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forum sidasante

calo38

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Tout ce qui a été posté par calo38

  1. La raison à tout ça la grande question ... j ai des "soucis " au niveau du système lymphatique depuis mes 20 ans. Des ganglions apparus soudainement sur toute la ligne jugulo-carotydienne. À l époque batterie de tests, de scans de tout... résultats rien. Ils ont pensé à un cancer, une leucemie bizarre. Mais non rien que dalle. Diagnostic : sensibilité virale aiguë. Tests VIH négatifs. Ces ganglions ont toujours été présents, avec plus ou moins de grosseur suivant mes phases maladives, au moindre rhume Paf ils réapparaissent. Ajouté à cela des petits kystes ou plutôt des abcès. Derrière l oreille sur le cartilage, à l entre jambe... Rien de catastrophique ça se percait puis revenait... bref un système lymphatique étrange mais rien qui n alarma les médecins, puisque tout était négatif. Puis dans ma vie une phase sentimentale chaotique. Un doute sur des symptômes persistants, mon conjoint qui m oriente vers ce p****** de test. Et bim ! Un positif. La raison pour moi est absolument endogène et psychologique. Une orientation de l esprit qui a persuadé mon corps. Voilà ma croyance profonde. Et pourtant je suis toujours la bien obéissante, je fais mes tests et mon suivi je ne sais même plus trop pourquoi, alors que tout mon être me crie ne pas écouter de ne pas croire, qu il me hurle que le problème est ailleurs, peut être seulement dans ma tête... Je n arrive pas à passer le cap de ne plus y aller je ne sais pas pourquoi. Dans ma tête tout se bouscule et j'ai, aujourd'hui encore plus, des "et si c était vrai" qui me font mal à la tête. Pour moi prendre ces médicaments, si toxiques, c est signer mon arrêt de mort. C est du suicide d accepter d avaler ces trucs... alors pourquoi est ce si compliqué pour moi, de quoi j'ai peur, j en sais fichtrement rien. C est la tout le pouvoir de cette macabre mise en scène... Je pensais rester stable comme je l ai toujours été, et voilà qu à la date prévue les résultats demandent une mise sous traitement. Tellement hallucinant tout ça... J ai déjà été suivie par une naturoptahe, je prenais des compléments nutri expédiés d allemagne mais niveau budget c est plus gerable c est trop cher et pas de résultats hyper probants à part une stabilité qui a perduré. Je ne sais plus trop comment réagir en fait, entre mes convictions profondes et mes doutes. C est pas simple. Ma puce se porte à merveille daddou merci de prendre de ses nouvelles. Elle aura 3 ans en janvier, et c est une merveilleuse petite chipie ^^ je puise beaucoup en elle et j aimerait aussi faire les bons choix pour qu elle ne voit jamais sa maman mal en point. À cause des médicaments ou d autre chose. Merci de tes conseils en tout cas. À bientôt
  2. Est ce que l un de vous pourrait me conseiller quelque chose de naturel à prendre qui pourrait favoriser mes prochains résultats ? Le mois dernier j ai fait une petite cure d immuno + pendant 1 mois puis echinacée pure matin et soir. on verra aux résultats si ça a fait quelque chose... y aurait il de bons produits que je pourrais prendre au quotidien ? Merci de votre aide
  3. Merci pour vos réponses.... l immunologue qui me suit avait quand même osé me dire il y a quelques années que si le moment venu je refusais le traitement, d une part elle refusait de continuer à me suivre, et d autre part elle pouvait pousser la procédure jusqu'à demander une sorte de "radiation" de la sécu pour les remboursements liés aux affections elles mêmes causées par mon refus de traitement .... ! En sachant que le moindre rhume sera alors attribué à mon virus invisible, autant dire que je ne serais plus remboursée... j ai été tellement révoltée par ce qu' elle à dit !!!! Quelle pression ils nous mettent sérieusement c est incroyable d entendre des trucs pareils.... Bref... je vous souhaite une bonne journée je vous tiens au courant.
