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forum sidasante

steph1960

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Tout ce qui a été posté par steph1960

  1. Merci SéropoNiçois pour ton témoignage, tes encouragements et, félicitations pour ton engagement et la lutte entamée pour te sortir du piège. Impatient de suivre ton aventure. Cependant je suis triste. Triste de voir combien de gens se sentent contraints à l'anonymat dans cette histoire. Les médias ont bien travaillé au point qu'honteux, les personnes montrées du doigt par ce soit-disant fléau, en arrivent à se dissimuler, à taire leurs maux. Guérir de quoi que se soit dans une telle ambiance est rendu plus délicat. La tête ainsi maintenue sous l'eau, rarent sont ceux qui s'échapperont de la nasse. Seuls faces au système, il deviennent si faibles et inaudibles, qu'ils ne représentent aucun obstacle pour "la formule" qui continue à sévir. Leur silence sert ainsi de références à l'orthodoxie pour pérenniser. Car qui ne dit rien consent et, celui qui ne défend rien est susceptible d'accepter n'importe quoi. Paradoxalement, il est constaté que l'humain violé cache son infortune au monde et se retrouve seul à jamais lié dans ce secret avec le pire qui soit: son propre violeur. Ce dernier sait et ne fera rien pour arranger les choses, et la honte empêche de trouver la force de tout révéler, de ne plus subir la peur du bannissement. Ainsi, les toubibs sont en général les seuls avec lesquels nous partageons cette aventure. Comme le violeur, ils savent combien il nous est difficile d'en parler à autrui et, sans témoin, ils sont qu'en même plus détendus pour prescrire l'azt la chimio ou autres cacabougnas. Je me pose une question devenue légitime: quel groupe d'humains a chargé les labos et les magnas de l'agro-alimentaire d'imaginer, de créer, de promouvoir, de prescrire, de vendre, ou carrément d'imposer par lois interposées les poisons dont nous sommes gavés de toutes parts à grand coups de propagandes plébicitées ? Il flotte comme un reland de grande épuration programmée, souterraine et rémunérée dont nous sommes les victimes béates. Victimes de ces intrigues, la plupart d'entre-nous nous soucions de cacher notre état à notre entourage pour sauvegarder les apparences, contraints à l'anonymat par un système imaginé pour nous faire culpabiliser, taire et nous priver d'action. Depuis la connaissance de notre séropositivité, mon épouse d'alors et moi ne nous n'en sommes jamais cachés, à personne. Cette force ne m'a perso jamais desservie au contraire. Si notre entourage avait été mis au courant, par le biais d'indiscrétions malveillantes et que nous soyons des gens qui redoutent ses révélations, elles auraient sans doute eu des répercussions négatives que je n'ai perso jamais rencontrées en étant franc. L'énergie et la fatigue engendrées par la dissimulation, me sont plus contraignantes que de déclarer mon état. Outre les avantages de ne pas vivre dans le mensonge, notre sincérité nous a permis de trier rapidement les ensuqués des éveillés, de sorte que nous avons gagné beaucoup en ayant été par ce biais, tenus à l'écart des petites gens, et aidés et soutenus par les individus valables desquels j'aurais pu ne jamais apprécier la valeur dans une relation seulement conventionnelle. Ceci dit, je comprends la crainte que suscite la révélation de cette "atteinte" (surtout à la façon dont elle est présentée, à des individus souventes fois parfaitement sains !?!) qui s'abat comme un couperet et nous prive de vision et d'espoir sur le long terme. Je n'en veux à personne de considérer que l'anonymat préserve de la folie des Hommes. Car la personne lambda, comme celle concernée, se laissent hypnotiser à propos du sida comme sur l'ensemble des sujets majeurs. Nous sommes privés de capacité de jugement et d'initiative par la dispensation d'une éducation orientée nous empêchant de discerner le vrai du faux. Par exemple, nous en sommes toujours considérer normal de destiner le meilleur de notre génie, et la partie de nos ressources la plus grande, à l'élaboration d'armes visant à nous soumettre toujours mieux les uns les autres, alors que nous n'avons plus d'ennemi et qu'un cent mille millième de notre armement global, suffirait à contraindre les véléités des déviants n'importe où dans le monde !?! L'éternel mensonge, selon lequel les armes sont des maux innévitables, a ravagé et pourrit encore l'ensemble de l'humanité bien plus efficacement que la propagande et la guerre ménée à la faveur du sida. Nous sommes habitués à vivre dans l'incohérence et à mener des existences fondées sur des balivernes qui peuvent se transformer en guerres impitoyables qui sans que nous n'y comprenons rien nous mène à tenir le rôle de chair à cannons ou à