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Showing content with the highest reputation since 23/01/2013 in Messages

  1. CHRONOLOGIE : Juillet 1991 : decouverte d’une seropositivité au vih et deficience immunitaire. Septembre 1999 : Toxoplasmose cerebrale, T4 19, charge virale 260000 copies. Novembre 1999 : T4 49, charge virale 749, sans traitement ARVs. Janvier 2000 : mise en place d’une tri therapie…combivir+viracept. Fevrier 2003 : arret du traitement, 400 T4, charge virale indetectable. Mars 2003 : mise en place d’une nouvelle tri therapie…combivir+viread Juillet 2006 : demarrage d’une fenetre therapeutique, 500 T4, charge virale indetectable. ARRET COMPLET DU TRAITEMENT. Aout 2006 : au bout de quelques semaines arret immediat de la fenetre therapeutique. ECHEC. 218 T4, charge virale 1230000 copies. Janvier 2007 : demarrage long et progressif d’une moindre medication intitulée phase 1 pour 1 jour de traitement en moins, le dimanche…juillet 2007 600 T4, charge virale indetectable. S’en suivront diverses phases 2,3 et 4 avec toujours une diminution progressive du traitement. Decembre 2013 : arret de la phase 4 qui consistait en une prise de medicament le lundi, le mercredi et le vendredi, au 31 decembre 2013 T4 857, charge virale indetectable. Janvier 2014 : phase 5, elle consiste a 2 prises de traitement par semaine, le lundi et le jeudi. Nous en sommes à un mois et demi, tout est stable la charge virale est indetectable, les T4 varient entre 807 et 907, en terme de pourcentage entre 31 et 33%, des analyses ont etées effectuees toutes les semaines par mesure de securuité, nous allons espacer a 2 fois par mois. Tout au long de ce periple des traitements non conventionnels ont etes apporte en complement, le detail complet dans mon histoire intitulée survivant/survivor 83
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  2. Salut à tous. Guillermo 84, did 23 l'exprime bien et comme lui, à mon sens, une des premières conditions pour éviter le stress est de se tenir loin des gens auxquels notre faiblesse et notre naïveté profitent. Nos troubles doivent être pérennisés pour justifier la place de la médecine et de tout ce qui s'y rattache, dans nos sociétés. Le pouvoir d'ordonner matin midi et soir est d'une puissance redoutable et n'a d'équivalent que la violence parmi les outils de contrôle et de soumission. La santé est naturelle et la maladie découle apparemment des "mauvaises habitudes de vie" faites d'excès en tous genre dont nous acceptons d'être victimes lorsque l'estime de nous-même est faible. Là, nous sommes récupérés et confinés dans un rôle d'assistés ne trouvant d'autre moyen pour exister que de se victimiser pour attendrir notre monde. Mais l'univers n'est pas tendre... C'est souvent une image de soi dévalorisante qui nous conduit à de mauvais réflexes de vie et, tout le système médical se fonde sur ce mal être, que nos sociétés cultivent, pour rassurer les couards du moment au pouvoir qui croient ainsi être protégés par un système dont ils sont pourtant aussi les jouets et les proies. Il nous faut des poèmes, des blagues et des chansons dont les refrains seraient : " Loin des toubibs, ta santé va, d'aller chez le docteur, tu en meurs !" Hormis la chirurgie réparatrice, notre système de santé est une esbroufe qui se résume à utiliser la population comme cobaye et à occuper les professionnels vivant grâce à la mauvaise foi d'un univers malsain que seule la tromperie entretien. La quasi totalité des remèdes deviennent obsolètes et, avec le temps, se révèlent plus nocifs que bénéfiques pour les malades ainsi entretenues. A part comme poison, rares seront les traitements de nos labos actuels qui traverseront les âges aussi bien que les remèdes dits de "grand-mère". Nous vivons une purge, un écrémage effectué par certains d'entre-nous détenant le pouvoir d'opérer un tri des populations selon leur "philosophie": stérilisations physique et psychique insensiblement prodiguées aux populations ignorantes des effets des ogm pesticides et autres vaccins. La bonne santé va de soi naturellement. Le corps sait comment aller bien. Nos troubles sont d'un autre ordre et, loin de vouloir les corriger, les entretenir voire les accentuer est l'ordre du jour des dirigeants. L'humain n'est plus une denrée rare mais un sujet encombrant. Les seules mains secourables se trouvent aux bouts de nos propres manches. Partout ailleurs le déclin est à l'oeuvre et la prospérité violemment combattue. Dans le documentaire "La puissance de l'esprit pour guérir le corps", un scientifique soutient que la bonne santé de l'humain repose en premier lieu sur trois croyances: 1- une bonne confiance en soi;2- la confiance en les autres et enfin 3-, le sentiment que nous faisons partie d'un monde qui va en s'arrangeant. Hors, il est clair que la découverte de la puissance de ses sentiments, ainsi que leur entretien et leur culture, ont été bannis de nos enseignements, et sont remplacés par l'école de la défiance, de l'égoïsme, où nos esprits sont nourris de peurs, de doutes et de culpabilité paralysants. Pourtant, l'aventure de la vie reste exaltante, les possibilités d'actions demeurent infinies et notre potentiel est intact, au rendez-vous fixé par la Nature, nous sommes présents et prêts pour savourer la suite en continuant à parfaire notre amour propre et donc, le respect du vivant. Les pleutres s'éliminent d'eux-mêmes et l'idée selon laquelle la terre reviendra aux "doux" (sous-entendu aux vrais puissants) me paraît logique, naturelle et incontournable. La peur, souvent garante de la survie, s'apprivoise avec rapidité et, si elle contraint à la défiance encore la majorité d'entre-nous qui ne peuvent faire autrement que de s'avilir en nuisant à soi et aux autres, elle sera bientôt une émotion contrôlée, transformable en outil d'adaptation mieux affûté et ajusté qu'il ne l'est aujourd'hui. Le sphénoïde continu à accentuer sa courbure et, associé à l'environnement favorable dont nous dote la Nature, nous sommes prêts pour les défis futurs, avec l'envie d'ouvrager à bon escient, avec la raison pour guide. Paradoxal que nous en soyons arrivés à considérer l'oeuvre de la Nature comme un miracle subjuguant à la beauté infinie, d'une perfection hallucinante, tout en tempérant cette vision enthousiasmante lorsqu'il s'agit d'inclure l'humain à cet univers magnifique. L'enseignement que nous nous dispensons sous-tend que la Nature est parfaite sauf l'humain !?! Elle se serait planté juste au moment de nous concevoir...!?! Et c'est l'humain qui le dit, enfin, certains d'entre-eux qui ont compris le profit qu'ils pouvaient tirer de semblables honteux, culpabilisants, perdus, cherchant des signes ou/et un guide qui donnera espoir. Santé... pas plus. Toujours debout sans tri ni infection mais, accompagné de la certitude d'être le seul a pouvoir utiliser mon potentiel. C'est une responsabilité aussi terrifiante qu'enthousiasmante et, comme le risque et la souffrance sont preuves de vie aux mêmes titres que le respect et l'amour, j'ose les chemins de traverse et me plaît à tenter la difficulté. Imaginons que dans le futur, immortels, nous ayons atteint le stade où éprouver des émotions fortes ne se fait plus en train-fantôme ou en grand 8, par le biais du théâtre ou du cinéma mais, seraient remplacés par un "tour" de manège consistant à se glisser dans la peau d'un humain, dans un environnement dans lequel nous sommes à tour de rôle acteurs, spectateurs, scénaristes ou réalisateurs, pouvant ou non influer sur l'histoire humaine qui se déroule sur terre. L'effet ne vaudrait qu'en perdant la conscience de ce que nous sommes vraiment durant l'expérience (comme lorsque nous rêvons) et, selon si la séance nous plaît ou pas, avoir le pouvoir de la quitter avant la fin ( se suicider) pour changer de film et aller visiter un autre univers virtuel, ou décider de la revoir en y renaissant à nouveau (comme quand aujourd'hui nous allons voir plusieurs fois voir le même film, là, nous nous réincarnerions) et en s'y adaptant mieux à chaque séance qui durerait 2 heures en paraissant 100 ans. La vie sur terre et la condition humaine font peut-être parties des nombreuses distractions que nous avons imaginées pour rompre la "monotonie" d'une vie sans fin dont nous sommes déjà dotés. Éprouver la peur de mourir avec les émotions d'un humain ignorant son destin ... quelle intrigue, quel suspense, quelles émotions, mieux qu'un grand cirque. Les enjeux de la vie terrestre se résument peut-être à explorer une expérience sans autre obligation que celle de se connaître mieux en diverses circonstances. Jouir de la vie réclame à priori d'être le plus possible en accord avec soi ou, plutôt avec le double en nous qui souvent nous fourvoie et nous fait avoir une attitude différente que celle préconisée par notre raison. Tout serait donc permis et autorisé mais les plus grands plaisirs naîtraient d'intentions fondées sur la beauté d'être et de l'exprimer. Des délires sans fin plus fantastiques les uns que les autres sont capables de naître au cœur de nos pensées auxquels nos actes peuvent donner vie. Seules les entreprises humaines qui ne sont pas tentées essuient 100 % d'échecs. Pendant des millénaires nous avons survécus grâce à bien des choses indispensables et, la médecine qui l'a permis nous a été livré avec notre corps capable de se rendre malade comme de survivre dans des conditions extrêmes par notre seule volonté. J'aime raffermir en moi cette certitude car elle m'aide à m'apaiser et à m'accomplir bien que le chemin paraisse n'avoir pas de fin. A tous salut et bontoujours.
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  3. Bonsoir René, je lis avec beaucoup d'attention ton propos sur le forum en ce qui concerne le Dr RATH et la médecine cellulaire. je confirme avoir suivi les cours de base et perfectionnement en MC, couronné de succès ( obtention de certificats) convaincu par les enseignements obtenus, je me permet de qualifier la MC comme étant un "OUF" pour la santé des personnes dans le monde. je vis en Afrique centrale, au Gabon plus précisément, où il est encore difficile d'éveiller la conscience collective au sujet de la MC. je suis en phase de recevoir les produits du Dr RATH relatifs au Diabète afin de témoigner de leur efficacité par un bouche à l'oreille assorti de preuves. en te lisant, tu confirmes utiliser les micronutriments pour ta santé et celle de ta famille. ce témoignage vient solidifier mon engagement à faire confiance à la MC du Dr RATH et t'en remercie vivement. Je reste disposé. Frustré 007
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  4. Bon, j'étais distrait depuis 2 jours, je n'avais pas vu ce nouveau sujet. Je croyais avoir trouvé un scoop, mais j'ai présenté dans un nouveau post l'article dont vous parliez déjà depuis la veille. Autant pour moi. Moi aussi, j'ai été intrigué par le couplet sur les rétrovirus endogènes, dont la dissidence a parlé quelque peu, et amusé d'apprendre que les chercheurs ont obtenu "non sans mal" ces séquences génétiques... En fait, la PCR est complétée par des technologies de séquençage génétique, dites de génotypage et de phénotypage, en principe pour "mesurer" les effets des antirétroviraux (avant et après traitement). Sauf que, pour ajouter à la confusion, les technologies, leur conception et leur emploi... En faisant une recherche sur ces procédés, j''étais tombé un jour sur un article s'alarmant de ce qu'au Cameroun l'un d'eux fourni par Siemens cherchait à séquencer le vih de type/souche B alors que le vih africain serait plutôt de type non-B (http://jcm.asm.org/content/49/4/1635.full - High Failure Rate of the ViroSeq HIV-1 Genotyping System for Drug Resistance Testing in Cameroon, a Country with Broad HIV-1 Genetic Diversity). En tout cas, si le vih n'est plus présent que sous forme d'anticorps signalant son inactivation et même une immunisation biocellulaire, soit il est inoffensif, soit il est en mesure à l'occasion d'avoir, apobec et/ou stop codons aidant (ou pas ?), une sorte de fonction... de vaccination, voire "d'autovaccination" comme le suggère Jibrail. Le pot-aux-roses étant que le rétrovirus n'a pas été isolé, mais identifié par clonage, et qu'il fallait vraiment aller le chercher, ou bien en prendre un à peu près au hasard en sachant pertinemment que sa dangerosité n'était ni démontrée ni vraiment démontrable, sauf à recourir à des tests non spécifiques et à des technologies génomiques "dédiées"... pour limiter un tant soit peu les effets dévastateurs des antirétroviraux tout en continuant d'en justifier l'emploi contre vents et marées. Bref, combien de "contrôleurs d'élite" non malades et d'autres "guéris" parmi les personnes jamais dépistées et qui bon an mal an se portent très bien au fil du temps, merci pour elles ?
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  5. Resumé du second trimestre 2014 Durant cette periode les T4 auront evolué entre 600 et 730 avec un pourcentage entre 29.5 et 33%. Courbe de temperature strictement normale, reste du bilan normal. 6 mois etaient necessaire pour une validation.....c'est fait ! le stress lui ne change pas il est toujours present et je me sent bien seul dans cette aventure... aux medecins suceptibles de lire ces messages, je reste à votre entiere disposition pour vous montrer ce que j'ai fait. meme empirique cette experience a ete menee de maniere clinique sous controle d'un medecin specialisé vih.
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  6. Bonjour, et bienvenu sur le forum. Il est clair que le résultat des tests a été influencé. Le fait d'être enceinte a tendance à positiver le test. Et un état de fièvre aussi. Quand à vous, peut-être bien que les médicaments contre le diabète le font également. Comme en plus, les tests faits en Afrique sont ceux qui positivent le plus facilement, il suffit de peu de choses pour qu'ils le soient (positifs). Comme de toute façon, le vih n'existe pas, que le test soit positif ou pas, vous n'avez aucun virus mortel dans le sang et donc rien à craindre pour votre santé. Mais bon, c'est sûr que du côté de votre femme là, difficile de faire quelque chose. J'espère pour vous qu'elle sera convaincue par le site. Concernant votre vertige, c'est probablement dû aux médicaments contre le diabète. Les vertiges et les démangeaisons font partis des effets secondaires. S'il fait plus chaud que d'habitude, ça n'aide pas non plus. Donc, ça n'a très probablement rien à voir avec un parasite.
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  7. Bonsoir sergio, Je ne peux pas répondre pour être honnête tout dépend de ton histoire et de la façon dont tu as été amené à faire un test vih. Je note ( pour ne pas faire le parano) que nombreuses personnes S+ ont été diagnistiqué en debut d'année toujours dans les periodes du mois de février. Sans deconner c'etait là meme periode pour moi aussi lorsque tout a commencer... Ce qui m'a le plus choqué je crois c'est la rapidité avec laquelle "ils " sont capable de te mettre sous traitement chimio... En deux rendez vous c'est deja sous ordonnance ( vu de mes propres yeux.) VITE VITE te disent ils plus tot c'est pris plus tu as de chance de ne pas tirer ta réverance jeune... Toi par la peur tu absorbes des cachets dont tu n'avais jamais entendu parler auparavent ésperant secretement que cela va résoudre le probleme et que tu seras une exeption immunitaire. La vérité à été souvent dites sur ce forum ... Il n y a pas meilleur medecin que soit meme. Etre à l'écoute de ton corps... Au départ tu te fais tout un tas de film. Tu as la mono mais non on te dis que c'est une primo infection un peu au pif. Tous te diront je suis un expert je suis des patients depuis de nombreuses années. Mais toi tu commences à te poser des questions et la plus importante est la suivante => - Mais en gros si j'absorbe ces cachetons ...Je vais finir par craquer? je n'aurais plus de vih qui va circuler dans mon sang mais des problemes de foies de reines cardiovasculaire etc ... Je ne veux pas t'effrayer il y a pas mal de gens qui n'ont pas d'effet secondaire ou tres peu. D'autres pleins d'espoir et de courage comme SURVIVOR ou olivier92 qui viennt de temps en temps donner des nouvelles souvent bonnes d'ailleurs. Mon experience est simple j'ai ouvert la boite j'ai lu la notice ... et j'y ai trouvé quelque chose d'effarant ... RISQUE DE CRISE CARDIAQUE et j'en passe... AHAHAH au depart pensant etre fait je me suis dis je prefere laisser mon corp resister vivre normalement me proteger et proteger ma compagne et tout ira bien. Le jour ou j'aurais un soucy je m'embarquerais dans ces medocs. J' ai du me battre comme un demeurer à en devenir fou pour leur prouver que j'ai écouter mon corp. Des details ... => Les veines un peu douloureuses sur l'avant bras gauche et quelques douleurs du même type pendant des semaines. Puis un jour pof ... tout allait bien un matin je me reveille et pof... Je decide donc d'aller consulter dans un nouvel hopital. J' explique tout en details,malgré cela on essaye de me faire rentrer dans un schema classique du bon patient qui écoute et qui avale. Quelques semaines passent nouveau test 1 negatif l 'autre indéterminer quelques semaines apparavant mon test elisa etait de l'ordre de 814ul/l soit " tu l'as mon gars " ... Je n'y croyais pas j'etais dans un etat second me disant que ma vie allait se terminé la ... Puis je me suis repris ... allant fouinner consulter on m'a diagnostiqué une bonne mononucleose infectieuse et un epstein barr...tout les symptomes details par details. Evidement je me suis heurté à " oui vous avez fait une double primo infection mononucleose et vih " peau seche etc etc... Nouvelle prise de sang ... 2mois apres la sois disant primo infection ... Charge virale initialement a 156000 là à 10 000 avec un taux de cd4 ds la moyenne 640 quelques chose comme ca ... 4mois plus tard ... charge virale negative par contre gonorhé tres active datant du mois de janvier d'apres le medecin qui me prenait en charge... 1 semaine plus tard... Bilan cyto machin urines revenu à la normal pas de perte leucocytaire ni d'hémathie. Nouveau test vih .. Toujours douteux ... western blot indeterminé ... Je rappel la chef de service qui me suit et me dis " bon écouter on va attendre quelques semaines de plus et si votre immunité continu d'augmenté et charge virale toujours indetectable on va refaire un nouveau test. Ce que l'on ne dit pas c'est que la contamination chronique n'est pas systématique... Ca arrive biensur... Mais une fois que tu as fait l'erreur de te jeter sur la chimio ... il faut être patient... Tout comme dans n'importe quelle décision à prendre une thérapie de cette ordre etre une décision importante qui mérité réflexion... Regarde SURVIVOR ... qui prouve courageusement que deux prises par semaine et le mec est debout en forme ces résultats sont nickel ... c'est à se demander pourquoi gaver les gens de thérapie 7j/7j.. Alors je ne te donnerais pas de faux espoirs.. Je te dirais juste de garder la tete haute t'es toujours le meme tu n'as pas changé d'un poil. Préserve ton mental vis ta vie. Ca ne t'empeche pas de rester à l'affut de ta santé ce qui est normal. Mange plus sainement fait de l'exercice... ai confiance en TOI et en ton corps. Parle lui même si tu veux c'est important je pense. Il suffit d'aller visiter certains site comme seronet pour y gouter l'ambiance quasi " morbide" qui y règne .... " et moi mes cachetons j'ai des nausées. je dors plus ... et moi j'ai pris du ventre je sais pas pourquoi .... moi je commence a me degarnir ... moi j'ai eu une angine ... moi j'ai des problemes de digestions ... moi je chie des bulles ... pourquoi moi .... " Ils en ont le droit je peux le comprendre d'un certains coté ... mais mon conseil suis l'actualité sur le sujet. Renseigne toi sur les cachets que tu prends. Attention tout arret de tritherapie doit se faire avec l'aide d'un professionel et ou de facon douce... Ce n'est pas anodin ce que ton corps ingurgite ! Un virus est rentré dans ton corps .. maintenant il a décidé de dormir... malgré ca il continu de pilluler dans ton sang ... ??? Lorsque tu te fais retester meme si tu ressors négatif ... on te dira le virus fait dodo lol ... Bref mec apres la lecture de ce message, cherche à entrer en contact avec certains menbres de ce site... Informe toi un peu sur le net ... puis eteint ton ordinateur et retourne à ta vie. Ce qui est étonant c'est qu autant ta cv à chutté d'un coup... autant tes CD4 eux n'ont pas augmentés... aaaaah les CD4 ... est ce que ton medecin t'as dis qu'en fonction de l'heure de la journée ou ta prise de sang est pratiqué cela peut pas mal changé ? En fonction du stress aussi... ? Parle lui en il sera obligé de te dire que cela est vrai. Et lorsqu'ils sont dos au mur ... ils te disent d'une bonne voix rempli d'empathie " Je vois que vous n'etes pas pret à prendre un traitement et celui ci doit etre pris rigoureusement " lol... Les tests sont bidons ... Ce pseudo virus est plus qu'etrange et sans logique et cela de nombreux scientifique de renomées mondiale le disent le crie ... Trouvent ce qui ne va pas medicalement parlant. Pour te dire la vérité avant que cette histoire ne prennent fin en ce qui me concerne je suis aller consulter un nouveau medecin à qui je n'ai pas parler de tout ca... Il à été tres bon m'a filer ce qu'il devait me filer et quelques jours plus tard tout allait bien. ECOUTE TON CORPS ET SUIS TON INSTINCT. Si ton insinct te dis d'arreter les medocs parle en avec un nouveau medecin Si tu n'as pas d'effet secondaire et que tu te sens protégé grace aux cachetons n'arrete pas. Le plus important est que tu sois conscient et non guidé par la médecine toute puissante qui n'est qu'une abération face au serment d 'hippocrate. Bon je vais me coucher pete un coup mec
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  8. Très heureuse de vous retrouver,entre mes mains je tiens mon bb johan qui es né 2700 par césarienne a 38s le 24 juin a 13h. interdiction formelle d allaité ,le bb est mis sous traitement arv pendand 45 jrs pour en charge par la fondation Élisabeth glasser qui donne le médicament gratis aux femmes enceintes et enf né 1 mère seropo. Je fais un allaitement mixte, pour ne pas trop attirer l attention de mes proche surtout ma mère.vu que mon cd4 est a 395 donc j ai refusé d continuer le arv qui m on donner. Mon problème de respiration:asthmatique allergie a la poussière souvent sous subiltamol,tout temps enrhumé je pèse 79kg pr 1,62 et en parfaite santé, il ya 10 ans quant on ma di que j étais contaminé je pesais entre 59 et 63kg. brefs j attend 45jrs pour qu il fasse le test au bb le résultat va prendre du temps 10 a 15 jrs de stress....conclusion mon bb n est pas contaminé et moi je ne susuisi pas malade.
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  9. Pour le pourcentage de cd4 présents dans le sang, je viens de mettre des références dans sur la page de compilation concernant les cd4. Même si on peut trouver des références par ailleurs sur Internet, ça manquait. http://www.sidasante.com/themes/cd4/cd4_compilation.htm
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  10. Bonsoir à tous, j'ai longtemps, très longtemps, hésité à venir sur ce forum me sentant assez illégitime... Et pourtant vos témoingnages, vos vécus ressemblent tellement à ce que j'ai (d'autres ont) vécu alors... me voilà. Je suis une femme homosexuelle d'une trentaine d'années. Depuis toujours mon suivi gynécologique a été cahotique. Depuis le gynéco qui me repond que je n'ai rien à faire dans son cabinet puisque je n'ai pas de sexualité (Ah bon...........), jusqu'à celle qui met mes douleurs et mes hémoragies sur le compte d'un refus psychologique d'accepter ma féminité.... Bref je sais que je souffre de façon anormale (environ 4 jours par mois sous injection de morphine qu'un médecin impuissant à comprendre mais compatissant accepte de me prescrire) depuis l'âge de 20/21 ans mais je n'ai aucune réponse et surtout personne ne me prend au sérieux. A 25 ans je consulte une gynéco conseillée par des amies gouines qui me dit que je souffre surement d'endométriose mais comme je n'envisage pas de faire d'enfant, il "suffit" de traiter la douleur................ Un soir peu avant mes 26 ans je tombe par terre dans mon salon en hurlant de douleur. Urgences, radio, écho : il faut m'opérer en urgence "quelque chose s'est rompu dans votre péritoine". Je rentre au bloc shootée aux antalgiques vers 2h du matin. Au matin, un médecin se trouve à côté de moi, blème, légèrement perdu : "vous avez un cancer des ovaires de stade avancé, l'ovaire le plus atteint s'est rompu la nuit dernière, nous avons enlevé ce que nous avons pu dans l'urgence mais vous partez en cancéro très vite, il faudrait vous réoppérer et on vous expliquera la suite du traitement" Sur le moment j'oscille entre des sentiments très contradictoires, la peur de la mort, la rage de ne pas avoir été entendue avant, et le "soulagement" de savoir que j'avais raison en disant aux médecins que j'avais vraiment quelque chose. L'arrivée en cancéro est une sorte de parenthèse enchantée de quelques heures. Oui juste quelques heures... On m'affirme qu'on va prendre soin de moi, qu'on va me guérir même si j'en suis à un stade 3 avancé, qu'on va essayer de préserver ma fertilité (dont je n'ai rien à foutre mais je ne le dis pas à ce moment là). Le programme s'annonce lourd, très lourd. Une seconde opération au cour de laquelle on va m'enlever le second ovaire (en ayant avant prélevé des ovocytes) et toutes les ramifications du cancer qui vont jusqu'à l'intestin. Puis 2 protocoles de chimio de 6 séances (soit 2*4 mois) et normalement on pourra éviter la radiothérapie. Mais à un moment celui qui deviendra "mon cancéro" me demande si je n'ai jamais ressenti de symptomes avant ce fameux soir. Et je lui raconte mes errances thérapeutiques, l'absence de réaction des médecins, le refus de chercher une raison à cause de mon "orientation sexuelle". Je sens un changement d'atitude mais sur le moment entre l'épuisement, l'émotion, la peur je ne tilte pas. Le lendemain le discours a changé, mon cas est beaucoup plus grave que prévu... l'opération va tout enlever ovaire, utérus, une partie de l'intestin ce qui oblige à vivre avec un anus artifiel pendant 3 mois minimum, une chimio "EXPERIMENTALE" et une radiothérapie. Malgré cela je comprends qu'on ne me laisse pas beaucoup d'espoir... J'encaisse... Après tout j'ai tellement souhaité être soignée, et puis je suis solide, je vais me battre... Les choses s'enchainent relativement vite. J'apprends à vivre avec ma poche en plastique en guise d'anus et mon port-à-cath dans la poitrine pour la chimio. Je vous passe les détails des séances de chimio (avec l'utilisation d'un produit tellement corrosif que les infirmières devaient porter des gants spéciaux pour l'injecter... vous imaginez l'effet à l'intérieur du corps...) On me réopère pour raccorder l'intestin et j'enchaine avec la radiothèrapie. Moins de 9 mois ce sont écoulés depuis le début, je suis une morte vivante. 39 kg pour 1,76m, plus de cheveux, de cils, de sourcils... La peau brulée par les rayons. Des escares partout. J'ai besoin d'un déambulateur si je veux faire plus de 100 m. Un matin après une séance de radiothérapie, mon cancéro me recoit et me dit qu'il a une mauvaise nouvelle. Le cancer est encore très actif. Il faut recommencer une série de 12 séances de chimio. Je suis assise devant lui. Je regarde mes mains bleues posées sur mes genoux, par reflexe, je passe une main sur mon crane et elle ne rencontre aucun cheveu. Je le regarde et je lui dis "NON" "Je sais que vous allez me dire que c'est ma seule chance mais non. Si je dois mourir, je ne veux pas passer mes derniers mois à hurler de douleur, à vomir pendant des jours. Je ne veux pas de ça." Et je lui dis très calmement "je vous remercie pour tout mais aujourd'hui j'arrête. Je ne terminerai pas ma radiothérapie. Je vais rentrer chez moi. Appeler une infirmière pour qu'elle m'enlève ce foutu port-à-cath et même si c'est pour quelques mois je reprends ma vie en main". Il me détaille les risques et me fait signer un refus de soin (c'est la loi), je ne sais pas si j'ai été convaincante mais il n'a pas cherché à me faire changer d'avis. Il me dit qu'il espère que je verrais noël, je lui réponds que je tape de noël mais que si il me reste si peu de temps, je n'ai pas le droit de le gaspiller dans un hôpital. En 2013 cela a fait ... 6 noëls... dont 5 en bonne santé... Je raconterai mon parcours à partir de ce "non" et ce que j'ai découvert depuis dans mon dossier médical dans un autre message car mine de rien, cela remue de parler de ça
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  11. Resumé du 1er trimestre 2014 Dans le cadre d'une experience de moindre medication empirique officieusement le 1er trimestre s'est deroulé sans encombre malgré une virose de 15 jours. Les T4 ont varié entre 615 et 930 avec un pourcentage entre 31.5 et 33%. La courbe de temperature entre 35.5 et 37.2. La charge virale indetectable tout au long de ce trimestre. Pour memoire l'experience a consisté en deux prises de medicaments, une le lundi l'autre le jeudi avec comme traitement combivir et viread plus des complements alimentaires specifiques. 3 mois supplementaires sont necessaires pour confirmer la stabilité de ce protocole empirique.
