... http://perso.wanadoo.fr/igor.reitzman/ : je pense à Igor et à son chemin emprunté depuis longtemps maintenant déjà.... sur les thèmes de la violence et de l'épanouissement. Mais, il n'est jamais trop tard ! Parfois, je me surprends à penser / sentir que je vis dans une époque régressive... Je n'arrive pas à y croire. Mes beaux espoirs en un monde meilleur seraient - ils ...angéliques... Non, non, c'est à moi, à nous de travailler..sur nous, d'approfondir, de partager et d'apprendre à s'ouvrir ! Dépasser nos peurs.
  15. Compte rendu d'une conversation sur le SIDA en Afrique------------------------------------ Il m'arrive fréquemment de rencontrer des missionnaires ou autres personnes qui reviennent d'Afrique après plus de10 à 20 ou trente ans et plus d'expériences là - bas. Hier, je parlais avec une personne ( de sexe masculin ) qui a vécu 25 ans en Centre Afrique et qui a collaboré avec plusieurs ONG et autres organisations caritatives. Je n'ai pas manqué de lui demandé de me parler de sa vision de la réalité sur le " SIDA ". J'ai eu droit à tout un vocabulaire...taux de prévalence etc.. Plus important en centre Afrique qu'au Congo etc.... Mais, lui dis - je, est - ce que vous avez constaté qu'il y avait plus de morts qu'avant le " SIDA " ? Bien sûr, me dit - il. Mais, comment, lui demandais - je. Eh bien, me dit-il : le cimetière a été multiplié par dix. Ah bon lui, dis-je. Et les naissances ? Aucune réponse bien précise de sa part... De quoi meurent - ils lui demandais-je ... Eh bien, du Sida, me répondit-il. Oui, mais on ne meurt pas du Sida, lui - dis -je, c'est un syndrôme, on meurt - même dans la théorie officielle - d'une maladie opportuniste ( tuberculose etc... ). Là, je vis son regard s'assombrir et devenir perplexe. Je ne l'attaquais en rien pourtant, me semble-t-il, si ce n'est que j'essayais, avec lui, de tenir des propos cohérents. Il n' a pas été possible d'avancer plus loin dans la conversation au risque de se fâcher... Mais, j'ai retenu une perle : De toute façon, me dit-il, quand ils voient ( les autochtones ) qu'il ( le malade présumé ) a les symptômes ..... ils arrêtent de le nourrir !!!!!!!!!!
  16. Une autre possibilité http://www.rsf.org/rubrique.php3?id_rubrique=527
  17. Cinq bonnes raisons daffirmer quamour = santé http://www.psychologies.fr/cfml/article/c_article.cfm?id=594 Aller, ça fait du bien !
  18. « Quand des médecins refusent de soigner des séropositifs » Le Parisien Le Parisien indique sur une page que selon une étude dévoilée par Sida Info Service, « 8 séropositifs sur 10 se disent victimes de discrimination. Pire : dans près de 44 % des cas, cest dans le cabinet dun docteur que les portes se ferment ». Le quotidien précise ainsi que selon cette enquête, « 43,7 % des séropositifs ont déjà été confrontés au refus dêtre soigné par un dentiste, un gynécologue ou un médecin généraliste ». Le journal cite un patient séropositif, qui remarque : « Si on ne se renseigne pas avant sur le médecin, il y a de grands risques dêtre mal reçu ». Le Parisien estime que cette « discrimination [est] malvenue de la part de professionnels parfaitement renseignés sur le virus et qui va à lencontre même du serment dHippocrate ». Le quotidien ajoute que « le monde du travail arrive en seconde position avec 37,7 % de discrimination envers les personnes atteintes par le virus ». Le Parisien note qu« il est aujourdhui plus difficile davouer sa séropositivité quil y a 20 ans ». Le journal cite Hélène Roger, coordinatrice du collectif Sida, qui déclare : « Nous avons du mal à concilier les messages destinés à faire accepter les séropositifs et où la maladie est relativisée, avec ceux destinés à la prévention où lon rappelle que le sida est une maladie grave et mortelle ». .... Le chaud et le froid : Comment sortir de ces incessants " triangles dramatiques " ( persécuteur, sauveteur, victime ). Finalement lorque l'on est " dissident séropositif " ( ?! est -ce possible ? ), on est "emmerdé au carré ". Il y a des jours...on a envie de rester sous la couette ! Mais, enfin ! Le vie est belle !
