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Jerman

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Messages posté(e)s par Jerman

  1. des commentaires : signe que le sida est un problème de moelle osseuse et non de sexe et bla bla bla,

    signe que la guérison n'intéresse pas les puissants de ce monde sinon ils auraient investi en se basant sur l'expérience de Tim,

    Cette hypothèse de moelle osseuse semble te tenir à coeur et je pense que c'est une piste sérieuse à laquelle j'adhère pleinement !

    D'ailleurs, n' a t-on pas reconnu que certains ARV dont l'AZT avaient la capacité de l'endommager voire de la détruire !

    Donc, il y a donc un lien à établir entre le nombre de CD4 dans le sang et la production des lymphocytes dans la moelle osseuse, production qui peut être perturbée par des substances chimiques !

    A ce propos, il existe un type d'anémie dite aplasique (quand la moelle ne produit plus assez de cellules souches) qui étrangement, est aussi causée par des médicaments et/ou substances toxiques (dans 50% des cas) !

    On dit aussi que les reins jouent aussi un rôle important dans la stimulation de la moelle osseuse pour la production de globules rouges !

    Ce qui nous éloigne pas mal du virus, il faut bien le dire, sans remettre en cause la thèse du stress oxydatif !

  2. Merci pour toutes ces recherches Jardinier

    Si elle a été testée positive au VHC en 1995 et si comme je le comprends elle a fait une hépatite à partir d'avril 1996, il est probable que son traitement de janvier à avril 1996 (Myambutol +Pirilène + Rifadine +Rimifon) visait à soigner les 2 séropositivités à la fois, et que non seulement ça n'a pas marché, mais que la situation s'est aggravée.

    En fait , je viens de vérifier, elle a été testé VHC positif en 1996, mais n'a pas fait d'hépatite à proprement parler, car son foie a tenu le choc !

    Il faut bien comprendre que ce sont des tests qui mesurent des marqueurs comme je te l'ai dit plus haut et non pas la présence d'un virus !

    Concernant la tuberculose, elle avait fait une tuberculose à 3 ans et ce sont les anticorps qui leur ont fait croire qu'elle avec la tuberculose, car là encore elle n'avait pas de symptômes apparentés à cette pathologie, mais ils ont traité aussi... 4-spamafote.gif et puis, son dossier médical n'a pas franchi la frontière !

    Tu peux comprendre maintenant ( et Brume aussi si elle me lit) que le médecin ( celui de son dernier AVC) qui a dit qu'il comptait sur moi pour que je la convainque de reprendre ses traitements, était à côté de la plaque...grave, et qu'il ne faisait aucunement le lien entre les traitements et son immunodépression, obsédé par les traitements tous azimut, mais croyant bien faire sans doute !

    Bon, tu as tous les éléments maintenant icon_biggrin.gif

  3. Jardinier

    Tant qu'à faire allons jusqu'au bout !

    Ensuite, pour l'hépatite C, doit-on comprendre qu'elle s'est déclarée et a été soignée aussitôt en 1996, ou bien était-elle positive au VHC avant ? Si l'hépatite s'est déclarée en avril 96, elle pourrait sûrement être mise sur le compte des effets secondaires des traitements qu'elle a reçus à partir de 1995, donc sur celui de l'AZT, puis sur celui de la bithérapie initiée en janvier 96. Ce serait d'autant plus plausible que les lésions au foie ont souvent été signalées comme effets secondaires, tant de l'AZT que des bi et trithérapies... qui étaient à un stade très expérimental à ce moment là.

    Je pense cela aussi puisqu'elle a été testée positive au "VHC" (qui sont aussi des marqueurs, faut-il le rappeler") en 1995, c'est à dire bien après le VIH, mais seulement les tests VHC n'ont commencé qu'en 1990, donc là aussi comment savoir !

    De toute façon , il y a pour moi, une corrélation entre l'AZT et les problèmes hépatiques graves, pas seulement la monothérapie, car les tri aussi te bousillent le foie et peuvent créer des hépatites...et bonjour les effets de l'interféron, censé éradiquer le VHC !

  4. Jardinier

    Excuse moi de t'avoir fait préciser tout ça. On voit bien en effet que si ce n'était pas à proprement parler des soins à l'insu, ils ont appliqué à la lettre toute la logique ad hoc des soins du sida et des hépatites C, très lourdement voire de façon quasi outrancière (la phase Interféron + bactrim préventif, par exemple, est très édifiante), alorsqu'il n'y avait sans doute au niveau des tests qu'une trace d'hépatite. Pour l'AZT en mono, ils devaient déjà savoir en 95 que le bénéfice-risque était négatif, mais comme les bi et trithérapies n'étaient pas encore disponibles, ils ont prescrit l'AZT comme si de rien n'était - ce qui est encore plus grave que des soins à l'insu. Ensuite, ils auront testé sur elle toutes les nouveautés pharma au fur et à mesure de leur apparition : c'est là sûrement qu'il y a eu en fait de véritables pratiques à l'insu, par rapport au fait que c'était des produits en phase IV d'expérimentation, voire peut-être seulement en phase III.