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  12. bonjour a vous tous, resultat du bilan...tout est stable 771 T4 soit 31% charge virale indetectable on poursuit...
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  13. c'est le programme de terminale S en immunologie !
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  14. Il parait qu'environ 1 milliard de T4 sont produits chaque jour lors de "l'infection par VIH", oui c'est un explosion du nombre de cellules donc une source énorme d'ARN et ce n'est pas du tout cancéreux. Seul bémol, lors des PCR charge virales on exclu les cellules donc l'ARN du VIH présent dans ces cellules n'entre pas en compte. A remettre dans le contexte. Combien de T4 sont produits d'habitude ? Et surtout, ça m'étonnerais que ça multiplie par mille ou dix-mille la quantité de particules dans le sang. Or, c'est bien des multiplications pareilles qu'on obtient avec la charge virale. De toute façon, si c'était l'arn des T4 que ça mesurait, il y aurait alors autant de copies "virales" que de cd4. Donc, ça ne tient pas. Donc, ça ne change rien. Et on reste bien avec la problématique que j'ai soulevée. Et mon raisonnement détruit bien toute la pcr, pas seulement la pcr appliquée au vih. Parce que si la pcr est capable de détecter une charge virale de plusieurs millions de copies alors qu'il n'y a pas de virus vih, et vu qu'il n'y a qu'un virus qui puisse engendrer ce genre de multiplication phénoménale d'arn, ça veut dire que la pcr détecte autre chose que l'arn. Et donc, forcément, ça invalide la pcr dans son intégralité. Eh oui, bye bye la PCR. Et merci à Wallypat de m'avoir fait réfléchir à nouveau sur le sujet.
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  15. Merci cher Jibrail, toujours aussi pertinent dans tes interventions...et on est toujours aussi consterné de l'incapacité du mainstream médical à ne pas voir que le point commun des séropositifs qui consomment des poppers développant un sarcome de Kaposi et des séronégatifs consommateurs de poppers développant un sarcome de Kaposi, c'est la corrélation entre le sarcome de Kaposi (maladie qui par le passé "définissait" le SIDA) et les poppers...
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  16. Une nouvelle étude réalisée dans le cadre du MACS (cohorte américaine d'homosexuels masculins) viendrait souligner une plus haute survenue de certains cancers chez les hommes séronégatifs très consommateurs de nitrites (poppers), mais à un âge compris entre 50 et 70 ans. Les cancers concernés sont ceux "associés à des virus" : lymphomes hodgkinien ou non hodgkinien, sarcome de Kaposi, cancers liés au papillomavirus (cancer de la muqueuse orale, pharyngée ou anale). Les plus attentifs remarqueront avec intérêt que certains lymphomes non hodgkiniens, le sarcome de Kaposi et le cancer du col de l'utérus invasif (censé être causé par le papillomavirus de la même façon que les cancer anaux ou oropharyngés) sont trois des maladies - et les seuls cancers - définissant le stade sida. Les lymphomes hodgkinens sont aussi bien plus fréquents chez les séropositifs, même s'il ne font pas partie des maladies qui ont été (arbitrairement) retenues pour définir le stade sida. En résumant, on pourrait dire que l'usage fréquent de poppers favoriserait la survenue des cancers associés au sida chez les séronégatifs. Les auteurs précisent que si une telle relation entre usage élevé de nitrites et cancers associés au sida n'est pas mis en évidence ches les hommes séropositifs, ce n'est pas parce que ceux-ci développeraient relativement moins de cancers, mais parce que probablement l'immunodéficience associée à la séropositivité augmente déjà considérablement à lui seul le risque de cancer. Si on était dissident de façon caricatural, on constaterait qu'on a d'un côté des sida avec VIH susceptibles d'intervenir à tous les âges, et de l'autre côté des sida sans VIH qui interviennent de façon plus tardive. Et comme point commun, du poppers à usage élevé, plutôt que le VIH, qui définit un degré de gravité plutôt qu'un facteur causatif. Cela n'exclut naturellement pas le rôle d'autres facteurs (combinés ou non) à déterminer. Un accès libre à l'article nous aurait peut-être permis de nuancer notre vision et éviter de sombrer dans cette vision si terriblement caricaturale dénigrant le lien entre VIH et sida. Mais comme il est de coutume, l'article est bien entendu payant. Alors il nous faut reprendre les éléments de langage habituels : l'usage élevé de poppers ne figure pas parmi les facteurs causant le sida (caricature dissidente), mais favorise l'acquisition du VIH qui par un mécanisme inconnu, cause une immunodéficience qui ouvre la porte au sida (vraie science). Il ne nous reste plus qu'à attendre la prochaine étude du MACS sur la relation entre usage du poppers et sida, dans 3 ans (la précédente date de 2014, avait été présenté dans un congrès mais n'avait même pas été publiée), et qui sait, d'ici 30 ou 300 ans, on aura enfin une vision plus claire de cette question, de laquelle tous préfèrent détourner les yeux.
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  17. Bonsoir, Cette situation est terrible à vivre et je peux juste essayer de vous aider à voir plus clair en vous décrivant les différents types de test - 4 en tout, telles que le décrivent les médecins (même si je pense personnellement qu'il y aurait beaucoup à redire, mais je rentre pas dans le détail car c'est déjà bien assez compliqué). C'est juste pour comprendre leur logique. - Le test dit "ELISA" est un test d'anticorps (il est censé détecter les anticorps au VIH - les anticorps sont des cellules que le système immunitaire produit pour se défendre). Il repère donc pas le VIH directement, mais les anticorps au virus. Il donne une réaction en positive, négative ou indéterminée. - Le test dit "WESTERN BLOT" est un aussi un test d'anticorps, mais il est beaucoup plus précis que le test ELISA car il est censé repéré individuellement les différentes composantes du virus (jusqu'à 10), alors que le test ELISA ne fait pas la différence. C'est un test de "confirmation", qui est beaucoup plus long, demande de plus de matériel de laboratoire, et il est beaucoup plus coûteux que le test ELISA. Alors il est fait beaucoup plus rarement. - Le dernier test dit "P24" recherche lui aussi indirectement une composante du virus, mais seulement pour détecter des "risques" récents (< 2 mois), car ce test peut être positif avant les autres (avant 2 mois, les autres tests ne peuvent encore être efficaces car il n'y aurait pas assez d'anticorps). C'est souvent utilisé chez les femmes enceintes ou pour pouvoir selon eux traiter le bébé le plus vite possible sans attendre 2 ou 3 mois, ou chez les gens qui sont malades avec des symptômes qui ressemblent au sida, aussi pour les traiter le plus vite possible. Ce test est aussi simple à réaliser, comme l'ELISA. - Le test dit "PCR" ou "CHARGE VIRALE" est très différent, puisqu'on recherche dans le sang l'ADN (les gênes) qui serait celui du virus. C'est aussi un test un peu compliqué et coûteux, et comme la P24, il peut être positif rapidement, sans attendre plusieurs mois. Il est donc aussi utilisé chez les femmes enceintes ou chez les gens malades, pour voir s'ils sont susceptibles ou pas d'être porteur du virus et de pouvoir les traiter les plus rapidement possible. En France la procédure est normalement la suivante lors qu'il y a un test (à moins que cela ait récemment changé) : - On pratique un premier test ELISA (en général il est fait deux fois pour être sûr qu'il n'y ait pas d'erreur). S'il est positif, on fait un test WESTERN BLOT, et seulement si le WESTERN BLOT est positif, alors on considère que la personne a le virus. - Lorsqu'il y a eu un "risque" récent, on peut aussi faire un test "P24". Mais c'est juste une indication : avec un P24 positif, cela ne suffit pas à considérer que la personne ait le virus. Il faut refaire plus tard un test ELISA puis WESTERN BLOT pour être sûr. - Le test PCR est d'abord réalisé pour estimer la quantité de virus qu'il y aurait dans le sang. Mais il ne sert jamais à diagnostiquer le virus : il faut toujours qu'il y ait un test type WESTERN BLOT pour confirmer. A propos du test DETERMINE (qui porte mal son nom) : C'est un test rapide qui combine à la fois un ELISA et un P24. Il faudrait tout de suite oublier le P24 : d'après plusieurs études, il fonctionne particulièrement mal pour le test DETERMINE, avec une efficacité proche du néant (voir cette étude australienne pour ceux qui parlent anglais). Et de toute façon, un P24 positif ne signifie pas forcément que vous auriez le virus car il arrive souvent que le P24 soit positif mais que l'ELISA soit ensuite négatif. C'est arrivé 6 fois dans l'étude australienne avec le test DETERMINE. C'est ce qu'on appelle un "faux-positif". Le P24 n'est absolument pas fiable et encore plus dans le test DETERMINE. Pour l'ELISA, cela peut être pareil : un test ELISA peut être positif, mais ensuite le WESTERN BLOT négatif. C'est arrivé 12 fois dans l'étude australienne par exemple. Pourquoi cela arrive si souvent ? En fait pour les médecins, l'important c'est que le test détecte tous les cas positifs, et n'en oublie aucun.Mais pour y arriver, et parce que le test rapide ne peut pas être aussi performant qu'un test de laboratoire, le test réagit trop facilement : il devient plus facilement positif même lorsqu'il ne devrait pas. Pour prendre un comparaison, c'est un peu comme si un test qui devait détecter des objets bleus était aussi positif pour des objets verts, parce que parfois c'est difficile de différencier le bleu du vert. Le test ELISA (le test rapide) détecte à la fois tous les objets bleus et verts pour être sur de n'en oublier aucun. Et puis ensuite le WESTERN BLOT fait la différence entre les objets bleus et les objets verts pour ne garder que les verts. Tous les tests rapides ne sont pas paramétrés de la même manière, c'est pourquoi ils donnent des résultats différents. Après je ne sais pas quelle est la procédure au Gabon. Si c'est possible, il faut toujours demander un test Western Blot. En France, un test rapide seul ne permet pas le diagnostic, il y a toujours un WESTERN BLOT après un test rapide positif. Et d'ailleurs le test DETERMINE n'est pas commercialisé en France...
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  18. J suis la tu peux m parler autant de fois k ru veux j suis à ton écoute depuis le matin j n cesse de revenir poir voir si ta répondu si possible ce serai mieux kon se parle par whtaspp si tu veux bien mais c'est comment se communiquer les numéro dans l'anonymat ? oui j pense kil t'appelerons si t'es résultats sont tjr indéterminé poir t dire kil t ferons un autre en examen Pcr celui kon ma fait parce que c'est ainsi qu'ilà avaient procéder avec moi les prémiers tests était tjr indéterminé et avant k j n parte au rdv ils mont Appler poir m l dire et kil feront d'autre pour les pousser les recherches pour l'intervention de autres membres soit patiente nous sommes nombreux dans le monde a inscrite sur c forum et chacun doit vaquerà ses occupation mais c qui est sur tu aura d'autres réponses k les mienne
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  19. Nouvelle découverte fracassante ce matin concernant le supposé virus de l'Hépatite C : des scientifiques de l'INSERM annoncent qu'ils viennent enfin... de l'observer ! Et d'ailleurs il n'est pas très beau. Le résumé du communiqué de presse sera particulièrement évocateur pour les familiers des théories du Perth Group concernant l'absence de l'isolation du supposé VIH, et le rôle indispensable de la purification et de la photographie comme preuve de l'isolation du virus. Cela peut paraître surprenant mais jusqu'ici personne n'avait observé le virus de l'hépatite C (VHC), assassin fantôme censé tuer 700.000 personnes par an dans le monde, jusque là sans être vu (une performance que seul le VIH peut se targuer d'avoir enfoncé). Les plus insolents pourront se demander comment a pu être publié plus de 44.000 articles scientifiques sur le VHC sans que quiconque ne l'ait encore jamais observé, et comment il est possible de lui attribuer des propriétés et un génome spécifiques dans de telles conditions. Les chercheurs en général et l'INSERM en particulier ici en sont bien conscients, et l'explique par le caractère exceptionnel du virus que des âmes simples (comme la mienne) qualifieraient tout bonnement de maléfiques : Comment les chercheurs (tourangeaux) sont-ils parvenus à un tel résultat ? L'article scientifique publié dans le revue "GUT" n'étant évidemment pas en accès libre, il faut se contenter du résumé, forcément succinct. Les auteurs indiquent y être parvenus en utilisant "plusieurs anticorps spécifiques de protéines virales". Et comment savoir s'ils sont spécifiques d'un virus avant que quiconque l'ait observé ? Euh... En tout cas il est toujours remarquable de faire la différence entre le communiqué de presse triomphant et les nombreux conditionnels utilisés dans le résumé : Malgré cela, les chercheurs tourangeaux peuvent pourtant être fiers de leur découverte et ne manquent pas de remercier la communauté scientifique (des virologues) dans laquelle ils s'inscrivent et pour lesquels ils sont reconnaissants : « Cette structure concorde tout à fait avec des travaux antérieurs de biologie moléculaire qui prédisaient cette organisation.Ces observations valident donc vingt-cinq ans de travail de la communauté scientifique ! » La communauté scientifique va-t-elle cependant le leur rendre ? Au minimum elle est lente à la réaction, car on n'aura bien du mal aujourd'hui à trouver le moindre article non-francophone consacré à cette "découverte majeure" dans la presse du monde entier, à part dans une édition hongroise de RTL ou l'édition lusophone de RFI. En attendant les réactions à venir, on est au moins certain ce soir que le virus de l'Hépatite C n'avait jusqu'ici jamais été observé. Reste à savoir dans les jours à venir si ces nouveaux travaux valident "les travaux antérieurs de biologie moléculaire qui prédisaient cette organisation" du supposé virus, ou si on comme par hasard, en voulant démêler les vraies "particules virales complètes" des fausses "particule-like", on a trouvé un peu trop exactement ce que l'on cherchait.
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  20. Un nouvel article publie les dernières trouvailles de la CDC américaine (Center for Disease Controls) en matière de statistique du VIH/Sida. Elle a estimé aux Etats-Unis, selon le groupe racial, le sexe ou le lieu de résidence, quelle était la probabilité de devenir séropositif au cours de sa vie. Il en résulterait que parmi les afro-américains, un homme sur 20, une femme sur 48 et un homosexuel (masculin) sur 2 (la moitié !) deviendrait séropositif aux conditions actuelles au cours de sa vie. Soit pour les hommes et les homosexuels des chiffres 5 à 6 fois plus élevés que chez les blancs; pour les femmes, 18 fois plus élevés que chez les blanches ! Sinon le VIH n'est pas raciste et ceux qui en forgé le concept du VIH non plus. Cela doit juste être encore un hasard, ou plutôt, vraiment pas de bol. Et on sait bien comment le fait d'avoir "vraiment pas de bol" est devenu un concept définitivement central pour expliquer le VIH...
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  21. Toujours les memes à la tete de ce merdier ! Je vous prie de prendre quelques minutes de votre temps et de regarder cette video....vous etes autorisés à leur gerber dessus ! http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=087pRReeu30
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  22. Bonjour à toutes et à tous ! Comme vous l'avez peut être constaté, le suivi n'est plus très régulier et pour cause ! L'ami qui en était l'objet se porte très bien et est décidé à maintenir sa nouvelle hygiène de vie, ainsi je ne vois plus l'utilité de continuer ce sujet. A la fin de son traitement homéopathique il a été décidé qu'il retournerai de nouveau faire un test de dépistage afin de voir si une modification de l'hygiène de vie peut changer le résultat (tout en sachant que le premier test pu être faussé par la prise d'antibiotiques a peu près 3 semaines avant) Mais quel qu'en soit le résultat cela ne changerai rien à notre vision des choses, à mon proche et moi même. Cela permettrai dans le cas d'un résultat négatif à prouver à quel point les tests peuvent être trompés par différents facteurs (ici les antibios) et également avancer l'hypothèse qu'un changement radical de façon de vivre peut faire permuter un test positif en négatif. Dans le cas ou le résultat resterai positif cela prouvera que l'on peut répondre séropo au test et vivre sans médications aucunes. Cela permettra ainsi de mettre en lumière les incohérences de toute cette théorie. Je tiens également à grandement remercier pour tout le soutien et conseils que vous m'avez apporté, je l'avoue au départ malgré mes certitudes, j'ai douté, ne sachant trop quel chemin conseiller (officiel ou dissident) mais grâce à vous, aux travaux et témoignages présents sur ce site ainsi qu'au soutien du Professeur De Harven mon ami à prit la bonne voie et est désormais conscient qu'il est responsable de sa santé.
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  23. Bonsoir a tous, Résultats du bilan.... 1048 T4 soit 33,6% CV INDÉTECTABLE Un mois complet vient d'être boucle avec un tesultat positif.... Nous poursuivrons a ce rythme jusque fin septembre avant de passer à une dose tous les 10 jours afin de s'assurer de ne pas voir réapparaître la charge virale Prochain bilan vendredi dans un autre labo indépendant puisqu'en vacance a l'autre bout de la France Je vais en profiter pour refaire un nouveau test de dépistage meme si c'est peut etre un peu prématuré.... Nous verrons bien
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  24. Je suis également de l'avis d'Aixur et de Jardinier. La thèse de l'AVC est ultra problème, ensuite c'est la réaction en chaîne. Même chose pour les médicaments qui entraîne des nouveaux problèmes tout en soulagent d'autres. Courage a toi . Bonne fin de journée
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  25. Super nouvelle sois fort et continue
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  26. Bonjour à tous, Je vous explique ma situation, je suis actuellement dans une période de grand doute concernant ma séropositivité déclarer en 2008 lors de ma grossesse. J ai été contaminer par le père de mon enfant, je suppose en 2001 car je situe ma primo infection à ce moment la ( angine de type MNI). J ai moi même demander le test HiV des l annonce de ma grossesse car j avais des doutes concernant mon partenaire, doute que je niais jusque là. De plus j ai su plus tard qu il était infecter depuis 1986 et ni son ex compagne, ni sa fille née en 1991 ne sont a priori contaminer. Depuis 2008 j ai demmarer un traitement avec 260 t4 et cv 60000, je me portais et me porte toujours très bien. Jusque là je prenais mon traitement automatiquement sans me poser de question et en niant quelque part cette maladie. Seulement voilà depuis peu j'ai pris connaissance des thèses dissidente et de votre site et ce que j y ai trouver me perturbe énormément et je me demande aujourd hui si je suis réellement malade et si se ne sont pas ses traitements que je tolère plutôt bien qui finiront par me rendre malade. Je n ai jamais pris de drogues, j ai une vie plus ou moins saine, à part d importante angine dont une mononucléose sévère en 99 et bien sur toute les vaccinations dont hépatite b en 95. Le fait que j ai ete dépister durant ma grossesse et particulièrement en état de stress que vous pouvez imaginer me laisse parfois supposer que cela puisse être un faux positif, mais l état sérologique avéré de mon partenaire de l époque me laisse aussi penser le contraire. Je suis complètement perdu ét déconcerter par tout ce que j ai Pu voir ét lire à ce sujet . J au l impression Que ma tête va exploser, d avoir perdu toute capacité de discernement. Pouvez vous me dire ce que vous pensez de ma Situation
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  27. Perso je te conseil de refaire tes tes dans quelques semaines quand ca ira mieux... INACCEPTABLE DE LIRE DES CHOSES PAREILLES ! Bon je vais resumer mais certains le feront mieux que moi 1) Tu auras beau avoir un diagnostic + tu ne vas pas mourrir demain t'inquiete pas pour ca 2) sans western blot positif pas de diagnostic possible selon l'orthodoxie du vih elle meme 3) au dessus de 100 000 copies de virus dans ton sand ca n'a aucun sens de commencer un traitement de suite. Voilà mon conseil 1) centre de depistage anonyme refaire un nouveau test 2) parle en a ton copain ou époux en lui faisant faire un test c'est TRES important 3) quelque soit le resultat tu ne vas pas mourrir 4) Le stress est vraiment mauvais pour la santé et pour tes resultats. 5) oui malheureusement il y a un 5 cette histoire peut importe comment elle se termine tu t'en souviendras toujours, tu auras toujours des questions. Mon histoire n'est pas isolée ... Et si il fallait faire un resumé de ces derniers mois ( oui il y a encore des choses à raconter mais je le ferais dans ma section ouverte) c'est => Perte totale de confiance dans le systeme de soin. ta premiere question est " mais comment on peut mettre quelqu'un sous traitement aussi rapidement ???" Puis je te demandé de quelle ville tu es ?
