Causes non contagieuses de déficiences immunitaires.


En fait il y a 4 causes médicalement prouvées de baisse de l'immunité qui ne sont pas en relation avec des maladies infectieuses. Elles sont rapportées dans la littérature médicale depuis plus de 70 ans :

1. La malnutrition.

C'est probablement la cause la plus importante de déficience immunitaire dans le monde, surtout dans les pays sous-développés comme l'Afrique.

2. La chimiothérapie.

Le but premier de la chimiothérapie est la destruction de la moelle osseuse où les cellules immunitaires sont fabriquées. La chimiothérapie détruit aussi les cellules du système digestif, ce qui provoque des troubles dans l'absorption des aliments et mène à la malnutrition. Même lorsqu'elle et utilisée pendant très peu de temps, la chimiothérapie supprime les fonctions immunitaires, rend beaucoup plus sensible aux infections bactériennes et provoque des diarrhées qui peuvent être mortelles.

3. L'abus de drogues récréationnelles.

La littérature médicale montre que les drogues récréationnelles prises depuis le début du siècle ont un effet immunosuppresseur et mènent à des symptômes que l'on associe aujourd'hui au sida.

4. L'abus de médicaments pharmaceutiques.

Les antibiotiques et les corticostéroïdes sont parmi les médicaments les plus connus comme ayant des effets destructeurs du système immunitaire, surtout lorsqu'ils sont utilisés en quantité importante. L'AZT, les inhibiteurs de protéase et les autres médicaments pharmaceutiques prescrits comme des antiviraux ont aussi la propriété de détruire le système immunitaire et le système digestif.

Il n'y a aucun cas dans toute la littérature médicale qui montrerait que le virus VIH aurait été le seul facteur de destruction de l'immunité. Dans tous les cas il y a d'autres facteurs identifiables de destruction de l'immunité que le virus VIH. En fait 97% de tous les cas de sida aux États-Unis sont cantonnés dans les groupes à risques originaux. Les utilisateurs de drogues récréatives ou de médicaments chimiques voient leur immunité s'effondrer. Les drogues récréatives comme les poppers ont été prouvées comme étant immunodestructeurs, de même que la cocaïne, le crack, l'héroïne, l'ectasy, les anxiolytiques et l'alcool. Les traitements antibiotiques utilisés abondamment sont aussi une cause de déficience immunitaire.

De nombreuses études scientifiques ont montré qu'il y avait une relation entre l'abus de drogues ou de médicaments et le sida. Ainsi par exemple deux études menées en 1993 aux États-Unis et au Canada ont trouvé que tous les hommes homosexuels qui souffraient du sida avaient utilisé soit des drogues récréatives soit de l'AZT ou d'autres agents chimiothérapiques qui détruisent le système immunitaire ou le système digestif.

Il faut se rappeler que le test qui mesure les anticorps contre le virus VIH n'est pas spécifique et peut être positif dans toute une série de situations qui n'ont rien à voir avec le virus VIH. Lorsqu'une personne est déclarée séropositive, des médicaments destructeurs de l'immunité sont pratiquement toujours prescrits comme traitement.

Les cas de sida chez les hémophiles et chez les enfants peuvent aussi s'expliquer autrement que par l'hypothèse virale. On trouve tout cela dans les informations du groupe HEAL qui est un réseau éducatif indépendant créé en 1982 et qui est devenu un mouvement très actif pour contester l'hypothèse virale et l'efficacité des traitements chimiothérapeutiques. Il y a actuellement des groupes HEAL dans plus de 20 villes des États d'Amérique du Nord et dans 5 autres pays. HEAL est la seule organisation de lutte contre le sida qui n'accepte pas de fonds de l'industrie pharmaceutique ou des agences gouvernementales.

Chaque chapitre de son histoire a commencé par la recherche de vérité de ses participants. Le groupe de Monterey a été créé par Michèle Marie à laquelle on avait annoncé qu'elle n'avait plus que trois ans à vivre après qu'elle ait été déclarée séropositive en 1988. Elle a affirmé que l'épidémie n'était pas une épidémie de sida mais une épidémie d'ignorance et elle a célébré son mariage six ans après l'année où elle aurait dû mourir. Frank Green, qui a créé le groupe de Cleveland est séropositif et en parfaite santé depuis plus de dix ans. Il a écrit que le groupe lui avait donné les outils lui permettant de choisir un chemin d'affirmation de la vie. Grâce à l'information fournie par HEAL de nombreuses personnes ont découvert qu'il y avait d'autres alternatives que l'hypothèse VIH = sida = mort. Le rôle de HEAL est de donner des informations sur le sida qui ne soient pas fondées sur des croyances illusoires ou des hypothèses non confirmées et faciliter le choix de modes de vie favorables à la santé. Contrairement à la plupart des autres organisations s'occupant du sida, HEAL encourage le dialogue avec tous et un débat permettant à tous les points de vues de s'exprimer pour mieux comprendre ce qu'est le sida. Des centaines de médecins, d'éducateurs et de chercheurs scientifiques ont refusé des invitations à participer à des discussions publiques concernant l'hypothèse de Gallo et l'utilisation de chimiothérapies toxiques comme traitements contre le sida. Une liste complète de toutes les personnes qui ont refusé de participer à ces débats peut être obtenue sur simple demande. Lorsque ce petit livre a été publié, un groupe soutenu par l'industrie pharmaceutique a commencé à faire circuler une pétition qui avait pour but d'interdire toute discussion publique qui remettrait en question l'hypothèse du virus. De nombreux médecins et scientifiques ainsi que des organisations de lutte contre le sida dans tout le pays ont signé ce document.

Le comité scientifique de HEAL comprend de nombreux scientifiques de renom, dont le Professeur Peter Duesberg et le Prix Nobel Kary Mullis.

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