    Tu as très bien résumé mon sentiment en ces quelques mots !

  5. Jardinier

    D'abord, le plus casse-pieds pour toi, parce que tu réponds un peu à côté : ce que je te demandais, c'était ce qu'on lui disait pendant qu'elle a été sous traitement. Est-ce qu'on l'informait, ou au moins dans quelle mesure, des buts thérapeuthiques et des propriétés précises de ce qu'on lui prescrivait, des raisons des changements de prescription, des risques d'effets secondaires de chacun des produits et de leurs interactions ? Exemple : la monothérapie à l'AZT a duré combien de temps ? Et qu'est-ce qui dans ta liste a été administré simultanément et/ou chronologiquement ? Quelle a été la durée et la simultanéité d'administration de chacun des produits ?

    Je ne vais donc pas m'étaler plus que cela dans les détails car tout ça est bien trop sombre pour elle et difficile à avaler pour moi !

    Donc que crois tu que l'on disait à l'époque :

    On croyait aux vertus des mono, puis des bi puis des tri, donc on les prescrivait en toute bonne foi ( car les médecins ne connaissent rien en chimie ou biologie) en indiquant les effets indésirables mais en les minimisant quand même, car on jugeait que le rapport bénéfice/risque était en faveur du patient.

    Et chaque fois qu'une nouvelle thérapie arrivait, on en vantait les mérites ! des vrais boutiquiers !

    Donc en 1995, AZT en mono pendant 9 mois avec interruption de 2 mois avant l'arrivée des bi-thérapies en 1996

    De janvier à avril 1996 : Myambutol +Pirilène + Rifadine +Rimifon

    D'avril 96 à mars 1997 : HIVID + Rétrovir conjointement avec Bactrim (3 mois en préventif) et INTERFERON (6 mois ) Une catastrophe au niveau de sa santé à ce moment là! Arrêt 2 mois pour intolérance et délabrement physique !

    De mai 97 à sept 98 : Rétrovir + Videx ...arrêt pour intolérance pour 4 mois

    De janvier 99 à juin 2002 : Epivir + Viracept + Zerit ainsi que Rébétol + Viraféron

    Là aussi , un état de délabrement physique évident, mais un cobaye parfait !

    Arrêt définitif de tous les traitements en juin 2002 ( notre rencontre), puis elle retrouve peu à peu son poids en 6 mois et une santé normale sans aucun incident notoire, jusqu'à son AVC de l'année dernière

    Et puis pour les condylomes, ceux ci étaient dus à l'usage des préservatifs, qu'elle mettait depuis l'annonce de sa séropositivité ( de 1987 à 2002) . icon_tresfache.gif Et ceux ci ( les condylomes) ont disparu comme par enchantement en 2002, et si tu as bien remarqué, tu as pu observé qu'elle a commencé à prendre les ARV, à cause des condylomes (1995 )

    Et pour l'interféron, il était prescrit pour traiter une hépatite C, dont elle s'est débarrassée curieusement en 2007, car elle était encore positive au VHC en 2002 !

    Bon raz le bol de tout cet étalage, je vais me coucher !

    Bonne nuit !

  6. Jardinier

    Pourquoi écris-tu : "ces personnes traitées à leur insu" ? Quelles informations et explications lui a-t-on fournies ou pas au cours de ces traitements de 1995 à 2002 ?

    Parce que c'était l'époque où l'on brandissait le spectre de la mort à court terme, et qu'elle a craqué, face aux pressions du système, mais aussi parce qu'elle faisait une confiance aveugle dans la médecine !

    Je rappelle qu'après son diagnostic de séropositivité en 1987, elle était complètement asymptomatique pendant 8 ans, était en super forme, et a seulement commencé ses traitements ( pour cause de condylome) alors que ces CD4 étaient à 500/mm3.

    Elle a donc choisi "de son plein gré" de commencer les traitements, mais l'a fait, il faut bien l'avouer dans un contexte de peur, période où elle était réceptive aux messages alarmistes...

    Elle n'était pas non plus la seule dans ce cas là, tu penses bien , car chez les séropositifs de cette époque, il y en avait beaucoup qui ne menaient pas de vie dissolue...on a tendance à l'oublier !

