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Jardinier

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Tout ce qui a été posté par Jardinier

  1. On peut aussi se référer en ce sens à la page des repenseurs de l'ARAS, qui a dépassé les 3000 signataires depuis un certain temps déjà et doit enregistrer en moyenne 4 à 5 nouvelles signatures par mois : http://aras.ab.ca/rethinkers.php Ainsi d'Antonio Trillo Morgado, auteur d'un livre en 2013 accessible via Scribd. Pour y accéder et le télécharger, il faut s'inscrire au site, gratuitement, et éventuellement uploader un document au format pdf préalablement en contrepartie de l'accés gratuit au texte intégral : https://fr.scribd.com/doc/142943108/EL-SIDA-Dr-Antonio-Trillo-Morgado . C'est un livre de la même école que le Rapto de Hygea de Jesus Garcia Branca, postulant que le sida est avant tout un dispositif au sens foucaldien. Il semble contenir toutefois un certain nombre de précisions, analyses et références historico-scientifiques inédites par ailleurs.
  2. Bon, alors, mea culpa pour la date. En fait il était signalé par quelqu'un via 1 lien récent sur la page FaceBook de Rethinking Aids.
  3. Il a pu couler de l'eau sous les ponts depuis 1981. Ces dernières années, les dissidents scientifiques n'avaient guère parlé des pratiques de séquençage pour génotypage et phénotypage utilisées théoriquement dans le contrôle des traitements ARV. Celles-ci ont pu contribuer à des recherches et expérimentations cliniques en génomique. On parle parfois ces temps-ci en génétique de pointe des procédés d'"édition" de l'ADN, etc... Par ailleurs, l'article ayant paru en juillet 2014, de deux choses l'une à mon avis. Le Daily Mail en parle en décembre 2015 seulement soit parce qu'il y a eu des avancées entre temps, soit, comme je le soupçonnais un peu, pour encourager à peu de frais par une info prometteuse les troupes de "patients" patents et potentiels en période de fin d'année. Les journalistes sembleraient en tout cas avoir interviewé le responsable de l'équipe de recherche - ils produisent même une vidéo, à voir de quand elle date...
  4. Avancée décisive contre le VIH par la génétique ? Un quotidien britannique relate les travaux d'une équipe universitaire de Philadelphie qui aurait réussi à éliminer le VIH-1 des cellules par une méthode génétique. Grosso modo, il s'agirait d'une enzyme tueuse, dénommée "nucléase", qui en ciblant un "RNA Guide, ou gRNA", parviendrait à chasser le génome viral et à retirer l'ADN HIV-1. Partant de là, l'auto-réparation des cellules de l'organisme serait restaurée et elles ne seraient plus "infectées", ou plutôt même infectables, pourrait-on sans doute dire. L'équipe n'en est encore qu'à un stade permettant de commencer des "études précliniques", mais le procédé serait très prometteur, y compris en matière de procédés vaccinaux et pour d'autres maladies que "l'infection au vih". Scoop et communication prometteuse en trompe-l'oeil, comme à peu près toujours, pour cette période de fêtes de fin d'année ? Et quid, en cas de réussite de l'opération, des problèmes divers et variés de possibles "sida" non viraux qui n'auraient que faire du fameux virus ? Les "repenser" ? Mais évidemment, de toute façon, si cela pouvait épargner les traitements ARV à vie, cela changerait tout... L'article rapporte du reste un propos du Dr. Khalili, le responsable de l'équipe de recherche, selon lequel le grand problème de la survie sous ARV au long cours est le vieillissement et l'apparition (précoce) des maladies du vieillissement, laquelle serait aggravée (sic) par les effets indésirables des ARV... Oups, j'allais oublier, le lien vers la chose : http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-2701304/Scientists-delete-HIV-virus-human-DNA-time.html
  5. Peu est dit, sinon rien, dans le message de C. Farber sur son site, à propos de la politique de communication de Rethinking Aids basée sur l'instrumentalisation publicitaire des témoignages de séropositifs ayant adhéré aux thèses dissidentes et interrompu les traitements ARV. Dans le cas de Christine Maggiore, il est vrai que celle-ci avait pris l'initiative personnellement de son côté. Pour ce qui est de Lindsay Nagel et de ses parents, ils auraient peut-être pu faire le raisonnement qu'il aurait été plus prudent de leur part de se faire oublier, et plus prudent de la part de Duesberg et RA de ne pas tenter le diable en les encourageant à publier des vidéos à partir du tournant des années 2010. Rétrospectivement, c'était un peu beaucoup du militantisme auto-sacrificiel. Par ailleurs, mon sentiment est que le dernier tiers du message de C. Farber, reproduisant un long communiqué de son ami thérapeuthe coréen, affaiblit lourdement la portée de son message, tant la méthode de soins exposée l'est de manière didactique, et tant elle souffre de moralisme environnementaliste limite dogmatique, voire off limits, sur la mal bouffe, ainsi que de la massive coercition inhérente à sa prescription, qui outre les risque psycho-somatiques qu'elle induit, n'échappe du reste même pas au style argumentaire de vente d'un produit diététique de choc dont on peut penser que, comme la plupart des produits de "médecine naturelle" innovants, il ne présente pas de véritable garantie de non dangerosité. Ceci dit, sur le Groupe FaceBook Rethinking Aids, David Crowe (Alberta's Reappraising Aids Society), en réponse à la publication récente de C. Farber dont vous parlez, expose de manière assez détaillée son point de vue et ses positions, non directement sur la question de la survie des séropositifs, mais sur la signification des tests et du contrôle des taux de cd4, sur l'utilité et l'adaptabilité des médecines alternatives au cas par cas, et sur les responsabilités respectives des journalistes dissidents et mainstream. C'est une défense de la dissidence un peu basique, on peut ne pas être d'accord sur tout, mais cela a le mérite d'être clair et de remettre un peu les pendules à l’heure sur les points les plus faibles du communiqué de C. Farber. Je reproduis ci-dessous l'ensemble