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  1. Salut Jibrail et les autres. Le sevrage se poursuit sans nocivité. Quatre mois c'est court car, entre le début du sevrage bloc d'épivir retrovir que je m'étais infligé entre 98 et 99, et qui à mon sens m'a rendu malade, 8 mois se sont écoulés avant que je sois hospitalisé, durant lesquels la dégradation de mon état est demeurée assez subtile pour ne pas m'alerter. Ensuite, pneumo, encéphalite et CMV, le tout dans la foulée durant 4 mois d'hosto. Acceptant finalement la quadri-thérapie dont je paie le prix aujourd'hui, le contre-poison fit son oeuvre en me conservant vivant, empêchant que les effets secondaires de l'arrêt d'épivir rétrovir de me tuer. Donc, je suis dans l'expectative, équipé de patience. Comme tu dis Jibrail, la peur s'apprivoise mieux dans l'alliance et le seul fait que certains d'entres-nous en expriment comme toi l'idée, montre que nous sommes en chemin pour atteindre le: "un pour tous, tous pour un". Combien de temps pour atteindre cet état ? Malgré notre fulgurante évolution la défiance reste un réflexe du vivant pour pérenniser depuis les origines. En 1 million d'année, nous ne parvenons pas encore à transformer toutes nos peurs en forces. Comme les petits enfants empreints de maladresse, nous balbutions le respect la noblesse et l'amour. Nos angoisses existencielles sont légitimes et accepter de jouer un jeu dont nous ne connaissons pas la finalité pourrait être qualifié de folie. Car la maladie la plus mortelle dont personne ne réchappe est la vie ! La prédatrice la plus implacable la mort, qui en a consommé environ 100 milliards comme nous et une infinité en comptant les feuilles des arbres, les insectes, les cellules et nos super nova. La brièveté de toutes choses et de soi, dont le sens nous échappe et nous semble injuste, soumet nos esprits à une telle pression qu'il est héroïque de rester stoïque devant le gouffre insondable sous-tendu par notre nature et celle de notre univers. D'ailleurs l'humain ne renonce pas d'échapper à l'usure du temps et s'y emploie en améliorant la compréhension qu'il a de son anatomie en espérant bloquer le vieillissement ou, par le biais du mysticisme qui autoriserait la survie de l'âme quand le corps fini. Pour l'instant, peur et mort sont des compagnes qui nous contraignent , à trouver les astuces judicieuses pour survivre à l'adversité et à tous les environnements. Nos créateurs voudraient faire de l'humanité une grande armée, qu'ils ne s'y prendraient pas différemment. Depuis 1 million d'années notre génie et nos efforts sont consacrés à mieux nous armer en vue de nous dominer les uns les autres. Nous sommes à présent dotés de la technique qui soumettrait 5 planètes comme la nôtre, contraints de nous inventer des ennemis pour justifier l'escalade d'un armement que rien ni personne ne motive (à part peut-être, le plan de nos créateurs). Bon, ce n'est pas le site pour développer des théories farfelus qui nous éloignent du sida et des manoeuvres qui entourent cette épidémie virale fabriquée. Les seuls soi-disant progrès et traitements sont fondés sur le fait qu'un virus est la cause "certaine" d'une pathologie dont je suis sûr qu'elle est surtout le résultat d'un empoisonnement de masse qui épure les populations en raffermissant le pouvoir des labos induit par l'argent qu'ainsi ils gagnent. Point de virus. Les postulats scientifiques qui permettent de déterminer un virus repose sur des critères contraires aux manifestations du soi- disant sida. S'il était un virus, il serait le seul à se comporter comme il le fait. Il bat allègrement en brêche tout ce qui détermine un virus sans que cela n'est alerté "degun", pire, ce diagnostic fait se fourvoyer la recherche qui engloutit des milliards à fonds perdus depuis bientôt 30 ans puisqu'elle ne soignent évidemment personne en se fondant sur un postulat de départ erroné ! Le magazine Nexus a fait une enquête implacable sur le sida et l'AZT qui met en lumière une vaste fumisterie en dénonçant les reponsables. Bien entendu ce n'est pas au 20 heures