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Elko

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Messages posté(e)s par Elko

  1. Un homme condamné pour avoir transmis le SIDA en connaissance de cause

    Le tribunal de Marseille a tranché : trois ans de prison dont deux fermes pur un homme qui a transmis consciemment le virus du SIDA à sa compagne.

    Quand on connait les chiffres officiels du Ministére de la Santé sur la transmission du Sida

    entre un séropositif et un non positif, (3 pour 1000 je crois) on peut se demander si la Justice a réagi en connaissance de cause.

    Mais si la volonté d'un partenaire est clairement de nuire à l'autre et de lui transmettre une maladie qu'il croit mortelle il y a en revanche matière à condamnation.

    Deux problémes se justaposent, la réalité de la transmission sexuelle d'un virus ou non et la volonté de nuire en fonction de la conscience que l'on a sur le sujet.

  2. J'ai une question (pour Cheminot, par exemple, que je salue au passage) icon_biggrin.gif

    Je me place dans l'hypothése où le Sida n'est pas un lié à un virus mais n'est qu'un syndrôme (lié au stress oxydatif principalement):

    Comment expliquer dans ce cas que ce syndrôme n'est pas émergé plus tôt qu'en 1983 environ...

    Les comportements à risque, stressants, oxydants existaient avant 1983.

    Comment se fait-il que soudain apparaisse un tel syndrôme?

    Quelle est la part de réalité et la part de réinterprétation ?

    Quelle est l'explication dissidente?

  3. Question à Cheminot....

    Comment expliques-tu les résultats de l' étude ci-dessous dans l'hypothése du stress oxydatif?

      Sida. Selon une étude, cette pratique réduirait la contamination.

    VIH: risques circonscrits pour les circoncis

    Par Eric FAVEREAU

    jeudi 07 juillet 2005 (Liberation - 06:00)

    Depuis dix ans, on le savait, mais de manière indirecte. Ainsi avait-on pu constater que, dans les grandes villes africaines où les hommes sont majoritairement circoncis, ces derniers sont moins touchés par le virus du sida. Comme si cette pratique avait un effet protecteur. Une étude menée conjointement par une équipe de chercheurs français et d'Afrique du Sud (1), qui doit être présentée à la fin du mois au congrès mondial du sida à Rio, le démontre de façon plus explicite. etc...

    source

  4. Article paru dans Libération d'aujourd'hui....

    Je reste perplexe devant les a priori du journaliste.

    Tous les chiffres qui contredisent la version officielle occidentale sont systématiquement mis en doute (peut-être à juste titre d'ailleurs)

    et tous les chiffres qui accablent sont pris comme des vérités incontournables.

    (Alors qu'il ne peut s'agir que d'estimations et de projections...)

    Ces estimations dans l'esprit du journaliste prennent valeur de vérités incontournables.

    Le glissement progressif entre la description d'une réalité et l'affirmation d'une opinion que l'on veut faire passer pour la réalité commence comme ça.En toute bonne foi.

    (Et cela d'un coté comme de l'autre.)

    Santé

    Les Philippines malades de leur déni

    Le pays accumule les facteurs aggravant la pandémie mais continue à la minimiser.

    Par Christian LOSSON

    jeudi 30 juin 2005 (Liberation - 06:00)

    Manille envoyé spécial

    'est une exception. Une parenthèse ­ en apparence ­ enchantée. Aux Philippines, le sida n'existe pas. Ou si peu. Le ministère de la Santé recense 2 000 personnes vivant avec le sida (1) sur 84 millions d'habitants. Et 100 nouvelles contaminations par mois. Cinq fois moins qu'en France... Pourtant, la région de l'Asie du Sud-Est s'avère, après l'Afrique subsaharienne, la plus touchée par le virus : 8,2 millions de séropositifs. Plus du double d'ici à cinq ans... La prévalence (nombre de personnes contaminées) entre 15 et 49 ans si basse aux Philippines tient-elle de la politique de l'autruche ou valide-t-elle une exception asiatique? Difficile à dire. Ce qui est sûr, c'est que le pays, qui figurait il y a peu dans la catégorie des pays où la progression de la pandémie était «low et slow» (basse et lente), vient d'intégrer celle de «hidden et growing» (cachée et grandissante).

