L'AZT : médicament en quête d'une maladie.

 

L'AZT n'est pas un nouveau médicament. Il n'a pas été créé pour le traitement du sida et n'est pas un produit antiviral. L'AZT est un composé chimique qui a été développé comme agent de chimiothérapie contre le cancer il y a plus de 30 ans. Nous savons que la chimiothérapie travaille en tuant toutes les cellules qui sont en train de grandir dans le corps. Beaucoup de patients souffrant du cancer ne survivent pas à la chimiothérapie qu'on leur applique en raison de ses effets destructeurs sur le système immunitaire. A cause des dégâts qu'elle crée, la chimiothérapie n'est jamais utilisée qu'au moyen de prévention et elle n'est administrée que pour de très courtes périodes de temps. Il faut savoir aussi que l'AZT comme agent de traitement du cancer a été abandonné il y a plus de 30 ans en raison de sa toxicité.

AZT label
ÉTIQUETTE AZT

L'étiquette d'AZT apparaît sur des flacons contenants aussi peu que 25 mg.
Les doses quotidiennes par lesquelles sont traités les malades sont de 400 à 1200 mg. par jour !

Comme le cancer est fait de cellules qui n'arrêtent pas de croître, l'AZT a été prévu pour bloquer le développement de l' ADN et ainsi bloquer la prolifération de cellules. Dans une expérience faite en 1964 avec des souris qui avaient le cancer on a vu que l'AZT était tellement efficace pour détruire des cellules saines qui grandissent que les souris mouraient en raison d'une extrême toxicité du produit. C'est la raison pour laquelle l'AZT n'a pas pu être utilisé avec des patients. 20 ans plus tard la compagnie pharmaceutique Burroughs & Wellcome (qui est maintenant Glaxo-Wellcome) a commencé une campagne pour ressortir l'AZT comme un antiviral et elle a réussit à obtenir l'approbation de la Food & Drug Administration après une étude extrêmement brève, qui n'a duré que quatre mois, et dont les résultats ont été faussés.

L'approbation de ce produit extrêmement toxique comme traitement du sida a été faite sur des informations qui suggéraient que l'AZT pouvait permettre une augmentation du nombre des cellules T et par conséquent permettre de retarder un de éléments qui était considéré comme faisant partie du sida, à savoir la baisse des cellules T. L'élévation des cellules T était interprétée comme une évidence que l'AZT faisait disparaître le VIH dans les cellules T, un concept pour lequel il n'y avait aucune preuve scientifique. Bien que l'étude ait été arrêtée avant que l'on obtienne le moindre renseignement sur les effets à long terme de l'AZT, on a déclaré que le traitement avec l'AZT devrait être continué toute la vie.

Un grand nombre d'études indépendantes qui ont été conduites après l'approbation par la FDA, y compris l'étude Concorde qui a été la plus importante (1748 sujets) et sur la durée la plus longue (3 ans). Toutes ces études ont conclu que l'AZT augmentait les cellules T pendant un temps très court sans que cela se traduise par une amélioration de la santé et que l'AZT n'avait aucun effet positif sur la maladie du sida elle-même. Au contraire toutes ces études ont montré que du tiers à la moitié de ceux qui avaient pris de l'AZT avant d'avoir des symptômes du sida présentaient des symptômes de diminution de la qualité de vie apparaissant plus vite que chez les sujets témoins. On a même constaté que souvent la mort venait beaucoup plus vite sans qu'il y ait le moindre signe de sida. Ceci fut décrit officiellement comme des cas de "mort sans qu'il y ait aucun symptôme du sida qui l'ait précédée".

Il est maintenant parfaitement compris que l'augmentation des cellules T qui est enregistrée, au début du traitement, lorsqu'on prend de l'AZT, est due à la nature toxique du médicament. La plupart des substances toxiques ont tout d'abord un effet immuno-stimulateur pendant un temps court et ensuite il y a une dégradation de la situation qui correspond à la destruction de la moelle osseuse. Au tout début du traitement, lorsque l'AZT commence à détruire la moelle osseuse, le système sanguin essaie de corriger cette destruction par une hyperproduction de cellules T mais comme la source de ces nouvelles cellules T, qui est la moelle, est bientôt détruite complètement par l'AZT, le niveau de cellules T va diminuer peu après et on verra ainsi une destruction complète du système immunitaire. C'est la tolérance individuelle et la quantité d'AZT absorbée qui détermine la durée de la survie avec ce médicament toxique.

L'AZT ne détruit pas seulement les cellules T et toutes les cellules de la moelle mais aussi les cellules du foie, des reins, des muscles et du système nerveux central. Tous les nouveaux médicaments antiviraux agissent de la même façon que l'AZT.

Pour expliquer ce phénomène de l'augmentation des cellules T qui ensuite chutent lorsqu'on prend de l'AZT, les scientifiques ont élaboré une théorie comme quoi le VIH serait capable de muter. D'après cette théorie les effets positifs de l'AZT diminueraient dans le temps au fur et à mesure que des VIH mutants deviendraient résistants à l'AZT. Il n'y a pourtant aucune évidence scientifique qui permette de prouver cette hypothèse.

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