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Psyence

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Tout ce qui a été posté par Psyence

  1. Wallypat, Une fois de plus je constate toujours la présence sur un plan relationnel de ce mépris que tu colportes dès que d'une certaine façon quelqu'un s'oppose à tes convictions. Non seulement cette pseudo-réponse que ferait un orthodoxe est pleines de contradictions mais en plus elle estparsemée de jugement de valeur basé sur la prétendue histoire de la médecine. Un simple exemple: Ah bon, tu es en mesure de prouver que les trithérapies ont un effet "antirétroviral" ? En d'autres termes, tu es en mesure de réfuter les arguments présentés dans ce post-ci et celui-là >> De plus je constate que ce jeu de rôle reprend une intervention postée il y a plus de 15 jours et fait précisément suite à une de mes objections forumlées hier sur ce que j'estime être une erreur concernant la façon que tu as de tirer des conclusions abusives. C'est de très mauvais goût parce que ton texte, au-delà de l'usage d'arguments fallacieux, est parsemé d'attaque à la personne. Bien , je te laisse à ton "intègrisme" et ton "terrorisme intellectuel" - je laisse tomber ce topic, pas assez d'ouverture d'esprit ici. Au revoir et bonne continuation dans vos débats
  2. Ce n'est pas ce que j'ai dis : merci de me relire, un peu plus attentivement. Ce qui est très inquiétant concernant les cas de pneumocystos entre séropositifs et séronégatifs c'est cette inégalité de traitement. Tu exclu les cas de pneumocystos chez les séronégatifs dont les facteurs sont connus pour ne pas avoir à les prendre en compte dans la comparaison qui disqualifierait en partie, et entre autres, la séropositivité en tant qu'indicateur annonciateur du SIDA - pour quelles raisons ? Parmis ces facteurs figurent justement des agents très oxydants ! Alors pourquoi ne sont-ils pas séropositifs eux alors qu'il font la même maladie pour les mêmes raisons ( stress oxydant) que les séropositifs ? Argument circualire ! (J'adore tout ça quelque part - non pas pour le contenu mais pour les procédé d'auto-persuasion.) Mais entre les subterfuges, le choix de référencet orientée, l'insoumission à la nécessité de confronter des études contradictoires. J'en ai un peu assez de ce genre de procédé qui ne relève pas d'un véritable désir de connaissance mais d'un intérêt. Cheminot, Oui, il n'est pas interdit d'inférer. Ce qui est en revanche dangereux c'est affirmer quelque chose alors qu'il s'agit que de conjecture pour l'instant. Cordialement PS: J'ai pas le temps de répondre à ces 6 points ces temps mais je le ferais..
  3. Tout ceci me semble un peu confus et contradictoire, sans vouloir t'offenser. Cette comparaison entre les S+ qui connaissent leur statut sérologique et les S+ ceux qui l'ignorent semble affirmer l'efficacité des traitements en dehors de la période "grosse dose" d'AZT. Pourtant un problème demeure dans cette interprétation du fait que le groupe qui ignore être S+ le découvre au moment où survient la maladie opportuniste alors que pour les S+ qui connaissent leur statut personne ne sait quand ils vont dévelloper la maladie et où ils en sont au moment de la statistique - donc cette baisse peut être imputable qu'à cela. Cordialement
  4. Quelles études épidémiologiques mettent en évidence la corrélation entre séropositivité et expostion à des agents oxydants ? Et les personnes séronégatives exposées à des agents oydants ? Si tu comptes utiliser des études faites dans le contexte de l'hypothèse virales sachent qu'elles sont méthodologiquement irrecevables. Changer d'hypothèse de base et ensuite de déclarer que celle-ci s'applique de la même façon à toutes les études antécédantes n'a rien d'un procédé scientifique, quelque soit les références que tu utilises. Pour démonstration de cela je prendrais l'exemple de Cheminot qui s'évertue à démontrer l'action anti-oxydantes des trithérapies alors que l'usage des mêmes substances dans le contexte de la théorie virale est qualifiées d'antirétrovirales. Eh oui, une propriété semble plus être déterminée par la théorie avec laquelle nous abordons un phénomène ; comme quoi les choses de sont pas aussi simple lors d'un changement de contexte; tout est à refaire, autrement. Cordialement
  5. Bonjour à tous, Ce qui confirmerait ce que j'essaie de dire depuis un moment déjà : à savoir que la séropositivité n'est pas un indicateur qui prédit la venue du sida - mais que la plupart des prédictions qui se sont vérifiées ont été induites par les traitements et par les 2059 façons différentes d'être diagnoistiqués sidéen Mais bon...il faut du temps pour que les idées fassent leur chemin Cordialement.