que sont développés les éléments prouvant l'escroquerie sinon, je ne serais pas malade et le monde ne serait pas à ce point abusé ! Ce n'est qu'après m'être fait ballader 25 ans que j'ai eu accés aux coulisses de l'histoire sida par l'intermédiaire d'un bi-mensuel salvateur. Ils n'y aura pas de responsables, pas même de procès, certains d'entres-nous sont parvenus à hypnotiser les peuples au point qu'il est devenu plus prompt à croire les médias de masses que les personnes concernées, depuis 28 ans, malades, au coeur du problème. Nous allons encore vacciner et traiter par des molécules douteuses les naîfs, ceux confiants en leur système, et nous trouverons toujours des aides rémunérées pour fabriquer, promouvoir, vendre, prescrire et injecter ces poisons. Parmi ces autres formes de victimes de ce système, des Hommes dont les peurs ont aiguisé la cécité et la mauvaise foi, contraints de servir de vils intérêts pour s'apaiser en s'associant aux plans de l'ombre, même si cela les avilie. La conscience est encore vaincue par la peur et cela pour encore plus ou moins quelques décennies. En effet, à l'inverse de l'idée selon laquelle notre nature est immuable, la vitesse de notre métamorphose d'animal en humain fait qu'à présent, d'une année à l'autre nous pouvons basculer dans des univers inconcevables qui nous modifieraient du tout au tout. La nanotechnologie prend de court les imaginations les plus fertiles et semble recéler un des univers prodigieux qui ont de quoi nous sbjuguer et nous transformer radicalement. Transformés en guerriers ou en messagés de l'amour, il se pourrait que nous ayons les réponses sous peu... A tous, bon toujours.
  2. Salut à tous. Ce petit post pour vous donner signe de vie. Depuis deux mois je réduis mon traitement et ne peux en tirer de conclusion pertinentes. D'une part, une grippe dont toute la famille a subi les maux m'a affaibli et fausse le bilan de ce début de sevrage, d'autre part, le recul est insuffisant. Notez que j'ai commencé part casser un quart sur mes isentress du matin et soir, un quart d'un de mes deux prezista et un quart du norvir durant 2 mois. Ensuite, et depuis 15 jours, au lieu du quart, je préleve un demi sur les comprimés énoncés. En réduisant de quart en quart tous les 2 mois, j'envisage d'étaler ce sevrage sur huit mois Pour l'instant quelques douleurs aigues et trés localisées en un point, dans les mains et les pieds, vertiges, troubles de la vision et tendinite légère, difficulté à la concentration que j'attribue au changements de traitements; plus une fatigue qui en revanche vient de la grippe tenace que j'ai eu il y a un mois. 13 ans de traitements ininterrompus génèrent mon empressement tellement les effets "secondaires" ( je trouve ce mot inadéquat car dans l'inconscient collectif ce qui est "secondaire" n'a pas trop d'importance alors que dans ce cas ça tue ! ) deviennent ingérables. L'atteinte majeure et la plus handicapante a été musculaire, à ne plus pouvoir lever la jambe pour enfiler le pantalon. En conséquences, il y a deux mois et demi, mon toubib a cessé de me prescrire : Viread, Combivir, que je prenais depuis six ans, au profit de ce dernier traitement précité avec lequel je m'essaie au sevrage. Historique pour rappel: S+ en 1985 ; assymptomatique jusqu'en début 2000. Traité la première fois fin 1998 sur la foi d'une charge virale élevée sans aucun symptomes de maladie avec epivir retrovir, j'arrêtais le traitement du jour au lendemain avec l'accord du toubib ( apparement il ne savait pas qu'un sevrage bloc est nocif ) car, ma charge virale, descendue les premiers temps, était la même après sept mois de traitement. Huit mois plus tard, pour la première fois, je fus gravement malade et contraint à partir de septembre 2000, à consommer zerit, viramune, viracept, videx pour survivre, et ce durant environ 6 ans. Ensuite comme dit, Viread combivir 6 ans environ et à présent, prezista isentress et norvir depuis deux mois et demi. Voilà pour les traitements et ceux qui sont suceptibles d'en tirer un profit quelconque. Quant aux analyses