  19. Le virus du sida actuel est moins actif ( 30.09.2005 ) Alors là, pour le coup, oui, je le dis, Vulgarisation pétrolette ! Je voudrais bien qu'on me dise comment on compare la virulence de virus dont on ne parvient pas à démontrer l'existence ? Comment fait-il ce brave homme ? J'aimerais bien avoir des informations plus techniques sur les protocoles utilisés !
  20. ..."On aurait pu l'appeler le Stavudine Building. Le nouveau bâtiment s'élève près de la Medical School, non loin des « collèges » néogothiques et des bibliothèques d'allure médiévale de l'université Yale, à New Haven (Connecticut). Ce ne sont ni les subventions ni les droits d'inscription qui ont permis de régler, rubis sur ongle, la moitié des 176 millions de dollards qu'a coùté ce nouveau temple dédié à la recherche, mais les royalties d'un médicament antisida, découvert et breveté par l'université. Depuis sa mise sur le marché, en 1994, la stavudine ( 1) a rapporté à Yale au moins 261 millions de dollars (292 millions d'euros) (2). représentant 90 % des royalties engrangées par l'université, le médicament a permis à celle-ci de caracoler dans le peloton de tête des universités américaines les plus gâtées par la propriété intellectuelle. (1) appelée aussi d4t, la stavudine est un inhibiteur nucléosidique de la transcriptase inverse du VIH, famille de l'AZT (2) entre les années 1994 et 2000"
  21. Quen penses - tu Cheminot ? http://perso.wanadoo.fr/vincent.masson/bioch/western.htm Pour ma part, cela ne m'éclaire en rien ; ça ne fait que me décrire une technique mais ça ne me dit en rien en quoi elle est signifivative par rapport au problème du HIV ; j'appelle cela de la vulgarisation pétrolette.
  22. J'apprécie beaucoup les posts de ces dernière heures. Ils recentrent le débat et donne des éclairages techniques que je trouve accessibles pour un non spécialiste. Aixur, tu prônes le radicalisme, l'engagement dans la conviction... Ca me plait. Mais le dialogue que Psyence initie fait avancer les choses, me semble - t - il. Trop de concensus ou de pseudo dialogue noie le poisson, il est vrai. Par rapport à l'anonymat sur Internet : sans être un cador de l'informatique, il y a des techniques accessibles qui permettent de bien brouiller les cartes même pour des services spécialisés. Quand à l'illusion qu'il n'y a pas d'investigations hors actions légales judiciaires, là c'est de l'utopie ; ïl ne faut pas se faire d'illusion, dans ce monde certains ne s'encombrent absolumment pas de certaines " précautions ". Mais, le mieux, c'est de ne rien avoir à cacher, n'est-ce pas ? Les plus grands coquins ont très vite compris que pour être dans la légalité il fallait détenir le pourvoir de faire voter les lois. On appelle cela pudiquement : Lobbying. ( Mais, bien sûr, il y a aussi du bon lobbying ). - En ce qui concerne le milieu médical français, qui est le plus étroitement imbriqué au monde avec les laboratoires, il est en train de vivre l'apogée de son aliénation... peut - être pas encore tout à fait..encore quelques années. Mais, il est clair que cela ne pourra durer ainsi. Quand à la formation des jeunes médecins : elle est basée sur un compétition malsaine dès le départ où les qualités recherchées ne correspondent que peu à ce que l'on pourrait attendre d'un esprit large. Il y a un déficit de plus an plus accru de culture général chez les nouveaux arrivants ; Et puis, il sont tellement pris dans le système qu'il leur et très difficile de prendre du recul... Ce que l'on voit dans le site des carabins
  23. Pages des derniers posts du forum "sida-sceptiques" aussi appelés "individus dangereux" sur le site de l'association des Etudiants en médecine de France. http://www.e-carabin.net/showthread.php?t=15850&page=4 Eh bien... Y'a du boulot. Irions nous vers une société clanique, communautariste ? France du haut, France du bas, Pro sida, antisida, Hommes, Femmes Couples, célibataires Rat des villes, Rats champs etc....