  6. Salut Delwere, C'est difficile d'évaluer la position exact de Montagnier sur la base de délcaration officielle pour une raison bien précise: il est officiellement le découvreur du virus du SIDA. (C'est même rappeler dans l'article que tu cites) Avoir une autre position concernant le SIDA c'est renier sa découverte, ce "titre honorifique" et surtout porter la responsabilité dans l'admninistration de traitements "antirétroviraux" toxiques (surtout qu'actuellement il semble préconiser des "traitements alimentaires.") Ce n'est pas rien et c'est pourquoi je pense que s'il a effectivement une autre position sur le sujet il se garde de l'exprimer plutôt pour ces raisons. Maintenant je vois très bien que les dissidents tentent, tant bien que mal, de rallier Montagnier à leur cause en utilisant des fragments de ces déclarations. La déclaration de 1991 (sauf erreur) sur la nécessité de co-facteur, l'intégration récente du stress oxydatif (vu comme effet du virus), et maintenant le quasi-abandon de l'idée d'un vaccin pour le substituer à une "hygiène de vie" alimentaire incitent à penser qu'il est passer discrètement dans le clan des dissidents en déguisant son véritable point de vue car cela correspond de près à ce que les dissidents disent depuis plusieurs années. C'est possible.... mais... Il est aussi possible qu'il croit véritablement à la thèse virale et que son changement de stratégie correspond plus à un véritablement changement de vision dans son approche du problème : - l'approche traditionnelle consiste à supprimer directement l'agresseur alors que celle qu'il préconise dans cet article c'est d'augmenter les capacités défensives du corps, de sorte que l'agresseur devienne finalement impuissant. (noter quand même un certain paradoxe) Il le fait avec des anti-oxydants - ce qui tend à démontrer que l'agresseur c'est bien le stress oxydatif - mais comme tu le sais - pour les partisans de la théorie virale - la cause de ce stress oxydatif c'est le virus et non les divers substances chimiques. En conclusion, si l'on admet la thèse dissidente, Montagnier a tout intérêt à appliquer cette nouvelle stratégie à la thèse virale car en plus d'être réellement prometteuse, elle lui sauvera la face. Cela dit il n'ignore pas l'existence de la controverse au sujet de l'existence du virus ou de la causalité entre le virus et le sida, c'est pourquoi il est difficile de savoir ce qu'il pense exactement. Difficile d'avoir une réponse claire sur sa position à partir de ces "déclarations". Ce que je constate c'est que les deux points de vues sont compatibles avec celles-ci. Une fois de plus. Cordialement
  7. Bonsoir, Tout d'abord je pense que la première erreur consiste à vouloir séparer les positions sur le sujet entre "orthodoxie" et "dissidence". Une relation fondée sur la divergence mène forcément à un jeu de pouvoir car chaque argument est perçut comme une façon de mettre (la position de) l'autre en tort. Quelle est votre réaction lorsque l'on essaie de vous mettre directement en tort sur un grand nombres de points différents ? Vous résister un moment, puis quand vous en avez marre que l'autre insiste vous finissez par refuser de débattre et parfois le seul moyen consiste à mettre fin à la relation. C'est alors que l'autre considéra votre silence comme étant l'aveu de votre échec à répondre à certaines questions. Bien sur que "rompre le débat" est un bon moyen d'éviter de se confronter à des questions embarssantes mais c'est aussi un moyen de communiquer notre "déssacord" de façon définitive sur ces questions. Je pense que ceux qui sont convaincu que le sida a un virus pour cause en sont précisément là - c'est une question de conviction - et la plus mauvais approche de remise en question d'une conviction consiste à s'y opposer directement. Je pense que le mieux d'un point de vue communication est de se garder d'exprimer tout de suite son véritable point de vue et d'avancer sur le terrain de l'autre par succession d'approbation de sorte à ce qu'il se sente suffisemment approuver pour finalement obtenir des concessions de sa part lorsque nous exprimeront le nôtre. Puis au lieu de s'opposer directement à sa conviction, il est peut-être préférable d'y adhérer et d'en pousser le raisonnement à l'extrême comme s'il s'agissait de la nôtre, de façon à en montrer l'illogisme, la contradiction. Mais cela reste du domaine de la persuasion. L'idéal c'est bien sur de fixer des règles communes et regarder ensemble les faits ce qui sèment véritablement le doute sur la question mais pour cela il faut qu'il y ait une reconnaissance réciproque de notre ignorance. Cordialement.