de sang, je les ignore et ne peux vous servir de référence. Je n'écoute que mon corps. Il est bon de souligner que j'ai eu de 91 à 99 des rapports non protégés avec la mère de mon fils né en 92. Tous deux sont séros négatifs. Ma première épouse entre 83 et 91 S+, n'a jamais pris de traitement et me dis avoir négativé. Quatre autres de mes connaissances S+ depuis plus de 20 ans sont en bonne santé sans traitement et ne semblent pas être des cas isolés... Pendant quinze ans, de 85 à 2000 j'ai vécu en pleine forme mais... j'avais essayé epivir combivir pendant huit mois en 98 et... depuis, je suis un invalide bouffé de l'intérieur par un poison qui n'a jamais guéri quiconque. L'AZT est toujours prescrit après avoir tué tant d'entre-nous !?! L'heure est au ralentissement de notre démographie et le sida, une arme comme une autre pour les eugénistes au pouvoir. Combien de gens jugés inadaptés ont été stérilisés de force à travers le monde au siècle dernier ? Les débordements d'Hitler les ont contraints dés lors à agir en catimini mais, le plan d'épuration n'a pas été abandonné et demeure cardinal pour eux à ce stade de notre évolution. OGM, vaccins, Red Bull ou famines et guerres entretenues, sont autant d'outils facilitant la stérilisation et la réduction de la population mondiale. C'est à mon sens de ce calcul dont nous sommes victimes et connaître la nature du plan ne nous avance pas beaucoup pour appréhender ce que déclenche les traitements HIV; Dés l'instant où une poignée de personnes obtient le pouvoir de modifier la nourriture que la quasi totalité de ce que les humains consomment comme Mosanto, ou de pouvoir tous nous vacciner, nous devons nous attendre à ce que les plus paranoïaques et donc les plus pleutres d'entre-nous, contraints de dominer pour s'appaiser un peu , récupèrent ces armes et ne s'en servent à mauvais escient notament pous se faire de la place et choisir la couleur des nouvelles générations. Nous entrons dans une ère où nos robots vont être capables de s'auto-gérer et, une fois une que nous aurons fabriqué les premières générations, sans pénibilité, nous allons avoir accès à une longévité accrue dans un monde où tout sera gratuit. Actuellement le souci est qu'à 7 milliards, engendrant 2 millions supplémentaires d'êtres par semaine, cet avenir est à LEURS sens compromis. ILS pensent être les seuls aptes à juger du profil de la future humanité, Bill Gates en tête qui au travers de la fondation du planing familial de sa femme, vaccine la planète sous prétexte de prévenir de maladies que donne les eaux croupies que boit la moitié de la planète. Ne lui a-t-on pas expliqué que c'est dans des puits d'eau pure qu'il faut investir en premier lieu ? Non, je pense qu'il le sait. Si le problème de surpopulation se pose nous sommes tous concernés par la recherche de solution. Des solutions imaginées en secret sont par nature malsaines. Rares sont les projets clairement énoncés en ce domaine. Nous convaincre que le problème surviendra à un moment et nous consulter sur le plan qu'ILS ont prévu pour y remédier. Que si par exemple l'objectif revenait à stabiliser notre population à un milliard d'humains également dotés de ce que notre génie peut produire et cela sans effort, il suffit que nous ne fassions qu'un enfant par couple durant 5 générations nous montrerait au moins qu'ils font attention aux autres. Bien sûr c'est un exemple et je sais les émotions et presque la panique que suscite en nous l'évocation d'une privation de se reproduire. Il est clair que la nature tient à nous voir nous reproduire et la contrarier se révèle souventes fois préjudiciable. Mais la nature en nous dotant de la faculté de rationaliser l'équation qui prévoient qu'il va falloir à un moment ou l'autre prendre des décisions pour étaler nos naissances dans le temps plutôt que de se précipiter de mettre au monde des affamés à cause de ressources rares. Ou beaucoup de malheureux, ou une portion plus congrue d'entre-nous dotés de ce que l'humanité aura imaginé et fabriqué de mieux pour vivre en paix sans effort ni compétition puisque l'accès au matériel sera gratuit pourrait s'étudier. Voilà le vaisseau dans lequel il me semble vivre. Il vogue au fil de nos inspirations. Salut à tous et, bontoujours