    «Séropositifs menottés». «Les drapeaux rouges se multiplient, confie Jean-Marc Olive, le représentant de l'OMS aux Philippines. Les maladies sexuellement transmissibles explosent ; les prostitué(e)s n'utilisent qu'à 20 % le préservatif, contre moins de 1 % en général ; le nombre de drogués augmente ; les relations sexuelles prémaritales sont de plus en plus jeunes et la plupart du temps non protégées.» Il y aurait cependant, estime un travailleur social philippin, un particularisme local : «Ici, une travailleuse sexuelle couche avec cinq types en moyennes par semaine, contre cinq par jour pour une Thaïlandaise»... Doublé d'une singularité géographique ; les 7 000 îles du pays freineraient la pandémie. Mais les Philippines abritent la première population de marins du monde... «Qui couchent avec des putes dans chaque port et infectent leurs femmes qui transmettent le virus à leurs bébés», raconte un expert néerlandais qui tente de «faire du conseil» sur le sida. Mais il rame. Dans les années 90, le pays a bien multiplié des plans antisida, qui ont même servi de modèle à l'étranger. Epoque révolue. «Il n'y a plus vraiment de politique volontariste de dépistage et, surtout, la stigmatisation reste énorme», regrette un diplomate.

    L'Eglise y est pour beaucoup. Les ecclésiastiques du premier pays catholique d'Asie (65 millions de fidèles) ont toujours suivi à la lettre les injonctions du Vatican. Divorce et avortement y sont interdits. L'usage de la pilule et des préservatifs quasi inexistant au nom des méthodes naturelles de contrôle des naissances... «Les responsables de l'Eglise ne devraient pas faire des déclarations qui provoquent la mort des gens, fustigeait, en février à Manille, Peter Piot, directeur exécutif de l'Onusida. L'accessibilité aux préservatifs est l'un des éléments cruciaux pour lutter contre le sida.» Des capotes ? «En pharmacie, et encore, avec ordonnance.» Quand elle dit cela, Malu Marin, responsable d'une ONG philippine, grince. Elle en connaît les conséquences. Son association, Achieve, travaille aussi sur le retour aux pays des migrants. Plus de 7,5 millions dans le monde, et à la base de 33 % des nouvelles contaminations aux Philippines, selon le ministère de la Santé. «On a des cas de séropositifs menottés à Taiwan avant d'être expulsés, rappelle Malu Marin ; d'autres, comme en Malaisie, qui ont 24 heures pour quitter le pays.» Elle dit aussi : «Souvent, filles ou garçons, ils sont violés, comme dans certains pays du Golfe. On les renvoie alors chez nous, où ils sont victimes d'une double discrimination.» Exclus de tout emploi et rejetés par leur famille. L'opprobre règne. Seules une centaine de personnes sont sous traitement antirétroviral dans le pays, grâce à une seule ONG : Remedios. «Or, la seule façon de sortir de la stigmatisation, c'est d'offrir une véritable politique publique d'accès aux traitements», rappelle Jean-Marc Olive, de l'OMS. On en est loin. Et puis, le pays ne compte que deux centres de dépistage du sida dignes de ce nom...

    Exclusion. Aux Philippines, l'héritage féodal résiste bien à la démocratisation. Faute de réforme agraire notamment, le pays est l'un des plus inégalitaires de la planète. Près de la moitié de la population vit en dessous du seuil de pauvreté. Pourtant, le pays ne figure pas parmi les plus pauvres : le PNB (produit national brut) par habitant est supérieur à 1 000 dollars. Résultat, les Philippines sont exclues des facilités de dons des institutions internationales... «Le Fonds mondial contre les pandémies s'apprête à lâcher 3 millions de dollars sur cinq ans : ridicule», note un diplomate. Mais le fonds ne finance que des programmes qui ont l'aval des gouvernements... En début d'année, la Suède et la Banque asiatique de développement ont créé un fonds de 14 millions de dollars. Trop peu. Malu Marin, comme tous les activistes antisida, ne croit pas aux chiffres officiels. «Ils ne correspondent en aucun cas à la réalité, souffle-t-elle. Mais ils arrangent les autorités, qui n'ont pas besoin de déclencher un plan massif de lutte. Le seul moment où l'on parle du sida, c'est le 1er décembre.» Lors de la journée mondiale dédiée à la pandémie...

    (1) Jusqu'à 18 000, selon l'Onusida.

  5. le mot manifesté était mal choisi. Je crois qu'il vaut mieux dire "qui se sont déclarés partisans d'une réévaluation de l'hypothèse VIH -> séropositivité.

