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brume de l'abro

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Tout ce qui a été posté par brume de l'abro

  1. Ca a toujours été une source de confusion pour moi... Mais apparemment, ce sont tout simplement des variantes de la même plante/famille. http://www.pixiflore.com/pages/fiche_plante.asp?id_plante=35 http://fr.wikipedia.org/wiki/Millepertuis
  2. Les extraits de pamplemousse et de l'herbe de st. Jean semblent être les 2 choses qui peuvent poser problème avec pas mal de thérapies, orthodoxes ou alternatives. Dans le cadre de la tri, on avait donné une liste de tous les "compléments alimentaires" que mon ami voulait prendre, à son médecin traîtant (spécialiste de l'hosto, plutôt). Conclusion : tout va bien, tant que ces 2 choses là ne sont pas prises. Quant à ton ami, une fois la chimio commencée, je ne sais pas quoi te dire, sauf que c'est difficile de decider ce qu'il faut/drait faire. Moi même, je refuserais peut-être une prochaine chimio, j'essayerai peut-être des remèdes comme le thé vert (en extrait) et d'autres, mais c'est trop facile à dire, quand on n'y est pas - voire même ça doit faire rire certains, et va savoir s'ils n'ont pas raison. S'il y a encore une opération possible, ce serait probablement le mieux, puis repartir après sur d'autres bases... Mais probablement ce n'est déjà plus possible. J'ai perdu 2 ami(e)s ces dernières années de cancers. J'ai vu comment ça arrive: on part "en bonne santé" à l'hosto pour un examen. En vue des résultats, on vous met, encore sous le choc, sous chimio, et le temps qu'on reprenne ses esprits, on y est tellement engagés et en même temps tellement affaiblis que... que faire ? (Et pourtant, faut pas non plus retourner la donne, il y avait/a bien un problème.) Si ton ami est encore en état de faire des recherches et d'agir de sa propre volonté, il faudrait peut-être qu'il recherche d'autres "compléments alimentaires" et change totalement sa façon de s'alimenter, voire de penser - y compris au sujet des fameuses acides gras. Tout dépend de jusqu'où le trop tard est trop tard. Bref : bon courage.
  3. Dans cet article assez intéressant sur le glutathion (bien que ça n'apprendra probablement pas grand chose de nouveau à la plupart des lecteurs ici), entre autres ceci : En même temps, ils ne sont pas neutres, car ça vient d'un site qui est apparemment derrière la vente/promotion de Immunocal, à raison ou à tort, je n'en sais rien. Et pour ceux qui manqueraient encore de lecture à ce sujet, il y un site avec beaucoup d'articles, y compris de Montagnier, mais c'est lié aussi à Immunocal. Sur cette page d'un forum, il y a pas mal de posts intéressants et un lien intéressant sur la question, notamment sur vitC & glutathion.
  4. Est-ce que ces protéines de petit-lait sont le seul truc que tu prends/prenais ? Peut-être ça vaut le coup d'ajouter d'autres antioxydants et précurseurs de glutathion ? En plus, selon où tu t'es procuré ces protéines, elles pouvaient être de bonne ou mauvaise qualité, il paraît que c'est fragile, tout ça, et selon le conditionnement... Pour ta question, à ta place, j'attendrais avec l'arrêt de la tri d'en savoir plus et/ou d'avoir un taux plus élevé de ce glutathion. Je cherchais s'il y avait des info sur les variations du taux de glutathion, au cours des saisons par exemple, voire en cours de journée/nuit, ou en cas d'un rhume ou n'importe quel autre faiblesse passagère. Je n'en ai pas trouvé, mais du coup j'ai de nouveau relu à droite et à gauche l'importance de ce glutathion réduit, donc je tirerai d'abord ça au clair avant de prendre une décision. Mais ce n'est que mon point de vue... Bon courage en tout cas.
