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sidarta

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Tout ce qui a été posté par sidarta

  1. Interview : Djamel Tahi (cinéaste franco-algérien) : Il y a trop de malversations autour du sida jeudi 7 septembre 2006 - Par Le Patriote Taille des caractères Le Patriote : Pourquoi avez-vous décidé de faire un film aussi sensible ? Djamel Tahi : Cest une question pertinente. Et la seule manière dy répondre cest que je me suis toujours intéressé aux problèmes de santé publique. Je suis tombé sur ce débat scientifique complètement par hasard. Jai découvert un tout petit article dans un journal anglais qui en quelques lignes relatait cette polémique. Et ma curiosité naturelle et aussi dinvestigateur ma poussé à interroger les scientifiques français sur cette polémique. Et là jai été confronté à un refus total de débattre de cette question et même une certaine agressivité du fait que jai posé ce genre de question. Cest ce qui ma poussé à minterroger un peu plus loin. Mais javais travaillé auparavant sur des vaccinations, le cancer. Je savais par expérience les grands problèmes de santé publique. Et là, souvent on cache des malversations, des débats quon occulte et qui sont extrêmement importants. Et là, je me suis dit quil a quelque chose dimportant à révéler. LP : Un sujet comme ça ne doit pas forcément attiré les producteurs ? Comment avez-vous trouvé les fonds pour le tournage ? DT : Je peux vous dire que moi-même jen suis encore étonné. Quand jai proposé ce film, je connaissais Daniel Leconte, Producteur de lémission "De quoi je me mêle" qui évoquait les sujets que les gens ne voulaient pas aborder. Jai écrit ce projet et je le lui ai soumis. Comme il démarrait son émission et quil avait besoin dun sujet à polémique, ça tombait à pic. Lui à son tour la proposé au responsable de la chaîne et à ma grande surprise, ils lont accepté malgré le côté polémique du sujet. Je ne sais pas pourquoi, ils lont accepté. Je suis certain quaujourdhui ils ne refuseraient. LP : Comment le tournage sest-il déroulé ? DT : Il sest relativement bien déroulé avec tous les intervenants qui étaient des dissidents. Ils ne demandaient quà parler puisquon ne le leur donnait pas la parole. Par contre, avec ceux qui nétaient pas dissidents, cétait un peu compliqué. Jai du faire preuve de beaucoup de prudences tout en éludant pas les questions que javais envie de leur poser. La difficulté avec tout ça a été de bien comprendre la problématique qui est très scientifique. Comme je nétais pas un habitué des débats scientifiques, il a fallu que je me familiarise avec le débat et lécriture scientifiques. LP : Avez-vous éprouvé des difficultés justement pour faire parler déminents scientifiques qui défendent la thèse que vous mettez en doute ? DT : Je dois reconnaître que jai un peu rusé, dans la mesure où je leur ai dit que je voulais aborder dautres questions du SIDA notamment les mycoplasmes, létendue de lépidémie. Je nai cependant pas avancé à visage caché. Jai seulement relégué la question essentielle du film en 4e voir 5e place. Autrement dit, je ne débutais pas mes interviews par cela. Comme cest des gens qui aiment les médias, ils ont accepté de répondre à mes questions. Sils ont accepté cest parce quils voulaient être dans un film. Et cette question sur la dissidence, je lai relégué en 3e voir 4e partie. Cela ma permis daborder le sujet dune manière extrêmement sereine. LP : Le film remet en cause létiologie du SIDA. Pourquoi ninsistez-vous pas sur les conséquences de cette "erreur" qui consiste que le VIH est à lorigine du SIDA ? DT : Je ne dis pas que cest une erreur. Jai une opinion personnelle là-dessus, mais elle nest pas importante parce quen tant journaliste je dois étudier ce qui se dit, comparer les arguments et ensuite à terme peut-être en tirer quelques prémisses de conclusions. Donc pour moi, je ne me hasarderais pas à dire que le VIH nest pas la cause du SIDA. Je dirai simplement que bon nombre des arguments que les dissidents ont soumis sont parfaitement recevables et ils nécessitent quils soient approfondis. Mais, une chose est aujourdhui importante et qui à mon avis devrait être traité par les journalistes africains : cest la question épidémiologique du SIDA. Il faut étudier ces donnés épidémiologiques dans toute lAfrique et les comparer à la réalité des malades. En ce moment là, on se rendra compte quon dit un peu tout et nimporte quoi sur lAfrique. Je ne dis pas quil ny a pas de SIDA en Afrique. On peut mettre le sigle quon veut sur ce syndrome. Des millions de gens sont infectés en Afrique, mais sur quelles bases. Y a-t-il une corrélation entre les malades qui se déclarent et le nombre de cas infectés. Ce sont des vraies questions que les journalistes africains devraient aborder. LP : Votre film a été victime de censure avez-vous reçu des menaces de mort ? DT : Je nai pas reçu de menaces mais, jai été agressé verbalement, conspué, parfois physiquement en France par des membres dassociations. La communauté scientifique et la presse en général mont condamné dune manière terrible. Ils ne mont pas accordé un droit de réponse. Ils ont condamné mon film dans leurs journaux et leurs éditoriaux, jai tenté dy répondre mais, ils nont pas accepté mes réponses. LP : Pensez-vous navoir pas été compris ? DT : Je ne dis pas que je nai pas été compris. Je dis plutôt quils ont montré une fois de plus que le SIDA est un dogme, un domaine auquel il ne fallait pas touché sans y avoir été autorisé. Et si vous navez pas lautorisation des pères du SIDA, c'est-à-dire ce qui travaille sur la recherche du SIDA, vous êtes systématiquement condamné. LP : 10 ans après le film, avez-vous le sentiment davoir trouvé des réponses aux questions que vous posez ? DT : Bien sûr, jai certains éléments de réponses. Sur la fiabilité des textes je peux dire à coup sûr quil y a un vrai problème quil faut dénoncer et mettre au grand jour. Je travaille là-dessus. Sur lépidémiologie cest encore plus vrai. Le désastre annoncé dans les pays touchés par le SIDA nest pas apparu. Cest comme en Europe où les gens écrivaient dans les journaux que les hôpitaux ne suffiront pas pour recevoir tous les malades. On sest rendu compte après que cétait nimporte quoi tout ça. Et le plus grave, les gens qui ont dit ça ne se sont jamais remis en cause. Aujourdhui, on ne parle de lEurope, toutes les associations et même le monde médical ont les yeux tournés vers lAfrique. Quand ils demandent des subventions cest aider les Africains. LP : Quelles seront les questions essentielles de votre prochain film ? DT : Jai exploré tout ce qui mettait en doute la fiabilité des tests du SIDA, à savoir les tests de dépistage, les tests de diagnostic et lisolement même du VIH. Et là, je crois que jai mené les interviews les plus importantes. Et les réponses que jai obtenues sont loin de mavoir rassurées sur cette question. Bien au contraire. A Ouagadougou par Y. Sangaré
  2. sidarta