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  28. LA PROCRÉATION DANS LES MYTHES CONTEMPORAINS : UNE HISTOIRE DE SCIENCE-FICTION Marika MOISSEEFF CNRS / Laboratoire d'anthropologie sociale (Texte paru dans Anthropologie et sociétés : Le mythe aujourd'hui, 2005, vol. 29, n° 2, p. 69-94) SOMMAIRE : 1. Cosmologie, idéologie, mythologie 2. Logos et muthos 3. Direction Le Meilleur des mondes 4. Alien, une initiation féminine 5. Malthus et Darwin : deux précurseurs de la mythologie contemporaine 6. Des humains et des insectes à Hollywood 7. L'enfant venu d'ailleurs et l'homme parasite 8. Des femmes, des insectes et des clones 9. Vivipares ou clones ? Résumé : Les ethnologues ont beau affirmer que les mythes sont présents dans toutes les sociétés, y compris les plus évoluées au plan technologique, il n'en demeure pas moins qu'ils tendent plutôt à se pencher sur les mythes recueillis ailleurs et/ou écrits à une autre époque. L'analyse d'un ensemble représentatif d'œuvres de science-fiction ayant pour thème la reproduction permet de suggérer que la science-fiction constitue un corpus mythologique au sens propre. Elle éclaire les soubassements de l'idéologie occidentale contemporaine concernant la différence des sexes et des cultures. On est alors à même d'évaluer la prégnance persistante de l'idéologie évolutionniste. Aussi inattendu qu'il puisse paraître, prendre au sérieux l'imagerie populaire contemporaine permet, en outre, d'approfondir la perspective proposée par Jean-Pierre Vernant quant à la fonction à donner à la mythologie. Abstract: Although anthropologists maintain that myths exist in all societies, whatever their level of technology, it remains that they tend to concern themselves with myths collected elsewhere and/or written in other time periods. The analysis of a representative sample of works of science fiction dealing with the theme of reproduction suggests that science fiction is, properly speaking, a mythological corpus. It reveals the underpinnings of contemporary Western thought regarding sexual and cultural difference, and underscores the persistence of an evolutionist ideology. As surprising as it may seem, taking contemporary popular imagery seriously, allows, among other things, for a further development of the perspective proposed by Jean-Pierre Vernant regarding the functions of mythology. La science elle-même, dès qu'on la conçoit comme un tout cohérent et qu'on en tire des modes de représentation et de comportement, joue le rôle d'un mythe. Smith 1996 : 1039 Une question s'impose : est-il possible de dégager, au sein de la masse des oeuvres produites dans les sociétés occidentales modernes, un corpus mythologique d'ampleur équivalente à celui collationné et analysé par Lévi-Strauss pour les sociétés amérindiennes? Car les anthropologues ont beau affirmer que les mythes existent dans toutes les sociétés, qu'elles soient ou non très "évoluées" au plan technologique (Smith 1996 : 1037), ils n'en continuent pas moins à conférer le titre de mythes avant tout à des récits recueillis ailleurs et/ou écrits à une autre époque. Je vais essayer de montrer ici que la science-fiction doit être appréhendée comme un corpus mythologique au sens propre dont le contenu et la fonction ne peuvent être compris qu'en référence à l'aire culturelle au sein de laquelle il a émergé : l'Occident moderne où les sociétés accordent une place prééminente à la science dans les représentations autant que dans les pratiques. Je commencerai par revenir sur les propositions de Vernant concernant la fonction sociale des mythes afin de convenir d'une acception minimale commune de ce qu'est la mythologie. Puis je présenterai l'analyse d'un ensemble représentatif de productions populaires ayant trait à la reproduction. On verra qu'elle permet d'éclairer les soubassements de l'idéologie occidentale se rapportant à la différence des sexes et des cultures. 1. Cosmologie, idéologie, mythologie Vernant nous rappelle que les recherches qui, dans l'entre-deux-guerres, vont transformer les études mythologiques ont en commun, et en opposition avec les approches qui les précèdent, "de prendre le mythe au sérieux" (1982 : 226). Leurs auteurs, de Marcel Mauss à Dumézil en passant par Granet et Gernet, y voient "un exemplaire de fait social total", c'est-à-dire que les catégories de l'économique, du religieux, du politique, du droit, de l'éthique, de l'esthétique n'y sont pas dissociées (ibid. 235). De même, selon Gernet, le "langage du mythe fait appel à des images concrètes plus qu'à des notions abstraites, sans qu'entre images et notions il y ait une coupure radicale" (ib. 235). Bref, "il y a dans toute symbolique mythique une forme d'expression 'globalisante' ".(ib. 233). "Dans et par le mythe, [...] la pensée se façonne en s'exprimant symboliquement", véhiculant des façons "d'organiser l'expérience" (ib.) Puisque le dispositif symbolique qu'est la mythologie est dorénavant conçu comme un instrument de pensée, Vernant nous invite à nous demander s'il n'est pas utilisé comme cadre formel "pour exprimer et transmettre, dans une forme narrative, différente des énoncés abstraits du philosophe ou du savant, un savoir concernant la réalité, une vision du monde, ce que G. Dumézil appelle une idéologie" (ib. : 245-246). Mon objectif, dans cet article, est d'apporter une confirmation à cette proposition. Pour ce faire, je considérerai d'abord ce qu'est une cosmologie : "un ensemble plus ou moins cohérent de représentations portant sur la forme, le contenu et la dynamique de l'univers : ses propriétés spatiales et temporelles, les types d'être qui s'y trouvent, les principes ou puissances qui rendent compte de son origine et de son devenir" (Viveiros de Castro 1991 : 179). De mon point de vue, une idéologie, c'est-à-dire, selon l'intuition de Vernant, ce qu'exprimerait et transmettrait une mythologie, intègre à la cosmologie un système de valeurs censé expliciter la hiérarchisation des phénomènes naturels et socio-culturels. Pour sa part, la narration mythologique exprime et transmet une idéologie d'une manière qui lui est propre et qui est non dogmatique : sa structure formelle lui permet d'intriquer cosmologie et réflexion éthique en laissant ouverte la possibilité d'interroger les savoirs apparemment établis. Un mythe n'est, en effet, pas un dogme qui servirait de fondement à une croyance obligatoire (Vernant, ibid. : 215). Pourtant, à la différence des sciences, la mythologie ne s'exonère ni de jugements de valeur – elle pousse à s'interroger sur le sens du bien et du mal sans apporter de réponses claires et définitives comme tend à le faire la philosophie –, ni d'une spéculation sur les finalités de l'homme et de l'univers sur un mode différent de la théologie car, là encore, loin de prétendre à imposer des réponses claires et définitives, elle tend, bien au contraire, à renvoyer indéfiniment à l'inexorabilité de l'insondable. Cette appréhension de la mythologie comme cosmologie intriquée à une réflexion éthique que je propose d'adopter est un des apports de l'analyse de la science-fiction en tant que corpus mythologique à part entière. En maintenant le fossé abyssal entre connaissance et vérité, la mythologie est le moteur de remises en question perpétuelles : elle apporte moins de réponses ou de solutions qu'elle n'incite à les chercher en prenant la forme d'une vérité cachée, si voilée qu'elle peut parfois passer pour absurde ou, à l'inverse, comme un message crypté qu'il s'agirait de décoder. Comme le suggère Vernant à la suite de Schelling, le mythe, loin d'être pure allégorie, serait donc avant tout "tautè-gorique", c'est-à-dire qu'il ne dirait pas autre chose mais cette chose même qui ne pourrait être dite autrement (Vernant ib. : 214). Où plutôt, en faisant comme s'il disait la même chose (sous une forme métaphorique, allégorique) que la théologie et/ou la philosophie et/ou la science, le mythe désigne, en fait, la part qui se dérobe toujours à l'intelligence de l'homme, le Graal qui doit motiver sa quête éternelle. C'est, de mon point de vue, cette vérité que porterait la structure narrative propre au mythe et qui en expliciterait le mode spécifique : une dramaturgie qui s'offre d'emblée comme distanciée de la réalité actuelle et commune dans la mesure où elle est située dans une autre temporalité – par exemple, les temps primordiaux ou, au contraire, les temps futurs – et/ou dans différents plans de l'espace entre lesquels il n'est pas présentement possible pour des humains ordinaires de circuler alors que les héros mythiques s'en débrouillent fort bien. Le mythe instaure ainsi une distance nécessaire pour se déprendre de la réalité immédiate. Mais dans le même temps, il est capital, pour que la narration accède au statut de mythe, qu'elle entretienne un rapport d'adéquation avec cette même réalité (Bidou 1991 : 499). Ce paradoxe formel – distanciation en même temps qu'adéquation avec la réalité – permet au mythe d'évoquer la relation hiérarchique entre deux plans de la réalité : d'une part, celui des faits visibles directement appréhendables, d'autre part, celui, plus inaccessible, des principes organisateurs qui sont à l'origine de ces faits tangibles et qui renvoient toujours à une forme de transcendance ; le premier est subordonné au second. Vue sous cet angle, la "vérité" que le mythe est censé receler doit être corrélée à la transcendance, c'est-à-dire à un aspect de la réalité qui n'est jamais directement appréhendable, et à laquelle il offre une consistance, sinon tangible, du moins narrative. C'est pourquoi, "les personnages dont les actions déterminent la série des changements qui se produisent entre la première et la dernière séquence de la narration, sont des Puissances de l'au-delà, des agents surnaturels dont les aventures se déroulent dans un autre temps, sur un autre plan et suivant un autre mode d'être que ceux de la vie ordinaire" (Vernant ibid. : 210). Si les personnages des mythes sont fabuleux, c'est que le fil narratif, la dramaturgie qui leur donne vie en les animant, permet de combiner le registre de la réalité et celui de l'intelligibilité de cette réalité ou, autrement dit, les effets et leurs causes : les phénomènes physiques apparents – l'organisation systématique de l'univers – et les principes – originaires, dynamiques et transcendantaux – qui président à leur émergence, à leur interdépendance, et à leur devenir. La mythologie doit être appréhendée comme la représentation imagée et dramaturgique d'une cosmologie qui est elle-même une conception du monde, c'est-à-dire une représentation. De ce point de vue, la mythologie procède d'un travail de métareprésentation : elle ne prétend pas représenter le monde tel qu'il est mais la représentation correspondant à l'idéologie d'une aire culturelle donnée. Alors que le travail scientifique prétend offrir une représentation du monde cohérente avec la perception de sa physicalité, le travail mythologique a tout autre vocation : donner consistance à une représentation du monde. La science et la mythologie renvoient à deux types de travail de représentation qui, pour être fondamentalement distincts, peuvent entretenir des relations d'interdépendance : tous deux visent à fournir une matrice générale d'intelligibilité. 2. Logos et muthos L'idéologie de la culture occidentale contemporaine est fondée sur la disparité des discours scientifiques renvoyant à des disciplines disjointes entre elles : sciences mathématiques, physiques, biologiques, sciences dites humaines, etc. qui sont elles-mêmes subdivisées en sous-disciplines, elles-mêmes subdivisées en différents champs d'observation et d'application. La mythologie chargée d'exprimer et de transmettre une telle idéologie va avoir pour vocation d'offrir une représentation globalisante d'un ensemble de représentations scientifiques qui ne peuvent être appréhendées, au sein de l'institution universitaire ou dans les médias chargés d'en assurer la vulgarisation, qu'à partir de points de vue fondamentalement distincts. On peut, en effet, émettre l'hypothèse que l'explosion de la science – sa diffraction – en de multiples champs et discours scientifiques ne se recoupant pas, et ayant pris leur distance avec l'éthique et le politique – elles-mêmes érigées en sciences distinctes – en même temps qu'avec la transcendance, requérait la réémergence du mythologique sous une forme nouvelle. Cette mythologie se devait d'opérer une synthèse afin d'offrir, à l'homme du commun autant qu'aux divers spécialistes, une vision globale des connaissances reconnectée avec la téléologie, c'est-à-dire avec une perspective sur les finalités de l'humanité. La science-fiction est, dans cette optique, un nouveau genre de narrativité (non introspectif) vouée à la vulgarisation des connaissances et sous-tendue, lorsqu'elle atteint sa forme la plus achevée, la plus mythologique (cf. 2001 L'Odyssée de l'espace), par une réflexion métaphysique et/ou éthique. De ce point de vue, la science-fiction est bien un fait social total : elle entremêle les différents savoirs, les savoirs aux savoir-faire, les catégories du religieux, du politique, de l'économique, du droit, de l'éthique. Elle donne ainsi corps, au moyen des images concrètes qu'elle élabore, à un ensemble de notions abstraites "sans qu'entre images et notions il y ait une coupure radicale". Et ces images, parfois horrifiques et toujours fascinantes, reconnectent le logos "au dramatique et au merveilleux", invitant le lecteur ou le spectateur à une participation émotionnelle, toutes choses auxquelles le logos a volontairement renoncé depuis son émergence dans l'antiquité grecque (Vernant : ibid. 199). Ce faisant, cette nouvelle forme de mythologie apporte une visibilité à l'idéologie des sociétés qui se sont rangées sous les auspices de la science et de ses supposés progrès, et les moyens de la questionner une fois qu'on en a mesuré les effets et leur possibles retournements en désastres. De fait, la science-fiction naît moins de l'enthousiasme des lumières que du désenchantement vis-à-vis de la science, laissant augurer, pour les siècles à venir, des conséquences de la mise en oeuvre de projets scientistes dans l'ordre du politique. Elle se pose d'emblée comme spéculative, éthiquement concernée et réflexive. Ainsi Wells, l'un des premiers auteurs majeurs, voire le précurseur de la science-fiction, dans sa Guerre des mondes établit un parallèle entre les effets dévastateurs du débarquement des Martiens sur terre et ceux des colonisateurs occidentaux sur les autres continents : "Avant de les juger trop sévèrement, il faut nous remettre en mémoire quelles entières et barbares destructions furent accomplies par notre race, non seulement sur des espèces animales, comme le bison et le dodo, mais sur les races humaines inférieures. Les Tasmaniens, en dépit de leur conformation humaine, furent en l'espace de cinquante ans entièrement balayés du monde dans une guerre d'extermination engagée par les immigrants européens" (1950 [1898] : 14). Wells inverse la position occupée historiquement par les envahisseurs européens lors des grands mouvements de colonisation : dans son roman, c'est eux qui subissent une colonisation brutale, catastrophique et imprévue, imposée par des colonisateurs venus d'un ailleurs lointain, personnifiés par des extra-terrestres au savoir scientifique et technologique supérieur. L'écriture de ses romans va permettre à Wells, devenu adepte de la perspective évolutionniste darwinienne, comme le seront les générations d'auteurs de science-fiction qui lui succèderont, d'établir un pont entre la vulgarisation scientifique et la propagande politique auxquelles il consacra le reste de son oeuvre. De fait, le procédé narratif propre à la science-fiction offre aux écrivains la possibilité d'établir des passerelles entre, d'une part, les différentes disciplines scientifiques, et d'autre part, les sciences et l'ordre politique ou moral. Et, comme les autres corpus mythologiques, la science-fiction se fonde sur un même paradoxe : prise de distance avec la réalité immédiate – l'histoire se déroule dans un autre temps et/ou sur une autre planète – et cependant congruence avec les enjeux éthiques et pratiques auxquels sont confrontés les humains d'aujourd'hui face aux pouvoirs que leur confèrent la connaissance scientifique et la technologie. Ainsi, dans la science-fiction, de même que dans les types de mythologie sur lesquels les ethnologues sont plus habitués à se pencher, les figures symboliques utilisées dans la narration "font confluer en une même structure dynamique les domaines les plus divers, effaçant les frontières entre les secteurs différents du réel, traduisant dans un jeu de miroir de multi-correspondances l'interpénétration des faits humains, des réalités sociales, des forces naturelles, des Puissances de la surnature, leurs consonances réciproques, alors que les concepts les isolent et les déterminent précisément pour les ranger dans des classes séparées." (Vernant ib. 229) Le discours argumenté qui est celui de la science, et qui se dénomma d'abord logos, naît en Grèce au moment où la philosophie s'émancipe dans un même élan de la théologie et du discours mythologique (ib.). Dès Aristote, nous dit Vernant, "le dialogue [entre muthoset logos] est impossible, la coupure consommée. Même lorsqu'ils semblent viser le même objet, pointer dans la même direction, les deux genres de discours restent mutuellement imperméables" (ib. : 202). La prise d'autonomisation ultérieure, entre le XVIIe (Newton) et le XIXe siècle, tout d'abord progressive puis accélérée et définitive, de la science vis-à-vis de la philosophie, inaugure l'entrée des sociétés occidentales dans la modernité. On peut parler d'émancipation définitive de la science vis-à-vis de la métaphysique lorsque les sciences humaines – psychologie, sociologie, ethnologie – s'autonomisent à leur tour du tronc commun de la philosophie. Nous sommes alors dans la deuxième partie du XIXe siècle. Je suggérerai ici que l'émergence, à la même époque, d'un nouveau corpus de récits, de forme non introspective, qu'est la science-fiction n'est pas fortuite mais qu'elle exprime la nécessité impérieuse, face à la concomitance du désenchantement du monde et du morcellement extrême de la science, d'une nouvelle alliance entre muthos et logos. De fait, ce genre discursif va se nourrir des connaissances scientifiques contemporaines pour les extrapoler et les tirer du côté de la réflexion éthique et de la métaphysique. Remarquons alors qu'une part très importante de la science et des techniques qui en sont ses émanations concrètes et tangibles, notamment la part devenue la plus accessible au grand public par divers procédés de vulgarisation – éducatifs et médiatiques de toutes sortes – et diverses applications pratiques – PMA, IVG, contraception, clonage etc. –, concernent la reproduction. Les ethnologues se sont penchés depuis la naissance de leur discipline, au XIXe siècle, sur les représentations et les pratiques touchant à la fertilité dans les sociétés exotiques et lointaines. D'autres sciences travaillent au corps la problématique de la reproduction dans les sociétés occidentales. Et cependant la philosophie occidentale, si prompte à s'emparer des problèmes éthiques et ontologiques que lui fournissent les sciences, est demeurée étonnamment peu prolixe, depuis ses origines grecques, sur le thème de la reproduction et de l'écart que celle-ci impose entre les sexes. Au contraire, la science-fiction qui fait son apparition corrélativement, d'une part, à l'entrée des sciences dites naturelles dans la modernité et, d'autre part, à l'émergence d'une technologie de plus en plus sophistiquée s'appliquant au cosmos et au vivant, va s'emparer de ce champ apparemment laissé libre par la philosophie. C'est ce que je me propose de montrer en examinant, parmi les oeuvres de science-fiction ayant trait à la reproduction, celles qui, de mon point de vue, constituent un corpus représentatif dans la mesure où les motifs qu'elles véhiculent sont récurrents et entretiennent entre eux des rapports significatifs. Nous serons ainsi plus à même d'évaluer si la science-fiction est bien d'ordre mythologique. 3. Direction Le Meilleur des mondes Fin 1999, un article paru dans un hebdomadaire français proposait d'établir une liste de faits qui caractériseraient l'humanité de l'an 2000 au regard de celle de l'an deux mille cent et quelque. Nous retiendrons celui-ci : "En l'an 2000, les gens étaient enfantés à l'intérieur de leur mère, comme les animaux" (Sorg, 1999 : 13, mes italiques). La grossesse, l'enfantement naturel, la nécessité d'être englobé dans un corps de femme avant de naître, relèguerait donc l'humanité au rang de l'animalité. Ce constat pourrait ne relever que de l'anecdote s'il ne constituait une constante dans les récits et les films de science-fiction qui ont pour thème la procréation. Le premier du genre est Le Meilleur des mondes (Huxley 1932). Les enfants y sont fabriqués en flacon et élevés dans des centres spécialisés tandis que la viviparité, terme scientifique utilisé à dessein par Huxley pour signifier l'horrible obligation animale d'en passer par un ventre féminin pour naître, y est perçue comme une infâme chose du passé, ne subsistant plus qu'à l'état de survivance honteuse dans quelques réserves de sauvages. L'apogée de la civilisation correspond dans cette utopie à l'avènement de la stérilisation généralisée. Celle-ci s'accompagne de la disparition de la famille, du mariage, de toutes formes de relation de parenté qui sont devenus autant d'obscénités. De fait, dans ce mythe d'anticipation, la pornographie est rattachée, non au sexe, mais à l'enfantement. Alors que les adultes s'adonnent à volonté aux activités érotiques, s'extasiant devant les ébats sexuels des bambins dans les cours de récréation, ils sont offusqués lorsqu'on leur rappelle l'origine vivipare de l'humanité. Dans cet univers sans mère, le sexe est roi et le libertinage est prônée. La chasteté apparaît, en revanche, comme l'une des pires perversions car elle prévient l'accession à l'expérience spirituelle la plus noble, c'est-à-dire l'orgasme, dans la civilisation ayant atteint le plus haut degré d'évolution. Plaisir sexuel et activités reproductrices sont ici posés comme fondamentalement antithétiques. Pour être des 'civilisés' à part entière, il faut jouir pleinement, c'est-à-dire être libérés du joug reproducteur. L'érotisme est l'apanage de l'humanité. Il inscrit pleinement dans la culture tandis que la reproduction naturelle rabaisse au niveau de la nature et, par là, de l'animalité. C'est pourquoi l'éradication de la maternité indique la voie du progrès : "La civilisation, nous répète Huxley, c'est la stérilisation" (1998 : 130 et 141). Ce récit d'anticipation reflète admirablement l'évolution des représentations et des pratiques touchant à la sexualité dans les sociétés occidentales où activités érotiques et procréation tendent à être appréhendées comme relevant de domaines distincts et qu'il faudrait séparer à tout prix : les individus sont censés, pour accéder à une sexualité épanouie, se prémunir contre la grossesse. On met donc à leur portée, dès qu'ils sont pubères, des moyens contraceptifs efficaces. La fécondité des femmes est assimilée à une maladie qu'elles doivent traiter de la puberté à la ménopause ; et lorsqu'elles souhaitent enfanter, elles doivent s'adresser à des spécialistes, gynécologues et obstétriciens, qui ont la charge plus ou moins exclusive de la grossesse. La procréation est devenue le domaine réservé du 'médicalement assisté'. Que l'émancipation sexuelle soit redevable aux moyens développés pour contrôler la fécondité, comme Huxley le subodorait dès 1932, nul ne peut en douter. Mettre la grossesse sous contrôle a, en outre, autorisé la possibilité d'instituer l'égalité des sexes. De fait, cette phase de la reproduction sexuée dévolue aux seules femmes confine à une asymétrie entre les sexes quasi intolérable dans le cadre d'une idéologie qui se fonde sur l'égalité. Dans cette optique, l'égalité entre hommes et femmes doit en passer par la symétrisation des rôles sexuels, masculins et féminins, paternels et maternels. Seul obstacle : la gestation, la nécessité d'en passer par un corps maternel pour naître et pour faire naître. Une solution envisageable? Faire en sorte que les humains ne soient plus enfantés à l'intérieur d'un corps de femme mais dans un environnement asexué. Pour devenir l'égale de l'homme, la femme devrait donc sacrifier ce qui était son exclusive : la grossesse, voire l'enfant. Nous ne sommes plus ici au niveau de la seule utopie : pour accéder à un statut social équivalent à celui des hommes, bien des femmes choisissent de ne pas avoir d'enfants, tandis qu'en ex-RDA, à la suite de la vague de chômage qui a suivi la réunification, "des centaines se sont fait stériliser, pour prouver à un éventuel employeur qu’elles n’auraient plus de nouvelles contraintes familiales" (Manier 1995 : 10). Ces faits entrent en résonance avec le commentaire de la photographe Bettina Rheims sur l'une des photos de son exposition INRI : "Marie, nous dit-elle, est la nouvelle Eve qui sauve les femmes et le monde en sacrifiant son enfant." Osons une interprétation des paroles de l'artiste. L'immaculée conception, c'est-à-dire la disjonction entre sexualité et procréation, combinée au sacrifice de l'enfant, libèrerait les descendantes d'Eve, la mère originaire, de l'héritage abject qu'elle leur a légué : une forme archaïque de maternité. Eve est coupable d'être une mère à l'ancienne. Marie, la moderne, s'y substitue pour sauver les femmes et racheter ainsi l'humanité toute entière, en assumant une reproduction asexuée, signe précurseur de l'avènement d'un monde meilleur, plus évolué, plus civilisé. 