    Avant ces 15 jours (ou à peu près), ils faisaient partie des personnes comme FinallyFree.

    Il y en a au moins 2000 autres (j'ai déjà donné le lien)

    Y aurait-il un frémissement dans l'air?

  6. Finaly

    C'est seulement parce que dans ce cas, ça engage la santé des gens, remettre en cause ce "dogme" comme tu dis, c'est mettre des gens en danger, et on a pas le droit de mettre des gens en danger...

    Qui ici met des gens en danger?

    Agiter la peur, essayer de culpabiliser est un outil de manipulation classique pour éviter les débats et faire passer des lois ou des idées en force.

    1/ Les gens en question ont un libre arbitre et prennent eux même la décision de ne pas prendre de traitement au vu des informations contradictoires qu'ils ont et en faisant un choix .

    (ce que ton attitude tend à refuser systématiquement à tout malade pour le rendre dépendant du pouvoir médical).

    Les malades sont encore et toujours des hommes libres.

    2/ Si on envisage l'hypothése de Cheminot, traiter des séropositifs provisoires comme étant des cas chroniques avec l'AZT a pu tuer des gens "sains" qui avaient eu le seul tort de se faire tester au mauvais moment.

    Question:

    Pourquoi de simples exécutants ont-ils le plus souvent des positions beaucoup plus radicales que les chercheurs et les concepteurs des théories sur lesquelles on s'interroge?

    Le doute est légitime et sain en la matiére,

    il ne s'agit pas de remettre en cause une réalité historique vécue, mais de comprendre pourquoi une théorie officiellle n'autorise pas la diversité des pistes de recherche. (alors qu'elle stagne et se heurte à des incohérences)

    elko

  7. Merci pour ce lien Aixur.

    icon_biggrin.gif

    Comme je le disais dans un message précédent, ça fait entre 2 et 10 fois moins de risques que pour la sodomie récéptive (celui qui reçoit), qui est entre 0,5 % et 3 %. Hallucinant non ? On s'injecte directement le produit, mais on a en moyenne 5 fois moins de chance de devenir séropo qu'en se faisant sodomiser.

    Trés curieux en effet....

    Cela pourrait aller dans le sens de l'hypothése de l'oxydation.

    Des études sur la vulnérabilité particuliére de cette muqueuse aux oxydations ont-elles été faites?

    Voilà en tous cas une information utile à faire circuler...

  8. Oui (enfin, si c'est bien le chiffre que tu recherches) : une injection accidentelle par piqure c'est 0,3 % de risque de devenir séropositif.

    Tu as la source?

    ça ferait 3 cas sur 1000 (6 fois plus?)

    si on ajoute cela au 1 cas sur 2000 (pour des relations vaginales) on peut s'étonner des condamnations par la justice pour de telles probabilités.

    (A comparer avec d'autres toxicité sous estimées).

    Ces chiffres sont trés nettement en dessous de ce que pourrait laisser penser le discours médiatique et médical, non?

    Ce discours de surface laisse penser et suggére une transmission quasi automatique ou de l'ordre du 1/2...

    Alors?

    Néanmoins il semblerait que les transmissions par voie sanguine et voie anale passive soit assez nettement supérieures aux autres.

    Comment la théorie officielle explique t'elle ces différences?

    Il n'y a que les hypothéses de Cheminot qui me semblent prendre en compte ces différences pourtant notables.

  9. Question:

    Existe t-il des études officielles sur la transmission de ce supposé virus par voie sanguine comparables à celles que donne le ministére de la santé sur la transmission par voie sexuelle ?

    ( on sait que les chiffres officiels par voie sexuelle sont beaucoup plus bas que ce que le discours médiatique pourrait laisser penser ...)

    1 cas de transmission pour 2000 rapports sexuels classiques non protégés avec un séropositif.

    Finally:

    et si quelqu'un sur ce forum me trouve même un tout petit peu convainquant, imaginez ce que pourraient opposer des vrais spécialistes !

    Je crois que tu es un vrai naïf. icon_biggrin.gif

  10. Pourquoi

    Mais comment peut-on expliquer que les hémophiles et autres transfusés de l'époque ou les produits sanguins n'étaient pas chauffés ont développé un SIDA, alors que ce n'a plus été le cas par la suite.

    La question me paraissait excellente du seul point de vue logique.

    Et la réponse de Cheminot me parait excellente de ce même point de vue.

