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Psyence

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Tout ce qui a été posté par Psyence

  1. Bonjour, J'aurais aimé savoir ce que vous pensez de cette citation d'André Gernez à propos du SIDA Je ne sais pas si cet auteur a été abordé ici. Cordialement PS/Salutation à Wally, Cheminot et les autres
  2. Bonsoir, Je transmets mes salutations à Wallypatt et Cheminot. Cordialement
  3. Bonjour Delwere, J'avais posté, mais je ne sais plus où, un autre chiffre qui était de 49%. J'avais attiré l'attention sur la formulation de l'article qui disait, (si je me souviens bien) que 49% des décès chez les séropositifs étaient du à une maladie a priori non liée au VIH: J'avais rapporté ceci du fait qu'il n'aurait qu'un pas à franchir par l'orthodoxie pour expliquer ces maladies par le VIH et élargir ainsi la définition. Cordialement
  4. cléo Merci je voulais juste savoir si nous le savions ! Cordialement
  5. Cleo, Tu me conseille de réviser de la biologie sous-prétexte que tu refuse de répondre simplement à ma question ? Je me pose pas la question de savoir "comment ça marche" car ça je crois que vu "la complexité du vivant" nous n'avons que des réponses fragmentaires. Je lance simplement l'hypothèse de la possibilité que la RT soit un processus d'adaptation normal et non une propriété exclusive du VIH et autres rétrovirus . Me donner deux exemples d'interaction avec l'environnement sans rapport à la RT ne répond pas à ma question il me semble. Je vais donc lire des ouvrages à l'issu desquels je n'aurais toujours pas ma réponse ? J'attends deux réponses: une spécifique concernant la normalité de la RT et qui réponderait en partie à l'autre, plus générale, concernant la véracité de l'idée que l'ADN serait une espce de "base de donnée inductrice" dont les informations seraient protégées de l'influence de l'environnement extérieur. Cordialement
  6. Pourriez-vous étayer cette affirmation ? S.V.P Je reconnaît avoir un peu abuser en qualifiant la biologie de "créationniste" puisque cela signifie que les choses sont ce qu'elle sont depuis le début sans aucune variation. Hors vous reconnaissons une variation interne (mutation). Je parlais du fait qu'en écartant la possibilité de RT en tant que processus normal cela signife que toutes solutions d'adapatation à l'environnement existent déjà dans le génôme, mais qu'est-ce qui communique à ce génôme l'activation de certains gênes en fonction de ce qui s passe dans l'environnement ? Merci
  7. Bonjour, Votre exposé m'interpelle à cause d'une contradiction inadmissible. Vous dites: Vous dites que pour passer d'ARN à ADN le virus doit "se débrouiller" et utilise pour cela une enzyme appelée transcriptase inverse (TI). J'en conclu donc que cette enzyme n'est pas une propriété produite par le virus lui-même mais une fonction du corps. Par conséquent; inhibé l'activité de transcriptas inverse revient à altérer une fonction naturelle du corps en même temps que celle de réplication du virus. Mais ensuite vous vous contredisez disant que la TI n'existe pas chez l'humain. Autrement dit que cela serait une propriété du virus. Il faurait vous mettre d'accord. Il serait très étonnant qu'un virus arrive à produire une enzyme capable de faire cela à partir de son peu de matériel génétique et que le corps en soit incapable à partir du génôme humain dont le matériel génétique est bien plus conséquent. La question qui se pose est la suivante : la TI est-elle une propriété du corps ou du virus ? S'il vous plaît éviter "les généralités tautologisante" : "certains virus ont une activité de RT, il y a activité de RT, donc c'est un virus." Prouvez-moi qu'il n'existe pas de RT ( rétrotranscriptase) chez des personnes séronégatives. Puis d'un point de vue strictement théorique dites-moi comment la notion de séléction naturelle, qui "permet au plus fort de survivre" peut-elle se faire en dépit de toutes formes d'adapatation à l'environnement, sans se traduire par un échange d'information constant d'ADN à ARN et d'ARN à ADN. Autrement dit comme considérer qu'un système clos, comme le serait un système unilatéral de transcription d'ADN à ARN; puisse être compatible avec la théorie de l'évolution ? La biologie serait-elle "créationniste" sur ce point ? , c'est-à-dire que toutes les adaptations possibles au changement environnementaux serait déjà contenu dans le génôme. Cordialement.