4. Alien, une initiation féminine Dans l'iconographie hollywoodienne, la figure de la Rédemption est incarnée par le lieutenant Ripley, l'héroïne d'Alien, une superproduction en quatre épisodes : Le huitième passager(Scott 1979), Le retour (Cameron 1986), Alien 3 (Fincher 1993), La résurrection (Jeunet 1997). Elle doit, elle aussi, pour sauver l'humanité, sacrifier la progéniture qu'une créature extraterrestre, Alien, la contraint à enfanter. Le seul objectif de ce monstre – une sorte d'insecte géant mi-fourmi mi-araignée – est, en effet, de se reproduire aux dépens des humains en les transformant en cocons. L'arme suprême d'Alien est la grossesse : le contenu de ses œufs est implanté dans la poitrine de ses victimes et, au terme d'une gestation rapide, l'accouchement du nouveau-né provoque l'explosion de l'hôte porteur. Dans le domaine de la science-fiction, Alien constitue une suite logique du Meilleur des mondes : tout s'y passe comme si la gestation, sous le masque du monstre, cherchait à réinvestir le corps des humains du futur qui l'auraient préalablement déchue de ses droits sur terre où elle aurait été reléguée au rang de curiosité ethnologique. L'appropriation de la maternité par l'institution médicale tend à renforcer son caractère sacré et énigmatique. Et la possibilité d'envisager la procréation indépendamment de la sexualité grâce à la biotechnologie (FIV, bébés éprouvette, clonage) tend à focaliser l'objectif des caméras sur le champ obstétrical. La fonction reproductrice féminine peut alors se manifester dans l'imaginaire culturel sous la forme d'une entité autonome, située en dehors du corps de la femme. Elle prend l'aspect d'une bête dont le masque monstrueux recouvre les pouvoirs féminins occultes et mortifères. Et, dans ce monde du futur où règnent la mixité et l'égalité des sexes, seule une femme est à même de combattre cette "survivance" aberrante qu'est la reproduction naturelle. Pandora-Ripley doit exterminer ce qui jaillit de son amphore-utérus : les monstres jaillissent des oeufs – gigantesques utérus externalisés – pondus par une espèce extraterrestre constituée uniquement de femelles. Cette nouvelle mythologie, en nous faisant assister au face-à-face entre La femme et sa fonction procréatrice, fait donc ressurgir de manière dramatique ce qui tend à être occulté dans nos sociétés 'égalitaires' : une asymétrie primordiale en faveur des femmes au plan de la reproduction qui permet de leur attribuer des pouvoirs exclusifs. Je propose donc de voir la saga Alien comme l'allégorie d'une initiation féminine au cours de laquelle l'héroïne doit apprendre à juguler sa puissance maternelle. Considérons la trame du scénario d'Alien. Une jeune femme est extraite de son milieu habituel – la terre –, pour être immergée dans un environnement sauvage, non domestiqué – l'espace intergalactique –, où elle doit affronter bon nombre d'épreuves qui la confrontent à la part de la féminité à laquelle elle n'a pas encore accédé : la maternité qui la terrifie et qui revêt, pour elle, la forme hideuse d'un monstre. Elle est toutefois conduite à l'assumer progressivement : au cours des quatre épisodes, elle est successivement mère nourricière d'un chaton, mère adoptive d'une fillette, génitrice d'une femelle puis d'un mâle non humains. Elle finira ainsi par incorporer la part animale qui la consacre femme. Elle devra pour cela subir l'épreuve ultime, la mort, pour renaître de ses cendres totalement métamorphosée, encore plus forte et féminine qu'avant. Elle est alors à même de terrasser définitivement le dragon maternel, ce qui l'autorise à réintégrer la société humaine en revenant sur terre. Les initiations masculines et féminines qui ont cours dans certaines sociétés bien réelles légitiment l'accession des individus à un rôle procréateur qui les fait passer du statut d'enfant à celui d'adulte habilité à devenir parent (cf. Moisseeff 1992, 1995, 1998). L'initiation de l'héroïne d'Alien, en revanche, la conduit à forclore son rôle maternel : elle l'incorpore, certes, mais pour mieux le faire taire en tuant la progéniture qu'elle a elle-même générée. On précisera ici que le symbolisme de la mort et de la renaissance de l'héroïne, si dramatiquement mis en scène au cours des deux derniers épisodes d'Alien, est, dans ces autres contextes culturels plus traditionnels, le propre de l'initiation masculine : grâce à cette épreuve, les hommes sont transformés en garants de la fertilité féminine. On voit donc que les objectifs des initiations traditionnelle et utopique sont inversés : dans un cas, il revient aux hommes, les initiateurs masculins, de favoriser l'expression de la maternité, dans l'autre, c'est à la femme de la forclore. Cette inversion symbolique reflète à merveille la transformation des relations entre les sexes qui est en train de s'opérer dans les sociétés occidentales modernes : il ne s'agira pas tant pour la femme postmoderne personnifiée par la star de cinéma Sigourney Weather d'assumer une fonction maternelle imposée par les hommes que de participer, en tant que commandante en chef, à sa maîtrise. Le cycle reproducteur de type parasitaire de l'espèce femelle dénommée Alien est un prétexte pour décrire la grossesse sous la forme d'une infestation. Lorsqu'on condense les différentes acceptions que recouvre le terme alien dans The concise Oxford Dictionary, et qu'on l'applique à la gestation, on aboutit à une représentation de la viviparité qui explicite son rejet aux marges de la civilisation, dans l'utopie d'Huxley autant que dans l'imaginaire populaire ou scientifique d'aujourd'hui : implantation dans un milieu, qui n'était originellement pas le sien mais auquel il s'est acclimaté, d'un spécimen hostile et répugnant venu d'ailleurs. Dans cette optique, il y aurait d'un côté, la femme, tout à fait digne d'être l'égale de l'homme, et de l'autre, la matrice, appréhendée comme un organe inclus mais séparé du reste, et susceptible de devenir l'habitacle d'un hôte indésirable et létal. Dans le premier épisode d'Alien, cet hôte est le passager surnuméraire d'un vaisseau spatial qui constitue son premier habitacle. Dans le second épisode, son choix se porte sur une fillette encore impubère, dans le troisième, sur une femme, tandis que dans le quatrième, nous apprenons qu'Alien a enfin acquis un système reproducteur complet qui lui permet d'engendrer le premier mâle de son espèce. Les différents épisodes suivent donc les différentes étapes de la maturation du système reproducteur féminin assimilées aux différentes étapes du cycle biologique d'un parasite. Si la femme doit être traitée, de la puberté à la ménopause, c'est que son utérus qui mue à chacun de ses cycles menstruels la rend vulnérable, durant cette période, à une infestation indue, non désirée. La reine pondeuse d'Alien, ses oeufs, les cocons-chrysalides gluants qui tapissent ses lieux de nidification renvoient à l'ignominie du processus qui sous-tend l'enfantement naturel. Dans le premier épisode de la saga, Alien est décrit comme un "organisme parfait" "qui a des capacités d'adaptation extraordinaires" et dont la "perfection n'a d'égale que son hostilité", "un survivant qui n'est pas souillé par la conscience, le remords ou les illusions de la moralité". Selon moi, ce survivant susceptible d'anéantir une humanité ayant atteint le plus haut degré d'évolution technologique est la grossesse, symbole de la viviparité. Elle est perçue comme une force organique à nulle autre pareille qui investit aujourd'hui le corps féminin mais pourrait bien, à l'avenir, être transformée, grâce à la technologie la plus sophistiquée, à savoir la biotechnologie, en arme biologique suprême qui métamorphoserait l'ennemi en esclave reproducteur, totalement asservi aux besoins de se reproduire de ceux qui en useraient. 5. Malthus et Darwin : deux précurseurs de la mythologie contemporaine La théorie darwinienne de l'évolution accorde une importance particulière aux modes de reproduction dans la classification et l'ordonnancement des espèces les unes par rapport aux autres : on passe des espèces inférieures – insectes, poissons, etc. – qui pondent des millions d'oeufs, aux mammifères inférieurs engendrant plusieurs individus par portée, puis aux mammifères les plus évolués que sont les primates qui n'ont, en règle générale, qu'un enfant par portée. La propagation de cette perspective dans le grand public autant que dans les milieux scientifiques a conduit les Occidentaux à appliquer le schéma de l'évolution aux classes sociales et aux groupes culturels. La plupart sont aujourd'hui convaincus que le degré d'évolution d'une société est inversement proportionnel à son taux de fécondité : les sociétés les plus riches et les plus développées sur le plan technologique sont aussi les moins fécondes, les plus pauvres et les plus "archaïques" seraient les plus prolifiques. D'où l'inférence d'une relation mécanique entre la démographie et le degré d'évolution d'une population, et le glissement subreptice d'une hiérarchisation entre classes ou entre ethnies à une hiérarchisation en termes biologiques, voire génétiques. Dès le XVIIIe siècle, la démographie galopante des pauvres devient, en Occident, un sujet de préoccupation pour les classes privilégiées. En témoigne le célèbre pamphlet de Swift, Une Modeste proposition pour empêcher les enfants des pauvres de devenir un fardeau pour leurs parents (1729), où l'auteur suggère avec humour de résoudre la misère de la surpopulation par l'anthropophagie. Mais en témoigne aussi l'émergence, au cours de ce même siècle, de ce que Foucault (1976) appelle "biopolitique de l'espèce humaine" ou mise en place d'un "biopouvoir" consistant à calculer la proportion des naissances et des décès, et le taux de fécondité des populations pour en assurer le contrôle. Malthus, en publiant différentes versions de son Essai sur le principe de population en tant qu'il influe sur le progrès futur de la société, dont la première paraît en 1798, va apporter de l'eau au moulin de ceux que la prolificité des pauvres inquiète. Son raisonnement est simple : en l'absence de guerre, de famine ou d'épidémie catastrophique du type peste, la tendance des populations est de s'accroître de façon exponentielle, de sorte qu’elles épuisent les ressources dont elles ont besoin sur un territoire donné, ce qui les porte à la conquête d'autres territoires. Darwin explique dans son autobiographie que la lecture de Malthus lui a donné la clé de sa théorie de l'évolution. Il en inversera cependant les propositions en accordant une valeur positive à la prolificité (Serres 1984) : sur un territoire donné, l'espèce qui est apte à produire le plus grand nombre de descendants tend à éliminer les autres. La perspective malthusienne va ancrer dans l'imaginaire occidental la croyance selon laquelle les besoins d'une population humaine qui ne cesse de s'accroître finiront par dépasser les ressources terriennes. D'où le succès, dès le XIXe siècle, des mouvements politiques malthusiens et néomalthusiens qui prônent un contrôle sévère de la reproduction pour assurer la survie de l'humanité et le maintien de sa capacité à progresser. En effet, d'après leurs sympathisants, la prévention des naissances (birth control), "accompagne naturellement les progrès du niveau de vie et de la culture" (Faure-Soulet 1996 :401). Le Meilleur des mondes et Retour au meilleur des mondes d'Huxley extrapolent clairement l'optique malthusienne. Le massacre des populations par millions au cours des divers conflits qui ont émaillé la première partie du XXe siècle voit le problème de la surpopulation passé à l'arrière-plan des préoccupations politiques. Il refait surface dans la conscience occidentale au décours de l'explosion démographique (baby boom) des années soixante. D'après Clute et Niholls (1995 : 901), deux livres vont contribuer à en populariser l'enjeu : The Population Bomb de Ehrlich (1968), et The Limits of Growth : A Report for the Club of Rome's Project on the Predicament of Mankind de Meadows et al (1972). De façon concomitante, les oeuvres de science-fiction sur ce thème vont se multiplier. Il serait impossible de les citer toutes. Mentionnons, à titre d'exemples, les romans de Brunner, Tous à Zanzibar (1968), de Panshin, Rite de Passage, (1968), de Card, La stratégie Ender (1977) ; les films de Fleisher, Soleil vert(1973), et de Anderson, L'Âge de cristal (1976). L'intrication des principes élaborés par Malthus et Darwin est au fondement de l'idéologie occidentale contemporaine. Elle amène les Occidentaux à percevoir les peuples prolifiques comme inféodés aux nécessités de la reproduction biologique : à l'instar des animaux, leurs objectifs principaux seraient de subsister et de perpétuer le groupe. Les peuples supérieurs, "civilisés" ont gravi un degré de plus sur l'échelle de l'évolution en domptant la nature, grâce au développement d'une culture technologique de plus en plus sophistiquée, mais, en contrepartie, ils sont devenus peu féconds. Ce sont les migrants issus de populations jugées, de ce point de vue, inférieures qui leur fournissent les moyens d'assurer le renouvellement de leurs générations. D'où la crainte que le métissage d'individus situés à des paliers différents de l'évolution n'entraîne la régression des sociétés hypofertiles à un stade antérieur, plus animal. >>[TOUT LE DISPOSITIF DU SIDA SE TROUVE INCIDEMMENT EN CONCORDANCE AVEC CETTE CRAINTE : IL S’ATTACHE NON SEULEMENT AUX MINORITES SEXUELLES, MAIS AUX DIFFERENCES RACIALES/ETHNIQUES. C’EST DONC LA QUESTION DU RAPPORT ENTRE MYTHE, IDEOLOGIE ET SCIENTIFICITÉ QUE POSENT LES ANALYSES ET INTERVENTIONS DES DISSIDENTS DU SIDA.] Les films de science-fiction fournissent des images qui représentent sous forme métaphorique cette façon de concevoir le métissage en tant que mélange de "races" plus ou moins prolifiques, c'est-à-dire plus ou moins évoluées : les humaines contaminées par l'ADN d'une espèce alien en mal de procréation sont transformées en chrysalides d'où s'échappent des êtres aux traits archaïques, insectoïdes ou reptiliens (cf. Alien) ; une variante de ce thème consiste à montrer la métamorphose, partielle ou totale, d'un être d'apparence humaine en animal lorsqu'il est dans sa phase reproductrice (cf. La Mutante, Donaldson 1995, La mutante II, Medak 1998). On fait donc correspondre au métissage une hybridation entre espèces distinguées par leur mode de reproduction et leur fécondité respectifs. Le mélange des idées de Malthus et Darwin continue d'ensemencer le terreau fertile que sont les cerveaux des scientifiques, des écrivains et des metteurs en scène. 6. Des humains et des insectes à Hollywood Les scénaristes américains sont particulièrement doués pour représenter sous forme métaphorique l'idéologie occidentale contemporaine : ils symbolisent les rapports sociaux actuels, et non ceux du futur. En prétendant évoquer l'avenir de l'humanité, ils s'émancipent d'un réalisme contraignant et privilégient la puissance évocatrice des images. Les humains, terriens évolués type, sont personnifiés par les Américains, parangon des Occidentaux, leurs ennemis par les membres d'une autre espèce, souvent incarnés par des insectes parasites géants et prolifiques, au développement accéléré. Cette autre espèce sert à figurer l'Autre, le moins évolué ou, au contraire, celui qui a dépassé le stade évolutif humain, ce qui l'aurait fait chuter à nouveau du côté de la société animale. Dans les deux cas, l'individu constituerait une infime partie de la collectivité à laquelle il serait organiquement rattaché, son existence ne se justifiant que pour la survie du tout auquel il pourrait être sacrifié. La supposée tendance des cultures qualifiées d'archaïques ou de primitives à se soumettre aux lois de la nature, et notamment à la reproduction naturelle, les vouerait à la surpopulation, mère de toutes les misères. Elle expliquerait leur propension à adopter des régimes totalitaires peu propices à l'expression de la liberté individuelle et encore moins sexuelle. Ainsi, pour Huxley (1958) et de nombreux autres auteurs de science-fiction, il y aurait un lien inéluctable entre surpopulation et totalitarisme. L'excès de fertilité est pour l'occidental à l'origine de tous les maux, alors que dans les sociétés étudiées par les ethnologues, la plus grande infortune est la stérilité. L'organisation des sociétés d'insectes dont les activités sont essentiellement de subsistance et de reproduction va servir de point d'appui à la représentation symbolique de la culture "archaïque" des sociétés "primitives". Et ce d'autant plus que les nombreux documentaires sur les insectes les décrivent en termes anthropomorphiques – une reine pondeuse, des ouvrières et/ou des guerriers, des nourrices –, donnant l'impression que leur organisation sociale est comparable à celle des hommes. Ils se penchent sur le combat que se livrent les différentes espèces entre elles pour l'occupation d'un même territoire, et sur la capacité des unes à parasiter les autres en introduisant à l'intérieur du corps de leurs ennemis leurs propres oeufs : les hôtes sont transformés en cocons nourriciers. L'aspect prédateur des femelles, dont la vie est présentée comme essentiellement consacrée à la survie biologique de l'espèce, est encore renforcé lorsqu'on les montre dévorant ou tuant les mâles immédiatement après qu'ils aient joué leur rôle d'inséminateur. Les insectes renvoient donc, de façon privilégiée, à tout ce qui suscite tant d'effroi chez les Occidentaux : la pullulation, le grouillement, le parasitisme, la prédation maternelle, et l'absence de liberté individuelle, une liberté qu'exprime l'émancipation sexuelle par voie anticonceptionnelle dans les sociétés civilisées, c'est-à-dire proprement humaines. Mais l'effroi sous-tend aussi la fascination. C'est pourquoi les insectes sont les personnages de choix des films qui sont à la fois d'horreur et de science-fiction. Fourmis et abeilles y font merveille comme dans The Savage Bees (Geller, 1976) ou Marabunta, Killer ants (Charleston et Manasse, 1998). Les scénarios se réfèrent à la capacité des espèces venues d'Afrique ou d'Amérique du sud à envahir les territoires du nord en remplaçant les espèces natives plus pacifiques. Suivant un schéma mythologique connu, les différences entre espèces vont servir à évoquer les différences (morphologiques et/ou sociologiques) entre groupes humains en compétition pour leur espace vital ; les planètes d'origine de ces espèces ennemies symbolisent, pour leur part, les continents respectifs des envahisseurs-migrants (l'Orient ou les pays du sud assimilés à une même galaxie lointaine) et ceux de leurs territoires cibles (l'Amérique du nord ou l'Europe, c'est-à-dire l'Occident assimilé à la terre). La fécondité des unes les pousse à émigrer car elle tend à appauvrir leurs ressources natives. L'intelligence des autres, les hypofertiles, en est une autre, et son accroissement est proportionnel à la diminution de leur fécondité : elle compense leur handicap démographique et les incite parfois à user d'armes biologiques pour se reproduire aux dépens d'espèces inférieures plus prolifiques, à l'instar des parasites et des virus. Considérons quelques uns de ces mythes. Au tout début du film Starship Troopers (Verhoeven, 1998) dont le scénario a été écrit à partir du roman de Heinlein (1959), un professeur explique à ses élèves que "les insectes sont supérieurs aux humains car ils se reproduisent en grande quantité et n'ont pas de moi". L'humanité est menacée par les arachnides géants de la planète K qui ont atteint un niveau de surpopulation telle qu'il leur faut conquérir d'autres territoires. Ils envoient, à cet effet, des astéroïdes sur terre qui tuent les populations par millions. Ils sont dirigés par un chef de meute qui a l'allure d'un gigantesque acarien muni d'une bouche vulve glaireuse d'où sort un dard avec lequel il aspire le cerveau des humains. Fort heureusement, les jeunes soldats vont exterminer cette espèce qui vise à émigrer. Les images du film rappellent à s'y méprendre celles des reportages sur la guerre du golfe... Gageons que Verhoeven s'en est inspiré et a substitué aux soldats irakiens qui avaient envahi le Koweït, des insectes géants colonisateurs. Dans X-tro, un film de Davenport (1983), un père qui a été kidnappé par des extraterrestres trois ans auparavant revient sur terre pour chercher son fils. Il féconde à nouveau son ex-femme et transforme la baby-sitter en chrysalide d'où s'échappent des dizaines et des dizaines d'œufs donnant naissance, dans les jours qui suivent, à un bataillon de petits garçons. Lorsqu'il atterrit subrepticement dans la nuit, il a la forme d'un insecte, un genre de phasme ou de grosse sauterelle. Pour reprendre figure humaine il provoque son auto-engendrement en s'inoculant dans une femme qui meurt dans d'atroces souffrances lorsqu'il sort d'elle sous la forme d'un homme adulte. Le héros de La mutante II, dont les gènes ont été infiltrés par de l'ADN martien, lui aussi, ne cesse d'inséminer les femmes avec lesquelles il ne peut s'empêcher de faire compulsivement l'amour ; leurs ventres explosent en donnant naissance à de petits garçons déjà grands dont la destinée est de se substituer aux humains qu'ils ont vocation à infester en engrossant leurs femmes. Ici encore, les migrants de l'espace évoquent ceux bien plus réels du tiers monde à la fertilité menaçante. Sinon pourquoi les organismes internationaux dépenseraient-ils tant d'énergie pour inciter les Orientaux et les Africains à maîtriser la fécondité de leurs femmes? Pourquoi insisteraient-ils avec tant de véhémence sur les dangers que les hommes de ces populations font courir à leurs femmes en leur refusant la contraception ou la stérilisation que les mâles occidentaux sont prêts à leur offrir si obligeamment? La science-fiction permet de "regarder" autrement l'idéologie occidentale. Elle révèle ses soubassements évolutionnistes et racistes masqués par son apparent humanisme. Les monstres prolifiques mis en scène personnifient les migrants venus de l'Est et du Sud de la planète et leurs descendants, les jeunes de banlieue, perçus comme de potentiels prédateurs. Dans cette perspective, un autre aspect du mode de développement des insectes va jouer en leur faveur sur la scène hollywoodienne : les stades successifs par lesquels ils passent pour atteindre leur forme définitive, œufs, larves, nymphes-chrysalides, insecte adulte proprement reproducteur. Cette métamorphose va servir à symboliser la transformation des adolescents au cours de la phase pubertaire, c'est-à-dire leur passage d'un état stérile à un état fertile. Ainsi, dans La Mutante, le scénariste fait correspondre la phase pubertaire d'une alien issue d'un ADN extraterrestre à son passage par un état de chrysalide d'où s'échappe une reproductrice pleinement développée. La petite fille jusqu'alors inoffensive est montrée, lorsqu'elle accède à sa puissance reproductrice, comme se transformant en une prédatrice cherchant à avoir des rapports sexuels dans l'unique but de se reproduire ; elle tue ses partenaires sexuels dès qu'ils ont rempli leur office, telle la mante religieuse et la veuve noire. Dans La Mutante 2, les enfants du mâle humain dont l'ADN a été infiltré par des gènes martiens se transforment, eux aussi, en chrysalides : ces dizaines et dizaines de petits garçons, qui sont nés en tuant leur maman, s'élèvent vers le plafond grâce à des tentacules qui leur sortent du nez. Ils sont alors transformés en cocons d'où écloront des prédateurs inséminateurs, fin prêts, comme leur papa, à infester l'humanité. 7. L'enfant venu d'ailleurs et l'homme parasite La saga Alien est un des nombreux avatars hollywoodiens de La Chose d'un autre monde (Nyby et Hawks 1951), sans doute premier prototype du genre, suivi par L'Invasion des profanateurs de sépultures (Siegel 1956) ; Carpenter en fait un remake (La Chose 1982), trois ans après la sortie du premier épisode d'Alien (1979). Dans les années cinquante et soixante, c'est-à-dire au temps de la guerre froide et en plein Maccarthysme, cette chose répugnante incarne à merveille le péril communiste, l'éventualité d'une invasion par les gens de l'Est. Mais si ce type de monstre venu d'ailleurs refait régulièrement surface, même après la chute du mur de Berlin, c'est qu'il sert à désigner, plus fondamentalement encore, l'aspect bestial et invasif de la procréation naturelle. De fait, l'un des enjeux de la recherche médicale contemporaine, et plus précisément de l'immunologie, est de rendre compte du mystère du développement dans le corps maternel d'un corps étranger (alien) : le bébé. Cette façon de concevoir le bébé comme étranger, parasite prenant possession du corps maternel, transparaît dans bien des oeuvres de science-fiction écrites par des maîtres du genre : Les Amants étrangers (Farmer 1961 ; voir aussi Moisseeff 2004) ; Le village des Damnés (Rilla 1960, Carpenter 1995, d'après un roman de Wyndham 1957) ; The Stranger within (Matheson 1974). Dans The Puppet Masters, roman de Heinlein (1951) mis en scène par Orme (1994), des créatures extraterrestres ayant la forme de grosses limaces tentent de subordonner l'espèce humaine en se branchant sur le système nerveux des individus qu'ils prennent pour hôtes afin de contrôler leur corps et leurs pensées, les transformant en marionnettes sans volonté propre. The Puppet Masters a, sans nul doute, inspiré les séries télévisées à succès Les Envahisseurs (Cohen 1967-1968), X-files (Carter 1993-2002), First Wave (Brancato et Coppola 1998-2001), et est aussi probablement à l'origine de la création des Goa'ulds, les parasites extraterrestres de la série Stargate SG - 1 (Glassner et Wright, débutée en 1997). Les Goa'ulds utilisent les humains des divers mondes comme hôtes porteurs au travers desquels ils s'incarnent et qu'ils transforment ainsi en esclaves depuis la nuit des temps : leur intelligence supérieure leur aurait permis de développer une technologie extraordinaire dont seraient issues les pyramides d'Egypte et l'art maya... L'idée originale d'Heinlein est également reprise dans un épisode de chacune des deux séries cultes créées par Whedon à l'intention des adolescents, Buffy (1997-2003) et Angel (1999-2004). Dans Le village des damnés, toutes les femmes en âge de procréer d'un petit village anglais paisible sont mystérieusement inséminées en même temps, y compris les vierges, les stériles et celles dont le mari était absent. Les enfants qui naissent de cette conception asexuée inexplicable sont tous semblables, blonds aux yeux bleus, d'une intelligence supranormale et usent de la télépathie pour communiquer entre eux et pour lire dans les pensées. Ils sont dépourvus de toute émotion et ne ressentent aucun amour pour leurs parents adoptifs qu'ils punissent sans vergogne, de même que les autres adultes cherchant à leur barrer la route. Ils usent alors de leur regard et de leur capacité télékinétique. Ils constituent ensemble une seule et même entité, une sorte d'essaim venu de nulle part dont l'objectif est simple : utiliser les femelles humaines comme mères porteuses car leur espèce a perdu la capacité de se reproduire par elle-même, et supplanter à terme une humanité qu'ils méprisent car ils la jugent très inférieure à eux. La plupart des auteurs de SF manient superbement la métaphore et l'auto-réflexivité. Les mâles occidentaux, au moment de leur expansion vers des territoires dont ils ont indûment pris possession, ont été à même d'engrosser les femmes de 'races' qu'ils estimaient inférieures ; de même qu'aujourd'hui la fécondité des pauvres, c'est-à-dire celle des immigrants du tiers monde, ou l'adoption de leurs enfants, servent à compenser leur propre infécondité. Une simple transposition permet alors d'imaginer qu'une espèce encore plus évoluée, ayant donc perdu toute capacité à se reproduire par elle-même, pourrait faire subir le même sort aux terriens les plus évolués. On retrouve ici la croyance selon laquelle moins on est directement impliqué dans le processus reproducteur, plus on est à même de développer son intelligence et sa technologie (cf. les vaisseaux spatiaux et le mode de reproduction asexué des extraterrestres). De ce point de vue purement biologique, l'amour 'instinctif' maternel est un handicap. Mais le point de vue philosophique complémentaire offert conjointement par les auteurs de SF suggère qu'il est, malgré tout, le moyen le plus efficace pour éviter qu'une humanité ayant atteint les cimes de son évolution ne retombe dans le collectivisme d'une société animale, un péril auquel ont succombé la race nordique des seigneurs blonds aux yeux bleus et les communistes. Le maintien d'un équilibre entre intelligence et émotions apparaît dès lors indispensable. Dans la cosmologie occidentale moderne, ontogenèse, sociogenèse et phylogenèse procèdent d'une conception cyclique de l'évolution des phénomènes : le déclin suivrait irrémédiablement l'apogée des destins. De même que la sénilité et la stérilité suivent l'accession à une maturité féconde chez l'individu, de même la décadence est censée suivre l'apothéose des civilisations. Il en irait pareillement de l'évolution des espèces et même des planètes. L'émergence de nouveaux phénomènes est au prix de la disparition de ceux qui les ont précédés : nous ne sommes que des poussières d'étoiles, de futurs dinosaures destinés à retomber dans l'oubli et le silence des grands espaces où nous resurgirons sous une forme totalement différente. 