  5. Je me suis souvent posée la question comment j'aurais fait, dans le temps. Je ne suis plus en age de procréer, et même si je l'étais, j'en ai ma dose (parce que ça devient grand, tout ça, puis on n'est pas sortie de l'auberge en tant que parent , mais aussi, j'ai 3 enfants et 4 petits enfants, donc j'ai beau parler. Dans ce cas, je crois que, surtout si c'est avant de se "découvrir enceinte", comme ça arrive, je chercherai avant tout un médecin à esprit ouvert. Simultanément, j'essayerai de sonder ma force intérieure, car il faudrait mieux qu'elle soit en béton armé... A mon avis, le doute subsistera, indépendamment de notre opinion intime sur la question, et c'est dur à gérer, surtout dans ce cas. Il y a 2 "données". D'une part, en orthodoxie, on parle maintenant d'enfants en bonne santé, grace à une formule quelconque trithérapique au bon moment, et de tout autre part, en dissidence, on parle de ne surtout rien donner aux bébés, ni à soi-même, avant ou pendant l'accouchement. Comment savoir ? Honnêtement, je n'envie pas ceux et celles devant un tel choix. A mon avis, aujourd'hui, on ne peut être sûr de rien à l'avance. Donc il faut son propre "gps". Mais comment gérer les risques qu'on prendrait pour soi-même, pour son bébé ? Le dilemme est multiplié par X. Donc il faut gerer ce doute. La réalité est la gestion de ce doute, et aucun avis ne peut y changer quelque chose. Et ça peut tomber bien, comme ça peut tomber mal, justement. Je me permets de te dire que t'es très jeune, dans un sens positif, c'est à dire, t'as encore beaucoup d'années devant toi. Je sais, ça ne répond pas à ta question, mais ça vaut le coup d'y refléchir quand-même. Tu as au moins 15 ans devant toi pour faire un bébé, ou dés bébés. Et d'ici quelque temps, des années probablement, qui te sembleront longues, il y aura une réponse plus claire. Et je peux te dire d'expérience, que dans 10 ans, ou dans 5 ou 3, t'auras autant, sinon plus, envie d'un enfant. Je comprends ton problème, mais je dirais, essaie de retarder, tu n'y perdras rien.
  6. Des fois je réagis comme un taureau fonçant à la vue d’un tissu rouge, Agrathor. Du coup je peux faire un peu trop dans le noir-blanc (comme le taureau d’ailleurs, qui ne voit pas des couleurs, il paraît), et exagérer et/ou être injuste avec le tissu rouge. Je veux juste essayer d'expliquer un peu mieux ma tendance à m'énerver quand il me semble détecter un "il n'y a qu'à" d’ordre spirituelle, surtout dans un contexte de maladies graves. Je dis tout de suite aussi que je peux me tromper, aussi bien dans mon point de vue que dans ma "détection". Par ailleurs, je ne veux pas réellement cette discussion matérialisme/spiritualité, car elle est interminable, donc ici quelques pensées, rien de plus. Dans le monde social je préfère "matérialisme" au "spiritualisme"; en d'autres mots, je préfère le concret (pour plus d'une raison, entre autres: politique). Et au passage, la littérature spirituelle/ésotérique est assez friande de "'il n'y a pas d'hasard", "c'est écrit dans les étoiles", mais pourquoi le concret, l'esprit scientifique, le rationalisme, le "matérialisme" ne seraient pas alors aussi "pas d'hasard" et "écrits dans les étoiles". Pour ma part, matérialisme, rationalisme etc., font partie intégrante de la nature humaine, tout simplement. Je ne veux pas non plus jeter le bébé avec l'eau du bain, je ne mets pas une seconde en doute les bienfaits de certaines pratiques issues de théories spiritualistes, concernant l'hygiène de vie et d'esprit, si l'on peut dire. Quand tu marches sur la ligne blanche d'une route, ça va tout seul. Tu marches sur une planche de même largeur par dessus le vide, t'as peur de tomber à tout moment, et au mieux tu marches les bras écartés pour l'équilibre et d'un pas hésitant. Quand tu marches sur cette même planche, avec la certitude erronée que c'est la ligne blanche sur une bonne route bien solide, tu traverseras le vide d'un pas sûr. Cette certitude/illusion est donc d'une grande importance pour arriver sain et sauf sur l'autre rive. L'homme cherche toujours cette certitude, dans la religion, dans les théories et pratiques les plus diverses. La clé de voute de ce "système" est de croire, peu importe en quoi, pourvu qu'on ait soi-même la certitude de quelque chose de sur et de solide. Partant de là, toute théorie ou pratique peut faire l'affaire. Et on aura toujours la preuve à l'appui, car la traversé du vide se fera forcément mieux en croyant x ou y (peut être pas à 100% sans casse, mais significativement mieux), donc : x ou y existe, est vrai, CQFD. De là à en conclure qu'on détienne là vérité... Pour donner un vrai faux exemple: Si on croit dur comme fer que les martiens viendront nous sauver dans 30 jours, notre système immunitaire se renforcera, et je parie que des tests CD4 seraient meilleurs après 20 jours de cette certitude rassurante. Ce qui compte, c'est d'y croire. En procédant ainsi, il est relativement facile de "prouver" beaucoup de théories. Si ça marche pour soi-même, il n’y rien contre, c’est même en quelque sorte souhaitable. Mais la "gestion des vérités", individuelle et collective, et la dynamique de