  8. Bonsoir, Pour bien commencer l'année voici aussi ma façon de résumer : Fragilité du diagnostique "SIDA" : Trois faits : 1- Le sida regroupe 29 maladies opportunistes différentes en association à un test HIV positif. 2- Dans le contexte de la thèse virale la séropositivité étant considérée comme étant irréverssible - le test HIV n'est pratiquement jamais refait sur les personnes qui ont été déclarée positive. 3- Il y aurait 70 conditions différentes autre qu'un "virus" qui peuvent rendre un test HIV positif. Puisqu'il y a 70 façons différentes d'être séropositif pour une autre raison que la présence d'un "virus" et 29 façon de faire une maladie dite opportuniste ; il y a en tout 2030 façons d'être diagnostiqué faux-Sidéen (+29 lié à l'hypothèse qu'un virus soit bien un cause de séropositivité.) En conclusion sur 2059 façon d'être déclarée Sidéen - il y en a seulement 29 façons qui correspondent véritablement à la théorie virale du SIDA , ce qui ne représente potentiellement que 1,4 % des diagnostiques. A cela nous pourrions également ajouter le temps d'incubation de la maladie (qui est de plus en plus long depuis son apparition) - ce qui augmente forcément les possibilités de faire une "maladie opportunistes" en association avec un test positif. Autres aspects: Le taux de T4 peut-il préciser le diagnostique ? 5 - Non car le taux des CD4, indépendemment du fait d'être très variable d'un moment à l'autre de la journée, est aussi bas lorsqu'une maladie opportuniste survient chez les séronégatifs. (qui en meurt aussi Le charge virale peut-il préciser le diagnostique ? 6 - Non, car la charge virale est aussi détectable chez les séronégatifs. Il faudrait en conclure que les tests diagnostiques sont insuffisants pour démontrer l'existence du SIDA tel qu'il est définit. (Je ne nie pas les maladies opportunistes) A cela il est aussi possible de considérer l'effet des traitements et ce qui s'en dit sur "onnouscachetout" à savoir les deux arguments suivant: 7 - La forte diminution de concentration d'AZT a fortement diminuer les cas de SIDA induit chez les séropositifs de 1993 à 1997 environ. 8 - L'introduction de la lamiduvine (antioxydant) a diminuer que légèrement le nombre de cas de 1997 à 2006. Ces deux derniers faits tendent à démontrer que la relation entre séropositivité et sida n'est absolument pas certaine et que les prédictions qui se sont vérifiées ont soit été induites par les traitements ou soit par la forte probabilité statistique d'avoir un faux diagnostique de SIDA. Aujourd'hui le nombre de séropositif est en forte croissance alors que le nombre de cas de SIDA en forte décroissance...la lamiduvine a montrer qu'une douce efficacité à faire baisser le nombre de cas de décès... ...à vous d'en tirer vos conclusions... Cordialement
  9. Bonsoir, Sacré problème - sur quelle connaissance fondé son éthique ? Je pense que dans le doute mieux vaut suivre le bon vieux principe de précaution - ce qui n'empêche pas de débattre de la question - quoiqu'ici la question a déjà été tranchée par certaines personnes. Mon avis personnel est que les choses ne sont pas aussi claires que ce qui est régulièrement affirmé ici ou plutôt je pense qu'il manque cruellement de repère pour passer au stade de l'affirmation sans aucune contestation possible. Cordialement PS: Par conséquent, Petitpiment, daigneras-tu me croire si je te disais que les martiens existent puisqu'il n'est pas prouvé qu'ils n'existent pas ?! Je continue à penser que cet argument est fallacieux et ne sert l'intérêt de personne - surtout du fait que certains croient fermement détenir des preuves solides et convaincantes dans les "deux camps". Hors le but est de "savoir" pas de convaincre. J'estime personnellement que le débat n'est pas clos - beaucoup de faits sont analysés de point de vues différents - hors il faudrait pouvoir parler de ces mêmes faits sur la base d'un seul consensus et la reconnaissance des mêmes règles. Ce n'est pas le cas.