2001, l'Odyssée de l'espace illustre admirablement cette perspective quant à l'involution et à la métamorphose que nous sommes voués à subir en tant que véhicules des grandes forces cosmiques et génétiques (Clarke, 1968 ; Dumont et Monod, 1970). Dans The Stranger within et ses avatars plus récents, tels Progeny(Yuzna, 1998) ou l'intrigue qui sous-tend les deux dernières saisons d'X-Files, les héroïnes, respectivement Ann, Sherry et Dana Scully, sont inséminées grâce à l'intervention d'extra-terrestres alors qu'il leur était a priori impossible d'enfanter : le mari d'Ann a subi une vasectomie afin d'éviter toute grossesse à son épouse car leur dernière tentative pour avoir un enfant a failli la tuer ; Dana Scully et le mari de Sherry sont, eux, stériles. Leurs bébés se développent d'une façon accélérée et ont des capacités supranormales dont ils se servent pour communiquer avec leur mère, l'incitant à les défendre contre la malveillance de ceux que ces grossesses anormales inquiètent. L'épisode du feuilleton Angel "Grossesse express" est une parodie de The Stranger within : un "démon en mal de paternité", procrea parasitic demon, soudoient des jeunes gens sans scrupule afin qu'ils inséminent avec sa semence démoniaque de belles jeunes filles humaines. La puissance de cette semence est telle qu'elles tombent immédiatement enceintes d'au moins sept bébés chacune qui se développent à la vitesse de l'éclair, au péril de la vie de leurs mères porteuses. Les bébés communiquent avec elles par télépathie les enjoignant à les défendre contre ceux qui veulent les éliminer. Au moment de mettre au monde leur engeance satanique, elles se dirigent toutes vers le père qui espère pouvoir lever une armée pour détruire l'humanité. Angel, le vampire pourvu d'âme, et son acolyte détruisent le méchant en le faisant exploser en mille morceaux. Dans l'épisode de Buffy "Œufs surprises", un parasite préhistorique ayant l'aspect d'un utérus gigantesque se développe dans les sous-sols du collège où il pond des œufs de manière ininterrompue. Chacun de ces oeufs contient un animal monstrueux qui, une fois éclos, se faufile dans le dos de l'individu se trouvant à sa portée, le transformant en automate : les personnes inoculées se dirigent irrésistiblement vers le parasite géant auprès duquel ils s'affairent tels des fourmis ouvrières récoltant ses œufs, en ayant perdu toute capacité à penser par eux-mêmes. Buffy qui, elle, a poignardé son "bébé" avec une paire de ciseaux est heureusement à même de détruire le parasite. Chacun reprend alors ses esprits. A ce point de l'analyse, il est utile de rappeler que, dans les plus éminents laboratoires de biogénétique, une nouvelle théorie a vu le jour : les mâles seraient des parasites se servant des femelles pour reproduire leurs gènes car ils en sont, à eux seuls, incapables, tout comme les parasites et les virus (Gouyon 1995). Il est donc difficile de ne pas établir un parallèle entre, d'une part, la figure du mâle parasite inoculant ses gènes supérieurs aux innocentes victimes que seraient les femelles et, d'autre part, les créatures malveillantes des films de science-fiction et d'horreur qui se servent d'hôtes porteurs humains pour prendre corps car ils sont inaptes à se reproduire entre eux. Les envahisseurs venus d'ailleurs seraient donc les hommes qui dissémineraient leur semence sur les différentes planètes. La fiction rejoint ici encore la science. Il serait en fait plus juste de dire qu'elles s'inspirent mutuellement. Ainsi, dans les années soixante, l'étude des météorites a relancé l'idée de la panspermie interastrale qui remonte à l'antiquité grecque et qui avait été abandonnée au décours du XXe siècle ; elle explique "l'apparition de la vie sur terre par des germes venus d'autres planètes" (Boureau, 1996 : 113). L'aptitude de la femme à pouvoir être fécondée, parasitée, par une semence qui n'est pas la sienne, c'est-à-dire sa capacité à être une mère porteuse, renvoie aussi à la possibilité qu'elle soit la voie par laquelle s'incarne le diable ou sa descendance : Rosemary's baby(Levin 1967), porté sur les écrans par Polanski, Omen, (Donner 1976) et sa suite (1978, 1982), Devil's child (Roth 1997), The Sect (Soavi 1990) en sont des illustrations, de même que L'exorciste (Friedkin 1973) où une fille prépubère est "possédée" par des forces démoniaques lorsque les premiers signes de sa nubilité font leur apparition. Tout se passe comme si l'occultation relative de la spécificité des facultés féminines en matière reproductive, liée à la symétrisation des rôles de l'un et l'autre sexes, faisait rejaillir sur les divers écrans, de télévision, de cinéma ou de l'échographe, la puissance que ce pouvoir féminin revêt au plan imaginaire. Il est rapporté, aujourd'hui comme autrefois, aux forces de l'ombre, aux démons avec lesquels la femme aurait maille à partir et qu'il faudrait, sans relâche, exorciser de génération féminine en génération féminine, comme le montre la série à succès pour adolescents Buffy, la tueuse de vampires (1997-2003). Les suppôts de Satan, les chevaliers de l'Apocalypse sont aujourd'hui représentés par les chercheurs en biotechnologie, ce qu'illustrent de nombreuses œuvres (voir, par exemple, le roman de Cook, Mutation, 1989, ou le film de Hamm, Godsend, Expérience interdite, 2004). Et ces chercheurs ne dédaignent pas l'aide que peuvent leur apporter les extra-terrestres (voir, entre autres, X-files). L'appropriation des pouvoirs féminins par les hommes est une thématique que l'on retrouve au fil des rites et des mythes plus traditionnels. Elle sert alors à justifier la supériorité masculine. Dans la mythologie occidentale contemporaine, en revanche, ceux qui tentent d'accaparer les pouvoirs reproducteurs féminins (les militaires, les biotechnologistes, les extra-terrestres) sont définitivement du côté des méchants. 8. Des femmes, des insectes et des clones La figure de la reine des insectes, esclave de la fonction reproductrice qu'elle est seule à assumer au profit de sa ruche et de la perpétuation de son espèce, va servir à symboliser tout à la fois, la part de liberté dont sont privées les femmes par rapport aux hommes lorsqu'elles assument leur fonction maternelle (Fourmiz, Dix, 1998), et l'aspect monstrueux, animalisant de la gestation. A cet effet, les scénaristes focalisent leurs projecteurs sur la déformation du corps de la reine pondeuse qui lui fait perdre les caractéristiques morphologiques habituelles des autres membres de son espèce tant son abdomen est distendu. Ainsi, dans le dernier épisode d'Alien, le spectacle de l'accouchement de la reine alien qui a acquis, grâce à son hybridation avec une femme, Ripley, un système reproducteur complet lui permettant de mettre elle-même au monde sa progéniture sans passer par des organismes hôtes, est affligeant. Tout est mis en œuvre pour révéler l'horreur de l'enfantement par voie "naturelle" et utérine : « Le ventre de la reine entra en expansion […]. Ripley […] regardait la reine se débattre et hurler dans la fange et le mucus (…) La reine […] beugla et essaya de se lever de son lit fétide. Brusquement un jet de sang jaillit tel un geyser du ventre de la reine. [...] Il y eut un dernier hurlement, un bruit épouvantable, et le Nouveau-né émergea des confins exigus de l'utérus maternel. » (Crispin & Whedon : 247-251) Alien est bien la métaphore de la fonction reproductrice féminine et, après qu'on l'ait extirpée du corps de l'héroïne, celle-ci a acquis une intelligence supérieure. Le face à face entre cette femme accomplie, libérée, et l'animal archaïque permet de suggérer que l'utérus, cette partie de la femme soumise aux forces génésiques, est le reliquat d'un stade antérieur de l'humanité dont les hommes sont, eux, dépourvus. En conséquence, écrivains et scénaristes tendront à représenter la régression animale que subirait la femme au moment de la puberté sous la forme d'une métamorphose : l'adolescente se transforme en femelle animale dont le paradigme est la reine insecte (voir Farmer 1961). La puberté révèlerait donc la nature insectoïde de la femme. Ses forces génésiques jusque-là restées en sommeil s'expriment enfin et son corps peut alors être assimilé à un organisme infesté par des germes de vie provenant d'un au-delà ou d'un en deçà de l'humain d'où pourraient émerger des créatures totalement autres. Après tout, la femme enfante un tout autre qu'elle-même lorsqu'elle met au monde un garçon. Une partie du scénario original d'Alien, la résurrection éliminée du scénario final, mais que j'ai retrouvée sur internet, est à cet égard particulièrement intéressante : Une femme marche au travers d'un champ de blé suivie de près par une petite fille. Voix de la fille : "Maman me disait toujours que les monstres, les vrais, n'existaient pas mais ils existent." La petite fille s'arrête et regarde autour d'elle. Le blé lui arrive à la poitrine et nous comprenons qu'elle ne peut rien voir au-delà. Elle se retourne pour voir sa mère mais celle-ci est déjà loin. Le visage de la fillette reflète sa soudaine perplexité. Elle écrase une bestiole à l'arrière de son cou et la ramène dans sa main où la vermine charnue se tortille dans tous les sens. La fillette a alors l'air effrayé mais ne semble pouvoir émettre aucun cri. Le son des insectes remplit l'air. Un autre insecte atterrit sur elle, puis un autre et un autre encore. Elle regarde à terre, de plus en plus horrifiée, et voit du sang à ses pieds dont le flot monte jusqu'à submerger le champ de blé, constituant une mer de sang noir et épais. La fillette essaie de crier, lève les bras en l'air (comme pour se protéger). Elle est maintenant entièrement couverte d'insectes, un linceul noir et palpitant qui recouvre son corps, et quand elle crie enfin, la nuée se précipite dans sa bouche. Il est évidemment difficile de ne pas voir ici la représentation symbolique du traumatisme que représente l'apparition de sa première menstruation pour une fille. Mais pourquoi y associer les insectes sinon pour assimiler l'événement à une mutation provoquée par une infestation? Le linceul qu'ils composent évoque la chrysalide à l'intérieur de laquelle s'opère sa métamorphose en mère potentielle possédée par les germes vitaux. Carrie, l'héroïne du film de de Palma tiré du roman de Stephen King (1974), est également effrayée lorsqu'elle découvre l'apparition de ses premières règles. Une fois menstruée, elle acquiert une surpuissance qui lui permet de tuer ses ennemis. Il en va de même de Ripley au cours du dernier épisode d'Alien lorsque, clonée, elle s'éveille après qu'on lui ait fait subir une césarienne thoracique afin d'extirper la petite reine alien dont elle est enceinte. Le mélange des gènes humains et aliens provoqué par la grossesse est censé avoir entraîné l'acquisition par Ripley et par la reine de leurs aptitudes extraordinaires respectives. La reine a hérité de l'appareil reproducteur féminin de Ripley et sa capacité à accoucher par voie utérine et vaginale. L'ablation de ce corps alien symbolisant la fonction maternelle de Ripley constitue la dernière épreuve physique de son initiation : elle délègue son rôle maternel à une autre espèce, plus animale qu'humaine, tandis qu'elle devient surhumaine. La scène qui signale cette métamorphose post-partum montre Ripley émergeant d'un linceul translucide, véritable chrysalide qui la recouvre entièrement, et d'où elle s'extrait au moyen de ses ongles devenus, entre-temps, des griffes animales. Une femme devenue capable de donner la vie – de reproduire elle-même sa fonction reproductrice (l'appareil reproducteur de sa fille) – est définitivement hybride : son génome est hétérogène, mi-humain mi-animal, et sa beauté est un masque qui recouvre la part animale qu'elle vient d'exprimer en enfantant. Ripley et sa fille sont, comme toutes les femmes, hybrides, humaine et animale, parce qu'elles sont à même d'engendrer à partir de leur corps. A la suite de cette expérience si singulière, Ripley se montre beaucoup moins concernée par le devenir de l'humanité ; sauver cette dernière n'est plus une de ses priorités et elle refuse d'être sacrifiée à nouveau. Il faudra l'intervention d'un robot féminin de seconde génération, c'est-à-dire engendré par un autre robot et donc totalement déconnecté de la reproduction naturelle, pour qu'elle recouvre l'âme qu'elle a perdue au décours de sa maternité. L'idée sous-jacente est la suivante : une femme devenue mère n'est plus tout à fait elle-même, elle n'est plus du tout équivalente à un homme ; c'est une hybride qui cherchera égoïstement à défendre sa progéniture fut-ce aux dépens des autres. L'héroïne de La Mutante subit également, je l'ai dit, une métamorphose lorsqu'elle se transforme en reproductrice. Les signes précurseurs de sa mutation sont bien connus des spécialistes de l'adolescence : elle est boulimique (elle ingurgite une grande quantité de nourriture non réchauffée avec ses mains), et dysmorphophobique, c'est-à-dire qu'elle a l'impression, lorsqu'elle se regarde dans un miroir, que son visage subit des modifications effroyables qui la font pleurer. Quelque temps plus tard, elle est effectivement transformée en chrysalide d'où elle émerge sous la forme d'une ravissante femme blonde au corps parfait, elle qui n'était qu'une fillette à l'aspect ingrat. Sa beauté se révélera être un leurre pour appâter les hommes afin qu'ils l'inséminent. Son côté méduse transparaît alors : des tentacules lui sortent du corps, immobilisant ses victimes qu'elle cherche à tuer une fois qu'elles l'ont imprégnée. Dans le feuilleton Buffy, il est régulièrement question de métamorphoses, en vampire, en loup-garou ou autre animal fantastique qui évoquent, on ne peut mieux, la transformation foncière que subissent les adolescents lorsqu'ils deviennent des procréateurs en puissance. Dans un des épisodes, une ravissante professeure de sciences naturelles séduit ses élèves mâles et vierges. Elles les attire chez elle où elle se transforme en mante religieuse ; dans la cage où elle les tient prisonniers, elle les contraint à inséminer ses œufs tandis qu'elle leur dévore la tête. Les adolescents d'aujourd'hui, comme ceux du Meilleur des mondes à qui l'on apprend à pratiquer des "exercices malthusiens", sont prévenus : le sexe oui, la reproduction, non! Dans les différents épisodes de Scream, de Craven et Williamson (1996, 1997, 2000), que les adolescents adulent, seuls les vierges, garçons ou filles, sont menacés par le tueur fou... La pratique du sexe avec préservatifs et contraception est ici prônée comme seul moyen efficace pour passer sans danger le cap difficile de la métamorphose pubertaire. 9. Vivipares ou clones ? La morale des histoires que je viens de conter est simple : la femme a tout intérêt à se soumettre à une contraception libératrice, et l'humanité évoluée à développer d'autres modes de reproduction, artificiels, plutôt que de rester subordonnée à mère Nature dont la cruauté peut s'avérer sans égal. Mais en attendant l'avènement du Meilleur des mondes, hommes et femmes tendent à être associés, dans l'imaginaire populaire, à deux espèces distinctes mutuellement dépendantes : les hommes qui n'enfantent pas ont besoin des femmes pour engendrer leurs semblables, tandis que les femmes ont besoin des hommes pour grimper d'un degré sur l'échelle de l'évolution. Toutefois, la possibilité d'imaginer un monde où la procréation artificielle, in vitro ou par clonage, serait généralisée ne participe plus de l'utopie, comme l'illustre l'affirmation du Professeur Weil, immunologiste, dans la revue Géopolitique (2004 : 23) : Je suis convaincu que, très vite, la reproduction ne se fera plus qu’en laboratoire, in vitro. Le mode de reproduction à l’ancienne ne sera plus qu’exceptionnel. C’est inévitable étant donné la façon dont la société évolue : les femmes font des carrières, passent des diplômes et, à 40 ans, veulent un enfant qu’elles n’ont pas eu le temps de faire avant. La solution, c’est de prélever à 18 ans les ovocytes et les spermatozoïdes en prévision de ce désir futur et de les mettre en attente. On aura ainsi des cellules germinales fraiches que l’on pourra utiliser à volonté pour une FIV. Certains auteurs de science-fiction prophétisent aussi l'émergence de sociétés humaines matriarcales dans lesquelles les femmes se reproduiraient par clonage et/ou s'accapareraient les réserves spermatiques des hommes qu'elles réduiraient en esclavage : voir, entres autres, Les Hommes protégés (Merle 1974), La Jeune fille et les clones (Brin 1993), Chroniques du Pays des Mères (Vonarburg 1999), Pollen (Wintrebert 2002). La science-fiction constitue bien un corpus mythologique : auteurs et metteurs en scène se référent les uns aux autres faisant dialoguer entre elles leurs oeuvres en un ensemble cohérent. Son mode d'expression – narratif, imagé, générateur d'émotion – l'oppose aux discours scientifiques alors même que son contenu s'en inspire. C'est pourquoi l'analyse de la science-fiction, comme celle de toute mythologie, éclaire les soubassements de l'idéologie des sociétés où elle est née. La culture est, en Occident, essentiellement rattachée aux activités de production artificielles, c'est-à-dire non programmées par le devoir de survie biologique. On tendra donc à qualifier d'archaïque toute espèce, toute société, tout genre, tout individu qui consacre à la reproduction une part d'énergie estimée, selon ces critères, trop importante. Et on soulignera, par contraste, les vertus de la volupté sexuelle émancipée du joug reproducteur. Au terme de cette présentation, il devient évident que les œuvres d'anticipation qui ont trait à la reproduction sont nombreuses et qu'elles reflètent l'évolution contemporaine des représentations et des pratiques occidentales concernant la différence des sexes et les distinctions culturelles. En les rabattant sur une distinction entre espèces, la puissance des images qu'elles sont à même de construire ou d'inspirer révèle la violence des rapports qui sont en jeu entre les sociétés, et l'idéologie raciste qui les sous-tend. De ce point de vue, elles représentent des supports pour développer une réflexion éthique qui ne concerne pas seulement le devenir des pratiques scientifiques mais aussi celui des relations entre cultures. D'après Vernant, ce serait "moins l'étrangeté des mythes grecs qui aurait constitué, au départ, le principal obstacle épistémologique à leur analyse rigoureuse, mais plutôt leur trop grande proximité, leur présence encore trop 'naturelle' dans l'univers mental de l'Occident" (ib. : 216). Ne pourrait-on en dire autant de ces mythes d'aujourd'hui qui forment le répertoire de la science-fiction? Car "le mythe peut être à la fois ce terrain où (...) une culture s'enracine et cette partie d'elle-même dont elle semble méconnaître l'authenticité" (ib. : 215). L'ampleur et la vitalité de la production des oeuvres de science-fiction permettent de supposer qu'elles composent un ensemble mythologique comparable à celui analysé par Lévi-Strauss pour les sociétés amérindiennes. Une telle comparaison permettrait incontestablement d'approfondir nos connaissances en matière mythologique. BIBLIOGRAPHIE Bidou, P., 1991. « Mythe » : 498-500, in P. Bonte, M. Izard et al.(dir.), Dictionnaire de l'ethnologie et de l'anthropologie. Paris, PUF. Boureau, E., 1996, « Origine de la vie » 113-122, inEncyclopædia Universalis. Paris, Encyclopædia Universalis. Brin, D., 1997 [1993], La Jeune fille et les clones. Paris, Pocket. Brunner, J., 1972 [1968], Tous à Zanzibar. Paris, Editions J'ai Lu. Card, O. S., 1994 [1977], La Stratégie Ender. Paris, Editions J'ai Lu. Clarke, A. C., 1968., 2001, L'Odyssée de l'espace. Paris, Robert Laffont. Clute, J. et P. Nicholls (dir.), 1995, The Encyclopedia of Science Fiction. New York, St Martin's Griffin. Cook, R., 1989, Mutation. Paris, Editions Sylvie Messinger. Crispin, A.C. et J. Whedon, 1997, Alien : la résurrection. Paris, Editions J'ai lu. Darwin, C., 1992 [1859], L'Origine des espèces. Paris, Garnier Flammarion. Dumont, J.-P. et J. 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[en ligne], mars 2006, vol. XI, n°1. Disponible sur : <http://www.revue-texto.net/Inedits/Moisseeff_Mythes.html >. (Consultée le ...).
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  29. Merci copain mais , t'en fait pas je me suis assez documenté depuis le temps pour m'être rendu compte de la supercherie , sache que je n'ai jamais eu de relation protégé , et que les symptômes sont arrivés après un rapport protéger ... Pour ta gouverne je ne suis jamais aller faire un test , j'ai toujours un ganglion enflée la faute a quoi ?! J'ai jamais été voir le médecin pour savoir... Il y'a certes une défaillance immunitaire chez certaines personnes ,mais qu'elle soit cause par un virus invisible , je n'y crois plus une seul seconde ... Le nombre de preuves est effarant ! Tu ferais mieux de te renseigner plutôt que de confier ton corps aveuglément a la médecine, car la vérité est bien loin de ce qu'on nous raconte ... Prenez soin de vous , quoi qu'il arrive c'est a Dieu qu'on rendra nos comptes
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  30. Bonjour, Et bienvenue sur le forum. En Afrique, il doit y avoir plus de laissez-faire qu'en Europe. Donc, a priori, tu ne dois pas être obligée de suivre le traitement (mais bon, c'est à vérifier). Mon conseil est que tu abandonnes ce traitement le plus vite possible (il vaut mieux ne pas le faire d'un seul coup, mais vu que la naissance est pour bientôt, il vaut mieux le faire en accéléré, du genre diminuer les doses pendant 2 semaines et ensuite arrêter complètement). Prendre ce traitement alors qu'on est enceinte est très mauvais pour le foetus.
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  31. Bonsoir Stéphanie, Comme indiqué à Survivor dans ce message, il et de règle que seul un médecin puisse communiquer les résultats de ce type d'examen. L'arrêté précise que si le patient ne désigne pas de médecin, alors c'est le biologiste lui-même qui doit communiquer les résultats. S'il ne le souhaite pas je te conseille de lui transmettre cet extrait de l'arrêté qui le précise. A voir comment il réagit...
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  32. Stéphanie, Je te rappelle ce que t'a écrit Jibrail : La règle générale, en principe, c'est donc qu'on le fait le dépistage avec le test Elisa, qu'on le vérifie par deux WesternBlot, et qu'ensuite seulement, quand le WesterBlot, ou ImunoBlot, a confirmé qu'il y a une séropositivité, on fait deux examens supplémentaires, en général je crois plus ou moins simultanés : - les test de comptage des CD4, - et le teste de la charge virale par PCR. Donc, en résumé : 1) Ils t'ont fait un test Elisa à l'insu, puisqu'ils ont coché une case qui ne l'était pas au départ, ce qui signifiait si j'ai bien compris que ta gynéco et toi n'étiez pas a priori demandeuses d'un test de dépistage du sida, 2) Ayant trouvé un résultat positif au test de dépistage, ils ont fait la vérification du niveau de CD4 et la PCR, et selon leurs critères, le résultat signifie que tu as des taux de CD4 trop bas et une charge virale trop élevée. Comme tu as des doutes sur les conflits d'intérêt des labos et de l'officine ou travaille l'infectiologue que tu as vue, et comme tu eu des difficultés à voir les documents concernant les résultats des tests, ainsi que les notices et les informations sur les effets secondaires des antirétroviraux que l'on t'a prescrits, je pense qu'avant tout tu devrais vérifier si tu as eu ou non un second ImmunoBlot confirmant la séropositivité, en faire faire un si ce n'a pas été fait - voire tout refaire en commençant par le text Elisa -, puis refaire le comptage des CD4 et de la charge virale, mais tout ça dans un autre laboratoire, puis discuter de la prescription qu'on t'aura donnée avec ta gynécologue - ou avec une autre gynécologue - en lui signalant bien ce que tu as trouvé sur les effets secondaires chez la femme enceinte. A mon avis, c'est seulement à partir de ce moment là que tu pourras prendre une décision vraiment en connaissance de cause, notamment selon que les premiers résultats t'auront été confirmés ou non. Courage, Amitiés
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  33. C est assez evident ... c est un troll ou un gamin qui s amuse le mec pretend avoir une aventure extra conjugale en 2013 et ne s interroge qu en 2014. Manque de respect c est un mioche qui a fait son premier touche pipi et qui a peur d avoir chopper une saloprie..
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  34. A mon tour de dire merci à Aixur pour avoir inséré ci-dessus le lien vers la compilation : Sur cette page, on trouve un lien vers un dossier en anglais, The alchemy of flow citometry - http://www.omsj.org/corruption/the-alchemy-of-flow-cytometry C'est un dossier très intéressant, auquel à mon avis on n'a pas toujours prêté assez d'attention, car il montre que, de même que le principe et l'usage des tests, les technologies de comptage des CD4 posent de nombreux problèmes de fiabilité (outre le fait que la localisation des CD4 en soi fasse problème). En résumé, il n'y a pas de réel contrôle au niveau légal et des autorités sanitaires de la standardisation des technologies utilisée en raison de divers conflits d'intérêt. conséquence, en pratique, la variabilité des résultats fournis est très importante. A tel point qu'à plusieurs reprises des technologies mises en circulation par divers fabricants ont dû être retirées par les autorités fournissant des agréments. Voici la partie du dossier qui évoque tous ces aspects. Comme disait la chanson, "Traducteurs, traduisez".... Voir aussi ce lien fourni sur la même page : http://www.omsj.org/corruption/gotzsche16mar - Il présente un livre paru en 2013, titre en français : "Médecine mortelle et crime organisé". C'est une étude concernant l'Europe et les USA, qui a été signalée par la très officielle revue The lancet...