  4. Personne n a de conseils alors ?
  5. Bonjour Dorade Le dernier lien que tu as joint, la personne qui se dit contaminée par voie buccale ... Mon dieu j'ai juste envie de bondir quand je lis de pareilles idioties !!!!! Effectivement, il y a là une très belle représentation du lavage de cerveau médiatique et médical bien appliqué depuis des dixaines d'années sur nos semblables crédules .... Effectivement le lien sexuel est EVIDENT .... C'était au départ quelque chose de bien connu dans les années 80, l'homosexualité qui révoltait les bien pensants ... Ainsi une bonne manière de condamner quelque chose qui n'était pas très "catholique" et bien trop marginal ... Une bonne manière de faire peur, qui a si bien fonctionné, qu'elle s'est étendue aux hétéro, pour le plus grand bonheur de l'industrie pharmaceutique, et du bien connu désormais Monsieur AZT qui allait être mis à la poubelle après des essais catastrophiques sur les cancéreux ... quelle aubaine n'est ce pas ? Il est évident que la "maladie de l'amour" rentre bien dans un bon moule tout fait, et sur-médiatisé, le sexe a toujours plus ou moins été tabou, alors le rendre dangereux a tellement été facile ... Pour ma part, depuis plus de 10 ans avec le même homme, (je suis une femme je précise, c'est pas très évident avec mon pseudo ^^), S+ depuis 5 ans, sans traitement, mon homme n'a jamais voulu se protéger, et ses tests sont négatifs (il est obligé d'en faire, à cause de son travail) .... J'ai donc envie de dire que c'est une enigme de plus, il y en a tellement sur le sujet ... Le sexe au coeur de toutes les polémiques, c'est pas nouveau !!!! Bonne journée !
  6. Bonjour à tous Petit rappel me concernant tout d'abord, j'ai été dignostiquée S+ en 2008, mes copies de virus varient entre 1 000 et 6 000 copies par mm3 de sang, mes T4 variaient entre 400 et 600 depuis 5 ans, je ne suis pas sous traitement, je n'ai pris que du Kaletra en monodose lors des 3 derniers mois de ma grossesse, (après de loooooongues négociations pour ceux qui ont suivi mon histoire), et je me porte à merveille. Comme un fait exprès, la virologue qui me suit m'avait fait une jolie courbe lors de notre premier entretien, qui montrait un "silence" du virus VIH pendant 5 ans, puis, une attaque qui nécessitait une mise sous traitement. Quasiment JOUR POUR JOUR 5 ans après mes premiers exams à l'hopital, on me trouve une chute des CD4, je suis à 350, ce qui n'est pas catastrophique n'est ce pas, surtout que ma charge virale est à 3 000 copies, donc complètement stable, et donc je dois refaire une prise de sang demain qui confirmera ou je l'espère infirmera les derniers résultats, puis sera décidée OU PAS la mise sous médication. L'idée même de devoir prendre ces horreurs me donne des boutons ...!! J'ai l'impression qu'ils ont tellement ancré en moi que les choses se dérouleraient ainsi, que mon corps réagit selpon leurs dires ... La virologue m'a parlé de 4 comprimés / jour à avaler, c'est abominable, énorme, insoutenable ... je ne veux pas avaler ces merdes, j'ai l'impression que ce serait signer mon arrêt de mort .... ! Je me suis déjà battue pour en prendre le moins possible pendant ma grossesse, et en donner le moins possible à ma fille ... je n'ai plus envie de me justifier ... Mais que puis je répondre à l'hôpital ? Certains d'entre vous ici, ont ils dit non à la mise sous traitement ? Ma prise de sang est demain, je sais, je m'y prend tard, mais que faut il faire pour que de bons résultats sortent de ce RDV ??? Bien dormir, bien manger ? Et surtout, comment leur dire d'aller se faire voir s'ils veulent que je me mette sous tri ? D'avance, merci à tous