celui d'assassins pour des intérêts insondables, irréels, nés d'esprits malades. Les évidences ont disparues et à:" Tu ne tueras point.", nous rajoutons:" à part si..." en faisant que nous n'y comprenons plus rien au niveau des postulats chargés de sevir de socles, et de piliers à nos philosophies. Des idées qui devraient faire consensus sont ainsi dévoyées jusqu'à ce que nous ne soyons plus en mesure de faire de choix et donc, d'être comme un paralytique muni de jambes parfaitement fonctionnelles mais inanimées. En d'autres termes, nous devenons hors-jeu. Gravé sur nos hépitaphes:"(pour exemple) Mort en 2010 - enterré en 2050". Quarante ans inutiles durant lesquels morts ou vifs, nous ne changerons rien à notre environnement. L'esprit privé d'infos réalistes fondées sur la raison, s'inhibe et s'empêche toute révolte. Car c'est le but rechercher: le temps que nous comprenions est déjà trop long pour permettre l'action. C'est pour cela que je prefère ressentir au lieu d'analyser sans fin des questions aux réponses innaccessibles. Je rétablis si possible mes capacités instinctives afin qu'elles soient les moteurs d'une action plus cohérente. Trop de sujets visent à nous fourvoyer par surinformation. "Plus je regarde et moins j'y vois clair" sous tend que les détails font souvent perdre la hauteur nécessaire à l'observation juste d'un phénomène. Depuis 25 ans, le plan sida a liquidé et empêché de naître des centaines de millions d'entres-nous, mieux qu'une bonne guerre qui, au lieu de coûter de l'argent en rapporte, car nous payons le poison. De plus, mieux que de prendre en ennemies des nations sans pouvoir trier le bon vin de l'ivraie, les "incapables" des gens productifs qui indifferemment tombent sous les bombes, le virus du sida a pour cible une population bien déterminée à atteindre, et épargne "les gens sains" (selon Machinchose) et, par journaux écrits et télévisés interposés qui rabattent le chaland, un engouement prend forme à l'idée d'utiliser des drogues bien que d'une nocivité inconnue contre le fantôme qu'il est devenu. Sans posséder le temps ou/et le savoir nécessaires à la contre-expertise des infos dont "ILS" tirent des lois, nous faisons confiance aux "spécialistes". Mais, pas à tous les spécialistes. Ceux qui ne recherchent que la vérité sont exclus des grands médias, et sont promus ceux qui n'ont pas de respect d'eux-même et en conséquences, prêts à travestir la vérité, soumis par le souci d'apaiser la pression de l'ortodoxie qu'il subissent aussi, sous une autre forme que nous. Les victimes de cette tragédie se trouvent d'un bout à l'autre de la chaîne humaine qu'ils constituent pour le compte peut-être d'une force que la souffrance humaine indiffère car elle n'en fait pas partie... A plus et bontoujours à tous.
  2. Merci Aixur pour ta sollicitude. Tes conseils et mises en garde sont des aides précieuses. En fait j'ai commencé les anti-coagulants aprés 4 ans de tri qui m'avaient secoué les artères, en 2004 suite à un infractus. Ma séroposiivité fut révélée en 85, 5 à 6 ans aprés le déclenchement et le guérison de mon hépatite C, et suite à 2 ans d'incarcération durant lesquels je ne pouvais m'infecter. Donc, si infection il y avait, elle daterait d'avant 84. En tant que tox de 79 à 83 à l'héro et au sheet... (et au subutex depuis 2000 stabilisé à petites doses de 0,4 mg/jour à 2 mg/jour avec une pointe en 2012 à 3,6mg/jour actuellement passées à 2,4. Le subutex me dope mais, à doses stabilisées, il pallie juste au manque qu'il génère et comme je connais l'effet d'escalade, je tente en permanence de réduire les doses ce qui me met sur la corde raide du manque tous les jours. Trés difficile d'y renoncer de soi-même surtout que s'en procurer est convenu par nos sociétés qui ainsi "sociabilsent" (par camisole chimique) un pan de la population, qui finissaient en prisons ou en psy quand ils deaient voler pour leur drogue, et qui aujourd'hui ont un emploi et paient l'impôt), ...et vu les déclarations qui concernaient le sida de la part des instances médicales soutenues par une palanquée de médias, j'étais préparé à être positif et c'était le cas. Ton post m'est précieux car je découvre que les anti-coagulants et le lescol sont tout aussi nocifs que la tri. Le Dr de Harven m'avait mis en garde contre les statines et je croyais ne pas en consommer j'usqu'à tout à l'heure quand j'ai fait une recherche sur le Lescol et le plavix que m'a inspiré ton post. Le lescol contient en fait des statines, et je pense que comme me le soulignait le Dr de Harven qui me précise être lui-même victime de faiblesses aux jambes, dûs aux statines, que la cessation du traitement ne lui permet pas de récupérer ! Donc, plavix (dont les bénéfices sont loin d'être prouvés) suite à la pose de stents (j'en