  7. Je te comprends aussi Brume , le recul est nécessaire ainsi que le silence radio, parfois !

    Mais peut-être et sûrement aurais-tu souhaiter plus de partage au niveau du vécu de chacun, car il faut bien le dire, sur ce forum, il y a plus de "raisonneurs" qui s'expriment, que de de gens touchés ou accompagnateurs.

    La dissertation, si elle est nécessaire, prend rarement en compte l'expérience vécue au fil des ans de ceux touchés par le "phénomène sida", gestion du stress, inquiétudes et doutes, parfois certitudes, le tout vécu différemment par chacun d'entre nous parce que, bien entendu, nous sommes tous différents dans notre approche de la chose, qu'elle soit intuitive ou/et raisonnante

    Alors, je te souhaite un bon lâcher prise pendant ces vacances ouf.gif pendant quelques temps et occupe toi bien de ton ami qui en a bien besoin, car c'est d'amour et de joie dont ils ont besoin !

  8. Brume

    Je ne veux simplement pas (plus) contribuer à mettre le seuil de cette décision difficile de les prendre trop haute, car aujourd'hui je pense sincèrement (et à contrecoeur, crois-moi) que cette attitude peut avoir des conséquences très graves. Ce qui ne veut pas non plus dire que je cherche systématiquement à pousser à la consommation des arv's.

    Le mystère de leur efficacité reste entier (pour moi), peut-être que l'orthodoxie à simplement raison, peut-être leur efficacité passe par leurs effets antioxydantes et anti-pleindechoses (comme le suggère le papier cité dans la dernière publication du PG

    Comment peux tu penser " sincèrement" et à "contre coeur" qui plus est , une chose pareille ! ton tiraillement est bien perceptible, Brume !

    Et puis ne pas les prendre peut avoir des conséquences très graves... quoi tomber malade, mourir ? c'est un discours de peur bien connu auquel nous ( elle surtout ) ne souscrivons plus !

    Le mal a été fait avec les ARV de 1ere et 2eme génération, de 1995 à 2002...dont voici la liste !

    N.B : 500 CD4 avant tout début de traitement en 1995

    AZT (la monothérapie)

    Myambutol +Pirilène + Rifadine +Rimifon

    HIVID : (Zalcitabine) + Rétrovir (Zidovudine)

    Bactrim : Cotrimoxazole

    INTERFERON

    Rétrovir + Videx ( Didanosine) (Bithé)...

    EPIVIR ( Lamivudine ou 3TC) + VIRACEPT (Nelfinavir) + ZERIT ( Stavudine ou d4t) (Trithé)

    Rébétol + Viraféron

    Puis 160 CD4 à l' arrêt des traitements en 2009

    C'était l'époque de l'acharnement thérapeutique, mais est ce que cela a changé aujourd'hui ???

    Aujourd'hui justement, elle fait face aux séquelles de ses AVC/AIT (car là aussi les neurologues et "spécialistes du vih" ne sont pas d'accord...cigarette, problème génétique ou vih) qui lui ont réduit sa mobilité et altéré son élocution

    Mais sur le fond, je pense que ce sont les effets indésirables sur le long terme des ARV, qui sont responsables (avec la clope bien sûr) de ses AVC et de son immunodépression

    Je remets ce lien concernant une étude, qui n'a pas vraiment été relayée dans les media, sur la toxicité de certains médicaments liée à un processus de vieillissement précoce !

    En somme, et cela n'engage que moi, elle ferait donc partie de ces personnes traités à leur insu, suite à un test HIV positif, car ne se droguait pas (à part la clope) ne s'adonnait pas à des pratiques sexuelles "dites à risque", et menait une vie saine d'un point de vue alimentaire et hygiènique jusqu'à ce test "révélateur" d'une immuno-déficience à venir. Ce n'est plus de la science, c'est de la divination !

    Et cela peut répondre à ta question Twj !

    C'est pourquoi je ne crois pas actuellement à l'effet d'un médicament sur l'immunité proprement dite (hausse des CD4, point barre ) puisqu'il s'agit bien de cela !

    Cela voudrait dire, qu'il suffirait de l'administrer à tous ceux qui ont un déficit d'immunité, les vieux par exemple comme le disait Aixur précédemment, mais aussi à tous ceux potentiellement malades, pour que chacun se mette hors de portée de toute infection...

