Les femmes enceintes séropositives transmettent-elles le sida à leurs bébés ?

75 % des enfants qui présentent un test positif à la naissance vont devenir séronégatifs dans les 18 premiers mois de leur vie, sans aucune intervention médicale, tout simplement parce que les enfants naissent sans avoir encore développé leur propre immunité et que 75 % de leurs anticorps viennent de leur mère. Malgré ces faits des femmes enceintes séropositives sont invitées à avorter ou à prendre des médicaments extrêmement toxiques comme l'AZT ou d'autres substances du même genre qui s'attaquent au ADN, la molécule centrale de la vie. Ces substances chimiques détruisent toutes les cellules qui grandissent, notamment les cellules de la moelle épinière où les cellules du système immunitaire sont fabriquées. Ces médicaments vont provoquer chez la mère des symptômes comme l'affaiblissement musculaire, une anémie sévère, des dommages du système nerveux, des reins et du foie, des lymphômes, des nausées, des diarrhées, de la démence et des convulsions, tous symptômes que l'on retrouve dans le sida. L'effet de ces drogues sur le foetus qui se développe peut être des avortements spontanés et des difformités de toutes sortes.

Des lois fédérales américaines ont proclamé que d'ici l'an 2000 le nombre des enfants qui présentaient des tests de séropositivé à la naissance devait être réduit dans chaque état de 50 % ou que cet état devrait montrer que 95 % des femmes enceintes avaient été testées pour le VIH. Si les états n'obéissaient pas à ces lois, les agences du gouvernement imposeront de tester tous les enfants ou toutes les femmes enceintes ! Actuellement il n'y a que 1 % des 4 millions d'enfants qui naissent chaque année aux États-Unis qui soient positifs pour le test VIH et le sida ne prend des vies que de un dixième des 1 % des femmes en âge d'avoir des enfants. Par dessus le marché la grossesse elle-même ou le fait d'avoir eu des grossesses dans le passé sont des conditions qui peuvent donner des tests faussement positifs.

Beaucoup d'experts pensent que le fait d'imposer des tests de séropositivité aux femmes enceintes et aux nouveau-nés va mener à des traitements de plus en plus répandus. Actuellement il y a des hôpitaux aux États-Unis qui ne laissent sortir les enfants dont le test VIH est positif que si les parents acceptent un traitement avec de l'AZT ou d'autres médicaments du même genre. Dans certains états des enfants séropositifs sont arrachés de leur foyer pour être placés dans des hôpitaux par des services de santé gouvernementaux, si les parents n'acceptent pas les traitements pharmaceutiques antiviraux.

Après des années de travail par UNICEF et l'O.M.S. pour promouvoir les bienfaits de l'allaitement maternel dans le tiers monde, aujourd'hui les sacro-saintes autorités du sida essayent de renverser des milliers d'années de bon sens en dissuadant ces mêmes femmes d'allaiter, privant ainsi les enfants pauvres de leur meilleure source naturelle d'immunité. N'est-ce pas le summum de la folie du "sida" ? Leur recommandation n'est basée sur aucune étude scientifique - il n'existe aucun papier scientifique prouvant la transmission du VIH par le lait maternel.

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