ai 2) met en danger d'hémoragies létales (rien que ça...) lescol quant à lui, endommage les muscles striés en les affaiblissant de façon chronique même après l'arrêt du "traitement"...de choc, pourrait-on rajouter. Bon, je pensais avoir fait le plus dur en étant bien avancé sur le sevrage tri, voilà qu'à présent je dois trouver les moyens de me défaire des cachets pour le coeur qu'en plus, ils m'ont délivré en me soulignant le fait qu'en cas d'arrêt du traitement je risquais l'infarctus. Pour susciter l'angoisse et lever l'envie de chercher d'autres solutions, il n'y a pas mieux que ce genres de mise en garde. Les bonnes âmes ayant déjà affronté la situation, seraient bien bonnes de nous livrer leurs ficelles pour transformer l'obstacle en tremplin dans cette situation, s'ils ont su la négocier pour en sortir, et d'avertir sur les pièges à éviter s'ils en sont encore victimes. Bon, les défis à relever ne manquent pas et leurs cortège de problèmes avec. Mais, puisqu'une éternité nous attend durant laquelle nous serons dépouvus de problème, de mal aux dents, profitons d'avoir l'opportunité de pouvoir les affronter. Ils prouvent notre existence, notre réalité, et font de la vie ce qu'elle est, une aventure: d'un suspence digne des meilleurs thrillers; avec plus de drames que dans une piéce de Shakespear; davantage de joies que sous le châpiteau d'un grand cirque et que nous aimerions transformer en une série qui ne finit pas. C'est parti pour de nouvelles aventures. A l'assaut de lescol et plavix. Merci encore Aixur. Bontoujours et longue vie.
  3. Aixur, j'avais déjà pris connaissance de tes recherches et de ce qu'elles t'ont inspirées concernant les corticoïdes et leurs effets délétères, comme je l'ai fait je pense, pour tous les sujets développés ici. Ils sont des références, une source de réflexion rare en France, et la compil des témoignages de ce site devrait suffire à éveiller... Ce n'est pourtant pas le cas car l'ensemble des grands médias (ils deviennent grands dés que soumis) poursuit l'objectif de nous faire douter des évidences. Ainsi, alors qu'absolument personne n'a découvert le virus du sida, la majeure partie de la planète pense le contraire !?! Et 30 ans auront été nécessaires pour qu'un petit groupe de dissidents (dont nous sommes) en arrive à énoncer et à répertorier clairement les incohérences d'une évidence désarmante. Pourtant la communauté scientifique les a soutenus et les soutient encore malgré toute attente. Des acharnés. Pourtant quand le Dr Duesberg en 85 avançait (déjà) suffisamment d'arguments fondés et pertinents pour éviter de sombrer dans le catastrophisme dans lequel nous nous sommes égarés concernant le sida, les grands médias le boudèrent et je n'en avais jamais entendu parler avant 2011. A l'inverse, le flots d'infos quotidiens me rappelant le danger du fantôme, n'a lui jamais faibli et, à coups de milliards de dollars m'a instillé une peur vicérale de façon à ce que j'adhère au concept sans capacité de discernement. Et ça marche encore. Aveuglés, hypnotisés, nous sommes plus enclins à nous fier à celui qui semble avoir raison. Le dommaine scientifique a comme avantage, pour les manipulateurs, de ne pouvoir être évalué par les masses obligées de croire à ce que l'orthodoxie "affirme" (car elle doute rarement et de façon péremptoire ausculte, analyse, diagnostique et ordonne) dans ses conclusions. Parvenir à abuser des peuples au point de leurs ôter toute capacité de discernement nécessite de contrôler l'ensemble des médias d'importance et, sans que je connaisse précisément la liste des propriétaires des grands groupes de communication (peu importe), je sais à l'avance que nous y trouvons des oligarques patentés en charge d'une des missions parmi les plus importantes: la quête à l'hégémonie ! Les preuves du fait que le sida est une vaste escroquerie sont légions et ne parviennent pourtant pas à faire l'unanimité. Une seule attitude suffit à m'alerter puisqu'incompréhensible hormis si j'intègre l'élément complot à la réflexion. Lorsque j'ai désiré stopper le premier traitement épivir retrovir, pourquoi le doc ne m'a-t-il pas mis en garde sur les dangers d'un sevrage bloc en me laissant le stopper du jour au lendemain alors qu'il ne pouvait ignorer les effets délétères dont j'allais être victime ? 8 mois plus tard, j'avais soi-disant un sida déclaré ! 4 mois après, j'étais, physiquement un légume, et mentalement prêt à mourir. 