  8. Delwere, Les médias marque peut-être cette distinction mais paralèllement ils entretiennent également la confusion pour une raison très simple : ils (médias français) annoçent régulièrement la progression du SIDA alors que les statistiques ne montrent qu'une hausse des cas de séropositivités alors que les décès du sida sont en baisse depuis plusieurs années. Le problème réside dans la façon de présenter - nommé "nouveaux cas de sida" fait croire à une progression. Pour démontrer une réelle progression il faudrait pouvoir montré une croissance chez les cas de séropositivité et chez les cas de sida. (Logiquement un nouveau cas devrait-être un cas supplémentaire mais dans quel rapport ? Par rapport au tout ou à l'année précédante ?) Pour répondre à ta question initiale: - je pense qu'il s'agit exclusivement des décès. Cela serait très étonnant qu'une personne qui fait un "épisode de sida" , c'est-à-dire une maladie opportuniste associée à un test vih+ soit re-compatbilisée à chaque fois comme un cas supplémentaire. (ce, que le seuil de CD4 soit pris en compte ou pas) Cordialement
  9. Delwere, Je pense qu'un "nouveaux cas de sida" c'est simplement une nouvelle personne séropositive - un abus de langage relatif à la persuasion que la séropositivé prévoit le sida D'ailleur sauf erreur de ma part l'Europe ne prend pas en compte la mesure des CD4 dans sa définition comme c'est le cas pour le CDC. A vérifier. Cordialement
  10. Salut Patou, Tu pourrais publié ces mails comme pièce à conviction ? Cela m'étonne pas qu'il te traite ainsi. Néanmoins pour ceux qui aurait envie de s'essayer à au même exercice, il serait peut-être souhaitable d'invoquer le "principe de précaution". Les personnes qui réagissent avec autant de véhémence sont choqué d'un point de vue éthique du fait qu'ils sont convaincu du bienfait des traitements. Mais il faudrait essayer d'attirer leur attention en leur disant que refuser de vérifier une affirmation qui remet en question ce qu'il pense être juste n'est pas une attitude éthique et que par "principe de précaution" ils devraient le faire avec plus d'attention. Si cette considération ne modère pas leur réaction alors effectivement, nous pouvons nous demander s'ils ne défendent pas d'autres intérêts que celui du malade. Cordialement
  11. Bonsoir, Si je peux me permettre il existe une position intermédiaire. Le fait que les ressources naturelles s'épuisent peut simplement signifier qu'il y a surconsommation. Dans ce contexte il existe effectivement une surpopulation par rapport aux ressources mais seulement si nous appliquons le même rythme de consommation à la totalité de la population planétaire - c'est-à-dire également aux nations qui accèdent à notre mode de vie seulement depuis quelques années. (Chine, Corée, etc) C'est là qu'un vrai problème va se poser : il va falloir référener la consomation de tous et celle des pays qui entrent à peine dans ce mode de vie. Ceci peut être vécu comme une forme de répression et devenir un motif de guerre. Certain ont émis leur doute sur la réalité du réchauffement climatique du à l'activité humaine dans ce sujet et il ne serait pas incohérent d'utiliser la perspective d'une catastrophe écologique majeur comme un moyen de disuasion. C'est-à-dire comme motif pour renoncer petit à petit à vivre de cette façon. Il me semble d'ailleurs que cette "prise de conscience" écologique a été véritablement été politisée par le film d'Al Gore. Pourquoi la politique planétaire part-elle souvent des Etats-Unis ? Bien que je ne sois pas anti-américain, je m'interroge. Cordialement Désolé c'est hors sujet, mais je crois qu'il existe une thèse selon laquelle le SIDA serait une malade inventée pour éradiquer la "surpopulation" (rapport consomation/ressources)
  12. Re, Economiquement c'est correct ! "La (bonne) santé nuit gravement à l'industrie pharmaceutique" Des intérêts à ne pas se remettre en question il y en a... certainement plusieurs... mais bon ce que je me demande vraiment c'est s'ils ne sont pas eux-même convaincu de la validité de la thèse virale. Tu comprends je ne peux pas croire qu'il y ait une connivence entre toutes les personnes qui participent à ce système, je ne peux pas croire qu'autant de personnes puisse agir de concert de façon aussi immorale. Au contraire, je crois que leur acte repose au contraire sur une certitude de laquelle découle une attitude éthique cohérente. N'oublions pas que pour eux c'est "nous" les irresponsables et toute la problématique de la remise en question est là: - nous pouvons être de bonne foi tout en agissant dans l'ignorance. Cordialement.
