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forum sidasante

MTE

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Messages posté(e)s par MTE

  1. Non je t'assure que je suis ouvert d'esprit, et seule la recherche de la vérité m'interesse. Comme je vous dis j'essaye de prendre en compte ce qui me semble cohérent, et ce qui ne me le semble pas. Et effectivement, il me semble que dans la théorie officielle il y a des choses cohérentes, et d'autres beaucoup moins explicables et beaucoup plus étranges.

    Dès lors je donne aussi mon avis, et c'est également dans mes objectifs de voir ce que les uns et les autres peuvent répondre face aux arguments officiels.

    Donc dans pour votre témoignage, ça ne me parait pas totalement incompatible avec la théorie officielle, mais interessant néanmoins.

  2. Quoi qu'il en soit pour ma part, j'essaye de voir les choses de manière pragmatiques et avec les moyens de vérifications qui sont à ma disposition, c'est à dire comme pour la plupart d'entre vous : peu de moyens. Entendre les témoignages, lire les études, écouter ceux qui disent les uns et les autres, orthodoxie et dissidence.

    Et je n'arrive toujours pas, (si tant est que ce soit possible un jour), à trancher...

    D'un coté je constate des choses, comme le témoignage de mon pote dont j'ai parlé plus haut, et qui me font dire, malgré les tergiversations un peu "exagérées" que j'ai pu lire ici, que la théorie officielle et vraie, et qu'il a bien été contaminé par ce rapport. Il allait se faire tester très régulièrement, a toujours été négatif. Et suite à un rare rapport receptif non protégé, il a eu un épisode infectieux, et a eu une séro conversion comme l'indique la théorie officielle. J'ai un peu du mal à avaler les arguments qu'on me donne, du style c'est à cause d'un "paracétamol"... Bref...

    Et d'un autre coté, je suis bien obligé de constater qu'il y a de nombreuses failles, incohérences, aberrations dans la théorie officielle. Aberrations qui ont certainement conduit un gars comme Montagnier à en arriver à dire que le VIH peut s'éliminer avec un organisme en bonne santé, ou qu'il faut des co-facteurs, car il constate bien que le vih seul ne détruit pas les cd4.. etc etc...

  3. MTE

    dans mon cas, test positif en 2004, pas de traitement

    celà fait 3 ans que nous avons des rapport non protégés avec mon mari.( je précise qu'il a su pour mon test avant le premier rapport)..il a fait un test par curiosité il y a un peu plus d'un mois: négatif (j'ai dj rencontré une personne dans le même cas après plus de 10 ans de rapport non protégés)

    Pour moi, une explication est à trouver dans le sens des maladies, ce qu'elle vient nous apprendre ( voir la métamédecine par exemple)

    autre chose, je me défini jamais comme séropositive, mais comme ayant eu un test positif...je trouve important de ne pas s'identifier à ce résultat ( c'est valable pour tout d'ailleurs)

    bonne soirée

    Merci pour ton témoignage interessant. Mais à vrai dire, même si on s'en tient à la théorie officielle vih/sida, je ne suis pas tellement surpris de cela. Pourquoi ? Tout simplement car il n'est pas évident de transmettre de Femme à Homme, et je crois avoir compris que tu es une femme ??

    Effectivement, ce n'est pas l'homme qui reçoit le sperme dans la relation hétéro... Et si tes sécrétions vaginales sont potentiellement contaminantes, il faut encore qu'il ait des petites lésions au niveau du pénis, ce qui n'est pas systématique non plus., ou que la quantité de virus ne penetre pas en assez grande quantité (argument souvent employé par l'orthodoxie et pas forcément stupide en soi). Surtout pour ceux qui sont circoncis, ou le gland devient plus "resistant". Je ne sais pas si c'est le cas de ton conjoint.

    Donc probablement que sur le lot d'hétéros il doit y avoir pas mal dans le cas de toi et ton mari, et même comme je le répète si la théorie officielle était vraie.

    Cela montrerait simplement que comme "prévu", le mode de contamination le plus "facile" reste la sodomie passive, où là la paroi étant particulièrement perméable, vu que c'est son role, la contamination est facile, d'où le nombre d'homos contaminés. Ce qui est là aussi est assez logique, si on admet vih>sida de la manière officielle.