    Guérir le Sida!

    C'était bien dans le sens de la réponse de Wallypat que j'ai posté l'adresse de l'article d'Arcat - Sida. C'est bien une subtilité supplémentaire que l'on peu rencontrer chez les orthodoxes du Sida. Dans cet article, il est dit que les médecins ne croient pas à l'importance du stress oxydatif parcequ'il ne connaissent le problème suffisamment. On pourrait presque croire que l'auteur est un adepte de la dissidence. Puis en effet, sur des informations justes, il y a un ensemble d'assertions fausses, non avérées etc... Je me pose toujours la question comment une personne de bon sens peut se permettre d'écrire un tel tissus de mensonges ; car, je crains que la personne qui a écrit soit de bonne foi
  3. sidarta

    Guérir le Sida!

    Stress oxydatif et VIH Les antioxydants qui dérouillent `Paru dans... Couverture du JDs Cet article est paru dans le Journal du sida n°188 (septembre 2006) Les antioxydants sont souvent un objet de discorde entre patients et médecins. La plupart des médecins n'y croient pas et surtout ne connaissent pas leurs actions et leurs doses. Beaucoup de patients les utilisent, non pas pour remplacer leur thérapie antivirale, mais pour diminuer les effets indésirables des traitements et contrer le « vieillissement accéléré » dû au VIH. http://www.arcat-sante.org/167/Article_du_JDs&article_id=648
  4. sidarta

    Guérir le Sida!