  13. Delwere, Oui la contraposée "non-p => non-q" je connais, bien sur. Celle-ci est réfutée par l'observation "non-p => q" - mais ce cas est écarté par la définition, c'est-à-dire comme n'appartenant pas à la relation de cause à effet "p => q". Hors le problème c'est que cet écartement est justifié par les possibilités multiples. (Comme l'eau n'est pas forcéement le signe de la pluie dans l'exemple donné, la maladie opportuniste n'est pas forcéement le signe du virus) mais le fait d'être justifié ne veut pas dire qu'il est juste, car la possibilité que "p->q" soit faux renvoie forcément au cas "non-p -> q" J'ai bien compris tout cela puisque c'est justement de ce point de vue j'ai étudié cette problématique - le problème c'est que je ne crois pas au simple motif "gagner de l'argent" - mais plutôt à "erreur" lié à ce type de construction perusasive. Cela dit c'est bien résumé. Cordialement PS: la solution est dans une succesion de cause à effet plus précise. : là nous prenons le commencement et la fin et je crois que c'est trop général pour que cela soit décidable. Toutefois cela permet quand même une lecture du phénomène beaucoup plus nuancée qui permet de mettre à jour les subterfuges de l'autopersuasion,
  14. Bonsoir, L'erreur est grossière, en effet - il est légitime de se demander comment ils ont isolés (avec quelle technique) le virus chez ces patients et surtout comment ils savent qu'il est bien le responsable des maladies qualifiées de SIDA, car le fait de trouver cet élément biologique (virus) chez tous les patients ne constitue pas une démonstration en soi. "tous les malades ont le virus, donc le virus est la cause de la maladie" est une conclusion abusive et je ne comprend pas que personne ne remarque cette erreur de logique: "Il pleut, donc la chaussée est mouillée." est vrai "La chaussée est mouillée, donc il a plu." n'est pas forcément vrai. Il y a beaucoup d'éléments commun dans un être humain qui peuvent être considérés comme étant la cause d'un effet - dès lors comment faire dans ces conditions la différence entre corroboration et corrélation alors que la cause n'a pas pu être éliminée ? Je crois que tant que ce problème ne sera pas résolu - rien ne le sera vraiment. Cordialement PS: Mon problème est que je ne trouve pas la méthodologie qui justifie de façon scientifique que le VIH cause l'immunodéficience, ni hypodéductivement, ni expérimentalement:
  15. Viduité, C'est une question de valeur - tous ne place pas les mêmes en premier. Cela dit effectivement, le choix entre la mort (sida) et la mort (non-procréation) ouvre la voie à une procréation sans sexe et peut-être que d'autres technologies viendront de te chatoullier les zones du cerveaux qui corrpesondent à l'orgasme que tu recherche tant - pour les neuropsychologues cela sera exactement pareil même si toi tu y voiyais une différence. Cordialement Mais avant de choisir ses valeurs, il faudrait pouvoir déterminer si le sexe est véritablement = à danger de mort - tous le reste n'est qu'une conséquence de cette question
  16. PS: Les infections à l'origine indéterminées pose les questions suivantes: - les autres modes de contamination - mensonge du patient au sujet de son comportement - la non-spécificité des tests "Le déni du patient au sujet de son comportement" peut paraître choquant - pourtant c'est une façon de se protéger de la loi qui est sur la voie de criminaliser les comportements à risques. Partant justement du principe que le préservatif protège et que son utilisation est de notre bon vouloir, cela ne m'étonnerait pas que l'on puisse qualifé une contamination suite à un rapport non-protégé d"homicide involontaire avec négligence" - et même de "tentative d'homicide" pour ceux qui connaissent leur séropositivité: Bref des raisons de mentir il y en a, ne serait-ce déjà que pour son préserver son image. Cordialement