  10. Parcontre je ne comprends pas ta logique ici! et même si le nombre global d'usagers d'héro ne change pas ta logique ne tient pas. Supposant que 50% des toxico prennent des riques d'overdose et 50% n'en prennent pas (diffrent styles d'usage d'héroine). 1- Supposant que le nombre global de toxico augmenterait sur une periode de temps. Là les cas d'overdoses augmenteront dans les premiers 50% et les cas de SIDA augmenteront dans les autres 50%. Le taux global de dècès chez les toxico pourrait rester constant dans ce cas. 2- Encore, supposant que pendant une pérode de temps les drogues ne sont pas pures et sont mélangées avec des substances comme la strychnine, là aussi les cas d'overdoses augmenteront chez les premiers ainsi que les cas de SIDA chez les deuxièmes. Le taux global de dècès chez les toxico pourrait augmenter dans ce cas. Sinon, à ton avis quel serait la cause d'une telle corrélation? - au contraire si l'on admet la causalité entre héroine et sida plus d'héroinomanes meurent d'overdose moins il y en a qui meurent du sida. Je n'ai pas trop le temps d'approfondir sur la base de ta "si-mulation" qui est un peu trop confuse pour exprimer ce que j'ai voulu dire : - "ma" logique repose simplement sur le fait que la cause de la mort ne peut être qu'unique, et ce, que l'on envisage ou pas un lien de causalité entre héroine et sida. Pour moi la similarité des courbes reflète simplement par la tendance générale de notre société actuelle à contrôler, avec l'aide de la médecine, la plupart des problèmes sociaux tel que la "toxicomanie", "alcooolisme", et donc à diagnostiquer, prévenir et prendre en charge tous les comportements pathologiques (qualifié de dysfonctionnement). Je pense que tu dois pouvoir trouver d'autres courbes de mortalité pour d'autre maladies ou comportement pathologiques qui suivent exactement la même évolution. (C'est le cas de la tuberculose par exemple) Cette comparaison aurait été pertinente si elle avait eu lieue entre les héroinomanes S+ et S- dans les cas de décès d'une maladie du SIDA. En dehors de ce contexte je ne vois pas ce que l'héroine vient faire dans ce sujet et encore moins les overdoses puisqu'elles évacuent la possibilité de mourir du SIDA -> Et donc par voie de conséquence léventuelle relation de cause à effet entre SIDA et virus. Je ne vois pas ce qui ne tiens pas dans ce raisonnement élémentaire. Cordialement
  11. Bonsoir, Je trouve que cette relation n'est pas siginficative ! D'un point de vue clinique les toxicos qui meurent d'overdose ne meurent pas du sida - donc l'augmentation des cas de décès par overdose ne peut faire monter en même temps la courbe des cas de décès du sida - au contraire si l'on admet la causalité entre héroine et sida plus d'héroinomanes meurent d'overdose moins il y en a qui meurent du sida. La mort effective chez les héroinomanes tranche pour une des deux causes possibles ; overdose ou sida - mais cette disjonction "ou" ne permet pas de faire une comparaison entre ces deux courbes qui puisse permettre de tirer une conclusion sur la causalité entre héro et sida... pourquoi ? car l'héro pourrait provoquer les deux et "statistiquement parlant" dans le cas où elle provoque l'overdose elle ne provoque pas de sida ! ...et vice versa... Attention aux erreurs de logique Cordialement