  7. Bonjour daddou Quelle chance as tu de pouvoir faire ce que tu fais, la liberté, le choix ... Moi je ne l ai pas eu malheureusement ... Mais par contre j ai pu négocier, sous couverture d un avocat, le traitement minimum, grace a un protocole en cours sur paris dont j ai demandé a beneficier, qui est la mise sous kaletra les 3 derniers mois de grossesse, et l unidose d anti retroviraux au bébé a la naissance, la methode africaine ont ils dit ... Quoi qu il en soit, pour moi, c etait ca ou le juge pour enfant, et honnetement je n en avais pas la force ... du coup j ai du me soumettre en partie, ma CV est passée indétectable et ma puce a eu le minimum de merdes possibles dans le sang, car le kaletra ne traverse quasi pas le placenta, en tout cas bien moins que l AZT... Je n ai pas eu le choix, mais si je l avais eu j aurais fait comme toi ... Mais bon, dans tout ca l essentiel c est que ma petite est en pleine forme et tout a fait normale, on m oblige a lui faire des prises de sang jusuqu a ses 18 mois, mais c est bientot fini, et elle ne s en rappelera pas, donc le pire a ete evité, j avais tellement peur des conséquences neurologiques des anti retroviraux .... Et encore je n ai pas vraiment la preuve qu il n y en a pas, elle est quan meme bien nerveuse, j espere juste que ce n est pas un futur signe d hyperactivité, mais seulement d un caractère bien trempé... Plein de bonheur a toi et ton futur petit bout, profites bien de la chance que tu as de pouvoir accoucher tranquille et sans ces horreurs qu ils nous obligent a avaler ici .... J ai eu de la chance par rapport a d autres, mais j aurais aimé avoir la tienne ....
  8. Oui c'est clair ! D'autant plus que, premièrement tant qu'il s'agit de notre corps, on fait encore ce qu'on veut, on ne va pas nous faire avaler de force des médicaments (pas encore du moins .. hum hum), puis l'AZT en sirop pour les nouveaux nés se donne à la maison, par la famille, pas de surveillance médicale. Le seul problème se situe dans les premiers jours suivant la naissance, quand la maman est encore à l'hopital, là il y a les infirmières et les médecins qui peuvent donner à votre place le sirop, ou alerter que vous refusiez de le donner ... En fait je crois que nous en sommes encore au stade où le risque de dénonciation à des assistantes sociales ou à un juge pour enfant existe, mais qu'en réalité cela dépend des personnes sur qui on tombe. Du coup, le mieux je pense, c'est d'annoncer clairement la couleur au médecin, et de voir sa réaction. Si on a l'impression que la delation n'est pas loin, on peut quand même changer d'hopital, de médecin. Ca dépend de sur qui on tombe. A voir ensuite selon les réponses de Maitre Vutenberg, dès que j'en sais plus je vous le dit. A très vite
  9. Juste pour l'info Maitre Vutenberg super compétent, super à l'écoute. Je dois lui faire parvenir les copies de mes résultats d'analyse, il va transmettre à un collègue à lui Gynéco. Je n'en espérais pas tant. Merci encore pour les tuyaux vous êtes formidables !