de cette communication de David Crowe, avec une réplique d'un participant qui la ponctue sous forme de dialogue. Pardon pour qui ne lit pas l'anglais. __________________ D. Crowe I think that it is important to separate HIV and AIDS. It is not dissidents who started the confusion. If we talk about HIV then dissidents believe that HIV is either not pathogenic (disease causing) or doesn't exist. So now we have to talk about the HIV test (which is not the same as talking about HIV). If we agree, for the moment, that HIV does not exist, that doesn't necessarily mean that the HIV antibody test is completely meaningless. Some people see that populations of ill people are more likely to be HIV+ THEREFORE the HIV test is meaningful. WRONG. The same can be said for the CD4 test (and probably viral load). If you know that (A) there is something wrong with your test and (B) what the cause is, then the reason for a false positive might be elucidated. But what dissidents have been saying is that the HIV test has so little predictive value in a currently healthy person that it should not be used. I think some dissidents imply (even if they don't mean it) that if you have a positive HIV test/low CD4 you ARE immune suppressed and therefore must do something (other than live a healthier life than most modern lifestyles encourage). This, to me, is a problem. And often I think this is just implied. But we need to be careful NOT to imply that a positive HIV test has a particular meaning. Lastly, there are people who are sick (and probably, in this context, are HIV+). The 'HIV' antibodies may (or possibly not) be correlated with the illness. But they are not the cause. Another problem dissidents have is implying that there is a single cause (such as oxidative stress). But with a disease that is so wide-ranging as AIDS (well, which definition are you using?) that not everybody has the same cause. Some may have over-used antibiotics. Others poppers. Others malnutrition. Others foreign blood products. Others chemical exposures at work. Others particulate damage (such as miners). We MUST NOT imply that all these things under the heading of AIDS are the same. I think it is good that people are thinking about natural alternatives to disease, especially chronic disease, but it is a mistake to assume that the beneficial experience of some people to a particular regime can be extended to everyone. I have to admit that it is frustrating when I read almost anything about alternative health and the implication is that one size fits all. Mário Évora We shouldn't use the acronym AIDS either. AID$ was invented to be correlated with HIV. It doesn't make any sense. Imunedepressed-related diseases always exist. It's not started in the 80's!! D. Crowe One example is that Celia included the experience of Alison Tomlinson. I don't think Celia or Alison intended to imply that this approach would work for everyone, or that everyone is gluten intolerant. I'm just using it as an example. There are healthy people (myself, for example) who are definitely not gluten intolerant. And I think there are many other sensitivities, allergies and other health problems that require different approaches. It is good to talk about such personal experiences, because it will help people with similar causes. But one remarkable story of recovery doesn't imply that the sick person reading it will have the same experience with the same approach. Although these anecdotal cases can cause problems, this is also where dissidents can really help because we don't believe that there is a single cause of "AIDS". It is the dogmatists who try to pretend not only that ARVs work, but that they work for a dogmatist's breakfast of cancers and a similar melange of infections. And I really do believe that natural, nutritional or 'environmental' approaches work, because I've used this approach myself on minor heath problems, and they have worked for me. Okay, one more thing. When we are looking for causes, we need to look at the emotional. At feelings of self-worth, at stress, at isolation. I also believe that these can kill you. Being gay, for example, can induce all of these negative feelings. But it is not just being gay. I'm sure right now a lot of moslems are experiencing this same feeling. Jews in Germany in the 1930s even before the holocaust began. Native Americans. Prisoners in solitary. Drug addicts and alcoholics. Undocumented immigrants. People in unhappy marriages. Workaholics. Dogmatists could probably diagnose a lot more AIDS if they weren't so focussed on black skinned people and gay men (not that I'm suggesting this, god forbid!). And clearly emotional problems don't have pharmaceutical problems. At best, like some people believe with ARVs, they can deal with a crisis, or mask some symptoms. But they can never address the underlying cause. Another topic that Celia addressed was journalism. She said "Journalism in a free society can never be 'irresponsible'. It can only be correct or incorrect". I think a lot of mainstream journalism is irresponsible because it is lazy and does not follow up with 'dissidents' and their often cogent critiques. But I also think there are many times when it is impossible to definitely say what the truth is. So I think that journalists must be forgiven for being wrong, as long as they have clearly put in the effort. If a journalist worked on cases of false convictions, and out of 20 investigations, it turned out that one really was a true conviction, would that negate the work of the journalist? I think not. But I think a journalist who is a big fan of the prosecutor and just reports cases without seriously critiquing the theories of the crime, is definitely irresponsible (and cowardly). But it is the muckracking journalist who will be crucified if they ever make a mistake. I think the parallels with AIDS journalism are obvious. The works of Celia, Shenton, Hodgkinson etc will be put under a microscope, but nobody will every ask a NY Times health reporter why they have ignored dissidents for years.