  9. C'est quand même à en mourir de rire cette notice ( et oui j'arrive encore à en rire) et quand je lis les effets indésirables, c'est à se demander si la recherche sur les nouvelles thérapies n'est pas un leurre de plus, un attrape nigaud (pour les cobayes s'entend)

    - Ils disent en même temps :

    ISENTRESS est un médicament antirétroviral qui agit sur le Virus de l’Immunodéficience Humaine

    (VIH), virus à l’origine du SIDA.

    ISENTRESS n'est pas un traitement curatif de votre infection par le VIH. icon_confus.gif

    Faut le faire !!!

    et le must :

    Ne prenez jamais ISENTRESS

    - si vous êtes allergique au raltégravir ou à l'un des autres composants contenus dans ISENTRESS

    (listés en 6. INFORMATIONS SUPPLEMENTAIRES)

    Comment le savoir avant si on ne l'a jamais pris ? et vu les noms à coucher dehors de ces composants, il y a fort à parier que personne ne sache s'il est allergique !

    Le problème aussi c'est qu'ils n'indiquent pas ce qu'est réellement le raltégravir et le fait de donner seulement le nom des autres composants ne rend pas la chose plus transparente !

    Il est vrai qu'ils disent cela pour tout les médoc, secret d'officine oblige !

    Et tu comprendras Brume ( je te réponds içi, désolé ) pourquoi je suis si circonspect quant aux promesses de ces nouveaux ARV, même ceux que prend ton ami !

  10. @ Brume

    Donc, effectivement, on a l'impression que j'explique tout par un ou deux trucs, que je généralise outrageusement. Mais c'est parce qu'il n'y a pas tant d'éléments que ça qui ont un impact sur le corps.

    Et que fais tu du corps éthérique ( (inconnu au bataillon de la science médicale et pourtant un système majeur si on s'intéresse aux énergies entrantes et sortantes) dont les centres (plexus ou chakras) sont reliés sur le plan physique avec les glandes endocrines.

    Et que dire encore des travaux de Luc Montagnier sur les ondes électromagnétiques et de leur capacité à détecter voire générer des virus ou bactéries .

    Récemment ( le 28/10/11 ) Luc Montagnier à assisté à Rome à une conférence sur le thème :

    Champs électromagnétiques: une nouvelle méthode physique pour le diagnostic et le traitement des maladies dégénératives

    Et si cela se réalise, le système va être ébranlé !

  11. http://www.sidasante.com/forum/index.php?a...t=0#entry312242

    @Jerman,

    Je crois que j'avais fait un message ou je pensais avoir l'explication pour les AVC de ta compagne. Mais, comme d'autres messages avaient été postés ensuite, j'ai eu l'impression que tu étais passé à coté.

    A mon avis, si je me souviens bien de ce que j'avais écrit, ce sont les diverses substances "naturelles" que ta compagne prend qui expliquent clairement le problème de l'AVC. Ces trucs là augmentent le taux de cortisol et resserrent donc les veines, spécialement dans les jambes. Du coup, ça crée des caillots dans les jambes, qui finissent par se balader ailleurs et créer des AVC.

    Dans ton argumentation sur la hausse du du cortisol, il était question de la l'ail, de la spiruline et du desmodium .

    Enfin, le desmodium est connu pour lutter efficacement contre l'asthme. Ca aussi, c'est assez caractéristique des produits augmentant le taux de cortisol

    Quant au desmodium , ce n'était qu'une cure de 3 mois, il y a de cela 1 an

    Mais tu ne considères pas, toi aussi, la cigarette comme étant un facteur à risque pour les AVC !

    Seul, le cortisol répondrait à toutes les problématiques...les bras m'en tombent !

    Et si on parlait plutôt d'un dysfonctionnement des glandes surrénales en particulier pour expliquer la baisse/hausse du taux de cortisol ?

  12. Autre chose, Jerman, j'avais enfin retrouvé ton post mais il vient de m'échapper de nouveau..., mais donc tu dis que les AVC de ta copine seraient en bonne partie à mettre au compte de 25 années de clopes et autres. Le tout datant de combien d'années? 10, 15 ? Tu sais que ce n'est pas possible. Un bon, authentique cancer des poumons, ça d'accord. Mais des AVC, rien à voir, si c'était les clopes, ça devrait être les clopes d'au pire l'année dernière, et encore. Je veux dire, laissez toutes les approches ouvertes. Pour l'instant on n'a aucune théorie qui ne tienne la route à défendre avec sa vie.