  10. Jibrail Merci pour toutes ces infos. Effectivement il y a des aspects officiels orthodoxes que j'ignorais. Notemment chose très importante, le taux officiel de TME à mon niveau de CV est de 1.5 % !!! Ce chiffre officiel va beaucoup me servir. A l'hopital ils disent qu'avec un traitement pendant la grossesse, le risque est à 1 %. Excusez moi du peu mais à 0.5 % près ils veulent risquer d'intoxiquer mon bébé ???? !!! Ce sont tous des grands malades .... Bref. J'ai eu une longue conversation téléphonique hier soir avec la maman qui a refusé l'AZT durant sa grossesse. Son histoire, c'est qu'elle a refusé tout ce qui était dérivé de l'AZT, c'est à dire des Inhibiteurs Nucléosidiques de la Transcriptase Inverse, qui touchent directement la composition de notre ADN, et donc de celui du bébé. Elle a trouvé un compromis avec son médecin traitant, et via l'association dont elle fait partie. Elle a accepté de prendre une molécule qui ne fait pas encore partie de celles proposées dans les possibilités de tri, et qui est un inhibiteur de protéase. Cette molécule était en essai sur quelques patients à Paris. La molécule en question est bien plus grosse que celle de l'AZT, de ce fait elle ne pénetrerait pas, ou peu dans le placenta. Résultat, au moment de la naissance sa charge virale était à 0, ce qui comme on a pu le constater est un aspect primordial de la chose pour les médecins. Elle a tout de même craqué sous la pression médicale, et a attribué à ses deux petits bouts l'AZT en sirop qu'on lui a donné pour ses enfants. Normalement les prises sont toutes les 6 heures pendant 6 semaines. (Peut être aiment ils le chiffre 6 ??) Mais son propre pédiatre lui a dit que c'était beaucoup pour un bébé, et qu'il ne fallait pas oublier que cette prise d'AZT à la naissance était préventive. Du coup, prise entre deux eaux, elle n'a donné le sirop que pendant 4 semaines à son premier enfant, et 2 semaines à son second, en ne respectant pas les échéances de toutes les 6 heures ... Du coup mon point de vue s'éclaire un peu. Si j'ai l'assurance que cette molécule fera moins de mal à mon bébé et que cela peut me permettre de justifier mon refus d'AZT à la naissance car ma CV aura été à 0 pendant l'accouchement, je me dis que cela peur être un bon compromis. Mais tout de même, je n'aime pas cette histoire de médication, et je pense que cette option sera vraiment mon dernier recours si je ne trouve pas d'autre issue. En revanche, tout le monde dans cette association me confirme que cela leur parait vraiment étonnant qu'un médecin aille jusqu'à déposer une requête auprès d'un juge pour enfant, qu'en général les hôpitaux ne veulent pas trop se mouiller avec la justice, peur de la mauvaise pub de l'hopital aussi je pense ... Mais aujourd'hui je pense être un peu mieux armée pour faire face au médecin lors de l'annonce de ma grossesse à l'hopital. En ce qui concerne l'avocat Me Vitenberg, il me demande de refaire une nouvelle recherche HIV + lymphocites T et B, le problème c'est que je ne sais pas qui pourrait faire cela à part l'hopital qui me suit, et dans ce cas comment leur demander à nouveau cet examen qu'ils estiment acquis et inutile à refaire ? Je suis en train de voir avec lui comment je peux m'y prendre. Bien entendu, tenez moi au courant si vous avez des nouvelles de votre côté, moi je viens poster dès que j'ai de nouvelles infos. Mon but est que plus jamais aucune femme ne se retrouve dans ma position d'ignorance. Qu'en venant ici par exemple, elle trouve réponse claire et nette à ses questions grace à nos investigations .... A très vite et merci encore
  11. Coucou Oui Brume, j'ai refait un test l'année dernière, positif. Depuis non. J'ai eu toxoplasmose et mononucléose. Moi je suis de ceux qui pensent que ces anticorps présents (à vie) dans mon sang feront réagir (à vie) les tests positivement. Je vais appeler ces sages femmes, merci de t'être renseigné pour moi, merci de votre aide à tous. J'ai peut être un début de réponse quant à mon poblème, l'association dont m'a parlé Jibrail. Ce sont les seuls orthodoxe à me répondre à peu près objectivement ... " Bonjour, il n'y a pas d'obligation de traitement pour l'AZT chez lenouveau-né. Certains de nous (parents du Comité des familles) l'ontdonné pour 4 ou 6 semaines, d'autres n'ont rien donné du tout, àpartir du moment où l'accouchement s'est passé sans problème avec unecharge virale indétectable. De manière général, aucun traitement n'estobligatoire en France. Une maman qui refuse ne s'expose à rien, saufun éventuel harcèlement de l'accoucheur et/ou du pédiatre, mais l'AZTse donne par les parents à la maison, où il n'y a pas de médecin. Cela dit, il faut bien comprendre les enjeux de ce traitement. Il y a