  17. Delwere, Oui, donc ce qui te dérange sur le fond est d'ordre éthique et concerne la "publicité mensongère" qui est faite au sujet d'une pratique dont la sécurité réelle serait inférieur à la sécurité annonçée. Je comprends et c'est justement parce que c'est très important par voie conséquence (contamination => mort) qu'il devrait y avoir un peu plus d'études testant cette fiabilité - mais aussi un peu plus d'imagination de la part des chercheurs sur les moyens de le tester. Sincèrement les méthodes servent à pouvoir faire ce genre de différences mas si elles ne sont pas "fiable" elle-même, aussi du fait de la difficulté de les mettre en oeuvre, rien ne peut être affirmer. Le bon sens veut que le préservatif protège en limitant l'exposition - dans quelle proportion ? Là est la question - et c'est pourquoi ils important de bien examiner le contexte de déroulement d'une étude - afin de savoir comment un chiffre est né et si dans d'autres conditions un tout autre chiffre pourrait naître. La répétition est un critère important en science. Pour la "publicité mensongère" peut-être faudrait-il regarder cela plutôt du point de vue "sociologique" s'il ne s'agit pas là d'un effet marketing des fabriquants. Au fond personne (à ma connaissance), aucun fabriquant n'a dit non plus que le préservatif était fiable à 100% et je crois que c'est sur la base d'une omission comme celle-ci que le "public" en à déduit quoi ? La sécurité - sans forcément se poser la question de la fiabilité. (Je crois que tous le monde a extrapoler la sécurité ) De ce point de vue la question que tu examines présente de l'intérêt, effectivement, je ne dis le contraire. Cordialement
  18. Delwere, Oui, l'outil statistiques est important mais d'un point de vue épistémologique ce qu'il représente réellement doit être relativisé surtout en biologie qui est plus proche d'une science humaine que d'une science exacte. Mesuré un taux précisément ne pose peut-être pas de problème, mais savoir ce qu'il signifie est beaucoup plus problématique. Mesurer un simple taux c'est aussi très différent que de mesurer une relation de cause à effet sachant que d'inombrables facteurs interviennent entre les deux et modifie les résultats d'une exépérience à l'autre. Absolument toutes les prévisions faites par extrapolation sur le nombre de cas de SIDA qui ont été annoncés se sont avérées faux et avec un écart qui dépasse largement la notion d'approximation. Les chiffres sont utiles seulement lorsque ce qu'ils représentent de façon fiable ce qu'ils sont sensés représenter et cela suppose la mesure des facteurs influent. Pour moi mettre un préservatif relève d'un simple principe de précaution - il semble logique à notre échelle de penser qu'un reservoir en caoutchouc limitant l'exposition direct avec des sécrétions vaginales et du sperme limite également le risque de contamination, non ? Mais bon, calculer cette limite suppose la connaissance de : - la qualité du matériaux - si le sujet est porteur ou non - l'intensité du rapport - la durée du rapport - la façon de le mettre - ... bref toutes ces variables entre ligne de compte de façon très différente d'un cas à l'autre... Les chiffres sont relatifs aux critères qui sont pris en compte et à la variabilité qui se produit d'un cas à l'autre selon ces critères - mais le problème de l'induction est assez simple : plus nous généralisons plus nous nous éloignons de la réalité. Cordialement L'abstinence, de sexe et d'injection, reste encore le meilleur moyen de se protéger du point de vue orthodoxe. Besoin de chiffre pour appuyer cela ?