  12. Psyence

    Conférence

    Bonsoir Conférence, radio, livre ou film sont des modes de diffusions d'informations - des supports de l'information. Hors ce qui pose vraiment problème c'est la considération pour le contenu lui-même sachant qu'un tout autre contenu a été accepeté depuis plus de deux décennies. Un choc direct entre les différents contenus n'apporterait que des résistances - derrière l'orthodoxie il y a bien plus qu'un simple "consensus" il y a une véritable institution. Je crois que la "dissidence" ne pourra se faire réellement connaître qu'en décrivant comment cette idée :- VIH => SIDA s'est institutionnalisée dans l'esprit de la majorité de la communauté scientifique et du grand public. Le problème c'est que la plupart des "dissidents" semblent penser que la vérité doit éclater au grand jour et que ce qui est "juste" finira par triompher. Viduité a raison de comparer la dureté de la tâche à l'histoire de David et Goliath - non pas seulement à cause du surplus numérique - mais du fait que l'ennemi à vaincre est justement l'ami qu'il s'agit de convaincre et qui lui croit à tout autre chose. Si la confrontation avec une autre information est trop directe il va naturellement défendre sa "croyance" que celle-ci soit transmise par un film, un livre, une conférence ou n'importe quoi d'autre - vous deviendrez un fou, une personne irresponsable, un illuminé, un négationniste, un bref vous serez disqualifié par n'importe quel moyen. Faire connaître la dissidence c'est convertir des gens, changer leur croyance. - Crier à la manipulation des "lobby pharmaceutiques" est auto-discréditant - tel que le titre "SIDA ; supercherie scientifique et arnaque humanitaire". Combien de gens ont une activité honorable mais qui repose sur l'idée d'autres personnes ? Cette voie est fondée sur l'accusation d'un crime. - Réfuter une thèse par un ensemble d'études scientifiques paralyse tout débat car parmis toutes les études existantes il y a toujours un moyen d'utiliser que celles qui étayent notre point de vue. Cette voie est fondée sur un argument d'autorité. Ces deux voies : personne n'aime être accusé à tort lorsqu'il croit n'avoir rien fait et être mis en tort lorsqu'il croit qu'il a entièrement raison Je crois que s'il existe une voie qui serait beaucoup fructueuse c'est celle qui consiste à faire douter le "croyant" en lui montrant plutôt les mécanisme par lesquels il en est arrivé à adopter une idée dont en fait il ne sait pas grand chose et que cela mérite au moins d'être rediscuté, repenser. Finalement cette affaire de dogme est d'abord une question de sociologie et non de médecine à proprement parler. > Du moins il faudra passer par la sociologie pour introduire le doute, puis les suggestions de la dissidence et de façon beaucoup plus saine arriver à obtenir une recherche impartiale dans plusieurs directions - ce que les "repenseurs" ont très justement amorcé en parlant de "réévaluation de l'hypothèse VIH -> SIDA". Cordialement PS; C'est vrai que les modes de diffusions constitue d'une certaine façon un argument d'autoritié - tout au plus un pouvoir car les gens s'y réfèrent souvent - "Ils l'ont dit à la Radio" <- partant de l'a priori que c'est forcément vrai. Je comprends la démarche mais elle est insuffisante à mon avis.