groupe viennent compliquer les choses. Selon les personnes, il y a une autre "gestion des vérités", il y en a qui doutent, il y en a qui ne doutent pas et toutes les phases intermédiaires. Une des manières de faire taire ses propres doutes, conscientes ou non, c'est d'essayer de convaincre les autres (c'est le métier qu'exercent beaucoup de thérapeutes, psychologues, politiques et autres, et sans doute je le fais parfois aussi, peut-être même ici...). Il y a la version "martyr" aussi, ceux frappés par le sort, qui s'en sont sorties, plus ou moins, et se mettent en exemple et/ou en gourou. On y ajoute une poignée d’adeptes, puis pour simplifier on "rationalise" en dogmes/règles ce qui s'est (peut-être) passé mais incompréhensible et invérifiable, et on obtient un embryon de contrevérité qui peut grandir sous diverses formes. Un pas plus loin, c'est la volonté d'imposer ces vérités ou, à défaut de pouvoir les imposer, de dire des "il n'y a qu'à", ou plus cyniquement, "il n'y avait qu'à". Ca revient à dire à la personne qui perd l'équilibre sur la planche, et tombe, parce que ses propres certitudes ont été ruinées par le "sort" : tu n'avais qu'à adopter mon point de vu/ tu n'avais qu'à m'écouter. Evidemment, c'est n'est pas forcément dit, car les intentions sont en général bonnes, mais ça suinte d'entre les mots. Autre aspect de la même chose: On est responsable de soi-même (donc ici, de sa santé). Je suis entièrement d'accord sur le principe, disons comme point de départ. Mais il y a des limites évidentes. Le môme né là où il n'y a rien à bouffer et seulement de l’eau polluée à boire? Sa responsabilité est où ? (D'ailleurs le mot karma interviendrait ici, et m'est donc insupportable dans ces contextes.) Mais plus près de nous, un mec qui perd son boulot, sa nana et sa maison, disons "histoire classique, version vinaigre", il est déprimé, suicidaire même. Oui, il est d'une certaine manière responsable, car c'est le résultat des ces choix de vie, etc. Mais ces choix de vie étaient faits dans un autre temps, dans un espoir et une perspective totalement légitimes et humains. Puis une autre option: il ne perd pas son boulot, il marne comme un dingue pendant des années et en tombe malade. Qu’est ce qu’il aurait pu faire ? Réellement, pas en théorie ? Tout en faisant de son mieux pour être responsable de soi-même, beaucoup de choses nous échappent, et on se retrouve coincés dans des situations. En prime, on peut adopter des comportements néfastes à "bénéfice secondaire", drogue etc. Dans ce cas, certains diront qu'on l'aura vraiment cherché, ce qui nous arrive. Mais...? Une dernière chose, dans le passé, et dans d'autres sociétés encore aujourd'hui, la mort est plus intégrée dans la vie, si l'on peut dire. Dans les chiffres sur la longévité de certaines populations, je me demande si la mortalité infantile est toujours bien prise en compte, par exemple. Ca ouvre plusieurs autres champs de discussion, mais ici je veux juste faire remarquer que les théories spirituelles/ésotériques qui prennent de telles sociétés comme source, pour arriver à des "recettes à suivre" pour nous autres occidentaux qui ne veulent pas mourir, sont peut-être dans un bel porte-à-faux. D'autre part, certaines de nos maladies conduisent tout simplement à la mort, si on veut tenter de la combattre ou retarder, il faut du poison. De ce point de vue, je pense que la médecine occidentale est bon pourvoyeur de poisons (et de techniques) parfois inévitables, si l'on en veut pas (encore) mourir - et ça malgré ses erreurs, les effets placébo (effet de croyance, encore une fois) et l'industrie pharma, qui elle n'est pas bien clean, ça c'est sur. En conclusion, en croyant quelque chose on peut aller très loin (en "orthodoxie" aussi d'ailleurs), mais je supporte mal quand ceux qui tombent de la planche, pour des raisons à mon avis légitimes et humaines, se prennent en prime des "tu n'avais qu'à", même chuchotés quasi inaudibles. L'étymologie est toujours très intéressante, je ne savais pas que haeresia venait de choix. Du coup j'ai regardé, mais c'est un peu plus complexe que ça, choix (de doctrine), en latin traduit par secta (secte). Ca fait rêver Et Agrathor, mon blabla de l’autre jour s’est greffé sur ton post, mais ne t’était pas spécialement destiné, en tout cas, ne prends d’éventuelles méchancetés de cette vieille sorcière pas personnellement. Au fond je comprends très bien ce que tu veux dire par tes posts et références, et j’ai trouvé ton post/jeu-de-mots sur les peroxinitrites très drôle. Je trouve simplement que dans le contexte de ce site, donc avec beaucoup de gens qui en ont pris déjà pris plein dans la g***le, et livrent des batailles de toute sorte, il faut se méfier des recettes qui semblent simples en théorie, et pourtant qui ne marchent pas en pratique, chose qu’on ne découvre pas avant d’être soi-même dans un tel cas. Et c’est d’autant plus dur quand c’est sous forme de "il n’y avait qu’à" pour des choses totalement invérifiables. Bref, tout ça est source de bla-bla interminable, on se perd dans d'innombrables méandres, pour pas dire dans les brumes, je viens de m'en rendre coupable aussi.