    Bienfaits des antioxydants: un mythe? 9 août 2006 - Dans un article qu'il vient de publier, le magazine scientifique New Scientist met en doute l'efficacité et l'innocuité des antioxydants1 sous forme de suppléments. L'auteure, une vulgarisatrice scientifique reconnue en Angleterre, remet en question l'hypothèse selon laquelle les substances antioxydantes que renferment certains aliments auraient des effets bénéfiques pour la santé. Biochimiste et immunologue, Lisa Melton laisse même entendre que les suppléments vendus comme antioxydants pourraient représenter un danger pour la santé. Sans dévoiler de nouveaux résultats d'études, l'auteure fait plutôt un survol de certaines données choisies et en tire des conclusions. Interrogé à ce sujet, le pharmacien Jean-Yves Dionne juge ses conclusions pour le moins hâtives. « Les études auxquelles elle se réfère ne représentent pas la totalité du corpus scientifique portant sur les effets des antioxydants, dit-il. Les données qui en ressortent ne peuvent, à elles seules, amener à conclure que les antioxydants sont inefficaces ou dangereux pour la santé. » Expert en produits de santé naturels, Jean-Yves Dionne fait remarquer que la vulgarisatrice scientifique ne cite que les études dont les résultats sont négatifs en négligeant celles qui ont obtenu des résultats positifs. « Ses conclusions sont donc, à mon avis, abusives et trompeuses. On peut d'ailleurs s'interroger sur les objectifs réels de la Fondation Novartis qui emploie l'auteure de cet article », laisse-t-il tomber. Lisa Melton travaille en effet pour une fondation caritative financée par Novartis, une multinationale pharmaceutique. Les suppléments : oui ou non? La popularité des antioxydants tient au fait que nombre d'études épidémiologiques ont démontré que les personnes qui consommaient une abondance de fruits et de légumes, qui en sont riches, étaient moins susceptibles de souffrir de diverses maladies attribuables au stress oxydatif : troubles cardiovasculaires, diabète, démence sénile, certains types de cancers, etc. Cet engouement pour les antioxydants a donné lieu à une forte augmentation de la consommation de suppléments riches en vitamines et autres substances naturelles antioxydantes : vitamines E et C, bêta-carotène, lycopène, polyphénols, extraits de pépin de raisin, d'écorce de pin, de canneberge, de bleuet, de thé vert, etc. Ce secteur des produits de santé naturels a connu une croissance de 18 % l'an dernier, apprend-on dans l'article du New Scientist. « Ce qui est certain, indique Jean-Yves Dionne, c'est que la consommation d'aliments riches en antioxydants est bénéfique pour la santé et que rien ne permet de supposer qu'il serait dangereux d'en abuser sauf, peut-être, dans le cas du bêta-carotène chez les fumeurs ayant déjà souffert d'un cancer. » Selon lui, la communauté scientifique s'entend sur une chose : il vaut mieux bien s'alimenter plutôt que de prendre des pilules pour compenser de mauvais choix nutritionnels. « Les suppléments ne peuvent remplacer une bonne alimentation, affirme le pharmacien, mais ils peuvent certainement la compléter. » Pierre Lefrançois - PasseportSanté.net D'après NutraIngredients-USA.com. 1. Melton L. The antioxidant myth: a medical fairy tale, New Scientist, No 2563, Angleterre, 2006. [Consulté le 8 août 2006]. www.newscientist.com
  5. sidarta

    Guérir le Sida!

    Mon cher Wallypat, Simplement pour te dire que je te lis et que j'apprécie ton travail d'investigation que je trouve majeur. Merci. A bientôt.
  6. sidarta

    Guérir le Sida!

    SFA, rue de la Paix... Opéra... Juste Marché !
  7. sidarta

    Le glutathion

    En france, il est tout à fait possible de faire des analyses sur son état de stress oxydatif ; il faut demander à son médecin s'il connait un laboratoire et si ce n'est pas le cas lui demander s'il connait un de ses confrères qui connait cela.... Sans le vexer bien sûr.
  8. sidarta

    Guérir le Sida!

    Et relire, le Némésis médicale : l'expropriation de la santé ! d' Ivan Illich
  9. sidarta

    Guérir le Sida!

    " Je me demande si l'orthodoxie SAIT (vih non-isolé correctement, anti-oxydants aussi efficaces que les tri-thérapies, etc...) et continue à faire VOLONTAIREMENT la politique de l'autruche " -------------------------------------------- En fait, selon moi, nous sommes plus confrontés aux travers de la nature humaine qu'à une volonté consciente de nuire. Je m'explique : l'être humain a certes beaucoup de qualités et de potentiels mais, parfois, souvent, il est lourd...lourd. Cette réalité n'épargne pas nos chers médecins orthodoxes qui se sont réunis en " corps ", en "ordre " depuis la deuxième guerre mondiale. Les laboratoires exploitent cet état de fait avec le plus grand cynisme et une certaine habileté ; il faut dire que leurs clients , les médecins, pas les patients, il ne faut pas s'y tromper, sont relativement dociles. Alors, où veux - je en venir ? Tout simplement à ce que le problème, dans l'affaire, tient plus à des comportements grégaires et passifs des médecins et autres personnes concernées, qu'à une volonté consciente de nuire. Nous sommes dans le cas de figure de la personne qui n'arrête pas de vous marcher sur les pieds tout en vous répétant qu'elle ne le fait pas exprès : en deux mots, une personne qui ne s'appartient pas. Il est très facile de faire taire les gens et del les mettre dans le rang ; pour cela il y a plusiieurs moyens qui de toute façon tournent toutes autour de la peur. Peur d'être exclus du groupe, Peur du ridicule, Peur de ne pas subvenir à ce que l'on croît être ses besoins, Peur de l'emprisonnement ( Hamer ), Peur de voir la vérité en fasse et de mesurer son errance du passé, Peur d'avoir eu tord etc.... Encore une fois, pour moi, la médecine derait être une vocation, en aucun cas un métier banalisé comme on tente de faire croire aux médecins et à leurs " patients ". Un métier où, il faut se " mouiller ". La Signature de Wallypat va, encore une fois, dans ce sens. En matière de propagande, Goebbels était un enfant de coeur par rapport à ce qui se fait de nos jours. Alors ? IL faut faire ce que nous faisons : rentrer en résistance. C'est tout.
  10. sidarta

    Guérir le Sida!

    Acétylcystéine et infection à VIH
  11. sidarta

    Guérir le Sida!

    Bien entendu Diamant Bleue... Le coût des traitements de l'orthodoxie du Sida est nettement plus élevé, sans comparaison possible....mais remboursé ! Un ami pharmacien de mes amis tenait cette explication quant au non remboursement de médicaments dits de conforts tels que : Légalon, Oméga 3/6, N-acétylcystéïne etc.... C'est, selon lui, pour compenser le coût du traitement des médicaments contre le SIDA !
  12. sidarta

    Guérir le Sida!