  13. Le numéro donné pour la suisse est internationnale : 0041 840 003 003 depuis la france et autre pays ! Il suffit juste d'enlever le (0) entre parenthèse ! Cordialement
  14. Bonsoir, Les morts jusqu'à aujoud'hui on les omets. Les données importantes c'est 1 - le nombre de séropositifs est actuellement de 150 000. 2 - la vitesse de décès : 400 décès tous les 15 ans 3 - la vitesse de nouvelle contamination : 1300 cas par an. 1) Le problème c'est que nous ne savons pas où en sont les 150 000 au niveau du délai qui leur reste - donc cette donnée doit-être également omise. Elle est utilisable que virtuellement à un rythme de 400 décès par an il faudra 25 ans pourqu'ils soient tous mort - il est pourtant considéré que l'espérence de vie est de 15 ans. Il y a donc 10 ans d'espérence de vie qu'il faut expliquer : 1) et 3) Mais les données restantes permettent effectivement de faire un autre calcul en recommençant tout depuis aujourd'hui. - Au bout de quinze 15 ans il y aura 19500 contaminés mais que 400 mort cela représente que seulement 2% de S+ meurent du sida. - Au bout de trente 30 ans il y aura 169000 contaminés et 6000 morts, cela représente que seulement 3,5% de S+ meurent du sida. Les deux explications sont : - l'effet des trithérapies guérit le sida dans 97% des cas mais nous l'ignorons encore. - relation entre séropositivité et sida beaucoup moins systématique que prévue initialement. Pour valider la théorie virale il faudrait en effet soit une très forte augmentation des cas de SIDA ou soit une forte diminuton des nouveau cas de séropositivité en admettant que le nombre de décès reste constant. Donc je crois que ta réflexion est correct Cordialement
  15. Bonsoir Tout d'abord il faut être certaine que ton précédent test était négatif avant de pouvoir affirmer qu'il est devenu positifs suite à ce rapport non-protégé. Il y a deux théories : 1 - Tu as été infectée par un virus qui serait responsable du syndrome d'immuno-déficience 2 - Tu as été en contact avec des facteurs de stress oxydants qui peuvent s'acquérir lors d'un rapport sexuel ou d'autres facteurs pouvant également le rendre positifs co-incident à un acte sexuel non-protégé. Ta question est "que faut-il croire" : personne ne peut répondre à cette question pour toi - c'est une question de conviction - à toi de te faire ta propre opinion. Te répondre engage notre responsabilité hors ceci est uniquement de ta propre responsabilité. Ceci dépend de la façon dont tu répondra à la question précédente: 1- si tu suis la théorie virale en général les traitements commencent lorsque ton taux de cellules CD4 est bas et ton taux de "charge virale" est haut - parfois juste après le rapport à risque il y a possibilité traitement car il es considéré que lors de la prime-infection le virus se répliquerait très rapidement. 2- si tu suis la théorie du stress oxydatif, tu cesses immédiatement l'exposition aux agents oxydants et prends des antioxydants en surveillant ton taux gluthation, de sélénium, etc. 1- du point de vue de la théorie virale ces catégories avaient surtout un sens au début de "l'épidémie de sida" - car c'est dans ces groupes que l'on a observé l'apparition le plus de cas de maladies caractéristiques du sida. Aujourd'hui les choses sont envisagées du point de vue de la séropositivité et celle-ci s'infiltre dans toutes les catégories de personnes, même si le fait d'appartenir à une catégorie à risque influence toujours le diagnostique. 2- du point de vue de la théorie du stress oxydant ces catégories n'ont presque plus de sens sauf pour les drogués et les homosexuels consommateurs de poppers et drogue récréationnelles. (fort agent oxydant) et les malnutris (sida africain) qui sont exposés au stress oxydatis par deux voies différentes: - excès d'agents oxydants et manque d'apport d'anti-oxydants. Cela dépend aussi de ton point de vue - dans les deux théories la séropositivtié est conçue comme un "mauvais état de santé potentiel" - mais la question est d'ordre éthique.En cas de doute faire un test est très important du point de vue de la théorie virale pour préserver autrui d'une éventuelle contamination. Dans le doute je pense que c'est le principe de précaution qui s'applique - là aussi à toi de voir. Voilà j'ai essayé de te répondre le plus impartialement possible - d'autre préciseront mes propos s'il l'estime utile. Cordialement
  16. Non cette affirmation est fausse ! Pourquoi d'après toi ? Si l'on pouvait prouver a priori que c'est un virus à quoi servirait les 5 autres étapes ? A rien. Prouver si c'est un virus ou non, s'il est responsable ou non de la maladie c'est précisément ce à quoi servent ces 6 étapes. Ne nous méprenons pas - il faut bien posséder une référence, une chose concrète, sur laquelle travailler - l'acide nucléique en l'occurence - pour pouvoir déterminer son rôle et son identité. Autrement dit pour démontrer qu'une chose est bien la chose que l'on pense être, il faut posséder cette chose pour l'étudier. Cela me semble essentiel. Cordialement