  7. selon cet article (en anglais) Ce glycerol monolaurate, je le vois aussi écrit comme monolaurine (ailleurs). Si c'est n'est pas une erreur, il s'agit bien d'une des propriétés de l'huile de noix de coco, comme certains l'affirment depuis des décennies. Mais dans l'article pas un mot sur noix de coco.
  8. Salut Agathor, j'admets que brume de l'abro, ça fait une bouchée pleine. Ce n'est que par accident, je t'assure, car brume tout court n'a pas réussi à se faire accepter sur ce forum pendant des mois. De là à y voir un signe des dieux... Donc pour sur, je dois bien être de la noblesse du virtuel, car dans la vie tout court, je suis fauchée comme tout le monde, ne t’inquiète pas- Oui, ces poupées russes, c'est intéressant, et effectivement, on les retrouve partout. L'herpes aux yeux, oui, ça existe. En ce qui concerne ma mère, je peux t'assurer qu'elle aura vu plus que ce que toi tu ne verras dans ta vie (statistiquement parlant), car elle était photographe et voyageuse, n'hésitant pas à passer des années dans les trous du cul du monde. Ceci dit, le facteur psychologique, dans toute maladie, je ne le nie pas. Mais il faut savoir doser dans son "diagnostique", et aussi réfléchir. Certaines assertions me fatiguent plus que de me mettre en pétard. Mais dans certaines situations, ça pourrait me mettre en pétard. J'ai enterré plusieurs ami(e)s ces derniers 2 ans, c'est l'âge, d'accord. Mais faillait pas m'emmerder avec les positions de luxe de ceux qui sont au dessus de l'humanité, qui ont tout compris, et considèrent, par voie de conséquence, que les malades, c'est des pauvres types "qui n'ont rien compris", d'où leur sort. Les corrélations linguistiques (enfin, un grand mot, après tout, pour verbiage gratos), peuvent, parfois, avoir des sources dans une logique commune linguistique, d'accord, mais faire joujou de chaque mot, m'emmerde. Une occupation de luxe de personnes non malades, à mon pas très humble avis. Puis à y aller par les jeux de mots, vous (je ne m'adresse pas qu'à toi) oubliez trop facilement la logique latérale (Wittgenstein). Sortir l'astrologie, la réincarnation, et d'autres phénomènes dont vous ne savez forcément rien non plus, c'est bien beau (pour d'aveugles, qui n'ont jamais rien lu à ces sujets), mais vous oubliez l'implication de vos assertions. En discours parallèle, ça revient à dire aux gens malade, que c'est des pauvres cons qui, en gros, l'ont cherché. Tu ne me crois pas? Réfléchis à ta propre logique (et encore une fois, je ne parle pas qu'à toi - ces derniers temps j'ai lu des trucs qui m'ont mis l'estomac à l'envers, et je n'ai pas réagi sur le coup, donc il y a du retard, qui ne t'est pas spécialement destiné). En plus, j'ai bu un coup, je l'admets, sinon je me serais dit la vérité, c'est à dire que ça ne sert à rien de réagir.
  9. Je me suis posée la même question, pendant des mois, et je me suis demandée aussi pourquoi il n'y avait pas plus de suivi dans les témoignages de certain(e)s, sur ce forum, mais maintenant, avec un peu de recul, je comprends. Ma position est: l'orthodoxie est pleine de trous, certes, mais, la dissidence n'a pas (non plus) les réponses. Donc profil bas. Et ça ne veut pas pour autant dire de s'écraser. Je trouve le travail de recherche fait ici très important, et à poursuivre. Je pense que "la vérité", si un jour elle existe à ce sujet, sera faite du travail de l'orthodoxie ét de la dissidence. Mais pour l'instant, la dissidence n'a pas non plus résolu le problème. Donc il n'y a pas de quoi sortir les drapeaux.