  3. Salut Félix 95, et à tous les autres. Excuse la réponse tardive, j'ai été pris par la vie... D'abord bravo Félix car vu le nombre d'intervenants ici, il semble difficile aux séropos de se dévoiler tant la honte et la crainte de la mise à l'écart jouent des rôles cruciaux dans l'histoire du sida. L'adhésion à un labeur visant à l'expression de la vérité, nécessite de se faire connaitre, et, la plupart d'entres-nous y renonçons par crainte de voir notre entourage se détourner. Ainsi l'orthodoxie ne rencontre que peu de dissidents prêts à franchir le cap comme tu l'as fait au vu du nombre de soi-disant infectés. Honteux, le sidéen revendique peu, se fait petit, déjà bien content d'être en vie, il est de bon ton qu'il remercie la communauté médicale de lui prodiguer des soins, les chercheurs qui lui procurent les médocs, et la sécu de les lui rembourser ! Alors venir "chercher des puces" à tous ces bons samaritains est pour le moins mal venu dans l'inconscient collectif. L'histoire est ainsi faite que le déclaré positif n'a surtout pas envie que cela se sache et se retrouve donc, avec comme seul interlocuteur son médecin qui, comme le curé à confesse est tenu au silence. Ainsi enfermé dans un système hermétique, le patient est livré au bon vouloir et bon savoir des chercheurs, prêt à servir la science en tant que cobaye car au moins, il sert à ça ! De ce fait, si le médecin a besoin de reconnaissance, d'avancement et n'a pas trop de scrupules, il fera travailler la machine qui le fait vivre sans avoir à se soucier de la nocivité des traitements qu'il prescrit du moment qu'ils ont été approuvés par qui de droit. La dissidence doit donc persévérer afin de voir grossir ses rangs. Quand les infos seront connues et expliquerons bien: -que le sida n'est pas ce qui nous a été présenté; -que le seul groupe de toxicos shooteurs est susceptible de développer des symptômes et la transmission d'une maladie de laquelle nous découvrons petit à petit la faible transmission , le moindre impact humanitaire alors qu'elle nous a été, durant 25 ans et est encore présentée à ce jour par certains affabulateurs, comme le "fléau du millénaire"; -que le stress meurtrier induit par les médias sur toute la planète est infondé et fruit de magouilles malsaines, alors, nous aurons apaisé les humains. D'après mon expérience, je suis persuadé qu'en donnant épivir rétrovir durant 5 mois à une souris saine et en la sevrant brutalement tout en lui administrant un shoote d'opiacés ou de coke comme déclencheurs, elle tombe gravement malade et voit son système nerveux détraqué jusqu'à mourir. Et si le schéma n'est pas tel, il lui ressemble au regard du nombre d'accros à l'aiguille qui succombent à cette étrange épidémie lorsqu'ils ingèrent les traitements. Certains savent la vérité et, nous devrions déjà tous être dotés du nouveau bracelet détecteur de mensonges ( bracelet dont l'analyse est livrée aux yeux des interlocuteurs et bien entendu, à la vue de son porteur ) ainsi nous apprendrions à ne plus être tributaires du secret qu'implique la peur naturelle de l'humain. Je pense que ce bracelet se modifiera pour devenir un implant dont chaque enfant sera équipé de façon à mieux comprendre ses propres pensées, ses paroles ou ses actions et surtout, quand il se mentira à lui-même. Nous sommes la première victime de notre mauvaise foi. Elle est irrépressible et nait de peurs grégaires qui ont depuis plus d'un milliard d'années été des réflexes permettant la survie à l'ensemble du vivant. Nous ne les avons pas encore apprivoisés et subissons des instincts de défiance alors qu'au fond nous voulons tous crier :" JE T'AIME !!!". Tous ceux qui convoitent le pouvoir, ambitionnent des postes à responsabilités ou se présentent à des élections, devraient en premier lieu passer en public à l'IRM pour savoir quelle est leur réelle authenticité. Techniquement rien ne l'empêche