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Elko

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  1. Elko

    Info ambigue...

    suite nouvel article
  2. J'aimerai bien connaitre la réponse de Cheminot à cette question puisqu'il défend un point de vue intermédiaire.
  3. Diamant bleu Vraiment? Tu défends donc un point de vue trés radical. Tu sous-entends que non seulement il n'y a pas de virus mais qu'en plus il n'y a pas non plus de détérioration du systéme immunitaire? Pour toi la maladie serait artificiellement induite par les médicaments chimiques suite à des tests qui ne détecteraient qu'une oxydation des cellules? C'est ça? Mais cette oxydation des celllules n'est elle pas synonyme de systéme immunitaire défaillant? Cheminot avance l'idée qu'il y a au contraire une détérioration réelle du systéme immunitaire. Et si j'ai bien compris il la pense irréversible. (ou bien n'est-ce le cas que dans l'expérience des souris?)
  4. (c'est le titre du sujet) On y discute des théories dissidentes... L'hypothése de travail c'est que le sida ne serait pas du à un virus infectieux mais à une dégradation du systéme immunitaire par oxydation. Or si cette oxydation des cellules peut être liée au stress, à l'injection de diverses drogues, voire même à certains types de relations sexuelles, elle est aussi évidemment liée à l'alimentation. En ce sens l'intervention de Bamboue était tout à fait pertinente, d'autant qu'elle apporte un plus concret à tous les dissidents eux-même malades et engagés dans cette voie.
  5. Tu ris bêtement mais tu as tort de te moquer car la grande majorité des maladies en général tient souvent à de simples comportements de ce type. (mais qui répétés deviennent des habitudes) les hopitaux sont remplis de gens qui n'y seraient pas s'ils n'avaient pas fumé ou avaient mangé différemment (aliments chimiques,sucres, alcools,graisses etc...)
  6. Non bambou je ne parlais pas de ces souris là (à l'issue de l'expérience ) mais des premiéres ...
  7. Cheminot Donc pour toi les tests ne détectent pas la présence d'un virus mais seulement la perturbation du systéme immunitaire. Et tu ne crois pas non plus à la possibilité d'une transmission ou contagion directe (sexuelle ou autre... ) (Quant à l'existence du virus si elle s'avérait un jour, elle pourrait trés bien n'être que la conséquence de cette perturbation immunitaire et non sa cause) C'est bien ça? J'ai saisi la conclusion de cette expérience mais je ne suis pas sure d'avoir bien compris l'expérience en question. C'est pas trés trés clair... Pourrais-tu expliciter ce que ça veut dire? Elles n'ont pas été exposées au VIH (c'est logique si tu penses qu'il n'existe pas ) mais à quoi alors? Et au passage comment obtient-on des souris malades du sida ? (pas en leur transmettant un virus qui n'existe pas, ou une maladie qui ne serait pas transmissible) Difficile d'essayer d'y voir clair par soi même quand on aborde de tels sujets où tout ne semble être qu'interprétations divergentes.
  8. En arriére-plan de tout cela on voit bien quand même que deux visions du monde s'affrontent. La réalité pragmatique restant apparemment insuffisante pour créer un consensus. Car ce n'est évidemment pas du tout la même chose si on accepte l'idée que 1//le sida est une maladie du terrain, le résultat d'un certain nombre de comportements (ayant comme trait commun d'avoir oxydé ce terrain et d'avoir ainsi affaibli ses défenses). Il devient alors urgent d'informer sur les risques créés par ces comportements oxydatifs et d'en faire l'inventaire. ou bien si l'on préfére croire qu'il s'agit 2// d'une maladie contagieuse par un virus envahisseur autonome dont il faudrait se protéger pour ne pas l'attraper (car il pourrait frapper quiconque quels que soient ses comportements). La vérité est elle toute entiére d'un coté? Les a priori socioculturels des chercheurs ne les empéchent-ils pas d'interpréter les résultats d'expériences dans un sens qui contredirait leur maniére d'être (et de penser)? Le fait de définir comme "risqués" certains comportements d'une maniére non plus morale mais physique n'est-il pas ce qui pose probléme dans le subconcient collectif occidendal? Le sida pose beaucoup de questions. En physique on sait que les particules ont des propriétés à la fois ondulatoires et corpusculaires.Une particule peut sembler être une onde ou une particule selon l'angle de vue envisagé. Autre question pour toi Cheminot (et encore merci pour tes réponses, même si j'ai du mal avec l'anglais) Toutes ces données chimiques restent pour moi trés abstraites. En ce qui concerne la "contagiosité" est-il possible de concrétiser un peu? Que se passe t-il par exemple quand on injecte des protéines virales à une souris? ou si une seringue contenant le sang d'un malade trés atteint te pique, comment ton corps va-t'il réagir? Vas-tu devenir séropositif ou pas? (j'ai bien conscience qu'être séropositif, n'est probablement que le résultat d'un test) Et si oui est-ce uniquement un effet de marqueur sans conséquence pour la santé? Bien à vous. Elisa
  9. cheminot 2 questions pour toi penses-tu vraiment que toutes les "contaminations" soient interprétables en terme de stress oxydatif? exclues-tu la notion même de contamination? de transmission? c'est un point qui me semble important car les dissidents s'ils s'opposent tous à la version officielle fédérent toutes sortes d'idées parfois contradictoires et qui s'excluent les unes les autres. merci encore pour tes infos et explications qui m'ont beaucoup éclairée sur ce sujet. (Le lien vers les chiffres du ministére de la santé en particulier, ces chiffres sont vaiment édifiants ) elisa (rien a voir avec le test)
  10. Elko

    Info ambigue...