    Du coût des traitements alternatifs : Comment rendre accessible les traitements alternatifs ? Je me suis amusé à faire une évaluation d'un traitement mensuel relativement simple chez Supersmart, un site honorable : 324 € / mois : Abordable.... Il faut voir pour qui. Je peux me le permettre mais et les autres. Alors que faire ? Cultiver son jardin ? Faut-il encore avoir un jardin. Alors, les pistes sont ouvertes ; a mon avis cette réflexion mérite d'être approfondie : Comment rendre accessible les traitements alternatifs ? Ma commande Tous les calculs sont effectués en Euro et convertis dans votre monnaie pour information. Seul le montant final en Euro doit être pris en considération Pour plus d'informations veuillez vous référer à l' Aide ou consulter les Conditions de vente. Code Produit Prix unitaire Quantité Prix TTC 0384 Super Omega 3 - 500 mg 24.00 € 24.00 € Recalculer Supprimer 0301 R-Lipoic Acid 34.00 € 34.00 € Recalculer Supprimer 0072 N-acétyl cystéine 600 mg 23.00 € 23.00 € Recalculer Supprimer 0396 SAM-e 400 mg 99.00 € 99.00 € Recalculer Supprimer 0064 Triple C 23.00 € 23.00 € Recalculer Supprimer 0370 Siliphosâ„¢ 120 mg 24.00 € 24.00 € Recalculer Supprimer 0006 Coenzyme Q10 30 mg 33.00 € 33.00 € Recalculer Supprimer 0293 Jarrow-Dophilus EPS 36.00 € 36.00 € Recalculer Supprimer 0364 Magnesium Orotate 500 28.00 € 28.00 € Recalculer Supprimer Montant de la commande 324.00 € Prix du port 0.00 € Prix à payer 324.00 € Rajouter le coût du thérapeute ( par forcemment remboursé ) et le psychothérapie. Minimum 300 € par mois Soit plus de 600 € / mois au minimum !... Pour bien faire. Il y a problème, non ?
  13. sidarta

    Guérir le Sida!