et philosophiquement tout l'impose ! S'y refuser serait disqualifiant et dès lors nous aurions de nouvelles têtes aux commandes, desquelles nous connaitrions aussi le contenu ! La sélection aurait plus fière allure et sa pertinence serait toute autre. Pas difficile de faire mieux puisque l'objectif et les actions de ceux qui dirigent visent de tempérer la propension qu'à l'humain d'enfanter sans compter ( surtout certaines races et ils les ont bien pressurisés depuis 5 siècles ). Désireux d'y mettre bon ordre, tout initiative permettant la prospérité de l'humain est confisquée et remisée. A l'inverse, ce qui le déstabilise, l'incline à la honte, à la peur, à la culpabilité et à tous sentiments qui le dévalorise pour lui ôter le désir ou le loisir d'être parents est cultivé, glorifié, financé et entretenu par des couards parvenus aux commandes à cause de l'aiguillon de la peur qui les taraude. Que nous devions prendre garde et nous compter afin de ne pas inviter trop de convives en même temps est une chose. Qu'une poignée entreprenne ce plan en catimini en est une autre. La question cardinale qui doit être soumise aux Hommes du monde entier et non être une action menée par quelques personnes dont la discrétion apporte la preuve qu'ils ne peuvent être que déviants. Malgré qu'ils sachent très bien que le fondement de leur démarche interdit l'accès à un vrai bonheur, ils sont contraints de dominer pour tenter d'apaiser des peurs immaitrisables qui les laissent au fond du gouffre de l'éternelle insatisfaction sans qu’ils n’y puissent rien. La remise en question ne doit pas être courante parmi les oligarques et partant de là, leur prodiguer les soins psychiatriques adaptés à leur folie est rendu plus ardu du fait qu’ils ne se croient pas malades. Evalués selon leur capacité de nuisance, les pays et les Hommes les plus respectés sont ceux qui peuvent infliger le maximum de désordres à leurs semblables. La manipulation, le mensonge et le secret sont les outils avilissants qu'ils doivent savoir dominer et une telle vie se subit sans pouvoir s'apprécier à mes yeux. Nous avons à présent une forte exigence vis à vis de nous-mêmes et voudrions posséder l'attitude noble de nos Dieux. Mais la partie animale de nos instincts réprime encore la tendresse, la compassion, l'amour demeurant un édifice, une oeuvre à accomplir. Nous sommes en marche et en à peine 500 mille ans, nous sommes, quoi que nous en disions, l'espèce qui peut le mieux l'exprimer. Il n'y a qu'à examiner le fond de mon coeur pour percevoir l'importance qu'occupent les sentiments et émotions nés de mes rapports avec les gens. Chaque pensée modifie l'anatomie même de notre cerveau en y créant pour l'occasion de nouveaux circuits qui le modifie en permanence. Sur you tube, le documentaire "Tous manipulés" montre comment l'humain peut être rendu serviable avec une facilité déconcertante. Si le fondement de notre éducation était de faire s'épanouir les Hommes, nul doute que nous enseigner la notion de respect du vivant dans son ensemble était à notre portée. Nous savons faire en sorte que l'humain sache découvrir ce pour quoi il est fait; qu'il sache l'exprimer; planifier son action dans le temps pour s'accomplir et s'intégrer à la communauté en tant que membre actif, utile et respecté. Oui, nous savons trés bien faire et depuis longtemps, ce shéma dérange les plus peureux d'entres-nous encore prisonniers d'angoisses que nous dépassons néanmoins avec fulgurance. Nous faisons tous partie de l'univers, ce grands corps, ou ensemble de galaxies, qui existent dans je ne sais quel autre univers infini... alors sur notre petite planète, la moindre pensée de chacun d'entres-nous nous éclabousse, nous transperce et nous modifie. Nous sommes un même électron à l'échelle des univers et penser que nous pouvons cracher sur l'autre sans se mouiller est illusoire et surtout un mauvais calcul. Nous devons réfléchir aux solutions ensemble et l'empoisonnement doit en être banni. Vaccins OGM et pesticdes ne peuvent nous épanouir. Suis-je loin du sujet ? A tous, bontoujours.
