Des tests non-spécifiques.

Les tests qui sont utilisés le plus fréquemment pour diagnostiquer le VIH sont :

l'Elisa - ou test de surveillance,
le Western Blot ou test de confirmation,
ou la Charge Virale (PCR).

Quand ces tests sont positifs, ils ne peuvent pas garantir que la personne soit vraiment infectée par le VIH. Il y a d'abondantes publications scientifiques qui signalent que plus de 70 facteurs différents peuvent donner chez une personne, un test positif sans qu'elle soit infectée par le VIH. En d'autres mots il y a plus de 70 raisons pour avoir des faux positifs quand on recherche le VIH.
La plupart des conditions qui donnent une réaction positive à ces tests est présente dans la grande majorité des habitants du monde sous-développé.

Il est choquant de découvrir qu'un diagnostic d'infection par le VIH est basé sur des tests non-spécifiques. L'information scientifique nous dit qu'une personne qui réagit positivement au test VIH ne signifie pas du tout qu'elle soit infectée par le VIH.

Les compagnies pharmaceutiques qui fabriquent et commercialisent les kits pour ces tests connaissent leur imprécision. Et c'est pour cela que les notices qui les accompagnent écrivent typiquement :

- "Le test Elisa seul ne peut pas être utilisé pour diagnostiquer le sida, même si l'investigation recommandée suggère une haute probabilité que l'anticorp VIH-1 soit présent." Abott Laboratories, 1994, 66-2333/R4.
La notice pour un des kits pour l'administration du test Western Blot prévient :

- "Ne pas utiliser ce kit comme seule base de diagnostic d'infection par VIH-1". Epitome/Organon Teknica Corporation, PN201-3039 Revision #6.

La notice qui vient avec un kit populaire pour mesurer la charge virale signale :

- "Le test de surveillance impliquant VIH-1 n'est pas censé être utilisé comme test de surveillance du VIH ni comme test de diagnostic pour confirmer l'infection par la présence du VIH". Roche Diagnostic Systems, 06/96, 13-08-83088-001.

Le problème est que la plupart des gens ne lisent pas ce genre de documents. La majorité des chercheurs du sida, des soignants, des journalistes et du public ne connaissent pas ces faits par rapport aux tests. Ils n'en ont pas été informés.

Vous êtes séropositif ? Qui l'a dit ?

LES DIFFÉRENTS CRITÈRES POUR UN TEST POSITIF WESTERN BLOT W.B.

Il est extraordinaire de constater que pouvez devenir simplement séronégatif en changeant de pays ou de laboratoire ! Des études ont montré que d'un pays à l'autre et d'un laboratoire à l'autre les résultats changent en fonction des tests utilisés, des façons d'utiliser chacun des tests et de les interpréter.

Quelques citations à propos des tests :

"Les gens qui ont reçu des injections de gammaglobulines peuvent avoir un test positif pour le sida même si ils n'ont jamais été infectés par le VIH. Des gammaglobulines sont données à des millions de gens chaque année comme moyen de protection contre les maladies infectieuses. Le Dr Thomas Zuck, de la FDA, a dit que le gouvernement n'avait pas laissé circuler cette information dans les médias parce qu'il pensait qu'elle pourrait faire plus de mal que de bien." Journal USA Today.

"Les techniques du test du sida n'ont pas été standardisées et les variations qui peuvent se produire d'un laboratoire à l'autre n'ont pas été mesurées. Les critères d'interprétation peuvent varier d'un laboratoire à un autre et même d'un mois à l'autre."
Extrait de la notice qui accompagne le test Western Blot : "Ce test qui mesure l'existence d'anticorps contre des virus associés au sida n'est pas un test diagnostic du sida. Un test négatif n'exclut pas la possibilité d'un contact avec l'une des maladies associées au virus du sida. Un test positif ne prouve pas qu'un sida soit présent ni qu'une maladie en rapport avec le sida ait été acquise." New England Journal of Medecine.

"Le seul moyen de distinguer entre des réactions de production d'anticorps dues au VIH et des réactions d'anticorps produites par d'autres causes serait d'isoler le VIH. Malheureusement le virus n'a jamais été isolé. Les tests qui mesurent les anticorps ne sont pas spécifiques pour une infection à VIH. " Bio Technology Journal.

"Des réactions croisées avec des anticorps qui ne sont pas spécifiques du VIH ont été prouvées avec les virus de la grippe, de l'herpès, de l'hépatite B, avec des mycobactéries, avec la tuberculose, la lèpre, les vaccinations contre la grippe et l'hépatite B, la grossesse (présente ou passée), les transfusions sanguines d'hémophilie et de conditions associées à un terrain très oxydé en rapport avec la consommation de drogues ou de désordres immunitaires comme le lupus, l'arthrite rhumatoïde et le myélome multiple. On trouve aussi des tests faussement positifs en cas d'hépatite alcoolique, d'alcoolisme et de maladies du foie ou encore d'anticorps contre des hydrates de carbone, des antigènes nucléaires, des vers ou d'autres parasites. Le test peut aussi être positif en présence de malaria, de malnutrition et de bien d'autres conditions." Christine Johnson.

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