  4. Par exemple, dans la partie diagnostics erronés, on peut penser que la plupart des tumeurs n'auraient en réalité pas conduit du tout à la mort. Si les gens meurent, c'est à cause d'une part de la chimio, mais encore plus à cause de la morphine donnée pour atténuer les douleurs ou quand on estime la personne en fin de vie. Il suffit de voir le nombre énorme de gens qui étaient en bonne santé; qui ne ressentaient absolument aucune gène lors de la découverte de la tumeur, dont le traitement a soi-disant fait régresser celle-ci de 20 ou 30 %, et qui meurent malgré tout. Il est clair que seul le traitement peut les avoir tués.

    Oui, ça très probablement juste. D'ailleurs, y'a une étude officielle qui l'avait reconnu concernant la prostate. Il était question de remettre en cause le dépistage systématique à partir d'un certain age pour le cancer de la prostate, car de très nombreux cas en avaient, mais ne se developpait jamais..

  5. La medecine occidentale reste quand même une medecine exceptionnelle en ce qui concerne la chirurgie, l'urgence, la réanimation etc. Je suis en revanche beaucoup plus réservé sur tous les medicaments chimiques qu'elle prescrit...

    Mais si on va chercher par là, à moins d'avoir une consommation industrielle de médicaments sur la durée, je pense pas que les méfaits soient plus importants que la merde qu'on bouffe toute la journée. Nos bouffes sont pleines à craquer de pesticides et de produits chimiques en tout genre. Ce qu'on respire aussi, et l'air plein à craquer des produits de la combustion des hydrocarbures etc

  6. > De plus, 2 partenaires séronégatifs (fidèles évidemment), ne deviennent PAS séropositifs. Peu importe s'ils se droguent, utilisent du poppers ou je ne sais trop quoi, qui certes défoncera peut etre le système immunitaire, mais ne confèrera pas la séropositivité. ! Il y a donc bien quelque chose de contaminant. Raison pour laquelle l'hypothèse d'un vih endogène, miroir d'un stres oxydatif ou autre, me parait peu probable. Ou alors nous aurions des cas innombrables de couples fidèles, séroneg, qui deviennent, l'un ou l'autre, spontanément séropo... Jamais vu ça jusqu'à présent.

    Moi pour le coup j'ai déjà vu : une jeune femme africaine, qui venait accoucher d'un nouveau né, a été détectée positive ainsi que le nouveau né. Mais le mari, son seul amant d'après elle puisqu'elle était vierge avant, était séronégatif. Pas de consommation de drogue. Interprétation du corps médical : "peut être qu'elle aurait été contaminée à cause d'une blessure ou d'une transfusion sanguine". Du grand n'importe quoi mais probablement moins rare qu'on le croit, car on ne fait aucune recherche systématique sur le sujet et qu'on va chercher à classer son cas dans une "cause" compatible avec la théorie VIH-SIDA. Et comment va-t-on interpréter le cas d'un couple de drogués, séropo ensemble? Qu'ils se sont transmis le VIH ou qu'ils étaient séronégatifs avant et que le fait de se mettre à consommer des drogues à haute dose les a rendus séropo?

    Ensuite, comme le rappelle Aixur, encore faut-il que les tests soient fiables. Ton pote a peut être chopé une infection sexuellement transmissible qui positive le test sans qu'il s'agisse pour autant du VIH ou une merde quelconque. Rappelons que l'étude de Christine Johnson montrait que de nombreuses infections très classiques pouvaient rendre un test positif.

    Pour ce qui est d'un risque de transmission anal-réceptif, le risque de séroconversion est de 50 sur 10000, soit 0,5%, ce qui n'est pas nul. Donc dans d'assez rares cas, statistiquement, ça arrive, et que c'est explicable par la théorie du groupe Perth ou qu'on peut avoir chopé tout à fait une infection autre qu'un virus que personne n'a su isoler correctement mais qui rend le test tout de même positif.

    Sur ta question sur les anticorps, je ne suis pas spécialiste, mais sachant qu'une infection de rougeole par exemple assure une immunité à vie, c'est que vraisemblablement, si on fait le test sur quelqu'un qui a eu la rougeole, on devrait trouver les anticorps contre cette rougeole. Arrêtez moi si je dis une bêtise... Donc on pourrait avoir la même chose pour le supposé VIH.