  4. Merci jardinier. J'ai commencé à espacer les prises de jour en jour. Ces traitements contiennent à mon sens le poison et l'antidote, et sont prévus pour être chroniques et engendrer une dépendance au manque mortel. Je vais rester à l'écoute de mon corps et le ménager mais ne m'appuierai pas sur leurs analyses pour me faire une idée. Dailleurs, depuis dix ans je ne me suis plus enquis de mes résultats d'analyses et écoute distrètement mon toubib lorsqu'il parade en me les lisant. Je m'en fous et me tiens loin d'eux le plus possible. Aprés un infarctus et la pause de 2 stens, le cardio m'a prescrit lescol, aspro et plavix et depuis 2004 ne m'a plus revu. Pour le sida, à part pour l'ordo du traitement, je vais jamais voir de Dr. Cet environnement m'est nocif pour l'esprit et je dois de vivre parce que j'ai eu la chance durant les dix premières années de ma séropositité d'être tenu à l'écart des protocoles qui ont tué tous mes amis trop anxieux. Ceux qui n'ont pas été traités n'ont jamais déclenché de sida malgré des vies débauchées. Moi je ne l'ai jamais transmis et mon fils et sa mére et lui sont négatifs. Je réduis jusqu'à ne plus rien prendre et verrai comment le corps et l'esprit réagissent après 12 ans de conso de ces cachets. L'expérience profitera peut-être aux lecteurs de ce site. A plus jardinier car je n'ai pas fini de tout lire ici où tu as l'air d'intervenir souvent. Bontoujours.
  5. Je suis pas finot. Je viens de me rendre compte au bout de 2 jours qu'à la marge des posts était annoté "chercheur de lumière,... de vérité" etc. Je n'avais pas encore vu que jibrail était ton pseudo. A plus. J'épluche les témoignages... supers instructifs, enrichissants et plein d'espoir.
  6. Salut chercheur de lumière. Durant cette période de notre histoire obscure, avec tous ces gens qui pensent tout savoir, ton pseudo est pertinent. Merci de ton accueil et tes conseils. Liens et témoignages vont m'aider. Viramune viracept videx et zerit est la quadrithérapie que j'ai pris 6 ans de 2000 à 2006 ( générant un infarctus du myocarde en 2004 et un deuxième traitement chronique pour le coeur ). En 1999, sans symptomes, j'avais pris épivir rétrovir durant 7 à 8 mois qui n'enraillaient pas une charge virale soi-disante élevée j'entrepris donc un sevrage bloc qui m'a plié. De 2006 à 2012 viread et combivir, jusqu'à ce que mes muscles demandent grâce et je me retrouve depuis 2 mois avec prezista, norvir, isentress lourds pour les articultions et la circulation sanguine apparemment, à moins que l'arrêt du précédent traitements ne génère des troubles de manque que le nouveau protocole n'enraille pas encore !?! Va savoir ! J'osculte ce site et je parie que nous allons nous y retrouver les jours prochains. A plus et, bon toujours.