  6. Sans entrer en détail dans la polémique entre d'un côté tenants de la théorie médico-scientifique officielle et ce qu'elle implique, et d'un autre côté les analyses critiques des failles et inconvénients de cette théorie : Le sida à proprement parler est ce qui est sensé se passer lorsqu'un stade critique est atteint dans l'évolution de l'état de santé d'une personne. Dans les faits, comme c'est un syndrome regroupant simultanément plusieurs symptômes et pathologies graves une fois atteint le stade en question, on ne peut en aucun cas dire que la séropositivité en soi constitue "un état de sida" dans lequel on se trouve du simple fait que celle-ci a été constatée. Celle-ci peut être lue, contrôle des taux de CD 4 aidant, comme signalant ou non une possibilité/un risque plus ou moins importants d'arriver au stade sida dans un avenir relativement indéterminé, sans plus. Mais il faut bien comprendre aussi que dans cette théorie officielle, les traitements à base d'antirétroviraux pour toute séropositivité ont un rôle au moins double : prévenir l'entrée au stade sida, et aussi prévenir la contamination par les séropositifs porteurs de l'insaisissable virus, ces deux rôles et réponses au risque pouvant en fait avoir des conséquences passablement antinomiques et plus ou moins justifiées - iatrogénèse, effets nocebo d'ordre psycho-somatique, d'ordre psycho-social, etc. - dans l'existence des personnes traitées et suivies. Donc, ne pas confondre état de soumission à un contrôle bio-médico-social et état de "sida", et bien cerner la complexité et l'ambiguïté des enjeux éthiques, politiques, sociaux, économiques, épistémiques, etc., liés à ces deux états. Si le "sida" existe, c'est avant tout en tant que définition théorique - et de nature entre autres spéculative -, issue d'une interprétation collective de certains faits, et collant plus ou moins correctement et/ou arbitrairement, de manière évolutive sur un temps déjà assez sinon trop long, à des ensembles de réalités très diverses et diversement construites à différents niveaux.
  7. SHERRY VINE! TRUVADA DADA parody of True Colors
  8. Daddou, on est tous très attristés. Désolé, aucune idée d'avocat helvétique ou connaissant le droit suisse à te conseiller. Mais il me semble qu'en cherchant bien tu devrais pouvoir trouver. En tout cas, courage, tiens bon ! Prends bien soin de toi et de ton petit.
  9. Dans sa lettre ouverte sur le site TruthBarrier (lien ci-dessus), la mère de Lindsay précise que celle-ci avait commencé à souffrir d'une pneumonie fin 2013, qu'elle avait commencé à prendre des ARV et en avait eu des effets indésirables immédiats (violentes diarrhées) et avait perdu le goût de vivre. Elle écrit ne pas savoir de quoi exactement sa fille est morte en termes médicaux. Pour mémoire, testée séronégative lors de son adoption en Roumanie, puis séropositive à son arrivée dans le Minnesota, Lindsay avait été mise sous ARV entre 1 et 3 ans. Ses parents adoptifs avaient interrompu le traitement en raison de la gravité des effets secondaires et elle était la seule survivante de 12 enfants soignés comme elle au même moment par les services locaux. Les 11 autres étaient tous morts au bout de 4-5 ans maximum sous traitement. Lindsay avait eu une excellente santé et une vie entièrement normale jusqu'à sa grossesse, où elle s'était vue rattrapée par les instances médico-sanitaires du sida. Son fils, Rico, a été mis sous ARV à sa naissance et souffrirait actuellement de sérieux troubles du développement.
  10. Jibrail, tu écris : "Le VIH/sida fait partie des affections longues durées remboursées de longue date à 100%." Certes, mais si on rembourse de même le Truvada en prévention, on en fait "bénéficier" aussi des personnes séronégatives et ne souffrant pas de "sida". En fait, il faut voir la priorité et la hiérarchie des arguments avancés par M. Touraine dans le verbatim à l'Assemblée. Dans le premier paragraphe, elle a déclaré : C'est donc bien là le premier objectif allégué et la première utilité considérée de toute l'opération. Ensuite, sur la base du seul argument que les ARV stabilisent les taux de T4 et rendent la charge virale indétectable, tu fais chemin faisant une concession de taille à la théorie dominante en affirmant que l'usage préventif de l'ARV en question est compatible avec la thèse minoritaire d'un sida non viral et multifactoriel. Tu oublies toutes les analyses concernant la non spécificité des tests et donc la grande incertitude objective sur la transmissibilité sexuelle ou autre de quoi que ce soit par un rétrovirus exogène tel que profilé par l'orthodoxie, ainsi que tout ce qui tend très sérieusement à l'impossibilité d'établir des preuves définitives que la séropositivité soit un symptôme universellement assuré pour la prédictibilité de troubles physiologiques évolutifs graves, entre autres dans la mesure de la confusion possible entre effets indésirables des ARV et autre chose.