13 ans plus tard et fort de l'explication des effets catastrophiques qu'engendrent l'arrêt brutal des antibios, anti-inflamatoire et autre corticoïdes, je comprends que mon soi-disant sida leurs ressemblait comme 2 gouttes d'eau. Pourquoi le toubib ne m'a pas prévenu... Tout ce site l'explique bien comme bon nombre d'intervenants ou Nexus, Dr De Harven et tant d'autres encore. Profits en tous genres pour étayer des plans dans les plans auxquels les peuples participent dans le rôle des victimes consantantes et même reconnaissantes comme je l'ai été. L'évidence est là, la vérité toute nue. L'ortodoxie est donc contrainte à une escalade de mensonges et d'abus cyniques qui semblent sans limite pour d'abord continuer à sévir, et à présent, justifier l'injustifiable. Justifier et plus encore reconnaître les actes délictueux commis par nos instances publiques devient inenvisageable tant les horreurs qui en ont découlées font penser à une véritable éradication programmée des "anormaux" qui, aux yeux d'un groupe fortuné, sont représentés par les toxicos, les homos et autres pros du sexe qui ne cadre pas avec la société proprette qu'ils se figurent édifier. Bien que les tests hiv donnent des résultats dissemblables selon les labos, qu'ils soient lus différement d'un pays à l'autre, la population n'y voit que du feu et à l'annonce (pour le moins précipitée dans ces conditions) d'être porteur d'un virus mortel, la mèdecine, au lieu d'émettre les doutes de circonstances (par exemple le fait que des dizaines d'aures maladies font réagir positif ce test) s'empressent de vous préparer à vous traiter. Nous imaginons aisément combien de gens sains ont vu leur existence basculer dans un gouffre sans fond en ayant été désinformés, déclarés malades et considérés comme tels par la société alors qu'ils étaient sains !?! Et ces charges virales censées mesurer la quantité d'un virus jamais identifié !?! Rien que ça. C'est pour ma part cette analyse qui m'a fait craquer et succomber à la tentation de la tri. Oui, je ne sais comment, en moi, les infos telles que diffusées, ont faites cheminer l'idée de prendre la tri, mais le résultat est là: à 53 ans, aprés 13 ans de traitement apparement innocents, tout à coup mes muscles ne veulent plus rien savoir et la solution proposée est de changer de pillules pour réparer les désordres et en provoquer de nouveaux. Et dire que je me considérais comme averti (témoin que l'AZT était un poison violent qui déglinguait tout mes copains et amis) et méfiant (puisque cotoyant le milieu médical de prêt par filiation)! Alors j'imagine que le citoyen lambda (hémophile par exemple), qui s'est retrouvé mêlé à cet embroglio et ne disposant que des éléments des médias populaires pour se faire une opinion, n'a pu qu'obéir aux injonctions de la mèdecine car il est dit qu'agir autrement l'exposait à la mort et mettait en danger autrui. Nous sommes contaminants bien que tout affirme l'inverse: mon fils et sa mère séro- en sont les preuves vivantes. C'est connu, plus est gros le mensonge... Le comportement adéquat, la posture du vivant en osmose qui se respecte et respecte, apparaissent comme des réflexes naturels, incrits dans nos gènes, et ne s'embarassent pas d'hésitation. Ces sens grégaires que nous utilisons de manière désordonnée, et qui malgré tout dominent nos vies, sont faciles à déstabiliser. Sachant que nous ignorons grosso-modo tout du plan universel qui nous gouverne, il serait logique de remettre en question chacun de nos actes, la plus infimes de nos pensées. La définition du bien et du mal n'étant pas tranchée à cause de notre ignorance, nous sommes dépourvus d'élément cruciaux pour déterminer ne serait-ce que notre utilité dans l'univers. L'un pensera que nous ne sommes que des parasites nuisibles destinés à infecter notre environnement comme le fait le cancer dans notre organisme; un autre, que nous sommes la quintessence de la création, façonnés pour un destin fabuleux auquel la nature oeuvre depuis près de 15 milliards d'années. Seul un oracle "un vrai s'il en est",pourrait prétendre répondre car nous n'avons pas le recul suffisant pour nous situer dans l'infini de l'univers. Nous avons donc plus de chances en nous fiant à des instincts qui ont fait leur preuve, permettant à l'ensemble du vivant de pérenniser, qu'en tournant et en retournant chaque atome pour le disséquer. De cet état de fait, et le constat que nos cerveaux sont d'une maléabilité surprenante, certains ont compris qu'il était facile de nous fourvoyer au point que les évidences et les réalités peuvent nous être implantées en désactivant nos réflexes par la distraction. Et à présent, dans le détail, en cherchant bien, en prenant quelques grands spécialistes de la question pour nous le faire comprendre, les vessies ressemblent fort à des lanternes finalement. Nous en ririons si ces affirmations n'étaient pas létales. Mais combien d'humains ont subi et subissent des drames sans fin et injustifiés à cause de tels agissements ? Tout est déjà dit et mieux que ça, prouvé. Prouvé le fait que nous n'avons jamais vu la tête de ce virus et