  7. Salut à tous. Les traitements ne sont-ils- pas créés pour être chroniques tout simplement ? N'avons-nous pas trouvé dans nos labos le moyen de faire ingérer un poison sous la forme d'un remède qui nécessite à vie l'absorbtion d'un antidote ? En 99, ma première bithérapie composée d'épivir rétrovir n'a pas fait baisser ma chrge virale en 8 mois de prises. Donc, je décide d'arrêter et m'inflige, avec l'accord du médecin, un sevrage bloc qui débouche en quelques mois sur une pneumo, un cmv dissimulant une encéphalite qui me transforme en légume aprés 4 mois d'hôpital durant lesquels j'avais refusé tous traitements. Plus capable de parler, de voir, d'écrire, de lire, de marcher comme de manger seul, je me suis vu contraint d'entamer une quadri-thérapie ( viramune videx viracept zerit 6 ans ) qui m'a remis sur pied en pas même 2 mois tel un contrepoison !?! Aprés 12 ans de traitements ininterrompus, maigre, les muscles et articulations faibles et douloureuses, je passe de viread combivir ( 6 ans ), à norvir prezista et isentress depuis 2 mois. Depuis, aux visites de contrôles, par 2 fois, le toubib m'a demandé si j'étais victime de confusions !?! La vérité est que la médecine a besoin de cobayes et nous sommes dans le groupe concerné par ses études. Comment pouvons-nous croire qu'en dix ans nous ayons eu le temps de recul nécessaire pour évaluer la nocivité des traitements contre le sida ? Les effets à longs termes n'ont pu être menés et pourtant la médecine conseille de prescrire ses traitements préventivement !?! Ils sont les mêmes pour des individus pourtant bien différents et je m'étonne de l'anticipation surtout que je lis que certains stopent ses cachets et de temps à autres, font des "fenêtres" durant leurs thérapies et les reprennent sans grands dommages ! L'antidote fait toujours son effet alors pourquoi se précipiter et prescrire sans trouble un protocole pas encore bien défini et considéré comme dangereux si ce n'est pour faire grossir le nombre de consommateurs qui considèrera ne plus pouvoir enfanter ? Car là se trouve le vrai sujet. Nous avons mis 500 mille ans pour atteindre le nombre d'un milliard d'habitants c'était en 1825 je crois et en 200 ans, nous sommes passés à sept milliards dés l'instant ou les accouchements se sont faits les mains propres. L'ambition de ceux qui ont hérités du pouvoir n'est pas l'argent qu'ils peuvent fabriquer à satiété sans plus d'effort que le pianotage d'un clavier. Leur objectif cardinal est la réduction et le contrôle de notre démographie par stérilisation psychique et physique à l'aide d'OGM, de vaccins, de pesticides et autres outils comme le sida ou la propagande de l'Homme nuisible dans un monde qu'il saccage sns respect pour le vivant. Nous en arrivons à tant nous culpabiliser qu'enfanter devient un risque pour les nouveaux nés qui vont se voir offrir un monde dépravé. Tout ce qui semble élever notre condition sainement se voit confisqué et remisé. Tout ce qui fait décliner le corps et l'esprit est cultivé et glorifié. Notre espèce à laquelle nous demandons beaucoup, de laquelle nous exigeons tant d'amour et de compassion est pourtant toute jeune, et, tel un bébé qui se fait encore dessus, nous sommes là pour apprendre de nos fautes et nous améliorer. La moyenne de vie d'une espèce sur terre est de 18 millions d'années et nous n'en avons pas accompli le 36 ième puisque nos premiers outils datent de 500 mille ans. Notre cousin le primate en comparaison existe depuis 70 millions d'années et se suffit toujours de son arbre. Notre métamorphose fulgurante d'animal en humain est encore freinée par des peurs primaires qui ont servi au vivant pour pérenniser mais, nous encombre à présent que le respect et la tendresse sont devenus nos émotions directrices. Bien que nous n'ayons pas encore, tous comme un seul Homme, la force et le courage de l'avouer sans se sentir à la merci de l'être aimé, c'est le sentiment d'amour qui nous exalte le mieux . A présent, l'apprivoisement de ses peurs auxquelles nous avons toujours été soumis sera garante de notre apaisement et le: "... tu ne tueras point !" passera d'une volonté à un fait. L'homme est une oeuvre dont les créateurs doivent être fiers à raison. Savaient-ils que notre transformation passerait par ses crises d'identité, quelle était une étape incontournable sur le chemin de la maturité et de la sagesse ? Pour une première ce soir c'est peut-être une réflexion un peu longue pour un nouveau venu et souvent hors sujet... m'enfin, je me livre tout de go car ça peut s'arrêter à tout instant, alors... autant parler franc et dire qui nous sommes. En plus, sur une autre page de ce site, j'ai entamé les présentations... alors j'en garde pour plus tard si je me fais des copains parmi vous. Ma SCI s'appelle: " les copains d'abord" de mon mentor Brassens. A plus et à tous, bontoujours.