  19. Delwere, Je n'ai pas eu le temps de te répondre sur cette question mais très rapidement et simplement: J'estime que la notion de "comportement à risque" est très bien définie lorsque l'on envisage cela dans l'optique de modes de transmission mais également que ceux-ci ne peuvent pas être réellement évalué en terme statistique à cause du contexte dans lequel les études sont réalisées. Les études ont été réalisées sur des couples sérodiscordants : - combien d'études exactement ? Parce qu'avoir un rapport du genre 1/1000 sur 300 études avec une variabilité relativement identique d'un groupe (cohorte) à l'autre serait relativement représentatif. Mais ce qui n'est pas représentatif c'est de prendre plusieurs études avec des résultats complétement contradictoires est d'en faire une moyenne. Par exemple dans une étude le "hasard" fera qu'il y aura beaucoup de contamination peu après le début de l'étude et dans une autre aucun durant toute la durée de l'étude et c'est sur ce genre de relativité que des chiffres sont extrapolés. Autrement dit la réalité dépasse toujours le cadre de l'étude et que c'est même plutôt la réalité qui contrôle ce qui se passe dans le cadre de l'étude - donc il ne faut pas t'étonner s'il y a des "incohérences" au sujet de la quantification des comportements à risques. Cordialement PS: L'extrapolation est hautement problématique car elle suggère qu'un échantillon peut être représentatif de la totalité. Par exemple: Si sur un échantillon de 10 personnes 5 seulement sont concernées par un problème X, une extrapolation portant sur 100 impliquera que 50 personnes concernées. Hors si nous faisons la vérification concrète sur 100 personnes nous en auront peut-être que 20 réellement ou 80....qui sait... puis sur ces 100 cas observer concrètement nous pouvons extrapoler sur 1000 personnes et vérifié concrètement. etc etc
  20. Bonjour, En imaginant la possibilité que chacun possède des arguments pouvant réfuter la thèse de l'autre, je me demande, si en cas d'impossibilité de pouvoir trancher la question rationnellement, ce n'est pas une fois de plus l'argument d'autorité qui sera déterminant. Le problème c'est que des non-experts devront juger impartialement d'une question dont deux groupes d'experts rapportent une vision contradictoire et mis à part le silence non-verbale embarassant de l'un d'eux (ce qui n'arrivera pas dans une vidéo ) je ne vois pas bien ce qui pourrait susciter la confiance en l'un des deux groupes plutôt qu'à l'autre. Néanmoins la vidéo présente l'avantage relatif ne pas pouvoir répondre à la contre-argumentation...mais ça ils le savent Gallo c'est un argument d'autorité Je crois que la réévaluation scientifique de l'hypothèse virus => sida sous *contrôle judiciaire reste la meilleure façon de trancher. Et sincèrement je ne crois pas que ce procès sera déterminant s'il n'aboutit pas à cela. Il risque au contraire de soulever de très violentes critiques car même si le Group de Perth à le poids des arguments scientifiques, il n'a aucun poids, sociologiquement parlant, au sein de la communauté scientifiques. Cordialement * J'entends pas "contrôle judiciaire" la mise en place d'un consensus expérimental qui devra être rigoureusement respecter lors de cette ré-évaluation, sinon chacun pourra toujours remettre en question les règles et critères méthodolgique à sa convenance.
  21. Bonsoir Sans vouloir t'offenser, Delwere ne serais-tu pas entrain de pratiquer la "mauvaise foi" ici De leur point de vue les "comportements à risques" sont au contraire très bien définis puisque cela concerne toutes les pratiques qui exposent directement du sang à du sang, du sperme ou des sécrétions vaginales avec différentes muqueuses. - Les prostituées en multipliant les partenaires sont plus souvent exposées que les autres personnes. - Les drogués par intraveineuses sont régulièrement exposés que les autres personnes.du fait de leur dépendance associé à un échanges de seringue. - Les homosexuels mâles seraient plus exposés que les autres personnes à cause d'une tendance pour un certain nombre à multiplier les partenaires. (Attention à nuancer mon propos: - à mon avis il y a pas de véritable justification du point de vue des orthodoxes au fait que les homosexuels mâle serait une catégorie plus à rsique d'infection que les autres. Par contre du point de vue du stress oxydatif cela se comprend mieux par la consommation de drogues) Que l'on pourrait résumer les "comportements à risques" ainsi: "Toutes personnes qui a souvent des rapports sexuels avec des personnes différentes et/ou qui échanges régulièrement ses seringues lors d'injection de drogue par intraveineuse." Les "comportements à haut risque" : "Toutes personnes qui ne se protègent pas lors de rapport sexuel ou n'utilise pas des seringues neuves" De leur point de vue la fiabilité du préservatif doit être vu comme une réduction du risque de 60 à 85% selon ce que tu rapportes et non comme un risque de 15% à 40% d'être infecté Je vois pas en quoi ces notions seraient mal définies, et pourtant je ne suis pas orthodoxe pour autant. (A moins que j'ai raté une étape importante dans cette affaire, c'est possible) Cordialement PS: En résumé un "comportement à risque" se définit essentiellement par : - exposition multiple - non-protection