toutes sortes de délires qui circulent sur l'AZT "poison" pire que lesida. Ces délires viennent d'un groupe qui prétend que le VIH neserait pas la cause du sida. Ce sont des charlatans. Dans les faits, l'AZT n'est pas forcément pire que d'autres moléculesefficaces contre le virus. Et l'avantage de l'AZT, c'est que satoxicité est connue, alors que pour les molécules plus récentes il n'ya pratiquement pas de données. " Alors vous êtes des charlatans ??? (rires ... jaunes bien sûr) Bref, n'empêche que pour une fois, j'ai une réponse. Apparemment le traitement se fait à la maison, moi j'ai lu hier le contraire, que c'était sous perf à l'hopital ... Information / Désinformation.... !! Mais cette personne me parle d'accouchement avec une CV indétectable ... Ce qui n'est pas mon cas .... J'ai pris contact avec une femme qui n'a pas pris d'AZT durant sa grossesse, et qui fait partie de cette assoc'. On attend la suite, ne perdons pas espoir ... Bises
  12. Kill Elisa Merci de ta réponse et de t'être renseignée pour moi ... Ce que tu dis est tellement vrai, on nous fait croire qur nous sommes soutenus, en réalités nous sommes seuls face à nos questions. Pas une seule fois on m'a parlé des effets secondaires de la trithérapie, que ce soit pour un adulte ou pour un enfant. Pas une fois on m'a parlé des risques. On essaie de me vendre la tri à chacune de mes visites, et pourtant, officiellement mes résultats ne nécessitent pas une mise sous médication. On me dit texto "mais vous savez, sous trithérapie vous n'êtes plus contaminante, c'est tellement mieux ...." ... On a même osé me dire, alors que je parlais de ces personnes qui jamais ne prennent de médocs et qui se portent à merveille, texto aussi : "Mais vous savez mademoiselle, vous allez y passer, comme tout le monde ..." Je suis tellement blasée de la médecine orthodoxe, que je n'ai plus aucune confiance en elle. On fait passer la tri pour un traitement inoffensif. C'est un comble. Quant à l'allaitement, honnêtement ce n'est pas ma préoccupation principale. Si je réussi à faire éviter le traitement à mon bébé, s'il faut je n'allaiterai pas, c'est loin d'être la chose la plus grave à mes yeux, si ça peut les calmer !!! Le problème, pour te répondre et répondre à Aixur en même temps, c'est que le traitement du nourrisson se fait sous surveillance à l'hôpital. Je ne vois pas comment je pourrais faire croire que je fais prendre les médicaments au bébé. Si c'était si facile aucun problème, malheureusement ce n'est pas le cas. C'est sous surveillance, puis des prises de sang sont faites à J15, J30, et jusqu'aux 6 mois du bébé.... Je ne pourrais rien cacher. Je cherche et je cherche encore ...... Merci de votre aide ...
  13. Tout d'abord merci à tous pour vos réponses. Aixur, merci pour tes conseils, mais honnêtement je ne me vois pas fuir la France, changer de pays, avec un petit bout qui n'aura plus de repères, je ne pense pas pouvoir faire cela ... Jardinier, merci pour le nom de cet avocat, je vais le contacter. Pour tous, Le problème c'est que c'est mon gynéco qui a découvert ma grossesse. Je dois faire une écho le 9/06 pour voir si tout va bien, et par la suite il sera obligé de déclarer ma grossesse au département des maladies infectieuses où je suis suivie. Il m'a avertie de suite, il ne me suivra pas durant ma grossesse, il dit ne pas avoir les compétences ni le matériel blablablablabla. Je ne veux pas cacher ma grossesse, ni accoucher seule chez moi, je veux être suivie et voir si mon bébé se porte bien. Pourquoi me cacher, de quoi avoir honte, ou peur ? Je me sens prête à affronter la justice et à plaider ma cause, mais il me faut des armes, et un soutien médical si possible. Un médecin qui expliquerait au juge qu'un enfant peut se négativiser tout seul, et que c'est même le cas quasi tout le temps. Le problème c'est qu'apparemment il n'y a pas de loi concrète, comme l'extrait de Brume, ce sont des termes généraux, dont les médecins se servent pour les appliquer à leur propre cause. Bref. Il est certain que je refuse de fuir. Il me manque les armes, et un médecin, car ma parole n'a aucune valeur médicale. Si l'un d'entre vous juste poser la question à un médecin de son entourage, reccueillir des avis médicaux sur le sujet, sur l'obligation ou non, sur la loi précise ... D'avance merci, je vous tiens au courant .... Bises à tous
  14. J'ai envoyé un mail à l'association, voici ce que j'ai écris, j'espère ne pas m'être trop "vendue" : "J'ai "entendu dire" que la mise sous AZT d'un enfant né de maman séropositive était obligatoire. Est-ce vrai ? Si oui pourriez vous me dire quelle loi existe sur le sujet ? Si une maman refuse le traitement pour son bébé, à quoi s'expose t elle ?" Qu'en dites vous ?