  8. Salut à tous. Nouveau venu ici, et pour votre respect, une présentation paraît bienvenue. Je suis Stéphan né à marseille en 60, dit "positif" depuis 85. Ma visite sur ce site est consécutive à la lecture des dossiers sur Nexus magazine, à l'échange de mails d'avec le Dr De Harven et à ma curiosité. Les témoignages d'autres personnes impliquées par le sujet, patients, traitants et autres concernés, peuvent peut-être m'aider à arrêter les thérapies induites par le sida car je crains d'être confronté à une dégénéréscence comme cela m'est déjà arrivé. Toxicos à la mari de 13 à 18 ans, puis à l'héro shootée de 18 à 24 ans, je suis resté asymptomatique jusqu'à l'âge de 40 ans. Cependant, à 39 ans, mon toubib équipé de son nouvel outil de mesure de charge virale et d'une panoplie de médocs plus large qui contournaient les résistances, profite d'une période de vague à l'âme dans ma vie pour me convaincre d'ingurgiter une bi-thérapie préventive. Vu l'importance du nombre de décès de patients traités à l'AZT, j'avais toujours fui les produits pharmaceutiques et là, sans autre raison qu'une déshérence passagère, sans soucis de santé, j'ai gobé épivir rétrovir durant 8 mois sans que ma charge virale ne retombe et toujours sans le moindre trouble physique. Je décidais donc de stopper le traitement avec l'accord du médecin qui n'y voyait pas d'objection et ne me prévint pas d'éventuels troubles qu'un sevrage bloc pouvait entraîner. Résultat, si le sida m'avait laissé tranquille durant 15 ans, m'avait autorisé d'être père d'un enfant séronégatif avec une fille que je n'ai jamais contaminéé en 10 ans de rapports non protégés, épivir et rétrovir associés me terrassèrent. 6 mois aprés l'arrêt du traitement, j'étais devenu un légume obligé de prendre une quadri-thérapie (viramune viracept videx zerit)aprés quatre mois d'hospitalisation durant lesquels je n'avais que régréssé physiquement: voir, parler, marcher, lire, écrire comme manger ou me torcher seul m'était devenu impossible. Avec 18 kilos de moins, je n'en avais plus pour longtemps. Quand déconfis, aprés 4 mois sous le feux des exams; les toubibs débarquèrent résultats de l'irm en main pour me dire que le virus m'avait grillé une partie de la cervelle et que seuls les thérapies pouvaient stopper l'encéphalite dont je souffrais, je rentrais chez moi, et en un mois et demi j'étais de nouveau opérationel filant à 130 en moto fort de 11 kilos sups !?! Depuis, je crains d'arrêter ces cachets alors qu'en 12 ans de prise, j'ai perdu 70% de ma masse musculaire et que j'ai le visage émacié au point de faire pitié ou peur. Alors je vais lire ce site plus en profondeur pour savoir si mon cas s'est déjà présenté et vous pourrez peut-être me guider et m'aider dans mes choix. Par exemple, ayant pris la décision de tenter d'arrêter, je me demande si la réduction progressive des doses peut se faire en espaçant le temps entre les prises plutôt qu'en divisant les cachets ce qui réclame une précision difficile à réaliser. Y a-t-il quelqu'un qui aurait déjà tenté l'expérience ? J'espère avoir l'opportunité d'échanger sur ce site dans un climat respectueux, de confiance et y découvrir des gens apaisants. Par la suite j'espère que mon témoignage contribuera au défi qui consiste à prévenir de la faiblesses de certains Hommes afin qu'ils soient soignés avant de prendre part à des décisions pour les peuples et n'oeuvrent en politique. A tous salut et, bontoujours.
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