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Dés le début du SIDA, vers 1983, certains scientifiques dans le milieu de la rétrovirologie et de la biologie moléculaire ont commencé à exprimer des doutes graves quant à la rigueur scientifique des publications du Prof. Montagnier et du Dr Robert Gallo. Le premier article critique fut publié dans le journal "Cancer" en 1987 par le Prof Peter Duesberg. Celui-ci expliquait comment les rétrovirus ne pouvaient pas être la cause de maladies chez l'homme. Pour avoir publié cet article, Duesberg a été aussitôt mis à l'écart, privant ainsi la recherche bio-médicale d'un des plus brillant chercheurs de sa génération.

En 1992 fut créé le "Groupe pour la réévaluation scientifique de l’hypothèse VIH=SIDA". Ce groupe compte plusieurs lauréats du prix Nobel, des scientifiques de haut niveau, des professionnels de la santé et des personnes "diagnostiquées", mais bien portantes et n'ayant reçu aucun traitements officiels.

Tous les premiers cas du SIDA recensés aux Etats Unies étaient des grands consommateurs de drogues. Depuis 1981, certains psychologues, thérapeutes et médecins ont travaillé avec des malades dans les épicentres comme San Francisco et New York. Ils ont constaté qu'un changement vers un mode de vie plus sain était bénéfique pour beaucoup. En 1988, le livre "SIDA Espoir" fut publié en France. Ce document historique et visionnaire était la synthèse de tous les travaux en médecine préventive et holistique accomplis et documentés aux Etats Unies. Certains scientifiques y exprimaient leurs doutes par rapport à l'hypothése virale du SIDA.

J’ai été diagnostiqué "séropositif" en 1986 et j'ai eu la chance d'apprendre (par des infirmières !) que certains Américains porteurs du même "diagnostic" vivaient cependant bien, après avoir changé de mode de vie, amélioré leur alimentation, et pratiqué du sport et des techniques de relaxation. Cette information fut comme une graine que l'on semait en moi. J'ai progressivement arrêté ma prise de drogues dures, et avec l'aide d’un psychologue et des techniques de relaxation je me suis libéré complètement de ma toxicomanie. En 1989 à Genève, j'ai rencontré pour la première fois des "survivants à long terme" américains.

Après une année de découverte et de pratique de techniques holistiques, j'ai découvert un texte dans "Policy Review", grand journal conservateur aux Etats Unis : "Le virus du SIDA est-il une science fiction" du Prof Peter Duesberg et son étudiant Bryan Ellison.

Depuis ce moment, je suis devenu chercheur, détective, documentaliste, journaliste et conférencier dans ce domaine extrêmement difficile qu'est la dissidence du Sida.

Aujourd’hui le mouvement dissident a pris une ampleur extraordinaire. Même certains chefs d’état ont commencé leur propre enquête sur la supercherie du SIDA, ce qui va influencer les dépenses pour la santé dans les pays pauvres vers l'amélioration des conditions sanitaires : eau potable, agriculture, soins pour les maladies traditionnelles. Et non pour amplifier les profits sans scrupule des cartels pharmaceutiques.

Quelques conclusions :

1) Un prix de $100,000 a été offert au premier scientifique qui réussirait l'isolement du VIH !

2) Sans isolement du "VIH", les tests ne peuvent pas être spécifiques. En fait beaucoup d'autres facteurs peuvent déclencher un test positif.

3) Prescrire des traitements "anti-rétroviraux" contre un virus qui n'a jamais été isolé est de la pure folie ! L'effet de ces molécules est de stopper la réplication de l'ADN. Leur toxicité et leurs redoutables effets secondaires sont bien connus. Ils provoquent d'ailleurs les mêmes symptômes que ce que les médecins appellent SIDA !

4) La mortalité due au SIDA est d'environ 0,8% de la mortalité annuelle en Occident. Les chiffres africains sont fait de 97% d'estimation et 3% de réalité. Depuis 1985 il n’est pas nécessaire d’avoir un test positif du sida en Afrique pour être déclaré "sidéen" ! Il n’est pas d'avantage possible ni techniquement ni statistiquement d’appeler le SIDA une "épidémie". La véritable épidémie c'est la vente de plus en plus de tests pour lesquels les mêmes industries ont le monopole. Et de plus en plus de corruption par les multinationales jusqu'au sommet de l'ONU, de l'OMS et de l'UNSIDA (dont le directeur reçoit des bénéfices pour sa part d'un brevet de test SIDA !)

5) Il y a d'autres moyens d'aborder nos problèmes immunitaires, et beaucoup d'entre nous sont impliqués à fond dans leur diffusion.

6) Dans ce contexte, il n'y a pas de guérison du SIDA ! Mais il y a la guérison de la peur et de l'ignorance par rapport au SIDA. Information le plus souvent étouffée, muselée et occultée par la voracité d'une industrie pharmaceutique qui devient la plus grande cause de maladie sur notre terre aujourd’hui.

Pour plus d'information consultez http://www.sidasante.com

Je recommande le téléchargement de "L’Apprentissage n° 9" comme introduction à cet immense controverse :
http://www.sidasante.com/pdf/apprenti.htm

Et pour découvrir les lacunes de l’hypothèse officielle, lire : "$IDA ? Première maladie virtuelle de l’histoire !" :
http://www.sidasante.com/critique/malvir.htm

Pour ceux qui aiment les références scientifiques, lire : "La réfutation de la Déclaration de Durban":
http://www.sidasante.com/science/refutation.htm


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