  17. Sil est absolument nécessaire de remplir les trois conditions des postulats de Koch pour prouver quun micro-organisme est responsable dune maladie, il en revanche suffisant quune seule de ces trois conditions ne soit pas remplie pour douter de laffirmation que cette maladie soit provoquée par ce micro-organisme. Dans leur version originale, les Postulats de Koch sont formulés de cette *façon : 1. Le micro-organisme est isolé dans chaque cas de la maladie, rendant compte des modifications cliniques et anatomopathologiques. 2. Le micro-organisme nest isolé dans aucune autre maladies comme contaminant . 3. Le micro-organisme peut à nouveau induire la maladie après quil a été isolé et cultivé. *(Ce qui na rien à voir avec la version donnée par Candide ; - déjà là il y a un problème de convention.) La position de Duesberg sur la présence dun rétrovirus inoffensif implique quil ne peut induire à nouveau la maladie après avoir été isolé et cultivé. En cela il ne répond pas au troisième postulat. Pour ce qui est du premier postulat l'implication est relativement simple -> si le micro-organisme est inoffensif (et donc quil ne peut à nouveau induire la maladie) c'est forcément autre chose qui cause la maladie - donc le micro-organisme ne sera pas isolé dans tous les cas de cette maladie (fait que l'on ne retrouve pas ce micro-organisme chez les sidéens) et donc le premier postulat de Koch n'est pas rempli non plus. En quoi la position de Duesberg est-elle insuffisante contre lorthodoxie ? - En rien. Pourquoi croyez-vous qu'il a été radié de cette orthodoxie ? Si elle est insuffisante cest seulement pour fournir une explication alternative au SIDA dun point de vue biologique. Pourquoi ? Parce que Duesberg est rétrovirologiste et qu'il a très vraisemblablement donner son opinion en tant que rétrovirologiste - il est humblement resté dans son rôle. Cordialement Voici la référence utilisée pour les Postulats de Koch. Noter qu'il serait beaucoup plus intéressant de discuter de son adaptation au techniques moléculaires.
  18. PS: Puis il ne faut pas oublier que si nous trouvons avec des tests génétiques un élément biologique chez les séropositifs aux anticorps VIH et que nous le retrouvons aussi chez les séronégatifs cela peut aussi vouloir dire que celui-ci n'est pas responsable de la production des anticorps chez les séropositif et non pas forcément que le système de production d'anticorps chez les séronégatifs est défaillant.. c'est marrant comme quoi nous retombons dans les mêmes travers..de l'interprétation
  19. Comment quelque chose qui se transmet a-t-il pu émerger au départ sans avoir été transmis ? Question existentielle.. cordialement
  20. Bonsoir D'un dysfonctionnement du système immunitaire ? C'est une hypothèse intéressante qui ferait des toutes les maladies opporuntistes chez les séronégatifs de "mauvais séropositifs" Duesberg ne se plaçait certainement pas du point de vue de ces techniques directes car il est sorti très tôt de la recherche officielle, non ? Bien avant leur utilisation pour le "VIH" je pense. A vérifier. Puis cela ne fait que déplacer le problème un peu plus loin - il faut comparer avec des personnes ne développant pas de maladies opportunistes pour savoir si elle ont l'élément détecter par ces tests génétiques. etc etc (Il serait bien de faire un tableu optionnel car ça devient de plus en plus confus) En outre - la raison la plus rationnelle qui explique la création d'une définition paradoxale (car je ne crois pas à un complot) c'est que le SIDA est une notion crée par la médecine clinique bien avant que le prétendu virus ait été découvert par la biologie. Clinique et biologie sont deux disciplines parallèle. Dès qu'un lien de cause à effet a été envisagé entre le virus et le SIDA (définition 1982) ils se sont désigné mutullement ; dans - VIH - il y a immunodéficience dans - SIDA - il y a immunodéficience. Cela permet de mieux comprendre pourquoi il y a pas, dans le langage en tous cas, de "SIDA sans VIH" au sens stricte de la définition qui elle-même définit cette relation. C'est donc probalement pour une raison sociologique et de convention de langage que cette définition paradoxale s'est crée. Dès lors comment parler de SIDA sans séropositivité ? Wallypat tu viens de trouver une objection amenant ce problème dans le domaine de *l'irréfutable : - les maladies opportunistes chez les séronégatifs aux anticoprs VIH sont des personnes "séropositives" dont le système immunitaire serait défaillant au niveau de leur production. Voilà un bon argument en faveur de l'orthodoxie qui n'auront aucune peine à débusquer avec les tests génétiques n'importe quel élément comme étant effectivement une mutation du "VIH". (Ce qui est irrfétuable n'est pas scientifique ; une théorie scientifique doit-être réfutable et non réfutée pour être valide) Clea devient de plus en plus intéressant (et délirant), mais pour accepter cette hypothèse secondaire, il faut que le "VIH" soit isolé, non ? Cordialement... PS : ...le nombre de maladies a priori non lié directement au vih ne cesse de gonfler et que les tests sont de plus en plus précis permettent de le détecter là où le système immunitaire ne peut plus le faire....j'ai le sentiment que la théorie sur le SIDA est le cancer de la Science..