    Concernant les anticorps je pense comme toi, mais je voulais une confirmation.

    Pour tes exemples précédents, je suis d'accord avec toi, mais le soucis de la "femme africaine" que tu cites, c'est que c'est totalement invérifiable. Est-ce qu'elle a dit vrai concernant le fait qu'elle était vierge avant ? Est-ce qu'elle n'a pas été sodomisé comme c'est souvent "coutume" pour niquer sans que la femme perde sa virginité. Est-ce qu'elle n'était pas séropo de naissance, et ne l'aurait pas transmis à son "mari"... Voilà c'est totalement invérifiable. On peut faire toutes les suppositions de la terre. Après, il est évident que les tests sont reconnus peu fiables en afrique car ça réagit à tout et 'nimporte quoi. Mais tout ça reste de la supposition.

  7. Il ne vient pas du marais. C'est un jeune gars plutot correct, qui n'a eu que très rarement des relations non protégées. Et qui a une vie sexuelle je dirais "standard". Ce n'est pas le cliché du pédé du marais qui se fait sodomiser sans capote dans les backrooms.

    Bref, quoi qu'il en soit, j'entends bien ce que tu dis...

    Aurais tu une idée AIXUR, sur la question que j'ai posée à la fin de mon premier post ?? Rappel :- Supposons il y a bien un VIH contaminant qui génère la séropositivité. Supposons Montagnier ait raison et qu'on puisse s'en débarrasser avec un bon système immunitaire. Alors redevient-on "négatif" ? Ou les anticorps produits, qui génèrent la séropositivité, vont rester là définitivement et le test sortira positif pour toujours sans pour autant avoir toujours le virus dans le sang ??

  8. Pour avoir parlé avec lui, je ne pense qu'il ait été stressé. Il n'a pas commencé sa vie sexuelle hier, et visiblement il a fait confiance au mec. Donc il a eu le doute quand il a eu les symptomes, pas avant.

    Moi je continue de trouver ce genre de coincidences troublantes... Qui me fait dire qu'il y a bien quelque chose qui se transmet...

    Cela dit oui, il serait interessant que les gens repassent des tests après, sans avoir commencé les médicamentations de trithérapies etc, pour voir si ça sort toujours positif.

  9. Je ne me suis pas tapé l'intégralité des posts pour savoir si la question a été évoquée, mais au final, ne serait-ce pas Montagnier qui aurait raison ??

    C'est à dire qu'un organisme en bonne santé peut se débarrasser du VIH, et que pour que ce dernier commence la phase de destruction immunitaire, il faille un co-facteur ???

    Ca expliquerait tout non ?? notamment le fait que certains déclarés positifs, se portent comme un charme, justement car le virus a été éliminé...

    Non ??

  10. Je n'ai pas la date précise de sa visite au medecin ensuite, mais dans les 15 jours à 3 semaines après. et ce dernier lui a fait l'ordo pour qu'il aille faire le test dans les délais minimum pour que ce soit censé fonctionner.

    Ceci dit, j'y reviens encore : comment lui expliquer que c'est le hasard qu'il soit devenu séropo, après la seule relation sans capote eue depuis très longtemps et avec un mec qui comme par hasard, s'avère séropo aussi... C'est un peu fort je trouve comme coincidence.

  11. Pour la suite de mes questions, ça ne répond pas malheureusement à mes interrogations. Ce n'est pas la reception anale fréquente et répétée du sperme qui confère la séropositivité. Je peux te confirmer qu'une seule suffit. J'ai le cas d'un ami, qui était SUR et CERTAIN séronégatif car il se dépiste SOUVENT depuis longtemps. Il a eu 1 seule relation non protégée en tant que receptif homosexuel, et il l'a choppé. Quinzaine de jours plus tard, épisode infectieux, il s'est douté... il a attendu les délais pour se faire dépister et il a été diagnostiqué séropo. Il est retourné voir le mec avec qui il a baisé, et ce mec a confirmé qu'il était séropo... Donc ce seul exemple montre bien, qu'il y a quelque chose qui est passé de l'un à l'autre. Jusqu'à preuve du contraire, et je le répète, si tu le fais avec un séroneg, tu ne deviendras pas séropositif, et même si tu le fais de nombreuses fois. Dans le cas contraire, c'est à toi de me montrer les études qui prouvent que j'ai tord. Les témoignages comme ça sont légions, en revanche, je n'ai jamais entendu quelqu'un qui était SERONEG, qui a une relation avec un SERONEG, et se tape ensuite un épisode infectieux et se retrouve dans la foulée seropo !