    Il faut se méfier de tirer des conclusions trop hatives (ou trop évidentes) d'une expérience donnée, cela peut-entrainer vers des fausses pistes.

    icon_biggrin.gif

    Pourquoi

    L'évidence d'un virus ?

    Franchement je ne crois pas que le terme soit bien choisi.

    Déja la mise en évidence d'un virus demande la mise en place d'expériences qui n'ont elles rien d'évidentes puisqu'elles demandent à être interprétées

    et ensuite la présence d'un virus dans une pathologie ne signifie pas que ce virus soit la cause de cette pathologie.

    Il peut n'être que l'une des causes associées (voir ce que dit Montagnier sur le Sida) ou même n'être qu'une conséquence.

  11. Pour tous les autres : ne tenez jamais des expériences personnelles pour acquises et vraies de manière générale, les exceptions confirment les règles.

    icon_biggrin.gif

    Sérieusement?

    Autrement dit ne pensez pas par vous même, mais faites confiance aux experts (qui eux savent et vous disent ce qui est vrai) ?

    Franchement une telle affirmation c'est trés ambigû...

    Heureusement qu'il y a des électrons libres comme Duesberg, feu Mark ou Cheminot pour relever les incohérences dans les versions officielles et oser braver le consensus pour les faire connaître.

    Je crois par ailleurs qu'il ne faut pas mélanger un raisonnement, une expérience ou un protocole scientifique et tout le contexte financier, administratif, politique,commercial qui interfére avec les découvertes elles-mêmes.Or en médecine c'est particuliérment emmêlé.

    Je pense qu'il est sain de se poser des questions sur ces incohérences évidentes (le coup de l'exception qui confirme la régle, non merci, ça ne tient pas!!!) et d'essayer pour ceux qui le peuvent de proposer des hypothéses alternatives.

    C'est d'ailleurs en ça que réside un authentique esprit scientifique. Douter et proposer des soluces.

    Enfin le nombre de partisan d'un systéme donné n'a jamais été un critére de véracité, ça c'est vraiment un argument de marchand ou de publiciste.

    amicalement

    elko

  12. sicnarfa

    Tout raisonnement quel qu'il soit , se construit sur un ou des axiomes qui comme chacun le sait sont des données que l'on accepte comme vrai sans avoir à les démontrer....

    Absolument d'accord avec ça

    Il n'y a pas de raisonnement sans axiome et donc sans un acte de foi préalable.

    Ce qui implique que toute démarche qui se veut objective doit envisager des hypothéses contraires avec la même curiosité.

    Ce qui montre bien aussi que beaucoup de démarches présentées comme scientifiques ne font qu'habiller d'un décorum scientifique des

    désirs, des croyances, des intuitions, des décisions politiques ou mercantiles, pour tenter d'en valider le bien fondé.

    L'épistémologie n'est pas suffisamment enseignée aux étudiants en sciences.

  13. Pikpik

    Ils sont donc souvent obligé de suivre le consensus scientifique. (c'est vrai pour le sida comme pour d'autres)

    Ce n'est plus un journaliste mais un perroquet ou un mouton dans ce cas.

    Un journaliste est sensé traquer la vérité, relever les incohérences et les contradictions.

    (Certes il n'y en plus beaucoup dans les médias en vue!)

    Amitiés

    ELIS

  14. Candide

    C'est honorable et courageux de ta part de reconnaitre publiquement que tes certitudes se sont soudain craquelées de toute part.

    Ce qui est dommage c'est qu'il t'es fallu pour cela lire des articles dans Libération ...Toujours ce poids de l'autorité et de la chose officielle.

    Les arguments énoncés ici auraient pu suffir... icon_confused.gif

    Pikpik

    En tout cas je constate une chose intéressante : chacun réagit différement face à la dissidence :

    - soit très violemment en refusant obstinément d'y accorder un quelconque crédit

    - soit en se posant bcp de questions et en vérifiant point par point, en séparant les thèses crédibles des folledingues et en se forgeant sa propre opinion

    - soit fatalement en y coryant tout de suite parcequ'on est persuadé que le monde est pourri et qu'il existe un gros complot ou autres

    Oui c'est assez juste.

    Mais en ce qui me concerne, je ne suis pas impliquée personnellement dans cette affaire et n'ai aucune formation scientifique.

    C'est par la simple logique (+ un peu de notion d'épistémologie) et la constatation des réactions irrationnelles (que ces questions provoquent) que je me suis retrouvée assez vite convaincue que la position officielle était incohérente.