  15. Jibrail L'association dont tu me joints le lien, c'est une association orthodoxe ? Je vais essayer de poser la question, mais si ce sont des orthodoxes à mon avis je vais me faire jeter, comme sur info sida service où je me suis fait banir du forum .. Merci en tout cas. Aixur, J'ai contacté une avocate près de chez moi, elle me dit qu'un juge pour enfant, s'il estime qu'il y a mise en danger de la vie de l'enfant, pourra me faire retirer la garde du bébé ... Ma question est surtout avant tout cela, comment en arrive t on au juge pour enfant ? C'est le médecin qui alerte ? Quelle loi oblige au traitement pour le bébé ???? J'ai peur, je ne veux pas qu'ils fassent du mal à mon enfant, ni qu'on me le retire, la solution c'est quoi, que je dise amen au traitement, alors qu'ils n'en évaluent même pas les risques !!!! Une femme enceinte n'a pas le droit de prendre de l'aspirine et ils veulent me donner de l'AZT ??? Ils sont tous fous, ils sont tous fous !!! Je suis vraiment désespérée ... Je ne vois pas d'issue...
  16. Bonjour à tous Je cherche des réponses à mes questions, désesperément, même de la part d'avocats, mais aujourd'hui je suis dans l'impasse, je ne sais plus vers qui me tourner, si quelqu'un pouvait ne serait-ce que m'orienter .... Je suis enceinte de quelques semaines, et ne suis pas sous médication. D'une part je n'en veux pas, d'autre part, on ne me l'a pas proposé à l'hopital, (pour moi-même car pour le moment ils ne sont pas au courant de ma grossesse) puisque mes globules blancs sensés être attaqués par ce "virus", se portent à merveille depuis deux ans, depuis mon fichu test VIH positif... Ma question est claire : Peut-on m'obliger à prendre la trithérpie au troisième trimestre de ma grossesse, puis à mettre mon enfant sous Rétrovir pendant les 6 premières semaines de sa venue au monde comme le veux le protocole ???? Quelle loi, quel obligation existe sur le sujet ??? Qu'est ce que je risque si je dis non ? Peut on m'enlever mon bébé si je ne veux pas sous pretexte d'une mise en danger de la vie de mon enfant ??? Tout le monde sait que les enfants se négativisent tous seuls lors de la formation de leurs propres anticorps, maximum au bout de 24 mois. N'est ce pas suffisant pour ne pas donner ce produit chimique à mon bébé ??? J'ai besoin d'une aide, d'un conseil, du nom de quelqu'un qui pourrait m'aider, un avocat, un médecin, peu importe .... Je me sens seule face à mon combat, je ne dois quand meme pas être la première à refuser ce traitement quand même .... D'avance merci de votre aide ...