    Par Libération.fr, avec AFP vendredi 19 novembre 2004 (Liberation.fr - 17:03) Une «percée majeure» dans la lutte contre le sida La combinaison de deux médicaments constituant l'un des antibiotiques les moins onéreux au monde a fortement réduit le taux de mortalité chez des enfants africains contaminés L'OMS estime que ces médicaments devraient être prescrits à toute personne contaminée et pas seulement en Afrique a découverte pourrait sauver la vie de milliers d'enfants séropositifs ou malades de sida. La combinaison de deux médicaments constituant l'un des antibiotiques les moins onéreux au monde a fortement réduit le taux de mortalité chez des enfants contaminés par le virus du sida, a annoncé le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef), qui parle de «percée majeure». Une étude réalisée par le Département pour le développement international (DFID, Grande-Bretagne) auprès de 534 enfants zambiens âgés de 1 à 14 ans, porteurs du virus de l'immunodéficience humaine (VIH), a montré une réduction importante de la mortalité parmi les patients recevant du cotrimoxazole, selon ces travaux, publiés dans la revue médicale britannique The Lancet datée de samedi. Mortalité réduite de 43% Médicament utilisé de longue date dans la prévention des infections opportunistes des malades du sida, le cotrimoxazole, associe deux antibiotiques: triméthroprime-sulfaméthoxazole. La moitié de l'échantillon d'enfants zambiens s'est vu administrer par voie orale du cotrimoxazole, l'autre moitié un placebo. Au terme de dix-neuf mois de suivi, les auteurs de l'étude ont constaté un taux de décès de 28% (74 enfants sur 265) parmi les jeunes malades ayant pris l'antibiotique, contre 42% (112 enfants sur 269) au sein du groupe n'ayant reçu qu'un placebo. Pour des raisons éthiques, au vu de ces résultats, les enfants auxquels on avait administré un placebo ont à leur tour, à partir d'octobre 2003, été traités au cotrimoxazole. «Ce médicament a réduit la mortalité de 43% et le taux d'hospitalisation de 23% par rapport au groupe placebo», soulignent Diana Gibb et ses collègues, précisant que cette baisse de la mortalité a été constatée pour les enfants de tous âges, quel que soit leur taux de lymphocytes CD4 (indicateur de la gravité de l'infection par le VIH) et pendant au moins douze mois. Des résultats similaires avaient déjà été constatés lors d'une étude conduite sur des adultes souffrant de tuberculose pulmonaire en Côte d'Ivoire en 1999, notent-ils. Mais aucun essai portant sur la prévention d'infections grâce au cotrimoxazole n'avait été mené auprès d'adultes ou d'enfants dans une région où existe un fort taux de résistance à cet antibiotique, comme c'est le cas dans la zone concernée en Zambie, relèvent-ils. Raisons inconnues Compte tenu de «nos résultats, les enfants de tous âges ayant des signes cliniques d'infection par le VIH devraient recevoir du cotrimoxazole à titre de prophylaxie dans les région pauvres, indépendamment du taux local de résistance à ce médicament», concluent les auteurs. Ces travaux «représentent une percée majeure» et il y a là «le potentiel pour sauver la vie de centaines de milliers d'enfants chaque année», a commenté l'Unicef dans un communiqué publié jeudi soir à New York. «Le défi est dorénavant de traiter autant d'enfants que nous le pouvons et immédiatement», estime en conséquence l'Unicef, soulignant qu'il s'agit d'un «médicament bon marché, largement disponible». Les raisons cliniques de ce succès ne sont pas clairement établies, reconnaissent les auteurs, «même si il semble y avoir une chute de la proportion d'enfants mourant de maladies pulmonaires dans le groupe recevant du cotrimoxazole». Cet antibiotique, précisent-ils, est notamment utilisé pour prévenir ou traiter la pneumonie à Pneumocystis carinii, une des premières infections opportunistes survenant en Europe et aux Etats-Unis, chez les malades dont les défenses immunitaires chutent. Cette avancée est telle qu'un porte-parole de l'OMS recommande même que «tout enfant infecté, quelque soit le nombre de ses CD4, puisse prendre du cotrimoxazole, et pas seulement en Afrique». De plus, ces molécules ont le double avantage d'être bon marché et immédiatement disponible, à la différence des principaux rétroviraux utilisés dans le traitement du VIH. Près des deux tiers des 38 millions de porteurs VIH dans le monde vivent en Afrique subsaharienne, selon les chiffres de l'Onusida, agence de l'ONU chargée de la lutte contre le sida. source