    Si je devais tirer aussi ce mauvais joker - ce qui peut largement m'arriver - je garderai en mémoire les remarques de Cheminot sur quelles molécules seraient préférables à d'autres, aujourd'hui. J'aurais du mal, concrètement et éthiquement, car je suis bien dans la "nature" à tous les étages (sans faire partie d'une secte - pourquoi ça t'inspire ça, Jardinier ? je ne pige pas) et repousser les médocs au maximeum, mais on n'a qu'une vie. Je veux dire, ne faites pas les cons. S'il le faut, il le faut. Des fois la vie, et notre respect pour et vie avec la nature, se fout de notre gueule, de plus en plus d'ailleurs (je trouve), mais bon.

    C'est le cas, Brume !

    Elle a arrêté définitivement la cigarette à la suite de son (ses) AVC, l'année dernière ! donc pas de pause entre l'arrêt des clopes et l'AVC !

    Et j'ai bien dit que je supposais que la cigarette puisse être responsable de ses AVC ( d'ailleurs c'est un des facteurs de risque comme chacun le sait , en tout cas c'est ce qui est dit officiellement, est-ce pour autant vrai ?) mais pas le seul bien sûr, car je pense aussi aux cochonneries qu'elle a commencé à prendre dès 1995 ( AZT...et consorts)...et c'est un miracle qu'elle soit encore en vie !

    Quant à répondre présent pour l'essai de nouvelles molécules, permets à mon amie de réfléchir à deux fois avant de sauter le pas, et s'il doit être fait, qui est le plus habilité pour le dire, le médecin traitant qui n'y connait rien, le médecin spécialiste vih qui n'est pas biochimiste, ou le chimiste ?

    Ceci dit, j'espère que les CD4 de ton ami sont au top, vraiment !

  13. Cheminot

    Pourquoi en 1996 y aurait-il eu cette forte baisse de la mortalité, si on avait continué d'utiliser d'autres molécules censées avoir le même mode d'action? En fait, la seule réponse logique qui s'impose, c'est que le mode d'action des nouvelles molécules (3TC en particulier) est différent. Cela implique que l'effet antirétroviral n'existe pas, et qu'il faut envisager un autre mécanisme d'action.

    Ok, l'effet antirétroviral est un leurre, mais alors, et je repose ma question, pourquoi le PG qui dit être pour les ARV, plaide pour une cause non rétrovirale ???

    Les mots ont un sens, et il faut bien les choisir pour donner du sens à une théorie

    Question subsidiaire, as t-on des nouvelles de Wallypat ?

  14. C'est vrai qu'ils ne parlent plus tellement de stress oxydatif dans cette nouvelle version et qu'il mettent à nouveau plus l'accent sur le problème des drogues. Mais on sent bien que ça reste essentiel dans leur interprétation. Sinon , pourquoi continuer à préconiser de prendre des trithérapies ? Si selon eux, le sida était simplement un problème de prises de drogues, il n'y aurait aucune raison de continuer à préconiser la prise de trithérapies (supposées par eux et cheminot avoir un effet antioxydant). Il suffirait d'arrêter de prendre de la drogue pour retrouver une bonne santé. S'ils le font, c'est bien qu'ils croient qu'ils s'agit d'un problème de stress oxydatif naturel, qui nécessite de prendre des trithérapies ad vitam eternam et que sans ça, la personne, même en vivant une vie parfaitement saine (pas de drogue, bonne alimentation, bon sommeil, sport, etc...), aura des symptômes de type sida.

    Et si c'est vraiment le stress oxydatif qui est le seul fauteur de trouble selon le PG, que viennent faire les antirétroviraux en tant que remède, puisqu'il n'y a pas de rétrovirus reconnu comme tel !

    Et dans ce cas , n'y a t-il que le FTC ou 3TC sur la terre comme antioxydant pour combattre les radicaux libres !!! Pourquoi cette fermeture ??

    Ont-ils besoin de reconnaissance à ce point au point de se noyer dans leurs contradictions ?

  15. Mise à jour de la position du Perth Group

    STATEMENT OF THE PERTH GROUP’S VIEWS ON “HIV”/AIDS

    November 2011

    Since:

    1. Many “HIV”/AIDS experts claim the members of the Perth Group are dangerous pseudo-scientists and AIDS denialists.

    2. Some dissidents including the president and other members of the Rethinking AIDS group claim we are no different from the “HIV”/AIDS experts.

    we thought it necessary to make a short statement explaining our views.