    Un Article déjà ancien émanant de l'othodoxie du sida : Acétylcystéine & infection à VIH samedi 1er juillet 2000. Antyoxydants Un point sur lintérêt de la N-acetylcystéine dans la protection du système immunitaire. Le stress oxydatif semble particulièrement important chez les séropositifs. Ces oxydants accélèrent la dégradation du système immunitaire, notamment la diminution des lymphocytes, et peuvent même contribuer à stimuler la réplication virale. Ce phénomène est amplifié par le déficit en antioxydants. Le recours à des substances comme lacetylcysteine peut contribuer à rétablir léquilibre. Le stress oxydatif Au niveau de la cellule, toutes les réactions produisent ce quon appelle des radicaux libres, des molécules extrêmement réactives, capables de dégrader ce qui les entoure par oxydation [1]. Ces radicaux sont en particulier produits par la respiration de la cellule au niveau de petites structures appelées mitochondries qui ont la particularité davoir une membrane lipidique et un patrimoine génétique (ADN) propre : elles se multiplient à lintérieur de la cellule par des processus identiques à ceux de la multiplication cellulaire. Les radicaux agressent les membranes et lADN des mitochondries (cest la toxicité mitochondriale de certains antirétroviraux) mais aussi les membranes cellulaires. Ces dégradations mènent en général pour les globules blancs à la mort cellulaire par apoptose [2]. La production de radicaux libres est amplifiée par linfection à VIH : les lymphocytes sont dans un état dactivation extrêmement élevée qui conduit à la production de ces radicaux ; cette activation ne concerne pas que les cellules infectées mais aussi les cellules saines par le biais de signaux de mort envoyés par les premières (des cytokines [3] ou directement des protéines du VIH larguées dans le plasma par les cellules infectées). On assiste à une mort prématurée des cellules immunitaires que lutilisation dantioxydants peut limiter. Les antioxydants sont en fait des molécules qui vont se laisser oxyder par les radicaux libres avec deux conséquences : les radicaux désoxydés (on dit réduits) perdent de leur toxicité et les antioxydants une fois oxydés perdent leurs propriétés : il faut les réduire pour les recycler. Les radicaux libres sont dabord libérés sous forme dions peroxydes extrêmement réactifs. Un premier antioxydant (la SOD [4]) sert à transformer ces ions en peroxyde dhydrogène un peu moins agressif (cest leau oxygénée dont les propriétés antiseptiques sont connues). Sa réduction est alors prise en charge par une molécule appelée glutathion. Cet antioxydant permet aussi de régénérer la SOD oxydée ainsi que dautres antioxydants comme les vitamines C et E utilisées dans la chaîne de réactions mises en place par les cellules. Or les taux de glutathion diminuent dans le cas de linfection à VIH et limportance de cette diminution a une valeur pronostique très forte sur la progression vers le SIDA et la survie des personnes atteintes. On voit pourquoi : nétant plus protégées par le glutathion et les vitamines C et E, les lymphocytes entrent en apoptose massivement, dautant plus quun déficit en glutathion empêche le recyclage de la SOD et des vitamines C et E. De plus, dans un lymphocyte infecté, les radicaux libres activent la division cellulaire et donc la production de virus. Les essais cliniques Lintérêt de retrouver des taux de glutathion normaux paraît clair : une supplémentation en N-acetylcystéine (un précurseur du glutathion) permet datteindre ce but. Un essai 5 mené à la Pitié-Salpétrière a confirmé cette hypothèse : 15 patients recevant de la NAC (600 à 1200 mg/j en fonction de la tolérance) ont été suivis une année. On a prélevé périodiquement des lymphocytes qui ont été mis en culture et on a regardé leur viabilité en comptant à 3 jours, 6 jours et 10 jours les lymphocytes morts ou apoptotiques (agonisants) et les lymphocytes vivants. Les résultats sont sans équivoque : avant la supplémentation en NAC, au dixième jour, 60 à 100% des lymphocytes de personnes infectées sont apoptotiques ou morts contre 20% chez les séronégatifs. Ces résultats perdurent de 2 à 6 mois : après les choses changent. Les séropositifs recevant de la NAC font mieux au bout de 6 mois que les séronégatifs ! Par ailleurs la chute des CD4 a été enrayée chez les personnes recevant de la NAC malgré un traitement insuffisant (AZT en monothérapie : lessai date de 1993). Une autre étude6 (contre placebo) vient de mesurer les changements induits par la NAC associée ou non à un antirétroviral (avec ou sans inhibiteurs de protéase) : ils ont dabord évalué les besoins en mesurant la concentration plasmatique en glutamine (corrélée avec le métabolisme de la cystéine). Ils trouvent (en micromoles/litre) : pour les patients HIV- : 560/670. pour les patients HIV + non traités : 500/650. pour les patients HIV + traités sans antiprotéases : 500/640. pour les patients HIV + traités par antiprotéases : 500/580. On voit que les traitements aggraveraient plutôt le déficit en cystéine, surtout sils comprennent des antiprotéases. La mesure de ces taux a permis dajuster, pour les patients séropositifs, la supplémentation en NAC (de 600 mg à 3g/j) de façon à faire évoluer ces taux vers les taux de référence des séronégatifs. Des résultats comparables à ceux du premier essai sont retrouvés sur divers paramètres qui caractérisent lefficacité dun système immunitaire : réponses à des stimulations par des