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  35. Bonjour Stephanie, alors j'ai retrouver l'article en question qui etait en fait sur la page d'acceuil de ce site ( dans la rubrique CD4 ) donc je me permet de te copier le texte pour t'eviter de chercher partout , meme si je t'encourage a lire les autres articles sur la page d'acceuil . Bonne journee a toi. " Les CD4 sanguins sont sensés être un marqueur très important de l'immunité, l'indice que le corps est protégé par le système immunitaire ou non. C'est vraiment le chiffre que les séropositifs ont en tête -avec la charge virale-, le chiffre qui leur cause abimes d'angoisses ou sérénité. Selon la théorie officielle, le taux normal se situe entre 500 et 1600 CD4. Donc, si on tombe en dessous de 50, voir même 100, c'est la mort assurée par la multiplication de maladies bactériennes ou virales. Car on est alors à moins de 10 % du taux permettant de se défendre contre les microbes pathogènes. Comme les microbes et les virus pathogènes sont partout, et que même certains sont déjà dans le corps, impossible d'y échapper. En moins d'une semaine, on doit être mort. Or, ce chiffre ne signifie rien. Tout simplement parce que ce qu'on mesure sont les CD4 (ou T4) sanguins. Et les CD4 sanguins ne représentent que 2 % de la quantité totale des CD4. Le reste se situe dans les tissus des ganglions. Or, les CD4 sanguins peuvent migrer vers les ganglions pour des tas de raisons : un stress, un effort physique, etc... Ce qui entraine qu'on peut passer de 500 a 100 CD4 le jour où on passse le test sanguin alors qu'en fait, les 400 manquant, sont toujours dans le corps, mais ont simplement migré vers les ganglions. Et un test fait un autre jour pourrait donner un résultat de 600 CD4. Les médecins utilisent donc un indicateur qui ne veut absolument rien dire. Donc, quelqu'un peut avoir par exemple moins de 50 CD4 pendant des années et n'attraper aucune maladie microbienne pendant des années. C'est d'ailleurs ce qui ressort des données fournies par quelques dissidents, voir, involontairement par des opposants aux dissidents. Ils ont eu des CD4 a moins de 50. Et ils étaient en parfaite santé. "
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  36. Plusieurs scientifiques parmi les dissidents ont affirmé en effet, nombreuses études et démonstrations très approfondies à l'appui sur la nature exacte des tests, que le simple fait d'être enceinte peut les positiver sans que cela puisse prouver quoi que ce soit de réellement précis en termes ni de vih ni de sida. Et pour cause, le "virus" n'ayant pas été isolé mais, via une très trouble affaire de clonage d'anticorps et d'antigènes, n'étant en réalité qu'un prétexte sur mesure pour propager l'utiilisation des tests, des traitements antirétroviraux, et pratiquer à une très vaste échelle un contrôle bio-médico-social foncièrement terroriste et criminel relevant d’une idéologie technobiocratique totalitariste. Par ailleurs, si comme tu nous le dis, Stéphanie, tu as été victime d'un test à l'insu, je suis pratiquement certain que cela relève de la justice. Il faut absolument penser à intenter un procès avant qu'il y ait prescription. Il y a parmi les dissidents français un avocat très spécialisé en droit médical qu'à mon avis tu devrais contacter de toute urgence : Jacques Vitenberg, Chargé d’enseignement de droit médical à Paris V, Ancien professeur à l’Institut d’histochimie médicale, Lauréat de la Faculté de médecine de Paris, Avocat au Barreau de Paris, 53 rue de Maubeuge 75009 Paris, Tel : 09 53 61 32 63 - Fax : 01 49 57 98 54 Mobile : 06 24 48 17 37 - e-mail : vitenberg@free.fr
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  37. Petite dedicace a survivor pour ce qu il fait depuis des mois t es un champion mec !
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  38. Tu sais j ai ete rediagnostique negatif ca m a pas empecher en 3 mois de stress intense de perdre la moitié de mes tiffs resultats pas si anodin que ca le stress...
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  39. Bonjour aixur, je continue de penser que tout ca pue tres fort......mais bon....aujourd'hui mis en alerte apres libre a chacun de rester vigilant. VIE H, aussi sympa que sois ta chef de service, ils sont tous manipulés par les labos qui leur font croire ce qu'ils veulent.... heureusement de temps en temps certains tout medecins qu'ils sont ont un cerveau et des fois finissent par reflechir voir se rebeller.....mais il aura fallut faire quoi pour leur faire prendre conscience de leurs erreurs ? ce vaccin servirait juste a une pause therapeutique ???? a quoi bon...les malades n'attendent pas d'avoir une nouvelle epee de damocles au dessus de leur tete, ils attendent d'etre LIBRES ! ce labo comme les autres n'est ni plus ni moins qu'un autre esclavagiste qui veut garder sous sa coupe ses portefeuilles sur pattes dissimulé derriere des noms prestigieux comme chermann et bla bla bla sauf que lui a du beneficier de tres gros appuis politiques pour en etre arrivé la ! mais il y a du bon dans tout ca ! LA COURSE AU FRIC ET PEUT ETRE LA FIN DE NOTRE CALVAIRE ! voulant tous revendiquer d'avoir trouvé le traitement miracle, la gloire oblige, a present ils vont etre obliges de se bouger le cul pour nous tirer de la.....prions pour ca ! amen !
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  40. Difficile de savoir de quoi il retourne. Bon, bien sûr, c'est une arnaque. Puisqu'il n'y a pas de virus VIH, il ne peut pas y avoir de vaccin. Mais, après ça, tout dépend de ce que veux faire l'orthodoxie médicale. Ils peuvent introduire à tout moment un vaccin et dire qu'il est efficace (tout le temps ou seulement pendant un certain temps comme ici, sur X % de vacciné ou 100 % d'entre eux, etc...). Comme on n'est pas dans les petits papiers de l'orthodoxie, impossible de savoir si le vaccin présenté ici est celui qui va être finalement introduit sur le marché, ou s'il va rejoindre les oubliettes avec les autres qui l'ont précédé. Mais il est possible qu'ils décident finalement d'introduire un vaccin et d'en finir avec l'affaire "VIH". Dans ce cas, on aurait eu une première étape consistant à affoler au maximum la population en achevant des drogués déjà en très mauvaise santé avec l'AZT à haute dose. Puis, on aurait eu une deuxième étape avec les trithérapies, permettant d'engranger des bénéfice élevés sur un temps beaucoup plus long et avec une population de séropositif beaucoup plus importante qu'au début. Puis, on aurait une troisième phase avec un vaccin touchant encore beaucoup plus de monde, et moins cher, mais peut-être finalement plus profitable.
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  41. Bonjour a vous tous, merci a jardinier pour cet excellent post "et ca c'est quoi" qui resume parfaitement la ou nous en sommes actuellement.... voici de bien sales nouvelles.... mercredi je me suis rendu a mon rdv chez mon medecin a marseille, pour lui mes resultats sont excellents et a la palpation aucun probleme... nous rediscutons de sortir de la clandestinité et enfin de faire part de cette experience a la chef de service.....en amont il a ete la trouver....voici les reponses... il est precisé que cette chef de service fait partie du college d'expert qui edicte les nouvelles recommendations en terme de traitement pour les personnes atteintes de ce mal....et voici ce que sont les nouvelles recommendations officielles....IL FAUT TRAITER LES GENS IMMEDIATEMENT LEUR SEROPOSITIVITE DECOUVERTE ET NE PLUS ATTENDRE QU'ILS ATTEIGNENT LES 200 T4 ! donc ce que je suis en train de faire bien evidement je suis completement fou et je dois reprendre mon traitement dans sa totalité sans tarder ! ben voyons..... tout comme ce fameux professeur emerite lequel je me suis rapproché avant les fetes de noel ils en ont rien a foutre de nous ! le sida n'interesse personne. j'apprend egalement mais ce que je savais deja que ces memes lois edictees pour ce college d'expert sont elles memes edictees par les laboratoires !! rapide calcul...2 prises par semaine = 88/an au lieu de 365 vous imaginez un instant la perte pour le labo si on pouvait appliquer ca a tout le monde... mais y a pire encore, d'autres personnes ont completement arrete leur traitement depuis 1999 et sont totalement asymptomatiques sans que personne ne daigne s'y interesser et meme savoir pourquoi ? tout ceci est bien triste, ces medecins criminels a la solde des laboratoires ne font qu'entretenir nos peurs et nous rendent esclaves de leurs poisons sans chercher un seul instant a nous guerir puisque nous sommes des portefeuilles sur pattes ! OUI NOUS SOMMES ATTEINTS D'UN MAL ! mais lequel ? au bout d'un certain temps sommes nous geris ? au bout d'un certain temps pourrions nous beneficier d'une moindre medication voir d'un arret terapeuthique ? tout ca ne les interesse pas ! soyez bien conscient que notre guerison ne viendra pas d'eux, il y a quelque chose de formidable ici, la possibilité d'avoir pu non seulement echanger et faire part de nos experiences et de nos vecu mais egalement d'avoir pu denoncer la veritable manipulation dont nous sommes victimes ! sans une reelle mobilisation de notre part nous ne sommes pas pret de guerir.... l'idee que tu as suggere jardinier qu'un journaliste digne de ce nom puisse s'emparer de nos histoires et de pouvoir enqueter sur la realite de notre maladie et peut etre faire jaillir la verité me semble plus que jamais une excellente idee ! il faudrait que nous soyions encore plus diffuse que ca que quelqu'un de bienveillant suffisement mediatique fasse sortir tout ca au grand jour. peut etre qu'il serait temps que la dissidence dispose d'un bureau officiel ayant elu domicile chez un avocat afin de preserver nos identites ? pour que les choses evoluent il faudrait pouvoir recenser toutes les personnes ayant connu des anomalies concernant cette maladie.....toutes les idees sont bonnes a prendre.....je vous laisse le soin a tous les membres mais aussi a nos lecteurs et amis medecins qui je le sais nous lisent....de faire vos suggestions.... tout ceci me rend bien triste....ca dure depuis tellement longtemps mais je ne perd pas espoir que nous tous nous nous en sortirons. a bientot et vive la resistance !!! Bruno
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  42. Merci Yacre pour ton témoignage. Si je te lis bien, cela veut dire que tes problèmes de santé "réels" (hors "nombres" - Cd4 et CV) se sont au moins partiellement améliorés ? J'en profite pour vous donner le lien d'ICCARRE - "(Intermittents en cycles courts les antirétroviraux restent efficaces)" - une démarche qui doit être pilotée (entre autres) par le bon Dr Leibowitch à l'Hôpital de Garches, en région parisienne, dont Bruno nous avait parlé sur ce fil (c'est désormais son médecin désormais ?). Depuis une dizaine d'années, il y a un suivi de patients qui prennent leur traitement de façon espacé et qui enregistre d'excellents résultats. On reste dans l'orthodoxie, mais la démarche pour une fois se fait dans l'intérêt des patients et contre ceux des labos et de tous ceux qu'ils arrosent. Il y a pas mal de docs intéressants, et un lien vers une pétition qui vise à approfondir sans tarder les recherches visant à alléger les traitements, au contraire de ce qui semble se décider (voir ci-dessous). De quoi faire méditer la docteur de Yacre
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  43. Merci beaucoup Arc, ta force et ton parcours nous invitent à poursuivre... Prends bien soin de toi, tous mes vœux t'accompagnent... Tiens-nous au courant, A bientôt, Sergio
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  44. Oui, effectivement, on peut relier ça à la baisse du taux de cortisol causée par l'arrêt des médicaments. Même si l'arrêt a été progressif, il doit y avoir une certaine baisse du taux de cortisol (de combien, ça mystère, mais chez toi, elle ne doit pas être très importante, sinon, ça serait plus grave que juste des problèmes d'envie de se gratter). Baisse qui va durer quelques mois. Du coup, il y a une baisse de tension. Et quand la tension est un peu basse, le sang circule au ralenti au niveau de la peau. Je pense que c'est ça qui donne envie de se gratter. Probablement que le grattement sert à redynamiser le flux sanguin. D'où l'intérêt de la sensation de démangeaison. Comme le taux de cortisol n'est pas trop bas, les démangeaisons varient en fonction du cycle quotidien du cortisol. Il est bas la nuit (mais là on dort), le matin après le réveil, et le soir. Du coup, tu sens les démangeaisons entre 6h et 9h, puis à partir de 18h. Logique. La chaleur peut aussi augmenter le problème, puisque ça fait baisser la tension. Donc, avec la venue de l'été, les démangeaisons peuvent être plus importantes. Et bien sûr, l'utilisation de substances analogues d'opiacés (tabac, certains alcools, cannabis, héroïne, certains médicaments, etc...) peut provoquer ce genre de problème puisque ces produits diminuent la tension sanguine. Donc, à voir si tu ne prend pas un truc de ce type le soir.
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  45. Bonjour nico, l'important c'est que tu te sentes bien ! tu sais je suis egalement passé par un echec et je continue quand meme de prendre la tri à moindre dose mais je n'ai jamais pu l'arreter completement pour le moment. concernant ton systeme immunitaire si tu daignais suivre le protocole de base que je te suggere non seulement tu amelioreras ta formule sanguine tres rapidement mais surtout tu verras ton immunité remonter tres vite et se normaliser dans quelques semaines voir quelques mois. la chlorella et tout particulierement le nubiocell sont specifiques a l'immunité et donnent des resultats extra ordinaires.... l'info est donnée et je tente de la diffuser le plus possible, de plus je sais de quoi je parle pour l'avoir essayé sur moi, sur d'autres de maniere clinique et avec toujours les memes resultats... à present toutes les personnes qui liront ce post en sont informées.... je te souhaite d'aller le mieux possible et surtout reste tres entouré. courage !
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  46. bonjour à vous tous… comme le temps a passé…mais ce n’est pas pour rien !. lors de mon dernier post je vous faisais savoir que la phase 3 était en route et se deroulait normalement…..elle s’est achevée normalement le 30 septembre 2012 ! la phase 4 a demarré le 01 octobre 2012 et se deroule de la manière suivante : tri therapie COMBIVIR + VIREAD 1 comprimé de combivir matin et soir le lundi, le mercredi et le vendredi. 1 comprimé de viread le midi le lundi, le mercredi et le vendredi. Nous en sommes donc à 5 mois de traitement juste trois fois par semaine…. Les resultats ???!!! EXCELLENT !! Charge virale indetectable T4 837. Le reste du bilan est strictement dans la norme….. Je vais poursuivre à ce rytme jusqu’à la fin de cette annee 2013. Pour rappel je suis contaminé depuis 1984 par acte transfusionnel j’ai actuellement 41 ans et je suis suivi en milieu hospitalier à marseille, l’ensemble de mes bilans, consultations et autres sont contenus dans un dossier de plusieurs kilos dans cet hospital. Tout est verifiable veridique et sincere ! Je vais d’abord commencer par un grand merci à la dissidence du sida et à toutes les personnes qui m’ont lu aidé soutenu….je ne vous ai pas oublié bien au contraire ! Je vais redire encore une fois que mon experience bien que faite sous strict contrôle medical est empirique et reste secrete et c’est la ou le bas blesse, c’est la ou j’ai la rage et c’est la ou je ne comprendrai jamais ces medecins…… Devant une telle experience, de tels resultats on est obliges de se taire ! De se taire parce que meme dans l’hospital ou je vais les laboratoires viennent arroser les medecins de leurs fric pourri qui leurs scele les levres et qui les lies pieds et mains….voila ce qu’est devenu la medecine ! nous sommes des rentes autant que faire se peut pour les laboratoires ! d’autres malades pourraient profiter de cette experience, les chercheurs pourraient se pencher sur toutes ces « anomalies » ! mais non pour quoi faire ??! Le medecin m’avoue du bout des levres qu’il y a autre chose que le sida, le virus….pour peu qu’il existe….il n’est pas tout seul…. Quel bordel dans ma tete….heureusement que ces gens la sont censé nous aider….en verité ils en savent moins que nous ! Rares sont les vrais medecins dignes de ce nom ! Bon apres avoir egratigné tous ces mange merde les solutions….. Vous vous doutez bien que je n’en suis pas arrivé la comme ca ! J’ai eu plus de 2 ans pour tester CLINIQUEMENT analyses biologiques à l’appui ce que je vais vous indiquer…. LE TRAITEMENT DE BASE DANS L’ABSOLU NUBIOCELL marque fang’s food CHLORELLA PLUS marque fang’s food QUINTON ISOTONIC marque QUINTON LA POSOLOGIE : Au depart prendre les 10 premiers jours soit la boite de 10 ampoules 1 ampoule de NUBIOCELL tous les midi PUIS, 1 ampoule de NUBIOCELL le lundi, le mercredi et le vendredi durée illimitée…… Pour ceux qui ont une immunité tres faible 1 fois par mois vous recommencez l’operation des 10 ampoules d’affilé jusqu’à la normalisation. La CHLORELLA PLUS le mardi, le jeudi le samedi et le dimanche 2 comprimés le matin et 2 comprimés le soir au repas. Lors des 10 jours d’affiles de nubiocell ne pas prendre la chlorella. Tous les matins si possible a jeun 2 ampoules de QUINTON ISOTONIQUE à laisser 2 minutes sous la langue puis avaler. En suivant scrupuleusement ce protocole vous reussirez à normaliser votre immunité de quelques semaines à quelques mois ! A toutes les personnes qui s’engageraient sur cette voie s’il vous plait surtout merci de nous faire connaitre vos resultats ! une chose est sure vous ne ferez pas tout ca pour rien ! Pour ma part je me complemente avec d’autres complements qui sont adaptés à ma situation, vision guard, seve imperiale, bioleine, hepactif, reishi maitake shiitaké, vitamine c, multi vitamine homme, anti oxydant formula, permealine et lactibiane reference pileje. Idealement soyez suivi par un nathuro qui adaptera votre traitement complementaire. Je vais arreter la pour aujourd’hui mais je reviendrai completer ce post et vous donner de mes nouvelles et surtout prendre des votres…. COURAGE ! Bruno
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  47. Gaia, je ne comprends pas ? beaucoup dans ton cas après un résultat négatif sauteraient de joie et effaceraient très vite ce mauvais passage de leur vie; d'autres comme toi qui doutent beaucoup (j'ai fait partie de ceux là), vont ruminer ce doute et ne pouvant pas tout expliquer (comme leur médecin d'ailleurs) ils vont se projeter dans un futur négatif; tout cela contribuant à être réceptif aux moindre petits maux, que cherches-tu ? "le bâton pour te faire battre", oublie rapidement cette histoire et vis le moment présent (tout simplement) Tout de bon
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  48. LA DEMONSTRATION DE L'INQUALIFIABLE IGNOMINIE DES TESTS DITS "HIV" Au travers de la réfutation de deux arguments invoqués par l'orthodoxie du sida, en la personne de Candide, à l'encontre de la dissidence du sida, et restés jusqu'à ce jour visiblement irréfutés (d'une pierre, deux coups)! INTRODUCTION Je suis actuellement arrivé à la page 115 du topic "Le VIH ne causerait pas le sida", soit peu de temps avant que j'arrive sur ce forum. J'ai pu constater que jusqu'à la page 97 de ce topic, les arguments réellement pertinents invoqués par les tenants de l'orthodoxie du sida ont chaque fois pu être réfutés, et le plus souvent avec une facilité pour le moins déconcertante. Ce fut également le cas à partir des pages 98 et suivantes et jusqu'à maintenant (du moins, sur les points essentiels). Force m'est cependant de constater qu'à la page 97 de ce topic, Candide, qui, à mon sens, est assurément le moins mauvais de nos contradicteurs, a invoqué à l'encontre de la dissidence deux arguments APPAREMMENT très pertinents (il s'est également demandé pour quelles raisons les trithérapies ont pu paraître si efficaces au début des premières années des trithérapies, mais Cheminot a pris bien soin d'y répondre, tout en lui rappelant que cela avait déjà été expliqué à plusieurs reprises auparavant), deux arguments qui APPAREMMENT ont eu l'heur exceptionnel de laisser la dissidence du sida complètement K.-O. ! Arrivé à la page 115, je constate qu'il n'y a toujours pas été réfuté clairement (et je suppose que cela n'a pas été le cas ensuite). Certes, des considérations frôlant la philosophie ont immédiatement suivi ces deux fameux contre-arguments mais il faut bien le reconnaître que, quoique ces considérations soient intéressantes, elles ne font pas le poids et ne réfutent en rien ces deux fameux contre-arguments. Cela ne peut que me laisser qu'un goût bien amer dans la bouche puisque cela revient à donner l'illusion à l'orthodoxie du sida qu'après plusieurs années de bataille acharnées sur ce site contre la dissidence du sida et 97 pages de ce topic, celle-ci aurait - enfin - pu réfuter des arguments de la dissidence sur deux points, au surplus très fondamentaux. Cette situation est d'autant plus "grave" que l'occasion faisant le larron, Candide en profite pour en déduire "évidemment" que la fameuse et célèbre Réfutation de Durban n'est qu'un château de cartes pour le moins inconsistant, à laquelle aucun crédit ne pourrait "forcément" être accordé. Et je me mets également à la place du lecteur découvrant récemment la dissidence du sida qui lisant cela, ne pourrait s'empêcher de se dire que les arguments de la dissidence du sida ne sont que pur mensonge et se détournerait donc de la bonne voie pour celle, mortifère, de l'orthodoxie du sida. Par conséquent, le présent post aura pour objet de réfuter clairement et de façon la plus impitoyable possible chacun de ces deux soi-disant contre-arguments invoqués par Candide ainsi que les différentes réflexions qui la sous-tendent, et, partant, d'aboutir à la conclusion que la Réfutation de la Déclaration de Durban reste toujours LA référence en la matière, je dirais même la bible de la dissidence, et que la Déclaration de Durban, en elle-même, reste toujours et encore une suite ininterrompue de mensonges et d'inepties, qui doivent toujours être prouvées scientifiquement. La présente réfutation me permettra par ailleurs d'illustrer le fait qu'au contraire de la "Réfutation de la Déclaration de Durban", la meilleure (ou plutôt moins mauvaise) contre-argumentation existante à ce jour aux arguments de la dissidence du sida, étant " The Evidence That HIV Causes AIDS" du NIAID (cliquez ici pour le lire dans son intégralité) est, elle, un véritable château de cartes, entre autres en approchant la question des soi-disant tests dits "HIV". En effet, la contre-argumentation avancée par l'orthodoxie du sida pour affirmer que les tests HIV sont fiables est tout simplement symptomatique de la plupart des autres contre-arguments qui figurent dans ce document. Réfuter cette contre-argumentation avancée à l'appui de la fiabilité des tests HIV permettra en effet de comprendre la logique complètement biaisée qui est utilisée dans la presque totalité de ce document pour défendre envers et contre tous le dogme de l'origine virale du virus. Notons que pour ce qui me concerne, les présentes réfutations sont quasiment d'une simplicité infantine, ou presque. Mais je me mets à la place de ceux qui découvrent la dissidence du sida et pour qui, forcément, cela n'est pas si enfantin que ça (d'autant plus qu'ils sont pour la plupart encore imprégnés de toutes les croyances erronées et dogmatiques que leur a inculquées l'orthodoxie médical). Raison pour laquelle les réfutations sont assez longues, et ce pour permettre aux lecteurs de bien les comprendre, sans la moindre zone d'ombre (du moins, je l'espère). Commençons donc avec le premier "argument" de Candide. I) LA REFUTATION DU PREMIER ARGUMENT DE CANDIDE C'est terrible, ça : il ne t'est pas possible de reconnaître l'évidence, alors que je t'ai apporté tous les éléments sous les yeux ? Je recommence une dernière fois sur ce point. Tu as copié le texte que vous appelez la "réfutation de la déclaration de Durban". Ce texte prétend que "aux Etats-Unis, aucun personnel paramédical ni technicien ou chirurgien urgentiste n'a contracté le SIDA à l'occasion de son travail". Le texte cite à l'appui une étude du CDC menée en 1999. Et moi, je te mets sous le nez un tableau extrait de l'étude en question qui établit la listes des personnels de santé ayant été contaminés durant leur travail. Tu ne vois pas où est le problème ? Tu es d'une mauvaise foi invraisemblable lorsque tu me réponds que l'on n'est pas sûr que ces personnes ont bien été contaminées durant leur travail. Il y a deux colonnes dans le tableau que j'ai cité : la première colonne établit la liste des personnels de santé contaminés par le virus lors de leur travail, et pour lesquels on dispose de documents attestant d'une exposition au VIH. La deuxième colonne contient une liste de personnels de santé contaminés également durant leur travail, mais pour lesquels on ne dispose pas de documents prouvant qu'ils ont été exposé au VIH. Dans la première colonne, ce sont donc des personnes certainement contaminées durant leur travail. Pourquoi nier l'évidence ? Tu dis que "les dissidents qui ont rédigé le texte ne sont pas des rigolos et que s'ils ont sorti ça, c'est qu'ils avaient des arguments derrière". Ca, c'est ton point de vue, mais ce n'est pas une preuve. Tu peux citer des sources, des travaux, des articles ? Je le redis une nouvelle fois : la "réfutation de la déclaration de Durban" a cité un article pour lui faire dire autre chose que ce qu'il dit vraiment. Ca s'appelle un mensonge, une interprétation biaisée, de la malhonnêteté intellectuelle. Point barre. Apparemment, l'argument invoqué par Candide semble imparable, mais voyons cela d'un peu plus près. La "preuve" de la contamination par le pseudo HIV résulte donc de la circonstance que dans les 56 cas retenus, il a chaque fois pu être prouvé (et je n'en doute pas d'ailleurs) qu'ils avaient tous été exposés directement au HIV (disons plutôt : à ce qui est supposé dogmatiquement par l'orthodoxie du sida comme étant le rétrovirus exogène et pathogène HIV) d'une façon ou d'une autre (piqûre, ...), et qu'"à la suite" de cette exposition, chacune de ces 56 personnes est devenue séropositive. Le lien apparement direct entre cette exposition au pseudo HIV et la séropositivité au test HIV qui s'en est "suivi" est donc la "preuve" qu'il y a bien eu "contamination". Evidemment, il n'en est strictement rien et cet argument ressemble à s'y méprendre à un autre invoqué par certains orthodoxes du sida, à savoir la circonstance qu'à la suite un rapport sexuel "à risque" la "victime" devenue séropositive est porteuse du même génotype du pseudo virus que le "contaminateur". J'ai déjà clairement démontré l'absurdité de cet argument et je n'y reviendrai plus (voyez ce post-ci). L'"argument" de Candide n'est à cet égard rien d'autre qu'une variation sur le même thème. Et on constatera d'ailleurs à la lecture du post précité et de la réfutation qui suit que quand bien même il serait prouvé que la personne "contaminée" à la suite de cette exposition directe au pseudo virus HIV aurait en outre été porteur du même génotype que ce même pseudo HIV, cette circonstance n'énerve en rien les raisonnements qui suivent. En effet, la "preuve" de Candide n'est même pas un commencement de preuve ou même une supposition, elle est tout au plus une simple coïncidence, que le très faible nombre de cas (56 cas sur toute l'histoire du sida aux USA, ce qui est tout simplement statistiquement insignifiant !) ne fait que conforter davantage. Et jusqu'à nouvel ordre, une coïncidence n'a jamais constitué une preuve, en particulier sur le plan scientifique. Une association ou coïncidence n'est pas causalité ! C'est un peu comme si moi (= le HIV), j'étais présent dans une banque au moment d'un hold-up (= le SIDA) et que je ne suis évidemment pas le voleur (= l'auteur du hold-up ou stress oxydatif). * LA CRITIQUE DES TESTS DITS "HIV" 1) Introduction Cet argument ne se peut se justifier qu'en s'appuyant sur un des (nombreux) autres dogmes de l'orthodoxie du sida, à savoir que la séropositivité serait le signe d'une infection virale (le HIV donc) et que le test HIV est assurément fiable, sensible et spécifique, et que, partant, il détecte indubitablement une infection au pseudo HIV. Or nous savons qu'il n'en est strictement rien. Et quand je dis RIEN, c'est vraiment RIEN ! Je veux dire par là que les tests HIV ne détectent JAMAIS une infection virale au HIV! Pas dans 98% des cas, pas même dans 50¨% des cas, pas même dans 5% des cas, pas même dans 1% des cas, non, dans AUCUN cas ! Et j'insiste là-dessus car le dogme selon lequel les tests HIV détecteraient une infection virale au HIV est tout simplement la plus grande de toutes les ignominies de l'orthodoxie du sida puisque c'est à cause des tests HIV que les séropositifs pensent - à tort - qu'ils sont atteints d'une maladie (virale) et qu'ils sont contagieux ! Le pire mensonge qui soit ! Ceci étant, même si les tests HIV ne détectent aucune infection virale au HIV, cela ne signifie pas pour autant qu'il y a lieu de s'en désintéresser. En effet, être positif à un test HIV signifie quand même généralement (mais pas toujours) que le système immunitaire est (assez) fortement endommagé (tantôt beaucoup, tantôt très très gravement) et donc un résultat positif ne doit pas être pris à la légère, quand bien même il ne représente pas la sentence de mort que l'orthodoxie du sida veut nous imposer. Mais tel n'est pas l'objet du présent post, lequel n'a ici pour vocation qu'à démontrer que le HIV ne cause pas le sida, et plus particulièrement dans les passages qui suivent, que les tests HIV ne détectent en aucune façon une infection virale HIV, et que les deux arguments invoqués par Candide n'ont évidemment aucune pertinence. 