    According to some members of RA:

    1. We agree with the AIDS experts that AIDS exists.

    True, we do. It is an undeniable fact that at the beginning of the 1980s a new phenomenon, very high frequencies of PCP, KS and a few other rare diseases appeared in a minority of young, homosexual men living principally in New York City, Los Angeles, Amsterdam and Sydney. Some of these men also had low T4 cell counts which immunologists claim play a key role in immune competence. By definition the above diseases, in the presence of low T4 cells (immune deficiency), became known as AIDS. Following claims of the discovery of “HIV” and its causative role in AIDS, many other, not so rare diseases such as tuberculosis, most of them unrelated to those occurring in homosexual men, were added to the list of AIDS indicator diseases. That is, “HIV” became the cause of a panoply of diseases including those already endemic in developing countries.

    One can argue about:

    (a) the profiles of diseases that characterise the different risk groups;1-4

    (b) the role of T4 cells (immune deficiency) in the development of the clinical syndrome;2, 5-7

    © the existence and role of “HIV” in the development of AIDS.2, 5-17

    but one cannot argue against the “HIV” theory of AIDS on the basis of the clinical syndrome. For example, it has been argued the HIV theory of AIDS is wrong because by definition TB + HIV = AIDS while TB – HIV =TB. Naming TB + HIV as AIDS will be wrong if and only if one has prior evidence that either HIV does not exist or if it does, it is not one of the causes of TB. The notion that AIDS in 2

    homosexual men can be dismissed because of problematic definition(s) belies the fact that a totally new phenomenon arose in such men in the late 1970s and, at least in developed countries, homosexual men still bear the brunt of a new and deadly syndrome for which there must be an explanation. The clinical syndrome exists no matter what one calls it.

    2. We agree with the AIDS experts that sexual practices play a role in AIDS.

    True, we do. The evidence in the scientific literature proves beyond all reasonable doubt that sexual intercourse is a highly significant factor leading to the development of a positive antibody test and AIDS in both men and women. However, analysis of the data also shows that (a) the risk factor for the acquisition of a positive antibody test and AIDS in both men and women is passive anal intercourse; (b) it is not the act per se (sexual orientation) but the very high frequency of this practice, especially when associated with gastrointestinal trauma and drug use, that underlies this risk. (Nitrites, cocaine, heroin).

    3. Unlike members of RA we do not consider the antibody tests are meaningless.

    True, we do not think the tests are meaningless. Our view, that the presently available data do not prove the existence of a retrovirus “HIV”, is well known. If “HIV” has not been proven to exist there can be no “HIV” antibodies. However, the scientific literature contains abundant evidence of a relationship between a positive antibody test, whatever its genesis, and the risk of current or future diseases. This is not surprising. From the very first papers on antibody testing18, 19 it is obvious the test was designed to determine the relationship between a positive test and AIDS, not a positive test and HIV. Over the years the criteria for a positive HIV antibody test have been adjusted to fit the profiles of AIDS patients in the developed countries. The “tuning” of HIV antibody tests is discussed in our Mother-To-Child Monograph,20 pages 1-7 and was addressed by Professor Elizabeth Dax during her testimony at the 2006 Parenzee hearing.21 In developing countries this matter is much more complicated. For example, the majority of “HIV-free” individuals infected with the leprosy mycobacterium, as well as their healthy contacts, have Western blot antibody profiles which would be deemed HIV positive in most places in the world. Significantly tuberculosis, the main AIDS indicator disease in developing countries, is caused by a mycobacterium which shares many antigenic features with the leprosy bacterium.22

    While in our view the scientific literature does not support the existence of retroviral (HIV) antibodies, there is ample evidence that the antibodies reacting with the antigens in the “HIV” test kits may be antibodies associated with (a) the generalised, non-specific polyclonal activation typical of HIV positive and AIDS patients; (b) infectious agents such as bacteria and fungi, including mycobacteria, E. coli and Candida albicans;16, 23, 24 © auto-antibodies synthesised de novo or; 3 (d) immunoglobulins rendered self-reacting by alteration in cellular redox.

    25 Unfortunately, because individuals being tested are very unlikely to be aware of the problematic nature of “HIV isolation” or the list of “non-HIV” mechanisms that may underlie a positive antibody test, they will believe that being “HIV” positive can signify nothing but infection with a deadly virus. One can only speculate on the psychological and physical consequences of such a belief.

    4. We do not condemn the use of “antiretroviral” drugs (ARVs) in the treatment of AIDS.

    True, and there are a number of reasons for this:

    (a) We have not studied the scientific literature.

