Est-ce que le test du sida est précis ?


En fait il n'y a pas un test pour le sida. Ce qu'on appelle le test de séropositivité n'identifie pas le sida. Tant le test Elisa que le Western Blot sont des tests qui détectent seulement des anticorps produits contre le virus VIH mais aucun de ces tests n'est spécifique pour les anticorps contre le virus VIH et ces tests sont tout à fait imprécis. Ces tests ne sont pas spécifiques dans le sens qu'ils décèlent la présence d'anticorps produits contre des microbes et bactéries ou d'autres facteurs qui n'ont rien à voir avec le virus VIH et que l'on trouve souvent dans le sang de personnes saines. De très nombreuses conditions peuvent amener à la production d'anticorps qui vont faire poser le diagnostic de séropositivité alors qu'ils n'ont rien à voir avec le virus VIH. Une simple grippe peut donner un test positif. Une vaccination peut aussi le faire. Il suffit que vous ayez eu de l'herpès, une hépatite ou une vaccination pour l'hépatite B pour que votre test devienne positif. Des maladies comme la tuberculose ou la malaria peuvent aussi donner des résultats faussement positifs, de même que certains parasites intestinaux, l'alcoolisme, des maladies du foie ou simplement le fait que le sang soit fortement oxydé par l'abus de drogues. Tout cela peut donner la présence d'anticorps qui vont vous faire déclarer positif au test du sida. La grossesse elle-même peut donner des réponses positives. Deux grands journaux comme USA Today et le Wall Street Journal ont publié récemment des rapports de la FDA (Food & Drug Administration) qui montrent qu'il y a de très nombreux cas de faux positifs avec ces méthodes de diagnostic.

Tout cela se produit parce que les tests qui doivent soi-disant détecter le virus VIH réagissent aux anticorps fabriqués contre toutes sortes de virus, de bactéries ou d'autres conditions sanguines qui n'ont rien à voir avec le virus VIH. Pour beaucoup de scientifiques aujourd'hui le fait que l'on n'ait pas isolé le virus VIH rend le test totalement faux puisqu'il faudrait pouvoir isoler le virus pour avoir un anticorps spécifique contre lui, ce qui n'a jamais été fait. En fait la production d'anticorps correspond à une réaction saine qui signifie que le corps fabrique son immunité contre un agent infectieux. Avant l'hypothèse de Gallo, on n'avait jamais utilisé les anticorps comme un indicateur de maladie. Il n'y a aucune évidence scientifique qui montre que cette règle puisse être tout d'un coup manipulée pour s'adapter au sida. Le problème reste entier puisqu'on a jamais été prouvé que le virus VIH est la cause du sida.

Des tests non-spécifiques

Les tests qui sont utilisés le plus fréquemment pour diagnostiquer le VIH sont :

l'Elisa - ou test de surveillance; le Western Blot ou test de confirmation, ou la Charge Virale (PCR) .

Le problème avec ces tests est que quand ils réagissent positifs, ils ne peuvent pas garantir que la personne soit vraiment infectée par le VIH. Il y a d'abondantes publications scientifiques qui previennent qu'il y a plus de 70 facteurs différents qui peuvent faire que la personne ait un test positif sans qu'elle soit infectée par le VIH. En d'autres mots il y a plus de 70 raisons pour avoir des faux positifs quand on recherche le VIH.

Il est interessant de noter que la plupart de ces conditions qui font une réaction positive à ces tests sont présents dans la grande majorité des habitants du monde sous-développé.

Il est choquant de découvrir qu'un diagnostic d'infection par VIH est basé sur des tests non-spécifiques. L'information scientifique nous dit qu'une personne qui réagit positivement au test VIH ne signifie pas du tout qu'elle soit infectée par le VIH.

Les compagnies pharmaceutiques qui fabriquent et commercialisent les kits pour ces tests connaissent leur imprécision.

Et c'est pour cela que les notices qui les accompagnent écrivent typiquement : - "Le test Elisa seul ne peut pas être utilisé pour dagnostiquer le sida, même si l'investigation recommandé des spécimens réactifs suggèrent une haute probabilité que l'anticorp VIH-1 soit présent." Abott Laboratories, 1994, 66-2333/R4.

La notice pour un des kits pour l'admistration du test Western Blot previent : -"Ne pas utiliser ce kit comme seule base de diagnostic d'infection par VIH-1". Epitome/Organon Teknica Corporation, PN201-3039 Revision #6.

La notice qui vient avec un kit populaire pour mésurer la charge virale previent : - "Le test de surveillance impliquant VIH-1 n'est pas censé être utilisé comme test de surveillance du VIH ni comme test de diagnostic pour confirmer l'infection par la présence du VIH". Roche Diagnostic Systems, 06/96, 13-08-83088-001.

Le problème est que la plupart des gens ne lisent pas ce genre de document, la plupart des chercheurs sida, les soignants, les journalistes et le public ne connaissent pas eux-même les faits par rapport aux tests, ils n'en ont pas été informés.

Vous êtes séropositif ? Qui l'a dit ?

Il est extraordinaire de constater que pouvez devenir simplement séronégatif en changeant de pays ou de laboratoire ! Des études ont montré que d'un pays à l'autre et d'un laboratoire à l'autre les résultats changent en fonction des tests utilisés, des façons d'utiliser chacun des tests et de les interpréter.

Lecture recommandée sur ce site :
Missing Virus Award (Recompense du virus manquant).
HOME PAGE RETOUR À CRITIQUES NOS PUBLICATIONS COMMANDES et DONATIONS

© Mark Griffiths, (A.M.G. loi 1901 non-profit), La Métairie Blanche, 11190 La Serpent, France.
Tél : +33 (0)4 68 31 27 91. Fax : appelez-nous avant d'envoyer. Email :
mark.griffiths@wanadoo.fr
Website URL : http://perso.wanadoo.fr/sidasante/ ; English language equivalent :
http://www.virusmyth.com