  10. Peut-être il n'y a aucun rapport, mais en ce moment je cherche pas mal d'info pour ma mère (de 83) qui hélas est de plus en plus enveloppée dans les vapeurs impénétrables d'alzheimer ou démence/sénilité autre. Cherchant ce qui pourrait être cause, étant donné qu'elle ne répond pas à un certain nombre de critères pour alzheimer, je me souvenais qu'elle a toute sa vie eu de l'herpes sous forme grave (notamment aux yeux). Il apparait exister un lien assez significatif, voire en béton, entre herpes (apparemment hpv 1 dans son cas) et alzheimer ou autre démence, y compris d'ailleurs la démence associé à hiv/sida (oui, bon, c'est ce qu'on lit, je ne dis pas que c'est vrai). A son tour, l'herpes semble lié à une grande quantité de mercure (et/ou autres métaux lourds peut-être, mais surtout mercure). Donc ma question dans le contexte de ce topic, est-ce qu'il peut y avoir un lien entre mercure et peroxynitrites? D'ailleurs, pour ce qui est de l'alzheimer / démence - mercure, il semble qu'on peut tenter la chlorella. Chlorella semble d'ailleurs assez intéressant dans d'autres cas, y compris hiv, je vais l'acheter pour mon ami, une cure ne doit pas pas pouvoir faire de mal. A y être, cherchant sur herpes/noix de coco, le même site dit d'abord que l'huile de noix coco est bon en cas de herpes, puis donne plus loin sur la même page une contre-indication pour huile de noix de coco et herpes hpv 1 et 2, pour cause du taux d'arginine. Je ne comprends pas bien la logique.
  11. Salut, Oui, très bon article, avec un petit air de famille Puis au sujet de l'ibuprofene. Est-ce que quelqu'un(e) sait si dans les anti-douleur courants il y a un mieux ou moins pire entre l'aspirine, le paracetamol et l'ibuprofene associé à la tri ?
  12. Un peu en vrac : Hier, mon ami était en train de reparer un truc en plastic, avec une colle/résine qui puait à 3 kilomètres. Pour rigoler, je lui disais : avec ton nez dessus comme ça, chaque inspiration doit te flinguer 10 CD4. On venait juste d'avoir les résultats, ses CD4 sont montés de 160 à 204. Comme ça a tendence à devenir obsessionnel pour moi de trouver la cause/l'origine de sa séropositivié (que je ne trouverai jamais), j'ai quand-même cherché sur le web, sur CD4 et styrène (une des composantes ou le diluant), et il y avait bien un article sur une étude attestant que rien que le styrène fingue des CD4 (et d'autres), bien que ce n'était pas une étude tres claire (pour moi), ni sur des personnes séropositives. Cette étude. Sachant qu'il a toujours travaillé dans le bâtiment, et souvent dans le bois, qu'ils traîtaient avec du pur poison, sans faisant attention et même en faisant l'économie des récommandations minimales de protection et de ventilation, je me demande quand-même si tous ces produits n'ont pas été ses poppers à lui. Puis quelques clics plus loin, je tombais un peu par hasard sur cet article, de août 08 (en anglais). A part le côté sciencefictionnesque du texte, encore une raison, apparemment, pour prendre au sérieux les probiotiques, soit parce qu'ils ont raison, soit parce que ça montre simplement une fois de plus qu'il y a bien "un truc" avec ce leaky gut syndrome/hyper permeabilité intestinale : Par ailleurs, les résultats CD4 faisaient quand-même plaisir. C'est encourageant. Seule remarque du médecin, qu'il y avait "une fuite de phosphore", provoqué par la tri, et qu'il faillait qu'il prenne pendant quelques mois de la vit D à haute dose (2000 UI, par mois, je crois). Il me semble qu'il y en a suffisamment dans le Daily 3 qu'il prend, je n'ai pas encore vérifié en détail.
  13. Jerman : Felicitations ! Une bonne nouvelle, ce n'est pas du luxe ! Puis le reste de vos démarches est très intéressante.
  14. Salut Arc, Je n'ai hélas pas de témoignage, mais ce que ton médecin a dit, m'a interpellé, pour ainsi dire, et fait réagir ailleurs, ici, si le lien marche bien. Bonne chance !
  15. Pour revenir sur ce post de Cheminot (et plein d'autres) et en même temps sur la fin du passage ci-dessous, que Arc vient d'écrire dans le topic "appel à témoignage" : Donc s'il y a résistence contre lamivudine, les résultats sont meilleurs en suivant une monothérapie avec lamivudine qu'en arrêtant carrément tout traitement ? Où est la logique ? Je dois mal lire, je m'imagine, mais...? Je n'ai pas encore cherché plus loin...