    (b) Since in our view “HIV” has not been proven to exist there can be no antiretroviral drugs. However, this does not mean such drugs cannot or should not be used to treat AIDS. They may induce effects by means other than “anti-HIV”. For example, if the French scientist Jean Umber is correct, protease inhibitors are reducing agents and thus may act as anti-oxidants. There is also evidence that both reverse transcriptase inhibitors and protease inhibitors have multiple pharmacological actions including “Apoptosis Enhancers, Antibacterials, Antifungals, Antimalarials, AntiSARS and Anti-Influenza Agents” and “antitumor”.26 It is simplistic to dismiss ARVs on the basis of their toxicities. All drugs are toxic to greater or lesser degrees and the decision to use a particular drug is based on the clinician’s assessment of its benefit/toxicity ratio. Although we are not familiar with the literature we know HIV experts claim ARVs are efficacious and recommend their use. There are even dissident physicians who think there are situations that warrant their use. It is also a fact that most of the ARV treatments have been trialled in gay men and the same experts who recommend their use in this group have published data showing their efficacy is problematic in those countries with the greatest AIDS burden. As May et al state in 2006 in Lancet:

    “The discrepancy between the clear improvement we recorded for virological response and the apparently worsening rates of clinical progression might be related to the change in the demographic characteristics of study participants, with an increasing number of patients from areas with a high incidence of tuberculosis. For example, in the Swiss HIV Cohort Study there was a steady increase in the number of patients from sub-Saharan Africa. These patients were younger, more likely to be female, and more likely to have been infected heterosexually than other study participants. Also, they had lower CD4 cell counts at presentation, and the most frequent AIDS-defining event was tuberculosis. Similar trends have been seen in other European countries and in North America”.27 4

    It is also important to stress that ARVs, no matter how beneficial, do not prove the HIV theory of AIDS.

    We would like to remind those who think we are dangerous pseudo-scientists that:

    1. Our public health policies accord with and in fact go beyond those of the HIV experts. Hence it is not possible we are dangerous.

    We advocate:

    a. safe sexual practices apply to passive anal intercourse with both HIV positive and HIV negative partners.

    b. clean needles but the best option is no drugs and hence no need for needles.

    c. testing all blood and blood products.

    2. There are two old fashioned ways to prove we are pseudo-scientists:

    a. With great difficulty we have managed to publish papers in scientific journals. Such individuals, whoever they may be, should write to the editors of such journals submitting their evidence.

    b. Any scientist who understands the cellular oxidation theory of AIDS will have no trouble designing experiments to prove our theory wrong. Montagnier seems to understand because he has long been an apologist12 for our theory, at least in Africa.28 The expertise required to perform such experiments falls well within the abilities of the HIV experts with access to a reasonably sized laboratory. In term of AIDS funding the cost of such experiments would be trivial

    En gros :

    Le sida existe

    Les pratiques sexuelles jouent un rôle dans le sida

    Les tests signifient quelque chose, mais ne prouvent pas l'existence du HIV

    Nous ne condamnons pas les drogues pour traiter le sida (faudrait-il encore préciser lesquelles ! )

    C'est curieux, parce qu'ils disent en même temps que le sida existe, que les tests ne le prouvent pas (pas de rétrovirus), mais que les drogues le combattent (le sida)

    Il eût été plus facile de remplacer sida par stress oxydatif, qu'ils ne mentionnent d'ailleurs pas dans leur mise à jour ???

    Où est donc la cohérence dans tout ça

  16. Jerman

    Mais aussi, qu'attend l'orthodoxie pour nous découvrir un séro-converti de derrière les fagots, elle aurait tout à y gagner, non !

    Salut Bamboo

    J'ai présenté cela comme une hypothèse en suggérant que les ARV pourraient être responsables de cette séroconversion...et sous la forme de boutade !

    Et dans ce cas, tu peux imaginer la suite ! icon_rolleyes.gif

  17. Jardinier

    Non tu ne batifoles pas, mais tu devrais écrire pour un public plus large, tout simplement !

    Pour revenir à d'éventuels projets d'expérimentations de l'arrêt des traitements, ou à la possibilité d'autres projets alternatifs, il faudrait aussi tenir compte de la psychologie des séropositifs, dont certains sembleraient apparemment plus intéressés par le fait de redevenir séronégatifs que par la perspective d'être libérés des traitements et contrôles bio-médicaux à vie.

    En vrac et à chaud !

    La véritable dissidence se situe à ce niveau, dans l'arrêt des traitements, à la carte, et conjoint à la prise de traitements alternatifs, et on ne peut pas dire qu'on nous laisse trop le choix !

    Et pourquoi l'orthodoxie n'acceptera jamais le sida/oxydatif, simplement parce que le stress oxydatif peut être combattu autrement que par des drogues antirétrovirales.

    Et à propos de séronégativité, ce qui m'intrigue aussi, c'est qu'il n'y aucune séro-conversion à ce jour, malgré ces nouveaux ARV et la remontée curieuse des CD4, jusqu'à 500 CD4/mm3 parfois, et dans le même temps , on a des séropositifs qui n'ont jamais pris d'ARV et qui ont un taux de CD4 normal !!!!