partant de là, sûr que nous ne la verrons jamais. Mais pas besoin d'exister dans la réalité du moment qu'il est présent dans nos esprits, le seul endroit où nous le trouvons et où il se duplique... voilà surtout pourquoi il nous est présenté comme indestructible. La chimie n'opère pas sur une idée ! La vérité est que nous n'avons besoin de plus de preuves pour faire se désagréger ce mythe car: IL N'Y A PAS DE VIRUS DU SIDA et, comme l'ortodoxie continue à propager l'idée du contraire, à ne pas informer de façon claire, haut et fort, sur toutes les nouvelles données compilées par des spécialistes indiscutables et sur les expériences vécues par des millions de patients, elle souligne, s'il en est encore besoin, toute sa mauvaise foi ! Mensonges, effrontés, avec l'aplomb des intouchables qui ne craignent aucune justice. Ils se jugeront pourtant tout seuls et se condamneront à la sentence qu'au fond d'eux-mêmes ils savent mériter. J'en entends d'ici penser: "Ces individus n'ont aucun remord ni culpabilité et qu'il est illusoire de croire qu'ils s'auto-sanctionnerons... Et bien, je ne le pense pas. L'un développera un cancer, "s'accidentera" ou tombera dans la déprime sans comprendre que c'est la présentation de l'addition. Et, au moment de partir, comprendront ou pas qu'ils n'ont jamais eu accès à la panacée, à l'émotion suprême que représente la capacité d'être en accord avec soi. Nous sommes tous formatés pour nous épanouir dans l'amour de l'autre et hors-jeu en en abusant. A tous bontoujours.
  4. Excusez mais il manque: "...une journée..." dans la phrase:" Après avoir tenter de le rendre, (en parlant de l'issentress), j'ai passé UNE JOURNEE plutôt speed."
  5. ... auquel rien ne se substituera jamais à part une chimie aux effets ressemblants. Selon que l'angoisse de la vie soi plus ou moins forte chez les individus, ce style de drogues deviennent des pièges qui transforment la vie en enfer. En voulant nous soulager de nos angoisses qui n'avaient rien à voir avec la drogue avant que nous en prenions, nous ajoutons à nos maux celui de l'addiction et de ses contre-coups. L'histoire est connue. Le sevrage de la tri à des effets sur l'attention et je me sens troublé au plus profond de mon être, presque comme si je devais résister à une perte de concentration. Les pensées vaporeuses et volages qui vont et viennent en me faisant m'activer de façon plus désordonnée qu'à l'accoutumé m'ont perturbé durant les 4 premiers mois. Un jour d'innatention alors que je ne gobais plus qu'un quart d'issentress selon mon programme de sevrage, en discutant, j'ai machinalement gobé le comprimé entier. Aprés avoir vainement tenté de le rendre, j'ai passé plutôt speed . Les jours suivants, j'ai eu l'impression d'avoir provoqué une regression et de nouveau d'être troublé par des confusions. Il y a déjà 1 mois et demi de cela et j'en sors à peine. Peut-être rien à voir, il peut s'agir de toute autre chose que de se surdosage et en tirer références serait pour le moins hasardeux. Cependant, dans ces moments, mieux vaut ne pas avoir de grandes responsabilités, un entourage à l'écoute et respectueux pour augmenter ses chances de succès, et un site sur lequel échanger comme ici. A+.
  6. Salut à tous et merci à Aixur pour tes précisions. Comme traitements annexes Lescol 80, Plavix 75 et apirine Protect 300 depuis 84 suite à un infarctus et Subutex 2,4 mg / jour depuis 2012 alors que je plafonnais à 0,8 mg / jour depuis 2000. L'an dernier quand mes muscles m'ont lâché, j'ai augmenté la morphine pour tenir le coup jusqu'à 3,6 mg / jour. La réduction du dosage que je m'impose se répercute sur l'humeur plus que sur des douleurs physiques. Quasi mêmes effets que l'héro. En manque, la déprime déchire. Mais à présent que la morphine est prescrite sur ordo, que les toxs sont sociabilisés, il devient plus aisé de se sevrer de part le fait que les cachets de Subutex les plus faiblement dosés à 0,4 mg (en plus sécables) permettent une réduction des doses assez subtiles pour ne brusquer ni le corps ni l'esprit. L'arrêt total est une autre paire de manche. L'héroïne laisse dans l'esprit une empreinte indélébile. L'appaisement et la désinhibition sous son emprise provoquent une addiction éternelle auquel rien ne se substituer