2) Arguments invoqués par l'orthodoxie pour prouver la fiabilité des tests HIV Et à cet effet, et par souci de réelle honnêteté intellectuelle, je vais carrément reprendre la moins mauvaise contre-argumentation existante (à l'encontre de la dissidence du sida donc) à ce jour invoquée par l'orthodoxie du sida pour "prouver" que les tests HIV détecteraient une infection à ce pseudo rétrovirus HIV. On la trouvera dans ce document-ci, à savoir The Evidence That HIV Causes AIDS : Traduction : MYTHE : Les tests HIV ne sont pas fiables. FAIT : Le diagnostic de l'infection par le procédé du test de détection des anticorps est l'un des mieux établis par la médecine. Le test de détection des anticorps HIV est supérieur à la plupart des autres tests de détection de maladies infectueuses aussi bien en matière de sensibilité (la capacité de détecter avec précision la présence d'anticorps lorsque la personne testée a vraiment la maladie) qu'en matière de spécificité (la capacité de détecter avec précision l'absence d'anticorps lorsque la personne testée n'est pas malade). La sensibilité et la spécificité des tests actuels de détection des anticorps HIV excèdent les 98% et par conséquent, ils sont extrêmement fiables. WHO, 1998; Sloand et al. JAMA 1991;266:2861). De continuels progrès dans les méthodes de détection ont aussi permis la détection du matériel génétique viral, des antigènes et du virus lui-même dans les fluides corporelles et les cellules. Quoiqu'elles ne sont pas utilisées de façon routinières en raison de leur coût élevé et de la nécessité d'avoir l'équipement du laboratoire adéquat, ces techniques de détection directe ont confirmé la validité des tests d'anticorps (Jackson et al. J Clin Microbiol 1990;28:16; Busch et al. NEJM 1991;325:1; Silvester et al. J Acquir Immune Defic Syndr Hum Retrovirol 1995;8:411; Urassa et al. J Clin Virol 1999;14:25; Nkengasong et al. AIDS 1999;13:109; Samdal et al. Clin Diagn Virol 1996;7:55. 3) Des réfutations des arguments "accessoires " invoqués ci-dessus Notons tout d'abord le procédé malhonnête utilisé par le NIAID au tout début de son argumentation. L'orthodoxie du sida se contente de reprendre la conclusion finale émise par la dissidence du sida au sujet de la fiabilité des tests HIV, sans même reprendre, fût-il partiellement, les arguments de la dissidence qui la sous-tendent. Il est vrai que lu de cette façon-là, on ne pourrait qu'être impressionné et penser que l'orthodoxie du sida aurait brillamment relevé le défi de la dissidence. Mais cette première impression ne résulte que du fait que ce document n'explique en rien l'argumentation sous-jacente de la dissidence du sida aboutissant à la conclusion que les tests HIV ne détectent en aucune façon une infection au HIV. Cette technique, consistant uniquement à retenir le résumé pour le moins très succinct des conclusions de la dissidence de la sida, utilisée par l'orthodoxie du sida pour appuyer ses dires est particulièrement symptomatique de ce document du NIAID puisqu'il en est truffé. On peut dès lors s'interroger sur le caractère réellement scientifique de ce document, qui, pourtant, se veut être la meilleure réponse aux arguments de la dissidence du sida, ce qui est un comble ! Concernant ensuite les huit références citées dans cette "argumentation", ce qui semble lui donner davantage de poids et donc impressionner, nous verrons ultérieurement, lorsque nous réfuterons le deuxième argument de Candide, que nous avons en réalité toutes les raisons de nous en gausser ! Je ne m'attarderai pas longtemps sur le deuxième alinéa, lequel fait implicitement référence aux tests dits de détection directe du pseudo HIV. Il s'agit des tests de charge virale (PCR) et de l'observation directe au microscope électronique. En effet, il est tout simplement ahurissant que l'orthodoxie du sida prétende valider la fiabilité des tests HIV par le biais de deux autres méthodes qui souffrent d'autant et même de davantage de critiques que les tests HIV eux-mêmes. Je n'en parlerai guère, faute de quoi ce post deviendrait véritablement kilométrique. Pour ce qui concerne la charge virale, en guise d'introduction, il n'a jamais été prouvé que l'ARN à partir duquel la technique du PCR est utilisé provient bien du rétrovirus pathogène et exogène que serait le HIV. Ensuite, j'invite le lecteur à par exemple lire ce post-ci, les différents articles qu'on peut trouver sur le sujet sur www.sidasante.com ou encore ce topic particulier. Pour ce qui concerne l'observation directe au microscope électronique du virus HIV, il s'agit en fait de tout le problème relatif à l'isolation du virus. Quoique j'y reviendrai partiellement ci-après, j'invite le lecteur à lire par exemple les articles suivants : un,deux, trois, quatre et cinq. Le lecteur constatera que le virus HIV n'a jamais réellement été isolé selon la bonne vieille méthode, sûre, logique et sensée utilisée depuis des lustres pour prouver l'existence des rétrovirus, méthode basée sur la définition même du rétrovirus (particule ayant une taille, une forme, une apparence, une constitution bien définies, outre la capacité de répliquer), méthode abandonnée pour une raison inconnue lorsqu'il s'agit de l'appliquer au HIV. Ce sur quoi travaille depuis plus de 20 ans l'orthodoxie du sida est au pire une infinité de débris cellulaires, au mieux des rétrovirus endogènes produits naturellement par l'organisme humain suite au stress oxydatif. En d'autres termes, l'orthodoxie du sida travaille sur les symptômes ou conséquences (= le pseudo HIV) de la maladie, et non sur sa cause (le stress oxydatif). Et étant donné que le degré du stress oxydatif varie sans cesse et que les sources de stress oxydatif sont quasiment infinies, la conjonction de ces deux variables engendre une infinité de souches de matériel endogène (pas exogène donc, car produite par l'organisme humain lui-même) et donc non pathogène qualifié de HIV, ce qui a entre autres donné naissance au légendaire mythe de la mutabilité du virus HIV, l'orthodoxie du sida prétendant que le génome du virus pouvant varier jusqu'à 40% ! (C'est d'ailleurs absolument ahurissant; en effet, à supposer que le HIV soit vraiment un rétrovirus exogène et pathogène, comment, en variant autant, pourrait-il rester le même acteur tout en continuant à construire les mêmes protéines fonctionnelles et à induire les mêmes anticorps ? Voilà qui relève carrément de la magie et du paranormal ! En revanche, si le HIV est considéré [au mieux] comme un rétrovirus endogène, les millions de génotypes différents de ce rétrovirus peuvent s'expliquer car étant le produit et donc la conséquence d'un stress oxydatif au degré et aux sources quasiment infinies, et la circonstances que le HIV, considéré donc comme rétrovirus endogène, n'est qu'une conséquence de la maladie et non sa cause, explique que le HIV "muté" n'ait nul besoin de conserver la fonctionnalité de ses protéines. Remarquons que cette même notion "endogène" explique la notion orthodoxe du sida de "souche virulente du virus". Une "souche virulente du virus" n'est en réalité rien d'autre que l'expression endogène d'un stress oxydatif extrêmement élevé. Et le caractère endogène du "HIV" ne fait aucun doute d'ailleurs. En effet, si une souche est dite virulente, comment se fait-il qu'une personne contaminée par la souche virulente du "HIV" provenant d'un autre séropo [qui en est mort] peut parfaitement continuer à très bien vivre sans en souffrir si le HIV cause le sida ? Tout simplement, parce que le HIV n'est que du matériel endogène qui a été transmis par le second à la première et que celle-ci ne souffre pas elle-même d'un fort stress oxydatif. Certes, une méthode de détection directe constatera qu'elle est porteuse d'une souche dite virulente, mais étant donné que cette souche n'était que l'expression endogène du stress oxydatif dont est mort l'autre séropo, il n'y a évidemment aucune raison que la nouvelle porteuse de cette souche en souffre). En réalité, ce qui m'intéresse, c'est le premier alinéa de l'argumentation de l'orthodoxie du sida, à savoir la soi-disant sensibilité et spécificité des tests HIV, et c'est là-dessus que mes critiques vont fuser. 4) Un énoncé - au surplus incomplet - d'une multitude de critiques à l'encontre des tests HIV (à propos donc du premier alinéa susrelaté) et, partant, de son ignominie sans nom Par boutade, je commencerai déjà par dire que oui, effectivement, les tests HIV, lorsqu'ils détectent les protéines supposées spécifiques au HIV, sont précis à 98%. Quand ils détectent par exemple la protéine p24, il y a 98% de chance qu'il s'agit bien de la protéine p24 et pas une autre ! Cessons la plaisanterie. Ceci n'a été dit que pour impressionner le lecteur et pour montrer de quelle manière Candide a pu lui-même impressionner les intervenants sur ce forum avec ces deux arguments, c'est-à-dire par l'effet d'annonce ! a) Aucune des 10 protéines n'est spécifique à 100% au HIV ! Comme nous le savons, les tests HIV ont pour objectif de détecter (en l'occurrence, 10 lorsqu'il s'agit du test Western Blot, le test dit de "confirmation") des protéines supposées spécifiques du HIV, censées donc constituer la "carte d'identité moléculaire" du HIV. Or, JAMAIS, il n'a pu être prouvé que ne fût-ce qu'une seule de ces dix protéines (arbitrairement) sélectionnées proviennent d'un virus isolé appelé HIV, et encore moins qu'elle soit spécifique à 100% au (pseudo) HIV. Et à partir du moment où pas même une de ces dix protéines n'a une spécificité de 100% avec le supposé rétrovirus HIV, il devient dès lors logique que chacune de ces dix protéines puisse être l'indice de dizaines ou même centaines d'autres choses que le supposé HIV. Au contraire, certaines d'entres elles correspondent à des éléments n'ayant rien à voir avec un virus quel qu'il soit. Par exemple, les protéines p24 et p41 correspondent au poids moléculaire de respectivement de la myosine et de l'actine. Or, ces deux protéines sont des protéines essentielles des muscles, que l'on trouve donc naturellement dans le corps. De manière générale, voyez également cet autre post. Donc, il n'a jamais été démontré que pas même une de ces 10 protéines aurait une spécificité totale au pseudo HIV. Comment peut-on affirmer cela ? * Car le rétrovirus HIV n'a jamais été isolé, pardi ! Et faute d'avoir pu l'isoler, il est strictement impossible de dresser sa carte moléculaire et de déterminer les protéines qui lui seraient spécifiques (fût-il partiellement) et d'affirmer leur origine rétrovirale de ces 10 protéines (il en est d'ailleurs strictement de même pour ce qui concerne son génome : la meilleure preuve en est que l'orthodoxie du sida n'a pas peur du ridicule en affirmant que le génome du virus HIV peut varier jusqu'à concurrence de 40% de son génome ! Si une telle différence pourrait encore se justifier dans l'hypothèse - possible - où le HIV serait un rétrovirus endogène et inoffensif, marqueur de la maladie et non cause de la maladie, elle ne saurait l'être dans l'hypothèse où le HIV serait un virus exogène et pathogène). * Car il a été démontré que nous sommes tous séropositifs au test HIV, à partir du moment où on ne dilue pas le sérum à tester. La preuve même que nous sommes tous naturellement porteurs de ces dix protéines en plus ou moins grande quantité, que le stress oxydatif permettra de multiplier jusqu'à atteindre le seuil au-delà duquel vous êtes déclaré séropositif au test dit "HIV" ! Lisez par exemple cet article-ci. Seuls seront en effet déclarés séropositifs ceux dont le nombre de ces protéines dépasse un certain seuil, au surplus défini arbitrairement ! b) Mais il y a bien mieux encore ! Quand bien même le HIV existerait en tant que rétrovirus exogène et pathogène et quand bien même on supposerait que les 10 protéines en question seraient chacune 100% spécifiques au VIH (mais on vient de voir justement que ce n'est déjà pas le cas pour aucune de ces 10 protéines) et que tous les virus et bactéries du monde ont chacun leurs protéines 100% spécifiques (pas de phénomène de réaction croisée donc, ce qui n'existe également pas), à défaut d'avoir pu isoler préalablement ce HIV exogène et pathogène, il est tout simplement impossible de créer un test d'anticorps ayant la prétention de détecter le HIV en raison des deux faits suivants cumulativement réunis chez chaque séropo et sidéen sans exception. En effet, le HIV n'ayant jamais été isolé (1er fait), quand bien même on supposerait qu'il existerait 10 protéines 100% spécifique au HIV, on ne saurait identifier lesquels il pourrait s'agir (et donc créer un test HIV détectant ces protéines ou anticorps) au motif que chaque sidéen ou séropo sans exception est TOUJOURS porteur d'une multitude d'autres bactéries, virus ou microbes (2ème fait), en sorte qu'il est tout simplement impossible de dire quelles protéines réagissent avec les microbes qui lui sont spécifiquement attribuées à 100% ...... faute d'avoir pu isoler le HIV ! SEULE l'isolation du (pseudo) HIV permettrait d'effectivement déterminer quelles seraient les protéines spécifiques du HIV. Mais cet exploit n'a justement jamais pu être réalisé ! C'est ce que Papadopoulos me semble avoir très bien expliqué dans cet article-ci et dont je ne peux m'empêcher de reproduire ci-dessous le passage en question : c) Au sujet de la sensibilité A la lecture déjà des deux seules critiques fondamentales qui précèdent, les autres critiques qui suivent ne peuvent que confirmer encore plus la vaine prétention de l'orthodoxie à affirmer que les tests HIV détecteraient le pseudo HIV. Ainsi pour ce qui concerne la pseudo sensibilité du test HIV, celle-ci ne peut à l'évidence n'être qu'une chimère puisque pour l'apprécier, il faudrait l'évaluer sur la population la plus importante possible dont nous savons, preuves à l'appui, qu'ils sont effectivement porteurs de ce pseudo virus. Ces preuves n'ont jamais pu être apportées car nous savons tous que chez plus de 50%, voire même 60% des sidéens en phase terminale, ce qui est considéré comme étant du HIV est absolument indétectable ! Raison pour laquelle d'ailleurs le concept, particulièrement trompeur, de "charge virale" a été inventé par l'orthodoxie du sida au milieu des années 90. d) Au sujet de la spécificité Exactement pour la même raison, il est évidemment impossible d'affirmer que les tests HIV revêtent une quelconque spéficité puisqu'ils supposent qu'on ait pu l'évaluer à partir d'une population dont nous savons, preuves à l'appui, qu'elle n'est pas porteuse du pseudo virus ! e) Au sujet des réactions croisées Le lecteur aura déjà compris à ce stade-ci du présent post que le phénomène de réactions croisées est extrêment courant dans les tests HIV. Je les invite à lire par exemple l'article suivant et d'où il ressort que plus 70 facteurs sans rapport quelconque avec le pseudo HIV sont parfaitement de nature à rendre le test HIV positif. Et pour illustrer cette 5ème critique avec l'argument de Candide, je ne vois absolument pas en quoi la circonstance qu'il a été prouvé dans ces 56 cas qu'il y a eu un contact antérieur (au test) avec le pseudo HIV exclut l'un et/ou l'autre de ces 70 facteurs dont il est reconnu qu'ils peuvent rendre un test dit "HIV" positif ! f) Le seuil Le lecteur aura également compris que les tests HIV sont en outre des tests avec seuil. Si le nombre des protéines soi-disant spécique dépasse un certain seuil, vous êtes considéré comme séropositif, et donc porteur d'un virus contagieux et mortel. Si ce nombre est inférieur à ce seuil, vous êtes considéré comme séronégatif et donc, comme non porteur d'un virus contagieux ou mortel. Si par malheur, le résultat est douteux (car trop proche du seuil), on examinera si vous faites partie d'un groupe à risque. Si cela est malheureusement le cas, vous êtes séropositif. Dans le cas contraire, vous êtes séronégatif ! Où est la logique dans ce procédé de détection du virus, quand en outre, si vous êtes proche du seuil et que le résultat est donc incertain, on vous cataloguera de séropositif si vous êtes dans un groupe à risque et séronégatif si vous n'êtes pas considéré comme étant dans un groupe à risque !? Mais il y a bien pire encore comme nous allons le voir immédiatement ! g) Le nombre de protéines Si comme l'affirme l'orthodoxie du sida, ces dix protéines seraient effectivement spécifiques au HIV (mais nous avons déjà vu que ce n'est absolument pas le cas, pour aucune d'entre elle), nous pouvons nous poser les deux questions suivantes, totalement contradictoires l'une de l'autre : * Pourquoi la détection (par ces fameux tests, donc) d'une seule de ces dix protéines ne serait pas suffisante pour détecter ce (fameux et si insaisissable) HIV ? * Tout à l'opposé, pourquoi ne pas au contraire exiger que les tests HIV détectent chaque fois ces dix protéines avant de déclarer une personne séropositive, puisque ces dix protéines sont dites "spécifiques" du HIV ? Ces deux questions sont parfaitement illustrées par la courte mais hélas tragique histoire du sida, et ce d'ailleurs jusqu'à ce jour. En effet, les premières années, il suffisait qu'une seule de ces dix protéines soit détectée, à savoir la p24, et que la personne testée soit gay pour qu'il soit déclarée comme séropositive et donc porteuse de ce pseudo HIV. Et les choses ne sont pas améliorées à l'heure actuelle. Tantôt deux protéines suffisent (comme en Afrique, du moins dans les cas rarissimes où ces tests sont effectuées), tantôt trois protéines (USA et la plupart des états européens), tantôt quatre protéines (comme en Australie par exemple). Trouvez-vous normal et scientifique qu'un français, chez qui trois de ces dix protéines ont dépassé le seuil, soit considéré comme en mauvaise santé car porteur d'un dangereux virus sexuellement transmissible, soit en revanche considéré comme étant en parfaite santé et non porteur de ce virus lorsqu'il traverse la frontière australienne ?!? Expliquez moi çà ! h) Les facteurs raciaux Les différentes races (je n'aime guère le terme, mais nous nous comprenons) ont naturellement des taux d'anticorps différents. Ainsi, les personnes de race noire ont en moyenne 9 fois plus d'anticorps que les personnes de race blanche et même 33 fois plus que les Asiatiques, et donc respectivement 9 et 33 fois plus de chances d'être déclarées séropositives. C'est ce qu'explique très bien David Rasnick dans ce document-ci Ceci (entre autres) explique (les chiffres qui suivent sont citées de mémoire, mais même si dans la réalité, c'est un peu différent, cela reste éloquent) que 7 ou 8 personnes séropositives sur 10 aux USA sont de race noire, alors qu'il y a 6 ou 7 fois moins de personnes de race noire que de personnes de race blanche aux USA ! L'explication (mais il y en a d'autres bien sûr) vient de là, et non parce que les personnes de race noire seraient 40 ou 50 fois moins prudentes que les personnes de race blanche en omettant d'utiliser un préservatif. C'est (entre autres) cette explication qui explique aussi qu'il y ait une telle "épidémie" de sida en Afrique. C'est (entre autres) cette explication qui explique que l'"épidémie" de sida ait été déclaré en dernier lieu en Asie : voyez par exemple la Chine avec seulement (650.000 personnes séropositives [cliquez ici] pour une population de plus de quasiment 1,3 milliard d'habitants (et encore, il semble s'agir d'une estimation véritablement exagérée basée sur le modèle mathématique, viral et orthodoxe du sida). Voyez par exemple le cas du Japon (c'est peut-être un bien meilleur exemple finalement puisqu'il s'agit d'une nation occidentalisée pour la totalité, contrairement à la Chine) avec à peine 600 nouveaux cas de séropositivité en 2002 pour une population de 125 millions d'habitants, alors qu'il y avait 3000 nouveaux cas de séropositivité en France en 2003 pour une population deux fois moins importante : cliquez ici. Je suis sûr d'avoir oublié encore quelques autres critiques des tests HIV tellement elles sont innombrables (ainsi n'ai-je par exemple pas mentionné que les fabricants eux-mêmes [et pour cause, à la lecture des critiques absolument rédhibitoires qui précèdent !] annoncent dans les notices explicatives que leurs tests ne peuvent servir à affirmer ou infirmer la présence du HIV [!!! Et on continue encore à s'en servir pour condamner à mort !]), mais le lecteur - même un peu distrait - aura pu constater aisément à l'énoncé de cette liste de critiques, dont l'une ou l'autre se suffit d'ailleurs à elle-même pour dénier aux tests la moindre prétention à détecter ne fût-ce qu'un seul cas d'infection au (pseudo) HIV, que LES TESTS HIV NE DETECTENT JAMAIS UNE INFECTION AU SUPPOSE RETROVIRUS EXOGENE ET PATHOGENE QUE SERAIT LE HIV ! On notera également que toutes les objections énumérées ci-dessus à l'encontre des tests HIV et, partant, à la théorie virale du sida, peuvent en revanche toutes et sans exception aucune être expliquées par la théorie chimique (ou stress oxydatif) du sida. Mais tel n'est pas l'objet du présent post. N'empêche, devant cette seule considération, il est absolument inouï de continuer à marteler sans cesse que le sida est causé par le HIV ! * ET MAINTENANT, REVENONS PLUS SPECIFIQUEMENT AU PREMIER ARGUMENT DE CANDIDE POUR EN CONCLURE AVEC SA REFUTATION En résumé, si Candide veut démontrer que ces 56 cas sont bien plus qu'une simple coïncidence d'une infection au pseudo HIV mais bien la preuve réelle d'une infection au HIV, il doit tout d'abord démontrer que les tests HIV sont fiables, sensibles et spécifiques au HIV et donc qu'ils sont la preuve, ne fût-ce que dans quelques cas déjà (ce ne sera déjà pas si mal !), d'une infection virale. Etant donné qu'une telle preuve n'a encore jamais pu être faite par l'orthodoxie scientifique du sida (et je ne vois par conséquent pas comment Candide pourrait relever une telle gageure) et qu'il n'a donc pas été démontré que le test HIV est la preuve d'une infection au virus HIV, il est particulièrement vain et malvenu d'affirmer que ces 56 cas sont la preuve d'une infection au HIV ou, même de manière générale, que le HIV cause le sida ! Et comme si cela ne suffisait pas pour anéantir cet "argument" de Candide, il échet en outre de s'interroger avec quelle fréquence des tests HIV ont été effectués dans ces 56 cas. En effet, faisaient-ils des tests HIV régulièrement, toutes les semaines voire uniquement tous les mois, ou pire encore, l'ont-ils fait pour la première fois après l'exposition au pseudo HIV ? Car dans ces hypothèses, qui paraissent logiquement correspondre à la réalité, on peut parfaitement se dire qu'il est tout à fait possible qu'ils étaient déjà séropositifs avant même cette exposition au pseudo VIH vu qu'il est par définition et par exemple impossible d'exclure que l'une et ou l'autre des 70 facteurs dont question ci-dessus ait pu se produire entre le dernier test (par définition séronégatif) effectué avant l'exposition au pseudo HIV et celui (par définition séropositif) effectué après l'exposition au pseudo HIV. Et à supposer même qu'ils faisaient de tels tests chaque semaine (mais on rentre là carrément dans le domaine de la science-fiction), il ne