    Il suffit de lire sans a priori et d'écouter les divers arguments en présence.

    Apparemment la plupart des scientifiques a trop d'a priori pour simplement écouter icon_confused.gif

    et ils semblent en majorité trés soumis à l'autorité, au dogme.

    Ils rejettent en bloc sans même réfléchir.Irrationnellment.

    Parfois même de maniére hystérique! (c'est ce qui m'a mis la puce à l'oreille...) icon_biggrin.gif

    Bref! ceux qui devraient faire preuve d'ouverture d'esprit se montrent étrangement fermés à la remise en question (qui me semblait pourtant être un des piliers de l'esprit scientifique).

    On a heureusement ici des exceptions.

    4-bravo.gif

  15. Rock and roll: Le meilleur antioxydant connu semble être un verre de vin par jour. icon_biggrin.gif

    Je crois que c'est Bamboue qui avait donné ce lien plus haut:

    source

    On a mesuré in vitro lactivité antioxydante de différents fruits, légumes et boissons riches en polyphénols [9].

    Un verre (15 cl) de vin rouge possède une activité antioxydante équivalente à celle de :

    2 tasses de thé

    4 pommes

    500g doignon

    550g daubergine

    1/2l de jus de cassis

    1/2l de bière

    1l de jus dorange

    1,8l de vin blanc

    3l de jus de pomme longue conservation

    les derniéres recherches officielles sur les T4:

    Une équipe du CEA a découvert quune infection par le virus du sida modifie la capacité des cellules souches de la moelle osseuse à produire des lymphocytes T4. Ces cellules font partie du système de défenses immunitaires. La baisse du taux de lymphocytes T4 (immunosuppression) rend alors lorganisme plus fragile face aux agents infectieux.

    source

  16. Lu aujourd'hui au sujet du stress qui modifie les cellules et accélére leur vieilissement :

    D'après les recherches menées par l'Université de Californie, San Francisco (UCSF), le stress agirait en fait sur le vieillissement cellulaire, à travers trois facteurs biologiques : la longueur des télomères, l'activité de l'enzyme télomérase et le niveau de stress oxydatif.

    Les télomères forment les extrémités des chromosomes ; or, un peu d'ADN télomérique est perdu à chaque division cellulaire, jusqu'à ce que la cellule ne puisse plus se diviser. De ce fait, les télomères jouent un rôle critique dans l'espérance de vie des cellules et donc des tissus.

    La télomèrase de son côté protège les télomères tandis que le stress oxydatif accentue leur raccourcissement. Au cours de leur étude, les scientifiques ont analysé les cellules mononuclées du sang périphérique (PBMC) de 50 femmes âgées de 20 à 50 ans.

    Parmi ces femmes, celles ayant un enfant malade occasionnant une pression psychologique prolongée ont révélé des télomères plus courts, un taux moindre de télomérase et plus de stress oxydatif comparativement aux autres. Dans les cas les plus extrêmes, les chercheurs ont évalué le vieillissement précoce de leurs cellules à environ 10 ans. Reste maintenant à comprendre par quels mécanismes les perturbations psychologiques chroniques peuvent entraîner de telles modifications cellulaires.

    Si une mére stresse quand un de ses enfants est malade (ce qui modifierait la durée de vie de ses cellules), on peut évidemment en déduire que c'est la même chose pour la plupart des personnes à qui on annonce une maladie "qualifiée de mortelle ou d'incurable" sida, cancer ou autre.

  17. Pas sur ces documents en effet mais j'ai lu cette information assez souvent dans divers articles.

    Ce qui est dit c'est que parmi les femmes originaires d'Afrique subsaharienne, les nouveaux diagnostics de VIH concernent deux tiers de ces femmes.

    Voir ces deux sites suisses

    sida geneve

    Rencontre avec France Lert, qui a étudié les conditions de vie de 3000 séropositifs

    France Lert est chercheuse, nous lavons connu à loccasion de la première rencontrer organisée par lANRS sur le sida et limmigration (1). À lépoque, nous avions dénoncé le peu dintérêt accordé par la recherche aux questions qui comptent dans la vie des séropositifs, en posant la question suivante : la recherche sintéressera-t-elle aux conditions de vie des malades issus de limmigration ?

    Quatre ans plus tard, France Lert publie les premiers résultats de lenquête VESPA, pour laquelle près de 3000 séropositifs ont été interrogés sur leurs situations et parcours.