  7. Salut à tous. Merci pour le soutien et les encouragements Cerise. Dans un monde où tous nous passons notre temps à vieillir puis à mourir, il est facile pour un toubib de voir en nous des patients latents qui s'ignorent, et de nous le rappeler pour tirer partie des plus vieilles et plus profondes peurs des Hommes, en se disant capables de nous assurer la santé. Les stromatolites pour pérenniser 3 milliards et demi d'années n'en consultent jamais. La nature a bien fait les choses et il me semble ne pas être démuni au regard du vivant qui m'entoure. La "barre" de la santé ou de l'handicap se situe où pour un humain ? Nous sommes les preuves que les handicaps sont des tremplins, et l'adversité, un engagement au dépassement de soi. Tout concourt à démontrer que la mèdecine conventionnelle fait l'impasse sur l'intengible et la force de notre esprit qu'elle tend davantage à manipuler qu'à éveiller. Rendre dépendant plutôt qu'autonome garantit de pouvoir parquer et contrôler la masse. La mèdecine, comme l'ensemble de nos sciences, s'accordent sur le fait que l'état actuel de nos connaissances est comme nul, que les certitudes du jour deviennent ridicules et obsolètes le lendemain. Dans ce contexte, la mèdecine affirme elle, avec une effronterie inquisitionnelle, savoir comment doivent se comporter, se soigner, s'alimenter, et vacciner l'ensemble de la population qui ne sert en réalité que de sujet d'expériences. Car ils ne savent rien, tâtonnent, recopient ce que la nature fait depuis toujours mais avec la maladresse du bambin qui découvre et casse ses jouets, nous, et eux-mêmes, par ricochet... Car il semble qu'abuser de l'autre ôte l'accès aux satisfactions les plus belles qu'engendrent le respect de soi et d'autrui. Nous sommes nos propres témoins, juges, avocats et bourreaux et nous ne nous laissons rien passer. L'entretien et la culture de notre stature personnelle, l'édification au quotidien de l'estime que nous nous accordons réclament de se faire dans l'alliance et non la défiance pour éprouver un bonheur fondé sur l'amour de soi et donc de son espèce. C'est dans ce climat que l'humanité évoluera car d'en avoir eu la vision et l'intention depuis des lustres, au travers des religions d'importance qui l'implorent voire l'ordonnent, nous nous défairons de l'instinct de meurtre et saurons jouir au mieux de ces réceptacles inouïs: nos corps et nos esprits ! En sur-informant de façon à ce que la vérité devienne floue, les instances dirigeantes des pays industrialisés en sont arrivées à pouvoir faire ingurgiter ce qu'ils voulaient aux populations. Nourriture physique ou intellectuelle, nous gobons tout en croyant souvent syntoniser l'info et "ne pas se laisser avoir"... (comme le cocu dernier au courant...). Ainsi, malgré qu'assymptômatiques de 85 à 99, en pleine forme; tenu par chance à l'écart des protocoles (qui tuaient tout les toxicos de mon entourage); devenu père en 92 d'un fils sain comme sa mère (aprés douze ans de rapports non protégés) et qu'en conséquences je m'étais dit:"jamais de traitements..." voilà qu'en 99 j'ingurgite épivir rétrovir vendus à la faveur d'une analyse comme "ils" s'en gargarisent, et d'une période de vague à l'âme qui environ 1 an plus tard se transforme en cauchemar. Aprés 13 ans de bons et loyaux services aux profits de l'humanité en tant que cobaye, le mal aux muscles qui refusent de me porter et mon ouverture sur l'info me font réagir. TOUT A L'INSTINCT ! Notre instinct est parasité et nous nous en remettons au groupe. A mon sens, en une fraction de seconde nos cerveaux savent ce qui est bon pour leur présent et leur avenir. Nous décidons de vivre ou pas. Quand j'ai gobé ce poison d'AZT, mon envie de vivre devait être faible et il a été simple à la science de me récupérer pour ses expériences et le confortement de sa position. D'autres que moi qui à ce moment désiraient vivre dvantage, ne se sont pas laissés berner par le processus qui les aurait mené à devenirs des sujets d'analyses. Mon ex-épouse d'entre 85 et 92, tenue loin des protocoles (séro+depuis 85), m'a déclaré avoir négativé aprés plus de 20 ans de soi-disant infection qu'un test vih avait décelé ! Jamais un traitement et pas malade qui négative... une de plus... Même à des épidémies de peste beaucoup survivent contre toute logique si ce n'est je crois la protection née d'une saine image de soi. L'individu est convaincu de mériter la vie et ... il en réchappe ! Nous avons bien compris que la culpabilité nous handicape, un outil largement utilisé lorsque nous manipulons. Tous les médias de masse nous l'expliquent: "il faut que nous comprenions de gré ou de force que nous sommes une espèce malfaisante qu'il convient d'éduquer", bien entendu, à la façon choisie par les plus pleutres (et donc aux commmandes des affaires) d'entres-nous, auxquels le hasard du destin a délégué la responsabilité de gouverner. Nous sommes télé-guidés afin de nous défier les uns des autres. L'hégémonie des olligarques du moment en dépend. Mais,TOUT EST DANS LA TÊTE, et nous pouvons décider de vivre ou pas. Notre esprit est maître à bord. Les pensées changent la nature et la chimie de l'eau de la même façon que notre corps module son état en fonction d'intentions qui s'imposent, cela sans longues expertises, mais d'un prompt