  17. Bonjour Brume, et merci de ton témoignage. Je comprends ton point de vue, il est vrai que je suis jeune (bientôt 26 ans), mais ta réponse est à double tranchant.... En effet, il est peut être encore temps pour moi de profiter des doutes subsistant sur le sujet. Comme le montre l'actualité (déclarations récentes du pape sur l'usage des préservatifs), c'est un sujet qui met à fleur de peau l'opinion publique, c'est à dire en bref tous ceux qui ne sont absolument pas touchés par le problème (s'il en est un?), et qui aiment à prendre des décisions pour les autres tant que cela ne les touche pas. Je ne suis pas du tout optimiste sur l'avenir que l'on réserve aux séropositifs en France. Et je ne le suis pas non plus sur le sort que l'on réserve à ces femmes qui comme moi ne veulent pas arrêter de vivre parcequ'on leur a annoncé qu'elles étaient à terme condamnées à la prise d'une chimiothérapie. Les malentendus vont bon train, et pas de loi pour le moment concernant la maternité des femmes séropositives. Donc en bref, chacun fait ce qu'il veut, les médecins peuvent avertir les services sociaux si vous refusez le traitement, d'autres vous laisseront en paix (lequels j'aimerai en trouver un !!), c'est le bronx quoi ! Donc si j'attends, rien de me dit que ce flou artistique sur le sujet ne deviendra pas une dictature dans laquelle nous n'auront plus le choix. Il suffit d'une loi pour que tout se referme. En même temps, rien ne me dit non plus que la vérité n'éclatera pas d'ici quelques années, et de ce fait on me laissera tranquille, mais faut il vraiment prendre le risque? Pour ce qui me concerne, mon choix est fait. Pas de chimiothérapie pour mon enfant, c'est inconcevable ! Il naîtra en bonne santé, et ils voudraient le tuer ??!!! Ils font passer le RETRIVIR pour de la médecine douce ! Ils disent que c'est inoffensif !!!!! Quelqu'un se souvient il que lors des essais sur les souris de laboratoire dans les années 90 elles sont toutes mortes ? Bref, ceci n'est que mon opinion, mais mon choix est fait. Je ne suis pas enceinte encore, nous n'essayons pas encore, mais c'est un projet à court terme, je pense concrétiser tout cela d'ici l'année prochaine. Mais je souhaite auparavant prendre toutes les précautions nécessaires, je ne tenterai pas le diable en me disant "allez go, on verra bien !". Ce sera planifié autant que faire se peut, et je n'essaierai pas tant que je n'aurais pas la certitude que le médecin qui suivra ma grossesse me laisserai en paix avec mon enfant par la suite. Du coup je ne sais pas comment ni quand cela se fera, mais je vous tiendrais au courant ! Merci pour vos témoignages, si quelqu'un sait qui en France accepterai de me suivre lors de ma grossesse, qu'il me contacte ! Merci à tous. Bon courage... dans ce monde de fous.
  18. Bonjour Je suis à l'origine de cette question, et je vais donc vous faire part des informations que j'ai pu recueillir. Pour résumer les faits, j'ai été diagnostiquée séropositive VIH en octobre 2008. Depuis 6 ans avec la même personne, lui est négatif. En aucun cas je n'ai pu avoir contact que ce soit avec quelque virus que ce soit. Aucune drogue, aucune opération rien du tout depuis mes derniers tests (négatifs) en 2007. A peine le diagnostic officiel posé, sans avoir aucune connaissance sur le sujet ni sur la dissidence, j'étais devenue une dissidente... J'ai eu beau crier mon incompréhension, hurler l'impossibilité de ce diagnostic en ce qui me concerne, me voilà dans les rouages de la médecine orthodoxe, étiquetée, incomprise et non prise au sérieux. On m'a traitée de menteuse, on m'a dit clairement que j'étais dans le déni. On m'a dit aussi que j'avais sûrement dû me faire droguer et violer sans que personne ne s'en aperçoive, et ainsi contracté ce soit disant virus. Bref. Après la colère, est venu le doute bien entendu. "Et la dernière fois chez le dentiste? Et l'implant que je m'étais fait poser pour remplacer la pilule contraceptive? (enlevé depuis) Et si... Et si..." Puis, heureusement pour moi, mon entourage tout aussi interloqué que moi, m'a fait rencontrer des personnes merveilleuses, dissidentes, qui m'ont expliqué dans les moindres détails (au contraire des médecins de l'hôpital qui ne