    N'y aurait-il aucun lien entre le test HIV et le taux de CD4 ?

    Mais aussi, qu'attend l'orthodoxie pour nous découvrir un séro-converti de derrière les fagots, elle aurait tout à y gagner, non !

    Imaginez ! les ARV de dernière génération, vous font redevenir séronégatif, les ventes et prescriptions vont atteindre des records et même les dissidents les plus récalcitrants vont y réfléchir à deux fois !

    Et c'est ce qu'attendent, au plus profond d'eux mêmes, les séropositifs , car, ne l'oublions jamais, c'est une sentence de mort qui était annoncée au début du sida, à plus ou moins longue échéance.

    Et cette sentence de mort continue aujourd'hui, de la part de certains "spécialistes", si vous ne prenez pas d'ARV !

  18. Bon, je mets aussi mon grain de sel sur le stress oxydatif, dans ces joutes déjà pimentées

    Dans l'hypothèse où on retient que le stress oxydatif est le seul responsable de cette déficience immunitaire, les traitements (inhibiteurs de transcriptase et protéase ) sont à mettre à la poubelle avec le vih, puisqu'il s'agit içi de combattre la prolifération des radicaux libres induits par ce stress oxydant !

    Donc comment le PG peut-il cautionner les drogues antirétrovirales ?

  19. (twj @ Dimanche 16 Octobre 2011 13h32)

    Ce n'est pas parce qu'on a pas encore trouvé, que ca n'existe pas !

    Et pourtant, c'est ce que la recherche fait concernant ce virus, qui rappelons-le n'a jamais été trouvé dans le plasma d'un séropo !

    C'est pour cette raison que les photos se font toujours attendre !

    A contrario, la science en générale nie ou tourne en dérision ce qu'elle ne peut comprendre ou ne peut voir, parce que les instruments ou son étroitesse de vue ne le permettent pas...son raisonnement est donc inverse

    Mais tout dépend aussi du domaine scientifique dans lequel on exerce, car en astrophysique , on peut déceler la présence de planètes autour d'une étoile, grâce à certains rayonnements, alors qu'elles sont à des années lumière de nous !

    Démarche scientifique à la carte selon qu'il y ait des applications ou pas !

  20. En relisant ta traduction Jibrail ( merci) sur la mise au point du PG, on sent bien que les antioxydants sont le seul remède pour guérir du sida ou tout au moins faire remonter les CD4 en cas de baisse significative dans la phase "séropositivité".

    Ce qui revient à dire, en bref, que le vih, n'existant pas pour eux, les antioxydants ne peuvent pas faire de mal, mais qu'ils sont utiles pour enrayer le stress oxydatif, c'est déjà ça !

    Ainsi, si tout se résume à la prise d'antioxydants pour combattre un stress oxydant, tout devient simple en définitive, et la guérison devrait s'amorcer pour chacun sur une plus ou moins longue période.

    Or, il n'en est rien, puisqu'il n'y a aucun cas de séro-conversion répertorié à ce jour, malgré la prise d'antioxydants bénéfiques (3TC, FTC)

    @Jardinier

    C'est vrai, que la phrase que tu as soulignée m' a interpellé, car comment des scientifiques de renom ne peuvent-ils pas prendre connaissance de la littérature scientifique !?

  21. Ainsi que je l'ai écrit à Brume, une de mes connaissances, séropositif et présentant un Kaposi, a demandé à son toubib du 3TC et du lopinavir. Sans AZT ni tenofovir. Il a été tellement amélioré que son toubib a  été bluffé, du moins à ses dires.

    Le lopinavir contient un cycle aromatique semblable à celui de la tyrosine, qui est donc très rapidement nitré par les peroxynitrites carbonates, ce qui élimine ceux-ci.

    C'est bien, mais personnellement je refuse cet enfermement qui consiste à dire que seule la chimie pharmaceutique a les solutions et qu'en dehors d'elle point de salut. Et concernant la tyrosine, je préfère donner à mon amie ( qui se remet lentement) des amandes, des avocats, des bananes ainsi que des graines de courge ou sésame, ça coûte moins cher à la sécu et ça devrait avoir le même effet, me trompe-je ?

    Concernant le Perth Group, ils semblent avoir revu leur position en prenant en compte ton avis mais ils ont l'air de prendre cela comme une hypothèse pour l'instant...ils n'ont donc pas de chimistes ayant le même point de vue que toi, à consulter en Australie ?

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