  21. Bonsoir Delwere, Pour répondre à ta question C'est donc NON, ce "a priori non-lié directement au vih" émet des réserves..il suffit en effet d'élargir la définition pour les inclurent et faire gonfler le nombre de cas... Mais ce qui est "troublant" concerne la possibilité que le cancer soit concernés par le "VIH" alors que justement l'hypothèse d'un virus comme cause du cancer avait été un échec dans les années 60-70 (Recherche menée par Gallo.) Cordialement
  22. Très simplement - si nous prouvons que l'élément étudié n'est pas un virus, alors il ne peut y avoir de VIH. - si nous prouvons que l'élément étudié est un virus, alors il faudra prouver qu'il provoque une immunodéficience pour le nommé "VIH". -Si nous prouvons que l'élément étudié n'est pas virus, il faut savoir s'il provoque une immunodéficience. - si nous photographions l'élément étudié et que nous le nommons VIH cela ne prouve pas ces propriétés qui n'apparaissent pas sur la photo. - etc.. Comme ça pas de problème avec les inférences... Cordialement... PS: En effet, le cas d'une photo au microscope électronique ne prouve rien quand au propriété de ce qui est photographié ; dire c'est le "VIH" présuppose de ses propriétés mais n'est pas une preuve. Je crois que cela revient à ce que tu as dis si mon intuition est bonne...( Je suis vraiment KO) PPS : - La vue de Duesberg correspond à la chose étudiée a été identifiée comme étant bien un virus, mais il réfute la propriété d'immuno-déficience. - La vue du Group de Perth correspond à la chose étudiée n'a pas pu être identifiée comme étant un virus, donc la propriété d'immuni-déficience ne peut être attribuée.
  23. Si l'on ne peut pas prouver quelque chose - ni existence, ni non-existence - nous sommes simplement dans l'impossibilité d'affirmer quoique cela soit ! L'erreur là c'est d'affirmer l'existence lorsqu'il y a qu'une possibilité d'existence. L'argument n'a d'ailleurs jamais été tourné de cette façon - en tous cas pas en venant de moi. Pour ma part j'ai simplement reconnu que l'asbence de preuve - dans un sens comme dans l'autre - ne sert aucune cause, orthodoxe ou dissidente. L'absence de preuve d'existence de virus ne prouve effectivement pas qu'il n'existe pas - il y a une possibilité d'existence - puis s'il n'existe pas, on doit aussi pouvoir le prouver ! Cette question est close pour moi...
  24. Je crois que la réponse est simple: oui. Cela rejoint mon post précédent - dès l'instant où la maladie fait partie de la définition et qu'elle est associée à un test vih positif elle est simplement comptabilisée comme SIDA. Pour l'orthodoxie le VIH est une cause d'immunodéficience en soi - le virus provoque le sida - pourquoi ne le serait-il plus dans le cas ou justement une maladie caratéristique apparaît en sa présence ? (selon leur point de vue) Il n'y a pas d' outils diagnostiques supplémentaires (à ma connaissance) qui permettent de faire la différence quel élément est LA cause dans le cas ou deux (ou plusieurs) éléments présents peuvent être en cause. Ces cas sont le fruit d'une recherche spécifique et restreinte, donc si ces méthodes n'ont pas été étendues tu as ta réponse... cordialement
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