  16. Merci pour les réponses... Vous avez sans doute raison, Cheminot et Wallypat, que le remède (sous cette forme de médicaments) est pire que le mal, dans ce cas. Les posts de Pierre donnent de quoi lire, en effet, je n'ai pas encore eu le temps pour tout. Il ne semble pas y avoir eu de suite ou "update" depuis 4 ans. Ces mycoses/champignons continuent a me travailler. Pour mon ami ils ont vraiment joué un rôle de relais, on dirait. Sans ces mycoses il ne se serait pas affaibli comme ça a été le cas. Et à quel moment la tuberculose est venu s'y ajouter, avant ou après la phase "mycoses partout", au point de ne plus pouvoir manger pendant des semaines ? Même si ces mycoses sont forcément venues sur un terrain miné déjà. Je me suis même demandé si quand (et SI) il y a "transmission", ça ne pouvait pas être une forme de mycoses particulière qui se "transmet". Bref, ça ne me lâche pas, mais je fais sans doute fausse route. Mais je vais lire l'essentiel des posts de Pierre.
  17. Une question que je n'arrive pas à faire taire, malgré l'impression aussi persistente que c'est une question stupide. Donc vous pouvez me jeter des tomates pourries au besoin. Est-ce que quelqu'un à connaissance de données/expériences avec des traitements (systémiques) anti-fongiques/mycosiques en cas de séropositivité, sans traitement anti-retroviral ? J'ai cherché un peu, mais je n'ai rien pu trouver. Pas mal d'entrées où il est question de traitement ARV + anti-fongique, mais pas anti-fongique tout court.
  18. Je ne sais pas trop dans quel topic placer ce que je viens de lire (en anglais, désolée) sur le site de Henry Bauer, mais ça peut faire suite aussi à ce topic... Vers le bas de cette page sur le site de Henri Bauer : Les pourcentages me rappellent de manière indirecte les taux élevés de certaines CV, qui deviennent indétectables après quelque temps de prise de anti-retrovirals. Tony Lance y réagit à cette publication., d'ailleurs citée dans le post précédent sur la même page du site de Bauer.
  19. Bienvenue, Illusion ! Il ne manque pas de personnes ici qui sont mieux placées pour te repondre, donc juste quelques pensées en attendant. Le taux élevé de la CV au WB est peut-être lié à ton état grippal à peine une semaine plus tôt. Et ton état grippal pouvait être un état grippal tout court, comme plein de gens en ont (eu) à cette période de l'année, ou être lié à une séroconversion. Comme toujours, c'est difficile ou impossible de savoir quoi vient de quoi. Ca vaut aussi pour la recherche "historique" de qui a donné quoi à qui, et qui était "le premier". De manière générale, j'aimerai beaucoup qu'on fasse sous forme d'une étude des tests de CV (et de Cd4) sur des personnes non-séropositives. On trouve quelques cas isolés sur le web de personnes non-séropositives avec des CV élévées (et Cd4 bas, je crois). Mais ça reste justement un peu trop isolé pour en faire quelque chose. C'est peut-être une "bonne" occasion pour se mettre entre autres aux anti-oxidants, qui font du bien à beaucoup de monde ici (et ailleurs, bien sûr), et de faire attention aux acides gras insaturées, comme tu le trouveras expliqué dans les posts de Wallypat. Bon courage et bonne suite!
  20. Merci Jerman. Ce que tu dis là fait certainement partie des bonnes nouvelles plutôt rares de ces derniers temps. C'est un témoignage convainquant et encourageant - comme le sont d'ailleurs, pour moi du moins, les mails de Yacre, même si pour l'instant il ne s'agit que de diminuer les doses - et sans doute ses résultats encourageants sont aussi liés à l'hygiène de vie choisie. C'est bien aussi de partager cette conviction pour la bonne bouffe dans un couple, ça doit sacrément aider. Il y a des moments ici où je me sens cromagnon emm*rdeuse avec mon refus de bouffe made in four à micro-ondes et mes plaidoiries pour les oeufs bio de ferme. Puis si au résutat, malgré la tri + malbouffe, il a plus d'énergie que moi, qui essaie depuis toujours de bouffer avec respect pour les produits et les producteurs, les sols, l'environnement et tout ça, et suis végétarienne depuis toujours (je ne dis pas que c'est forcément bon d'ailleurs, c'est juste mon choix depuis que sais penser), ça donne à refléchir et fait que je me demande parfois si ce n'est pas moi qui délire. Pour l'anecdote, on vit loin de la ville, et assez en hauteur, à 700 mètres environ. Après tes mails à ce sujet, j'ai commencé à regarder l'info sur l'argent colloïdal, mais je n'ai pas encore fait le tour de la question. C'est intéressant en tout cas. Merci pour ce trou dans les nuages !