antigènes, production de certaines cytokines. La NAC est sans effet sur les CD4 des personnes traitées par antirétroviraux, mais, comme dans létude précédente, les personnes sans traitement mais recevant de la NAC ont stabilisé leurs CD4. Pour les autres paramètres, le bénéfice est équivalent quil y ait ou non traitement. Enfin il faut signaler que la NAC na pas eu dimpact sur la charge virale. Perspectives Comme tous les antioxydants, les effets de la NAC vont très au-delà de la lutte contre le VIH. 1/Même les personnes sous trithérapie et en succès virologique présentent un déficit en cystéine. En fait, lexcrétion par voie urinaire des sulfates7 est de lordre du double de celle des séronégatifs. On na pas dexplication à cela mais un tel déficit ne favorise pas le processus de reconstitution immunitaire et métabolique des personnes ayant atteint une charge virale indétectable. Les effets de la NAC dans ce contexte seraient à étudier. 2/Les pertes de graisses superficielles constatées chez de nombreuses personnes sous traitement pourraient être dues à la toxicité mitochondriale de certains antirétroviraux ; lutilisation dantioxydants pour prévenir ces effets est à létude. La NAC pourrait en faire partie. 3/La NAC est un puissant détoxifiant. Son intérêt dans le traitement des intoxications au paracétamol (Doliprane) est connu depuis longtemps. Il serait intéressant dévaluer limpact de la NAC sur la tolérance aux traitements antirétroviraux. En conclusion Le Dr Lopez nous a communiqué les commentaires suivants : les antioxydants agissant en synergie, une supplémentation ne doit pas se limiter à un produit. Sa nécessité devrait être établie sur la base dun bilan8 de stress oxydatif. Le bilan proposé à lhôpital de la Pitié comprend les mesures de la SOD, du glutathion, de la vitamine E, du sélénium et dun marqueur de lagression des radicaux libres au niveau des membranes, le malondialdéhyde (MDA), très intéressant car il permet un pronostic à court terme : son élévation accompagne et souvent précède la survenue dune infection opportuniste. Ainsi deux patients ont vu leur taux de MDA augmenter deux mois avant la survenue dune toxoplasmose cérébrale. Enfin, elle regrette que ces études convaincantes naient pas eu de suite : larrivée des antiprotéases et leur succès initial a sans doute détourné lattention des chercheurs de la lutte contre le stress oxydatif. La NAC en pratique La NAC est disponible en pharmacie sous différentes formes, toutes remboursées : comprimés (Tixair ), poudre à dissoudre (Fluimucil, Exomuc) dosées à 200 mg. Il existe sur le marché américain des comprimés dosés à 600mg (marque Jarrow) plus faciles à prendre mais non remboursés (et susceptibles de renvoi à lexpéditeur par les douanes si lacheminement est fait par voie postale). La NAC fluidifie les sécrétions bronchiques : cest dailleurs son indication officielle. Elle peut aussi entraîner un ramollissement des selles et des troubles gastriques aux doses utilisées dans les essais décris ci-dessus, cest-à-dire 1 à 3 g /jour. [1] Oxydation : Un peu comme loxygène qui peut transformer le fer en rouille [2] Apoptose : cest-à-dire que ces cellules se suicident quand elles souffent trop [3] Cytokines Messages chimiques échangés par les cellules du système immunitaire et impliqués dans le développement et la régulation des réponses immunitaires et système neuroendocrinien : certaines sont bénéfiques comme linterleukine 2 qui stimule la prolifération des CD4, dautres sont inflammatoires et néfastes dans le contexte de linfection à VIH car elles induisent une apoptose excessive des CD4 et des CD8. Parmi elles, linterleukine 6 et le TNF ( tumor necrosis factor) [4] SOD Superoxydedismutas
  14. La SAGA du SIDA.... Ou....on ne trouve que ce que l'on cherche... "....De l'autre côté de l'Atlantique, un jeune praticien versé dans l'épidémiologie, le Dr Willy Rozenbaum, travaille dans le service des maladies infectieuses d'un hôpital parisien. Le 7 juin au matin, il reçoit la revue en question. L'après-midi même, il voit un patient, accompagné de son ami, qui présente justement des signes cliniques évoquant cette pathologie. "J'ai fait immédiatement le lien, mais il fallait alors une quinzaine de jours pour valider le diagnostic, se rappelle-t-il. J'ai effectué le prélèvement et, effectivement, on a eu la confirmation qu'il s'agissait bien d'une pneumocystose." Intrigué, il fonde quelques mois plus tard le premier groupe de travail français sur la question." Après 25 ans de recul, les dissidents peuvent dire à quel point il y a eu confusion devant une réalité désarmante. S'agissait - t - il d'une épidémie ? Nous avons la preuve aujourd'hui que non. Alors que s'est - il passé ? quelle explication cohérente peut donner le mouvement dissident pour expliquer ce qui s'est passé ? Vraisemblablement, il y a eu une convergence de co - facteurs comprenant notamment une convergence de comportements à risque liés à une évolution de la société. Parmi ces comportements à risque, la prise de drogues récréatives conjuguée à des modes de vie destructeurs ont fait le reste. La capacité à avoir une vision en temps réels des phénomènes épidémiologiques mondiaux a permis à notre épidémiologiste d'étayer, à l'époque, l' hypothèse du VIH = SIDA. Un peu de persuasion : Un chercheur à Pasteur en manque de reconnaissance, une "bonne" vision économique de l'intérêt financier du scénario ont fait ancrer l'hypothèse comme vérité... Une Saga.... à la