    Si d'autres veulent bien donner leur avis sur mon post de départ ce serait cool. Notamment parmi ceux qui s'y connaissent le mieux.

    Donc, il y a très probablement le biais des antibiotiques ou d'un autre traitement dans le cas dont tu parles ici. Ton ami a eu des manifestations physique d'un problème de santé. Il est certainement allé voir un médecin. Celui-ci a du le traiter avec des médicaments, probablement des antibiotiques. Et ENSUITE, il s'est fait dépister. Sauf qu'entretemps, il avait pris des médicaments qui peuvent positiver le test (et qui l'ont très certainement fait).

    Mais quelqu'un qui ne connait pas le truc va penser que c'est forcément quelque chose de transmissible sexuellement qui est à l'origine de la positivité. Effectivement, c'est logique. Sauf qu'il y a un truc qui biaise l'ensemble du raisonnement. Entre le moment où il a eu la relation sexuelle à risque et le moment où il s'est fait tester, il s'est passé quelque chose de pas du tout anodin : il a pris des médicaments.

    Alors là non, je suis absolument formel. Je m'interesse à ces questions depuis des années, donc je peux vous dire que quand il m'a annoncé ça, étant un ami proche, je l'ai questionné sur le parcours et très précisement comment ça c'est passé. Il a eu un épisode infectieux avec diarrhées, fièvre etc. Il a pris des médocs de base, tout seul, genre smecta, paracétamol etc etc. Il n'est allé voir le doc que bien plus tard pour lui demander un test. Là je suis formel là dessus.

    Mais dans ta logique, supposons il aurait pris un antibio et il sort positif au test ensuite... Ca signifierait qu'il peut en faire un autre, et être négatif à présent ??

  12. Aixur :

    > La transmissibilité faible ?? Moi je la trouve relativement élevée. Faible car y'a statisquement peu de séropos. Et que dans la relation hétéro, la paroi vaginale est moins perméable que dans la relation anale fréquente chez les homos. Là, où on trouve le plus de contamination.

    Ne te méprends pas, je n'attaque personne ici. Je suis le premier à considérer depuis longtemps que y'a des choses pas claires dans cette théorie vih>sida. Mais y'a aussi des points qui me parraissent difficilement contestables. Quand je vois des cas comme celui du pote que j'ai cité... je lui réponds quoi ?? Qu'il délire ? Que c'est le hasard qu'après avoir été sodomisé sans capote, il soit devenu séropo alors que l'autre mec l'était déjà, et que lui se faisait dépister depuis des années très régulièrement, n'était pas séropo, et n'avait pas eu de relation non protégées depuis très longtemps ?? C'est un mec de 24 ans, qui à part fumer un peu, ne se drogue pas, a une vie tout à fait normale.

    Et des cas comme ça, y'en a plein. Allez discuter avec des gays séropos, et vous verrez. Certains peuvent utiliser des poppers, des machins etc, mais parmi les séropos y'en a aussi plein qui ont eu, une vie normale, et ont été contaminés selon le parcours que je décris dans le témoignagne.

    C'est quand même génant...

  13. Oui je me doute bien que ce sont des questions qui ont été posées plusieurs fois au cours des 30 dernières années, mais bon, ça permet de refaire le point, permettre aux nouveaux arrivants comme moi d'avoir quelques précisions, et de se faire idée, sur des points où ils se questionnent.

    Merci d'avoir pris le temps de répondre et donné ton avis.

    Les personnes restant seronégatives après un épisode infectieux, à mon sens cela signifie 2 choses : soit que cet épisode est totalement indépendant de la relation sexuelle, soit que l'organisme a éliminé le truc vite fait, et non pas que l'infection sexuelle n'a pas eue lieu... Cependant, sur ce point précis, à moi de te demander tes sources concernant des gens qui ont eu un épisode infectieux suite à une relation non protégée, et qui n'ont pas été infectées. Ce ne serait de toute façon pas la preuve que ce n'est pas sexuellement transmissible ou que le vih n'existe pas. Tout au plus que la personne ne l'a pas contracté.