  11. On appréciera au passage la mention révélatrice du rédacteur de ce texte d'info quand il écrit au passage : "Pour une personne qui n'est pas malade..." Comme si c'était moins risqué pour les "malades" ? Quoi d'autre ? Le rédacteur ne s'inquiète pas sérieusement une seconde que le traitement s'adresse à des séronégatifs, rebaptisés pudiquement non "infectés par le virus du sida". Et ne s'inquiète pas une seconde que ce qui se cache derrière l'offre en question, c'est plutôt en fait, très possiblement, un plan de fichage au moins quantitatif (si authentiquement anonyme) et de mise sous traitement ARV permanent (un flou notable flotte dans diverses déclaration officielles du milieu en question, tant en France qu'aux USA) des séronégatifs "à risque".
  12. Voilà, ça y est, Marisol a cédé : selon les infos du jour le Truvada en prévention a été autorisé - le traitement en question, remboursable par la sécu, coûterait quand même la bagatelle de 500 Euros par mois... Petit cadeau préventif de Hollande pour mettre Obama dans de bonnes dispositions à la veille de sa visite à Washington ?
  13. A propos de Charlie Sheen (http://www.20minutes.fr/people/1732423-20151117-video-charlie-sheen-revele-seropositivite), le journaliste et dissident Terry Michaël déclare via la page FaceBook d'Ingrid Farber : Engulfed by the Charlie Sheen insanity. SO MUCH to clarify, correct. With "pod" glasses, not addressing fallacies of the HIV test etc, one can at least say: Either: A. All the people who are in prisons around the world for having unprotected sex after testing HIV antibody positive should either be let out, OR: B. Charlie Sheen should go IN (to prison) But not: THEY (minorities, mostly, without fame or money usually) stay in prison and HE stays out here, being a human commercial for Truvada. IF it is a CRIME (as OMSJ so vigilantly fought against in its time) to BE HIV positive and sexual, without giving proven consent at all times, then why, because he pushes their agenda, ("I am undetectable...") is he immune? (He certainly was not on Truvada when his status converted.) My choice of course is to let all accused and imprisoned "sex felons" out immediately and throw the criminals of the HIV industry who created a false "deadly weapon" into the newly vacant cells. Terry Michael. Bon, T. Michaël ne précise pas que Sheen a déclaré avoir été victime de chantage et avoir fait sa déclaration télévisée pour y couper court. En cela il a peut-être tort. Mais pour autant son point de vue révolté et son raisonnement sur la justice à deux vitesses et sa sévérité envers les minorités ont leur pertinence : Pour mémoire, la sentence d'emprisonnement quasi à vie pour Michaël Johnson alias "Mandingo" par un jury du Missouri avait été confirmée au terme d'une mise en délibéré. Sur sa page FaceBook, T. Michaël se réfère à un site web américain qui semble parler en bande annonce de "maladie autoimmune" à propos de Sheen (sur le post intitulé "MORE INSANITY TO FUEL THE HIV-AIDS INDU$TRY").
  14. Mais si, Jibrail ! Sur le plan de la communication, La-Science, la prévention, le dépistage et ce qui s'en suit fonctionnent au rabâchage massmédiatique perpétuel, et c'est ce qui a permis aux 2 gus, Pintauro et Sheen, artistes et/ou agents iconiques actifs du Showbizz et de l'Entertainment, d'être invités par des chaînes de télé pour déballer leurs turpitudes - ils sont de la maison, et la maison a besoin de bosser pour les Lobbies.du.sida-CDC-NIH-BigPharma, et vice-versa. Sauf que là, effectivement, la superbe confession publique introduit un peu de Bruit dans la com... Mais il faudrait quand même une sacrée "épidémie de bruit" pour que le serpent finisse par se mordre la queue une bonne fois pour toutes. En tout cas et en outre, un détail de la déclaration de Sheen en dit long sur les us et coutumes d'une certaine société américaine :
  15. Dernières retombées de l'étude Ippergay : Selon les infos du matin sur France-culture il y a un peu plus d'une semaine, Marisol Touraine, ministre de la santé, n'autorise pas le Truvada en usage préventif sur les séronégatifs avant et/ou après les rapports sexuels, usage déjà autorisé et prescrit en Californie. Refus ministériel au grand dam de Jean-Michel Molina, du département des maladies infectieuses de l'hôpital Saint-Louis à Paris, qui a prononcé un communiqué de protestation lors de 2 flashs d'infos successifs, alléguant les impératifs de prévention, le fait que le Truvada dans cet usage remplacerait avantageusement le préservatif, etc. On peut penser que le rapport de force bat son plein entre le ministère d'un côté et en face les lobbies du sida et Gilead Science associés.