Da Vinci Code... L'EXPRESS vendredi 2 Juin 2006 SIDA 25 ans déjà! Vincent Olivier En 1981 apparaissaient les premiers symptômes du VIH. Depuis, le virus a tué 25 millions de personnes A cette époque, les quinquas sont encore jeunes. Les trentenaires avalaient leur soupe. Les ados d'aujourd'hui ne sont même pas nés. C'est il y a vingt-cinq ans. Autant dire une éternité. Le 5 juin 1981, une publication scientifique américaine fait état d'une infection inconnue qui touche "cinq jeunes hommes traités pour une pneumocystose dans trois hôpitaux différents de Los Angeles". Et les auteurs de cet article soulignent: "Le fait que ces patients étaient tous homosexuels suggère une association entre certains aspects du style de vie homosexuel ou d'une maladie qui se transmet par voie sexuelle et la pneumocystose." Pour la première fois, des médecins évoquent une pathologie qui ne s'appelle pas encore le "cancer gay" ni "la maladie des quatre H" - homosexuels, héroïnomanes, hémophiles, Haïtiens. Le mot "sida" n'existe pas, ce n'est pas l'acronyme de syndrome d'immunodéficience acquise, et encore moins un nom commun. Un premier groupe de travail français De l'autre côté de l'Atlantique, un jeune praticien versé dans l'épidémiologie, le Dr Willy Rozenbaum, travaille dans le service des maladies infectieuses d'un hôpital parisien. Le 7 juin au matin, il reçoit la revue en question. L'après-midi même, il voit un patient, accompagné de son ami, qui présente justement des signes cliniques évoquant cette pathologie. "J'ai fait immédiatement le lien, mais il fallait alors une quinzaine de jours pour valider le diagnostic, se rappelle-t-il. J'ai effectué le prélèvement et, effectivement, on a eu la confirmation qu'il s'agissait bien d'une pneumocystose." Intrigué, il fonde quelques mois plus tard le premier groupe de travail français sur la question. En février 1982, il alerte une ancienne étudiante en médecine devenue journaliste à l'Agence France-Presse (AFP), qui publie la première dépêche. Depuis, le sida a provoqué la mort de plus de 25 millions de personnes dans le monde.
  15. La Loi de Murphy Lasciate ogni speranza, voi ch'entrate ! Vous qui entrez, perdez tout espoir. (Dante, La Divine Comédie) Aussi connue comme Loi de l'Emmerdement Maximum, ou Loi de la tartine beurrée, la Loi de Murphy est, avec le chaos, la relativité, et la mécanique quantique, une des plus grandes découvertes du siècle (rien que ça).
  16. Coup de colère ! Ce matin, j'écoutais, tranquillement, un émission sur France Culture : 09:05 >La nouvelle Fabrique de l'histoire Les amitiés intellectuelles - semaine documentaire - 2/5 Production : Emmanuel Laurentin, Production : Aurélie Luneau Documentaire de Emmanuelle Loyer et Christine Robert Le sanatorium des étudiants de Saint-Hilaire du Touvet, " l'Université des neiges " Jusqu'à présent, rien que de plus banal. Puis, au cours de l'émission, j'entends cela, à quelque chose près : " A l'époque, par rapport à la tuberculose (...), on ne savait pas de quoi on mourrait ( ... ) si ce n'est que les gens qui l'attrapaient étaient souvent mal nutris. (... ) Ce n''est pas comme le SIDA aujourd'hui ( ... ), on sait très bien comment on l'attrape. " Mon sang n'a fait qu'un tour et cela m'a fait pensé immédiatement à la signature de Wallypat : "Répétez un mensonge mille fois, il restera un mensonge; répétez-le dix mille fois, il deviendra une vérité", Joseph Goebbels, ministre de la propagande nazie. Mais, dans quelle époque sommes nous me dis - je ? Comble de l'aberration et de la violence indiviualisée collective. Qui sont ces pontifiants ( France cu ) qui se permettent de répéter avec autant de morgue, ce que nous savons être pour le moins un mensonge. Alors, au delà de ma colère, pour une nième fois, je me dis : mais n'es-tu pas dans le déni ? - ma formation psy qui ressort. ...Me réveiller... me calmer. Non... Mais, tout de même, quelle souffrance !Qui d'ailleurs va à l'encontre de ce que je sais être bon pour moi ( fuire tout effet nocébo ). Facile à dire, pas à faire, pour moi, qui aime partager et apprendre. Colère, encore une fois. Colère envers mon entourage, même proche, qui en dehors de la compassion et la gène, ne s'implique pas plus. Je les trouve nocébo à mon égard. Leurs bons sentiments.... tueurs. Leur peur est donc à ce niveau ? ...De ne pas s'informer, de ne pas lire, de ne pas se faire un jugement propre ; pourtant, je ne rêve pas ? Ce qui est écrit sur ce site ou celui de sidasante est lisible, compréhensible, étayé... Et, bien non !... Cela ne suffit pas ; l'effet Goebbels semble plus fort, et cela alimente de la tristesse en moi : effet nocébo... Ils vont finir par avoir ma peau ! Alors ? se couper de tout, faire comme Sicnarfa, quitter ce forum, ne plus écouter la radio, casser mon portable ( mes ) ... Le monde est donc le même depuis toujours, les hommes aussi.... ne pas compter sur eux pour changer... Moutonnage. Eh bien, non ! Le cynisme tue ; il est l'antichambre du désespoir. Mais, mes amis, je vous le dis, il va falloir que nous fassions preuve d'encore plus de détermination, d'intelligence et ... de compassion ( la vraie ) ! Voilà pour ce matin, je vais aller marcher...
  17. Tout à fait Diamant Bleue, c'était simplment la manière d'aborder le sujet par " Zététique" qui me paraissait à "observer".
  18. Le Dr Willner s'est-il inoculé du sang contaminé ? ....A lire... http://www.observatoire-zetetique.org/page...=3&enqueteId=15
  19. sidarta