  11. Oui en effet c'est bien possible car la pression sociale sur ce sujet dépasse ce qu'on peut imaginer quand on y a pas été confronté d'une manière ou d'une autre. ............................................... Les témoignages de "malades" ayant arrêtés leur traitement et les arguments logiques des chercheurs dissidents avaient attiré mon attention sur ce sujet. D'autant que je suis plutôt tournée vers les médecines orientales où c'est le terrain et le comportement qui importent. J'étais donc intéressée par ces arguments tout en trouvant un peu extravagante cette remise en cause de ce qui me paraissait alors une sorte de "réalité sociale médicale et scientifique". Un bastion moderne que même artistes et intellectuels cautionnent par principe en croyant ainsi venir en aide aux "malades". La pression sociale est énorme... Mais paradoxalement ce qui m'a rendue le plus "réceptive" aux objections de la dissidence ce sont les réactions extrémes, hystériques et irrationnelles des quelques scientifiques ou défenseurs acharnés de la version officielle auxquels je me suis ouverte de mes doutes. Là oui j'ai senti qu'il y avait un malaise. Un sérieux malaise qui générait de violentes réactions, trés émotionnelles, incompréhensibles toujours au nom de la souffrance des malades. (Comme si les dissidents s'attaquaient directement aux malades et cherchaient à leur nuire). Ce n'était pas une attitude médicale ou scientifique mais une attitude clairement dogmatique se cachant derrière la culpabilisation. Le genre d'argument qui me hérisse et attise ma méfiance car je suis allergique à ceux qui parlent de peur et cherche à culpabiliser les autres. (Un peu comme ce que j'ai lu sur le lien "doctissimo", Chavir excepté) Je me suis notamment fait traitée de révisionniste et censurée (sur un forum ésotérique aujourd'hui défunt) parce que j'avais simplement mis en lien, pour en discuter sans a priori, une page du site sidasanté. Paradoxal !
  12. Merci Cheminot pour ce lien fort intéressant. Wow... Mais cela ne répond pas vraiment à ma question car il me semble que dans le nombre des objections (fort pertinentes)que posent les dissidents certaines se contredisent dans leur présupposés ou partent un peu dans plusieurs directions. Les témoignages sont en revanche à prendre tels quels (j'ai du mal à comprendre ceux qui ne retiennent les témoignages qu'en fonction de ce qu'ils induisent comme si la vérité n'étaient pas leur seul souci) C'est difficile d'avoir une vue globale du sujet, (en tous cas pour une non chimiste). On en revient à Claude Bernard "Le microbe n'est rien, le terrain est tout" Non? Si c'est encore le cas ici et que le virus vih a été pris comme bouc émissaire pour expliquer cette "épidémie" ou surajouté à un ensemble de maladies chimiques ou liées au terrain (par des comportements dit à risque) alors effectivement le coté manipulation est ENORME et je comprends que l'on puisse trouver des fissures un peu partout dans une telle construction artificielle. Mais c'est vraiment trés difficilement CROYABLE qu'autant de chercheurs et de personnel médical cautionnent une telle imposture, non? Se font-ils abuser, sont-ils ignorants, se taisent-ils par intérêt ou par soumission à leur hiérachie? La vérité ne peut elle pas se situer à mi chemin? Ce qui est certain en tous cas c'est que les médias nous bassinent avec des campagnes "maladie sexuellement transmissible" alors que les chiffres du ministére de la santé sont assez peu alarmistes 5 pour 10 000 dans le cas d'un rapport hétérosexuel vaginal non protégé avec un séropositif en France. C'est une épidémie ça? Je cherche simplement à y voir plus clair et ce n'est pas évident.