  16. Il faut bien lire la déclaration de ce Pin(k)tauro (quel nom, franchement !). Non seulement il accrédite par une confession publique de choc la thèse qu'on (ne) peut contracter le "sida" (que) par des relations sexuelles, sans dire le moins du monde qu'il aurait des doutes sur l'existence et les effets du vih, mais il donne surtout à conclure que des pratiques sexuelles au niveau buccal sont aussi dangereuses que celles au niveau anal. Dans ces conditions, à la limite, c'est intéressant que son commentateur-contradicteur (un peu affolé par l'insinuation sur la transmission bucale ?) relève quand même que l'autre a signifié, tout à fait à tort forcément, que c'était peut-être la biochimie du cristal meth qui avait affaibli son système immunitaire et fait positiver le test. Le spectre des hypothèses dissidentes, entre autres sur le rôle des drogues, plane sur toute cette histoire de caniveau à grand spectacle qui révèle une fois de plus l'impressionnant degré de paranoïa de l'orthodoxie du sida et des victimes de son bourrage de crâne. Fanatisme, quand tu nous tiens...
  17. Je viens de découvrir un document en anglais de circa 140 pages qui tente de rapprocher la thèse d'un mycoplasme défendue entre autres par Montagnier des thèses de Duesberg et du Perth Group (et celles-ci entre elles). Ne pas s'affoler des premiers chapitres du document, qui font notamment un lien (à mon avis a priori à tort*) avec le syndrome de la fibromyalgie, mais qui évoquent aussi via tout un historique la thèse des recherches sur les mycoplasmes dans un contexte de biowarfare (en d'autre termes les thèses notamment de Donald Scott et Alan Cantwell respectivement, et vulgarisées à tort en raison de leurs apparences quelque peu paranoïantes sous l'appellation d'un "virus fabriqué"). La suite des articles et communications proposés éclaire les raisons de ces premiers chapitres de façon intéressante, même si le lien avec les premiers de la série est un peu acrobatique : c'est toutefois d'une genèse du contexte de la recherche dans des domaines connexes débouchant sur la théorie du vih et la critique de celle-ci qu'il s'agit au final. Sur tout les sujets et aspects abordés dès ces premiers chapitres et ensuite, dont nombreux présentent et recoupent entre elles les études et analyses des dissidents "classiques", les données et références sont extrêmement nombreuses et précises, et la manière de les recouper et de les mettre en relation me semble largement mériter par sa pertinence et les compléments d'information qu'elle apporte, de signaler cette synthèse : https://martinkeerns.files.wordpress.com/2014/11/chapter-forty-two-from-book-3-on-aids.pdf * Puisqu'il a été reconnu depuis que le supposé virus de cette maladie (peut-être très psychosomatique, ou d'origine iatrogénique)) était une chimère de laboratoire.
  18. C'est beaucoup s'avancer je pense de concevoir les choses ainsi, et en tout cas cela ne contredit nullement ce que pointe Jibrail en termes d'idéologies et de tares de la pensée dogmatique inhérentes aux idéologies : C'est beaucoup s'avancer, parce que les comportements sont sociaux, et que donc leur domaine en est extrêmement vaste et présente des réseaux de causes et d'effets d'une inépuisable complexité. Et puis, si on entend par comportement le fait d'aller se faire dépister pour le vih et se faire mettre sous traitement ARV, je pense qu'il faudrait d'abord aller voir par exemple si ce ne sont pas les ARV qui modifient l'ADN et en quoi en termes entre autres de conséquences. Quant à la transmission intergénérationnelle... Transmission de quoi en termes de comportements, alors que l'histoire personnelle, culturelle et sociale de chaque individu offre déjà tant de possibilités diverses et plus ou moins contradictoires (inductrices de double-binds) à corréler ou non avec des facteurs biochimiques et environnementaux ?
  19. Bonjour Jibrail, le premier lien de ton post - "de nouveaux travaux" - renvoie apparemment au haut de cette page. Je m'attendais plutôt à un abstract de Science. C'est voulu de ta part ? Bon, on avait découvert un peu par hasard l'emploi des tests de génotypage et phénotypage, par quelqu'un à qui on les avait fait en complément d'Elisa et d'une PCR, si je me souviens bien, alors qu'en théorie ils ne sont utilisés que pour le contrôle des traitements. Puis, bout de ficelle scelle de cheval, j'étais tombé sur l'article exposant le problème des procédés Siemens au Cameroun. Au sujet des souches du vih, j'ai entrevu ces jours-ci sur 1 page FaceBook que des chercheurs auraient découvert une nouvelle souche, d'une variété qui dixit les découvreurs serait inoffensive - on arrête pas le progrès. Sinon, pour l'ADN et la génomique, on sait bien qu'il y a un lien étroit avec le fonctionnement des rétrovirus et la théorie de la transcriptase, et tu sais ce que j'ai toujours dit, à savoir que la recherche sur le sida sert aussi à des recherches avec des cobayes de choix dans d'autres domaines, sans doute notamment dans le domaine de la génomique, celle des pathologies et autre. Génotypage et phénotypage seraient-ils des moyens de recherche à l'insu sur la méthylation de l'ADN et la quête d'ersatz d'un chromosome de l'orientation sexuelle déviante ? C'est un peu ce que tu donnes à entendre, non ?