jugement. Pour ma part, C'EST A L'INSTINCT que je me fie, lui que j'aiguise et auquel je tente de redonner sa pertinence que mon éducation et l'info invasive musèlent. La culture et la curiosité l'alimentent et le peaufinent en le rendant plus sûr encore. Le dernier Nexus traite d'un sujet qui souligne la puissance de l'esprit capable de faire survivre le corps sans se nourrir comme il est d'usage pour un humain de le faire. Ce que nous consommons serait une source d'énergie grossière qui pour être digéré, épuise nos corps. Une source d'énergie comme la lumière ou le prâna (énergie tirée de la respiration de l'air) pourrait suffire à nous alimenter d'un carburant moins délétère que ne l'est le vivant. A suivre ces adeptes du prânisme dont la pratique révolutionne la conception de biens des acquis que nous pensions intransgressables comme ne plus manger...!?! Le degré de confiance que nous nous accordons comme celui que nous accordons aux autres, dépendent selon moi de nos croyances et de l'intensité que nous mettons à les soutenir, de l'enthousiasme qui nous gagne quand nous y adhérons et pour parvenir au tour de force qui consiste à ne plus se nourrir, il convient d'y croire et de voir le chemin qui conduit à relever pour oeuvrer. Nos pensées créent l'univers (comme le démontre le petit dessins animés sur: "La nanotechnologie pour les nuls". La meilleure santé est acquise par l'amour de soi et la maladie frappe souvent à la porte de ceux qui pensent à tort ou à raison, avoir été mal aimés, une situation qui se traduit par une piètre estime de soi. Le pouvoir de guérison est donc à rechercher loin de ceux pour lesquels nous ne sommes que des étiquettes, car cette pratique nous dimunus et eux aussi. Les rémissions des maladies les plus graves sont constatées partout à travers le monde. Elles devraient devenir la norme tant nous progressons en matière de réparation neuronales et savons influencer, en bien comme en mal, la quasi totalité des humains s'ils souhaitent mieux savoir apprivoiser leurs angoisses plutôt que de les subir dans un monde qui tend à les exacerber ? Mais avec 2 millions d'enfants de plus chaque semaine sur terre, dont environ la moitié ne sont pas souhaités, l'heure n'est pas à la pérennisation de notre espèce mais plutôt à sa purge. Le sida a été et est, je pense, un outil comme un autre visant l'entretien du processus de ralentissement de notre démographie. Les eugénistes n'ont jamais été plus puissants. Ils n'ont été que ralentis par les extravagances d'Hitler dont la laisse à casser. Obligés de faire profil bas quelques décénies pour revenir plus fort avec de nouveaux gadgets stérilisants qu'à grands renforts publicitaires ils vont déverser sur le monde. En ce moment est sorti le Red Bull. Vous ne pouvez pas ne pas connaître cette boisson pourtant toute jeune. Son logo qui ressemble étrangement à une tête cornue diabolique entourée de flamme est présent partout où l'oeil de la jeunesse se pose. Le propriétaire de la marque, un autrichien... sponsorise à coup de centaines de millions d'euros (ce doit représenter 100 fois ces recettes mais: "mêm' pas mal") tout ce qui fait de l'audimat et tout cela soi-disant pour que ça pétille sur nos papilles !?! Il aurait davantage gagné et de façon moins riquée à acheter des parts dans Coca-Cola, mais non ou, Nan ! L'autrichien semble s'être dit:"NAN !Je veux sortir mon soda à moi ! Nan et re Nan, (avec le timbre infantin). Je n'y crois pas et crois plutôt qu'avec Red Bull et Coca l'effet stérilisateur se cumule et 2 stérilisants valent mieux qu'un. Peut-être un délire, mais quand je vois ce logo qui fini par crever les écrans et à pénétrer aussi profondément les esprits hypnotisés, je n'arrive pas à croire que l'objectif soit seulement celui de nous désaltérer agréablement. Des milliards pour vendre du soda quand des millions de nos semblables sont privés de puits et d'eau à en crever !?! Et les sportifs qui jouent le jeu sont des marionettes aveuglés par leurs propres exploits, victimes d'une société qui réclame de substituer la violence au respect pour survivre, même mal dans sa peau... La purge est rondement menée et débouchera sur une nouvelle humanité qui aura à coeur de tourner la page sur ses origines, sur nous, qui la subjuguera par notre barbarie. Quand au fond de moi instinctivement je me sais méritant, la maladie reflue et mon âme est légère. Lorsque j'ai fait preuve de mauvaise foi en ayant pas su donner le meilleur de moi, je deviens vulnérable à tous les désordres que l'existence ne manque pas de faire survenir. Maladies, accidents, malchances et opportunités sont les reflets de nos états d'esprit et bien que la déchéance accable l'humanité, le sublime est tout aussi présent en chacun de nous. A tous, bontoujours.