  13. Petite remarque: Il m'est assez difficile de m'y retrouver dans la profusion des remarques (je ne parle pas des témoignages) que proposent les dissidents car celles-ci me paraissent parfois contradictoires entre elles ou tout du moins un peu incohérentes entre elles. Elles se réfèrent en tous cas à des logiques différentes. C'est pas toujours trés clair. Y a t'il une page web qui fait le point sur les diverses objections dissidentes en les présentant par ordre de radicalité? ou d'une manière logique et graduelle? (si tous semblent remettre en cause le lien vih=sida=mort certains nient la réalité du VIH, d'autres seulement les tests, d'autres le bien fondé des traitements, etc...) Car apparemment il n'y a pas une objection dissidente mais un faisceau d'objections qui ne se recoupent pas toujours, n'est-ce pas? Je dois dire en revanche que certains arguments logiques, certains témoignages et paradoxalement les réactions provirus irrationnelles me rendent de plus en plus consciente que la théorie officielle ressemble plus à un dogme imposé qu'à une réalité scientifique démontrable. Amicalement
  14. source Personnellement j'ai testé en usage externe sur une probléme de peau sans résultat probant. Je préfère les plantes et l'argile. Mais en cas d'efficacité réelle il est vrai que ce serait pratique car on l'a toujours à disposition.
  15. Candide si tu oublies 2mn la recherche d'infos officielles, de sources, de chiffres et de citations est-ce que tu as des idées personnelles? un ressenti? des intuitions? Que penses-tu par exemple, toi personnellement, de la déclaration de Claude Bernard reprise par Pasteur à la fin de sa vie: "Le microbe n'est rien , le terrain est tout"
  16. Je voulais juste dire que la médecine taoïste et aryuvédique non seulement par les plantes et massages mais surtout par le traitement spirituel qu'est la visualisation pouvait accompagner, ou se juxtaposer à tout autre type de traitement médical en l'améliorant. (Il n'y a aucune contre-indication et la visualisation améliore sensiblement tout type de traitement ,de rééducation ou d'opération chirurgicale) Car je crois pouvoir affirmer tranquillement que ce qui péche le plus dans l'approche occidentale de la médecine c'est de couper le corps de l'esprit. (Or la santé est trés liée à l'harmonie entre le corps et l' esprit). Nous sommes un tout, pas des piéces détachées. Amicalement Elisa
  17. Au début cela semble établi que seuls des groupes à risques étaient touchés. Qu'en est-il aujourd'hui d'aprés les dissidents?
  18. Je n'avais rien contre toi jusqu'à ce dernier message Candide. Tu respectes en effet scrupuleusement les formes et les régles. De plus tu as su apporter quelques éléments d'informations apparemment objectifs et éclairer le débat. Tu caches donc bien au premier abord tes véritables desseins qui m'apparaissent enfin comme trés trés partiaux et tendancieux.. Là j'ai enfin compris les réactions épidermiques que tu as pu déclencher plus tôt. Car sous un couvert trés policé tu caches en réalité un état d'esprit des plus malhonnêtes et tu viens de le laisser filtrer ici en faisant dire à des gens ce qu'ils n'ont jamais dit. Et en t'attachant scrupuleusement au texte et aux sources comme si cela comportait quelque valeur sacrée, tout en évitant soigneusement de comprendre le sens. J'ai horreur de ces procédés. C'est Big Brother. "le voleur qui crie au voleur" le troll qui essaie de faire craquer les autres en respectant les formes mais en les provoquant sans cesse. Sous tes dehors "trés politiquement correct" j'ai du mal à croire que tu puisses être de bonne foi car tu n'instruis qu'à charge et en caricaturant. Le coté formel trés policé n'y change rien. Même si je déplore les insultes qui t'ont été adressées auparavant (c'est vrai que ça n'apporte rien) par ce dernier post tu les justifierai presque a posteriori tellement tes arguments deviennent répugnants. Burk! Tu me dégoutes. Zen quand même. Elisa
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