    On y apprend que la moitié des séropositifs sont au chômage, et que la perte de lemploi arrive souvent en même temps que la maladie. Sept personnes atteintes sur dix sont des hommes, mais chez les immigrés les femmes sont beaucoup plus représentées. Presque la moitié des séropositifs vivent en région parisienne.

    Les Immigrés sont trois fois plus touchés par le sida que les Français, et près dune femme séropositive sur 3 est immigrée.

    La seule population chez qui le sida a reculé, ce sont les usagers de drogue. Par contre, chez les hommes homosexuels, lépidémie continue de battre son plein, alors quils sont les mieux lotis financièrement, en terme demploi et daccès à léducation (69% travaillent, la moitié cadres ou professions intermédiaires).

    Enfin, la solitude touche près de la moitié des hommes, et une femme sur quatre.

    source

  18. Peux tu nous donner les références?

    Oui mais elles sont un peu contradictoires icon_confused.gif

    Et ce n'est que pour la France dans le premier cas, l'Europe des 25 dans le second.

    J'ai lu cette affirmation sur le site gouvernemental

    dans:

    le rapport 2004

    Prise en charge thérapeutique des personnes infectées par le VIH.

    Dans Epidémiologie Points forts

    "La réduction de transmisssion chez les usagers de drogues intraveineux est confirmée"

    Cette affirmation revient plusieurs fois dans ce rapport.

    J'ai mis du temps à le trouver 5-euh.gif mais il y a un tableau page 33

    (trés difficile à lire car vertical et sur 2pages)

    qui indique une baisse en % qui descend jusqu'à11,4 % en 2003.

    Mais c'est un peu confus.

    c'est un peu confus car les chiffres 2001 2002 2003 sont annotés provisoires non redressés

    2003 ne portent que sur 3 trimestres.

    La baisse est indiquée ainsi

    2001 253 cas 15,4%

    2002 185 cas 12,2%

    2003 66 cas 11,4%

    En 1996 il y avait eu 965 cas 24% et en 97 429 cas 18,8 %

    le rapport en question

    Par contre le communiqué de presse EUROSTAT du 26 Novembre dernier qui ne donne évidemment les chiffres que jusqu'à 2003 ne fait que confirmer la stabilisation vers les 30%

    sur les 3 derniéres années.(pour l'union européenne des 25)

    EUROSTAT NOV 04

    (voir le tableau du bas).

    D'aprés ces chiffres:

    Depuis 1990 ce serait passé de 41 à 31 % mais sur les 3 derniérs années c'est stable.

    Il ne s'agit que de drogues par voie intraveineuse en effet.Peut-être la maniére de les prendre a t'elle changé et leur nature également.

    L'autre chose qui ressort c'est que depuis 1990 le nombre de transmission a baissé par contacts homosexuels ( de 37 à 19%)et qu'il a augmenté par contacts hétérosexuels (de 11 à 41%)

    Mais quel crédit accorder à de tels chiffres?

    Ces chiffres dans l'hypothése du Virus pourraient être interprétés en y voyant un effet de l'information prévention (seringue etc) qui ferait que ça se passe moins mal en France que dans le reste de l'Europe.

    Mais dans le cas du seul stress oxydatif , cette explication ne tient plus vraiment

    alors je repose ma question malgré tout, comment l'interpréter?

  19. On est loin de l'humanisme libre penseur pret à discuter de tout et décontracté. On donne plutot dans le genre gardien du temple tellement à fleur de peau, tellement hystérique, tellement crispé sur le moindre petit bout de détail du dogme qu'on est à la limite du pathologique.

    Exact.

    J'ai proposé un jour un lien vers sida-santé (que je venais de découvrir ) sur une section santé d'un forum ésotérique et cela dans le simple but d'en discuter.

    Je n'avais pas encore d'opinion sur le sujet.

    La question a été censurée suite à des pressions (du chantage en fait) sur un des administrateurs par une "chercheuse scientifique" trés hargneuse.

    Un autre des administrateurs a refusé cette censure et a préféré saborder le site qui a fermé.

    Le tout dans un climat d'hystérie et de lynchage (insultes et injures les plus extrémes) alors que je n'avais exprimé aucune opinion mais simplement mis sida-santé en lien.

    C'est d'ailleurs ce qui m'a poussé à venir y regarder de plus prés. icon_biggrin.gif

    elisa

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