  24. Je viens de revisiter le site de Candide ( qui ne se manifeste plus ) et de lire certains posts de forum cité par Viduité, je crois. Les forums d'Onnouscahetout.com peuvent paraître " olé, olé " à certains ; il est vrai qu'il est insupportable parfois d'avoir une autre vision du monde que celle prétablie du monde dit normal... Il est toujours possible de transmettre une inforamtion sans jargonner, surtout en médecine qui utilise la science plus qu'elle ne soit une science par elle même. Sur ce forum, je crois qu'il y a une vrai tentative d'informer et d'interpeller sans rejeter ( sous forme de calomnie, de chasse au socière etc...) Bizarrement la chasse aux sorcières, ce n'est pas ici que ça se passe ! MAis, je suis assez confiant et, je crois, malgré tous les efforts de censure et l'argent en jeu, rien n'empêchera la vérité de voir le jour ; et, je pense, qu'elle nous surprendra tous... A tel point, que nos descendants riront de nos affrontements comme nous rions de ceux qui ont condamnés Copernic. Mais je fais toujours confiance à Montaigne, Molière et bien d'autres au sujet de la médecine.
  25. Je vois que ça bouge depuis tout à l'heure. Pour ma part, je ne me sens pas dissident, rebelle systématique, ne pouvant accomplir son deuil ( déni ) ; Non, je suis en recherche de vérité et cela passe par accepter ses contradicitions et celles des autres. Mais, en aucun cas, il s'agit d'imposer aux autres un point de vue de manière arbitraire ; car, selon moi, c'est ce qui se passe actuellement. C'est presque honteux - ce manque de remise en question du côté du point de vue officiel. Je comprends la peur et les réactions qu'elle peut engendrer ; par exemple, lorsqu'on a suivi, en confiance, des personnes et qu'on a adopyé leur vision du réel VIH = SIDA, et que donc, on a pris des trithérapies, cela peut être insupportable, souvent impossible, de revenir en arrière. C'est ce qui se passe chez beaucoup de séropositifs qui ont réglé le problème en se disant je prends mes pilules et j'oublie. Ou, je prends mes pilules et je ferme ma gueule parce que moi, je n'y comprends rien ou je ne suis pas assez intelligent pour comprendre. Seulement voilà, l'époque est train de changer ; la position toute puissante de celui qui sait qui dicte sa conduite à celui qui ne sait pas n'a plus de sens dans le monde actuel. Certes tout tourne autour de la confiance, et pour que la confiance se contruise il faut accepter le doute, écouter et se remettre en question. Cela a toujours été et sera toujours ainsi. Le mérite du problème du vih est de faire que les personnes confrontées a cela sont obligées de s'occuper de plus prêt de leur/la santé et de ce que cela implique. "4 - Pourquoi les personnes refusant tout traitement pour leur convictions ne se constituent-elles pas officiellement pas comme groupe témoin des « effets » dun test vih positifs sans traitement ? (de façon à pouvoir avoir une référence )" Je crois que celui qui dit cela ne mesure l'ostracisme auquel il faut faire face simplement pour envisager les choses différemment. Mais, je tiens à le rassurer, cela est train de se faire et sera publié en temps et en heure.
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