  21. Juste avant que Aixur poste la "nouvelle" sur ce forum, j'avais lu la nouvelle sur le foum néerlandais. Je cherchais des info plus précis en français, que je n'ai d'ailleurs pas trouvé à ce moment là, pour les poster ici. Après, Aixur avait déjà annoncé la nouvelle triste, donc pas la peine que je m'y mette. J'étais, et suis, très contente de la réaction de Cheminot et Wallypat. Une réaction modérée et avisée, et respectueuse. Ce n'est pas toujours ce que j'ai vu ailleurs. J'ai pris la "nouvelle" comme un coup de poing dans la gueule, même si je ne la connais pas personnellement. Je n'ai pas trop su comment réagir moi même. Objectivement, je suis en gros la position de Cheminot et Wallypat. Peut-être bien facile de suivre le point de vue d'autes, d'accord, mais ce n'est pas par "facilité". Tout simplement, on n'a pas tous une connaissance approfondie du sujet comme eux/vous (Cheminot et Wallypat - avec vos différences). Par contre, dire de Christine Maggiore qu'elle n'était qu' "à moitié", est lui faire injustice, Bamboo. A la limite, tu peux lui reprocher d'autres choses, mais pas d'avoir eu une position d' "à moitié". Dans la position dissidente, personne n'a été plus entière qu'elle. Ces derniers temps, j'ai eu beaucoup de, disons, "contrevents". Honnêtement, je ne sais plus trop quoi penser (si, un peu, grâce à ce forum). Par exemple, via des choses lues ici, je remontais à la question du acide/alcalin du corps. Quelques lectures plus loin, je vois que le pain complet, le riz complet, sont pires que le pain/riz blanc au niveau de l'acidité. Ce n'est qu'un exemple. Mais permettez-moi, à force de lire, il y a des moments où on ne sait plus à saint" se vouer. Puis, faut pas oublier que mon pôte sidaïque fait absolument tout ce qu'il ne "faut" pas, mais vient, pas plus tard qu'aujourd'hui, de tester à merveille pour le sucre et le cholestérol (carburant aux frites, saucisses et pizza au four à micro ondes, et à y être, sans sommeil, depuis je ne sais même pas combien d'années - t'as l'air bien malin avec ton pain complet et tout le reste de ta conviction "bio" depuis une vie entière, mais souvent "fatiguée", comme c'est mon cas). Ces derniers temps j'ai cherché des témoignages de personnes ayant refusées la tri, ou bien, l'ayant arrêtée au plus long terme, et se portant bien. Je n'en ai pas trouvée (de convainquantes). Sur cette constatation, je rejoins Wallypat. Et il a été plus courageux que moi. Je n'ai pas osé le dire, ou plutôt, je croyais n'avoir pas cherché au bon endroit, mais sans réellement croire que c'était la qualité de ma recherche qui posait problème. Même pas, quand tu disais, il n'y a pas bien longtemps, Bamboo, que ton ami envisagais "arrêter". Ce n'est pas de la lâcheté, c'est que je me sens perdue dans le tout. Mais la prochaine fois j'espère avoir le courage de dire que je crois qu'il faut (des fois) prendre de la tri, et en tout cas ne pas l'arrêter à la légère, sans attendre que d'autres tirent ces desagréables marrons à dire du feu. A travers tout ce fouillis, j'ai fini par me faire une idée provisoire en matière stragégie envers le hiv/sida: repousser le plus longtemps possible la tri, mais s'il faut passer par là, la prendre, et mettre le cap sur l'espoir de nouveaux médicaments, à venir (en espérant que Montagnier et d'autres s'y mettent, peuvent/veulent s'y mettre, comme le dit Cheminot). L'importance de ce forum est, du coup, pour moi, surtout l'accent sur les moyens de booster le système immunitaire, et simultanément/avant tout, de ne pas arrêter de questionner et de pister d'autres pistes. Par ailleurs, j'ai beaucoup de respect pour tes points de vue, Bamboo. Tes points de vue, et de certains autres, reveillent certaines choses en moi que je ne voulais plus entendre (faute de quoi? d'irréalisme prouvée ? mais peut-être faut il y re-croire, avec modération, je ne sais pas encore). Je t'en remercie (et les autres) sincèrement. En tout cas, de manière générale, je suis très contente de ne pas avoir lu ici des réactions "débiles" par rapport à la mort infiniment triste de Christine Maggiore. Parce que, malheureusement, il n'y a pas que les détracteurs qui discréditent sa cause et sa personne. Brume (un peu embrumé, mais pas trop)