  22. Bonjour, En effet les possibilités que cette prédiction se réalise sont tellement nombreuses qu'elle ne peut que se réaliser et nous convaincre de cette relation de cause à effet. Cela dit je pense que ces mécanismes d'auto-persuasions se sont mis en place à l'insu des chercheurs du fait d'avoir envisager au départ qu'une seule cause à certains cas d'immunodéficience et par voie de conséquence aux maladies résultantes. Le plus intéressant c'est qu'une erreur initiale se détecte dans tous les faits subséquents - hors c'est un peu ce que démontre toutes les "incohérences" du SIDA. Cordialement
  23. Bonsoir, C'est exactement ce que j'ai essayé de faire comprendre en disant que la séropositivité et les maladies opportunistes ne pouvaient être qu'une corroboration. J'entends par "corroboration" le fait de mettre en rapport une chose avec l'autre sans qu'il y ait forcément de lien de cause à effet... car c qui peut faire croire à une "corrélation" c'est la longue attente que l'une des 29 maladies opportunistes apparaissent conjointement à un statut sérologique qui est aussi "permenent". (Ce fait de pratiquer le test qu'une fois,si ce n'est deux à intervalle de 6 mois aujourd'hui pour confirmation ) Je ne rajouterais pas à cela toutes les conditions pouvant rendre ce test positif.. Cordialement
  24. Bonjour, Eh moi je "souris" déjà du fait de constater les paradoxes qu'introduit cette liste dont les maladies suivantes: - Candidose pulmonaire, oesophagienne, oro-pharyngée, vaginale - Cryptococcose pulmonaire - Maladie de Kaposi - Pneumocystose pulmonaire - Pneumonies bactériennes récidivantes - Rétinite à CMV - Toxoplasmose pulmonaire, cérébrale - Tuberculose sont précisément des maladies qui font elle-même partie de la défintion du SIDA. Quel est la cause, quel est l'effet ? Je "souris" également de l'implication que cela peut avoir sur les statistiques concernant tout ce qui a été discutés au sujet de cette défintion. Comprenez simplement que si l'on retire ces maladies de la défintion du SIDA parce que la séropositivité est un effet de ces maladies (et non une cause), alors toutes la courbes épidémique s'effondre d'un seul coup - les conclusions des études qui ont été bâties là-dessus aussi. Remarquez que ces maladies sont en plus celles qui constiutent les principales causes de décès regrpouée sous le vocable de SIDA. "Où est le SIDA ?" Les malades sont là, mais le SIDA est où ? Quoiqu'il en soit j'estime que ceci : est la meilleure instruction qui a été donnée ici pour faire cette différence fondamentale ; supprimer les autres facteurs avant d'essayer de supprimer le virus présumé. Cela fait un moment déjà que j'ai essayé de dénoncer le fait que la non-spécificité des tests avait de fortes influences sur la statistique générale à cause de la définition qui crée elle-même une co-incidence entre des conditions biologiques et cliniques sous un seul et même vocable. Beaucoup de prédiction qui se sont vérifiées n'en étaient pas ! La "séropositivité" est encore plus ambilvalent du fait d'être située entre cause et effet. Elle témoigne d'une défense contre une cause sans avoir si cette défense sera suffisante pour en contenir les effets et sans savoir si les effets sont mortels ! Par exemple; - l'homosexualité récéptive serait-elle mortelle ? Cordialement
  25. Le problème n'est que là - l'incompréhension et sincèrement puisque tu sembles encore penser que j'adhère à certains point de l'orthodoxie - je crois que mes positions tu ne les comprends pas vraiment. Actuellement je travail sur autre chose, les raisonnements circulaires entres autres, et ce que je peux déjà en dire c'est que c'est un intérêt qui créer ses "petits sepents qui se mangent la queue" dans notre esprit et ce sans aucune autre justification - leur effet c'est le réductionnisme...tout comme l'on réduit les maladies du SIDA à la séropositivité. Bref laisse tomber... .je reviendrais quand j'aurais l'esprit libre Bye
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