  20. Jardinier

    Positive Hell

    Le message d'Etienne de Harven sur la page FaceBook de Johan Shenton : "Positive Hell" is a most important contribution to the public education, worldwide, and shall certainly help to shake down the most horrendous mistake in the history of modern medicine!!" https://www.facebook.com/joan.shenton.12/posts/912333045525207?comment_id=912482728843572
  21. Jardinier

    Positive Hell

    URGENT, IMPORTANT, Sur sa page FaceBook, Johan Shenton annonce que son film, Positive Hell, participe à un festival à Los Angeles. LE FILM POURRAIT REMPORTER UN PRIX, ET AINSI OBTENIR UNE GRAND RECONNAISSANCE. LE PUBLIC PEUT VOTER EN FAVEUR DU FILM JUSQU'AU 18 SEPTEMBRE. C'est sans doute le nombre de votes qui viendra compléter celui d'un jury en faveur du fil m ou non. Il suffit d'aller sur cette page : http://lacinefest.weebly.com/august.html En la faisant défiler, on tombe sur des fenêtres de communication via le site. Il faut écrire le nom du film, Positive Hell, by Andi Reiss et Johan Shenton, et éventuellement en vanter les mérites, dire pourquoi on l'aime, etc., et, je pense, il faut insérer l'adresse de la page où le film est présenté avec le Trailer : http://www.positivehell.com/
  22. Econoclaste, tu fais bien de noter ce qui apparaît comme des inconvénients aux yeux des autorités, mais en même temps, cette possibilité d'autotest en toute discrétion (si le test est acquis dans le strict anonymat des pharmacies des grandes villes dont on n'est pas client habituel), c'est un coup odieux en termes d'exploitation de la crédulité des populations, jeunes et très jeunes en particulier, qui auront été soumises au bourrage de crâne sur le bien-fondé du dépistage à tout va pour le moindre attouchement entre partenaires sexuels. J'ai entendu la nouvelle aux infos de France Culture ce matin. Le porte-parole associatif commis aux basses-oeuvres radiohoniques a précisé qu'en pharmacie les trucs étaient en vente pour 25 à 28 Euros, mais que les philanthropiques assos et organismes de dépistages les fourniront gratuitement. Et bien sûr, à titre de rhétorique incitative, il a repris en bon perroquet l'argument massue et phobique selon lequel c'est un progrès au regard des 30 000 porteurs du mythique virus qui s'ignorent et devraient être mis sous traitement sans délai. Bref, la Fabrication des morts vivants (André Gorz, mon post du 7 septembre) fait un grand pas vers le Bon Dieu.
  23. Où il est question au passage de protozoaires : STEPHANE FOUCART - EDITER LA NATURE http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article29260 Et aussi : ANDRE GORZ - LA FABRICATION DU MORT VIVANT http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article29244 http://www.altermonde-sans-frontiere.com/IMG/pdf/gorz_vers_une_civilisation_posthumaine.pdf
  24. Manou, merci pour ta réponse et tes précisions, cela permet d'y voir un peu plus clair. La thèse de la confusion avec un AVC développée par Aixur est assez convaincante en effet, compte tenu notamment des présuppositions médicales concernant le vih et le sida. Mais il est à noter quand même que le diagnostic a pu être orienté par la perte de poids et d'appétit. - Tu nous a écrit : "En février, il commence à sentir des maux de tête – le médecin prescrit du paracétamol…etc., mais les maux de tête s’intensifient." Là-dessus, ce qui m'intrigue, c'est ton "etc." : le médecin lui aurait prescrit du paracétamol et quoi d'autre ? On ne sait jamais, c'était peut-être quelque chose de significatif en termes d'effets secondaires ayant pu conduire à un AVC, ou en tout cas aggraver son état. Si tu t'en souviens, ou peux retrouver les ordonnances, on pourrait peut-être vérifier. - Pour ce qui est de l'Isenstress associé au Truvada (entricitabine+ténofovir), il serait intéressant de savoir si c'était du raltégravir, ou de l'elvitégravir, ou du dolutégravir - les 2 derniers sont prescrits en "phase III", le premier en "phase II" - voir ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Inhibiteur_de_l%27int%C3%A9grase . Pour la petite histoire, il y a entre deux et trois ans, l'Isenstress avait été mis en surveillance par l'agence française du médicament. Il semblerait que par la suite son usage ait été validé. Mais comme pour le Truvada, la documentation sur les effets secondaires et les doutes sur les effets à long terme ne manque pas. Pour le Truvada par exemple, voir ici : http://www.ema.europa.eu/docs/fr_FR/document_library/EPAR_-_Product_Information/human/000594/WC500043718.pdf Et pour l'Isenstress tu trouveras très vite et facilement sur le web. a moins du reste que tu aies déjà fait les recherches en question... - Pour le CMV, je n'avais jamais compris auparavant que la PCR était sensée le détecter et en mesurer le taux présent. A priori, officiellement c'est seulement la charge virale du vih qu'elle sert à mesurer. Donc, si