peut en aucune façon être exclu que de tels facteurs aient pu se produire en quelques jours (hypothèse tout à fait vraisemblable vu le nombre [56] statistiquement sans signification au regard du nombre de cas de sida total aux USA depuis le début de l'"épidémie"). Comme le lecteur aura aisément pu le constater, ce premier argument de Candide, qui avait l'air d'être très impressionnant au premier abord mais qui après analyse ne l'est absolument pas, n'est pas prêt de faire florès ..... et un seul et unique sort ne peut que lui être réservé : le rebut, et sans le moindre ménagement d'ailleurs ! Passons maintenant au deuxième "argument" ou "preuve" de Candide selon laquelle le HIV causerait le sida. II) LA REFUTATION DU DEUXIEME ARGUMENT DE CANDIDE L'article de Katz et ses collègues en 1997, c'est : Katz M et al (1997). Projected incidences of AIDS in San Francisco: The peak and decline of the epidemic. Journal of Acquired Immune Deficiency and Human Retrovirology 16:182-189. On en trouve un résumé sur Pubmed : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...bstr&query_hl=3. Dans ce résumé, on apprend que les auteurs ont élaboré une projection du nombre de nouvelles personnes atteintes par le Sida chaque année à San Francisco. Ce modèle explique que le nombre de nouvelles personnes porteuses de la maladie en 1992 était de 3332 et qu'il diminuait progressivement chaque année, pour atteindre 1196 en 1998. L'étude conclut que le déclin de "l'incidence du Sida à San Francisco reflète la baisse considérable du nombre de personnes infectées une dizaine d'année plus tôt, et qui résulte d'un changement significatif des comportements à risque, notamment chez les homosexuels et les hommes bisexuels". C'est écrit noir sur blanc : la baisse du nombre de nouveau cas de Sida est imputable à une diminution des comportements à risque à San Francisco. Il s'agit donc d'un nouveau contresens et d'un nouveau mensonge par omission de la "réfutation". Pourquoi les auteurs du château de carte (euh... pardon, de la "réfutation") tiennent-ils absolument à nous dire que la diminution du nombre de nouveaux cas de contamination a diminué avant les campagnes de prévention ? Parce qu'ils aimeraient faire croire qu'il n'y a pas d'épidémie, que le VIH n'est pas un virus et que le Sida n'est pas une maladie contagieuse. Le problème, c'est que c'est faux. Une nouvelle fois, les auteurs de la "réfutation" ont fait mentir les travaux scientifiques qu'ils ont cités. Précisons que M. Katz est directeur du département de santé publique de San Francisco. Sur le site du département de la santé, on trouve plusieurs études relatives au VIH/Sida. Il y a par exemple ce document qui montre la progression de l'épidémie dans la ville de 1981 à 2000 (pdf). On trouve aussi les rapports épidémiologiques annuels sur le VIH/Sida à San Francisco. Je vous recommande par exemple le rapport 2004 (pdf), dans lequel on trouve, à la page 3, les courbes montrant l'évolution du nombre de nouveaux cas de Sida, du nombre de morts par Sida. On y voit que le nombre de morts par Sida chute de manière spectaculaire entre 1995 et 1997, grâce à l'efficacité des traitements par anti-rétroviraux. Il faudra un jour que les "dissidents" m'expliquent pourquoi les personnes qui se soignent avec des anti-rétroviraux ont une plus grande espérance de vie que les autres. La mauvaise foi des "dissidents" est sans borne. Car ils connaissent très bien les travaux de M. Katz. En effet, en 1999, trois d'entre eux (D. Pasquarelli, M. Bellefountaine, C. Maggiore) ont rencontré M. Katz, et ce dernier leur a expliqué en détail les raisons de la décrue du nombre de nouvelles contaminations à San Francisco. Ces trois "dissidents" avaient demandé à être reçu par le maire de San Francisco de l'époque, W. Brown. Celui-ci avait accepté d'entendre les arguments "dissidents", accompagné par M. Katz, en sa qualité de directeur du département de la santé publique de San Francisco. J'imagine que tout le monde ici connaît le compte-rendu de cet entretien, retranscrit sur ce site "dissident". Voici ce qu'a dit M. Katz à propos de cette fameuse étude de 1997 : "San Francisco a organisé des campagnes de prévention au début des années 1980, et ces campagnes ont permis de faire chuter le nombre de séroconversions de manière très importante". En fait, plus le mensonge est énorme, plus les "dissidents" se disent qu'on va le gober facilement. L'étude de M. Katz indique que la diminution des contaminations s'explique par une réduction des comportements à risque, suite aux campagnes de prévention menées à San Francisco. Les auteurs de la "réfutation" affirment, sans sourciller, que la baisse des nouvelles contaminations a eu lieu avant les campagnes de prévention. Et, comme ils ne manquent pas d'air, ils citent les travaux de M. Katz comme preuve de ce qu'ils avancent. Il fallait oser... Apparemment, ça a marché auprès de certains d'entre vous, puisque vous êtes nombreux ici à vous référer à cette "réfutation" de la déclaration de Durban. Combien d'entre vous ont pris la peine de vérifier que l'on ne vous racontait pas des salades ? Aixur, dois-je vraiment continuer à souffler sur le château de carte ? Ce texte, que vous appelez la "réfutation de la déclaration de Durban", est, je le répète, un tissu de mensonges, d'allégations et de contrevérités. Je ne comprends pas que vous continuiez à vous y référer. L'argument de Candide, de nouveau apparemment très pertinent, consiste finalement à dire que les "contaminations", tout particulièrement chez les gay, ont baissé grâce au safe sex. Le safe sex consistant à adopter des pratiques sexuelles évitant la (pseudo) transmission sexuelle du (pseudo) virus HIV, ceci est donc la "preuve" que le HIV est la cause du sida. Mais avant d'y venir, nous allons d'abord commencer par analyser ce qui a mis le feu au poudre et permis à Candide de littéralement se déchaîner, à savoir la circonstance que dans le cadre de la Réfutation de la Déclaration de Durban, les dissidents du sida auraient invoqué à mauvais escient une étude scientifique qui dirait exactement le contraire de ce qu'ils affirment dans la célèbre Réfutation de la Déclaration de Durban, en sorte que les dissidents du sida seraient des gens naturellement malhonnêtes ! 1) La réfutation du prétexte a) Notons tout d'abord et sans que cela réfute le prétexte invoqué par Candide que ce dernier a profité d'une faiblesse de la traduction française de la Réfutation de la Déclaration de Durban. En effet, dans la version française de la Réfutation de la Déclaration de Durban, il est écrit que le nombre de nouvelles infections par le VIH dans la ville de San Francisco (considérée comme "l'épicentre de l'épidémie") avait diminué dès la fin de 1982, c'est-à-dire bien avant le démarrage des premières campagnes de "safe sex" et même deux ans avant qu'on ne décide que le VIH était la cause probable du SIDA. Or dans la version originale de la Réfutation de la Déclaration de Durban, soit le version anglaise, que le lecteur trouvera en cliquant ici, il est écrit: Pour ma part, "peaked in 1982", je le traduirais par ""atteindre son apogée en 1982". En réalité, la traduction française de la Réfutation de la Déclaration de Durban introduit une nuance qui n'existe pas forcément dans la version anglaise. En effet, si on se base sur la version originale ("atteindre son apogée"), les cas de "contamination" n'ont pas forcément diminué dès la fin de 1982, mais on peut au contraire imaginer que les cas de contamination sont restés stables au cours des années qui ont suivi avant de diminuer. Mais peu importe. Je voulais simplement montrer qu'avant de faire de telles affirmations, Candide aurait bien dû analyser minutieusement les documents sur lesquels il s'appuie, et nous verrons bientôt que le défaut d'analyse de Candide est particulièrement flagrant. b) Personne ne semble avoir constaté cette évidence mais pour étayer cette accusation de malhonnêteté intellectuelle à l'encontre de la dissidence, Candide s'appuie uniquement ..... sur un résumé, pour le moins très succinct, de l'étude invoquée par la dissidence dans la Réfutation de la Déclaration de Durban. Un résumé ! Le résumé relatant en fait uniquement la conclusion principale (que je nie pas, j'en parlerai plus loin) de l'étude, à savoir que les "contaminations" ont baissé corrélativement à la diminution des comportements dit "à risque", c'est-à-dire corrélativement à la promotion du safe sex. Mais dites moi, où est-il précisé dans ce résumé qu'au cours de cette étude, les chercheurs en question n'auraient effectivement pas constaté cette incohérence flagrante à la théorie virale du sida, à savoir que les cas de "contamination" ont baissé dès la fin de l'année 1982 ? NULLE PART ! Candide a fait dire à ce résumé ce qu'il voulait entendre, et rien d'autre. Il a interprété ce résumé dans le sens qu'il souhaitait, et rien d'autre. En réalité, ce qui s'est passé est le suivant. Contrairement à l'orthodoxie du sida, la dissidence du sida, elle, prend le temps et le soin d'analyser les études invoquées à l'appui de l'abracadabrantesque théorie virale. Et la dissidence a pu constater qu'au cours de cette étude, les chercheurs en question ont constaté que les "contamination" avaient malgré tout diminué dès la fin de l'année 1982, soit avant même le début des campagnes de safe sex. Et c'est tellement "gros", comme le dit si bien Candide, que la dissidence du sida n'a légitimement pas pu s'empêcher de reprendre cette anomalie tellement "grosse" à la théorie virale et orthodoxe du sida dans la Réfutation de la Déclaration de Durban ! Et cette anomalie, ne pouvant justement être expliquée par le dogme du virus tueur et ayant en outre été constatée par l'orthodoxie du sida elle-même (!), cela ne peut que lui conférer encore davantage de poids ! La dissidence du sida n'allait quand même pas s'en priver ! En revanche, si Candide avait affirmé avoir lu, non le résumé très succinct de cette étude, mais bien l'intrégralité de cette étude et qu'il avait affirmé qu'il n'avait pas relevé dans cette étude cette incohérence flagrante à la théorie virale du sida, alors son accusation de malhonnêteté intellectuelle de la dissidence du sida aurait pu présenter quelque intérêt. Mais ce n'est pas ce qu'il a fait ! c) Mais il y a bien pire encore ! Et c'est bien ici que la malhonnêteté intellectuelle sans fin de Candide, je dis bien de Candide (!), est dévoilée de façon éclatante au grand jour. En effet, le résumé lui-même, et malgré son caractère fort succinct, étaye l'affirmation de la dissidence du sida selon laquelle les cas de contamination ont baissé dès la fin de l'année 1982, ce qui est pour le moins le comble du comble ! Je reproduis ci-dessous la partie de ce résumé y relative : En d'autres termes, le résumé précise lui-même que les cas de SIDA (il est bien écrit dans ce résumé "SIDA", et non "contamination" !) ont culminé en 1992 et ce en raison de la diminution des cas de "contamination" intervenue une décennie auparavant ! Si vous retranchez une décennie à 1992, vous arrivez à ..... 1982 ! Donc, le résumé lui-même laisse entendre que les cas de contamination ont effectivement baissé dès la fin de 1982. L'accusation portée par Candide à l'encontre de la dissidence du sida est non seulement purement gratuite, mais pire encore, mensongère. Nous voyons là quel est le vrai visage de l'orthodoxie du sida ..... et de Candide ! d) Mais il y a encore et toujours pire ! Et cela est d'ailleurs particulièrement cocasse. Nous venons de voir que l'accusation de malhonnêteté intellectuelle de la dissidence de sida émise par Candide est tout simplement un mensonge aveuglant. Nous venons de constater que contrairement à ce que Candide a essayé de nous faire croire, la dissidence du sida n'a en aucune façon invoqué une étude de façon malhonnête mais bien de façon parfaitement justifiée. En revanche, l'orthodoxie du sida, elle, est particulièrement coutumière du fait. Celle-ci, et contrairement donc à la dissidence du sida, a effectivement pour très fréquente habitude d'appuyer ses affirmations sur base d'études ..... qui n'ont strictement rien à voir avec ces affirmations ou qui les contredise au contraire. Ainsi, le document "The Evidence that ...... " du NIAID déjà cité ci-dessus lorsque j'ai abordé la question de l'absence totale de fiabilité des test HIV est à cet égard particulièrement éloquent puique ce procédé y est utilisé à de maintes reprises. Lorsqu'on sait que ce document ne constitue déjà que la moins mauvaise contre-argumentation à celle de la dissidence du sida, on est vraiment en droit de se demander comment l'orthodoxie du sida peut invoquer ce château de cartes (oh pardon .... La preuve que le HIV cause le sida) pour continuer à affirmer sans honte que la dissidence aurait tort. L'orthodoxie du sida est vraiment d'une mauvaise foi sans bornes. Rappelez-vous. Plus haut, à l'occasion de la réfutation du premier argument de Candide, j'avais littéralement repris le passage qui prouverait la fiabilité à 98% des tests HIV (mais nous avons déjà vu plus haut que cette fiabilité est égale ..... à 0%). Rappelez vous que dans le passage en question, l'orthodoxie du sida invoquait à l'appui de ces affirmations huit études. Voilà qui aurait dû être de nature à impressionner le lecteur, quoique nous étions déjà arrivés auparavant à la conclusion qu'il n'en était rien en tout état de cause. Mais savez-vous ce qu'il faut penser de ces huit références ? Et bien, vous allez le savoir. En effet, la dissidence du sida a examiné ces huit études et voici sa conclusion (vous la trouverez en cliquant ici) : En d'autres termes, sur les huit références invoquées, sept (!) n'ont strictement rien à voir avec leur assertion selon laquelle les tests HIV seraient fiables pour détecter pour détecter le pseudo HIV ! Quant à la huitième référence, qui est donc en réalité la seule pouvant être invoquée avec une certaine pertinence par l'orthodoxie du sida, les conclusions sont tout simplement biaisées en raison du parti pris de ces auteurs, à savoir que le sida est "forcément et naturellement" causé par le HIV. Ce cas permet d'illustrer combien, et contrairement à l'orthodoxie du sida, la dissidence du sida, elle, étudie et épluche dans ses moindres détails les études et articles scientifiques invoqués à l'appui du dogme du virus tueur, et ce pour bien mettre en évidence les incohérences criantes de ce dogme. Avant de faire des reproches, au surplus non fondés comme nous venons de le voir, Candide aurait d'abord été mieux inspirer de faire le ménage dans son propre camp. Et pour paraphraser Candide, je reprends les termes qu'elle a utilisés tout à la fin de son post pour qualifier - à tort, nous n'arrêtons pas de le démontrer tout au long du présent post - la Réfutation de la Déclaration de Durban, mais cette fois-ci, pour l'appliquer à cette soi-disant contre-argumentation du NIAID : ""Ce texte, que vous appelez la "La preuve que le HIV cause le sida", est, je le répète, un tissu de mensonges, d'allégations et de contrevérités. Je ne comprends pas que vous continuiez à vous y référer" ! Nous venons donc de démontrer que le prétexte invoqué par Candide pour accuser la dissidence du sida de malhonnêteté intellectuelle est complètement bidon. Reste toutefois à réfuter l'argument proprement dit de Candide. C'est ce que nous allons justement faire. 2) Et la réfutation de l'argument proprement dit ! En effet, Candide a profité - à tort, nous le savons maintenant - de ce prétexte pour faire l'énumération pour le moins fastidieuse de diverses études scientifiques prouvant que les "contaminations" chez les gay (et au surplus, dans la population hétérosexuelle en général, quoique selon l'orthodoxie du sida elle-même, les risques de transmission hétérosexuelle de la séropositivité frisent le zéro absolu) ont baissé corrélativement à la généralisation de la pratique du safe sex. Ce serait donc la preuve que le sida est causé par le HIV, le safe sex étant l'ensemble de pratiques sexuelles de nature à éviter la transmission du supposé rétrovirus HIV. Pour réfuter cette "preuve", est-il réellement nécessaire que je m'évertue à lire ne fût-ce qu'une seule des études invoquées ? Non, bien sûr, car toutes les études en question pèchent par le même biais, à savoir que les tests dits "HIV" qui seraient positifs révéleraient une infection au virus HIV. Or, à l'occasion de la réfutation du premier argument invoqué par Candide à l'encontre de la dissidence du sida, nous avons déjà pu constater que les tests HIV ne détectent JAMAIS une infection au HIV. Ces tests ne font que détecter des protéines qui, par l'effet du stress oxydatif, se multiplient à tel point qu'ils dépassnt un seuil arbitrairement défini et au-delà duquel vous êtes déclaré séropositif. Pour en avoir la confirmation définitive et en finir avec ce pseudo argument, il suffit de se demander si l'utilisation du préservatif (dont, je le répète, la dissidence du sida ne nie en aucune façon l'utilité, ne fût-ce déjà que pour amoindrir les risques de contracter une - véritable - MST; donc, ne vous méprenez pas sur mes propos) n'aurait pas été de nature à diminuer fortement les causes de séropositivité (ce terme est bien entendu beaucoup plus exact que "contamination"), c'est-à-dire de stress oxydatif, chez les gay. Et la réponse est oui, bien sûr. Mais avant d'énumérer lesdites causes, je dois d'abord prévenir le lecteur aux yeux et oreilles bien chastes que les explications qui vont suivre seront parfois bien crues. Nous ne pouvons toutefois pas faire autrement si nous voulons définitivement enterrer en bonne et due forme cet argument de Candide. Donc, allons y franchement. La pratique du safe sex a effectivement permis de supprimer ou, à tout le moins, de fortement amoindrir au moins trois causes fréquentes de séropositivité ou stress oxydatif chez les gay. Nous aurons par ailleurs l'occasion d'aborder très brièvement une quatrième cause de séropositivité chez les gay, assurément la cause la plus grave et de nature à causer un sida déclaré, quoique cette quatrième cause n'ait qu'un rapport indirect avec la pratique du safe sex. Je les citerai par ordre de gravité, étant entendu que la première, quoique constituant une cause fréquente de séropositivité, ne saurait causer le sida, l'histoire de l'homosexualité l'ayant démontré. a) L'effet immunodépresseur mais transitoire de l'administration rectale du sperme (pour le "passif" donc) Il va sans dire que l'usage du préservatif empêche cette forme de sexualité d'aller jusqu'au bout ! (lol) Or il a déjà été démontré à diverses reprises par la dissidence du sida que l'administration rectale de sperme au "receveur" est de nature à causer un stress oxydatif provisoire. Je renvois à cet égard et entre autres à divers posts de Cheminot en personne (voyez par exemple ce premier post, ce deuxième post et ce troisième post), et je le cite d'ailleurs textuellement : En d'autres termes, l'orthodoxie du sida a réussi à faire croire à nombre de gay qui avaient pour seul tort d'avoir une sexualité épanouie (lol) d'avoir été contaminés par un rétrovirus sexuellement transmissible ! Voilà une affirmation pour le moins éhontée et révoltante ! Et si cette circonstance est susceptible de causer un test dit "HIV" positif, il ne saurait bien sûr causer à lui seul du moins un sida déclaré, vu l'histoire de l'homosexualité. Car les autres causes de séropositivité que j'énumère ci-après et que la pratique du safe sex a utilement empêché ou presque empêché de se produire sont en revanche bien plus graves et de nature à causer, quant à elles, un sida déclaré. Le problème est que les tests dit "HIV", qui ne sont en fait que des tests de stress oxydatif, ne font pas dans la nuance et ne permettent pas de faire la distinction entre une séropositivité légère, moyenne, forte, très forte, voire même mortelle à court terme. Raison pour laquelle dans divers posts antérieurs (voyez par exemple ce post-ci), j'ai émis la suggestion que les tests de stress oxydatif que sont les tests dits "HIV" soient retravaillés en dehors de toute psychose et hystérie collectives du sida pour devenir une sorte de "test de cholestérol de l'immunité", ce qui serait bien entendu plus utile. b) Les MST Evidemment, l'usage des préservatifs est un moyen efficace pour prévenir la transmission de MST. Or les MST sont connues pour causer un fort stress oxydatif à l'organisme. Il n'est dès lors pas étonnant qu'avec les campagnes de safe sex, les cas de "séropositivité" aient fortement diminué. Il est piquant de constater qu'il arrive fréquemment et actuellement de constater l'existence de - véritables - MST à l'occasion de tests HIV. Ce n'est évidemment pas un hasard. Les MST en question sont par elles-mêmes de nature à rendre positif le test de stress oxydatif qu'est le test "HIV" ! Nul besoin d'un rétrovirus pour expliquer cela. Notons que la presque totalité des gay morts du sida, du moins jusqu'en 1987 et à l'apparition de l'AZT qui a permis à bien davantage de gay (et fait nouveau à de nombreux hétérosexuels) de mourir du sida sans même rencontrer les causes de séropositivité énumérés sub b), c) et d) avait justement la particularité de souffrir justement de MST à répétition, outre les deux autres facteurs de séropositivité énumérés ci-dessous et dont l'implication dans le risque de survenance d'un sida déclaré est encore bien plus fort. c) La "débauche" anale passive Il va de soi que la réception par le gay passif de multitudes de protéines étrangères (sans même tenir compte du sperme donc) d'innombrables partenaires sexuels différents est de nature à causer à causer un fort stress oxydatif et, partant, un test dit "HIV" positif. Cela est bien entendu rendu impossible par la pratique, toujours à recommander bien sûr, du safe sex. Là également, il s'agissait d'un trait commun à nombre gay morts du sida durant les premières années de l'"épidémie". C'était des partouzeurs exceptionnels ! lol Nombre d'entre eux avaient eu durant leur vie plus de 1000 partenaires sexuels différents ! d) Les drogues récréationnelles Evidemment, le safe sex n'a en soi pas formellement provoquer une diminution de la consommation de drogues récréationnelles chez les gay. Cependant, l'usage de ces drogues étaient corrélé avec la cause de séropositivité citée ci-dessus sub c) puisqu'à l'effet de pouvoir continuer leur vie sexuelle effrénée, de nombreux gay avaient recours à la consommation de drogues récréationnelles (tels que le poppers) pour pouvoir tenir ce rythme sexuel pour le moins infernal. A de rarissimes exception près, jusqu'en 1987 (apparition de ce médicament "fabuleux" qu'était et est encore l'AZT), tous les gay morts du sida étaient consommateurs de drogues récréationnelles. Lisez à cet égard et par exemple l'article suivant : Les causes chimiques des diverses épidémies de SIDA). Voilà, la réfutation du deuxième "argument" de Candide se termine ici. Nous avons clairement démontré que celui-ci ne démontrait en rien que le sida était causé par le HIV, et que cette apparente preuve de Candide ne résultait uniquement de son seul effet d'annonce ! CONCLUSION Au cours de ces dernières semaines, grâce à cet espace d'expression qu'est ce forum et grâce entre autres aux nombreux posts de Cheminot, que je remercie encore au passage, j'ai été amené à mieux comprendre encore l'argumentaire de la dissidence du sida. J'ai pu constater que s'il était indispensable d'avoir une formation scientifique pour réfuter des arguments de l'orthodoxie du sida, de nombreux arguments de celle-ci peuvent toutefois être réfutés par la simple logique, ce qui n'est bien entendu pas l'apanage des seuls scientifiques. C'est justement ce que j'ai tâché de démontrer dans le cadre du présent post. Il est à cet égard particulièrement malfaisant d'affirmer qu'à défaut d'avoir une formation scientifique, on ne saurait avoir voix au chapitre et qu'on serait obligé de croire sur parole les innombrables stupidités de l'orthodoxie du sida, faute d'avoir la formation scientifique adéquate. J'ose enfin espérer que maintenant, les quelques personnes qui auraient encore pu être impressionnés en son temps par les propos pour le moins mensongers de Candide ne le sont maintenant plus. La seule logique a permis de réfuter les arguments de celui-ci !
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  49. Bonjour Suivant l'expérience de mon ami, je ne pense pas que des milligrammes changent grand chose . Si j'ai bien compris, les pilules sont dosées en fonction d'une moyenne de poids établie aux environs de 70/80 kg . Mon ami fait péniblement 50 kg, et suivant ses problèmes de nuits agitées, ils avaient envisagé de lui doser sa Tri sur mesure en fonction de son poids, pensant qu'elle était trop forte . Puis finalement ils n'ont rien fait et il continu avec des nuits moins agitées (habitude?) mais toujours plus ou moins reposante . Donc apparemment, l'important pour eux est que le produit soit toujours présent dans le corps, peut importe les variantes de densité par rapport au poids . Par ailleurs, concernant l'arrêt, de mon point de vue, à partir du moment ou vous arrêtez, diminuez, vous cassez leur protocole et sortez de la logique/croyance de la Tri . Vos hésitations entre les quantités à réduire, expriment le doute entre la croyance dans les pouvoirs positifs de la Tri, et la croyance en ses menaces ou effets placébos qu'elle représente . Si demain, la dissidence est reconnue officiellement par ceux que vous croyez qu'ils vous mentent, ou que l'on confirme que la Tri est pleine de vide, ou pire, pleine de poisons, vous verrez que vos croyances actualisées, règleront vite vos soucis de dosage et leur éventuelles conséquences ! Il n'y a évidement rien de plus difficile, que de combattre ce à quoi l'on Croit . D'abord, étayer solidement sa foi, la conviction intime, ensuite lâcher prise et s'envoler ….et ça n'oblige pas à détruire l'autre croyance, au contraire, …..juste lâcher prise............. La vérité est un diamant dont chacun est une facette, faut juste le comprendre ..et l'accepter . Bien à vous
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  50. la seule chose qui m'aie defonce l'estomac c'est la tri et en particulier le viracept....quand aux complements que je continue de prendre leur effacacite n'est plus a prouver au moins dans mon cas hormis d'etre sarcastique est ce que vous pouvez apporter quelque chose de constructif pour les personnes en difficulte ?
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