  8. Pour qu'il n'y ait pas de méprise. Excusez mais en me relisant, je crains de n'avoir donné l'impression que le Dr de Harven m'aurait conseillé de me sevrer. Ses propos furent clairs. En aucun cas il ne s'était positionné en thérapeute me prévenant que tel n'était pas son rôle. Il m'a en revanche conseillé de m'instruire et de m'informer pour me faire une idée par moi-même et m'a donné les liens qui traitaient du sida d'une façon différente de celle des médias de masse. Comme je sais lire, c'était largement suffisant pour me clarifier la, et ma situation, bien qu'il ait cru bon de me gratifier du conseil consistant à visionner "Le Dr Knock" avec Jouvet, pour ne pas oublier la thérapie par le rire, la seule qu'il s'autorise d'ordonner.
  9. Salut à tous les intervenants du site “”sidasante” sur lequel je ne suis plus parvenu à me connecter sous le pseudo: “sourdon”. Faut dire que je rame en informatique et devant un mot de passe récalcitrant, j’en ai été réduit à me réinscrire sous le pseudo: “steph1960”. Les effets secondaires de 12 ans de thérapies HIV ininterrompues, conjugués à la lecture de Nexus, la découverte de votre site et une correspondance avec le Dr de Harven; m’ont convaincu l’an dernier, d’entamer un sevrage progressif. L’expérience pouvant bénéficier à d’autres, j’en ai posté le récit sur ce site. Ce serait bête que la communauté pense que je n’ai pas survécu au sevrage à cause d’un silence involontaire car pour l’instant ça tient. Voilà plus de 10 mois que je réduis les doses ( isentress prézista norvir ) en respectant les temps de prises. Mêmes comprimés aux mêmes heures avec une quantité réduite de 2 mois en deux mois font que depuis 2 mois, j’en suis à une dose ridicule que mon instinct me pousse encore à consommer... Peut-être surestimè-je le pouvoir de nuisance de cette chimie élaborée pour ne plus que nous nous en défassions ? Le souvenir de mon premier sevrage de rétrovir épivir en 99 déclencheur de: pneumocystose, cmv et encéphalite, (alors qu'à 40 ans et 15 ans de séropo asympthomatiques sans traitement je n'avais jamais été malade), me fait faire preuve d'une prudence sans doute exagérée. Je continue donc à consommer la thérapie à d'infimes doses le temps d'optimiser mes chances de réussite en m'alimentant et en vivant d'une façon plus saine que je ne le fais en ce moment. Tromper le mécanisme qui prévoit que nous tombions malades dés l'interruption des prises de cachets réclame une vie saine difficile à mettre en place pour ce qui me concerne. Fin novembre je passerai à l’arrêt complet et verrai si la partie est gagnée. En tous cas, pas de fièvre ni infections opportunistes (hormis une grippe qui, l’hiver dernier, a frappé la famille sans distinction et s’est soignée d’elle même) mais: des troubles de la concentration; confusion; idées noires; manque d’appétit, articulations douloureuses; crampes sont les désordres rencontrés. Les avantages: encourageants. D’abord de constater que l’infection ne m’envahit pas malgré la réduction drastique des doses; que les muscles sont moins faibles; urines plus claires; le fait que ses résultats ne sont pas les fruits d’un programme nutritionnel optimal me laissent encore une marge de progression ainsi que mon hygiène de vie grandement améliorable... Donc, l’expérience pour l’instant m’incite à poursuivre ! Pour info aux inquiets de l'hépatite C, je crois avoir conté mon histoire à ce sujet et pour rappel, en 80 j'ai été hospitalisé en urgence pour risques d'hémoragie avec 3400 de transaminases et un taux de coagulation à 34% pour une hépatite C . Seul le repos m'avait alors était prescrit, pas même de régime alimentaire particulier et en 3 semaines j'étais sur pied. Ensuite ( années 2000) des tests ont dit que j'étais positifs aux 5 hépatites A,B,C,D,E, et que la C était chronique! Je ne savais pas qu'il y avait tant d'hépatites et n'avait surtout rien senti ni développé durant les 20 ans que mon foie m'avait laissé tranquille. Un temps je croyais avoir des douleurs au foie qui n'étaient finalement que des douleurs intestinales disparues en allant tout simplement aux toilettes à heures régulières. Jamais je ne me suis plus soucié de mon foie (plombé par presque un demi kilo de comprimés chaque mois depuis 13 ans) et vu les dommages causés par de l'interféron et autres joyeusetés pour une maladie que le SOMMEIL SOIGNE, je suis heureux d'avoir échappé à ce piège là. A bientôt et bontoujours à tous. Stéphan.
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