ça mesure - et même détecte - aussi autre chose, cela semblerait trahir une embrouille dans le discours canonique. En fait, on peut penser que les médecins sidologues qui ont interprété cette PCR se sont laissé aller à noircir un maximum le tableau de l'état de sida viral déclaré, arbitrairement et au pif, afin de justifier leurs prescriptions d'antirétroviraux + antibiotiques. Sinon, je ne pense pas qu'il faille trop te polariser sur une piste exclusive des questions de stress oxydatif, car c'est en réalité un domaine assez incertain. Quant à tes doutes tels que tu les formules ici : "Pour ma part je crains que ces antibiotiques suppriment les anticorps spécifiques à la toxoplasmose qui pouvaient exister et donc rendent plus vulnérable l'organisme à une rechute.", je pense qu'Aixur te fait une réponse te permettant de beaucoup les relativiser. Difficile en conclusion de t'en dire plus et risqué de chercher à trop t'influencer sur la conduite à tenir pour la suite des traitements de ton conjoint. Sinon peut-être, à mon avis, exposer clairement tes doutes et tes craintes aux médecins, peut-être pas trop sur le vih et les ARV, puisque là-dessus ils vont sûrement bloquer, mais sur les antibiotiques, le problème de leur prescription sur une aussi longue durée et les questions relatives à l'interaction avec les ARV, ainsi que les problèmes du Bactrim. Bref, les mettre au pied du mur avec des infos fiables sur les questions problématiques, leur parler nommément des problèmes de iatrogénèse, les pousser un peu dans leurs retranchements - avec diplomatie mais fermeté - et les obliger à bien réfléchir et éventuellement à rectifier leurs options en vue du meilleur bénéfice-risque possible. Ou bien, peut-être aussi, prendre l'avis d'autres médecins et services médicaux, peut-être cette fois-ci en soulevant explicitement la question d'une confusion entre AVC et toxoplasmose liée à un sida. Peut-être de même d'ailleurs pour les médecins qui le prennent en charge actuellement, selon ce que tu peux ressentir et raisonnablement présumer de leurs résistances et de leur ouverture d'esprit. Voilà, amitiés à toi.
  25. Pour la toxoplasmose, si c'est bidon, on en trouve quand même assez couramment des définitions et descriptions, nosologiques, nosographiques, cliniques, etc. Dans la doc que j'ai fournie ci-dessus, un indice qui va un petit peu dans ton sens serait que cela se surmonte naturellement, sans soins particuliers, mais sauf en cas d'immunosuppression. Et comme qui dit immunosuppression dit sida, et que l'immunologie s'est commise comme on sait sur la voie que l'on sait... en tout cas, comme je le dis plus haut à Manou, aller chercher en prime une encéphalite à CMV, vu de loin, cela semble un peu superflu et de l'ordre de l'excés de zèle compte tenu de ce qui se dit de la toxoplasmose en cas d'immunosuppression ou immunodépression. Ensuite, anitibios et aspirine : * "Les antibiotiques agissent de manière spécifique sur les bactéries, en bloquant une étape essentielle de leur développement : synthèse de leur paroi, de l'ADN, des protéines, ou la production d'énergie, etc. Ce blocage se produit lorsque l'antibiotique se fixe sur sa cible, une molécule de la bactérie qui participe à l'un de ces processus métaboliques essentiels. Cette interaction entre l'antibiotique et sa cible est très sélective, spécifique des bactéries et ces composés ne sont en général pas actifs ni sur les champignons ni sur les virus. Il existe aussi d'autres molécules actives sur ces autres types d'agents infectieux que l'on appelle des antifongiques ou des antiviraux et qui sont distincts des antibiotiques." https://fr.wikipedia.org/wiki/Antibiotique Question fluidité du sang et anticoagulation, il existe beaucoup d'antibiotiques différents, et s'ils semblent modifier la plupart du temps le ratio globules blancs/rouge, ce n'est pas la même chose que systématiquement fluidifier le sang. * Pour l'aspirine, voir ci-après (tu sembles avoir raison grosso modo sur l'action anti-inflammatoire et sur un autre point, clé pour toi : Prostacycline et thromboxanes ont des actions opposées : vasodilatation et anti-agrégant plaquettaire pour la prostacycline, vasoconstriction et agrégant plaquettaire pour les thromboxanes. ) : http://www.snv.jussieu.fr/vie/dossiers/aspirine/aspirine.html#chap3 "L'aspirine est essentiellement un inhibiteur irréversible des COX, des enzymes faisant partie de la voie de biosynthèse de certains membres des eicosanoïdes (voir ci dessous), dont les prostaglandines. La COX 1 est une enzyme ubiquitaire produite par la plupart des tissus du corps humain alors que la COX 2 est beaucoup faiblement exprimée puisque son gène est inductible, c'est à dire qu'il n'est actif qu'en présence d'un signal déclencheur qui, pour la COX 2, correspond à une situation inflammatoire. B- Les eicosanoïdes Les eicosanoïdes