    Guérir le Sida!

    Quelques sites santé déjà connus de certains... pour rappel : http://www.passeport.sante.net/fr ( médecine intégrée ) http://www.belle-sante.fr ( soins naturels ) http://www.dico-vitamines.com ( vitamines et nutriments ) http://www.arborcom.com ( recherche sur la nutrition ) http://www.ecosante2010.free.fr/ ( prevention, transversalité ) http://www.medecines-douces.com/impatient ( alternatif ) http://www.globalboostersante.com ( annuaires ) http://www.chu-rouen.fr/cismefp ( sélections des meilleurs sites médicaux ) http://www.prescrire.org ( pou les professionnels - informations des labos passées au crible ) http://www.votre-sante.net ( militant ) http://www.health6.com ( anglophone - exhaustif )
  20. sidarta

    Guérir le Sida!

    En effet, je suis tout à fait d'accord avec toi Wallypat. Pour ma part, je tente de m'entourer et sensibiliser des Médecins thérapeutes ouverts sur ce sujet. Par l'intermédiaire de proches, j'en ai trouvé, notamment en Belgique, et je tente de sensibiliser mon médecin généraliste " référant " sur ce sujet. Etant ouvert, il se forme... Mais, il est incroyable de voir le fossé qu'il y a entre l'information de la médecine officielle ( Labos ) et cette vision qui insiste sur la notion du stress oxydatif qui peut être perçu par beaucoup de médecins comme périphérique. Quand l'hypothèse de l'existence du VIH, il est très difficile de convaincre, au mieux j'obtiens un " je ne sais pas "... En ce qui concerne la N-acétylcystéine, je demandais à mon médecin traitant s'il agissait de la même chose dans les médicament tel que mucomyst. Il me répondit qu'en effet il avait en mémoire que c'était utilisé en cas d'intoxication mais que ce n'était pas officiel, les laboratoires se protégeant... Allez... hauts les coeurs !
  21. C'est effet toujours sur cet aspect de la réalité que je parviens à faire s'interroger les sceptiques chroniques. Mais, encore, faut - il que les gens lisent, ce qui est loin d'être le cas.
  22. ça c'est pour Cheminot : Recherche Google : cheminot sida : LISTE DES EXPERTS DES GROUPES Alain SOBEL, Division Sida - Direction Générale de la Santé. Mission Sida - Direction des ... Nathalie CHEMINOT. Jean-Michel DARIOSECQ. Roland LANDMAN ... www.sante.gouv.fr/htm/actu/36_vih1.htm - 23k - En cache - Pages similaires
  23. Dans le Marianne de cette semaine, N° 460, p 51 : Sida, le Test de la discorde. ( résumé ) ... Progrès ou scandale ? Telle est la question que pose Elisa anti - RV7. [......] Il s'agit de savoir si le patient atteint par le VIH est " progresseur" ou non", vulgarise le Pr Jean-Claude Chermann Laboratoire privé Urrma R&D. [....] Elisa anti-R7V n'est donc pas un test de dépistage, mais un test de pronostic. En cela, " il s'agit d'une première mondiale, avance le scientifique". Objectif : alléger le traitement des malades qui développent cette défense naturelle ( Elisa anti - 7RV permet d'en repérer la présence ). D'après d'autres spécialistes il sont entre 1% et 2%, d'après le Pr Chermann 25 % des porteurs du VIH développeraient cette protéine. -------------------- J'arrête : vous lirez bientôt l'article en entier. Enfin en quelques mots, nous qui nous nous escrimons à démontrer - avec talent - que le VIH n'a pas été isolé... Je trouve l'affaire assez cocasse et significative des enjeux purement mercantiles. Là plus fort que fort... Tu meurs !
  24. http://www.onnouscachetout.com/themes/sida...t-une-ecole.php
  25. Janssen, Thierry Solution intérieure (La) Vers une nouvelle médecine du corps et de lesprit Documents De plus en plus de gens recourent aux « médecines alternatives et complémentaires ». Du coup, la science s'y intéresse de près et invente de nouveaux modèles pour expliquer la santé, la maladie et la guérison. Ainsi, l'effet placebo n'est plus considéré comme une anomalie mais plutôt comme la preuve d'une réelle influence de la pensée sur la santé. La psycho-neuro-immunologie dénonce les dangers du stress et insiste sur le bénéfice des émotions positives. La relaxation, la méditation et l'hypnose sont étudiées dans les laboratoires de neurosciences. Les massages et la réflexologie se révèlent efficaces pour stimuler l'immunité. Des méthodes d'éducation somatique comme celles d'Alexander et de Feldenkrais mettent en évidence la mémoire émotionnelle du corps. La chiropraxie et l'ostéopathie agissent sur la «matrice conjonctive», dont les étonnantes propriétés commencent à être élucidées. Le yoga, le tai-chi et le qigong mobilisent les mécanismes réparateurs de l'organisme. L'acupuncture produit de véritables effets sur le cerveau. Les pratiques de certains guérisseurs laissent entrevoir la possibilité d'une communication invisible entre les êtres vivants... À travers ces passionnantes découvertes et le témoignage de son expérience médicale et psychologique, Thierry Janssen nous rappelle que chacun de nous possède d'importantes capacités de prévention et de guérison. Qu'allons-nous faire de cet immense potentiel? Continuer à nous protéger en produisant et en consommant toujours davantage de remèdes extérieurs? Ou bien puiser dans nos ressources propres et nous fortifier en respectant le fragile équilibre entre le corps et l'esprit? Docteur en médecine, chirurgien et psychothérapeute spécialisé dans l'accompagnement des maladies du corps, Thierry Janssen explore les nombreuses facettes de la guérison, y compris au contact de guérisseurs traditionnels et de praticiens orientaux. Il est déjà l'auteur de deux ouvrages, Le Travail d'une vie et Vivre en paix, publiés aux éditions Robert Laffont. Parution : 2006 - 384 pages - 15,3 x 23,5 Prix TTC : 22 (144,31 FF ) Code ISBN : 2-213-62551-4 Code EAN : 9782213625515 Code Hachette : 3527512 ........ Tout simplement remarquable
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