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RÉCOMPENSE VIRUS MANQUANT


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Money virus
VIRUS MANQUANT !
RECOMPENSE £1000

Des romantiques aveugles continuent de croire que le VIH est la cause du Sida,
Mais si le VIH n'a jamais été isolé, qu'est-ce que le Sida?

Jamais isolé? Voulez-vous parier? Un prix de £1000 est offert à la première personne
qui trouve un document prouvant que la VIH a été isolé.

Nous parions que vous serez étonné de découvrir la vérité.

Si vous ou votre ami expert du sida pouvez prouver l'isolement,
£1000 est à vous. En éspèce et en public.

Interessé? Si vous gagnez, vous pourrez contribuer l'argent
à votre oeuvre de charité préféré pour les malades du Sida !

ECRIRE À ONUSIDA, L'O.M.S. ETC. EN DEMANDANT LA RÉFÉRENCE
SCIENTIFIQUE ORIGINALE DE LA PREUVE DE L'ISOLEMENT DU VIH.

Continuum

172 Foundling Court, Brunswick Centre, London WC1N 1QE, Grande Bretagne.
Tel : 0044+ 171 713 7071. Fax : 0044+ 171 713 7072. Email : continu@dircon.co.uk

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Les méthodes d'isolement des rétrovirus ont été rigoureusement défini;es à l'Institut Pasteur de Paris en 1973 et représentent les critères minimums permettant d'établir l'existence du "VIH". Ces méthodes d'isolement comprennent:

1. La culture du tissu supposé infecté,

2.. La purification des échantillons par ultracentrifugation sur gradient de densité de sucrose ou de percoll,

3. L'examen au microscope électronique du matériel sédimentant à la densité de 1.16 gm/ml, établissant la présence de particules ayant la morphologie et les dimensions (100-120 nm) des rétrovirus, à l'exclusion de toutes autres particules de morphologie et de dimensions différentes,

4. La preuve que ces particules contiennent la transcriptase inverse,

5. L'analyse des protéines et de l'ARN de ces particules, et la preuve de leur caractère unique,

6. La preuve que les étapes 1-5 sont la propriété exclusive des tissus infectés et ne s'observent jamais dans des cultures témoins. Les cultures témoins sont identiques aux cultures infectées; elles sont cultivées dans les mêmes conditions, mais proviennent de malades qui ne sont pas sensés être infectés par un rétrovirus,

7. La preuve que les particules sont infectieuses, réalisée en infectant avec les particules purifiées, soit des cultures non-infectées, soit des animaux de laboratoire et obtenant ainsi une nouvelle génération de particules virales, identiques aux premières comme doit le démontrer la répétition des étapes 1-5.


De plus les règles de la virologie pour définir l'agent causal de maladie infectieuse n'ont pas étés respectés :

Introduits par Robert Koch au siècle dernier, les critères classiques pour la détermination du caractère infectieux d'une maladie et l'attribution de sa cause à un microbe particulier sont appelés les Postulats de Koch. Or le virus HIV, comme le souligne Walter Gilbert (Prix Nobel de Chimie), ne répond pas aux critères des Postulats de Koch:

Postulat 1: Le germe doit être trouvé dans les tissus affectés pour chaque cas de la maladie en question. Toutefois, aucun HIV ne peut être isolé dans 10 à 20 pour cent des cas de SIDA. Jusqu'à ce que les méthodes hautement sensibles de détection fassent récemment leur apparition, l'on ne trouvait pas de trace directe du virus dans la majorité des cas. De plus, le HIV ne peut être isolé à partir des cellules du sarcome de Kaposi ni à partir des cellules nerveuses des patients atteints de la démence sidéenne.

Postulat 2: Le germe doit être isolé des autres germes et du corps de son hôte. Les quantités de HIV sont tellement faibles chez les patients atteints de SIDA que le virus ne peut être isolé qu'indirectement, après isolation d'un grand nombre de cellules du patient et réactivation du virus. Dans les maladies classiques, on trouve assez de virus actifs pour qu'il soit possible d'en isoler directement à partir du sang ou des tissus lésés: il est habituel d'en avoir entre un million et un milliard d'unités par millilitre de fluide corporel durant la période active. Certains virus de la même classe que le HIV se rencontrent à raison de 100,000 à 10 millions d'unités par millilitre, mais le HIV ne présente rarement plus de cinq unités et jamais plus de quelques milliers par millilitre de plasma sanguin.

Postulat 3: Le germe doit provoquer la maladie lorsqu'il est injecté à des hôtes sains. Le HIV n'a pas provoqué la maladie quand on l'a injecté expé rimentalement à des chimpanzés, ni dans les cas accidentels où il a été inoculé à des travailleurs du secteur médical, pourtant, dans chacun de ces cas, le virus avait infecté ses hôtes avec succès. Si en considération de raisons éthiques ou autres, ce troisième postulat s'avère difficile à tester pour certains germes, il est alors nécessaire d'en appor ter la preuve d'une autre façon, grâce à des thérapies spécifiques qui neutralisent le microbe et préviennent par là-même la maladie. Malheureusement, bien que de nouveaux médicaments et vaccins soient continuellement proposés, aucune thérapie, aucun anticorps contre le HIV n'a été capable de prévenir les maladies du SIDA.

Postulat 4: Le même germe doit pouvoir être isolé également à partir de son nouvel hôte. La condition du troisième postulat n'étant pas remplie, ce critère devient non pertinent.

Cette inadéquation aux postulats de Koch remet en question le caractère infectieux du SIDA. En effet, les postulats de Koch sont les critères standards en vue de la détermination d'agents infectieux. Lorsque ces conditions ne sont pas remplies, il faut alors pouvoir fournir à la place, des preuves équivalentes et solides si l'on veut maintenir l'hypothèse d'un agent infectieux.


Ces méthodes n'ont jamais été appliquée;s au "virus du sida" !

En conséquence :

a) la cause du "sida" ne peut pas être le "VIH".

b) les "tests du sida" ne sont pas valables.

c) les traitements "antiviraux" sont empiriques, inutiles, dangereux, coûteux et souvent mortels.


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