regroupent un ensemble de médiateurs lipidiques dérivés de l'acide arachidonique, un acide gras insaturé trouvé dans les membranes cellulaires. Le nom eicosanoïdes vient du mot grec "eicosa" qui veut dire 20, l'acide arachidonique étant à acide gras à 20 atomes de carbone (voir Fig 3). Les eicosanoïdes comprennent les prostaglandines, la prostacycline, les thromboxanes, les leucotriènes et les lipoxines. Ce sont tous des médiateurs intercellulaires locaux de type autocrine (la cellule qui produit le médiateur est également la cellule cible) ou paracrine (la cellule cible est proche de la cellule productrice). Pour leur synthèse, prostaglandines, thromboxanes et prostacycline font appel à des COX. Comme leur nom l'indique, la réaction catalysée par ces enzymes entraine l'ajout d'atomes d'oxygène et la création d'un pentacycle carboné (voir Fig. 4). Concernant les prostaglandines, leur nom dérive de l'histoire de leur découverte. En 1935, Ulf von Euler (ref. 1) et M. Goldblatt (ref. 2) ont découvert séparément que le liquide séminal et les vésicules séminales de nombreux animaux, dont l'homme, contenaient une substance capable de provoquer des contractions du muscle lisse utérin. On l'utilise d'ailleurs encore de nos jours en gynécologie-obstétrique (interruption de grossesse, accouchement). Persuadé que cette substance était produite par la prostate, von Euler (également découvreur, entre autre, de la substance P et de la noradrénaline, prix Nobel de physiologie et de médecine en 1970) la baptisa prostaglandine. Il sera ultérieurement montré que les prostaglandines trouvées dans le liquide séminal sont en fait produites par les vésicules séminales et non par la prostate. Cependant, de très nombreux autres tissus sont capables de produire des prostaglandines, ce qui explique en partie l'effet assez large de l'aspirine. Globalement, les prostaglandines sont impliquées dans la régulation des réactions inflammatoires consécutives à une agression (agression biologique comme une infection, agression chimique, agression physique comme une brûlure, ou agression mécanique comme un écrasement). Cette action s'accompagne également d'un abaissement du seuil de stimulation des récepteurs à la douleur. Leur mode d'action passe par la liaison des prostaglandines à des récepteurs à 7 segments transmembranaires, qui sont donc couplés à des protéines G trimériques. La prostacycline est, elle, produite par les cellules endothéliales de l'épithélium vasculaire et les thromboxanes par les plaquettes. Prostacycline et thromboxanes ont des actions opposées : vasodilatation et anti-agrégant plaquettaire pour la prostacycline, vasoconstriction et agrégant plaquettaire pour les thromboxanes. C- De l'inhibition des COX à l'effet thérapeutique L'action de l'aspirine passe par l'inhibition de la synthèse de ces différents médiateurs. En inhibant la production de prostaglandines, elle va limiter l'abaissement du seuil de la douleur, d'où son action antalgique, ainsi que les réactions inflammatoires, d'où son action antipyrétique. En effet, l'inflammation est un mécanisme complexe, et l'un des nombreux évènements de cette réponse est une libération d'interleukine 1 (IL1) par les macrophages. Or, l'IL1 agit, entre autre, sur l'hypothalamus, le centre thermorégulateur du corps. Elle augmente la température de consigne via la production par l'hypothalamus de prostaglandine E. Cela entraine une élévation de la température corporelle, autrement dit de la fièvre, par contraction involontaire des muscles et vasoconstriction périphérique (pour limiter la déperdition de chaleur). L'action antipyrétique de l'aspirine passe par l'inhibition de cette série d'évènements. Il est à noter que la prise d'aspirine en absence de fièvre (pour des maux de tête par exemple) n'entraine pas d'hypothermie, ni un blocage de l'élévation physiologique de la température consécutive à une activité sportive. Par ailleurs, à dose modérée d'aspirine, si l'inhibition de la COX 1 des plaquettes est durable (les plaquettes étant dépourvues de noyau comme les hématies, elles ne peuvent renouveler leurs enzymes), celle de la COX 1 des cellules endothéliales l'est beaucoup moins du fait d'une néosynthèse des enzymes dans ces dernières cellules. Il en résulte une diminution plus marquée des thromboxanes que de la prostacycline, de telle sorte que vasodilatation et action anticoagulante vont être favorisées. En revanche, à forte dose d'aspirine, l'inhibition de la COX 1 est durable pour les deux types cellulaires : l'inhibition de la production est efficace aussi bien pour les thromboxanes que pour la prostacycline. La balance entre les deux est donc peu modifiée ce qui n'entraine pas d'effets vasculaires importants. Ceci explique que l'aspirine soit prescrite à faible dose pour fluidifier le sang.
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