    Pour la suite de mes questions, ça ne répond pas malheureusement à mes interrogations. Ce n'est pas la reception anale fréquente et répétée du sperme qui confère la séropositivité. Je peux te confirmer qu'une seule suffit. J'ai le cas d'un ami, qui était SUR et CERTAIN séronégatif car il se dépiste SOUVENT depuis longtemps. Il a eu 1 seule relation non protégée en tant que receptif homosexuel, et il l'a choppé. Quinzaine de jours plus tard, épisode infectieux, il s'est douté... il a attendu les délais pour se faire dépister et il a été diagnostiqué séropo. Il est retourné voir le mec avec qui il a baisé, et ce mec a confirmé qu'il était séropo... Donc ce seul exemple montre bien, qu'il y a quelque chose qui est passé de l'un à l'autre. Jusqu'à preuve du contraire, et je le répète, si tu le fais avec un séroneg, tu ne deviendras pas séropositif, et même si tu le fais de nombreuses fois. Dans le cas contraire, c'est à toi de me montrer les études qui prouvent que j'ai tord. Les témoignages comme ça sont légions, en revanche, je n'ai jamais entendu quelqu'un qui était SERONEG, qui a une relation avec un SERONEG, et se tape ensuite un épisode infectieux et se retrouve dans la foulée seropo !

    Si d'autres veulent bien donner leur avis sur mon post de départ ce serait cool. Notamment parmi ceux qui s'y connaissent le mieux.

  14. Bonjour tous !

    Je suis nouveau ici.

    Je me suis "passionné" depuis de nombreuses années pour cette question du vih/sida, bien que n'en étant pas atteint moi-même. Bien qu'il y ait manifestement de nombreuses zones d'ombre, des incohérences et des étrangetés, il me semble néanmoins qu'il est à peine croyable de nier l'implication de quelque chose sexuellement transmissible (virus ou autre) qui génère la séropositivité. Je m'explique :

    > En effet, comment expliquer les cas, innombrables, de gens qui étaient séronégatifs, qui ont eu 1 relation sexuelle non-protégée, ont un épisode infectieux type "seroconversion" quelques jours à quelques semaines après et se retrouvent séropositifs ? Qui m'explique cela ??

    > Donc ensuite je veux bien entendre, comme le dit Montagnier, qu'une immunité en bon état peut se débarrasser du virus en quelques semaines. Je veux bien entendre qu'un "co-facteur" type NO soit indispensable pour que ce virus procède à la destruction immunitaire X années plus tard et fasse passer la personne au stade "sida déclaré". Mais nier qu'il se passe bien quelque chose sexuellement qui donne la séropositivité, me semble un peu fort.

    > De plus, 2 partenaires séronégatifs (fidèles évidemment), ne deviennent PAS séropositifs. Peu importe s'ils se droguent, utilisent du poppers ou je ne sais trop quoi, qui certes défoncera peut etre le système immunitaire, mais ne confèrera pas la séropositivité. ! Il y a donc bien quelque chose de contaminant. Raison pour laquelle l'hypothèse d'un vih endogène, miroir d'un stres oxydatif ou autre, me parait peu probable. Ou alors nous aurions des cas innombrables de couples fidèles, séroneg, qui deviennent, l'un ou l'autre, spontanément séropo... Jamais vu ça jusqu'à présent.

    > En ce qui concerne les homos, le nombre de "séropos" plus élevé que chez les "hétéros", a une cause évidente : le sperme dans le rectum. La paroi de ce dernier étant largement plus perméable que celle du vagin, le facteur contaminant se transmet donc largement plus facilement.

    Si quelqu'un a envie de réagir, donner son avis, m'indiquer si ce que je dis ci-dessus est faux et pourquoi, c'est volontiers...

    Ensuite j'ai quelques interrogations, et j'aimerais bien que quelqu'un qui sait, y réponde :

    - Supposons il y a bien un VIH contaminant qui génère la séropositivité. Supposons Montagnier ait raison et qu'on puisse s'en débarrasser avec un bon système immunitaire. Alors redevient-on "négatif" ? Ou les anticorps produits, qui génèrent la séropositivité, vont rester là définitivement et le test sortira positif pour toujours sans pour autant avoir toujours le virus dans le sang ??

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