m'ont rien expliqué de plus que les clichés entendus dans tous les médias,je précise tout de même...) le pourquoi de leur négation de ce virus fantômatique. Pour l'info, un livre qui m'a réellement fait comprendre les choses : SIDA - SUPERCHERIE SCIENTIFIQUE ET ARNAQUE HUMANITAIRE, vraiment il faut le lire c'est très explicite. Pour préciser les choses, au moment du diagnostic, je toussais depuis 3 mois, sois disant bronchite récidiviste, on m'a shootée aux antibios pendant plus d'un mois, ce qui m'a déclenché une mycose gynéco (candidas albicans). J'ai eu des ganglions de partout (j'en ai encore mais beaucoup plus petits), et aux prises de sangs faites à l'hôpital, on s'est apercus que j'avais les anticorps de la toxoplasmose qui n'y étaient pas un an auparavant. J'étais dans une très mauvaise passe psycologique (depressive), et je pense qu'en plus de la toxoplasmose j'ai fait une récidive de mononucléose à cause de ma depression... Du coup grosse fatigue, ganglions, vomissements, amaigrissement.. et tests positifs ! En tout et pour tout, 3 tests on été faits (ELISA + W.B) en l'espace de 15 jours seulement. Et quelle ne fut pas ma surpise lorsque j'appris qu'on ne m'en referai plus !!! Oui vous avez bien lu, on ne me refera plus jamais de test à l'hôpital, ils estiment que 3 tests en 15 jours suffisent pour vous rendre positif à vie. Sans qu'aucune possibilité de positivité due aux affections que j'avais ne sois prise en compte. Je me débrouillerai donc seule, je referais des tests régulièrement. Pour l'instant je n'en n'ai pas refait, mais c'est programmé, j'irais en centre anonyme bien sur. Au moment des faits, nous parlions bébé avec mon compagnon. Cela a tout remis en cause au départ, mais maintenant nous en reparlons plus sérieusement. Quelle ne fut pas ma surprise encore une fois de me rendre compte que PERSONNE n'était capable de me dire si on allait m'obliger à donner quoi que ce soit de chimique à mon bébé une fois ce dernier né !!! Pour moi il est certain que je ne prendrais rien, mais d'après la dernière réponse que j'ai obtenue d'un medecin présent sur un site référent orthodoxe, la mise sous RETRIVIR (Variante RETROVIR moins dosée) des nouveaux nés est systématique, les parents n'ont pas le choix sous peine d'en voir avertis les services sociaux !!!!!!!! C'est une véritable aberration, pire une dictature. On va donc m'obliger le jour où mon enfant naîtra à le mettre sous chimiothértapie (car s'en est une) pendant 6 semaines. Selon leurs statistiques, 99 % des enfants redeviendraient négatifs suite à ce traitement. Ce qu'ils omettent de dire, c'est que pendant 12 à 24 mois, le bébé garde les anticorps de sa maman, ceux là même qui ont fait réagir positifs les tests. Mais passé cette période, l'enfant forme ses propres anticorps, et redevient normalement négatif aux tests. Selon eux toujours, cette proportion représente 80 % des enfants qui ne prennent aucun médicament. N'est ce pas suffisant pour tenter le coup ???!!!! Ils sont là, presque à me dire que leurs produits chimiques n'auront aucune incidence sur le corps de mon futur bébé, c'est limite s'ils n'appellent pas cela de l'aspirine ! Bref, de ce fait, avant d'entamer toute grossesse, je veux me renseigner au maximum sur mes droits, voilà pourquoi je recherche des témoignage. Ce qui m'interesse dans le témoignage qui vient d'être laissé, c'est de savoir si votre enfant a été testé positif après les deux premières années, est-ce le cas ? Quant à moi, mon regard se tourne actuellement vers l'Allemagne, pays où la naturopathe qui me suis a des contacts, qui me font savoir que pour le moment, et en apparence, de telles obligations ne sont pas pratiquées dans les hôpitaux. Laisserait-on mon bébé tranquille si je décide d'accoucher là bas ?? Pourra t il être suivi là bas pour qu'on me laisse tranquille en France ? Je n'ai pas toutes les réponses encore, mais je sais que je trouverais la solution, je sais seulement que l'idée même qu'on puisse empoisonner mon bébé alors que je m'y oppose me révolte, et je ne laisserai jamais de telles choses se faire. Merci pour votre aide, vos conseils, et bon courage à tous dans ce monde de fous !
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