  22. Merci Jibrail, je n'ai pas eu le temps moi-même. Faut pas tout mettre dans le même sac, au niveau de la sécu. La sécu made en US est tres "drôle", par exemple, ce beau pays, libéral, plein de macdo's et de liberté(s). Pour l'anecdote, j'ai des pôtes, mi-néerlandais, mi-américains, vivant en France. La mère de la nana est américaine et a 80 et quelques ans, et manque de pot, elle est malade pour le restant de ses jours, aux états-unis. Mais là bas, on ne lui paye les soins que pour un certain temps, jusqu'en février 2009, pour être précis. Donc, soit, d'ici là, elle y passe, on lui paye l'enterrement, et même le bouquet de fleurs qui va avec, soit on trouve une autre solution > La solution sera probablement qu'elle viendra en France, se faire soigner ici, par la sécu française. Eh bien, j'ai beau être refractaire à beaucoup de choses "politiques", cette éventualité me gonfle. Je lui souhaite les meilleurs soins du monde, à la nana en question, en France ou ailleurs. Mais que des gens friqués (car c'est une nana pleine de thune), doivent venir se faire soigner ici, en fin de vie, je trouve ça dégueulasse (d'autant plus qu'il faut lire le Canard Enchaîné sur ce que disent certains toubibs sur les CMU'istes en France) dans le contexte actuel. Vraiment, l'ensemble de ce "système" me donne la nausée. Tout en souhaitant le meilleur à la nana en question, et à tout le monde en question, car derrière tous ces chiffres statistiques il y a "un (1!) monde en question", évidemment. Mais je ne vais pas cracher sur la sécu française. Les états-unis vont pouvoir prendre exemple sur la sq française, je pense. Je crois que je déborde un peu du cadre, mais tant pis/basta
  23. Je ne sais pas, ça me semble pousser les choses un peu loin et assez inutilement. Puis exposer son corps à du froid est autre chose que de l'exposer à des sources infectieuses, virales, je ne sais quoi. Pour autant que je sache, une baisse de la température du corps fout des globules blancs en l'air, et du coup rend plus vulnérable pour choper la première chose qui passe. Mais si rien ne passe, tu ne chopes rien. Ca veut peut-être simplement dire que t'as (eu) du bol sur ce coup là. Ca me fait penser à mon ami, 54, CD4 à 160, tritherapie, le régime alimentaire le plus dégueulasse qu'on puisse imaginer pour une personne en bonne santé, donc pour un "sidaïque"...! Il dort 4 heures par nuit, se tape 8 heures de maçonnerie par jour. La semaine dernière, avec le froid et la pluie, il a bossé dehors, donc trempé et dans le froid, pendant des heures, et ça plusieurs jours. Ses fringues étaient litteralement à essorer quand il rentrait les soirs. J'ai failli téléphoner au "patron" pour le pourrir, mais après reflection, ça ne se fait pas pour des personnes adultes qui sont censées ne pas se laisser faire... Après ça, il disait : si dans 2 jours je ne suis pas malade, j'arrête la tri, car c'est de la connerie en barre. Et moi, en bonne dissidente, je lui ai dit de ne surtout pas arrêter sur un coup de tête comme ça... Donc, voila les paradoxes. Et la morale de l'histoire ? Je n'en sais rien. Il n'est toujours pas malade, mais je doute que ça prouve quoi que ce soit, sauf bien sûr qu'il est "solide". Puis, je suis censée être en train de bosser, donc à une prochaine
  24. Je viens de tomber sur ceci. Le monde est fou, comme on l'avait déjà remarqué.
  25. Je n'ai pas le courage de faire le tour de cette question, qui trouve des réponses sur ce forum. Juste pour le "plaisir" je cite ci-dessous quelque chose, qui donne quand même à refléchir. Malgré cela, je ne crois certainement pas à une "mauvaise foi" des médecins. C'est plus subtil que ça. "En France, les entreprises du médicament rendent les médecins captifs à la fois par l'information médicale, les visiteurs médicaux et par les congrès. Le pouvoir des laboratoires et des marques s'exerce jusque dans les facultés, sans parler de la formation permanente qui, faute d'argent public, est presque entièrement assurée par l'industrie: elle finance cours, brochures et colloques. La promotion des nouveautés est devenue d'autant plus déterminante pour se démarquer de la concurrence que "seule une petite minorité de médicaments récemment mis sur le marché apporte des progrès thérapeutiques tangibles". On compte en France près de 24000 visiteurs médicaux, dont 17000 travaillent directement pour des laboratoires (un pour dix médecins!), soit globalement près du quart des emplois de l'industrie pharmaceutique, c'est dire! On estime que les laboratoires dépensent ainsi chaque année en moyenne 20000 euro de promotion par médecin! La plupart des cliniciens participant aux congrès sur le Sida sont invités tous frais payés...." Qui pourrait bien en être l'auteur. Greenpeace ?
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