Ces faits sont-ils nouveaux pour vous ?

Pourquoi n'avez-vous pas encore entendu ou lu tout ce dont nous venons de parler ? Pourquoi ces informations ne sont-elles pas présentées dans les journaux ou à la télévision ? Pourquoi les organisations de lutte contre le sida n'offrent-elles pas ces informations dans leurs programmes éducatifs ?

On peut répondre à ces questions en observant comment l'information est créée puis diffusée. Aux Etats-Unis les rapports concernant le sida viennent des agences gouvernementales, qui sont financées par les contribuables. Ces agences s'appuient sur le concept que le sida est une menace sans cesse croissante pour la santé de tous les Américains. Il est donc évident que l'information qu'elles font circuler doit soutenir leurs croyances. La plupart des chiffres qui sont lancés dans le public par le Centre de Contrôle des Maladies ou l'Organisation Nationale de la Santé des États-Unis sont élaborés à partir d'estimations et de projections. Leurs statistiques ne supportent pas d'être examinées avec un il critique.

Dans la société actuelle, le fait de récolter des fonds pour la lutte contre le sida, l'utilisation de préservatifs et les tests de séropositivité font partie de la culture actuelle. Par conséquent, tout ce qui pourrait aller contre ces croyances n'est pas transmis par la presse parce qu'on considère que c'est controversé ou dangereux ! De nombreuses informations concernant le VIH et le sida viennent directement de l'industrie pharmaceutique. Comme le profit est leur but essentiel, les informations qu'elle diffuse sont toujours sensationnelles et annoncent des succès brillants. La plupart du temps la presse en parle immédiatement avant même que les études aient été analysées par la communauté scientifique. Ainsi la presse a annoncé que les premières études concernant l'effet de l'AZT étaient positives, sans tenir compte des effets toxiques rapportés et des manipulations des chiffres qui ont été faites pour présenter des résultats positifs.

Mais les médias ne s'en sont pas rendu compte. La plus grande partie des laboratoires, des hôpitaux et des universités financent leurs recherches à partir de fonds distribués par le gouvernement. Tous les fonds qui sont distribués à la recherche pour le sida s'appuyent sur la croyance que le VIH en est la cause et toutes les recherches doivent constamment confirmer cette hypothèse. Aucune institution dépendant du gouvernement ne peut faire des recherches pour chercher d'autres causes du sida ou pour examiner de façon critique l'hypothèse virale. Le professeur Peter Duesberg, de l'Université de Berkeley en Californie, un scientifique que Robert Gallo a affirmé être "l'homme qui en sait le plus au monde au sujet des rétrovirus" a vu ses fonds bloqués dès qu'il a osé remettre en question l'hypothèse de Gallo concernant le VIH.

La plupart des organisations de la lutte contre le sida reprennent des affirmations des agences gouvernementales, de l'industrie pharmaceutique et de la presse. Elles sont totalement fermées à toute autre source d'informations. Bien que beaucoup de groupes s'occupent d'éducation du public, ils ne se donnent pas la peine de se poser les questions dont nous avons parlé ici. Il y a actuellement plus 93.000 organisations de lutte contre le sida aux États-Unis, ce qui correspond à une organisation pour chaque groupe de quatre malades qui ont reçu un diagnostic de sida ! La plupart de ces groupes reçoivent leurs fonds d'agences gouvernementales ou de compagnies pharmaceutiques.

L'information incomplète à propos du VIH et du sida coûte des vies.

Pouvez-vous imaginer que l'on pose chez vous un diagnostic de maladie mortelle sans que l'on vous dise que ce diagnostic est posé sur la lecture d'un test qui n'est pas fiable et que tout cela s'appuie sur une hypothèse qui n'a jamais été prouvée ? Pouvez-vous imaginer que l'on vous incite à prendre des médicaments extrêmement toxiques sans vous dire qu'ils détruisent les fonctions même qui vous permettent d'être en vie ? Croyez-vous que l'on puisse vous dire que vous souffrez d'une maladie qui sera mortelle chez vous alors que la même maladie est parfaitement traitable et guérissable chez des personnes qui n'ont pas le même diagnostic que vous ?

Pour tous les gens qui sont séropositifs ou diagnostiqués comme étant malades du sida, ces informations sont capitales car les décisions qu'ils doivent prendre en dépendent.

L'hypothèse virale coûte très cher !

48 milliards de dollars ont été consacrés aux États-Unis pour lutter contre le sida.(1997). 13 ans de recherches et d'investigations n'ont pas permis de comprendre ce qu'était le sida, d'élaborer des traitements valables, des mesures de prévention efficaces ou un vaccin. Au contraire nous avons construit une énorme institution qui manipule l'information et nous avons permis à une industrie pharmaceutique multimilliardaire de croître démesurément. Tout cela est basé sur un concept qui n'a jamais été prouvé.

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